AZT et assimilés / SIDA /VIH

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"L'AZT n'aide pas, mais il vous tue" c'est "le sida sur ordonnances" dr claus Köhnlein

 

Mensonge & Vérité

Les mensonges du traitement du VIH

23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne

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Témoignages

Médicaments inefficaces, dangereux, mortels Le sida sur ordonnance

LE SIDA par Sylvie Simon
 
Les médicaments du sida
« Les médicaments employés dans le traitement du SIDA sont les causes établies d’immuno-déficience. L’AZT tue aussi bien les cellules saines que les cellules malsaines. L’AZT est inutile si ce n’est pour commettre des meurtres légaux. »
 
La Vérité sur l’AZT
En 1964 un chercheur américain en quête de traitements anticancéreux met au point l’AZT. Mais la molécule tombe dans l’oubli. Pourquoi ?
Parce que des tests d’AZT sur des souris cancéreuses ont montré que l’AZT détruisait si efficacement les cellules saines en croissance que les souris finissaient par mourir en raison de la grande toxicité du produit. L’AZT a donc été mise de côté, et aucune demande de brevet n’avait été déposée.
 
"Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA »."
 
Les enfants qui refusaient ou ne respectaient pas les règles ont été envoyés à l'hôpital de Columbia et des sondes d'alimentation y ont été installées afin que les sociétés pharmaceutiques puissent administrer les médicaments même lorsque les enfants ont riposté. Au moins 85 de ces enfants sont morts pendant les expériences. dix
Un cimetière a été trouvé à Hawthorne, New York, avec une fosse recouverte d'un tapis Astroturf qui contenait des centaines de minuscules cercueils empilés avec les corps de ces enfants à l'intérieur, a déclaré Kennedy. "Après New York, il a emmené cette tournée en Afrique et a fini par tuer de nombreuses femmes enceintes et s'en tirer."
 
« ..Il existe des remèdes efficaces à la plupart des infections opportunistes aggravantes. Par contre les médicaments , AZT, ddI, proposés contre le virus lui-même, ont davantage fait la preuve de leurs effets secondaires que de leur efficacité.. »
 
Quel ironie, on ne meurt plus du VIH mais du cancer causé par les traitements  chimiques qui sont là pour vous aider à lutter contre le  sida. On peut dire je pense qu’ils  ne veulent pas nous soigner, juste nous tuer. Dans tout les cas tu finis entre 4 planches, très joyeux.
 
ATTENTION : MET LA VIE EN DANGER (Y COMPRIS FATAL) hépatotoxicité et réactions cutanées
 
Parfois grave et mortelle des réactions d’Hypersensibilité Ont Été associées à Ziagen (abacavir sulfate).
 
 
truvada provoque le syndrome de stevens-jonhson : En mai, 13, 2012: 7.317 personnes ont déclaré avoir des effets secondaires lors de la prise de Truvada. Parmi eux, 65 personnes (0,89%) ont de Stevens-Johnson, syndrome.
 
– syndrome de stevens johnson – syndrome de lyell
 
MEDICAMENTS : DANGER MORTEL  le syndrome de stevens johnson et le syndrome de lyell
 
Des morts associés à l’administration des sulfamides, bien que rares, sont survenues à cause de sévères réactions, y compris syndrome de Stevens Johnson , nécrolyse épidermique toxique, FULMINANTE nécrose hépatique, agranulocytose, anémie
 
« comment ne pas se faire tuer par son docteur »
 
« il est plus difficile d’arrêter les benzodiazépines que l’héroïne » prof Lader 1999
 
antidépresseurs, somnifères, benzodiazépines

Des mères en guerre contre le mensonge, un crime contre l'humanité

Les médicaments antiviraux inutiles, mais lucratifs.

Les traitements efficaces interdits

Les faussaires de la science

Remdesivir : un scandale

Truvada le procès

Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique (le livre paraîtera prochainement en français)

Le sida et l’AZT :"Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté."

En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

« Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

« De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

Fauci anthony

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