Benzodiazépines / somnifères

Somnifères : pilules amères

Mise en garde

«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre,

Note : le problème est quasi le même avec les antidépresseurs.

Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs, de toxicomanes, à long terme.
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 » Je dois dire que ma mère qui prenait du temesta depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s’est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et  s’est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j’ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu’elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m’a prise au sérieux.
Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j’ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s’est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c’était horrible. »
 » Pour ma mère, elle va bien mieux on pourrait dire, mais au prix de deux ans de rééducation pour tout, incontinence, ne plus pouvoir déglutir, ne plus savoir marcher, elle a été très forte.

Mais elle est maintenant considéré comme épileptique, et a un traitement à vie contre l’épilepsie et évidement « 

 
  Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l’anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
NE PAS UTILISER SEROQUEL ET AUTRES NEUROLEPTIQUES POUR LE SOMMEIL OU CONTRE L’INSOMNIE !
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Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créé la maladie faussement diagnostiquée »

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Principales adresses internet benzodiazépines : havlane, seresta, rivotril, tranxène, lysanxia, Rohypnol, valium, temesta, xanax, lexomil, myolastan…et assimillés : stilnox, imovane, stresam, atarax,

NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN ET DE VOS SIGNATURES ! MERCI !
 
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le 7 septembre 2001
Respecter la durée de prescription Elle doit être aussi brève que possible, notamment de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise, de 2 à 5 jours en cas d’insomnie occasionnelle et 2 à 3 semaines en cas d’insomnie  transitoire (excepté pour fluni trazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours).
 
Arrêté du 7 octobre 1991 fixant la liste des substances de la liste I des substances vénéneuses à propriétés hypnotiques et/ou anxiolytiques dont la durée de prescription est réduite1

 
Le site mondial le plus complet en ce qui concerne les benzodiazépines. Le site de ray Nimmo
 
Le groupe de soutien s’appelleront benzodiazépines : coopération pas Confrontation (BCNC). Il s’adressera principalement à ceux qui sont touchés par les prescriptions de benzodiazépines qui fourni une aide partout où c’est nécessaire.
 
en français et anglais
 
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le 7 septembre 2001
 
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
 
RESOLUTION AP (90) 3 RELATIVE A LA PRESCRIPTION DES BENZODIAZEPINES 18 octobre 1990
 
une surprescription et une consommation prolongée des benzodiazépines (médicaments anxiolytiques et hypnotiques) dans les troubles du sommeil et de l’anxiété, alors que les risques liés à ces médicaments sont supérieurs aux bénéfices
 
Le fait que les modalités de déclaration n’aient pas encore été fixées par l’arrêté du ministre chargé de la santé, pris sur proposition du directeur général de l’Afssaps, prévu à l’article R. 5219-15 ne dispense en rien les médecins de cette obligation.
 
"Au total on peut paradoxalement considérer tous les sédatifs comme des anti-sommeils puisque que leur effet inhibiteur de l'éveil s'exerce tout autant sur les mécanismes produisant le sommeil."
 
 
Il est prouvé, par de nombreuses études, que les hypnotiques deviennent objectivement inefficaces lors de l’administration chronique. Cette inefficacité se voit objectivement sur les enregistrementd de sommeil. Après un temps variable allant de 2 semaines
 
L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment, douleurs osseuses...), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil)
 
"Nous sommes unis en esprit par le désir que la vérité éclate enfin au grand jour et pour que d'autres soient épargnés par la douleur que nous avons éprouvée."
 
Tout sur les benzos et le sevrage par le professeur heather Asthon (français)
 
Prévention des toxicomanies liées aux médicaments psychotropes chez les personnes agées, les femmes et les enfants.
 
sans commentaire
 
Liste complète des benzodiazépines marques et molécules (au bas de la premiére page). Les anglais ont plus de 25 ans d'avance sur les français en ce qui concerne la lutte contre les benzodiazépines.
 
Les effets secondaire des médicaments : dépendance aux médicaments, syndrome de sevrage aux médicaments,dommages produient par les médicaments, morts par médicaments.
 
Il est prouvé que l’utilisation régulière de benzodiazépine n’est plus efficace après quelques semaines à quelques mois.
 
Benzodiazépine: l'histoire a une manière inexorable de se répéter. Cela a toujours été une surprise pour moi que nous ayons permis à l'histoire de se répéter en matière de médecine, quand nous pourrions tellement facilement apprendre de nos erreurs.
 
L'ANALYSE DES PRESCRIPTIONS MONTRE QU'IL N'EST ACTUELLEMENT PAS FAIT UN BON USAGE DES MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES EN FRANCE
 
Le manque d'information objective fourni aux consommateurs. Manque de responsabilité légale. Manque d'infrastructure sérieuse et confortable pour le sevrage et surtout de compétences et de connaissances.Les directives de prescription non suivies.
 
"80 % des prescriptions sont le fait de médecins généralistes. Un tiers des prescriptions de psychotropes sont faites de façon inappropriée. Deux tiers des personnes prenant des anxiolytiques n'ont aucun problème psychique particulier"
 
Pour certains utilisateurs chroniques de benzodiazépine, le sevrage peut être trés long. Une importante minorité, peut-être 10% à 15% développent un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines.
 
"C'est un grand problème pour la santé humaine que tant de gens à travers le monde consomment ce type de drogue"
 
Environ 60% des utilisateurs de tranquillisants et de somnifères souffre des effets nuisibles et de sevrage après 2 - 4 semaines d'utilisation.(60 à 80% selon gurli Bagnail, New Zealand)
 
Ce Tableau d'équivalence des benzodiazépines est basé sur la recherche et l'expérience clinique du professeur C Heather Ashton.
 
Comment les drogues psychiatriques fonctionnent vraiment Effets défavorables des drogues sur le cerveau et l'esprit Le rôle de la FDA Pratiques des compagnies pharmaceutiques en matière de médicament. Développements médicaux et légaux récents
 
Un sevrage brusque aux benzodiazépines a comme conséquence un syndrome plus grave et beaucoup plus handicapant. En plus il peut y avoir comme conséquence : Convulsions, qui peuvent avoir comme conséquence la mort 3 4
 
La théorie: l'éthique. La réalité: le cauchemar.
 
références anglaises qui prouve que c'est en parfaite connaissance des choses que les toubibs ont prescrit, prescrivent encore et toujours sur le long terme les benzodiazépines.
 
Des avertissements doivent êtres donnés à la premiére prescription!
 
la réglementation concernant le Rohypnol ®, le Subutex ®, le Temgésic ® et le Tranxène ®.
 
Il est prouvé que l’utilisation régulière de benzodiazépine n’est plus efficace après quelques semaines à quelques mois.
 
Il est prouvé, par de nombreuses études, que les hypnotiques deviennent objectivement inefficaces lors de l'administration chronique. Cette inefficacité se voit objectivement sur les enregistrementd de sommeil. Après un temps variable allant de 2 semaines
 
Professeure C Heather Ashton, DM, FRCP
 
En d'autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé " drogue " et un autre appelé " médicament "par le professeur david Cohen
 
antidépresseurs, somnifères, anxiolitiques...
 
Une personne sur 2  de plus de  70 ans fait usage de  psychotropes en France. 20% des 10 millions de pers onnes  âgées  consomment  de  façon  chronique  des  hypnotiques   ou  anxiolytiques,  tandis  que  la  balance  bénéfice/r isque  leur  est  clairement défavorable, qu’il s’agisse des troubles  du sommeil ou des troubles anxieux.
 
«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre
 
de Patrick Lemoine. Des sources bibliographiques et les principaux sites Internet sur la question.
 
symptoms of dependence withdrawal ...
 
L'article synoptique récent édité par Dupont (soutenu par Upjohn) a reconnu que l'utilisation de benzodiazépine est problématique
 
Les objectifs de la campagne de Beat The Benzo's
 
 
 
Benzodiazépines, effets secondaires et risques
 
"j'ai vu des personnes qui n'étaient pas retablis de leur sevrage aux benzodiazépines et avaient toujours des symptomes des mois et meme des années aprés prés l'arret du traitement.
 
BENZODIAZÉPINES par BAN
 
NE PAS EMPLOYER Eszopiclone (LUNESTA) : Un Non-Ainsi-Nouveau comprimé somnifère(Juillet 2005) Nous recommandons que vous pas employez cette drogue parce qu'elle n'a aucun avantage unique, est coûteuse et a causé le cancer dan
 
The benzodiazepine withdrawal syndrome.
 
De tous les problèmes produits par les médicaments que les médecins prescrivent, la toxicomanie est sans doute l'un des plus gênants. C'est avec le soi-disant tranquillisants «mineur» et somnifères que les médecins ont fait plus de dégâts.
 
les effets de ces drogues légales sont généralement supérieurs à ceux des drogues illégales et génèrent donc des effets plus dévastateurs et débilitant ...
 
il est démontré que les somnifères ne sont efficaces que sur une très courte durée
 
le concept «d'attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax.
 
la mise en circulation des benzodiazépines devenues trop souvent " remède miracle " ou " drogue légale " ou parfois même à la base de massacres, tueries familiales et d'une multitude d'accidents médico-légaux du travail et de la circulation.
 
plus de 15 % les auteurs et victimes d'accidents de la route dans ce pays sous l'influence de médicaments psychotropes cette proportion serait de 20 % aux Etats-Unis.
 
Une revue de la littérature internationale portant sur les cinq dernières années montre que l'exposition à un médicament potentiellement responsable est retrouvée chez 1 % à 10 % des accidentés de la route
 
L’utilisation d’une "aide au sommeil" induit rapidement un état de tolérance.
 
25 à 30 % des adultes en population générale utilisent des anxiolytiques ou des hypnotiques occasionnellement ou régulièrement sur une année.
 
Le sevrage des benzodiazépines est difficile, parfois plus difficile pour le patient qu’un sevrage d’opiacés ou d’alcool. Il doit se faire selon un schéma individualisé et lent, sur des semaines voire des mois (Frare & Perugi 2000).
 
La décision a été publiée au Journal officiel. Sont concernés les médicaments comme estazolam (Nuctalon), loprazolam (Havlane), lormétazépam (Noctamide), nitrazépam (Mogadon), témazépam (Normison), zolpidem (Stilnox), zopiclone (Imovane) et leurs génériques.
 
Le sevrage des benzodiazépines est difficile, parfois plus difficile pour le patient qu’un sevrage d’opiacés ou d’alcool. Il doit se faire selon un schéma individualisé et lent, sur des semaines voire des mois (Frare & Perugi 2000).
 
le fait de supprimer l’indication de ce médicament pour les formes chroniques d’insomnie en 2005 n’a eu aucun effet sur la quantité vendue durant les 5 années suivantes.
il faut retenir que la diminution des doses de Noctran ne doit pas dépasser 10 % de la quantité habituelle pendant les 15 premiers jours. On renouvelle l’expérience pendant 2 autres semaines en respectant la même proportion de diminution. Le patient procèdera ainsi jusqu’à obtenir une dose journalière négligeable au point de pouvoir s’en passer sans séquelle
 
Benzodiazépine: un traitement datant de plusieurs semaines ne doit pas être arrêté brutalement.
 
un site web conçu pour rendre conscient le public des dangers de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem. C’est aussi une base de données mondiale de certaines des victimes de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem.
 
La prescription des hypnotiques et des anxiolytiques doit reposer sur une analyse soigneuse de la situation clinique, en cherchant à séparer ce qui relève des difficultés transitoires et des réactions à une pathologie somatique, de la pathologie psychiatrique confirmée. Elle doit être régulièrement réévaluée et tenir compte des indications de l’AMM, de la fiche de transparence et de l’arrêté du 7 Octobre 1991. Un traitement datant de plusieurs semaines ne doit pas être arrêté brutalement. Dans le cadre de cette prescription :
– Il n’y a pas lieu, dans le traitement de l’anxiété, d’associer deux anxiolytiques (benzodiazépine ou autre).
– Il n’y a pas lieu d’associer deux hypnotiques. – Il n’y a pas lieu de prescrire des anxiolytiques et/ou des hypnotiques sans tenir compte des durées de prescription maximales réglementaires (incluant la période de sevrage) et sans réévaluation régulière. Les durées de prescription doivent être courtes et ne pas excéder : – 4 à 12 semaines pour les anxiolytiques, – 2 à 4 semaines pour les hypnotiques (2 semaines pour le triazolam).
– Il n’y a pas lieu de prescrire un anxiolytique ou un hypnotique sans débuter par la posologie la plus faible, sans rechercher la posologie minimale efficace pour chaque patient, ni de dépasser les posologies maximales recommandées.
 
La durée du traitement doit être la plus courte possible, à la dose efficace la plus faible, sauf si le médecin prescripteur l’indique expressément :pas plus de 12 semaines (y compris la période de sevrage) pour le traitement de l’anxiétépas plus de 4 semaines (y compris la période de sevrage) pour le traitement de l’insomnie.Au-delà de ces durées, les effets favorables des benzodiazépines s’épuisent et des effets secondaires peuvent apparaître.
 
La plus faible dose efficace, individuelle, doit être recherchée et prescrite pour une période limitée, de quelques jours à 4 semaines maximum incluant la période de diminution de la dose.Le cumul de plusieurs médicaments àeffet sédatif est à proscrire : il n’apporte pas d’effet supplémentaire mais potentialise les effets indésirables parfois graves
 
Une personne sur 2 de plus de 70 ans fait usage de psychotropes en France. 20% des 10 millions de personnes âgées consomment de façon chronique des hypnotiques ou anxiolytiques, tandis que la balance bénéfice/risque leur est clairement défavorable, qu’il s’agisse des troubles du sommeil ou des troubles anxieux.
 
Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
 
le site de wayne Douglas
 
facebook
 
20 % des 10 millions de personnes âgées consomment de façon chronique des hypnotiques ou des anxiolytiques
 
La commission d’AMM a reconsidéré le bénéfice/risque de ce médicament et a voté contre son maintien sur le marché
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Ce blog n’est ni possédé ni créé par un médecin ou n’importe quelle autre forme de personnel médical .

Les conseils obtenus à partir dans ce blog ne devront pas être substituées aux conseils d’un médecin qui est bien informé concernant ces thèmes (il n’y en a pas encore en France…). Toutes les informations obtenuent ici seront employées à vos propres risques.Afin d’être en conformité avec la loi française : Nous vous signalons que vous ne devez tenir aucun compte de tout ce qui est dit dans ce site. En cas de maladie, vous devez consulter un médecin et vous conformer à ses prescriptions

 

Les dangers des drogues dures de la famille des benzodiazépines

« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
AVERTISSEMENT : Les comprimés somnifères peuvent être dangereux pour votre santé ou causer la mort par cancer, ou maladie de coeur, ou d’autres maladies
Beaucoup de mensonges de la part du docteur Lemoine patrick, mais aussi quelques vérités, dont: « Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue dans le monde de la psychiatrie. Elle dit ni plus ni moins que la plupart des psychotropes seraient potentiellement cancérigènes. C’est ainsi que la FDA américaine vient de demander des études de carcinogénicité particulières pour les psychotropes.».
The Independent on Sunday vient de lâcher une bombe. Le canard britannique s’est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En 1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd’hui émérite) Malcolm Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L’année suivante, le MRC décidait d’approfondir le sujet pour évaluer l’impact à long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé n’a pas donné suite.
 
«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre,
« …benzodiazépines entraînent des symptômes de sevrage, elles conduisent à l’instabilité affective [et] ils semblent être associés à automutilation…. la baisse des taux de suicide en prison..nous avons cessé de prescrire des benzodiazépines en prison
benzodiazépines / somnifères et alcoolisme iatrogène
réponse : barbituriques/benzodiazépines, alcool
Environ 163000 anciens Américains souffrent de graves déficiences mentales (pertes de mémoire, démence), soit causée ou aggravée par la drogue
Attention, il est inutile et dangereux de prendre simultanément deux anxiolytiques.
certaines personnes deviennent rapidement et sensiblement dépendant physiquement des benzodiazépines après seulement quelques semaines d’utilisation
les généralistes, responsables de 8O% des prescriptions de psychotropes, sont insuffisamment formés au sujet de ces produit
Mais plus vous les prenez plus ils augmentent votre anxiété et perturber votre sommeil.
Dans cette étude, les personnes prenant des benzodiazépines à demi-vie longue ont un risque de démence augmenté de 60%.
L’étude montre que la prise de médicaments de la famille des benzodiazépines durant plus de trois mois pouvait être associée à une augmentation de 51% du risque de développer la maladie d’Alzheimer. Pour une utilisation de plus de six mois, le risque de provoquer la maladie d’Alzheimer augmenterait de 70 à 80 %. En France, plus de 11 millions de Français consomment chaque année des anxiolytiques ou des somnifères. La France est d’ailleurs championne d’Europe ! Pire : le traitement en France dure en moyenne quatre à cinq mois, au lieu des trois recommandés au maximum. Une surconsommation souvent critiquée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Benzodiazépines et démence : limiter les risques par un strict respect des règles de prescription et de bon usage – Lettre aux professionnels de santé
« il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. Il semble juste que la dépendance est si encrassé et les symptômes de sevrage que vous obtenez soyez si intolérable que les gens aient beaucoup de problème a se dégager
« La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine. »
Néanmoins, si tous ces produits sont excellents quand ils sont pris d’une manière discontinue ou occasionnelle, ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
Ne jamais se sevrer brutalement
Les militants veulent que les drogues soit reclassifiées pour refléter à quel point ils sont dangereux Entre 1990 et 1996 les drogues benzodiazépines ont causé 1.810 décès
Clairement, l’URSS n’a pas eu le monopole sur la torture chimique. La différence est que dans le monde démocratique, les personnes visées étaient et sont les citoyens innocents
Les psychotropes seraient en cause dans un quart de ces accidents liés à une interaction entre plusieurs médicaments13
benzoinfo
« Deux tiers des personnes prenant des anxiolytiques n’ont aucun problème psychique particulier…
La dépendance aux Benzodizepine est une dépendance physique….Si le benzo produit chimique est enlevé ou réduit le système nerveux ne peut pas fonctionner correctement. Les produits chimiques normaux peuvent régénérer lentement ou pas du tout
Et pourtant, ces médicaments ne sont pas inoffensifs. Consommés de façon régulière, ils peuvent entraîner des troubles de l’équilibre, des vertiges, des palpitations, des problèmes gastriques… et paradoxalement provoquer de la dépression, de l’anxiété et
« La littérature, les avertissements, et les raisons d’éviter l’exposition prolongée aux benzos sont étendus, bien documentés, et entièrement à la disposition de n’importe quel médecin de famille. »
« Récemment, un jeune est mort d’avoir associé du Rohypnol à sa dose de Méthadone … C’est le Rohypnol qui est dangereux ! « 
La consommation de tranquillisants et de somnifères peut entraîner une dépendance physique et psychique. On a cru jadis qu’il fallait en prendre longtemps et à doses élevées. Or, il ressort de plus en plus qu’à doses thérapeutiques et pour de courtes périodes, ces médicaments sont sources de problèmes. Même une consommation irrégulière à court ou long termes (par exemple, prendre une pilule de 4 à 5 fois la semaine) peut être cause de dépendance. Les quantités consommées, bien qu’ayant leur importance, ne sont pas aussi déterminantes qu’on le dit souvent.
Un avertissement doit être publié au sujet d’un tranquillisant employé couramment Ativan (temesta), il a été demontré qu’il pouvait avoir un impact rare mais potentiellement mortel sur la respiration des patients.
Ces substances hautement toxicomanogènes agissent sur le système nerveux central. Une consommation prolongée engendre une forte dépendance.
Après quelques semaines, elles peuvent entraîner un dysfonctionnement cognitif et des problèmes de mémoire et d’équilibre (risque de chutes accru). Leur usage continu, sur plusieurs mois, peut causer de l’anxiété, des hallucinations, de la rage ou de l’excitation, de la panique, de l’insomnie, des rigidités musculaires, les troubles digestifs, des problèmes touchant le cœur et les poumons, de la dépression pouvant aller jusqu’au suicide.
Ceux qui prennent des somnifères s’endorment plus rapidement et se réveillent moins la nuit. Mais les études montrent que  la qualité du sommeil est réduite : elle est moins profonde et une phase importante, le REM, est plus courte. De plus, l’addiction survient après quatre semaines. La pilule n’a plus aucun effet et l’endormissement est à nouveau aussi long, comme avant le début de la prise des somnifères. Il faut donc s’en défaire. Mais c’ est un long processus, dit le professeur. Mieux vaut donc de ne pas commencez du tout.
L’action des drogues sur un système de NT ne ressemble en rien à l activité biologique spontanée de ce système
Les mèdicaments, pas simplement l’âge et la maladie , tuent des seniors canadiens
les soi-disant anxiolytiques ne guérissent rien mais sont plutôt des substances handicapant le cerveau. Lors d’un essai clinique, 70 pour-cent des personnes prenant de l’Halcion “ont développés des pertes de mémoire, de la dépression et de la paranoïa
« Le chirurgien m’a regardé et m’a dit que les médicaments avec lesquels j’avais été intoxiqué avait affécté mon système autoimmun – j’ai été assommé. »
Pour le psychiatre Patrick Lemoine, le lien entre la consommation excessive de somnifères et d’anxiolytiques et le risque de démence s’explique. En cause: une aggravation de l’apnée du sommeil. Il estime que certaines benzodiazépines devraient être retirées du marché.
Parce que, pour vous, ce lien entre consommation de benzodiazépines et entrée dans la démence est donc une évidence ? Oui. Et je pense qu’il y a une explication, qui est liée à l’augmentation des arrêts respiratoires (en durée et en fréquence) que provoquent les benzodiazépines pendant le sommeil. Or, on sait parfaitement que ce syndrome d’apnée du sommeil aboutit à des tableaux démentiels.
Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ?
Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer
Les politiques se doivent-ils de réagir ?
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.
La durée de prescription des antidépresseurs excède un an dans plus de la moitié des cas, contrairement aux recommandations en vigueur
Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet
L’ABUS DE MÉDICAMENTS DÉLIVRÉS SUR ORDONNANCE VA DÉPASSER LA CONSOMMATION DE DROGUES ILLICITES, INDIQUE L’OICS L’Organe met en garde contre l’augmentation des décès par surdose de médicaments délivrés sur ordonnance
Autre complication grave liée à l’usage des tranquillisants: les réactions dites « paradoxales » (15, 16). Selon certaines pharmacopées européennes, leur incidence serait inférieure à un pour mille, mais leur fréquence réelle reste inconnue. Malcolm Lader, de l’Institute of Psychiatry à Londres, estime à quelque 5% la fréquence de ces effets secondaires, même lors d’un usage des substances pendant une courte période (17). Les réactions « paradoxales » consistent en dépression (18), accompagnée ou non de tendances suicidaires (19), en états phobiques, (20) en agressivité (21, 22) et en comportement violent (23, 24, 25) ainsi que, dans certains cas, en symptômes que les médecins, par une erreur de diagnostic, attribuent à une psychose (26, 27).
Le mensonge sur les chiffres: Dans les années 80, un taux global de 5.9 morts par million de prescriptions pour BZDs s’est produit en Grande-Bretagne. Alors que les décès sont beaucoup plus nombreux!!
MEDICAMENTS PSYCHOACTIFS
Les tranquillisants et les antidépresseurs. Un autre mécanisme utilisé par les accusés pour élargir leurs marchés consiste à créer délibérément une dépendance afin d’augmenter les ventes de médicaments. De nombreux tranquillisants et antidépresseurs, y com
Une statistique intéressante montre très bien les décès attribués aux drogues au Royaume-Uni entre 1990 et 1995: – 1,810 · Benzodiazépines – 1810 · Méthadone – 676 · Héroïne – 291
e diazépam s’accumule dans le foie, le cerveau, le cœur et les poumons du fœtus.
« Il peut être très dangereux, voire mortel, d’arrêter brusquement la consommation de certains psychotropes consommés régulièrement ou de façon soutenue. Ainsi, le sevrage d’anxiolytiques ou de somnifères doit se faire sur l’avis et sous la supervision d’u
agence française de securite sanitaire des produits de sante
« cela peut prendre aussi peu que deux semaines d’une utilisation régulière pour devenir dépendant de la drogue. »
PSYCHOPHARMACOLOGIE ET LE GOUVERNEMENT DE L’INDIVIDU professeur DAVID HEALY
Environ 75.000 cas de sénilité induite par drogue aux USA sont probablement provoqué par cette catégorie de drogue.
Le nombre de morts causées par les antidépresseurs ou les sédatifs à presque doublé, passant de 671 à 1300.
« Valium, Librium et Mogadon une fois semblaient fournir la réponse parfaite au stress. Nous savons maintenant comment ce groupe de médicaments affecte la chimie du cerveau; Rien d’étonnant, ils créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent.
Nous savons aussi que certains benzodiazépines, notamment Halcion et Xanax, causent de graves effets secondaires, notamment la dépression, des hallucinations, l’amnésie et des comportements violents.
En outre, les benzodiazépines peuvent être liés à la démence sénile (démence, 1992; 3:232-8)…Ernest Guinness Saunders, qui a récupéré de la maladie d’Alzheimer « dès qu’il sort de son tranquillisants
Les effets contraires chez les personnes âgées. Le système nerveux central des gens plus âgés est plus affecté par les effets dépressants des benzodiazépines que celui des personnes plus jeunes. Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amné
Au Québec, 80 % des personnes âgées consomment des benzodiazépines (Bzd):
benzo japon
Il s’agit ici de souligner le danger de ces produits, prescrits massivement par des médecins généralistes et sur des périodes très longues. Ils font la fortune des multinationales du médicament.
J’ai commencé à boire trop. Je n’ai pas su pourquoi, mais je sais maintenant. Benzos et alcool utilisent les mêmes récepteurs
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
Les phénomènes d’accoutumance et/ou de dépendance, qui peuvent survenir après une semaine déjà, sont beaucoup plus alarmants
CEIP
Les patients âgés semblent particulièrement sensibles au syndrome de sevrage.
La prégabaline (successeur du la gabapentine) est analogue structural de l’acide gamma-amino-butyrique (GABA).
Le neurotin n’est pas une benzo .équivalence : Cette valeur est de 1 gramme Neurontin est équivalent à environ 5 mg. de rivotril
Pubmed
Il existerait, selon une étude de cohorte rétrospective taïwanaise récente, d’une durée de 5 ans et portant sur 59.647 sujets (17), une relation statistiquement significative entre la prise de benzodiazépines et le risque de can – cer, plus particulièrement du cancer hépatique, rénal et du cancer de la prostate et de la vessie. Une forte association existerait également chez les hommes entre la prise de benzodiazépines et le cancer du cerveau. Une telle association avec le cancer a aussi été retrouvée dans une étude longitudinale (2,5 ans en moyenne) américaine de 2012 sur 10.529 sujets (18), qui estime que le risque de cancer est augmenté de 35% chez les consommateurs à hautes doses de benzo – diazépines. Globalement, la prise de benzodia – zépines amènerait une mortalité au minimum trois fois plus importante selon cette dernière étude. Les biais n’ont cependant pas pu être entièrement exclus de cette recherche et ces résultats doivent être corroborés par d’autres études à venir.
Les consommateurs de médicaments hypnotiques sont plus à risque de cancers et de décès que les non consommateurs selon une étude américaine publiée dans la revue anglaise British Medical Journal Open.
Que de crimes ont été commis sous l’emprise des psychotropes ! Il n’est que de visiter la prison pour mineurs de Oukacha, à Casablanca, pour s’en rendre compte : selon les membres de certaines associations, qui tirent depuis quelque temps la sonnette d’alarme sur le danger du karkoubi, 80% des jeunes sont embastillés pour avoir commis des infractions sous l’effet des psychotropes. Pire, la dépendance pousse certains à commettre l’irréparable pour avoir de quoi acheter sa dose. A l’instar de ce garçon de 14 ans qui, dans une crise de folie, a étranglé son père avec le câble d’une antenne parabolique, ou de cet adolescent de 15 ans, arrêté pour avoir planté un couteau dans le ventre de son copain au cours d’une rixe banale à cause d’un demi-litre de vin rouge. Sans parler de ces centaines d’enfants de 10 à 18 ans, aux corps couturés de cicatrices, qui se sont mutilé les bras et le visage.
«.. .notre constatations concernant la récente et dernière utilisation des benzodiazépines peuvent fournir une implication importante, que l’arrêt de l’utilisation des benzodiazépines ne peut réduire considérablement le risque de développer une démence. » En d’autres termes, le mal est déjà fait. Les personnes qui ont utilisé des benzos dans le passé courent un risque accru de développer la démence même s’ils n’ont pas utilisé les médicaments récemment.
Les somnifères, les benzodiazépines [anxiolytiques]C’est un scandale, ça tue les vieux !
Le 14 mars 2007, la FDA a décidé d’émettre une mise en garde sur 14 somnifères très courants aux États-Unis et en Europe. En effet, ces médicaments provoquent chez certaines personnes des suffocations et des œdèmes du visage. D’autres, pendant leur sommeil, se lèvent, téléphonent, préparent un repas, conduisent même, sans en être conscients (c). Cette mise en garde a été amplement couverte dans la presse aux États-Unis, mais pas dans la plupart des journaux et des émissions d’information télévisée en Europe. Pourquoi ? On me dit que les Européens font confiance à leurs médecins et aux autorités de contrôle de leur pays et supposent que tout va pour le mieux. Si c’est effectivement le cas, ils sont naïfs, et ce manque d’information les maintient dans l’ignorance. Il semble que les Européens ne puissent pas compter sur leurs organismes de surveillance pour protéger activement leur santé publique.
Les benzodiazépines sont des médicaments psychotropes utilisés pour traiter l’anxiété, les attaques de panique, la dépression, l’insomnie, les convulsions, les nausées, et les vomissements. Ils sont un groupe de médicaments connus sous le nom de tranquillisants ou sédatifs, et cela est facile d’imaginer pourquoi tant de gens deviennent accros à ces médicaments. Le Xanax, ou l’Alprazolam, ont été la cause de 112 552 visites aux urgences en 2009 aux États-Unis. Le Xanax, le Klonopin, l’Ativan, le Valium , ainsi que le Diazépam, sont parmi les 100 médicaments les plus couramment prescrits. Les effets secondaires les plus courants sont les étourdissements, la sédation, et la faiblesse. Cependant, les études montrent que les personnes souffrant de dépendance aux analgésiques ont également tendance à abuser de sédatifs. Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
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« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »
 

Sevrage benzodiazépine : NE JAMAIS STOPPER BRUSQUEMENT !

70% des sevrages se passent assez bien si ils sont effectués selon les méthodes Ashton ou Peart. En aucun cas ils ne faut suivre la méthode employée par les médecins français, beaucoup trop rapide. Cela concerne : havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®, halcion®, rivotril®, victan®...et drogues Z imovane® stilnox® et autres…et assimilés, lyrica, nerontin, atarax, stresam, baclofène... IMPORTANT : "Le mode d'action des antidépresseurs est complètement différente de celle des benzodiazépines et donc ils sont généralement inefficaces à atténuer les effets des benzodiazépines. lors d'un sevrage "

“si vous souffrez actuellement d’un syndrome de sevrage en raison d’une diminution trop rapide ou d’un sevrage brutal, revenez immédiatement à la dernière dose à laquelle vous vous ressentiez une bonne stabilité physique et émotionnelle.

C’est impératif – ne comptez pas sur le temps pour vous débarrasser de vos symptômes, vous risquez un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Certains, y compris dans le corps médical, pensent que le sevrage brutal ou trop rapide peut faire gagner du temps, mais c’est une idée fausse. Non seulement le sevrage brutal est dangereux, mais il peut prolonger vos souffrances des mois ou des années durant. “


 

"Malheureusement, il n'existe aucun médicament pour le sevrage des benzos et ceux qui ont recoure à l'aide d'autres médicaments psychotropes découvrent toujours qu'il y a un prix à payer en terme de santé."
 
La règle d’or à respecter pour le sevrage est de faire des diminutions n’excédant pas 10% de votre dose en cours toutes les deux à trois semaines
 
Tout sur les benzos et le sevrage par le professeur heather Asthon (français)
 
Benzodiazépines : dépendance et sevrage : site de corinne
Le sevrage proposé par le corps médical en France : des méthodes inadaptées qui favorisent la rechute 
Que ce soit en ambulatoire ou en milieu hospitalier (y compris dans les services spécialisés), les méthodes de sevrage que les médecins français proposent à leurs patients ne sont pas du tout adaptées à la réalité de la dépendance aux benzodiazépines. Les protocoles de sevrage sont beaucoup trop courts (sevrage en six à dix semaines maximum) et les médecins ont trop souvent tendance à prescrir d’autres psychotropes (antidépresseurs, neuroleptiques, ou une autre classe d’anxiolytiques) qui, loin de compenser le sevrage aux benzodiazépines, peuvent en aggraver à la fois les manifestations et la durée.
 
professeur Asthon
 
Le mode d'action des antidépresseurs est complètement différent de celle des benzodiazépines et donc ils sont généralement inefficaces à atténuer les effets de sevrage des benzodiazépines.
 
site consacré a la dépendance et aux sevrage des benzodiazépines
 
non-benzodiazepines le site de ross
 
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(Réactions de sevrage aux médicaments psychiatriques) « La meilleure manière de minimiser les risques de réactions graves de sevrage est de ne jamais prendre de produits psychiatriques. »
 
Le but de cet emplacement : Avertir les personnes au sujet des benzodiazépines.
 
La titration mélange simplement votre pillule avec de l'eau pour vous permettre de mesurer avec précision votre dose.
 
équivalence automatique des benzos
 
A note of explanation goes with Dr. Reg Peart’s sample schedules and suggestions. Dr. Peart is head coordinator of VOT (Victim of Tranquilizers).
 
Vous ne devriez boire aucun alcool
 
traduite par carole (un grand merci  a elle)
 
Attention: Ce forum est maintenant en archive. Vous ne pouvez plus poster de nouveaux messages.
 
Index des symptômes de sevrage aux benzodiazépines de Benzodiazepine Awareness Network
 
Une importante minorité, peut-être un 10% à des 15% développent un « syndrome de poste-sevrage, « qui peuvent s'attarder pendant des mois ou même des années.
 
Les réponses les plus courantes aux problèmes posés par les benzodiazépines.
 
Manger bien et en évitant tous les stimulants est crucial.
 
la liste des drogues médicales de worstpills
 
équivalence : Cette valeur est de 1 gramme Neurontin est équivalent à environ 5 mg. de rivotril.
 
Les médecins doivent, autant que possible, éviter les fluoroquinolones chez les patients qui sont sous la dépendance ou en sevrage des benzodiazépines chronique.
 

Le syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines

Chez 10 à 15% des patients, les manifestations de sevrage ne disparaissent qu’après plusieurs mois, voire plusieurs années. On n’en connaît pas clairement la raison. Les principaux symptômes de sevrage de longue durée sont l’angoisse, l’insomnie, la dépression
 
benzodiazépines, antidépresseurs, neuroleptiques
 
On estime que peut-être entre 10 et 15 pour cent de consommateurs à long terme d’une benzodiazépine développent « un syndrome post-sevrage ».
 
Ce n’est manifestement pas le syndrome d’une maladie morale Professeur Ashton
 
J’ai vu des patients qui ont estimé qu’ils n’avaient pas retrouvé leur état prcédent la prise de drogue benzodiazépines avant de nombreux mois ou années plus tard
 
« Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt.  » – Professeur Malcolm H Lader , Royal Maudesley Hospital, BBC Radio 4, Face The Facts , March 16
 
Pour certains utilisateurs chroniques de benzodiazépine, le sevrage peut être trés long. Une importante minorité, peut-être 10% à 15% développent un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines
 
par le docteur Peart
 
Ashton H. Department of Pharmacological Sciences, The University, Newcastle upon Tyne, England. Département de pharmacologie Sciences, The University, la Newcastle upon Tyne, en Angleterre
 
Therefore, Protracted Withdrawal Syndrome (PWS) is just a label to indicate that you have not been lucky enough for your withdrawal symptoms to have cleared up (or largely cleared up) within some weeks or a few months of your having taken your last dose of
 
Une étude pilote sur les effets de flumazénil sur les symptômes qui persistent après le sevrage des benzodiazépines. Sur des patients ayant arété leur traitement aux benzodiazépines depuis 1 mois a 5 ans.
 
« Il est temps de juger les compagnies pharmaceutiques et les médecins responsables de prendre la solution de facilité aux dépens de leurs patients. »
 
« l’enfer » du syndrôme prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Décrit par les victimes
 
le syndrome prolongé de sevrage dure des mois, des années, ou toute une vie
 
Les symptômes de sevrage : le type de symptômes de sevrage aux barbituriques ont eu lieu après l’arrêt des benzodiazépines
 
Des centaines de témoignages et bientot des milliers.
 
Il a été conclu que PWS (post withdrawal symdrome) est susceptible d’être un véritable état iatrogène, une complication à long terme du traitement aux benzodiazépines
 
Le gène, Mpdz, est impliqué dans la dépendance physique à une classe de médicaments connue sous le nom de sédatifs, hypnotiques, qui sont largement utilisées pour leurs effets euphorisants et sédatifs. La drogue dans cette catégorie comprennentl les benzod
 
Il est devenu évident que les symptômes de sevrage des benzodiazépines peuvent être longues, qui durent des mois ou des années, dans quelque 15% des utilisateurs à long terme (6).
 
Le sevrage aux benzodiazépines peut durer des mois, voire des années.
 
en anglais forum yahoo
 
Une fois au large de la drogue (sauvegarde), il peut prendre un certain temps pour que le cerveau se remettre de dommages causés par un benzo; 6 à 18 mois est la durée moyenne des symptômes de sevrage, cependant, beaucoup de gens, surtout ceux qui étaient sur le médicament pendant une longue période, et ceux qui ont été sevré brutalement, peuvent avoir des symptomes pendant des années.
Je suis 26 mois hors de la drogue, et ne ai toujours brûlant dans ma colonne vertébrale, des picotements, faiblesse, fatigue, douleur osseuse et musculaire, problèmes de mémoire, problèmes cognitifs, problèmes émotionnels (pas de mes questions avant) et des problèmes gastro-intestinaux. Mon retrait, comme tant d’autres, me fit être incapable de travailler ou de se engager dans la vie que je ai fait normalement. Beaucoup de gens en retrait face à un divorce, la faillite et la perte d’amis et de statut social. Une population importante en retrait sont poussé au suicide.
pub med
Malheureusement, le flumazénil n’est pas, actuellement, un remède pratique pour des symptômes prolongés

Les responsables : les médecins

La honte des 32 secondes ! c’est le temps moyen qui a été calculé entre la plainte du patient et la rédaction d’une ordonnance contenant un hypnotique
 
" La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur
 
De tous les problèmes produits par les médicaments que les médecins prescrivent, la toxicomanie est sans doute l'un des plus gênants. C'est avec le soi-disant tranquillisants «mineur» et somnifères que les médecins ont fait plus de dégâts.
 
les médecins sont intoxiqués aux prescriptions de benzodiazépines
 
A coté de l’inadéquation de nos méthodes d’essais cliniques, des professeurs de psychiatrie sont maintenant en prison pour avoir créé des patients de toute pièce
 
Il est prouvé que l’utilisation régulière de benzodiazépines n’est plus efficace après quelques semaines à quelques mois
 
un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l'assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l'Industrie du médicament).
 
Des médecins ont été accusés hier par des millions de personnes drogués dependantes aux tranquillisants. Les drogues prescrites détruisent plus de vies à travers l'Europe que la cocaïne, l'héroïne et ...?, a indiqué MPE Chris Davies.
 
« distribués aux usagers qui ne sont pas forcément tous atteints de maladie psychiatrique, n'importe quand, n'importe comment et pour n'importe quoi ».
 
Et des médecins pourraient à peine être blâmés de croire que ces médicaments étaient efficaces et sûres. Mais depuis des années maintenant il n'y a plus aucune excuse.
 
Honnêtement la reponsabilité doit incomber entièrement à la profession médicale qui, maintenant qu'elle est ravalée au rang de subalterne recevant des instructions et acceptant des ordres donnés par une entreprise commerciale, ne peut quasiment plus préten
 
les médecins généralistes ou les médecins de famille étaient pour prescrire des benzodiazépines des prescriptions à long terme en dépit des directives établies
 
« Nous sommes rendus malades par les médecins, qui sont payés par l'état, mais nous sommes rejeté des avantages qu'ont les malades, »
 
ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT médicaments psychotropes
 
Or la meilleur façon de mettre fin à une consultation, c’est de rédiger une ordonnance. " En particulier, il est plus rapide de prescrire un tranquillisant que de prendre le temps d’écouter son patient ".
 
Il y a beaucoup de personnes emprisonnées pour cela chaque année, simplement pour être en désaccord avec les médecins allopathiques et leurs politiques.
 
” Ce qui est dangereux, ce n’est pas d’être malade, c’est d’être soigné ” Molière.
 

danger pour la santé

« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI... »

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Les temoignages de sevrage aux benzodiazepines et les victoires sur les benzos

80% des sevrages menés selon un plan de sevrage très lent se passe sans trop de problèmes.
 

Les victimes des benzodiazépines
 
victimes des benzodiazépines
 
TÉMOIGNAGES DEVANT LE COMITÉ SPÉCIAL SUR LA CONSOMMATION NON MÉDICALE DE DROGUES OU MÉDICAMENTS
 
le temoignage du President de Benzodiazepine Awareness Network, Fondateur & National Co-ordinateur de VOT (Victimes des Tranquillisants) au RU
 
fondateur du site BAN et victime des benzodiazépines
 
un cauchemar vivant
 
L'histoire de Brian et de son rétablissement après le Lorazepam (non-benzodiazépines)
 
J'ai 73 ans maintenant (en2001), et quand je suis sortis des benzos j'avais 54 ans
 
31 ans de valium
 
30 ans de valium
 
les benzos devraient etre interdit a la vente.
 
Les médecins qui m'ont prescrit des benzodiazépines ne m'ont jamais averti des dangers associés à l'usage de ces médicaments et des risques de dépendance dans le cas d'une utilisation prolongée.
 
"Ceci doit S'ARRÊTER !" "Cette « médecine » est réellement un poison" « Ma plus grande erreur: faire confiance à des médecins ! » «Les médecins qui les prescrivent devrait être jugés et condamnés»«Bienvenue en enfer quand vous vous arrêtez. »

Benzodiazépine et grossesse

Plus de 50.000 enfants par an sont à risque de lésions cérébrales ou de mort, parce qu'ils sont empoisonnés par les tranquillisants dans le ventre de la mère, le Sunday Express peut révéler.
 
Il faut éviter de prescrire des benzodiazépines pendant le premier trimestre de la grossesse. Au cours des mois suivants, ces médicaments ne seront prescrits qu'en cas d'extrême nécessité et pendant la période la plus courte possible
 
C'est le montant estimatif 50000 ou plus d'enfants britanniques qui naissent chaque année endommagés parce que leur mère a pris des benzodiazépines ou des tranquillisants.
 
Il y a une corrélation claire entre la prescription de benzodiazepines dans la grossesse et l'explosion dans les nombres d'enfants avec les désordres de déficit d'attention (non 4 de WDDTY, de vol. 8), et de penchant à l'alcool (une substance semblable)
 
Maintenant, si vous pouvez imaginer ces effets surun bébé réduite de vigilance et de l'amnésie, à une très importante phase de développement, au début des quelques jours et semaines, cela pourrait avoir de profondes incidences sur les processus de développ
 
le diazépam s'accumule dans le foie, le cerveau, le cœur et les poumons du fœtus.
 
GROSSESSE : BDZs peut interférer le système nerveux foetal se développant. LA MORT INFANTILE SOUDAINE : Les benzodiazépines causent-elles SIDS ? NAISSANCE : Les bébés risquent les effets directs de, et le sevrage des benzodiazépines.
 
Benzodiazépines traversent le placenta et sont classés en classe D tératogènes
 
 
 
Usage pendant la grossesse: Les benzodiazépines peuvent causer des dommages au fœtus lorsqu'ils sont administré pendant la grossesse. Un risque accru de malformations congénitales associées à l'utilisation du diazépam
 
 
 
Durant la grossesse, la prescription de toute médication est déconseillée ; en fin de grossesse, ces médicaments peuvent faire courir le risque de survenue, à la naissance, d’hypotonie et de détresse respiratoire chez le nouveau-né.
 
Un nouveau-né peut développer un syndrome de sevrage s'il a été exposé durant la grossesse ou durant l'allaitement à certaine substances comme les sédatifs-hypnotiques, les opiacés et peut-être les stimulants.
 
Toute femme enceinte court un risque de 3 à 5 pour cent de donner naissance à un bébé présentant une anomalie congénitale.
 
les études de cas-témoins ont montré un lien statistique entre l'utilisation des benzodiazépines en début de grossesse et des malformations congénitales telles que la fente labiale
 
Vous ne devez pas utiliser le Valium pendant la grossesse. Si une grossesse survient, en informer immédiatement votre médecin afin qu’il puisse décider de poursuivre le traitement ou l’arrêter. Vous ne devez pas utiliser le Valium pendant l’allaitement que le Valium et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Si le traitement est inévitable, il doit cesser d’allaiter.

Les sites associatifs benzodiazépines dans le monde et les sites de victimes

Site d’information sur les dangers des benzodiazépines
 
Non-Benzodiazépines. Le site de ross
 
dépendance sevrage et réactions paradoxales
 
« C’est un grand problème pour la santé humaine que tant de gens à travers le monde consomment ce type de drogue »
 
Pour aider les personnes dans leur voyage pour sortir des benzodiazépines
 
Guide du sevrage aux benzodiazépines
 
site officiel
 
benzodiazépine Australie
 
Pour aider ceux qui sont intoxiqués aux tranquillisants, benzodiazépines et aux comprimés somnifères ou des drogues avec les effets semblables et qui souhaitent se sevrer.Nous tentont de faire un maximum pour que se soit le plus confortablet possibles
 
Ce site Web est conçu pour aider et soutenir ceux qui passent par le sevrage, diminue , ou récupèrent des benzodiazapines
 
Groupe de parlementaires tous partis contre la dépendance involontaire aux tranquillisants
 
Avril a été fondée par Millie Kieve qui a commencé ses recherches pour obtenir des renseignements sur les réactions indésirables aux médicaments (ADR), après la mort de sa fille Karen en 1995
 
Bienvenue à AATA (tranquillisant action contre la toxicomanie)!
 
president de BAN et de VOT
 
 
 
 
« … Ou comment nous avons réussi à arrêter les benzodiazépines et a appris à« Just Say No « forte dépendance à ces drogues dangereuses. »
 
Back to Life
 
Les benzodiazépines peuvent vous rendre anxieux
 
 
information et aide au sevrage des benzodiazépines
 
La contention chimique consiste à l’administration de médicaments dans le but de réduire la libre mobilité de la personne (Dr. Pradines, 2010). Les principales molécules utilisées à ces fins sont des anxiolytiques aux effets myorelaxants et sédatifs (principalement des benzodiazépines) et des neuroleptiques sédatifs (risperidone, tiapride…). La contention chimique présente des risques importants de somnolence, de troubles de la marche avec risques de chutes accrus et d’accidents vasculaires cérébraux (dans le cas des neuroleptiques)
la contention chimique peut correspondre à l’utilisation en urgence de benzodiazépines ou neuroleptiques, par voie injectable, avec des posologies permettant la sédation d’un patient sans son consentement.
en absence de cause évidente ou cause toxique, privilégier les benzodiazépines (BZD)
les neuroleptiques sont déconseillés en cas de prise de stupéfiant stimulant
Les contentions chimiques sont des médicaments qui servent à modifier ou à restreindre un comportement. Les tranquillisants et les sédatifs en font partie
32 % des plus de 65 ans et près de 40 % des plus de 85 ans se sont vu prescrire des anxiolytiques ou des somnifères, pour des durées souvent supérieures à trois ans

Quelques intos, jugements et procès benzodiazepine

Important : gardez bien toutes vos ordonnances !

le blog d’infos pour les victimes
 
L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin...
 
Avocats, class action, condamnations
 
mise en danger délibérée de la personne d'autrui.
 
Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité
 
...par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire
 
(2005) DEMANDE D’UNE GRÂCE PRÉSIDENTIELLE POUR UN PASSAGE À L’ACTE DU FAIT D’UN MÉDICAMENT
 
valium: après avoir été traité pour un MAL DE DENTS ray Nimmo a gagné une indemnisation de £40,000.
 
Un conseil d'arbitrage médical a attribué 75.000 euros pour la dépendance iatrogenic aux benzodiazépines.
 
Le résultat de 30 ans de dommages suite à une dépendance aux médicaments prescript.
 
UN HOMME D'AFFAIRES qui prenait un tranquillisant prescrit poursuit le fabricant de la drogue pour £3.5 million, se réclamant du fait que cela a impliqué l'effondrement de ses entreprises commerciales.
 
Elle a plus tard poursuivi le fabricant Upjohn pour $21 millions. Upjohn a trouvé au civil un accord à l'amiable.
 
Alec Jenner l'homme qui a aidé à créer le valium: un entraîneur de cirque avait l'habitude de donner un médicament sédatif à ses tigres...
 
Trouver ici l'information sur le procès classe-action contre Sanofi-Aventis, le fabricant du somnifère Ambien (stilnox) (marque de fabrique pour le zolpidem)
 
 
Temesta (ativan) peut provoquer une très forte dépendance, et la drogue a été dénoncé pour avoir des effets secondaires graves après utilisation prolongée. Quelques patients à long terme d'Ativan éprouvent la dépression, les ajustements épileptiques.

Les prescriptions de benzodiazépines en France

Le coût direct du « couple insomnie - hypnotiques » est évalué à environ 14 milliards de dollars aux USA, et le coût indirect à environ 80 milliards de dollars.

Environ 120 millions de boîtes sont vendues par an
Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines (BZD) ou apparentés, et leurs génériques : Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc., écrit le magazine dans son numéro d'octobre.

3, 5 millions de séniors victimes des benzodiazépines
Dans l’Hexagone, près d’une personne de plus de 65 ans sur trois prend des somnifères, soit 3,5 millions de personnes (40% chez les plus de 85 ans). Or plus de la moitié de ces traitements sont inappropriés, relève la Haute Autorité de Santé (HAS). Pour réduire la prise de somnifères chez les seniors, la HAS lance une nouvelle campagne d’information auprès des patients, des médecins et des pharmaciens, avec une série d’outils pour améliorer le diagnostic et la prescription.

 
La Durée Moyenne de Traitement par BZD / Z Est de traitement médical Court Années en France
Les Français consomment trois fois plus de psychotropes que les autres Européens. Neuroleptiques compris, 109 millions de boîtes ont été vendues en 2007 – plus que les antibiotiques (82 millions de boîtes)
 
Les nouvelles drogues de la génération
 
8O millions de boîtes de tranquillisants consommées chaque année
 
La France détient le record d'utilisation des produits somnifères : chaque jour, y sont consommés environ dix millions de médicaments contre l'insomnie !
 
Médicaments psychotropes : consommation et pratiques de prescription en France métropolitaine. II. Données et comparaisons régionales, 2000
 
Une consomation 3 à 4 fois superieur que nos voisins europeens.
 
Dépassement de la posologie maximale dans plus de 25% des cas.
 
Les Français sont aussi de gros consommateurs de tranquillisants. En 2006, ils en avalaient en moyenne 40 comprimés [par an] contre 36 en Espagne, 22 en Italie, 6 au Royaume-Uni et 5 en Allemagne.
 
ofdt
 
la prescription des psychotropes chez les personnes de plus de 65 ans, soit dix millions de personnes en France


Nous avalons 200 millions de boîtes de psychotropes par an
Quelque 20% des Français en prennent plus ou régulièrement. C'est deux à quatre fois plus que la moyenne européenne. A 17 ans, 15% des jeunes ont déjà pris des tranquillisants, 10% des somnifères, et 6% des antidépresseurs. Et cette consommation est en hausse ces dernières années pour les antidépresseurs.

134 millions de boîtes de cette classe de médicament vendues en France en 2010
La consommation des benzodiazépines anxiolytiques diminue globalement (-1,8% par an depuis 2002) tandis que celle des benzodiazépines hypnotiques (somnifères) reste stable.

En France, on consomme chaque jour environ dix millions de médicaments contre l’insomnie
Les benzodiazépines :une drogue dure : Tous les médecins savent pourtant que les benzodiazépines engendrent de nombreux effets secondaires : difficulté de concentration, perte de mémoire, confusion mentale, faiblesse musculaire, problèmes d’équilibre et de coordination

Benzodiazépines : une over-dose française
Consommation 110,9 millions de boîtes de benzodiazépines ont été vendues en 2011 (hypnotiques + anxiolytiques), contre 110,3 millions en 2010 et 107,7 millions en 2009. Soit un montant de 210,6 millions d'euros de remboursements de l'assurance-maladie en 2011.
Indications En France, 50,2 % des benzodiazépines (ou molécules apparentées) prescrites sont des anxiolytiques, 37,8 % sont des hypnotiques, 7,3 % sont des myorelaxants et 4,8 % des anti-épileptiques.
Durée La moitié environ des sujets traités par des benzodiazépines anxiolytiques et hypnotiques le sont plus de deux ans (avec ou sans interruption de traitement). Les durées maximales recommandées sont de douze semaines pour les premières, de quatre semaines pour les secondes.

Quelques sites et blogs de victimes

le site d’audrey
Brain Underwood : sevrage des benzodiazépines, bienvenue en enfer !
Carol’s blog Suisse (en français)
Le site de Betty Foote
Benzo Aren’t Us
Non Aux Benzodiazépines
Le site de ray Nimmo
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Les pillules du cauchemar

Les pillules du cauchemar DR Vernon Coleman

Les pillules du cauchemar
 http://www.benzo.org.uk/vernon.htm DR Vernon Coleman Les pillules du cauchemar – comment des millions de personnes sont pris dans le piège des Tranquillisants : Les dernières statistiques confidentielles du département de l’exposition de santé et sécurité sociale dit que dans les 12 derniers mois  environ 30 millions de prescriptions ont été écrit pour des tranquillisants tels que le valium, le Librium et l’Ativan(temesta). Il est assez facile d’expliquer pourquoi les médecins ont commencé à prescrire des tranquillisants il y a 20 ou 30 ans. Lorsqu’ils ont semblé êre des réponses parfaites. Les barbituriques n’étaient plus a la mode. Et les médecins commençaient à identifier que les maladies reliées par effort sont communes. Les tranquillisants tel que le valium ont semblé offrir une solution sûre. Mais il est plus difficile d’expliquer au juste pourquoi les médecins continuent à prescrire ces médicaments aujourd’hui.  Mais le fait étonnant est que les compagnies pharmaceutiques ont averti depuis un certain temps maintenant les médecins qu’elles ne sont pas appropriées pour l’usage à long terme. Ma propre évaluation – qui n’a pas été contestée par n’importe qui de la profession médicale, du DHSS ou de l’Office à la maison, est qu’il y a environ 2.500.000 utilisateurs de tranquillisants en Grande-Bretagne. Et beaucoup l’on dit: il est plus difficile de se sortir des benzodiazépines que de l’héroïne. Joseph Tutt n’est pas le seul patient qui est si fâché qu »il poursuit son docteur. Deux autres lecteurs ont déjà consulté des avocats-conseils et ont commencé des actions judiciaires. Et les douzaines de plus ont écrit pour m’indiquer qu’elles projettent d’autres actions judiciaires. Si Tutt a réussi, beaucoup de patients à qui ont été prescript des tranquillisants ou des comprimés somnifères et dont les vies ont été dévastées ou endommagées d’une manière quelconque pourrait avoir commencé des démarches dans les mois. Et ce sera leurs médecins qu’ils poursuivront, pas les compagnies pharmaceutiques. Il y a environ dix ou quinze ans les compagnies de drogue favorisaient des produits de ce type avec enthousiasme sans réserve. Et des médecins pourraient à peine être blâmés de croire que ces médicaments étaient efficaces et sûres. Mais depuis des années maintenant il n’y a plus aucune excuse. Les compagnies pharmaceutiques avertissent constamment des médecins de ne pas permettre à des patients de les prendre pour plus qu’une semaine ou deux. Ils conseillent aux médecins de ne pas rendre ces médicaments disponibles pour des « prescription a répétition ». Il est démontrer et prouver que ces médicaments provoquent des dépendances potentiellements dangereuses qui se sont accumulées rapidement depuis le début des années 70. Les nombreux articles de recherches ont été  éditée assurant que les produits de ce groupe peuvent causer des problèmes tels que la perte de mémoire aussi bien que l’inquiétude, la dépression et l’insomnie. Ironiquement, ce sont les trois symptômes pour lesquels elles le plus généralement sont prescrites. Le comité de la sûreté des médecines a reçu des rapports prouvant que ces médicaments sont bien connues pour causer bien plus de 100 effets secondaires différents. Plus tôt ce mois le DHSS et l’Office à la maison ont publiquement admis que la taille du problème de dépendance aux tranquillisant de la Grande-Bretagne les inquiète en apportant ces drogues sous l’abus de la Loi 1971 de drogues – la même législation cette des drogues de commandes telles que l’héroïne. Mais les milliers de médecins ne semblent pas ne prendre aucune notification. Il peut être vrai que beaucoup ne sachent toujours pas quoi encore pour faire pour les patients qui souffrent de l’inquiétude ou des maladies soumettre à une contrainte-connexes. La seule conclusion que je peux tirer est que plusieurs mille médecins britanniques ne lisent pas des articles dans les journaux médicaux ni pas ils étudient la littérature qui est éditée par les compagnies de drogue. Ces médecins péniblement ignorants ont entre eux créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments que ce pays n’ai jamais vu. C’est leur penchant à prescrire ces médicaments terribles qui nous a donné une nation de drogués. Si M. Tutt – et d’autres comme lui – gagner, la profession médicale pourrait faire face à plusieurs millions de procès très chers et à la plus grande crise dans l’histoire moderne. Les portes d’inondation se seront ouvertes. DR Coleman est l’auteur de plus de 30 livres comprenant des fanatiques et des penchants. L’édition de livre broché à lui le dernier livre. La vie sans Tranquillisant, a été éditée il y a deux mois. Depuis lors il a reçu plus de 6.000 lettres des utilisateurs qui, il dit, sont assez fâchés pour poursuivre les médecinsqui les mettent sur la route au penchant. – Aujourd’hui, 7 mai 1986 Benzodiazépine Tranquillisers Citations des drogues Myth, 1992 DR Vernon Coleman, mb, ChB, DSc (Hon) Dans les années 60 et les années 70 quand les dangers se sont associés à des barbiturates était devenu largement connu, un groupe de drogues nouvellement découvert – les benzodiazépines – ont été présentés en tant que solutions de rechange sûres, efficaces et non provoquant une dépendance pour les patients qui ont eu besoin d’aide pour détendre ou obtenir le sommeil. Dans un espace très court des milliers de temps de médecins prescrivaient de vastes quantités des benzodiazépines pour des millions de patients et par la fin des années 1980 pratiquement chaque pays développé dans le monde a eu un problème important de dépendance aux benzodiazépines. Pour la troisième fois en moins d’un siècle des médecins et l’industrie pharmaceutique avait avec succès créé et favorisé une dépendance aux médicaments. Des drogues telles que l’héroïne et la cocaïne sont habituellement mises dans le premier groupe tandis que les drogues telles que les benzodiazépines se trouvent inévitablement dans le deuxième groupe. Cette sorte de classification n’a aucune base dans la science, parce que les tranquillisants de benzodiazépine sont beaucoup plus dangereuses et provoquent beaucoup plus de dépendance que les prétendues drogues « dures ». Et, naturellement, si un individu devient un fanatique par ses propres choix pauvres, par la chance malade ou par les erreurs d’un médecin, il sera encore considéré comme un fanatique. Le stigmate est identique. Des millions de personnes qui sont devenus dépendantes sans absolument aucune faute de leurs propres initiative sont mal traités par les médecins, par la société et par les employeurs. Pendant les deux dernières décennies j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres des personnes dont les vies ont été ruinées (dans chaque sens possible du mot) en raison d’une dépendance aux benzodiazépines. La plupart signal que l’agonie de leur dépendances a été composée par les sentiments de la honte et de la culpabilité qu’elles ont été encouragées à soutenir (par les médecins), et par le sens de l’outrage elles se sentent à la manière elles ont été traitées. Une des manières classiques d’acquérir un marché de médicaments est de donner des échantillions de boites de médicaments gratuites aux non-utilisateurs afin qu’ils essayent ceux ci, ensuite ils doivent payer leurs médicaments. Cette technique est régulièrement employée par les professionnels des médicaments. Par ailleurs, peu de temps après les benzodiazépines ont été présentés pour la première fois dans des approvisionnements gratuit aux hôpitaux de Grande-Bretagne ont été donnés librement aux hôpitaux afin de calmer des inquiétudes de gouvernement au sujet du coût. Ce programme de commercialisation de masse doit sûrement avoir aidé à mener au problème massif de penchant qui existe maintenant. Les benzodiazépines sont probablement les médicaments les plus provoquant une dépendance jamais créées et la vaste armée des médecins enthousiastes qui ont prescrit ces médicaments par tonne ont créé le plus grand problème de dépendance aux drogues du monde. J’avais bien averti de la taille de ce problème parce que j’avais fait campagne pour persuader des politiciens et des médecins de commander les benzodiazépines plus efficacement pendant la majeure partie de ma vie professionnelle ; pendant ce temps j’ai entendu et ai parlé aux dizaines de milliers de fanatiques dont les vies ont été ruinées par ces drogues. Quand les patients sont sevrés des benzodiazépines avec succès, bon nombre d’entre eux disent qu’ils se sentent mieux qu’ils ne se sont sentis pendant des années, sans tout autre traitement. Le danger des benzodiazépines est insidieux. Ces médicaments ont des symptômes de sevrage très semblables à ceux des barbiturates et à l’alcool mais ces effets de sevrage peuvent prendre beaucoup plus longtemps. On l’a connu longtemps avant ceci que les benzodiazépines ont posé des problèmes. La première publication d’article scientifique émettant l’avis qu’ils pourraient être provoquer une dépendance ont été édités en 1961 – juste une année après que le chlordiazepoxide (le premier des benzodiazépines) ait été lancé en Amérique. Le premier rapport clinique j’ai pu constater que détaillé les qualités provoquant une dépendance des benzodiazépines a été publié à un journal appelé Psychopharmacologia. Il a été écrit par trois médecins de l’hôpital du ministère des anciens combattants à Palo Alto, la Californie. L’article a signalé des réactions de sevrage du Chlordiazepoxide et il a décrit dans les détails dramatiques comment les patients qui avaient pris le médicament ont souffert des symptômes de retrait quand les médicaments a été arrêtée. Les auteurs de l’article ont édité dans Psychopharmacologia décrit comment onze patients qui avaient pris les doses assez élevées du chlordiazepoxide pendant jusqu’à six mois ont été soudainement enlevés leurs pillules et comprimés donnés de sucre à la place. Dizaines des onze patients ont éprouvé de nouveaux symptômes après retrait. Six patients sont devenus enfoncés, cinq ne pouvaient pas dormir et étaient agités. Deux des patients ont eu des convulsions ou des ajustements principaux. La plupart des symptômes se sont développées de deux à neuf jours après que les médicaments aient été arrêtés. Par le début des années 70. A. le nombre d’autres article avait été l’apparence éditée que les benzodiazépines pourraient causerune dépandance. En 1975 le journal international des penchants a porté un article important intitulé abus de diazepam : Un problème médical de plus en plus commun. Au cours des années suivantes j’ai écrit des articles dans des douzaines de journaux et de magazine au sujet de la dépendance aux benzodiazépines et j’ai contribué à faire une masse d’émissions télévisées et de radio. En conséquence j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres d’utilisateurs de tranquillisants (en même temps je recevais plus de mille lettres par semaine de personnes qui étaient dépendant aux tranquillisants et qui voulait de l’aide). Par le début des années 80 j’ai estimé qu’il y avait entre 2,5 et trois millions de fanatiques de benzodiazépine en Grande-Bretagne – et les millions de plus autour du monde. En plus des lettres des patients j’ai également reçu un vaste nombre de lettres des médecins, parce que bien que les dizaines de milliers de médecins distribuent toujours des benzodiazépines librement un nombre de plus en plus important se rendaient compte du problème. Beaucoup de conseillers et médecins généralistes m’ont écrit pour me dire qu’ils ont pensé que les benzodiazépines étaient des médicaments d’usages courants les plus provoquant une dépendance et les innombrables experts en matière de drogue m’ont dit que certains de leurs patients avaient eu beaucoup plus de mal sortir des benzodiazépines qu’a sortir de toutes les drogues illégales. Par la suite, en janvier 1988 le comité de la sûreté des médecines a finalement publié un « avertissement sur la dépendance aux benzodiazépines et des symptômes de sevrage ». Les médecins ont été averti que les benzodiazépines ne devraient pas être employées pendant plus de quatre semaines, et ont averti que l’utilisation chronique à long terme n’a pas été recommandée.  Mais il était trop tard pour des millions de patients. Le gouvernement, l’industrie pharmaceutique et la profession médicale auraient du agir quinze ans plus tôt – quand l’évidence a été rendue disponible la première fois . La profession médicale avait créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments qui allait provenir du vingtième siècle. Tristement, égaliser aujourd’hui, trois ans ensuite que l’annonce officielle, je recevais toujours des lettres journalières de patients britanniques  a qui l’ont a prescript des tranquillisants de benzodiazépine et les traductions de mes articles et livres concernant des benzodiazépines ont prouvé que le problème de benzodiazépine est seulement juste émergent dans beaucoup d’autres pays. Le plus alarmant de tous, peut-être, est le fait que la profession médicale, les politiciens et les compagnies de drogue semblent n’avoir appris peu ou rien de l’histoire tragique de benzodiazépine. Je crois fermement que n’importe quel médicament prescrit pour l’inquiétude s’avérera par la suite provoquant une dépendance, mais il me semble que ni des médecins ni les compagnies de drogue ne sont disposés à abandonner la recherche d’une solution pharmacologique profitable à l’inquiétude. Le résultat est, je craignent, qu’à l’avenir les problèmes liés aux benzodiazépines soient répétés à maintes reprises. Les benzodiazépines ont causé infiniment plus de douleur et de désespoir que toutes les drogues illégales ,mais les gouvernements et les législateurs ont été tellement plus concentré sur les drogues illégales telles que l’héroïne, cocaïne et cannabis qu’ils ont unanimement pas agis ni prorèger les patients jusqu’à ce que d’énormes quantités de dommages inutiles aient été faites. Les avertissements efficaces sur les barbituriques sont venues une décennie trop tard et l’avertissement significatif au sujet des benzodiazépines également est bien venu une décennie trop tard. Les politiciens et les législateurs ont vraisemblablement supposé que parce qu’un médicament est disponible pour la prescription celui-ci doit être sûr. S’ils avaient mis un pour cent de l’effort qui est entré dans une tentative de stopper la contrebande de drogue illégale dans des textes reglementant la promotion et la prescription des benzodiazépines le public aurait bénéficié au delà de toute la mesure. des drogues Myth (1992) par DR Vernon Coleman
 
the drug myth

Benzodiazépines : pire que l'héroïne (français)

L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin

Question n° 37402

Surconsommation de psychotropes
Question posée au ministre de la Santé, publiée au J.O. le 13/04/2004, p. 2919 ; réponse publiée au J.O. le 28/12/2004, p. 10522

M. Noël Mamère souhaite attirer l’attention de M. le ministre de la santé et de la protection sociale sur l’abus de médicaments, notamment de psychotropes dont notre pays est l’objet. En effet, la France est le plus gros consommateur de ce genre de produits au monde. Cela crée pour de nombreux Français une dépendance à ces tranquillisants, hypnotiques ou antidépresseurs, les obligeant à tromper les acteurs du système de santé pour se procurer leur dose quotidienne. Pour certains, c’est 30 médecins ou pharmaciens dans le mois et 20 à 30 comprimés par jour. Les hypnotiques sont les plus recherchés mais les benzodiazépines sont également très demandées. Les conséquences individuelles et collectives sont les mêmes que pour les drogues dites illicites, à la différence qu’elles sont remboursées par l’assurance maladie et que la recherche de médicaments psychotropes n’est pas faite en cas d’accident de la voie publique… Aucune prise en charge structurée pour ces patients dépendants aux médicaments psychotropes n’est véritablement en place. Pourtant, cette dépendance peut d’ores et déjà être déclarée aux centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance (CEIP) qui constituent des émanations régionales de l’Afssaps. Le formulaire qui permet cette déclaration mise en place par les CEIP permet de respecter l’anonymat du patient. Pour autant, cette déclaration n’est toujours pas légalement possible, car on attend toujours, près de cinq ans après sa parution, l’arrêté ministériel évoqué dans l’article R. 5219-15 du code de la santé et qui en définirait les modalités. La gravité et la prévalence de la dépendance aux médicaments psychotropes sont en partie méconnues en France. A l’heure actuelle, les bases de données de l’assurance maladie permettent le repérage de ces patients mais l’absence de ce texte interdit aux médecins-conseils de la sécurité sociale toute déclaration aux centres de pharmacodépendance. Il souhaite donc connaître les mesures qu’il compte prendre afin de mettre un terme à cette situation.

Texte de la REPONSE : Selon la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT), qui a réalisé un point sur la consommation de médicaments psychotropes en France en 2002 (sources : EROPP 2002, OFDT et Baromètre santé 2000, INPES, exploitation OFDT), l’usage de médicaments psychotropes en 2002 concernait 14,1 % des hommes et 25,3 % des femmes. La consommation de tranquillisants ou de somnifères s’avère relativement fréquente au sein des générations les plus âgées : elle concerne une femme sur cinq et un homme sur dix parmi les 55-75 ans. Au cours des dix dernières années, les indicateurs de consommation sont restés relativement stables pour les anxiolytiques et les hypnotiques. En revanche, la tendance pour la consommation d’antidépresseurs est en nette augmentation. Ces consommations de médicaments psychotropes peuvent être à des fins thérapeutiques ou à usage détourné. Selon l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), la frontière entre ces deux types de consommations est difficile à observer. Les médicaments psychoactifs étant en général pris en charge par l’assurance maladie, les données issues de l’exploitation des ordonnances présentées aux organismes d’assurance maladie pourraient fournir des renseignements utiles. Les limites de ces données tiennent à la représentativité imparfaite des populations couvertes par ces organismes et au fait qu’ils ne prennent en compte que les prescriptions effectuées en médecine ambulatoire. Par ailleurs, le caractère polymorphe et la difficulté de définition précise de la dépression et de l’anxiété rendent particulièrement délicate l’étude de l’adéquation entre prescription et diagnostic, et donc l’observation des consommations excessives des médicaments psychoactifs. Il est difficile de distinguer, parmi l’ensemble des consommations celles qui sont excessives ou qui induisent une dépendance. La seule piste explorée jusqu’à présent repose sur l’étude de l’adéquation entre pathologies et prescriptions : ainsi, une enquête réalisée par la CANAM en 1996 suggère que les durées des prescriptions sont globalement respectées (depuis 1991, la durée des prescriptions des tranquillisants et des somnifères est limitée pour que le médecin évalue régulièrement l’intérêt du traitement : quatre semaines pour les somnifères, douze semaines pour les tranquillisants), mais que les ordonnances sont souvent renouvelées, l’arrêt de ces traitements étant d’autant moins envisagé par le patient qu’il est âgé et qu’une précédente tentative de sevrage s’est traduite par un échec. Les centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance (CEIP) disposent de données issues notamment de la notification dite spontanée (il s’agit en fait d’une déclaration obligatoire, prévue par l’article R. 5219-13 du code de la santé publique), réalisée par les professionnels de santé, directement auprès de ces centres, voire par l’intermédiaire des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) auxquels ces professionnels sont plus accoutumés, ces deux réseaux gérés par l’Afssaps travaillant en coordination. Ces données sont transmises par l’intermédiaire du dispositif TREND (Tendances récentes et nouvelles drogues) à l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT). La mutualisation des données dont disposent les caisses d’assurance maladie et les CEIP, encore ponctuelle (réalisation d’enquêtes spécifiques), devrait effectivement évoluer vers une information réciproque plus systématique. Cela passe notamment par la déclaration aux CEIP des cas identifiés par les médecins-conseils de l’assurance maladie. L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin, l’article R. 5219-13 du code de la santé publique (CSP) ne subordonnant pas cette obligation à la publication d’un arrêté. Le fait que les modalités de déclaration n’aient pas encore été fixées par l’arrêté du ministre chargé de la santé, pris sur proposition du directeur général de l’Afssaps, prévu à l’article R. 5219-15 ne dispense en rien les médecins de cette obligation. Pour l’heure, le modèle de déclaration devant figurer dans cet arrêté fait encore l’objet de réflexions afin de garantir parfaitement l’anonymat du patient. Dans l’intervalle, la déclaration peut être effectuée soit sur papier libre, soit à partir d’un modèle provisoire que l’Afssaps diffuse sur son site Internet.

Rappel :

Décret n° 95-278 du 13 Mars 1995 : « Tout médecin, chirurgien-dentiste ou sage-femme ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament ou produit, qu’il l’ait ou non prescrit, doit en faire la déclaration immédiate au centre régional de pharmacovigilance. » « De même, tout pharmacien ayant eu connaissance d’un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament qu’il a délivré doit également le déclarer aussitôt au centre régional de pharmacovigilance. » « Tout membre d’une profession de santé ayant fait la même constatation peut également en informer le centre régional de pharmacovigilance. » (Article R-5144-19).

Témoignages

des symptômes prolongés de sevrage aux benzodiazépines qui p from webmaster avimedi on Vimeo.

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Manuel professeure Ashton et conférence

http://www.benzobookreview.com/ashton.html

Professeur C. Heather Ashton est le principal expert en benzodiazépines et sevrage des benzodiazépines. La professeur Ashton discute de sa méthode de sevrage aux benzodiazépines  
Les benzodiazépines sont parmi nous depuis presque 50 ans et raremement un groupe de médicaments a donné des espoirs thérapeutiques aussi prometteurs. La large étendue d’action que nous connaissons déjà, hypnotique, anxiolytique, myorelaxante, anticonvulsive, combinée avec une faible toxicité et une prétendue absence de dépendance a conduit à un taux de prescriptions et d’extra prescriptions à des millions de personnes pour des problèmes de santé courants. Elles sont dispensées à long terme et souvent régulièrement pendant de nombreuses années pour l’insomnie, l’angoisse et la dépression et aussi pour le stress des examens, pour les étudiants en médecine, et je pense qu’il y a un ou deux étudiants en médecine présents dans la salle (n’en prenez pas si vous allez passer des examens), pour des douleurs menstruelles, pour des acouphènes ou des blessures sportives, pour des douleurs de dos, des asthénies post-virales, les femmes battues, des deuils et en fait pour des stress ordinaires de la vie et ceci pour n’en citer que quelques uns.
Le diazepam ou Valium, l’une des onze benzodiazépines disponibles à l’époque devint dans les années 1970 la drogue la plus largement prescrite dans le monde ; puis vint le retour de flammes. Dans les années 1980, des utilisateurs de longue date se rendirent compte par eux-mêmes que le temps passant les drogues perdaient leur efficacité et que s’y associaient des effets contradictoires ; en particulier les patients trouvaient difficile d’arrêter les benzodiazépines à cause des syndromes de sevrage, et un groupe de patients véhéments Royaume Uni se sont plaints de dépendance à ces médicaments. Et des essais cliniques, menés par Lader, Tyrer sur ces patients en 1982 et 1983 démontrèrent indubitablement que les symptômes de sevrage à partir de doses thérapeutiques de benzodiazépines étaient réels et qu’ils indiquaient leur dépendance à ces médicaments

Professeur Heather Ashton sur des benzodiazépines – vue d’ensemble

Comment diminuer progressivement les benzodiazépines
La taille de chaque dose de réduction dépend de la dose de départ. Les malades qui prennent une forte dose peuvent généralement supporter une plus grande réduction de dose que ceux qui prennent une dose plus légère.Par exemple, les malades qui prennent l’équivalent de 40 mg de diazépam peuvent tolérer une diminution de 2 voire, 4 mg toutes les deux semaines. Quand ils arrivent au palier de réduction de moins de 20mg, une réduction de 1 à 2 mg toutes les semaines ou toutes les deux semaines est préférable et même une réduction de ½ mg peut être souhaitable jusqu’à ce qu’ils atteignent le palier de 5mg.
L’arrêt des 3 derniers mg est souvent perçu par les patients comme particulièrement difficile car ils redoutent comment ils vont faire sans drogue du tout..
Cependant, la séparation finale est étonnamment facile alors que la confiance augmente et que les patients sont encouragés par leur nouvelle liberté de « désintoxiqués »
Et l’objectif général de la stratégie de diminution progressive de doses est d’accomplir une diminution lente, stable, et douce de la concentration de benzodiazépines dans le sang, qui laisse le temps aux ajustements pharmacologiques et psychologiques nécessaires que j’ai déjà mentionnés auparavant. Et cela peut inclure une véritable resynthèse des récepteurs de gababenzodiazépines qui ont un fonctionnement déficient pendant la prise chronique de benzodiazépines comme je l’ai déjà expliqué

Et je ne prétends pas que le message que je vais décrire est le dernier mot en ce qui concerne le sevrage de benzodiazépines, mais il est fondé sur des expériences très proches avec ces patients qui ont fréquenté ma clinique, et qui s’exprimaient très bien, et cela a été dernièrement confirmé par des centaines et des centaines de patients avec qui je suis en contact depuis que la clinique a fermé, et ces principes de bases concernant le sevrage de benzodiazépines sont vraiment très simples . Ils consistent simplement en une réduction graduelle du dosage et du soutien psychologique si besoin. Il est généralement admis que le dosage devrait être diminué graduellement. Un sevrage brutal, particulièrement d’un dosage important peut précipiter des convulsions, des psychoses et des réactions de panique.
Et le rythme de la diminution devrait être individuellement adaptée au besoin personnel du patient, en prenant en compte le style de vie, la personnalité, les stress environnementaux, les raisons pour la prise de benzodiazépines, la durée et la dose de l’utilisation du médicament, , la quantité de soutien possible et beaucoup d’autres facteurs personnels. Il ne peut pas y avoir un seul protocole qui s’applique à tout le monde parce que tout le monde est différent, et le processus entier peut prendre des semaines, ou même une année ou plus. Il me semble qu’il n’est nul besoin de se presser chez les patients qui prennent des benzodiazépines depuis des années, de toute façon.
Faire sans les médicament est essentiellement un processus d’apprentissage qui peut prendre très longtemps, et d’après mon expérience, les meilleurs résultats des essais sont accomplis si le patient lui-même et non pas le docteur contrôle le rythme de sevrage et qu’il peut procéder au rythme qui lui semble tolérable.

La plupart des patients sont tout à fait capables de contrôler leur propre sevrage à condition d’avoir les conseils adaptés et des encouragement ; le docteur et le patient ensemble peuvent décider initialement d’un planning de sevrage, mais cela peut exiger des réajustements de temps en temps en fonction des progrès.Et si des problèmes apparaissent, le dosage peut être stabilisé pendant quelques semaines ou le taux de sevrage diminué.
Mais il est important de toujours aller de l’avant et d’éviter de revenir à un palier antérieur qui consisterait à réaugmenter le dosage. Pour la plupart des patients à une dose thérapeutique de benzodiazépines, le sevrage est mieux pris en charge en ambulatoire.
Des désintoxications rapides dans des centres de désintoxication sont totalement inappropriées parce que c’est trop rapide et le patient n’a pas le temps de construire des techniques alternatives dans son propre environnement, un processus qui peut prendre plusieurs mois, et les patients qui deviennent involontairement dépendants par des prescriptions médicales trouvent souvent très traumatisant d’être traités

"il est démontré que les hypnotiques au long court sont non seulement inefficaces, mais délètères"

 "Par exemple, en cas d’insomnie chronique, il est démontré que les hypnotiques au long court sont non seulement inefficaces, mais délètères : en effet, si l’on enregistre le sommeil d’un insomniaque, on trouve un sommeil de mauvaise qualité, raccourci et émaillé de nombreux reveils. Lorsqu’on lui prescrit un hypnotique, le sommeil s’allonge et les éveils disparaissent pendant deux ou trois semaines. le patient se dit satisfait. Si l’on poursuit la prescription au-delà d’un mois, le patient continue à dire qu’il dort et pourtant, les enregistrements montrent un retour à la case départ : le sommeil est raccourci et les réveils nombreux"
 
extrait de : L’Enfer de la médecine…
Patrick Lemoine
 

Sécurité d’emploi des benzodiazépines et produits apparentés

Sécurité d’emploi des benzodiazépines et produits apparentés
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le 7 septembre 2001
Mise au point sur les troubles du comportement liés à l'utilisation des benzodiazépines et produits apparentés (BZD*)
 
Madame, Monsieur,

Comme vous le savez, les benzodiazépines et produits apparentés font l’objet d’une surveillance active par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) pour limiter la consommation et améliorer le profil de sécurité d’emploi de ces spécialités.

En raison du risque de dépendance, d’abus et d’usage détourné par les toxicomanes, plusieurs mesures, notamment de retrait, de déremboursement et de suppression de fort dosage, ont été prises successivement au cours des 15 dernières années.

En 1991, la durée de prescription a été réduite à 4 semaines pour les hypnotiques et à 12 semaines pour les anxiolytiques. Depuis février 2001, les spécialités à base de flunitrazépam doivent être prescrites sur ordonnance sécurisée pour une durée limitée à 14 jours.

Les benzodiazépines et produits apparentés ont été rarement impliqués dans la survenue de troubles du comportement, parfois appelés syndromes paradoxaux, pouvant induire un risque pour le patient lui-même ou pour autrui.

Toutefois de telles manifestations ont été observées sous posologie normale, indépendamment de la durée du traitement. Elles semblent être favorisées par des facteurs liés au patient mais aussi à la prescription. Ces données ont conduit l’Afssaps à organiser une réflexion sur le bon usage de ces médicaments.

Ce risque, rare mais potentiellement grave, peut être évité en respectant les recommandations de bon usage rappelées dans la mise au point jointe.

Je vous remercie de nous accompagner dans cette nouvelle démarche visant la réduction du risque iatrogène médicamenteux.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

Philippe DUNETON


Mise au point sur les troubles du comportement liés à l'utilisation
des benzodiazépines et produits apparentés (BZD*)


- Commercialisées depuis plus de 40 ans, les BZD largement sont utilisées en pratique courante pour leurs propriétés anxiolytique, sédative, myorelaxante et anticonvulsivante.
- Les BZD peuvent entraîner des troubles du comportement parfois graves, qu'il faut savoir repérer et éviter au maximum, notamment en respectant leur bon usage.
- La prescription des BZD n’est pas anodine. Elle ne constitue pas le traitement de fond d’un trouble anxieux. Une dépression doit être systématiquement recherchée.

Troubles du comportement liés à la prise de BZD

Quels sont-ils ?

Les BZD peuvent entraîner un syndrome associant, à des degrés divers, une altération de l'état de conscience à des troubles du comportement et de la mémoire, c'est-à-dire :

- désinhibition avec impulsivité ;
- euphorie, irritabilité ;
- amnésie, typiquement de fixation ;
- suggestibilité.

Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :

- comportement inhabituel pour le patient ;
- comportement agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient ;
- conduites automatiques avec amnésie post-événementielle (par exemple : voyages lointains).

L'individualisation de ce syndrome est parfois difficile. Il doit être distingué d'autres entités cliniquement proches (ictus
sur ce sujet
  • actualite : Le marketing douteux du lobby pharmaceutique
  • edito : Entre médicaments et drogues : le business des psychotropes
amnésique, amnésie lacunaire observée au décours d'un alcoolisation aiguë). Toutes les benzodiazépines et les produits apparentés sont concernés.

Quand surviennent-ils ?

A n'importe quel moment du traitement :

- lors d'une administration même unique, même à posologie habituelle ;
- quelle que soit la durée du traitement.

Quels sont les facteurs favorisants ?
Ils ne sont pas formellement identifiés. Certains semblent probables :

une consommation concomittante d'alcool, des antécédents d'ivresse pathologique (avec troubles du comportement),
- l'utilisation de BZD à courte durée d'action ;
- l'association à un autre psychotrope ;
- certains comportements à type d'intolérance à la frustration, tels qu'observés chez les personnes présentant un trouble de la personnalité ;
- une dépression non traitée (majoration du risque suicidaire).

Afin d'évaluer au mieux ces troubles, toute suspicion en relation avec la prise de BZD doit être signalée aux Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV).

Rappel du bon usage des BZD

Ne pas prescrire en dehors des indications : s'assurer du bon diagnostic

En raison du danger potentiel lié à l'utilisation de BZD :
Le rapport bénéfice/risque de toute prescription doit être :


- évalué avant le début du traitement ;
- réévalué pour tout renouvellement d'ordonnance ;

Une dépression doit être systématiquement recherchée.

Attention : une insomnie ou des troubles anxieux peuvent être associés à une dépression et en être les principaux symptômes chez certains patients.

Chez le sujet anxieux :

Les BZD ne sont qu'un traitement symptomatique et ne constituent pas la seule prise en charge.
Leur prescription n'est pas toujours justifiée.

Chez le sujet déprimé :

Les BZD ne doivent pas être prescrites seules car elles laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance du risque suicidaire (notamment par intoxication médicamenteuse).

Chez les sujets avec anxiété et troubles du sommeil, elles peuvent être utiles en début de traitement de la dépression, en raison de l'action retardée des antidépresseurs (2 à 4 semaines).

Respecter la dose

Débuter le traitement par la dose minimale préconisée

Augmenter, si nécessaire, jusqu'à la dose minimale efficace pour le patient

Ne pas dépasser la dose maximale préconisée

Respecter la durée de prescription

Elle doit être aussi brève que possible, notamment :

de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise,
de 2 à 5 jours en cas d'insomnie occasionnelle et 2 à 3 semaines en cas d'insomnie transitoire (excepté pour fluni trazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours).

Respecter les contre-indications

Les BZD ne doivent jamais être utilisées en cas de :

- insuffisance respiratoire sévère ;
- syndrome d'apnée du sommeil ;
- insuffisance hépatique sévère ;
- hypersensibilité connue.

Elles sont généralement déconseillées en cas de :

- myasthénie ;
- grossesse, allaitement ;
- association avec l'alcool ;
- enfant de moins de 15 ans.

Xanax : la pilule qui mène en enfer

Toxicomanie médicamenteuse « défonce toxicomaniaque »…

Antidépresseurs, tranquillisants, psychotropes en général : surmédicalisation et toxicomanie médicamenteuse

Un extrait de l’émission de Canal+ « Lundi investigation », mars 2008 : « Tranquillisants : l’overdose ? » Il y est question de ces patients drogués avec les « drogues du pauvre », comme le dit spontanément une femme traitée depuis une dizaine d’années par des quantités ahurissantes de plusieurs types de psychotropes à la fois. C’est le même constat que faisait Paul Arcand dans son documentaire « Québec sur ordonnance », dont nous avons rendu compte dans cette note. Certains patients passent d’un comprimé au « millefeuille thérapeutique », puis à la « défonce toxicomaniaque »… Mais dire, comme le fait un médecin interviewé, que les médecins sont conscients mais ne peuvent pas résister à la pression des patients est bien trop léger… Les médecins seraient, paraît-il, trop gentils et n’auraient pas appris à dire non… Plus raisonnable semble l’explication du directeur de la revue Prescrire et celle de Philippe Pignarre qui mettent en cause le marketing de l’industrie pharmaceutique, y compris la publicité déguisée en « campagnes d’information », qui atteint à la fois les médecins et les patients.

Benzodiazépine + opioïde = mort du patient

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Sevrage brutal des benzodiazépines video

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