Sécurité sociale : un outils du crime médical organisé

Définition

"système complexe de racket, de blanchiment et de recyclage de devises entre un producteur (le laboratoire pharmaceutique), un grossiste (le pharmacien), un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l'assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l'Industrie du médicament)."

 " La Sécurité Sociale est une grande avancée sociale. Sauf que c'est devenu une arnaque. Les gens prennent trop de médicaments, ils ne font plus confiance à leur corps qui est l'hôpital le plus sophistiqué du monde. Les laboratoires pharmaceutiques ont besoin que les gens soient malades, qu'ils consomment des médicaments, ils ont aussi besoin que l'industrie agricole produise de quoi rendre les gens malades. Ensuite, les gens consomment leurs médicaments en pensant qu'ils sont gratuits, alors qu'ils les paient avec l'argent de leur propre travail. Et plus les gens sont malades, plus les labos s'enrichissent. C'est un système pervers. L'industrie pharmaceutique est aux mêmes mains que l'industrie agroalimentaire qui pollue et tue les sols. C'est une guerre à la population, à la terre". Coline Serreau

 

"Le système n'est pas conçu pour répondre aux besoins de santé de la population, il est conçu pour protéger les intérêts des compagnies d'assurance, des sociétés pharmaceutiques et de la médecine organisée, il est conçu pour faire du profit,"

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Securite sociale

Sécurité sociale : tête de pont du crime médicale organisé

Influence, opacité, prix exorbitants de certains médicaments, liaisons dangereuses avec les députés et les médecins À travers des données inédites, des enquêtes et des reportages, les « Pharma Papers » mettent en lumière tout ce que les labos pharmaceutiques préféreraient que les patients et les citoyens ne sachent pas : les immenses profits qu'ils amassent chaque année aux dépens de la sécurité sociale et des budgets publics en instrumentalisant médecins et décideurs.
1,5 milliard d'euros dépensés par les labos au profit de professionnels de santé ; 100 millions de dépenses de lobbying en 2017 pour les dix plus gros laboratoires pharmaceutiques au monde… Les chiffres inédits révélés par ce premier volet des « Pharma Papers » donnent le vertige, mais ils sont à la mesure des profits mirobolants accumulés par ces firmes aux dépens des budgets publics et des systèmes de sécurité sociale.
 
Faillite de la santé publique : l’OMERTA
La France se situe au 14ème rang pour la mortalité néonatale et infantile.
On assiste à une véritable « épidémie » de cancers (365 000 en 2011 contre 160 000 en 1980), sans réelle amélioration du pronostic, tandis que la morbidité par cancer est supérieure à celles de nos voisins.
La fréquence des maladies neuro-dégénératives et auto-immunes subit une évolution exponentielle : 20 000 scléroses en plaques en 1994 contre 83 000 en 2006 ; 750 000 maladies d’Alzheimer en 2010 avec 250 000 nouveaux cas annuels ; augmentation régulière de la fréquence du diabète, des pathologies thyroïdiennes, de l’autisme, de l’hyperactivité…
Augmentation considérable de la fréquence des allergies respiratoires et digestives, de l’hyperactivité, de la schizophrénie, de l’épilepsie.
Avec la médicalisation de la société, les Français sont aussi les plus gros consommateurs, de tranquillisants, d’antibiotiques (dont la consommation s’était réduite ces dernières années avant de reprendre de plus belle), de pesticides, de vaccins, de césariennes, de péridurales, d’appendicectomies, d’ablation des végétations, de paracenthèses, d’amalgames au mercure….

LES DERIVES MAFIEUSES DE NOTRE SYSTEME DE SANTE
Main basse sur l’assurance maladie, un système corrompu bien rodé. Le système est en faillite…mais pas pour tout le monde.
la guérison et la sécurité sanitaire des malades deviennent préoccupantes.

“en France la médecine c’est la cata”

Les laboratoires pharmaceutiques se servent de l’assurance maladie comme d’une vache à lait
Le vrai problème, c’est que les laboratoires pharmaceutiques se servent de l’assurance maladie comme d’une vache à lait, alors qu’ils sont la branche industrielle la plus profitable au monde, devant les banques et bien devant le pétrole

La guerre des médicaments, pourquoi sont ils si chers ?
ce livre défraye la chronique belge depuis des mois. Il révèle comment les holdings pharmaceutiques - avec la collaboration du monde politique - escroquent massivement et systématiquement l'assurance maladie, incitent à des pratiques médicalement injustifiées et laissent à la traîne les personnes dénuées de pouvoir d'achat

L’International Society of Drug Bulletins, un réseau international de bulletins sur le médicament et la thérapeutique indépendants de l’industrie pharmaceutique (1), affirme que le prix d’un médicament ne reflète pas le prix de production mais le prix maximum que le marché peut obtenir de l’assurance maladie… Les autorités publiques ne protègent pas suffisamment l’assurance maladie et les patients en tolérant ce “pillage”"
 
Il y a 30 ans, la sécurité sociale était là pour soigner purement et simplement les gens et ce quels que fussent leurs revenus. Aujourd’hui, cette même sécurité sociale est devenue une entité commerciale qui doit générer des profits coûte que coûte.
 
9782763722238 v remedes mortels et crime organise

Les milliards de la sécu qui tombent dans les poches des labos

En une quinzaine d’années, les dépenses de médicaments de la sécurité sociale ont fortement augmenté, pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers parviennent à compenser largement les déremboursements en mettant sur le marché des traitements au prix de plus en plus élevé, notamment contre le cancer, sans que leur intérêt médical soit toujours avéré.
Pharma papers

Sécurité sociale et cancer

Une consternante désinformation
la Sécu tient les victimes par la barbichette, en leur refusant les congés maladie s’ils refusent la filière orthodoxe, afin d’opter pour des thérapies plus humaines et offrant plus de chances de succès.

Sécurité sociale et millions d'euros gaspillés

Les statines, des médicaments anti-cholestérol, ne réduisent pas la mortalité des personnes sans antécédent d’infarctus.
 
Beta-bloquants : attention, danger
Le Mediator, le médicament utilisé comme coupe-faim à l’origine de 500 à 2 000 morts, a coûté environ 1,2 milliard d’euros de remboursement à la Sécurité sociale 

Les professionnels de santé seraient les plus gourmands d’arnaque : 120 millions d’euros
Selon un rapport, les assurés ne représentent qu’une part minime des arnaques à la Sécurité sociale.Les professionnels de santé seraient les plus gourmands d’arnaque  à l’assurance-maladie, selon un rapport.
facturation de prestations fictives ou de falsifications d’ordonnances aurait couté environ 120 millions d’euros
Le Télégramme a exhumé une récente étude faisant état d’une estimation… 68 fois plus élevée : 10,576 milliards d’euros ! La Cnam conteste. Des députés demandent des comptes.

La Sécu fait la bombe à Pékin
(Le Canard Enchaîné 22/09/04) 180 dirigeants français des caisses de protection sociale ont séjourné, aux frais de la princesse, dans les plus luxueux hôtels de Pékin...Coût du séjour des fonctionnaires de la sécurité sociale française : 700000 euros"

Nouveau scandale : Escroquerie au Seroplex.
C’est une bombe : Le laboratoire danois Lundbeck a escroqué les systèmes d’assurance maladie du monde entier ! Le Bureau of Investigative Journalism, repris par le journal The Independant révèle, après une longue enquête, que l’unique étude indépendante démontrant que le Seroplex est meilleur que le Seropram avait en fait été truquée par le laboratoire Lundbeck, qui vend les deux produits

Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, Philippe Even
Le pillage de la Sécurité Sociale
75% de ces médicaments, recensés dans le livre, sont remboursés par la Sécurité sociale dont une large partie de médicaments inutiles, de « me too » et de médicaments sur-prescrits (jusqu’à 8 à 10 fois). A l’heure où les déficits s’accumulent et plombent tout espoir de reprise de la croissance, ce livre salutaire pointe sans concession le scandale de la dilapidation des deniers publics et le véritable pillage des caisses de la Sécu par une industrie pharmaceutique dont les auteurs signalent eux-mêmes qu’elle est, en France, « la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries ». Le déremboursement de ces médicaments, rapporteraient immédiatement 10 à 15 milliards d’euros à la Sécurité Sociale : de quoi redresser les comptes de l’Assurance Maladie pour longtemps et sauver le système de Santé ; François Hollande et sa Ministre de la Santé Marisol Touraine seraient bien avisés de se pencher sur cette source d’économies représentant à elle seule la moitié des 30 milliards qui font défaut au budget de l’état en 2013 ;
Martin Hirsch ne s’y est pas trompé ; il salue la démarche et souligne la nécessité d’ouvrir un débat trop longtemps étouffé, et que Philippe Even et Bernard Debré ont eu le courage de soulever : « Au moment où l’on traque les déficits publics, dans une situation socialement si difficile, se pose une question simple : le choix entre rogner sur des prestations indispensables aux plus vulnérables ou chercher à économiser 5 à 10 milliards d’euros sur des dépenses pharmaceutiques parmi les plus élevées au monde, incluant des médicaments, comme le rappelle ce livre, et comme l’a démontré le scandale du Mediator, au mieux inutiles ou efficaces, au pire dangereux ».

médecins : "pompe à fric de la Sécu"
à la limite de la délinquance par certains médecins

Un médicament sur deux inutile, des milliards pour la Sécu, selon un livre
Un médicament sur deux est inutile, un gaspillage qui coûte 10 à 15 milliards d'euros à la Sécu : un an après un rapport au vitriol sur le Mediator, les médecins spécialistes Philippe Even et Bernard Debré lancent une nouvelle charge contre l'industrie pharmaceutique.

Cholestérol : Une arnaque qui coûte plus de deux milliards d’euros par an à la sécurité sociale
Selon le Pr Philippe Even, le cholestérol est « un ennemi imaginaire », ce qui en fait « la plus grande erreur médicale de tous les temps » en même temps que « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique ».
 

Corruption

« Le système est complètement pourri, les laboratoires pharmaceutiques achètent tout le monde »
 

« La différence avec la mafia, dit le  Dr Turcotte, c’est que les mafieux ne se tuent qu’entre eux. »
 
Vidéo
 
Le système de santé français a un très gros problème, il entretien les gens malades de façon réfléchie et organisé
 
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales?
Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs

Quelques escroqueries et condamnations

Le plus étonnant, c'est que les champions à ce petit jeu sont… les professionnels de santé : ils cumulent 37% du total des escroqueries identifiées, soit 73,1 millions d'euros. Loin devant les établissements de santé (52,6 millions, 27%) et les assurés (38,8 millions, 20%).
 

trois ans de prison pour le médecin aux 147 consultations par jour
Trois ans de prison ferme. Une terrible fin de parcours pour ce médecin d'Evry, déclaré coupable mardi d'une énorme fraude à la Sécurité sociale. Présenté libre à la cour, le docteur Samir Rafik Said est ressorti du tribunal d'Evry les menottes aux poignets. En 2005, ce médecin de famille, décrit à l'époque comme « disponible et à l'écoute » par ses patients, avait commencé à attirer l'attention de la justice en déclarant un chiffre d'affaires avoisinant 1,2 M€. Un résultat faramineux pour un homme exerçant seul. Quelques mois plus tard, les pratiques frauduleuses dont usait le praticien sont mises au jour. Les enquêteurs établissent que, d'après ses comptes, le médecin aurait pratiqué 147 consultations quotidiennes pendant trois ans.

Escroquerie: prison avec sursis au médecin et à son épouse
Un médecin et son épouse comparaissaient le 7juin dernier pour avoir perçu des honoraires pour de fausses consultations (Le Télégramme du 8juin). Il était reproché au généraliste vannetais d'avoir, avec son épouse, organisé un double circuit de malades au sein de son cabinet médical. Les patients toxicomanes étaient orientés vers une salle d'attente différente pour être reçus par l'épouse du médecin, qui, alors qu'elle n'était pas docteur, leur prescrivait des produits de substitution.

Un médecin condamné à 10 mois de prison avec sursis pour avoir escroqué la Sécu
Un médecin généraliste a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Chartres à 10 mois de prison avec sursis et au remboursement de quelque 130.000 euros à plusieurs caisses de régime de la Sécurité sociale, pour escroquerie

Prison avec sursis pour les médecins et pharmaciens
À l'époque, une enquête révèle que ce médicament serait au coeur d'un trafic entre août 2008 et juin 2011 et coûté pas moins de 170 000 euros à la CPAM, partie civile lors du procès où comparaissaient également deux médecins et trois pharmaciens de la petite commune située à l'ouest d'Arras. Ces derniers étaient, pour mémoire, prévenus d'avoir prescrit pour les uns et délivré pour les autres ce puissant antalgique dérivé de la morphine, habituellement utilisé comme traitement contre les douleurs pour les malades du cancer en fin de vie et détourné par certains accros à l'héroïne.

Un médecin condamné à un an ferme pour fraude à la Sécurité sociale : peine alourdie en appel
Un médecin a été condamné vendredi par la cour d’appel de Paris à 30 mois de prison dont un an ferme pour une escroquerie à la Sécurité sociale estimée à 2 millions d’euros, peine alourdie par rapport au jugement de première instance.
Albert Claude Tahar, soupçonné d’avoir fourni des dizaines d’arrêts de travail injustifiés, ayant servi à percevoir des indemnités indues, devra également payer quelque 50000 euros de dommages et intérêts aux caisses d’assurance-maladie de Paris et de départements voisins victimes de l’escroquerie.

Un médecin condamné à 10 mois de prison avec sursis pour escroquerie à la Sécu
Un médecin généraliste a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Chartres à 10 mois de prison avec sursis et au remboursement de quelque 130.000 euros à plusieurs caisses de régime de la Sécurité sociale, pour escroquerie.

Sécu: prison requise contre un médecin
Deux à trois ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis, ont été requis aujourd'hui en appel à l'encontre d'un des deux médecins soupçonnés d'être impliqués dans une escroquerie à la Sécurité sociale estimée à deux millions d'euros

Un médecin condamné à 2 ans de prison
Déjà condamné à 18 mois de prison, fin novembre 2011 au tribunal correctionnel de Montpellier, pour avoir participer à une vaste fraude de la Cotorep, Jacques Bouyeron avait fait appel de la décision

Médecin condamné pour de fausses attestations
Le ministère public avait requis 20 mois de prison et 10000 euros d'amende à l'encontre du médecin, ainsi que six mois de prison et 1000 euros d'amende pour les patients impliqués

Trois médecins sont soupçonnés d'avoir surfacturé des soins à la Sécurité sociale aux Antilles.
Le préjudice subi par les caisses de Sécurité sociale est estimé à 3 millions de francs par an.

Assurance maladie: on vous assure la maladie à vie !

 

Voici quelques extraits de l’excellent et audacieux article de la revue « Protégez-vous » du mois de mai 2010. Un dossier à lire et à conserver dans vos archives ! Un dossier sur la collusion entre l’industrie pharmaceutique et le monde médical, sur les études bidons réalisées par des équipes de scientifiques financées par des compagnies privées, rédigées par des « écrivains fantômes » et cautionnées par des « éminents » scientifiques qui n’ont jamais participé aux études…

Journaliste responsable du dossier : Rémi Maillard pour l’édition de mai 2010.

« Voire à l’apparition de nouvelles pathologies créées de toutes pièces et popularisées par des « campagnes d’information » souvent alarmistes à la télévision et dans les grands journaux. »

« Une maladie pour chaque pilule ».

« La timidité, par exemple, est devenue un « trouble d’anxiété sociale », la brûlure d’estomac a été rebaptisée « maladie du reflux gastro-oesophagien » et la tension prémenstruelle s’est métamorphosée en « trouble dysphorique prémenstruel ». Quant à l’impuissance, elle porte désormais le nom savant de « dysfonction érectile »… Le but ? Faire de chacun de nous un consommateur de pilules en puissance, si possible sur une longue durée, estime Dr. Marc Zafran. »

« Cette stratégie fonctionne : les dépenses en médicaments des Canadiens ont été multipliées par quatre en 20 ans, pour atteindre 30 milliards de dollars en 2009. Dans le seul domaine de la psychiatrie, le nombre de maladies mentales officiellement reconnues aux États-Unis est passé de 26 à 395 depuis la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journaliste scientifique allemand Jörg Blech, auteur d’un livre-enquête sur les dérives de l’industrie pharmaceutique.

« Coïncidence troublante, 95 des 170 experts qui ont participé à l’édition la plus récente du DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l’Association américaine de psychiatrie, la « bible » des psychiatres en Amérique du Nord et en Europe, entretenaient des liens financiers avec l’industrie. »

« Il n’est donc pas étonnant, relève-t-il, que « certains nouveaux médicaments, notamment pour traiter l’hypertension et la schizophrénie, s’avèrent en fin de compte cliniquement moins efficaces que leurs prédécesseurs bien qu’ils soient vendus jusqu’à 10 fois plus cher. »

« Au total, les pharmas investisssent plus de 60 000$ dans chacun des quelques 700 000 médecins étasuniens ; au pays, ce montant serait de l’ordre de 20 000$. »

« Cela va du financement commercial des universités aux essais cliniques biaisés, des pseudo-publications scientifiques à l’abaissement régulier des seuils de facteurs de risque pour certaines maladies, de l’éducation continue des médecins aux visites incessantes des représentants pharmaceutiques, qui nous apportent des échantillons gratuits. Sans oublier le financement des congrès, les repas payés à l’hôpital ou au cabinet, les réunions commanditées et les soupers-conférences dans de grands restaurants. »

« Même le médecin le plus compétent n’est plus en mesure d’obtenir des informations neutres et objectives lui permettant de prescrire les produits les plus efficaces pour ses patients. » – Marc-André Gagnon, Université McGill

« Les laboratoires financent des essais cliniques dont ils analysent eux-mêmes les résultats. Ils font ensuite appel à des « ghoswriters », des « auteurs fantômes », pour écrire des articles qu’ils font souvent revoir et signer par des « leaders d’opinion », c’est-à-dire des chercheurs reconnus pour leur expertise. Puis ils s’arrangent pour les faire publier, si possible dans des revues prestigieuses. Finalement, ils obtiennent une masse critique de littérature scientifique qui détaille les bienfaits du médicament pour diverses utilisations, mais omet, ou mentionne à peine, ses effets secondaires. Ils envoient alors leurs représentants montrer cette documentation aux médecins afin de les convaincre que leur produit est le meilleur. »

« À l’arrivée, on finit donc par se retrouver avec une littérature biaisée ».

« Plusieurs études indiquent que les essais financés par l’industrie sont de trois à cinq fois plus susceptibles de fournir des résultats favorables que ceux qui sont réalisés avec des fonds indépendants. »

« Les médecins ont beau protester qu’ils sont autonomes et insensibles aux pressions extérieures ou à la publicité, toutes les études montrent que ces visites modifient leurs habitudes de prescription. »

« Des documents internes d’Eli Lilly, le fabricant du célèbre antidépresseur Prozac, montrent qu’au début des années 2000 ses représentants avaient pour mission d’inciter les médecins de première ligne à établir un diagnostic de « trouble bipolaire »… et à prescrire à leurs patients son antipsychotique Zyprexa. »

« Les abus sont si fréquents que la plupart des grandes pharmas doivent régulièrement répondre d’accusations de pratiques commerciales frauduleuses. En 2004, par exemple, Pfizer a accepté de payer 450 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites engagées à son encontre aux États-Unis. »

« De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes. »

« Les pharmas débordent d’imagination. L’an dernier, à l’occasion d’un procès en Australie, on a découvert que pour faire mousser les ventes de son très controversé anti-inflammatoire Vioxx, Merck avait créé un faux journal médical, publié sous le label d’Elsevier, un éditeur scientifique réputé. »

« Lorsque les facultés sont massivement financées par des sociétés privées, que celles-ci s’associent à tous les évènements organisés sur les campus, le risque est grand qu’elles finissent par faire partie de l’univers mental et culturel des étudiants. »

« En 2008, un article du New England Journal of Medecine a passé en revue 74 essais cliniques d’antidépresseurs. Ses conclusions sont édifiantes : 37 études positives sur 38 avaient été publiées tandis que 33 des 36 études négatives ne l’avaient jamais été, ou seulement sous une forme mettant en évidence un résultat positif. »

« Une fois sur cinq, d’importantes informations concernant l’innocuité d’un médicament n’apparaissent qu’après sa mise en marché, affirmait en 2006 le Dr. Robert Peterson, directeur général de la Direction des produits thérapeutiques à Santé Canada de 2000 à 2005. »

« Mais quand vient le temps de vérifier qu’ils n’ont pas d’effets indésirables, il n’y a plus d’argent ».

http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=937198

Sécurité sociale

"Le ministère ne protège plus les malades, ce n'est pas son soucis, son soucis est de soigner l'industrie pharmaceutique"

"La force des laboratoires est d'être capable de faire vendre des produits qui sont totalement inutiles, il suffit de faire croite aux médecins, qu'ils sont utiles"

"Nous sommes sous une dictature"

" Notre système de maladies est il conçus pour rendre les gens malades et pour enréchir les grandes compagnies pharmaceutiques"

Prix et catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer

La catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer,
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"

Prenez en main votre santé
Enfin, j’ai pu avoir connaissance de la facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 €uros.
Qui paie? La Sécurité Sociale bien sûr; mais la Sécu, c’est le contribuable, donc nous. Multiplié par 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an (en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 €uros, le chiffre de 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros.
 

Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prixx d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe.

Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens triatments. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours.

Voies alternatives dans le traitement du cancer :
hopital : 5000 euros/jour en cancerologie

industrie du cancer : des molécules au prix exorbitant et a l'efficacité douteuse
Les laboratoires pharmaceutiques – dont les bénéfices (15 à 25 % du chiffre d’affaires) sont indécents, particulièrement en temps de crise – imposent des prix scandaleux qu’aucun État responsable ne devrait accepter, sous aucun prétexte. À titre d’exemple, dix-huit semaines de traitement avec une molécule ciblée comme le cetuximab (Erbitux* du laboratoire Merck) coûtent en moyenne 80 000 dollars et n’améliorent la survie médiane que de 1,2 mois. Dans sa grande bonté, le groupe pharmaceutique allemand Merck ne livre plus ce médicament contre le cancer aux hôpitaux publics grecs en raison de factures impayées. « Cela n’affecte que la Grèce, où nous avons été confrontés à de nombreux problèmes. Cela ne concerne que ce produit », explique M. Zachert, directeur financier de Merck au Börsen-Zeitung le 3 novembre 2012. Cynique ou inconscient, il ajoute : « Les Grecs pourront toujours se procurer l’Erbitux* dans les pharmacies. » Avec quel argent ? L’anticancéreux Erbitux* est le deuxième médicament sur ordonnance de Merck le plus vendu. Il a représenté un chiffre d’affaires de 855 millions d’euros en 2011. Ne pleurez pas pour Merck : il publie un bénéfice trimestriel meilleur que prévu le 26 octobre 2012 quelques jours avant la « punition » infligée aux hôpitaux grecs. Le chiffre d’ affaires s’est établi à 11,5 milliards de dollars. Merck anticipe un chiffre d’affaires 2012 au même niveau ou proche de celui de 2011 sur la base de taux de change constants.

« Les médicaments du cancer atteignent un niveau de prix immoral »
ces dernières années, le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. Comme le rappelle cet article, en une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 5 000 à 10 000 dollars par mois (3 700 à 7 400 €).En 2012, sur les douze molécules autorisées aux États-Unis, onze coûtaient 100 000 dollars (74 000 €) par an. Et cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite « ciblée », qui va favoriser l’émergence de médicaments de « niche ».

"Rien qu'aux Etats-Unis au moins 200 milliards de dollars ont été dépensés ces derniers trente ans pour lutter contre le cancer mais cette maladie n'a pas été vaincue.

Medicaments anti cancer

Des marges à faire pâlir Louis Vuitton au détriment de la sécu

Plus cher, c’est souvent mieux que pas cher du tout
Un documentaire qui avait fait grand bruit en 2001 sur la chaîne de télévision Channel 7 News de Détroit (USA),
indiquait qu’une boîte de 30 gélules de Célébrex 100 mg contient pour seulement 0,2 dollars de produits actifs. Dans la mesure où cette boîte est vendue en France 13,12 euros, cela représente pour son fabricant Pfizer une incroyable « culbute » de 8 746 % (oui, ce n’est pas une erreur typographique).

Une boîte de 15 comprimés de Clarityne 10 mg contient pour 0,09 dollars de produits actifs, pour un prix de vente au patient de 5,54 euro (+ 7 914 %). Une boîte de Tahor (anti-cholestérol) vendu 18,82 euros contient pour 2 euros de produits actifs. Et ainsi de suite.
La palme revient toutefois au Prozac 20 mg, qui ne contient que pour 0,02 dollars d’ingrédients actifs pour 100 comprimés, alors qu’il est vendu 7,58 euros (+ 43 000 %).
Dans certains secteurs, qui bénéficient d’une exclusivité ou d’un effet de marque fort (industrie du luxe), on peut voir des « coefficients multiplicateurs » de dix ou quinze.
Ainsi le sac à main Louis Vuitton dont rêve l’épouse de votre voisin (il aurait d’ailleurs bien pu le lui offrir, depuis le temps !) est vendu 1800 euros mais coûte 200 euros à la production, fournitures et main-d’oeuvre comprises.
La performance paraît honorable (+ 900 %), mais du point de vue de l’industrie pharmaceutique, Louis Vuitton donne quasiment dans le bénévolat.

56 000 € en France pour 12 semaines de traitements, soit 666 € le comprimé!
révoltons nous !

Ces médicaments qui tuent : quelle responsabilité des systèmes de santé et des médecins 

60 % de prescriptions ou de médicaments inutiles sont vendus 10 à 100 fois leur prix de revient à 25 millions de bien-portants, « souffrant » de maladies qui n'existent guère, inventées par l'industrie pour son profit : pré-hypertension artérielle, pré-diabète, pré-ostéoporose, cholestérol, dépression, etc. Dans son livre "Médicaments effets secondaires : la mort ", John Virapen montre que de nombreux médicaments sont mis sur le marché, sans que soit étudié de près les effets secondaires, qui font pourtant des dizaines de milliers de morts chaque année à travers le monde.

des médicaments plus chers que l'or
 « La collectivité est actuellement confrontée à l’obligation de financer certains médicaments à des prix exorbitants dont la rationalité n’est pas justifiée ».
 
20 000

Politiques, médecins, hauts fonctionnaires, professeurs : tous d'accord pour nous empoisonner et nous escroquer n

La responsabilité des médecins conseil et fraude des médecins conseils

"La première chose à savoir (et peut être la
seule) c’est que, contrairement à ce qu’on nous raconte (les journaux,
les ministres...) , le médecin conseil ne contrôle pas les malades, il contrôle les médecins traitants, et plus précisément leurs prescriptions médicales"

La sécurité sociale n'est elle, comme l'obamacare, qu'une vaste escroquerie pour nous vendre des médicaments pétrochimiques ?

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Plavix : la sécu paye 27 fois plus que le prix

Les laboratoires ont 98% de marge sur les vaccins (prix de revient : 2 et prix de vente :100)

Economiser 10 milliards d'euros sur notre consomation de médicaments

Les médecins apparaissent collectivement responsables d'une partie de la béance de la Sécurité Sociale.


      Rebelles, les toubibs ? Non, avant tout trop nombreux. On en dénombre 180000 en France métropolitaine, dont 86000 spécialistes. 3 fois plus qu'il y a vingt ans, 2 fois plus qu'en Angleterre.
      La voilà, la première explication du dérapage des dépenses de soins : la folle concurrence que se livrent les blouses blanches. " C'est dur à dire, mais nous sommes aussi des commerçants ", reconnaît le Docteur Philippe Sopéna, numéro 2 du syndicat de généralistes MG de France. Sauf que les commerçants se battent à coups de rabais. Les médecins, eux, fidélisent leur clientèle trop souvent grâce à des prescriptions remboursées par la Sécurité sociale. 
      Il faut dire que les patients en redemandent. (...) Et, surtout des boites de gelules. Jusqu'à la frénésie. " Un médecin qui laisse partir ses malades sans leur administrer au moins deux médicaments passe pour un mauvais ", déplore un jeune généraliste lyonnais. " Il est plus facile et plus rapide de prescrire un examen que de passer trente minutes à écouter son patient ", renchérit le Dr Lehman, généraliste dans les Yvelines. 
      Tous ne font pas cet effort,en effet. D'après les statistiques de l'Assurance Maladie, la durée moyenne des consultations est de 18,8 minutes. En revanche, les médecins administrent une ordonnance moyenne de 3,8 lignes. Un record du monde. Ainsi biberonnés au stylo encre, les Français sont peu à peu devenus les champions de l'absorption moléculaire. Ils avalent, par exemple, 2,5 fois plus d'antibiotiques que les Allemands, 19 fois plus de vasodilatateurs que les Anglais. Et pas du deuxième choix : les praticiens optent souvent pour des médicaments dernier cri, donc plus chers. " Médicalement, ça ne change pas grand-chose, reconnaît le Docteur Sopéna. Mais ceux qui en restent aux vieilles spécialités passent pour ringards". 
       Cette propension des blouses blanches à prescrire plus que de besoin s'explique aussi - c'est la deuxième raison du gaspillage - par leur sensibilité à la pression des laboratoires pharmaceutiques. (...) 
       Difficile d'échapper à la force de frappe marketing des géants du médicament. Rien qu'en France, ils y consacrent 10 milliards de francs par an. " J'exercerai mon art dans la pureté et l'innocence ", recommande le serment d'Hippocrate, guide de la déontologie du métier. Assaillis de visiteurs médicaux, conditionnés par une presse sponsorisée par l'industrie pharmaceutique, couverts de petites attentions, guidés par un système de formation continue aux mains des labos, certains praticiens ont du mal à tenir le cap. (...) 
       Le cas des médicaments génériques en est un bon exemple. Copies de molécules tombées dans le domaine public, donc moins chers, ils ont déjà conquis le marché de nombreux pays industrialisés. En Allemagne, un médicament sur trois est un générique. En France, pas même un sur trente. Très en retard sur leurs concurrentes, les firmes françaises font tout pour repousser leur arrivée." Le seul remplacement du Lipanthyl par du Sécalip (hypolipidémiantgénérique) pourrait faire économiser plus de 300 millions à la Sécu !" s'emporte Jean-Pierre Davant, le président de la Fédération nationale de la Mutualité française. "Pourquoi les médecins ne le prescrivent-ils pas ? " 
      Prisonniers d'enjeux financiers qui les dépassent, les praticiens accusent régulièrementle " système "qui, intrinsèquement, les pousse à la dépense. Et ils n'ont pas tort. La France est le seul pays au monde à combiner paiement du praticien à l'acte (et non auforfait comme en Grande-Bretagne), liberté totale de prescription et remboursement à guichets ouverts. Une architecture ultralaxiste qui permet à beaucoup de praticiens libéraux de fixer eux-mêmes le niveau de leurs gains. Jusqu'à, parfois, en abuser. C'est le troisième reproche qu'on peut leur faire. " Certains de mes amis spécialistes le reconnaissent, raconte le Pr Béraud. Le 15 du mois, ils regardent où ils en sont. S'ils ont pris du retard, ils forcent un peu pendant la deuxième quinzaine. 
       Forcer ? Parents pauvres du secteur (certains sont au Smic), les généralistes n'ont guère d'autres ressources pour arrondir leurs fins de mois que de faire revenir leurs patients(...). Or cette pratique du " revenez-y" conduit à bâcler les consultations. Ce chef de clinique d'un grand hopital parisien le sait mieux que quiconque : interniste, une spécialité qui monte, il " récupère " les malades dont l'affection demeure mystérieuse. " Avant d'arriver dans le service, nos patients ont navigué entre plusieurs cabinets, des piles d'examens sous le bras. Souvent, leurs médecins n'ont même pas pris le temps de les écouter ", observe-t-il.

La couteuse solution d'un internaute

"j'ai trouvé la solution suivante . Je vais
régulièrement le voir et je le paye (le médecin), car il faut bien qu'il
vive . Je vais ensuite chez le pharmacien , je prend les médicaments et
je le paye car il faut bien qu'il vive . quand je rentre chez moi je met tout à la poubelle car moi aussi je veux vivre ."

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