Anticholestérols

Cholestérol : le grand bluff

Le danger du cholestérol mythe ou réalité

La sécu, les labos, les médecins nous escroquent et nous empoisonnent, le crestor aussi !

Cholestérol, un business qui rend malade

Il faut interdire les statines !

Les inventeurs de maladies et « LA MAFIA DU CHOLESTEROL » : « la médecine est devenue folle » (ARTE)

Le cholestérol

Maladies cardiovasculaires, cholestérol et statines
Cholestérol et statines :  le grand mensonge
 
La vérité sur le cholestérol
Voulez-vous savoir enfin avoir accès à une ANALYSE INDEPENDANTE des données de la science ?
Le mythe du cholestérol (sauvegarde)
Trop de graisse animale est nocif pour la santé ; trop de cholestérol dans le sang est dangereux pour le cœur. Ces truismes apparents ne sont que des mythes. Vous trouverez ci-dessous quelques faits surprenants et inquiétants.
 
Les nouvelles normes du cholestérol transformant les personnes saines en personnes malades
http://www.ravnskov.nu/ncep_guidelines
 
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
 
une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s’avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d’un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l’apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d’Alzheimer
 
Les sujets atteints présentent à des degrés divers, proportionnels au déficit en cholestérol, des troubles cognitifs ou des troubles de l’intelligence pour parler simplement.
 
Cette déclaration semble si incroyable que cela prend beaucoup de temps pour effacer le lavage de cerveau de son esprit afin de comprendre pleinement son importance. Pourtant, le fait que les personnes ayant un cholestérol élevé vivent plus longtemps ressort clairement de nombreux articles scientifiques.Examinez les conclusions du Dr Harlan Krumholz du Département de médecine cardiovasculaire de l’Université de Yale, qui a déclaré en 1994 que les personnes âgées avec un cholestérol faible mouraient deux fois plus souvent d’une crise cardiaque que celles avec un cholestérol élevé.
 
Parce qu’il y a eu des menteurs, bien organisés, qui ont gagné de l’argent et en ont fait gagner aux firmes en répandant un dogme faux. L’industrie pharmaceutique mondiale s’est quand même mis dans la poche 400 milliards d’euros depuis dix ans, et en France, pas loin d’un milliards d’euros par an.
 
ce site est destiné a présenter les ouvrages scientifiques et articles de presse dénonçant le plus grand scandale médical de tous les temps : l’escroquerie du cholestérol. Une supercherie à l’échelle mondiale dont le chiffre d’affaires est astronomique
 
Les maladies et autres affections dont le risque augmente si votre taux de cholestérol est abaissé, soit par maladie ou artificiellement par des médicaments, est long. Les médicaments qui réduisent le cholestérol, eux-mêmes, augmentent également les risques en raison des effets secondaires indésirables qu’ils produisent. Cet aspect sera abordé dans une autre partie de ce site . Mais il suffit de regarder les conditions énumérées dans le menu ci-dessus, ou l’ Indice des dangers de l’indice de cholestérol bas , afin de constater que l’abaissement du cholestérol n’est pas sans risque important.

« Le cholestérol ne bouche pas les artères »
« La "théorie du cholestérol" dans sa forme actuelle n'est qu'un château de cartes. Dès qu'on utilise son sens critique et qu'on analyse scientifiquement les données de biologie expérimentale, d'épidémiologie et des essais cliniques randomisés, tout s'écroule. Le cholestérol ne bouche pas les artères ; le risque de mourir d'un infarctus n'est pas proportionnel au niveau de cholestérol dans le sang et le faire baisser ne réduit pas le risque de mourir d'un arrêt cardiaque. Je ne suis pas seul contre tous en disant cela. De nombreux chercheurs, notamment aux Etats-Unis et en Scandinavie, s'opposent à cette course folle d'une médecine préventive focalisée sur une guerre inutile contre le cholestérol. Mais cette parole est confisquée et l'industrie surfe sur cette vague sans aucun contre-pouvoir. »
 
Depuis 30 ans, on nous dit qu’en diminuant le taux de cholestérol, on diminue les problèmes cardiovasculaires. Or on constate que ce n’est pas le cas
 
CHOLESTEROL : UNE INFORMATION BIAISEE, UNE DEMARCHE INCOHERENTE.
La résistance croissante au marketing dont font preuve certains médecins depuis quelques années semble avoir convaincu l'industrie pharmaceutique de changer son fusil d'épaule et de viser maintenant le grand public, comme elle le fait avec grand succès aux USA. Tout a commencé à la rentrée 2002 lorsque le SNIP (Syndicat National de l'Industrie Pharmaceutique) a décidé de se rebaptiser du beau nom de LEEM (Les Entreprises du Médicament). Ce nouveau nom n'était pas un simple changement de façade mais la manifestation d'une quête de reconnaissance que l'industrie a accompagnée d'une puissante campagne en direction du grand public : affiches, publicités dans la presse écrite et surtout spots télévisés sur TF1 et France Télévision dans lesquels des personnalités, malades ou en bonne santé, venaient vanter les bienfaits des découvertes les plus spectaculaires : des anticancéreux aux médicaments pédiatriques en passant par le traitement de la sclérose en plaques. Mais cette entreprise de séduction dépasse la simple campagne d'image : sous couvert d'information sanitaire, le LEEM s'associe à des associations à but non lucratif pour diffuser des messages qui n'ont d'autre but que d'inciter la population à " consommer " du médical - c'est à dire, in fine, du médicament. L'exemple le plus flagrant est visible ces jours-ci sur nos écrans : en janvier dernier, les laboratoires Pfizer s'associaient à l'ARCOL (Comité français de coordination des recherches sur l'athérosclérose et le cholestérol) pour lancer une campagne autour du dosage du cholestérol. Les moyens étaient conséquents : publi-reportage diffusé dans la presse écrite ayant pour vocation " d'élargir l'information au risque cardiovasculaire dans sa globalité " ; 1 300 000 brochures d'information destinées à être distribuées aux patients par les professionnels de santé afin " d'aider à lutter contre les idées reçues sur l'hypercholestérolémie " ; centre d'appel téléphonique permettant de " répondre aux questions les plus fréquemment posées ". Le pompon était cependant remporté par l'annonce presse avec " visuel choc et message simple " (sic !) publiée dans les principaux titres de la presse française. Déclinée en poster " à la demande de médecins ", 1 000 exemplaires étaient destinés à être installés dans les salles d'attente médicales. Annonce et poster représentaient les pieds d'un cadavre à la morgue : une étiquette portait le sexe (M), l'âge (47) et la cause du décès (accident cardio-vasculaire), avec ce message " choc " : " Dire qu'un simple dosage de son cholestérol aurait pu lui éviter ça ! " Juste en dessous, on pouvait lire " Une crise cardiaque peut intervenir alors que l'on ne se croyait pas malade. On peut alors découvrir que l'on a, peut-être depuis des années, un excès de cholestérol dans le sang. Saviez-vous qu'un excès de cholestérol peut provoquer des maladies cardiovasculaires ? Faire doser régulièrement son taux de cholestérol est important, d'autant qu'il est relativement facile, aujourd'hui, de le faire baisser. " Suit la liste des personnes et situations " concernés " : " Homme de plus de 45 ans. Femme de plus de 55 ans ou ménopausée. Antécédent familial de maladie cardiaque. Tabagisme. Diabète. Hypertension. Obésité. " .

 

En janvier 2008, le professeur Kastelein d’Amsterdam publie une étude « Cholesterol Drug Bomb » qui prouvent une fois de plus qu’il n’existe aucun rapport entre la baisse du cholestérol et les risques d’infarctus du myocarde alors que des millions de gens à travers le monde prennent des médicaments anticholestérol en croyant réduire les risques ! Or non seulement ces médicaments ne protègent pas mais chez les patients pris dans cette étude, les dépôts de la région cardiaque se sont développés deux fois plus vite que chez les patients du groupe de contrôle.

un apport en cholesterol élevé permet de réparer les cerveaux endommagés
une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s'avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d'un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l'apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.
Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d'Alzheimer

Et si le cholestérol n'était pas dangereux ?
L’affaire est à peine croyable. Le cholestérol ne serait pas ce serial killer redouté, responsable de milliers de crises cardiaques et d’arrêts vasculaires cérébraux ? Le faire baisser serait même mauvais pour la santé ?

Cholestérol : Une arnaque qui coûte plus de deux milliards d’euros par an à la sécurité sociale
Selon le Pr Philippe Even, le cholestérol est « un ennemi imaginaire », ce qui en fait « la plus grande erreur médicale de tous les temps » en même temps que « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique ».

La vérité sur le cholestérol
Une étude publiée par Le New York Time en janvier 2008 sous le titre « Cholesterol Drug Bomb » révèle l’étude faite par le professeur Kastelein d’Amsterdam qui prouvent une fois de plus qu’il n’existe aucun rapport entre la baisse du cholestérol et les risques d’infarctus du myocarde alors que des millions de gens à travers le monde prennent des médicaments anticholestérol en croyant réduire les risques ! Or non seulement ces médicaments ne protègent pas mais chez les patients pris dans cette étude, les dépôts de la région cardiaque se sont développés deux fois plus vite que chez les patients du groupe de contrôle. Il a fallu deux ans pour que cette étude, entreprise au départ pour des sociétés fabricantes de médicaments anticholestérol soit enfin publiée… Tout ceci confirme ce que le docteur Rath affirme depuis longtemps, à savoir que si le cholestérol endommageait les vaisseaux sanguins, on verrait des lésions tout au long du parcours et pas uniquement dans les régions cardiaque et cérébrale. Pour le docteur Rath, l’athérosclérose est une forme de scorbut du à une carence en vitamine C.
 
En faisant des recherches sur tous ces traitements, j’ai découvert que l’Ezemimibe réduisait certes le taux de cholestérol, mais n’avait strictement aucune efficacité sur les maladies cardiovasculaires1. D’ailleurs même la HAS (Haute Autorité de Santé) dans sa fiche BUM (Bon Usage des Médicaments) le reconnaît elle-même2 et le confirme dans un autre avis3.
 
Hartenbach remet non seulement en question les théories largement répandues depuis plusieurs années sur la soi-disant nocivité du cholestérol ; il met expressément en garde contre les thérapies visant à abaisser le taux de cholestérol. L’auteur considère que ces thérapies ont des effets négatifs. Il cite ainsi une baisse de la capacité de performance et de régénération de l’organisme, ou le risque accru d’infarctus et de cancers lié à la prise de médicaments visant à faire baisser le taux de cholestérol. Un taux de cholestérol trop bas peut en effet conduire à un arrêt circulatoire mortel.
 
Les sujets atteints présentent à des degrés divers, proportionnels au déficit en cholestérol, des troubles cognitifs ou des troubles de l’intelligence pour parler simplement.

Anti-cholestérol

les traitements anti-cholestérol sont 3 à 5 fois plus cancérigènes que le tabac ou l’amiante.
 
J’affirme que le cholestérol n’est pas dangereux, et sur ce point, en effet, j’ai des contradicteurs. S’ils veulent être crédibles, ils doivent d’abord être indépendants. Et quand ils ne le sont pas, je l’écris. Ce n’est pas une coïncidence que plusieurs soient cités dans mon livre: ils le doivent à leurs liens avec l’industrie

Cholestérol et cancers : les laboratoires savaient
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
 
la FA est une arythmie qui favorise les embolies cérébrales !
 
la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.
 
Réseau international de cholestérol sceptiques
Les médicaments anti-cholestérol font perdre la mémoire et augmentent le risque de diabète
Ces effets secondaires sont jugés suffisamment sérieux pour que décision soit prise de modifier les notices de ces médicaments. Le Dr de Lorgeril ironise en signalant qu'avec les autorités sanitaires Françaises, on peut s'attendre à une telle alerte vers "2015-2016 au mieux".
 
les fibrates et les statines provoquent tous des cancers chez l’animal.
 
Toutes les statines sont donc à mettre dans le même panier ?
Et aussi tous les autres traitements et diététiques anti-cholestérol car si on peut sans doute identifier des médicaments anti-cholestérol plus cancérigènes que les autres, c’est aussi et surtout le fait d’avoir un cholestérol bas qui favorise les cancers, quelque soit la façon dont ce cholestérol a été abaissé. Jusqu’à preuve du contraire, et conformément au Principe de précaution, je pense qu’il faut admettre que tous les traitements anti-cholestérol favorisent les cancers, et d’autant plus que l’on s’acharne plus à diminuer le cholestérol.
 
la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.
 
Les effets secondaires les plus connus des statines sont les dommages au foie et les problèmes musculaires, mais ces médicaments sont aussi associés, entre autres, à des changements au niveau de la mémoire, de la concentration et de l'humeur.
 
les bénéfices ne sont pas au rendez-vous
 
The Cholesterol Myth
Le mythe du cholestérol
 
Les médicaments anti-cholestérol et la politique de santé publique
 
Quand les médicaments tuent : La cérivastatine, aurait fait 7 577 décès dans le monde.
 
Des chercheurs rapportent une explication possible pour les symptômes d'anxiété et de dépression présents chez certaines personnes prenant des médicaments anti-cholestérol de la famille des statines et certaines personnes suivant un régime alimentaire faible

 

C’est une très grave erreur car ces médicaments – en plus de leur toxicité musculaire bien connue et fréquente – ont des effets toxiques silencieux, sournois et torpides (ils favorisent l’émergence des cancers), ou d’une extrême nuisance en termes de qualité de vie puisqu’ils altèrent nos capacités cognitives, notre humeur (dépression pour les uns, irritabilité pour les autres) et surtout peuvent gravement inhiber, voire ruiner, notre vie sexuelle. On montre que les statines perturbent gravement la vie sexuelle des patients jusqu’à, par exemple, multiplier par sept le risque de troubles de l’érection chez les hommes. Mais en plus d’altérer la physiologie de la sexualité masculine et féminine, les statines peuvent avoir un effet anesthésiant sur nos…

Les médicaments anti-cholestérol augmentent le risque de diabète et provoquent des troubles de la mémoire et des difficultés de concentration, quel que soit l'âge
les statines sont des médicaments dangereux (en plus d'être inefficace)

Tous les traitements anticholestérol favorisent le cancer
En conséquence, la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.

retrait du marché du médicament anti-cholestérol Tredaptive du groupe pharmaceutique Merck
L'EMA relève de son côté que le Tredaptive, également vendu en Europe sous les marques Pelzont et Trevaclyn, a fait l'objet d'une nouvelle évaluation qui a fait apparaître une augmentation du nombre des effets secondaires indésirables "non mortels, mais sérieux".

En 1962, le Tripanorol, un médicament réduisant le taux de cholestérol, a été retiré du marché
lorsqu'on s'est rendu compte qu'il avait engendré plusieurs effets secondaires, entre autres la cataracte

 

Les statines sont une classe de médicaments  sur ordonnance utilisées pour la réduction du cholestérol. Les médicaments comme le Mevacor, le Zocor, le Pravachol, le Lipitor, le Crestor réduisent la production de cholestérol dans le foie, et pendant des années ils ont été considérés comme une sorte de pilule miracle qui peut atténuer l’un des problèmes de santé les plus courants de notre société moderne. Cependant, les statines ont aussi des effets secondaires graves. La FDA à exprimé sa préoccupation à ce sujet. Elles peuvent conduire au diabète, à des lésions cérébrales, à une insuffisance hépatique et à la mort précoce. A long terme, elles peuvent conduire à une toxicité du foie, à l’inflammation musculaire, et même à des cataractes. Elles peuvent interagir avec le plus commun des aliments, et la combinaison peut se révéler mortelle. Par exemple, le pamplemousse peut augmenter la rapidité d’absoprtion des statines dans le sang, conduisant à des lésions musculaires irréparables.
 
Il suffit en général d’arrêter le médicament pour aller mieux. On ne compte pas les témoignages de gens (y compris sur ce blog) qui ont vu des parents ou des proches « guérir » de leur maladie d’Alzheimer dès lors qu’ils avaient arrêté leur statine …

Anti-cholesterol statines

Lipitor (atorvastatine) Lescol (fluvastatin) Lescol (fluvastatine) Mevacor (lovastatin) Mevacor (lovastatine) Pravachol (pravastatin) Pravachol (pravastatine) Zocor (simvastatin) Zocor (simvastatine) Crestor (rosuvastatin) Crestor(rosuvastatine) cérivastatine (Baycol)

STATINES ET CHOLESTEROL : ILLUSIONS SCIENTIFIQUES ET MEDICALES : Les statines sont des médicaments qui abaissent le cholestérol du sang. Sont-ils utiles pour empêcher l’infarctus et diminuer la mortalité cardiovasculaire ?

«Eh bien, quand j'ai eu la troisième crise cardiaque, un médecin s'est penché sur moi à l'hôpital et il m'a dit:« Ne reprends plus jamais ce genre de choses. Cela va te tuer », a déclaré Gullicksen. «J'ai dit: mon médecin de famille m'a dit de continuer à le prendre.
 
Avec 10 ans d’expérience derrière nous, nous avons appris qu’il ya quelque chose de spécial à propos de Tahor / Lipitor (atorvastatine). Il y a quelque chose à propos de la composition de ce médicament qui permet de se démarquer de tous les autres statines sur un point remarquable – Tahor / Lipitor semble avoir une plus grande tendance que tous les autres de causer des effets secondaires cognitifs. Si vous êtes sur Lipitor – atorvastatine – ou envisagez de démarrer sur Tahor /  Lipitor, vous devez lire mon livre – Lipitor Voleur de mémoire. Vous devez connaître la véritable héritage de Lipitor.

 

Réseau international de cholestérol sceptiques
 
Les Statines exposent les patients à des médicaments dangereux aux effets secondaires débilitants.
 
Effet Diabétogène des statines
Une étude observationnelle finlandaise parue dans Diabetologia relève une hausse du risque de diabète de 46% sous statine en population générale masculine, la plus forte hausse jamais rapportée.

CRESTOR - Mensonges et propagande publique
Vous avez un taux élevé de cholestérol ce qui signifie que vous présentez un risque de faire une attaque cardiaque ou un accident vasculaire cérébral." => FAUX, un taux élevé de Ch est un marqueur de substitution. On s'en fout de "corriger un chiffre".
 
Je ne suis pas sûr que les fabricants de statines avaient l’intention d’escroquer au début, mais ils n’étaient pas non plus désireux de renoncer à un marché annuel de 30 milliards de dollars facilement. Il y a beaucoup de médecins sincères, bien intentionnés et profondément convaincus qui continueront de soutenir la théorie que le cholestérol alimentaire et les graisses saturées provoquent des maladies cardiaques.
Ils vont continuer à croire que les médicaments pour diminuer le cholestérol vont traiter avec succès et prévenir les maladies cardiaques, en dépit du fait qu’une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) [*analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux États-Unis avec une crise cardiaque a démontré que près de 75% avait un taux de cholestérol « normal ».*]

statines et effets débilitants

Les Statines exposent les patients à des médicaments dangereux aux effets secondaires débilitants.
 
Mais l’intérêt primordial de cette étude est, à mon humble avis, que les auteurs étaient partis avec l’hypothèse de démontrer que les statines diminuent le risque de cancer du sein ; et ils ont trouvé le contraire ! Obligés d’admettre mais un peu perdus !
 
ces molécules, réputées jusqu’à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l’usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n’ont malheureusement pas pris le temps de lire l’ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
 
WorstPills.org : LA MEILLEUR INFORMATION MONDIALE. Public citizen, organisation d'intéret public sans but lucratif.Nos médecins et pharmaciens analysent les données propres de la FDA

les statines augmentent de 71% le risque de diabète chez les femmes post-ménopausées
Une nouvelle étude démontre que les femmes qui prennent des statines ont un risque 48% plus élevé d’avoir le diabète.
 
L'utilisation de statines pourrait avec le temps promouvoir le cancer, l'insuffisance cardiaque chronique
 
les firmes distillent la peur pour ériger le cholestérol en maladie et vendre sciemment des médicaments inefficaces
 
Quand les médicaments tuent : La cérivastatine, aurait fait 7 577 décès dans le monde.
 
Les médicaments anti-cholestérol et la politique de santé publique
 
brusquement retiré du marché en aout 2001, l'anticholesterol a provoqué 7577 décès dans le monde
 
Et maintenant, comprenez-vous, Grand-mère, pourquoi votre médecin vous a mise sous statine? moi non plus !
 
pharmacritique
 
Parlons statines
 
témoignage
 
dysfonction cognitive, la neuropathie, la rhabdomyolyse, la dépression, la neuropathie et l'hépatite
 
Réseau international de cholestérol sceptiques
 
Zocor et d'autres statines ont été associées à des lésions musculaires, connue sous le nom de myopathie

crestor : rhabdomyolyse (dégradation musculaire)
Santé Canada recommande que tous les patients qui prennent du Crestor® ou tout autre médicament réducteur de cholestérol devraient s'en tenir à la dose minimale permettant de réussir le traitement.

STATINES ET DIABETE ! NOUVELLE ALERTE : INTENSE "ENFUMAGE" EN COURS !
les statines ne protègent pas les diabétiques
 
L’utilisation de statines pourrait avec le temps promouvoir le cancer, l’insuffisance cardiaque

les statines détruisent les reins
Des chercheurs canadiens ont démontré que prendre des doses élevées de statines augmentait de 34% le risque d'hospitalisation pour insuffisance rénale aigue
 
Les effets indésirables les plus fréquents des statines sont les myalgies
 
les résultatsont été plus souvent les utilisateurs de statines (15,9%) par rapport aux témoins (8,6%). Après ajustement pour les facteurs de risque cardio-vasculaire et l’utilisation de concomitant, l’utilisation de statines était associée à un risque accru d’incident de la PR (OR ajusté, 1,71 (IC 95% 1,16 à 2,53), p = 0,007).  Une tendance constante du risque augmentant avec la durée cumulée a augmenté, cumulatif de doses journalières définies et le nombre d’ordonnances n’a pas été observé.  Toutefois, une légère tendance entre la puissance de traitement par statine et le risque de la PR a été trouvé.
Conclusions :L’utilisation des statines semble être associée à un risque accru de développer la PR.  Nos résultats doivent être reproduits par d’autres études.
 
pourquoi personne ne vérifie cette évidence et continue-t-on  de prescrire une statine pour la prévention de l’accident vasculaire cérébral ?
 
On pourrait être tenté de voir les statines naturelles (par exemple la levure de riz rouge)  comme une bonne alternative et bien non, un statine reste un statine !

Anti-cholesterol fibrate

Les fibrates, médicaments anti-cholestérol de première génération : Bézafibrate : Béfizal®, Fénofibrate : Lipanthyl®, Fégénor®, Sécalip®, Ciprofibrate : Lipanor®, Gemfibrozil : Lipur®

Ce médicament a été testé pendant 5,3 ans sur une population de grandes villes européennes sur des hommes d'âge mur en bonne santé
La mortalité dans le groupe traité a été 1,74 fois plus grande que dans le groupe sous placebo, avec une validité statistique très forte! Après la fin du traitement, la surmortalité du groupe traité s'est résorbée progressivement

ET LES "AUTRES" MEDICAMENTS ANTI-CHOLESTEROL ? UTILES OU NUISIBLES ? EFFICACES OU TOXIQUES ?
Dans la deuxième catégorie, on a la famille des fibrates généralement prescrit pour diminuer le cholestérol ou les triglycérides [le plus célèbre en France est le Lipanthyl*, prescrit depuis des décennies sans la moindre évidence scientifique que ce soit utile à la santé] ; et la famille des glitazones [parmi lesquels on trouvait l'Actos* et l'Avandia*] plutôt réservés aux diabétiques ... et qui baissent effectivement le glucose dans le sang mais qui, en termes de santé, ne servent à rien sinon à empoisonner nos patients. Et ceux qui ont arrêté leur statine depuis longtemps se souviennent du scandale de l'AVANDIA ...
 
Comme le cite les auteurs dans la conclusion de l’étude, le chlofibrate est inefficace !
 
Comme on peut le constater, le chlofibrate est inefficace ! La mortalité toutes causes etant légèrement supérieure avec le Gemfibrozil qu’avec le placebo sur 5 ans.
Sans compter, l’augmentation de 22% de la mortalité toutes causes et celle de 67% des cancers constaté lors du follow-up sur 8,5 ans !
 
Comme on peut le constater, le chlofibrate est inefficace ! La légère baisse des décès par maladie cardiovasculaire étant plus qu’annulée par l’augmentation des décès par AVC; ce qui, au final, revient à constater que l’on décède plus avec le Bézafibrate qu’avec le placebo!
 
Après 30 ans de recherche fondamentale et clinique et une grande partie du travail, il est devenu évident en 1978 environ que clofibrate n’ était pas un médicament approprié à utiliser pour réduire les taux de cholestérol élevé de plasma et de LDL et de morbidité et de mortalité par maladie coronarienne. Les effets positifs étaient de petite taille et les effets négatifs inacceptables grande. Pourtant, il était le seul médicament hypolipémiant disponibles dans les années 1960.
 
En 1954, Jean Cottet, chercheur français, constate que des ouvriers agricoles auvergnats qui ont inhalés un pesticide utilisés dans les champs alentours ont vu leur taux de cholestérol s’effondrer. Il en parle à un chimiste de la société anglaise ICI. Celui-ci identifie le potentiel de cette découverte, et synthétise un composé dérivé de ce pesticide, le clofibrate. Il contacte alors Michael Oliver (pas Michel !), médecin anglais qui s’intéressait beaucoup au cholestérol. Ce dernier teste le produit sur des rats puis des patients et confirme la baisse du cholestérol obtenu grâce au clofibrate.
L’Organisation Mondiale de la Santé confie en 1964 à Michael Oliver l’organisation d’un grand essai clinique pour évaluer l’effet du clofibrate sur la prévention de l’infarctus chez 15000 hommes européens ayant un taux de cholestérol élevé. Les espoirs sont immenses, et à l’époque, on évaluait encore les politiques de santé publique avant de les mettre en oeuvre…
Malheureusement, c’est un désastre : les hommes traités meurent plus que les « témoins » sous placebo. Le nombre de cancers et de calculs de la vésicule augmente également chez les patients sous clofibrate par rapport à ceux sous placebo. Le clofibrate termine brutalement sa carrière, alors que l’industrie pharmaceutique est déjà en train de commercialiser d’autres médicaments cousins du clofibrate. Or, les essais cliniques avec ces nouveaux fibrates donnent des résultats tout aussi négatifs.
Un laboratoire français, Fournier, trouve alors LA solution : il commercialise le fenofibrate, vendu sous le nom de Lipanthyl, et ne réalise aucune étude pour démontrer que son médicament épargne des vies ou des accidents cardiovasculaires mortels. Le Lipanthyl fait baisser le cholestérol, point ; les médecins et les patients devront se contenter de cette information. Inutile de courir le risque de devoir publier une étude défavorable à ce médicament. L’argent économisé est judicieusement investi dans la promotion directe du produit auprès des médecins.

Les médecins

Je suis un médecin de famille à la retraite et ancien astronaute scientifique de la NASA.
statines, cancer...
Le dangereux mensonge du cholestérol
 
Le mythe du cholestérol : De nouvelles recommandations de traitement du cholestérol transforment des gens bien-portants en malades.
 
Le cholestérol n'est pas à l'origine des maladies cardiovasculaires.
 
Le Dr Rath a découvert la relation entre les maladies cardiaques et une carence en vitamines. Ses découvertes ont montré que les maladies cardio-vasculaires ont exactement la même origine que le scorbut clinique (une carence en vitamine C dans les cellules qui constituent les parois artérielles).

Cholestérol? Connais pas! par le docteur Zaffran marc (martin Winckler)
je ne fais pas doser mon cholestérol.

Mikael Rabaeus  Cardiologue/Interniste
le cholestérol, un mythe à déconstruire

Justice et anticholesterol

Le 14 Janvier 2008, le New York Times a rapporté que d'un essai clinique de Zetia visant à démontrer que le médicament pourrait réduire la croissance des plaques de dépôts gras dans les artères plutôt montré une croissance de plaques
Déjà 1,1 milliard de dollars ont été dépensés pour régler près de 3000 cas à l’amiable.
 
de graves effets secondaires tels que la maladie musculaire grave et insuffisance rénale mortel...
 
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Quelques livres

En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !

Cholestérol, mensonges et propagande
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien !
 
Or, et c’est l’objet essentiel de ce livre, les vrais responsables de toutes ces dérives sont nos mille cliniciens universitaires, dont le bagage scientifique, contrairement à ce qu’ils prétendent, est extraordinairement réduit, spécialement dans les disciplines liées au médicament et à son évaluation, biochimie, pharmacologie et statistiques. La plupart n’ont pas la moindre idée de la réalité. Ils ne lisent, au mieux, que le titre et la brève conclusion des articles scientifiques et croient s’informer à travers les bavardages de couloir ou les présentations-minute des congrès médicaux, sans jamais remonter aux sources ni faire de lecture critique, attentive, calculette en main, des grands journaux anglo-saxons falsifiés par l’industrie et présentés de façon à la servir. Ces universitaires-là constituent une masse inerte, toujours prête à avaler les couleuvres et convaincus que les médicaments les plus récents et les plus chers sont les meilleurs, alors que c’est malheureusement presque toujours l’inverse.Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.Ce livre raconte l’histoire des leaders d’opinion clé aux États-Unis ou ailleurs dans le monde et en sélectionne, en France, une trentaine, dans les disciplines représentant les plus grands marchés, cardiologie, cancérologie, rhumatologie et psychiatrie. Pièces en main et nominalement, sont décrites leurs activités au service d’une industrie dont, universitaires et fonctionnaires de l’État, ils sont devenus les employés. »
 
ce médecin dresse un véritable réquisitoire contre la "course folle" à la baisse du taux de cholestérol."
 
L’arnaque du méchant cholestérol et des bonne statines Certes, le ‘grand mythe du cholestérol‘ n’est pas le premier livre sur le sujet (voir par exemple ‘Cholestérol, mensonges et propagande‘ ou encore ‘La vérité sur le cholestérol‘). Mais il est un fait que toutes les études confirme l’ineptie de ce concept, ce que vient brillement expliquer cet ouvrage. Il est assez étonnant que de nos jours, certains cardiologues et médecins en soit encore à prescrire des statines avec largesse, au mépris de toutes les études scientifiques à charge. Les auteurs ne manque pas de rappeler l’ énorme chiffre d’affaire généré par ce business ‘statinien’… Faut-il le redire ? Le Cholestérol est une molécule essentielle à notre métabolisme, et en aucun cas, comme le démontre les auteurs, responsable de la formation de la plaque d’athérome, et encore moins des maladies cardio-vasculaires en général! Quand aux statines, après avoir lu cet ouvrage fort pédagogique sur le sujet, vous ne les regarderez probablement pas d’un œil bienveillant…

La vérité sur le cholestérol (prf p Even)
Il a analysé 45 essais cliniques sur ces médicaments pour conclure que "d’une manière ou d’une autre, et souvent de plusieurs manières, chaque essai multiplie les pièges, les illusions, les non-dits, les chausse-trapes et pour tout
 
vous apprendrez comment des décennies de recherche, publiés dans le monde des revues médicales les plus prestigieuses, montrent clairement que la campagne anti-cholestérol est un farce !
 
•Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont

 

De plus en plus de médecins, et de patients, ont des doutes concernant l’efficacité réelle des médicaments anti-cholestérol, notamment les statines, pour se protéger des maladies cardiovasculaires.
On montre que les statines perturbent gravement la vie sexuelle des patients jusqu’à, par exemple, multiplier par sept le risque de troubles de l’érection chez les hommes.

Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, Philippe Even
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales?
Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs.

Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia..
 
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.

Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : "voila un exemple flagrant d'une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l'augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d'enfants mouraient à la naissance et...Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l'équation, l'espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans !"

pharmageddon (anglais) : l'hisoire d'une tragedien par le prof david Healy
les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre....
...Cet exemple d'un berger d'innocents dans les champs des massacres pharmaceutiques ne est pas un incident isolé. L'espérance de vie aux États-Unis, le pays qui consomme la plupart des derniers médicaments vitaux est en chute rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant dix fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans.
 
Le surdiagnostic. Rendre les gens malades par la poursuite de la santé
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
 
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
Némésis Médicale. L’expropriation De La Santé de Ivan Illich
la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
 
COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER **** (anglais uniquement) du docteur Vernon Coleman
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
 
La nouvelle dictature médico-scientifique : L’emprise des lobbies sur notre santé de Sylvie Simon
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr.
 
La mafia pharmaceutique et agroalimentaire de Louis de Brouwer
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financier. Des médicaments, des vaccins, des biens de consommation dangereux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. Le Dr Louis De Brouwer, par une documentation rigoureuse, n’hésite pas à démontrer l’existen
 
Votre santé n’intéresse que vous
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
 
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financier. Des médicaments, des vaccins, des biens de consommation dangereux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. Le Dr Louis De Brouwer, par une documentation rigoureuse, n’hésite pas à démontrer l’existence de fraude, d’abus de confiance et d’escroquerie au sein de notre système de santé.
 
le livre noir du médicament
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
 
La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer du dr Marcia Angell
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
L’intox : Quelques vérités sur vos médicaments
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
 
Les dérives de l’industrie de la santé
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
 
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
 
Est-il vrai que se faire tester pour trouver un cancer à ses débuts est une des meilleures façons de se garder en santé ? Dans ce livre vivant et bien documenté, un expert renommé en dépistage du cancer conteste une des croyances les plus robustes de la médecine : la meilleure défense contre le cancer est de le traiter tôt. La lecture de ce livre incitera à un peu plus de scepticisme à propos des dépistages les plus communs comme la scanographie du corps, la mammographie et le test de l’antigène prostatique spécifique. Combinant l’expérience de patients et les informations les plus récentes sur les cancers les plus courants, le Dr H. Gilbert Welch montre pourquoi le dépistage du cancer de gens en bonne santé est une épée à deux tranchants : bien que ces tests puissent aider, leur effet est remarquablement minuscule et ils peuvent même faire du tort. S’appuyant sur un domaine peu sinon mal connu de la recherche médicale, il discute des pièges du dépistage : il peut rater des cancers, conduire à des traitements inutiles; le dépistage peut aussi distraire l’attention des médecins d’autres problèmes importants. Les conclusions du DrWelch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer.
 
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
 
Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
 
La mafia blanche : comment les médecins et l’industrie pharmaceutique de mettre notre santé en danger
Des millions de personnes sont apparemment dus à un parce qu’arbitrairement défini, haut cholestérol traités avec affectent l’athérosclérose pouvait être pas prouvé jusqu’à aujourd’hui et la réduction peut même blesser les gens.
 
Les faussaires de la science, de Hans Ruesch
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
 
Mafia Pharma : médecins et patients sous l’emprise de l’industrie pharmaceutique
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
 
Prescription pour un désastre
Avec 100.000 décès annuels, un million de blessés graves et un autre deux millions lésés lors de l’hospitalisation, les réactions indésirables aux médicaments se classent comme l’un des plus grands dangers pour l’homme dans la société moderne.

Pétitions

URGENT : CHOLESTEROL et STATINES la PETITION

Un taux faible de cholestérol induit de la dépression, le suicide, des lésions musculaires, de la perte de mémoire, de grave troubles neurologiques et une mauvaise santé en générale.

Escroquerie : abaisser le taux de cholestérol pour vendre des médicaments (240 à 200)

Médicaments anti-cholestérol : la grande manipulation

Les nouveaux jackpot de l'industrie pharmaceutique : Dont les anticholestérols

L'horrible vérité sur les médicaments anticholesterols : les anticholesterols provoquent le cancer (entre autres)

Les statines tuent des millions de personnes

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La vérité sur le cholestérol : Arrêtez les statines !

 

Les anti-cholestérols ne servent à rien

Philippe Even dénonce l'imposture du cholesterol

Les statines provoquent Alzheimer !

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Cholestérol : conférences avec le docteur Michel de Lorgeril

Effets secondaires des statines

« Mon médecin m'a prescrit Lipitor, et après plusieurs mois, j'ai trouvé que j'avais de la difficulté à me rappeler des noms et à venir avec le mot juste. Au dîner une fois, j'ai dit: "S'il vous plaît laissez-passer l'éléphant," alors que je ne voulais que le pain. J'ai dit à mon mari que je pensais avoir eu un accident vasculaire cérébral. En Janvier, un ami est venu nous voir. Elle était inquiète au sujet de sa mémoire et ne pouvait pas penser à sa fille le nom sur le téléphone. Elle a aussi été le Lipitor. J'ai demandé à mon médecin de prescrire un taux de cholestérol médecine . Dans quelques semaines, j'ai été plus alerte mentalement. Mais mon ami (toujours sur Lipitor), a été dans une situation pire et la peur, elle perdrait son emploi. Son médecin lui a dit que les toubles de mémoire ne peuvent pas être due à la drogue. Elle a finalement cessé de prendre Lipitor et est maintenant beaucoup mieux ".
Cohen écrit qu'il n'a jamais entendu plus de plaintes sur les effets secondaires de Lipitor que tous les autres médicaments de sa catégorie, combiné.

Cholestérol : des médicaments qui entretiennent la maladie !

Le système médico-pharmaceutique veut persuader les populations que le cholestérol est une cause majeure d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux (attaques cérébrales), c’est faux !
Pourquoi raconte-t-il ça ? Pour vendre plus de médicaments anti-cholestérol, les statines.
Une personne de plus de 45 ans sur trois, en France (soit huit millions de personnes) prennent des statines. Cela coûte une fortune à la Sécurité Sociale (un milliard d’euros par an). Les ventes augmentent depuis 10 ans.
Mais ce qu’on ne vous dit pas, c’est que le cholestérol n’est pas un poison. Et les personnes sous statines mettent leur santé en danger, parce que ces médicaments s’accompagnent d’une liste longue comme le bras d’effets secondaires débilitants – de l’insuffisance cardiaque aux douleurs musculaires, en passant par les pertes de mémoire et les lésions du foie.
En revanche, une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux Etats-Unis avec une crise cardiaque a démontré que près de 75 % avait un taux de cholestérol « normal ».
Une conspiration pour vous maintenir malade
Pourquoi ni les médecins, ni les chirurgiens, ni les hôpitaux, ni les sociétés pharmaceutiques – et si peu de personnes dans les professions médicales – n’accepte de dire la vérité sur les statines ?
Pourquoi ne veulent-ils pas que vous sachiez que les médicaments qui diminuent le taux de cholestérol provoquent de si nombreux effets secondaires, sans pour autant protéger contre les maladies cardiovasculaires ?

Il y a plusieurs raisons.

D’une part, ce serait des milliers de grands cardiologues et de grands professeurs de médecine qui devraient publiquement reconnaître qu’ils se trompent depuis trente ans et ça, croyez-moi, ce n’est pas facile… Actuellement, toute personne critiquant ces politiques ou en désaccord avec elles est étiquetée comme hérétique, ignorée et ridiculisée. L’extraordinaire livre du cardiologue Michel de Lorgeril sur les moyens naturels de prévenir l’infarctus, qui vient de paraître, a été totalement ignoré par la presse. Uniquement parce qu’il dénonce, arguments scientifiques à l’appui, une vérité qui dérange trop le monde médical.
Michel de Lorgeril est pourtant chercheur au CNRS et il a écrit des centaines d’articles dans les plus grandes revues scientifiques. Son livre contient toutes les informations les plus en pointe sur la recherche, et d’innombrables conseils vitaux et rassurants pour les personnes qui craignent pour leur cœur et leurs artères. (Pour en savoir plus, cliquez ici).

Vu l’importance de ces révélations pour des millions de malades en France, ce silence des médias est inexplicable.
D’autre part, la médecine est devenue, malheureusement, un affaire de gros sous. Et si vous ne prenez pas de médicament… ou si vous prévenez les maladies ou si vous guérissez vous-même naturellement… ni eux ni ne gagneront pas un centime.

Le nutriment qu’ils veulent vous cacher

Parmi les effets indésirables des statines, un des plus pernicieux est que votre organisme est significativement vidé de ses réserves de coenzyme-Q10 (CoQ10).
Le CoQ10 intervient dans vos mitochondries, qui sont les petites centrales électriques fournissant à vos muscles l’énergie qui leur permet de se contracter.

Or, quel est le principal muscle de votre organisme, celui dont vous avez le plus besoin ? C’est votre cœur, évidemment.

Le CoQ10 est indispensable au fonctionnement des muscles, et votre cœur est votre muscle le plus vital.

Prétendre soigner votre cœur en vous vidant de vos réserves de CoQ10, c’est comme si un garagiste escroc vous trafiquait le moteur de votre voiture en vous promettant de meilleures performances, tout en vous volant, derrière votre dos, l’essence du réservoir !!

Si vous prenez des médicaments qui vous font baisser votre taux de CoQ10 – et c’est le cas de la plupart des médicaments qui font baisser le cholestérol – il est important de compenser en prenant des suppléments de CoQ10 par voie orale.
Trop peu de médecins en informent aujourd’hui leurs patients. C’est inacceptable.

Le cholestérol est bon pour la santé

Le cholestérol est souvent vilipendé par l’establishment scientique et médical, mais le fait est que c’est un composant essentiel de votre corps. En fait, des niveaux réduits de cholestérol sont corrélés à des problèmes de santé, en particulier des hémorragie cérébrale (attaque), autrement dit une artère qui éclate dans votre cerveau provoquant un saignement qui provoque instantanément une paralysie (ou rend aveugle, fait perdre la mémoire, etc.).
Mais un taux de cholestérol réduit a aussi été mis en relation avec un risque plus élevé de cancer.
Le lien entre risque de cancer et cholestérol bas a été établi de façon récurrente par les études scientifiques, à tel point qu’il faut considérer comme absurde et dangereux de se réjouir d’avoir un cholestérol bas, et plus encore de chercher à l’atteindre par une alimentation pauvre en graisses ou, pire encore, par des médicaments.
Certains scientifiques ont essayé de démontrer que ce lien entre faible cholestérol et risque plus élevé de mortalité était le résultat d’une « causalité inverse ». Autrement dit, ce seraient les maladies chroniques comme le cancer qui seraient la cause de la baisse du taux de cholestérol, et non l’inverse (hypothèse d’Iribarren).
Mais cette hypothèse a été écartée après plusieurs études épidémiologiques, qui ont suivi sur de longues périodes (19 et 20 ans) des personnes ayant un faible taux de cholestérol. (1)

Pour un bon taux vitamine D, vous avez besoin de cholestérol

Une explication possible de ce lien entre faible taux de cholestérol et cancer, est que le cholestérol est l’ingrédient de base de la vitamine D ; la vitamine D est en fait du cholestérol qui a subi une modification chimique dans la peau sous l’effet des rayons du soleil.
Or, la vitamine D joue un rôle crucial dans la régulation de la reproduction cellulaire. Un manque chronique de vitamine D peut favoriser le développement anarchique des cellules, et donc de tumeurs cancéreuses.
Un autre indice que la manque de cholestérol peut provoquer le cancer est qu’une étude sur quatre ans a établi que la combinaison de deux médicaments anti-cholestérol, la simvastatine et l’Ezétimibe, était aussi corrélée avec un risque augmenté de cancer. Lorsqu’ont été utilisés les résultats de trois études dans lesquelles la simvastatine et l’Ezétimibe étaient prises en association, le risque de décès par cancer était augmenté de 45 %.

Mais ce résultat a été mis de côté par les scientifiques qui, de façon surprenante, l’ont attribué au « hasard ».

A noter qu’un dossier Santé Nature Innovation sur le cholestérol a été publié au mois de février 2012. C’est, à ma connaissance, la meilleure synthèse qui ait été faite sur le sujet, dans un style facile et agréable à lire.

Vous pouvez recevoir ce dossier aujourd’hui, si vous vous abonnez à Santé Nature Innovation. Pour cela, cliquez ici.

A votre santé !
Jean-Marc Dupuis

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Sources de cet article :

(1) Alawi A, et al. Statins, Low-Density Lipoprotein Cholesterol, and Risk of Cancer. Journal of the American College of Cardiologists 2008;52(14):1141-7

- Yang X, et al. Independent associations between low-density lipoprotein cholesterol and cancer among patients with type 2 diabetes mellitus. Canadian Medical Association Journal 2008;179(5):427-437

- Schatzkin A, et al. Serum cholesterol and cancer in the NHANES I epidemiologic followup study. National Health and Nutrition Examination Survey. Lancet 1987;2:298-301
- Rossebo AB, et al. Intensive lipid lowering with simvastatin and ezetimibe in aortic stenosis. N Engl J Med. 2008;359(13):1343-56

- Peto R, et al. Analyses of cancer data from three ezetimibe trials. N Engl J Med. 2008;359(13):1357-66

Les médecins sont des négationnistes !

Effets secondaires médicamenteux : l'habituel déni des médecins
 

EFFETS SECONDAIRES : LES PREUVES QU'ON NOUS CACHE

Le 28 août 2007, nous apprenions par l’agence Reuters que, très souvent, les médecins éliminent les déclarations de leurs patients sur les effets secondaires des médicaments.

Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait  y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient.

Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré : «Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés. Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets »

Les conséquences les plus graves des statines sont des atteintes du foie, et des problèmes musculaires, sans compter que les statines sont impliquées, parmi d’autres dommages, dans les pertes de mémoire, de concentration, et les sautes d’humeur.


La réaction des médecins est primordiale car les problèmes musculaires risquent de s’aggraver jusqu’à une condition rare mais fatale appelée « rhabdomyolyse » si la prise du médicament n’est pas immédiatement arrêtée.


Les chercheurs ont constaté, au cours de leur investigation, que c’est presque toujours le malade et non le médecin qui soulève ce problème.

 

Parmi les patients avec des pathologies musculaires ou cognitives, 47 % d’entre eux signalent que leurs médecins ont vigoureusement nié que les symptômes rapportés pouvaient avoir un lien avec les statines, alors que 51 % des patients ayant des neuropathies périphériques – un type de douleurs musculaires affectant les extrémités – ont constaté les mêmes dénégations.
 
Dans l’ensemble, 32 % des patients ont rapporté que leurs médecins ont affirmé qu’il « ne pouvait y avoir de lien » , 39 % ont estimé que « cela pouvait être possible » et que 29 % n’ont ni admis ni rejeté cette possibilité ».
 

Les enquêteurs ont été surpris d’apprendre qu’autant de médecins avaient refusé cette possibilité.

 

Bien que cela n’ait pas été le but de l’enquête, le Dr Golomb a noté qu’il n’existe de la part de l’industrie pharmaceutique « aucun intérêt parallèle d’être certaine que les médecins sont avertis des effets secondaires » alors qu’elle est certaine d’avoir le dernier mot au sujet des bénéfices engendrés par les médicaments qu’elle vend.

Le Dr Golomb a ajouté : « les patients devraient être prévenus des risques engendrés par les médicaments qu’ils absorbent et ceux qui constatent que leurs médecins ne remplissent pas leurs devoirs devraient s’adresser ailleurs pour être soignés. Ils devraient toujours choisir un médecin qui semble les écouter ». (cf.Drug Safety, août 2007)

Malheureusement c’est loin d’être le cas, car la parole du médecin est souvent considérée comme celle de Dieu lui-même, et l’on ne met jamais en doute la parole de Dieu.

Quoi qu’il en soit, si les médicaments étaient testés sérieusement et non sur des animaux, différents de l’homme comme nous le répétons sans cesse, ces médicaments n’auraient jamais été acceptés sur le marché. C’est bien là le problème, le « marché » et la « croissance » étant bien plus importants que la santé humaine.

Sylvie Simon

Médicament anti-cholestérol interdit aux USA toujours en vente

Témoignages sur les effets secondaires des statines

Un témoignage absolument renversant se retrouve sur le blogue de Mike Eades aujourd'hui. En fait, il est tellement révélateur et touchant que j'ai pris la liberté de le traduire en français pour que le plus de gens possible puissent en prendre connaissance.

Si vous parlez anglais svp lisez le texte original qui est beaucoup plus authentique, émotif, touchant qu'une traduction peut jamais l'être.

Voici donc le texte.

Je voudrais partager avec vous mon expérience avec les statines [une catégorie de médicaments prescrits pour réduire le taux de cholestérol]. Je m’excuse à l’avance de la longueur de mon témoignage, mais le portrait complet des conséquences de la simple prescription de cette pilule miracle nécessite une attention aux détails dans ce cas.

Ma vie fut chamboulée lors d’un examen de routine chez le médecin.

Mon résumé médical : Je suis à l’époque un homme de 56 ans, sédentaire (travail en informatique), libido normale, provenant du sud des Etats-Unis, plutôt relax comme personne. Je mesure 6 pieds, pesais 212 lbs à ce moment. Fumeur depuis des années, mais ayant un bagage génétique favorable à une longue vie. Capacité pulmonaire normale, pression sanguine de 118/65 au repos (debout et assis), tension à 64. Je ne suivais aucun régime particulier – j’avais une alimentation typique du sud. Je ne prenais aucuns suppléments non plus. J’étais généralement en bonne santé : à part quelques spasmes musculaires dans le dos, rien à signaler. Aucunes allergies, résultats d’électrocardiogramme et électroencéphalogramme normaux, composition sanguine, thyroïde et foie fonctionnant également correctement.

Mais, UN test révèle que mon niveau de triglycérides est élevé, à 287 [mg/dl]. Mon cholestérol total est 149, HDL 37, LDL 55, glucose 89.

Mon médecin me prescrit du Vytorin 20 mg . Résultat : Triglycérides 175, cholestérol total monte à 214, HDL 40, LDL descend à 139.


Ensuite, Vytorin 40mg. Résultat : Triglycérides 199, total 144, HDL 40, LDL 64.


Puis Crestor (une statine différente) 10mg. Résultat : Triglycérides 98, total 141, HDL 45, LDL 76, glucose 103.

Je mentionne à mon médecin que ma libido et mon niveau d’énergie ont baissé. Celui-ci me suggère de faire de l’exercice. Je commence donc à prendre des marches rapides de 2 1/2 miles tous les matins, activité que je maintiens toujours aujourd’hui depuis neuf mois. .

Les pertes d’énergie et de libido s’accentuent. Mon médecin me prescrit du Effexor XR 75mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je me plains de nervosité anormale et de fatigue continue. Ma dose d’Effexor est augmentée à 150 mg et mon médecin me prescrit du Benztropine 1mg, Lorazepam 2mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement. Dose d’Effexor augmentée à 225mg, Benztropine 2mg, Lorazepam 4mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à avoir de la douleur aux muscles et articulations. On rajoute Darvocet au cocktail pharmaceutique, ce qui aide à diminuer la douleur, mais je souffre de plus en plus de la baisse d’énergie et de libido (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon médecin me fait passer à Cymbalta 60 mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à subir des crises d’anxiété et de panique (ce que je n’avais jamais subi en 56 ans). J’ai du annuler un voyage d’affaire parce que j’étais paniqué à l’idée de devoir prendre l’avion. J’ai pourtant pris l’avion durant toute ma vie adulte. Mon médecin ajoute Seroquill 100mg à mon mélange quotidien, augmente Cymbalta à 90mg, Lorazepam à 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement, alors on me change encore de combinaison. Je prends maintenant Wellbutrin XL 150mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon anxiété devient constante. Les crises de panique s’estompent, mais j’ai des sueurs, je suis faible, n’ai plus de libido, et je fais maintenant de l’insomnie. J’ai commencé à perdre l’appétit et perd rapidement du poids. Les douleurs musculaires et articulaires reviennent si j’oublie de prendre mon Darvocet. On augmente ma dose de Wellbutrin à 300mg, rajoute Aderall 30mg et commence à prendre du Ibuprofen 600mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Les symptômes empirent, alors je décide de changer de médecin. Le nouveau docteur arrête le traitement d’Adderall et de Wellbutrin et me prescript du Prozac 20mg et du Xanex 25mg comme remplacement. L’anxiété est maintenant intermittente, mais je continue à m’affaiblir, à maigrir, à n’avoir aucune énergie et à avoir des douleurs musculaires et articulaires. On augmente la dose du Prozac à 40 mg. Aucune amélioration.

Le nouveau médecin me donne du Paxil 20 mg. L’anxiété me prend moins souvent, mais tous les autres symptômes empirent. La dose de Paxil est augmentée à 40 mg. Mes crises d’anxiété s’évaporent presque complètement; je prends du Xanex à l’occasion pour m’aider à dormir. Par contre je me réveille toujours en sueurs et épuisé le matin venu. Ma faiblesse devient chronique et m’empêche de fonctionner normalement. En combinant ces problèmes avec une vue nouvellement embrouillée et la détérioration de ma capacité de compréhension, il est devenu impossible pour moi d’accomplir mes tâches au travail (je prends toujours Crestor 10 mg).

On m’envoie chez un psychiatre car j’ai tous les signes d’être en dépression. Le psy juge que je n’ai pas besoin de thérapie, que mes symptômes sont dus à un débalancement chimique, et me remet sur le Prozac 20 mg, remplace Xanex par Lunesta et me prescrit du Provigil 200mg. Mon anxiété revient à l’occasion; on me dit de prendre du Xanex si ça arrive. Ma capacité de compréhension semble revenir à la normale, mais je me sens de plus en plus faible et je maigris à vue d’œil. De plus mon mollet et mon pied droits deviennent régulièrement engourdis (je prends toujours Crestor 10 mg).

Ma partenaire de marche, une vendeuse de produits pharmaceutiques à la retraite, remarque que je bouette légèrement lors de nos marches. On discute de ma santé chancellante. Elle me demande si je prends des statines. Je lui réponds que je prends Crestor 10 mg. Elle veut ensuite savoir si on m’avait conseillé de prendre des suppléments de Co-Q10, vitamines B et vitamine C ; je lui réponds que non. Elle suggère que je commence à en prendre immédiatement et d’examiner la situation avec mon médecin au plus vite. Comme j’ai un rendez-vous chez le psy qui s’en vient, je décide de lui poser la question. Le psy semble d’accord avec mon amie et trouve étrange que personne ne m’ait conseillé de prendre ces suppléments. Il s’empresse toutefois de vanter les mérites de Crestor, en particulier pour la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le psy augmente ma dose de Provigil à 300mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Deux jours plus tard, je m’effondre lors de notre marche matinale ; mes jambes et genoux étaient trop faibles pour me soutenir et mon pied droit est devenu paralysé. Après m’avoir reconduit chez moi de peine et de misère, mon amie me suggère de cesser de prendre Crestor (progressivement sur deux semaines, car un arrêt soudain me mettrait à risque de faire un ACV), de prendre plus du supplément CoQ10 et d’aller voir un médecin au plus vite. Je suis sensé partir en voyage d’affaire pendant 4 semaines et je ne peux vraiment pas manquer celui-ci après avoir dû annuler le dernier. Je décide quand même de suivre ses conseils. La douleur est atroce durant les 2 premières semaines ; je dois me gaver de Darvocet, hydrocodone et ibuprofen pour la soutenir. Je peux à peine marcher ou faire des tâches pourtant faciles.

Mes collègues trouvent que j’ai l’air de quelqu’un qui vient de faire une crise cardiaque. J’ai l’air mort, j’ai perdu énormément de poids, mes capacités mentales sont grandement diminuées et j’ai de la difficulté à bouger.

Les symptômes s’améliorent drastiquement au cours des 2 semaines qui suivent.

Durant mon voyage et depuis mon retour j’ai eu la chance de faire beaucoup de recherche sur internet. J’ai aussi parlé à des gens qui ont vécu une expérience similaire à la mienne avec les statines. Ce que j’ai trouvé est absolument épeurant. Des centaines et centaines d’histoires d’horreur concernant les statines. Des patients ignorants qui n’ont aucune idée que leurs symptômes (dépression, épuisement, douleurs) puissent être causés par les statines.

Après avoir partagé les résultats de mes recherches avec ma partenaire de marche, elle m’informe que les fabricants de ces médicaments sont au courant des effets secondaires de leurs produits, et qu’ils planifient même combiner les vitamines CoQ10, B et C directement avec les statines. Les compagnies pharmaceutiques commencent à peine à informer les médecins qu’ils devraient suggérer à leurs patients de prendre ces suppléments s’ils sont traités aux statines, me dit-elle. Elle m’informe aussi que ça pourrait me prendre de six mois à un an pour récupérer des effets secondaires que j’ai subis, mais que les suppléments allaient m’aider.

Dans toute cette histoire :

J’ai perdu 42 lbs, passant de 212 à 170 lbs, principalement de la masse musculaire. J’ai perdu du muscle de partout, même dans mes mains! J’ai aussi perdu environ 50% de ma force ; je ne peux plus marcher, me concentrer, réfléchir clairement.

J’ai du supporter un épuisement absolu, une libido inexistante. J’avais perdu tout appétit, j’étais dépressif, pris d’anxiété, d’insomnie et douleurs atroces.

J’ai été diagnostiqué avec et/ou traité pour de l’anxiété généralisée, de la dépression, de l’arthrite, de l’insomnie, des dysfonctions érectiles. On m’a tâté, examiné, et finalement dit que je passais par les étapes normales du vieillissement. On m’a envoyé chez le psychiatre.

Je suis passé très près de perdre mon travail.

Tout ça pourquoi? Parce qu’un nombre, une statistique était un peu élevé au goût d’un médecin et que celui-ci a décidé que je devrais prendre des statines. Statines qui, je l’ai découvert lors de mes recherches approfondies, ne contribuent en rien à la diminution de la mortalité chez ceux qui les prennent.

Je suis revenu de mon voyage d’affaire depuis 5 jours et j’ai cessé de prendre du Crestor depuis 3 semaines déjà. Je prends mes suppléments en quantité adéquate et suis une diète beaucoup plus saine.

J’ai recommencé mes marches rapides tous les matins, mais je suis ankylosé comme si c’était la première fois. J’ai retrouvé 75% de l’usage de mon pied droit et ça s’améliore de jour en jour. Je n’ai qu’une douleur occasionnelle à la jambe.
Je me sens un peu mieux chaque jour. Je récupère mes forces physiques et mentales. Je suis par contre absolument terrifié à l’idée de retourner chez mon médecin, même si c’est simplement pour vérifier mon niveau de cholestérol. Je recherche maintenant un chiropraticien pour traiter la douleur que j’ai à la jambe.

 

Témoignage 2

Les statines sont un médicament particulièrement horrible. Ils provoquent plus de 200 effets secondaires (par conception). Ce qui est horrible, c'est qu'ils vous traitent pour une condition qui a été inventée et qui n'est pas réelle. « L'hypercholestérolémie » n'est pas une condition valide à moins qu'elle ne dépasse 450 mg/dl. Certaines personnes sont si durement touchées par ces médicaments (comme le gars ci-dessous) qu'elles ne s'en remettent jamais complètement :

Vu sur facebook : Il y a 19 ans hier, le 10 octobre 2002, j'ai été admis à l'hôpital UW Madison dans un état semblable à celui de la maladie d'Alzheimer en phase terminale, je ne pouvais pas marcher, je ne pouvais pas parler de manière cohérente, je ne pouvais pas me nourrir, ni communiquer le besoin d'utiliser les toilettes, alors je me suis mouillé et souillé pendant les 4 semaines suivantes. Je n'ai pas reconnu ma femme, mon fils de 2 ans Andrew, mes parents, frères et sœurs ni amis qui sont venus me rendre visite. J'ai eu une IRM de mon cerveau, montrant de multiples lésions dispersées dans toute la substance blanche de mon cerveau, j'ai eu une biopsie cérébrale révélant des trous dans mon cerveau que les médecins considéraient comme une encéphalomyopathie spongiforme, (variante humaine de la maladie de la vache folle), Microscopie électronique m'ont révélé les trous de l'apoptose neuronale (mort cellulaire programmée), ainsi que d'une mutation de l'ADN mitochondrial ressemblant le plus à une encéphalomyopathie mitochondriale avec acidose lactique et épisodes similaires à un AVC (MELAS), les médecins ont préparé ma femme et ma famille à ma mort (à 34 ans ) jusqu'à ce que je sois évalué par un professeur invité de Johns Hopkins qui m'a initié à un cocktail mitochondrial lorsque dans les 24 heures suivant ma première dose, j'ai commencé à être capable de reconnaître ma femme et mes parents, je pouvais verbaliser le besoin d'aller aux toilettes, J'ai pu répondre à des questions simples, et quelques jours plus tard, j'ai obtenu mon congé le 7 novembre 2002, avec un diagnostic d'"encéphalite virale"... Je me suis accroché à ce diagnostic parce que je savais que je serais de retour au travail. k dans quelques mois... ou du moins je le pensais. Quelques semaines après notre sortie, ma femme et moi regardions Good Morning America et Diane Sawyer interviewait le Dr Beatrice Golomb de l'UCSD et discutait de l'étude sur les effets des statines qu'elle menait, et ma femme m'a demandé de m'inscrire, ce à quoi j'ai répondu « chérie, j'étais infirmière en soins intensifs et « savait » tout ce qu'il y avait à « savoir » sur ces médicaments , mais grâce à sa persévérance et à son pouvoir de persuasion, j'ai appelé l'Université de Californie à San Diego et je me suis inscrit, j'ai fait envoyer mes dossiers médicaux, y compris les biopsies cérébrales et musculaires, les IRM, etc. , j'ai reçu un appel téléphonique du Dr Golomb qui m'a informé que j'étais l'un des nombreux patients de son étude avec des évolutions de maladie étonnamment similaires, des résultats de biopsie similaires, etc. l'UC Irvine (qu'elle a qualifié d'un des meilleurs experts en maladies mitochondriales du pays, qui a estimé que mon utilisation de Lipitor était le facteur causal des trous dans mon cerveau, des mutations mitochondriales et de la neuropathie périphérique. Mon cœur coulé alors que je J'ai pensé aux centaines, voire aux milliers de patients dont je m'occupe, à qui j'avais inconsciemment donné ces médicaments (Statines). Je suis tombé dans une profonde dépression (que je ne souhaite à personne). Et c'est à ce moment-là que j'ai commencé à consacrer chaque moment libre que j'avais à la recherche de la physiopathologie derrière cela, seulement pour découvrir que nous avons TOUS été entraînés dans ce qui était sans aucun doute devenu la plus grande arnaque de l'histoire du monde... la théorie du cholestérol derrière le cœur maladie, par conséquent en délirant et en délirant constants au sujet des MENSONGES, nous sommes continuellement alimentés par la "science pharmaceutique" également connue sous le nom de "Science du chéquier". pour éduquer tout le monde que je peux quant à la VÉRITÉ, que le cholestérol ne cause pas et n'a jamais causé de maladie cardiaque. Alors merci à tous d'avoir supporté mon barrage constant d'informations sur les statines/cholestérol. Si vous voulez connaître la vérité sur ces médicaments misérables et le sophisme derrière la théorie de la causalité du cholestérol dans les maladies cardiaques, je vous recommande vivement un livre du Dr Barbara Roberts MD, une cardiologue de plus de 30 ans qui a écrit « La vérité sur les statines : risques et alternatives aux médicaments hypocholestérolémiants"

Témoignage (traduction automatique) :

"Les statines sont des médicaments particulièrement horribles. Ils provoquent plus de 200 effets secondaires (par conception). Ce qui est horrible, c'est qu'ils vous traitent pour une condition qui a été inventée et qui n'est pas réelle. « L'hypercholestérolémie » n'est pas une condition valide à moins qu'elle ne dépasse 450 mg/dl. Certaines personnes sont si durement touchées par ces médicaments (comme le gars ci-dessous) qu'elles ne s'en remettent jamais complètement :

Vu sur facebook :

Il y a 19 ans hier, le 10 octobre 2002, j'ai été admis à l'hôpital UW Madison dans un état semblable à celui de la maladie d'Alzheimer en phase terminale, je ne pouvais pas marcher, je ne pouvais pas parler de manière cohérente, je ne pouvais pas me nourrir, ni communiquer le besoin d'utiliser les toilettes, alors je me suis mouillé et souillé pendant les 4 semaines suivantes. Je n'ai pas reconnu ma femme, mon fils de 2 ans Andrew, mes parents, frères et sœurs ni amis qui sont venus me rendre visite. J'ai eu une IRM de mon cerveau, montrant de multiples lésions dispersées dans toute la substance blanche de mon cerveau, j'ai eu une biopsie cérébrale révélant des trous dans mon cerveau que les médecins considéraient comme une encéphalomyopathie spongiforme, (variante humaine de la maladie de la vache folle), Microscopie électronique m'ont révélé les trous de l'apoptose neuronale (mort cellulaire programmée), ainsi que d'une mutation de l'ADN mitochondrial ressemblant le plus à une encéphalomyopathie mitochondriale avec acidose lactique et épisodes similaires à un AVC (MELAS), les médecins ont préparé ma femme et ma famille à ma mort (à 34 ans ) jusqu'à ce que je sois évalué par un professeur invité de Johns Hopkins qui m'a initié à un cocktail mitochondrial lorsque dans les 24 heures suivant ma première dose, j'ai commencé à être capable de reconnaître ma femme et mes parents, je pouvais verbaliser le besoin d'aller aux toilettes, J'ai pu répondre à des questions simples, et quelques jours plus tard, j'ai obtenu mon congé le 7 novembre 2002, avec un diagnostic d'"encéphalite virale"... Je me suis accroché à ce diagnostic parce que je savais que je serais de retour au travail. k dans quelques mois... ou du moins je le pensais. Quelques semaines après notre sortie, ma femme et moi regardions Good Morning America et Diane Sawyer interviewait le Dr Beatrice Golomb

de l'UCSD et discutait de l'étude sur les effets des statines qu'elle menait, et ma femme m'a demandé de m'inscrire, ce à quoi j'ai répondu « chérie, j'étais infirmière en soins intensifs et « savait » tout ce qu'il y avait à « savoir » sur ces médicaments , mais grâce à sa persévérance et à son pouvoir de persuasion, j'ai appelé l'Université de Californie à San Diego et je me suis inscrit, j'ai fait envoyer mes dossiers médicaux, y compris les biopsies cérébrales et musculaires, les IRM, etc. , j'ai reçu un appel téléphonique du Dr Golomb qui m'a informé que j'étais l'un des nombreux patients de son étude avec des évolutions de maladie étonnamment similaires, des résultats de biopsie similaires, etc. l'UC Irvine (qu'elle a qualifié d'un des meilleurs experts en maladies mitochondriales du pays, qui a estimé que mon utilisation de Lipitor était le facteur causal des trous dans mon cerveau, des mutations mitochondriales et de la neuropathie périphérique. Mon cœur coulé alors que je J'ai pensé aux centaines, voire aux milliers de patients dont je m'occupe, à qui j'avais inconsciemment donné ces médicaments (Statines). Je suis tombé dans une profonde dépression (que je ne souhaite à personne). Et c'est à ce moment-là que j'ai commencé à consacrer chaque moment libre que j'avais à la recherche de la physiopathologie derrière cela, seulement pour découvrir que nous avons TOUS été entraînés dans ce qui était sans aucun doute devenu la plus grande arnaque de l'histoire du monde... la théorie du cholestérol derrière le cœur maladie, par conséquent en délirant et en délirant constants au sujet des MENSONGES, nous sommes continuellement alimentés par la "science pharmaceutique" également connue sous le nom de "Science du chéquier". pour éduquer tout le monde que je peux quant à la VÉRITÉ, que le cholestérol ne cause pas et n'a jamais causé de maladie cardiaque. Alors merci à tous d'avoir supporté mon barrage constant d'informations sur les statines/cholestérol. Si vous voulez connaître la vérité sur ces médicaments misérables et le sophisme derrière la théorie de la causalité du cholestérol dans les maladies cardiaques, je vous recommande vivement un livre du Dr Barbara Roberts MD, une cardiologue de plus de 30 ans qui a écrit « La vérité sur les statines : risques et alternatives aux médicaments hypocholestérolémiants" "

Comment font ils pour nous vendre n'importe quoi, un exemple : le complot des anticholestérols

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