Les génocides médicaux : iatrogénocide
- Par autisme88
- Le 03/05/2018
Peter C. Gøtzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. " Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste... Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins... Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique... Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité... Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. "
"il nous faut un autre Nuremberg, un Nuremberg de la santé."
Le monde se réveille, un Nuremberg de la santé se profile à l’horizon
Lorsqu’on répondra à cette série de questions et à beaucoup d’autres on réalisera alors qu’il nous faut un autre Nuremberg, un Nuremberg de la santé. En effet est-il acceptable que l’on continue d’accepter les mêmes méthodes de traitement des cancers – la chimiothérapie, radiothérapie & immunothérapie – dont on sait d’avance qu’elles engloutissent beaucoup d’argent et sont vouées à l’échec ?
« En présence des Maîtres de cette école, de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets … » ii C’ est ainsi que commence le serment d’Hippocrate, celui que tous les médecins font avant leur entrée en fonction avant d’ajouter « je donnerai mes soins gratuits à l’indigent, et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail ». Et pourtant certains professionnels de la santé continuent à se faire les apôtres et les défenseurs d’une politique médicale inepte et criminelle dont les scandales comme le Vioxx et le Mediator ne sont que des minuscules parties émergées de l’iceberg de la désinformation médicale. Pire encore, les partisans de la pensée unique dominante continuent d’organiser des campagnes de dénigrement des chercheurs originaux et tant d’autres anonymes incapables parfois de mener leurs travaux à terme.
Dénis conduisant au Négationnisme
Benzodiazépines / somnifères : génocide, assassinats, euthanasies
Vaccins covid19 : crime contre l'humanité
Sauvegarde de quelques témoignages de victimes des vaccins covid19: les morts
Des millions de personnes sont mortes à la suite de l’injection de covid et des centaines de millions d’entre elles ont subi des effets secondaires graves qui les ont souvent rendues handicapées à vie
Steve Kirsch estime que les effets secondaires de la vaccination sont sous-déclarés d’un facteur 41
Bulletin vaccination Covid19 Union Européenne du 2 Octobre 2021
– Décès avérés : 26.527 +5,1% depuis le 18/9/2021
(+130,1% depuis le 15/05/21)
– Effets secondaires : 2.757.803 +5,7% depuis le 18/9/2021
(+122,2% depuis le 15/05/21)
"Aller vacciner en EHPAD : vous êtes fou ! c'est un génocide !" dr louis Fouché
Vaccins covid19 : génocide vaccinal
La vaccination multiplie par 260 le risque de décès chez les moins de 65 ans
Le génocide des personnes âgées
Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans.
Le génocide avec les drogues psychiatriques
Plus de 80 millions d’ordonnances pour les médicaments psychiatriques sont rédigés au Royaume-Uni chaque année. Non seulement sont ces médicaments souvent tout à fait inutiles et inefficaces, mais ils peuvent aussi transformer les patients en toxicomanes, entraîner des effets secondaires invalidantes – et tuer. Par exemple, antipsychotiques, couramment donnés aux patients atteints de démence afin qu’ils gardent leur calme, augmentent le risque de maladies cardiaques, de diabète et d’accident vasculaire cérébral. Les médicaments psychotropes rendent aussi les chutes plus probable, et casser une hanche peut raccourcir la vie significativement, tandis que certains antidépresseurs sont liés à une arythmie potentiellement mortelle.
Le génocide des métaboliseurs lents
Pourquoi tester?
Chaque année, plus de 8,6 millions d’événements indésirables médicamenteux (EIM) sont signalés aux États-Unis – 2,2 millions d’entre eux sont graves.
En fait, les événements indésirables sont la quatrième cause de décès à l’échelle nationale, après les maladies cardiaques, le cancer et les accidents vasculaires cérébraux, et ils placent un énorme fardeau financier pour le système de santé.
Même avec la prescription appropriée, la génétique d’un patient peuvent affecter la façon dont ils métabolisent et répondre aux médicaments. Plus de 85% des patients ont des variations détectables dans leur ADN qui augmentent leur risque d’une ADE.
Les effets indésirables graves (RMIS) sont une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde entier. Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques…..L’incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l’incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l’industrie pharmaceutique internationale des soins de santé
Anti-inflammatoire non stéroïdien / AINS : vioxx / célébrex / arcoxia / bextra / ibuprofène / advil / diclofénac / voltarène.... : un génocide ?
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
La procédure judiciaire a débouché sur un accord à l’amiable assorti d’une amende record de 2,3 milliards de dollar (1,5 milliard d’€uros.
Le médecin touchait une prime de 50 dollars s’il prescrivait du Bextra avant ou après une intervention chirurgicale.
Sept médicaments antalgiques, de la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), figurent dans cette liste de 74 médicaments jugés plus dangereux qu'utiles.
Les 7 AINS plus dangereux qu'utiles sont :
Les coxibs :Célécoxib (Celebrex)Étoricoxib (Arcoxia),Parécoxib (Dynastat)Ils «exposent à un surcroît d’accidents cardiovasculaires (dont thromboses et infarctus du myocarde) et d’effets indésirables cutanés par rapport à d’autres AINS aussi efficaces" ».
Les AINS :Acéclofénac (Cartrex ou autre)Diclofénac (Voltarène ou autre)Ils « "exposent à un surcroît d’effets indésirables cardiovasculaires (dont infarctus du myocarde, insuffisances cardiaques) et de morts d’origine cardiovasculaire par rapport à d’autres AINS aussi efficaces».
Le kétoprofène en gel (Ketum gel ou autre)« "Il expose à un surcroît de photosensibilisations (eczémas, éruptions bulleuses) par rapport à d’autres AINS topiques aussi efficaces." »
Le piroxicam par voie générale (Feldène ou autre)« "Il expose à un surcroît de troubles digestifs et cutanés (dont des syndromes de Lyell), sans être plus efficace que d’autres AINS.»
Des synthèses menées à partir de centaines d'essais ont montré une augmentation statistiquement significative des effets indésirables cardiovasculaires graves avec les AINS, en particulier avec les coxibs (étoricoxib (Arcoxia°), célécoxib (Célébrex° ou autre)), le diclofénac (Voltarène° ou autre) et probablement avec les fortes doses (2 400 mg par jour) d'ibuprofène (Brufen° ou autre) : augmentation des infarctus du myocarde, morts de cause vasculaire, et insuffisances cardiaques.
En 2004, six ans avant la polémique sur le Mediator, le scandale du Vioxx avait secoué le monde médical, et conduit le fabricant, Merck, Sharp et Dohme-Chibret (MSD), à retirer cet anti-inflammatoire du marché après des études révélant qu'il augmentait les risques cardio-vasculaires, notamment d'infarctus. Visé par quelque 26 600 plaintes, le laboratoire, après s'être défendu, s'est finalement résolu, en 2007, à accepter un accord amiable indemnisant les patients à hauteur de 4,85 milliards de dollars (3,64 milliards d'euros)
Quand l’Arcoxia® sera-t-il retiré ?
En mars 2010, l’Arcoxia®, un médicament de la même famille que le Vioxx®, produit par le même laboratoire Merck, est arrivé sur le marché français. Cet anti-inflammatoire non stéroïdien est indiqué pour soigner l’arthrose, les crises de goutte et la polyarthrite rhumatoïde.
Il fait partie des médicaments qui sont sur la sellette avec un suivi renforcé en raison de son appartenance à la classe des Coxibs, accusés de pouvoir augmenter un risque cardiovasculaire, tel qu’une hypertension artérielle, des œdèmes, une insuffisance cardiaque congestive, un taux de cholestérol élevé ou un diabète, sans compter le risque d’effets indésirables gastro-intestinaux, lors de la prescription associée à un Coxib.
Le cas de l'étoricoxib (Arcoxia°)
Le 12 avril 2007, la FDA a refusé à 20 voix contre 1 d'autoriser la mise sur le marché de l'étoricoxib (Arcoxia°), un nouvel antalgique de la firme Merck, car il ne présentait pratiquement aucun avantage et exposait à des risques importants de problèmes cardiovasculaires. Ce qui est intéressant, c'est que la plupart des pays européens ont autorisé la mise sur le marché de ce médicament que la FDA a jugé inutile et dangereux (d). Dans ces pays, Merck le commercialise, et les médecins le prescrivent aux patients. Or la presse en ayant peu parlé, ils ignorent ce qu'en pense la FDA. Ne faudrait-il pas poser des questions précises afin de savoir en premier lieu pour quelle raison ce médicament a été mis sur le marché, et ensuite s'il doit y rester ?
interdiction d'arcoxia
demandée par la revue prescrire (janvier 2013)
Le génocide des malades Alzheimer
Ces traitements ne doivent pas seulement être déremboursés ou remboursés à 15 %, ils doivent être simplement retirés du marché.
20 milliards d'euros escroqués aux français, avec l'accord de la sécu, pour des médicaments Alzheimer inutiles mais souvent mortels,
Petit rappel des faits. Le bénéfice de 4 médicaments proposés et de leurs génériques, dont la facture globale en vingt ans a coûté 20 milliards d’euros aux Français avait déjà été mis en doute en 2011 par la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais cette fois elle est catégorique. Selon son rapport du 21 octobre 2016 [1], elle recommande le déremboursement de ces médicaments qui concerne, à ce jour, 850 000 personnes.
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
médicaments alzheimer inutiles et dangereux
Alzheimer : des médicaments inutiles, meurtiriers, mais remboursés
Depuis six ans, la revue «Prescrire» alerte sur l’inefficacité et les effets secondaires, parfois mortels, des spécialités pharmaceutiques autorisées (et remboursées) contre cette maladie. En vain
« Tous les essais cliniques ont démontré que les médicaments anti-Alzheimer n'amélioraient pas de façon significative l'état de santé des patients »
"Le donépézil a un effet modeste et transitoire (quelques mois) chez environ 10 % des patients", indiquait la revue Prescrire en 2008. "L'efficacité des 3 autres médicaments n'est pas meilleure. À long terme, un essai comparatif randomisé d'une durée de 3 ans a montré que le donépézil ne retardait ni l'entrée en institution ni la perte d'autonomie chez les malades atteints d'une forme légère à modérée de la maladie d'Alzheimer", résumait la revue."
liste des médicaments pour Alzheimer «inhibition de la cholinestérase»
En France, près de 70% des 800 000 patients atteints par la maladie d’Alzheimer sont sous traitement spécifique (trois fois plus qu’au Royaume-Uni, où le rapport efficacité/coût de ces médicaments n’est pas reconnu). « Sur la forme, le guideline de la HAS est critiquable en ce sens que (…) les conclusions de l’argumentaire ne reflètent pas les données présentées dans le corps de texte de l’argumentaire », note le jeune médecin de 31 ans. « De plus, les propositions de la HAS ne font pas l’objet d’une graduation (recommandation de grade A, B ou C), ce qui empêche le lecteur d’identifier le niveau de preuve scientifique de chacune de ces propositions. Il n’y a, par ailleurs, aucun index bibliographique. Les preuves apportées ne sont donc pas vérifiables. Sur le fond, la HAS omet de parler des risques : troubles cardiaques et digestifs parfois sévères, mais également neurologiques (vertiges, tremblements, confusion, dépression…), sans compter de multiples interactions néfastes qui ont été rapportées avec d’autres molécules. « Les données de la science prouvent quant à elles une balance bénéfices-risques clairement défavorable pour ces médicaments. Deux études(4) de taille ont été oubliées (…). L’une comme l’autre étaient en défaveur du traitement médicamenteux. Pourquoi ces études n’ont-elles pas été abordées ? », questionne Louis-Adrien Delarue. La HAS ne livre pas d’analyse des coûts globaux de l’ensemble de ces traitements. Or un milliard d’euros ont été dépensés entre 2006 et 2009 selon les chiffres du SNIIR-AM(5) , soit une moyenne de 250 millions d’euros par an. Largement de quoi financer l’actuel plan Alzheimer 2008-2012 majoritairement consacré à la prise en charge de malades, et non aux médicaments. Sur les 17 membres du groupe de travail « Alzheimer » dont la déclaration publique d’intérêt est accessible (trois ont oublié cette obligation), neuf ont déclaré des liens d’intérêts et six d’entre eux ont des liens considérés comme « majeurs » selon les propres critères la HAS. Y compris, la présidente du groupe de travail, en tant que « conseiller scientifique » des quatre firmes concernées par les traitements de la maladie d’Alzheimer. Les règles élémentaires de gestion des conflits d’intérêts de la HAS sont donc clairement bafouées, puisque la HAS récuse, à la fonction de président du groupe de travail, tout professionnel ayant des liens majeurs avec les firmes pharmaceutiques concernées par les recommandations professionnelles.
Médicaments de l’Alzheimer (liste d’articles psychomédia)
Les Neurotoxiques Organophosphorés
Parmi les substances anticholinestérasiques, on retrouve :
des médicaments utilisés :
dans la maladie d'Alzheimer : donépézil, galantamine, rivastigmine ;
dans la myasthénie : néostigmine ;
des pesticides (comme le malathion), insecticides organophosphorés, insecticides carbamates ;
des gaz de combat neurotoxiques, comme le sarin et la substance VX, parmi d'autres ;
dans une moindre mesure des psychotropes comme la caféine (anticholinésterase non-compétitif)1,2
NEUROLEPTIQUES--------------------------------------------------------------------------------------------------------
HAS et Alzheimer :Les neuroleptiques constituent donc une mauvaise réponse à une situation clinique
10 décès supplémentaires
18 accidents vasculaires cérébraux dont la moitié sévère
58 à 94 patients avec des troubles de la marche
Il n’en est pas même pour les neuroleptiques. Leurs effets secondaires sont redoutables (effets extra-pyramidaux pour ceux de première génération et syndrome métabolique pour ceux de deuxième génération). Utiles en période de crise (phase d’exaltation du trouble bipolaire par exemple), leur utilisation prolongée est dangereuse. Malheureusement, beaucoup de psychiatres ont pour habitude de prolonger le traitement de crise ad vitam aeternam, soi-disant à titre préventif. D’autres psychiatres incompétents nient toute spécificité au traitement du trouble bipolaire et traitent celui-ci comme une alternance de dépression (d’où les AD) et de bouffées délirantes (d’ou les neuroleptiques). Une « tradition » associe dans une mythique clinique de la psychose une utilisation généralisée et sans mesure des neuroleptiques (quelque soit le trouble mental) enveloppée dans un charabia psychanalytique soi-disant humaniste, parce qu’elle nie toute mesure d’efficacité au motif de l’unicité du sujet (sans rire malheureusement).
L’essai clinique anglais DART-AD en double aveugle (Clive Ballard et col. Ref.1) dont les résultats ont été publiés en février 2009 dans la revue Lancet Neurology sur des malades traités pour Alzeihmer montre des résultats terrifiants à moyen terme : le taux de survie à deux ans est de 46% (vs 71% pour le groupe placebo) et à 3 ans de 30% (vs 59% pour le groupe placebo). En d’autres termes, à deux ans, un tiers des malades sont morts à cause des neuroleptiques et à 3 ans la surmortalité est proche de la moitié.
démence : les neuroleptiques et antidépresseurs mis en cause
Deux études distinctes publiées dans deux revues médicales britanniques mettent en cause l'utilisation des neuroleptiques et des antidépresseurs pour traiter les patients atteints de démence, au moment où a lieu à Paris une conférence internationale sur la maladie d'Alzheimer.
La conclusion d’une étude de longue durée de The Lancet Neurology, montre qu’il y a une forte hausse des risques d’effets secondaires graves et de mort chez les patients recevant ces médicaments. En plus, ils accélèrent la détérioration mentale
Le génocide par les soins du cancer
« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer » docteur ben Johnson
« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. » docteur rashid Buttar
« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »
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Vaccins
Neuroleptiques : le génocide
Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa
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Nouveaux neuroleptiques : plus de 200 000 morts
Le génocide du cancer sur ordonnances
Pour ne pas avoir de cancer, : »il faut jeter les antidépresseurs, anxiolytiques et les somnifères à la poubelle » selon le prof henri Joyeux
Quelques morts et catastrophes
Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
7 millions de Français en auraient pris.
Coupe faim censé réguler le poids des obèses et surtout faire perdre quelques kilos à de nombreuses personnes qui n’en n’avaient pas forcément besoin.
Découverte de complications de type hypertension artérielle pulmonaire en 1995 et d’anomalie des valvules cardiaques en juillet 1997
La medecine EST LE facteur n 1 des deces aux usa?
"la médecine telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, aux USA, est un crime contre l'humanité"
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Autorisé à tuer: Les épidémies croissantes de maladies Iatrogeniques et de folies burocratiques
PHARMAGEDDON
15000 morts des traitements médicaux par mois, et personne ne bouge un cil
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Opioïde : un génocide
En deux ans – c'est à dire de 2014 à 2016, le nombre de mort a doublé, passant donc de 33 000 à 62 500. Et cette tendance ne semble pas faiblir en 2017.
En cinq ans seulement, les overdoses d’antidouleurs ont causé quelque 200 000 morts aux États-Unis
Pharmageddon
SOINS TUEUR : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
SOINS TUEUR : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
Chaque année aux États-Unis, un quart de million de décès sont attribuables à une erreur médicale . Si le nombre choque, à un certain niveau vous le saviez déjà, il en fut ainsi. Tout le monde connaît quelqu’un, peut-être qu’il était vous-qui a subi un traitement misérable dans les hôpitaux américains, une partie du système de soins de santé la plus élaborée, la plus vaste et coûteux dans le monde. Mais il est peut-être le plus inefficace.
Les erreurs de diagnostic, prescriptions erronées, opérant sur le mauvais patient, même opérant sur le mauvais côté (et amputant il): ce sont les conséquences de la négligence généralisée, le surmenage, l’ignorance et les hôpitaux essaient de tirer le meilleur parti de leurs aidants naturels et le plus d’argent de leurs patients.
Médecine : votre santé est en danger !
Chimiothérapie du cancer : le génocide
Nos gouvernements ne veulent pas guérir le cancer !!
"Toute la chimio, elle vous tue", mais les gens veulent être remboursés.
Les médecins qui donnent ce genre de traitement savent ils qu'ils condamnent le patient ?
Oui ils le savent !
L'histoire choquante de la chimiothérapie
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"Bien peu d'oncologues et d'infirmières sont disposés à accepter la chimiothérapie que leurs patients endurent pour des avantages minuscules" professeur peter Gotzsche (extrait de remèdes mortels et crime organisé)
L'aspect psychologique, poursuivent-ils, d'un tel traitement peut créer de vains espoirs chez les patients. Ainsi, il est indispensable de les informer à l'avance de « toutes les conséquences possibles d'une telle thérapie. » « La chimiothérapie est une partie cruciale du traitement d'un cancer en stade avancé. Cependant, elle peut avoir des effets secondaires. Voilà pourquoi les médecins doivent s'en rendre compte chaque fois qu'il en prescrivent une à leurs patients », relève Adrienne Betteley de l'ONG Macmillan Cancer Support.« Il est très important que dans tous les cas les médecins et les patients se demandent si un tel traitement est vraiment nécessaire », conclut la professeur Dame Sue Bailey.
Selon une étude réalisée l'année dernière, 82 % des médecins britanniques disent avoir prescrit à leurs patients un traitement tout en se rendant compte de son inefficacité.
Voici les faits. En 1942, le Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n'a été guéri. Essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Encore une fois, personne ne fut guéri.
Selon le Dr John Diamond, MD, Une étude de plus de 10.000 patients montre clairement que la chimio est supposée forte expérience avec la maladie de Hodgkin (lymphome) est en fait un mensonge. Les patients qui ont subi une chimiothérapie étaient 14 fois plus susceptibles de développer une leucémie et 6 fois plus susceptibles de développer des cancers des os, des articulations et des tissus mous que les patients qui n'ont pas subi une chimiothérapie. "
Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, était l'un des spécialistes les plus qualifiés du cancer aux États-Unis. . Il a utilisé des traitements alternatifs sur ses patients atteints de cancer avec un grand succès. Sur le traitement du cancer dans ce pays, il a déclaré: Nous avons une industrie de plusieurs milliards de dollars qui tue des gens, à droite et à gauche, juste pour le gain financier. . Leur idée de la recherche est de voir si deux doses de ce poison est mieux que trois doses de ce poison.
métabolisation, chimiothérapie, "cancers foudroyants" et morts des victimes
Chaque année, plus de 8,6 millions d’événements indésirables médicamenteux (EIM) sont signalés aux États-Unis – 2,2 millions d’entre eux sont graves.
En fait, les événements indésirables sont la quatrième cause de décès à l’échelle nationale, après les maladies cardiaques, le cancer et les accidents vasculaires cérébraux, et ils placent un énorme fardeau financier pour le système de santé.
Même avec la prescription appropriée, la génétique d’un patient peuvent affecter la façon dont ils métabolisent et répondre aux médicaments. Plus de 85% des patients ont des variations détectables dans leur ADN qui augmentent leur risque d’une ADE.
Ces études estiment que 6,7% des patients hospitalisés ont une réaction indésirable grave avec un taux de 0,32% de mortalité. 2 Si ces estimations sont correctes, alors il y a plus de 2,216,000 effets indésirables graves chez les patients hospitalisés, ce qui provoque plus de 106.000 décès par an. Si cela est vrai, alors ADRs sont la 4e cause de décès anticipée de décès maladie pulmonaire, le diabète, le SIDA, la pneumonie, les accidents, et de l'automobile.
Ces statistiques ne comprennent pas le nombre d'effets indésirables qui se produisent en milieu ambulatoire.
...CYP2D6 métabolise la plupart des médicaments cardio - vasculaires et neurologiques en usage aujourd'hui. Une Etude de CYP2D6 a conduit à la compréhension de l'échec de la codéine pour soulager la douleur chez certains patients. La codéine est en fait un promédicament qui est converti en morphine. Codéine lui - même est beaucoup moins active comme analgésique, mais provoque des nausées et d' autres effets indésirables. L'absence du cytochrome P450 2D6 dans 7% des Caucasiens signifie que ces personnes ne peuvent pas métaboliser la codéine au métabolite actif, la morphine, et donc obtiendra peu, le cas échéant, soulagement de la douleur de la codéine. 1 Toutefois, ils feront l' expérience des effets néfastes de la codéine, en particulier si la dose est augmentée dans la vaine tentative pour obtenir un soulagement de la douleur...
...CYP2C9 a une distribution polymorphes dans la population et est manquante dans 1% des Caucasiens...
"La chimiothérapie augmente les risques de migration des cellules cancereuses vers d'autres parties du corps. La maladies est appelée cancers métastasiques et est la forme la plus létale."
La chimiothérapie tue le patient
"En Allemagne, 240 000 personnes meurent, chaque année, des suites de la chimio, soit environ 700 par jour"
USA : chaque jour 290 personnes sont tués par les médicaments approuvés par la FDA
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Cancer de la prostate : clairement un génocide
"Les malades atteints du cancer de la prostate meurent avec un cancer de la prostate, mais pas du cancer de la prostate"
80% de surdiagnostics !
Les traitements (de l'industrie du cancer) ne servent a...pas grand chose
Les victimes meurent, en particulier des complications du traitement (de l'industrie du cancer) du cancer de la prostate
(Attention a la chirurgie et la radiothérapie, informations ci-dessous)
Médicaments contre le cancer de la prostate / bloqueurs de testostérone informations
PSA
Médicaments et effets secondaires : Démence, Alzheimer, dépression, arrêt cardiaque, AVC, mort, suicide
une récente recherche paru dans la revue scientifique Nature qui démontre que les médicaments anticancéreux contre la tumeur de la prostate favorise la maladie au lieu de la combattre (Treatment-induced damage to the tumor microenvironment promotes prostate cancer therapy resistance through WNT16B http://www.nature.com/nm/journal/v18/n9/pdf/nm.2890.pdf).
Une analyse à grande échelle des dossiers médicaux a indiqué que les hommes subissant la thérapie de privation d'androgène pour le traitement de cancer de la prostate peuvent être presque deux fois le risque de développer par la suite la maladie d'Alzheimer, et que la probabilité accrue de la maladie est proportionnelle à la durée d'ADT.
Dépistage
Chirurgie de la prostate
Immunothérapie : chimiothérapie / MAB
"Incroyable ! Contre le cancer, l'un des médicaments les plus prescrits par les médecins est non seulement inutile, mais potentiellement dangereux."
85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable
Ils peuvent stimuler une réponse immunitaire, d'autres peuvent se lier à la surface des cellules cancéreuses, et d'autres interférent avec les protéines produites par des cellules cancéreuses qui les aident à prendre le contrôle du corps du patient.
"Incroyable ! Contre le cancer, l'un des médicaments les plus prescrits par les médecins est non seulement inutile, mais potentiellement dangereux."
Dites NON a Herceptin / Trastuzumab
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Dites non a l'hormonothérapie pour le cancer de la prostate !
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Radiothérapie
Apparemment, il n'y a pas de grande étude cumulative pour soutenir les taux de survie globale de la radiothérapie, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de données pour justifier le rayonnement , alors pourquoi est-il mis en œuvre quotidiennement? La réponse est l'argent, et les systèmes de croyances endoctrinés inculqués dans les écritures orthodoxes médicales
La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi
La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
• 4000 mSv Dose extrêmement sévère - survie possible
• 5 000 mSv Dose de rayonnement extrêmement sévère - risque élevé de décès
• 6 000 mSv Dose habituellement mortelle
• 10 000 mSv dose fatale
"Chaque année, 24500 nouveaux cancers sont spécifiquement attribués aux rayonnements, aux USA. Environ 16500 en meurt."
"la chimiothérapie et les rayonnements aident, seulement, environ 3% des patients"
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Biopsie
TESTOSTERONE ET CANCER DE LA PROSTATE
Médicaments, totalitarisme, holocauste, nous avons atteint le stade du NEGATIONNISME ! par le professeur david Healy
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