Phénothiazines / bleu de méthylène / neuroleptiques cachés ou non

A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)
 
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Phénothiazine

Phénothiazine
« Les prisonniers politiques en Russie soviétique ont été torturés avec des «antipsychotiques» phénothiazines » « En Russie,c’est de la la torture. En Amérique, c’est de la « thérapie ».
 
La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène, découvert sept ans plus tôt par Paul Ehrlich.
 
composé C12H9NS utilisé comme vermifuge et insecticide en particulier en medecine veterinaire
différents dérivés de la phénothiazine (comme chlorpromazine) qui sont utilisés comme tranquillisant agents surtout dans le traitement de la schizophrénie
 
Taractan, Emergil, Etumine, Loxapac, Largactyl, Plégicil, Psyquil, Nozinan, Tercian, Témentil, Terfluzine, Majeptil, Moditen, Trilifan, Oxaplumine, Melleril, Neuleptyl, Leptryl, Piportil.
Les phénothiazines à action antiallergique :
Théralène, Noctran, Mépronizine, Supponizine, Mandrax, Donormyl, Phénergan, Insomnyl.
Les phénothiazines à action antitussive :
Théralène, Doxergan, Centrophène, Cotrane
 
Les neuroleptiques (également appelés « antipsychotiques ») agissent sur les neurones, ces cellules formant le cerveau et le système nerveux. Les neurones communiquent entre eux grâce à des molécules, les neurotransmetteurs, qui font office de « messagers » en sautant d’une cellule à l’autre à très grande vitesse. Chaque neurone possède des « récepteurs », qui permettent de recevoir des molécules, ainsi que des « émetteurs », qui envoient une autre molécule au neurone suivant. Les neuroleptiques agissent en bloquant partiellement la réception d’un des neurotransmetteurs les plus importants, la dopamine (Les neuroleptiques dits « atypiques » agissent également sur les récepteurs d’une autre molécule, la sérotonine). Les molécules du médicament viennent se placer sur une partie des récepteurs, les empêchant de recevoir les molécules de dopamine. Jusqu’à 70% de ces récepteurs peuvent être bloquées lors d’un traitement à doses élevées. L’intensité des impulsion nerveuses, et, donc, des sentiments (peur, colère, joie…), est ainsi diminuée. Mais les neurones réagissent au traitement: de nouveaux récepteurs à la dopamine peuvent apparaître durant le traitement ce qui cause de sérieuses difficultés au sevrage se traduisant pas une hypersensibilité intolérable. Les neuroleptiques sont généralement prescrits sur une longue période, souvent à vie. Pourtant, leurs effets indésirables sont nombreux: difficultés de coordination, troubles de concentration, prise de poids, tremblements. Certaines séquelles peuvent être définitives, la plus connue étant la dyskinésie tardive, qui se traduit notamment par des contractions involontaires et incontrôlables de la langue et du visage. Les aspects désagréables d’un traitement aux neuroleptiques sont tels que ces médicaments ne devraient être administrés qu’en cas de nécessité absolue – or, c’est le contraire qui se passe actuellement.

Bleu de méthylène, ou chlorure de méthylthioninium

Bleu de méthylène, ou chlorure de méthylthioninium

Le bleu de méthylène, ou chlorure de méthylthioninium, est un dérivé de la phénothiazine à la fois médicament et colorant dont l’action repose sur les propriétés rédox. Il a été préparé pour la première fois par Heinrich Caro en 1876
 
Les IMAO interagissent avec plusieurs médicaments sérotoninergiques, incluant les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) (p. ex., la paroxétine) et les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine et de la norépinéphrine (IRSN) (p. ex., la venlafaxine), et ce type d’interaction entraîne un niveau élevé de sérotonine1-3. L’augmentation de ce neurotransmetteur peut causer le syndrome sérotininergique , une condition potentiellement mortelle accompagnée de fièvre,
 
Cette découverte a été le tout début de la révolution de la «lobotomie chimique»

Neuroleptiques : castrateurs chimiques, bloqueurs de testostérone

Avant l'apparition des traitements anti-androgènes, les neuroleptiques (découverts en 1952) ont été utilisés, faute de mieux, dans cette indication ainsi que le terme de « castration neuroleptique réversible » (1966)
 
La dysfonction sexuelle est une maladie fréquente chez les patients prenant des médicaments antipsychotiques, avec une prévalence déclarée de 45 à 80% chez les hommes et de 30 à 80% chez les femmes
 
Un effet secondaire possible est la dyskinésie tardive, un type de mouvement répétitif du patient ne peut pas contrôler. d’autres effets secondaires des neuroleptiques comprennent la dysfonction sexuelle ou de la perte de la libido, prise de poids, une agranulocytose dysfonctionnement du système immunitaire appelé, induite par le médicament et la psychose dysphrenia tardive, dans laquelle un médicament neuroleptique aggrave l’état du patient
 
J’appellerais volontiers les antipsychotiques des “antihumains” dans la mesure ou ils altèrent la possibilité de vivre une vie normale et enrichissante, la capacité de lire, de penser, de se concentrer, d’être créatif, de ressentir et d’avoir une vie sexuelle.

Neuroleptiques / bleu de méthylène : l’histoire

neuroleptique : l’histoire

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://bipolarblast.wordpress.com/2007/10/03/a-timeline-for-neuroleptics/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dph%25C3%25A9nothiazine%2Bhistory%2Binsecticide%2Bbreggin%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dcom.ubuntu:fr:unofficial%26hs%3Dhbj

par robert Whitaker
http://www.freedom-center.org/pdf/whitakercaseagainstneuroleptics.pdf

Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
by Robert Whitaker
http://www.amazon.com/Mad-America-Medicine-Enduring-Mistreatment/dp/0738207993/ref=pd_bbs_sr_1/105-0169461-4253274?ie=UTF8&s=books&qid=1191338773&sr=8-1

Une histoire des neuroleptiques

Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13

Histoire préclinique

1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.

1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.

1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.

1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.

 

Histoire clinique : les neuroleptiques classiques

 

1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.

1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.

1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés  » dyskinésie tardive « .

1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.

1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.

1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.

1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.

1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.

1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.

1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou « lésions cérébrales postencéphaliques « .

1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.

1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.

1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.

1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés  » psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques « .

1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.

1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.

1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.

1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.

1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.

1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.

1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.

1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.

1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.

1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.

1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.

1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.

1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.

1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.

1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.

1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.

2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.

2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.

Médicaments & Allongement de l’Intervalle QT : risque cardiaque mortel

Les médicaments ayant un effet anti-androgénique comportent un risque cardiaque tel qu'un allongement de l'intervalle QT et des torsades de pointe, confirme une étude française publiée lundi dans Circulation.

Médicaments & Allongement de l’Intervalle QT

Risque élevé chez les plus de 65 ans

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Risque de syndrôme sérotoninergique

Tercian / cyamémazine : dépresseur du SNC • sédatif puissant / antipsychotique

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Médicaments anticholinergiques : danger !

Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire….
Les médicaments anticholinergiques, pris très couramment, causent des problèmes cognitifs en moins de 60 jours chez les personnes âgées, selon une étude financée par le National Institute on Aging américain et publiée dans la revue Alzheimer’s & Dementia.Ces médicaments bloquent l’acétylcholine, un neurotransmetteur du système nerveux. Un effet similaire est constaté avec 90 jours d’utilisation continue de plusieurs médicaments ayant un effet anticholinergique plus faible.Ils incluent des médicaments en vente libre (tels que des somnifères et des médicaments contre les fuites urinaires) et des médicaments prescrits (tels que des médicaments contre l’hypertension et les maladies cardiovasculaires).
L’étude, publiée dans la revue JAMA Internal Medicine, revue par les pairs , a révélé que la prise de ce type de médicaments avait entraîné une augmentation de près de 50% des probabilités de démence chez les adultes de 55 ans et plus.
…Ces effets étaient jusqu’à présent considérés comme réversibles à l’arrêt du traitement. Cependant une étude publiée ce 26 janvier 2015 dans la revue scientifique américaine  » JAMA Internal Medicine  » et menée par une équipe l’Université de l’Etat de Washington à Seattle (Etats-Unis) *, vient de conclure que ce n’est pas toujours le cas et que la consommation prolongée par des patients âgés de certains de ces médicaments anticholinergiques, les antidépresseurs tricycliques, les anti-histaminiques de 1ère génération , et anti-muscariniques, pouvaient être associée à un risque de démence irréversible
L’étude a porté sur 3 434 patients âgés de plus de 65 ans, qui ont consommé ces médicaments pendant 10 ans, et dont aucun ne souffrait de démence au début de l’étude. Les chercheurs ont constaté que 23,2 % avaient développé des symptômes de démence, dont la Maladie d’Alzheimer chez 79,9% d’entre eux. L’origine médicamenteuse possible de cas démence irréversibles et de la Maladie d’Alzheimer chez les patients soumis pendant de longues périodes à ces médicaments semble ainsi établie.
Les effets secondaires anticholinergiques peuvent induire une perte d’autonomie, une diminution de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité [8] . Ils peuvent être parfois mineurs, temporaires ou survenir comme conséquence d’une condition préexistante du patient. Cependant, pris dans leur ensemble, ils peuvent avoir des suites dramatiques sur l’état de santé de la personne âgée. En particulier, les effets atropiniques peuvent entraîner une confusion et amplifier le risque d’apparition de troubles de la mémoire
….Les médicaments anticholinergiques sont considérés comme potentiellement inappropriés chez les sujets âgés
Le syndrome anticholinergique ou atropinique est dû à une substance type atropine qui inhibe les effets de la stimulation de la fibre post-ganglionnaire du parasympathique et possède, à doses plus élevées, une action excitatrice centrale (effet anti-muscarinique). Cela donne une opposition aux effets bradycardisants de l’acétylcholine, une action antispasmodique au niveau des fibres musculaires lisses du tube digestif et des voies biliaires et urinaires, ralentissant la vidange gastrique et diminuant les sécrétions gastriques, salivaires et lacrymales, sudorales.
Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les chercheurs.
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).
Les agents anticholinergiques dans le viseur
C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l’activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d’handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments – qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d’ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d’incontinence – et le risque de décès.L’étude biennale de l’incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil  » Recherche  » (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d’étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l’enquête de l’anticholinergiques apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d’Anticholinergics le cerveau en bloquant l’acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont l’activité anticolinergic. D’Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
origine médicamenteuse de la démence
révèle comment et pourquoi les traitements médicaux eux-mêmes – en particulier, médicaments psychotropes – sont une cause importante de la dégénérescence du cerveau et la mort prématurée.Une première en son genre-ressources pour les patients et les cliniciens, cet ouvrage intègre les résultats des recherches de l’épidémiologie (études d’observation des patients dans le «monde réel»), la biologie fondamentale (expérimentation animale), et la science clinique (études de neuroimagerie et l’autopsie) afin de démontrer les effets démence et mortelle de médicaments psychiatriques.  Mis en valeur par plus de 100 neuro-images, des diapositives de spécimens de tissus, et des illustrations, le livre décrit de façon unique: Ø les racines sociétales du problème (organes cibles, l’incompétence de réglementation, et la performativité) Ø les sous-types et les causes essentielles de la démence Ø les tendances, la prévalence et les causes de la démence associée à des antidépresseurs, antipsychotiques, anxiolytiques, stabilisateurs de l’humeur, et les stimulants et Ø les actions et les réformes dont les patients, les fournisseurs, et la politique
Malgré l’absence évidente de logique, l’utilisation concomitante d’un inhibiteur de l’acétylcholinestérase et d’un anticholinergique est très fréquente
Le site
Antihistaminiques, antihypertenseurs, anticholinergiques, antidépresseurs,antipsychotiques et tranquillisants mineurs peuvent avoir un effet négatif sur la fonction sexuelle
 
anticholinergique a 10mn45


Antipsychotiques - La vérité non révélée

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Dysfonction sexuel permanent provoqué par les neuroleptiques

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Neuroleptiques atypiques : 62000 morts par an et condamnation de Lilly

« IL FAUT INTERDIRE LES NEUROLEPTIQUES «

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Les neuroleptiques tuent

 » les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées »
 

 

Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
 
« Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation était, des essais cliniques, « plus que tous les autres médicaments psychotropes dans l’histoire. »
 

Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa

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Les neuroleptiques tuent

Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
La toxicité des médicaments antipsychotiques, également connu sous le nom de neuroleptiques, est bien documentée.Les antipsychotiques atypiques ont semblés moins dangereux parce qu’ils produisent moins de dyskinésies. Nous savons maintenant que les nouveaux médicaments entraînent plus de maladies cardiovasculaires, qui est de loin la première cause de mortalité des personnes dans le système public de santé mentale.
Les techniques d’imagerie montrent que les médicaments antipsychotiques provoquent des lésions cérébrales. Les études animales et humaines ont relier la drogue au rétrécissement du cortex cérébral qui abrite les fonctions supérieures. Une étude sur les singes a qui l’ont a donné soit les plus anciens ou les plus récents médicaments neuroleptiques en doses équivalentes à celles des hêtres humains ont montré un rétrécissement de 11 à 15 pour cent du lobe pariétal gauche. Les médicaments qui causent des dommages au cerveau, presque invariablement, réduisent, l’espérance de vie.
 
Les personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de la santé mentale l’ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.

« les antipsychotiques ne sauvent personne, ils tuent les gens »

Les nouveaux neuroleptiques, de deuxième génération, dit, atypiques, sont encore pire que les anciens

« ..20 ans de vie en moins…Les nouveaux neurolepitques, de deuxième génération, dit, atypiques, sont encore pire que les anciens »
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Mort sous traitement

« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créé la maladie faussement diagnostiquée »

« LES DROGUES PSYCHIATRIQUES SONT BIEN PLUS DANGEREUSES QUE LES DROGUES ILLEGALES »

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