Un syndrome de sevrage monumental. Le vrai syndrome de manque du drogué privé de son produit. Boule d’angoisse permanente dans l’estomac, 5 nuits totalement blanches, à sauter de douleur, d’anxiété, d’irritation, de stress, d’envie impossible de s’endormir et de se calmer. Gêne respiratoire, impression d’étouffer, une véritable samba dans le lit, sans position calmante ! 10 jours après, les nuits ne sont pas encore normalisées.
Les opiacés, ces médicaments qui contiennent des dérivés d’opium, sont aujourd’hui en France la première cause de morts par overdose. Plus de 500 décès chaque année, c’est 6 fois plus que l’héroïne et presque que 5 fois plus que la méthadone.
Le gouvernement canadien envisage de classer le tramadol en opioïde suite à une forte hausse de délivrances d’ordonnances de ce puissant analgésique au cours des dernières années
les analgésiques sur ordonnance tuent plus de personnes que l’héroïne et la cocaïne. On observe que le Tramadol revendique plus de victimes que tous les autres médicaments. Les experts suggèrent qu’il devrait être mis à niveau vers la catégorie de classe A.Tramadol est prise par des milliers de personnes. Il est encore plus mortel lorsqu’il est mélangé avec de l’alcool.
« Les gens semblent supposer que le tramadol est sûr parce qu’il est prescrit par les médecins, mais dans mon esprit, il est tout aussi dangereux que l’héroïne et devrait être reclassé comme un médicament de classe A »,
Pour l’interdiction du tramadol
Le tramadol (Nobligan, Tiparol, Topalgic, Tradolan, Tramal, Ultram, Ixprim) est un antalgique central développé par la firme allemande Grünenthal GmbH. On le classe dans la catégorie des antalgiques de niveau 2, catégorie comprenant la codéine et le dextropropoxyphène.
Il agit sur le même type de récepteur que la morphine, c’est un agoniste des récepteurs morphiniques. Il a un pouvoir analgésique légèrement plus fort que la codéine (
50 mg de tramadol équivalent à
10 mg de morphine). De plus, contrairement à cette dernière, le tramadol est disponible sans paracétamol et à des dosages plus élevés que la codéine. C’est pourquoi on le classe comme antalgique de palier II.b.
Le tramadol est une molécule
racémique qui possède deux mécanismes d’action :
évogyre : inhibe la recapture de la noradrénaline (donc les voies descendantes du contrôle de la douleur) ;
dextrogyre : agoniste µ et inhibe la recapture de la sérotonine (5HT)
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
Pire que le Di-Antalvic qu’il est censé remplacer, ce médicament entraîne des effets secondaires graves et une accoutumance.
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction,
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, inquiète l’Afssaps. Il causerait une forte dépendance. afp.com/Philippe Merle Les autorités françaises de contrôle du médicament ont placé le Tramadol sous surveillance. Présente dans une vingtaine de médicaments, la molécule serait à l’origine d’une très forte dépendance.
je voulais souligner la dangerosité du tramadol, en général et essentiellement chez les personnes âgées.
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur le
forum Psychoactif (forum
vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
A Ouagadougou, de plus en plus de travailleurs pauvres consomment ce puissant antalgique pour affronter les longues journées et la chaleur étouffante.
Tramadol en Afrique de l’Ouest ces dernières années
[4]. Entre février et octobre 2012, 24 conteneurs transportant près de 130 tonnes de ce produit ont été interceptés au Bénin, au Ghana, au Sénégal et au Togo. Deux ans plus tard, en 2014, les services mixtes de contrôle portuaire de Cotonou (Bénin) et Tema (Ghana) saisissaient plus de 43,5 tonnes. Ces saisies, si elles se concentrent dans les ports du golfe de Guinée, sont loin de s’y limiter. En janvier 2016, la police nigérienne découvrait 7 millions de comprimés
[5], une prise record dans un pays considéré comme la principale destination des comprimés déchargés au Bénin ou au Ghana mais où les saisies sont généralement de faible ampleur.
un peu plus fort que la codéine (50mg de Tramadol correspond à 10 mg de morphine).
Les utilisateurs réguliers souffrent de dépression, de fatigue, ou encore de problèmes rénaux ou intestinaux. En somme, le médicament miracle a tout l’air d’être un poison.
La tramadol abaisse le seuil de la crise d’épilepsie. ..faut faire vraiment gaffe avec le tramadol!
L’effet analgésique du tramadol s’expliquerait aussi par un deuxième mécanisme d’action : il inhiberait le recaptage de la sérotonine et de la noradrénaline; Cela entraînerait donc l’activation des voies centrales inhibitrices de la douleur dans la moelle épinière; C’est aussi par ce mécanisme que le tramadol interagirait avec les antidépresseurs et accroîtrait le risque de syndrome sérotoninergique
En deux ans – c’est à dire de 2014 à 2016, le nombre de mort a doublé, passant donc de 33 000 à 62 500. Et cette tendance ne semble pas faiblir en 2017.
en plus de la dépendance classique clairement identifiée aux composés morphiniques, viennent s’ajouter des phénomènes de
sevrage identiques à ceux rencontrés lorsque les patients doivent arrêter les
antidépresseurs de type
ISRS ou
IRSNa.