On drogue, on torture et on tue les vieux / EHPAD : l'enfer des drogues sur ordonnances
Iatrogènie / maladies et morts provoqués par le médecin, chez les personnes âgées de plus de 65 ans: "seul un pays authentiquement moderne était capable de traiter les vieillards comme de purs déchets
professeur Gotzsche peter
La France "détient le record mondial des décès dus aux médicaments", note Wurmser. Son taux de mortalité lié aux médicaments d'ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les personnes âgées de 75 ans
En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) a identifié deux priorités concernant les psychotropes et les personnes âgées.: Les personnes âgées contribuent pour une bonne part au nombre bien trop élevé en France de décès dûs aux médicaments (iatrogénie), sans en constituer la totalité : enfants et adultes meurent aussi par dizaines de milliers chaque année à cause d'un médicament en France.
Sous l'influence du déclin des taux de natalité, de l'allongement de la longévité et de l'évolution des structures de la population dans le monde, la prévalence de la démence sénile devrait être multipliée par plus de quatre au cours des quarante prochaines années. Dans les seuls États-Unis, le nombre d'individus touchés âgés de plus de 65 ans devrait augmenter de manière exponentielle, passant de 8 millions de cas (2% de la population totale en 2000) à 18 millions de retraités (environ 4,5% du recensement national Dans l'année 2040). Bien qu'elles soient frappantes, ces statistiques risquent fort de sous-estimer la portée de la prochaine épidémie, car elles ne tiennent pas compte de l'impact du sous-diagnostic, des maladies précoces et du risque d'évolution de la maladie dans des environnements de plus en plus toxiques...La démence liée aux drogues est une ressource opportune qui révèle pourquoi et comment les traitements médicaux eux-mêmes - en particulier, les psychopharmaceutiques - sont une cause importante de dégénérescence du cerveau et de mort prématurée.
Chez 71% des patients un traitement neuroleptique n’a pas été abandonnée en dépit de l’apparition des symptômes parkinsoniens. Ces données indiquent que les symptômes extrapyramidaux de parkinsonisme sont une complication fréquente du traitement neuroleptique
Les psychotropes, dont la France détient le record européen de consommation, sont responsables de 10 à 30 % des hospitalisations en urgence, surtout chez les personnes âgées.
Une liste de 70 médicaments favoriserait les chutes, souvent mortelles, des personnes âgées. L'Afssaps étudie leur éventuel retrait du marché.... Alors que 7% seulement des patients qui ne prenaient pas ces médicaments sont décédés durant les deux années de cette étude, 20% de ceux qui suivaient ce traitement sont morts, soit une personne âgée sur cinq.
est due aux effets indésirables des médicaments.
« Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue dans le monde de la psychiatrie. Elle dit ni plus ni moins que la plupart des psychotropes seraient potentiellement cancérigènes. C’est ainsi que la FDA américaine vient de demander des études de carcinogénicité particulières pour les psychotropes.»
«les neuroleptiques et les benzodiazépines ont largement contribué à la déshydratation des victimes»
Les pouvoirs publics, à la botte des labos, nous font croire que des milliers de personnes décèdent chaque année suite à la grippe. En réalité, ces décès ne concernent, le plus souvent, que des personnes dont l’état général était déjà très délabré. Or s’ils meurent, c’est surtout en raison du coup fatal donné par le traitement protocolaire de la grippe. Et bing !… bon débarras – ce n’est qu’un improductif qui pompe dans les caisses de retraite, elles aussi agonisantes.
je voulais souligner la dangerosité du tramadol, en général et essentiellement chez les personnes âgées.
car leur chimie moins résistante est moins capable de traiter la drogue. Dans une étude publiée dans le British Medical Journal impliquant plus de 60.000 personnes de plus de 65 diagnostiqués avec la dépression, parmi ceux qui ont reçu des antidépresseurs il y avait une mort de plus pour chaque 28 personnes chaque année, comparativement aux patients déprimés ne recevant pas d'antidépresseurs et cinq fois plus de suicides
vioxx, célébrex, bextra, arcoxia.../ traitement de l'arthrose :
un vaste programme d'extermination des vieux ? : Vioxx : 160 000 victimes de crises cardiaques et attaques cérébrales, 40 000 morts aux États-Unis et au moins 60 000 dans le monde
Le celebrex aurait tué 75 000 peronnes selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
Dans une étude, les principales catégories de médicaments responsables des chutes causées par les fractures de la hanche étaient les somnifères et les tranquillisants mineurs (30%), les antipsychotiques (52%) et les antidépresseurs (17%). Toutes ces catégories de médicaments sont souvent prescrits inutilement, surtout chez les personnes âgées. (Voir la section sur les somnifères et les tranquillisants , les médicaments antipsychotiques et les antidépresseurs , voir également la liste des médicaments pouvant causer des fractures de la hanche à cause de chutes provoquées par des médicaments ).
Certains médecins et patients supposent que ce qui est réellement des réactions indésirables aux médicaments sont simplement des signes du vieillissement. En conséquence, de nombreuses réactions indésirables graves sont totalement ignorées ou ne sont pas reconnues jusqu'à ce qu'elles aient causé un préjudice important.
Les médicaments responsables des effets indésirables les plus graves chez les personnes âgées sont les tranquillisants, les somnifères et d'autres médicaments qui affectent l'esprit; Les médicaments cardiovasculaires tels que les médicaments contre l'hypertension artérielle, la digoxine et les médicaments pour les rythmes cardiaques anormaux;et des médicaments pour traiter des problèmes intestinaux.
Une hausse de la mortalité chez les personnes âgées
Ce sont des médicaments qui tuent. Certes, ils ne tuent pas toujours et pas tout de suite, mais ce sont des médicaments qui tuent comme le montrent les quelques études qui ont comparé les conséquences, au-delà de six ou neuf mois, de la prise de ces médicaments à celle d’un placebo
"seul un pays authentiquement moderne était capable de traiter les vieillards comme de purs déchets
peuvent également causer des problèmes de développement, ils ont des effets néfastes sur la vie sexuelle et romantique, et ils augmentent le risque d'hyponatrémie (faible teneur en sodium dans le plasma sanguin), les saignements, les accidents vasculaires cérébraux et la mort chez les personnes âgées.
opiacés / opioïdes + benzodiazépines / somnifères = mort du patient
Selon les victimes, la mort n'intervient que quelques jours, semaines, mois ou années après le début du traitement..
Depuis six ans, la revue «Prescrire» alerte sur l’inefficacité et les effets secondaires, parfois mortels, des spécialités pharmaceutiques autorisées (et remboursées) contre cette maladie. En vain
Va-t-elle, en d’autres termes, choisir la logique et la cohérence : faire procéder à leur déremboursement plus de 150 millions d’euros d’économie annuelle) en organisant parallèlement une amélioration substantielle de la prise en charge de ces personnes ?
Les médicaments actuels contre cette maladie seraient inefficaces, selon notre Président de la République lui-même et la Haute Autorité de Santé. Cependant, cette dernière recommande de les maintenir pour leur « effet structurant » dans la prise en charge. Hélas, ces médicaments ont essentiellement des effets secondaires. Lors de l’émission « Sciences publiques » de France Culture, Bruno Toussaint, de la revue Prescrire, n’y va pas par quatre chemins : «Nous sommes ici très au-delà des limites acceptables. Ces médicaments ne sont pas des placebos. Ce sont des médicaments qui tuent. Certes ils ne tuent pas toujours et pas tout de suite, mais ce sont des médicaments qui tuent comme le montrent les quelques études qui ont comparé les conséquences, au-delà de six ou neuf mois, de la prise de ces médicaments à celle d’un placebo. » Le laboratoire Ely Lilly a lui-même reconnu que son futur médicament le Semagastat accélérait le déclin des patients atteints d’Alzheimer et comportait un risque accru de cancer de la peau, sur quoi il a arrêté les essais cliniques (signe des temps !).
C’est un scandale, ça tue les vieux !
Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.» professeur Gotzsche peter
Zyprexa – Risperdal – Abilify – Clozari tue les personnes âgées : Les personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de la santé mentale l’ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.
Au Québec, 80 % des personnes âgées consomment des benzodiazépines (Bzd):
Mais les effets secondaires sont mortels - les tranquillisants sont très addictif.
Les nouveaux antidépresseurs causent 50 % plus de décès chez les personnes âgées (10,6 % par an contre 7 %)
Peter Gotzsche MD
Plusieurs médicaments anticholinergiques pris par les aînés liés à un déclin cognitif et une augmentation de la mortalité
20 % des participants qui prenaient plusieurs médicaments ayant un effet anticholinergique sont décédés durant les deux années de l'étude comparativement à 7 % de ceux n'en prenant pas..
1. Analgésiques à base d’opiacés, 2. Sédatifs, 3. Antipsychotiques, 4. Antidépresseurs, 5. Anticoagulants, 6. Médicaments contre le cholesthérol, 7. AINS, 8. Tylenol, 9. Aspirine, 10. Antibiotiques
13 992patients admis en deux ans dans un service de Médecine Interne : Décès 732 patients (5,2%)
"Il est l'heure, vraiment l'heure, de tuer ceux qui cherchent à nous tuer"
Une étude UFC-Que Choisir révèle des prescriptions abusives pour les personnes âgées. Une population très demandeuse de médicaments mais peut-être aussi victime de médecins peu regardants, et d'une industrie pharmaceutique prête à tout pour écouler ses stocks.
Cette étude parue il y a près de 10 ans démontre que le prétendu bien-fondé de la vaccination antigrippale pour les personnes âgées est un mensonge éhonté. Aux Etats-Unis, la couverture vaccinale chez les plus de 65 ans est passée de 15-20% avant les années 1980 à 65% en 2001. On aurait donc du s’attendre à une diminution équivalente du nombre de décès liés à la grippe dans cette population. Eh bien, non, pas du tout. Non seulement cette inversion n’a jamais eu lieu mais c’est l’inverse qui s’est produit.
Ils veulent éliminer les bouches inutiles. Plus je parle avec des personnes âgées et plus j'entends des personnes qui ont des relations qui sont mortes suite à l'administration du vaccin.
De nombreux experts médicaux reconnaissent maintenant qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.
Un avertissement doit être publié au sujet d’un tranquillisant employé couramment Ativan (temesta), il a été demontré qu’il pouvait avoir un impact rare mais potentiellement mortel sur la respiration des patients.
le nombre de décès par année liés aux benzodiazépines est supérieurs à ceux de l’ensemble des cinq stupéfiants illégaux de catégorie A ‘réunis
"Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les p
Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DE SEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE, LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L'EPILEPSIE… SONT DES EFFETS SECONDAIRES COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN
Chaque année, plus de 9,6 millions de réactions indésirables se produisent chez les Américains âgés. Une étude a révélé que 37 pour cent des effets indésirables chez les personnes âgées n’ont pas été signalés au médecin, sans doute parce que les patients ne se rendent pas compte les réactions étaient dus à la drogue. Ce n’est pas trop surprenant étant donné que la plupart des médecins ont admis qu’ils n’ont pas expliqué les effets négatifs possibles à leurs patients.
Environ 163000 Américains âgés souffrent d’une grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) soit causée ou aggravée par les médicaments.
« Dans l’histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d’ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue… des millions de personnes ont été mises sous drogue, alors qu’elles n’en avaient pas besoin »
docteur joanna Moncrieff
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La torture chimique avec des médicaments : "Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu'on leur donne" / la barbarie médicale
source : torture et meurtres sur ordonnances
La substitution / switch brutal de médicaments provoquant une très forte dépendance induite par les médecins, est une forme de torture et source de grandes souffrances, alors que le switch brutal est couramment pratiqué par les médecins sur les personnes agées..
Horrible torture chimique sur ordonnances
Si l’on accepte l’argument selon lequel un traitement neuroleptique était une forme de torture quand il a été utilisé par les psychiatres soviétiques, il ya peu de raisons d’avoir une opinion différente sur son utilisation courante par les psychiatres occidentaux
Les premiers neuroleptiques étaient tellement puissants qu'ils étaient utilisés pour torturer les dissidents en urss. À l'époque de Staline, certains simulaient la folie pour éviter les camps de concentration. Après avoir goûté à la médecine, ils suppliaient les autorités de les renvoyer aux travaux forcés.
Abus psychiatrique et médicamenteux
La torture passe en outre par l’administration abusive de médicaments dans des institutions psychiatriques ou avec la complicité de celles-ci. Parmi les substances utilisées figurent les hallucinogènes, qui induisent une confusion mentale, les neuroleptiques – dont les sédatifs –, qui provoquent un émoussement sensoriel, et des poisons qui entraînent une paralysie musculaire et des crises de suffocation. L’utilisation abusive de médicaments conduit à la perte du contrôle de soi, à des troubles et des douleurs psychiques ainsi qu’à une angoisse (de la mort).
article 3 de la convention
la dépendance forcée aux stupéfiants – ici vous pouvez aussi utiliser dépresseurs, les stimulants, les opiacés ou hallucinogènes (psychédéliques), les dépresseurs (alcool, barbituriques, anxiolytiques avec des effets d’euphorie, de réduction de la tension, la désinhibition, la relaxation musculaire, somnolence, les stimulants (cocaïne, amphétamine , la méthamphétamine (crystal meth).
Torture médicale utilise les psychotropes et/ou d’autres produits chimiques pour induire la douleur et provoquer le respect des objectifs de la tortionnaire.Peut inclure l’ingestion forcée ou l’injection de médicaments psychotropes comme antipsychotiques neuroleptiques pour produire la maladie angoissante appelée akathisie, (eg., phénothiazines(comme la perphénazine et la chlorpromazine), thioxanthènes (comme flupenthixol et zuclopenthixol) et butyrophénones (tels que l’ halopéridol (Haldol)), nouveaux antipsychotiques atypiques, , dimenhydrinate, R015-4513), ou contraints à ingérer (ou être injecté avec) produits chimiques ou autres produits (tels que des éclats de verrechauffé eau ou savons) qui provoque des lésions internes et douleur. Irritant de produits chimiques ou de produits peuvent être insérés dans le rectum ou le vagin, ou appliquées sur l’ externe des organes génitaux.
Dans la première étape, l’individu devient psychotique pendant quelques jours juste après qu’il ou elle cesse de prendre les médicaments. Dans le second, la folie qui se dégage lors du retrait du médicament psychiatrique est persistant et peut-être irréversibles. In the third stage, the psychosis is evident even while the patient is taking the psychiatric drugs. Dans la troisième étape, la psychose est évidente, même lorsque le patient prend les médicaments psychiatriques. L’étude note que, lorsque ce stade est atteint, «dans la plupart des cas,« la personne est condamnée à être fou pour la vie. Cette condition a créé des milliers de victimes de la torture, définitivement détruit, chassé des institutions psychiatriques à se nourrir dans les poubelles tout en luttant avec terreurs intérieures implantés dans leurs esprits par des médicaments psychiatriques.
L’usage de drogues dans la torture et les violations des droits de l’homme.
L’administration forcée de médicaments, habituellement par injection, peut accompagner la torture physique.Dans l’environnement extrajudiciaires dans lesquels la torture est pratiquée, la documentation sur les types de médicaments utilisés est difficile. En violation de tous les codes d’éthique professionnelle, la participation des médecins semble être omniprésent. En Union soviétique, les violations des droits de l’homme sont devenus institutionnalisés dans le système de soins de santé mentale. Les médicaments thérapeutiques sont utilisées, souvent à des niveaux toxiques, pour punir les dissidents politiques et / ou religieuses.
L’administration forcée de médicaments, habituellement par injection, peut accompagner la torture physique.Dans l’environnement extrajudiciaires dans lesquels la torture est pratiquée, la documentation sur les types de médicaments utilisés est difficile. En violation de tous les codes d’éthique professionnelle, la participation des médecins semble être omniprésent. En Union soviétique, les violations des droits de l’homme sont devenus institutionnalisés dans le système de soins de santé mentale. Les médicaments thérapeutiques sont utilisées, souvent à des niveaux toxiques, pour punir les dissidents politiques et / ou religieuses.
Neurobiologie : étude de cas sur la militarisation imminente de la biologie
Si ces applications recherchées voient le jour, elles vont aussi donner plus de moyens d’action aux tortionnaires, aux dictateurs et aux terroristes
Si ces applications recherchées voient le jour, elles vont aussi donner plus de moyens d’action aux tortionnaires, aux dictateurs et aux terroristes
concernant le commerce de certains biens susceptibles d’être utilisés en vue d’infliger la peinecapitale, la torture ou d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants
rapport intérimaire de l’ONU par le Rapporteur spécial sur la torture , Manfred Nowak , qui signale la fin de l’impunité pour les actes de torture et de mauvais traitements psychiatriques
A l’évidence, le consentement d’un patient à un traitement ne peut être qualifié de libre et éclairé que s’il se fonde sur des informations complètes, exactes et compréhensibles sur son état de santé et le traitement qui lui est proposé
La torture et les horribles douleurs sur ordonnances
L'organisation recense différentes techniques de torture, allant notamment des positions douloureuses aux décharges électriques dans les parties génitales en passant par les coups, la privation de sommeil, les simulacres de noyade, l'introduction d'aiguilles sous les ongles, des coups de couteau, l'administration forcée de substances psychotropes, la pratique de stérilisations et d'avortements ou encore des prisonniers que l'on oblige à boire leur propre urine
EFFETS SECONDAIRES DES DROGUES MEDICALES
EHPAD / maison de retraite ou salle de shoot : la défonce des vieux / de plus de 65 ans / comment les médecins les transforment en toxicomane
Une étude UFC-Que Choisir révèle des prescriptions abusives pour les personnes âgées. Une population très demandeuse de médicaments mais peut-être aussi victime de médecins peu regardants, et d'une industrie pharmaceutique prête à tout pour écouler ses stocks.
Une étude UFC-Que Choisir a observé qu'une personne âgée pouvait se retrouver avec 21 médicaments prescrits lors d'une visite chez le médecin, la moyenne, c 8,6.
Entre 2007 et 2010, l'Ouest audois a servi de terrain d'expérimentation à une enquête sanitaire et sociale dont les résultats « dérangeants » n'ont pas été rendus publics. Et pour cause ! Ils établissent de façon accablante comment les pensionnaires sont assommés de médicaments....
Impossible d'obtenir une réponse formelle et locale à cette question. Au début de cette année 2 012 une étude, publiée par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), révèle que les recommandations concernant la prescription de médicaments, surtout les benzodiazépines (tranquillisants mineurs), sont régulièrement dépassées. Le professeur Claude Jeandel, gériatre au CHU de Montpellier, souligne que la iatrogénie, c'est-à-dire la prise de médicaments incompatibles entre eux, entraîne 15 à 20 % des hospitalisations des plus de 75 ans ». Confirmant la justesse des résultats dérangeants dans les maisons de retraite de l'Ouest audois entre 2007 et 2010...
40 % des hospitalisations de personnes âgées sont conséquentes de facteurs iatrogéniques. C'est-à-dire de la prise de médicaments incompatibles entre eux par la faute de prescriptions inadaptées. C'est une question de santé qui mériterait la création d'une mission parlementaire. Nous savons que ces faits se produisent lorsqu'il y a conflit entre le diagnostic établi par le médecin coordinateur de la maison de retraite et le médecin traitant du patient
Droguer les personnes vulnérables : les antipsychotiques atypiques chez les enfants et les personnes âgées
Les sociétés pharmaceutiques ont récemment étés condamnées aux plus grandes amendes dans l’histoire américaine, y compris les plus grandes amendes criminelles jamais imposées aux sociétés, pour le marketing illégale des médicaments antipsychotiques. Les paiements s’élevaient à plus de $ 5 milliards
Les sociétés pharmaceutiques ont récemment étés condamnées aux plus grandes amendes dans l’histoire américaine, y compris les plus grandes amendes criminelles jamais imposées aux sociétés, pour le marketing illégale des médicaments antipsychotiques. Les paiements s’élevaient à plus de $ 5 milliards
EHPAD : les ordonnances « mille-feuilles » de nos aînés
un résidant en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) consomme – en moyenne – 8 médicaments par jour. Bien au-delà du seuil des 5 molécules recommandées afin de limiter le risque d’interactions médicamenteuses.
Les Français consomment en moyenne… 48 boîtes de médicaments chaque année. Première tranche d’âgée fragilisée par l’abus de prescriptions ? Les aînés. Et de loin. A eux seuls, « les plus de 60 ans consomment 40% des médicaments délivrés à l’ensemble des Français », précise le Pr Philippe Verger, directeur du pôle Gérontologie au CHU de Limoges. Plus alarmant encore, « environ 12% des prescriptions sont faites aux plus de 80 ans », ajoute-t-il dans son rapport remis récemment au ministère de la Santé et intitulé La politique du médicament en EHPAD. Or en vieillissant, l’organisme – très sensible aux médicaments - met aussi beaucoup plus de temps à les éliminer. Et subit donc les conséquences liées aux « surdosages » ainsi qu’aux prescriptions inappropriées.
un résidant en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) consomme – en moyenne – 8 médicaments par jour. Bien au-delà du seuil des 5 molécules recommandées afin de limiter le risque d’interactions médicamenteuses.
Les Français consomment en moyenne… 48 boîtes de médicaments chaque année. Première tranche d’âgée fragilisée par l’abus de prescriptions ? Les aînés. Et de loin. A eux seuls, « les plus de 60 ans consomment 40% des médicaments délivrés à l’ensemble des Français », précise le Pr Philippe Verger, directeur du pôle Gérontologie au CHU de Limoges. Plus alarmant encore, « environ 12% des prescriptions sont faites aux plus de 80 ans », ajoute-t-il dans son rapport remis récemment au ministère de la Santé et intitulé La politique du médicament en EHPAD. Or en vieillissant, l’organisme – très sensible aux médicaments - met aussi beaucoup plus de temps à les éliminer. Et subit donc les conséquences liées aux « surdosages » ainsi qu’aux prescriptions inappropriées.
Personnes âgées sont parmi les nombreux groupes ciblés pour un très haut niveau de drogues psychiatriques et par les neuroleptiques qui sont aussi appelés antipsychotiques.
"Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l'action véreuse d'un dealer propriétaire d'un coin de rue, mais par celle d'un vénérable médecin lové dans son cabinet"
psychiatrie : elle fonctionne également comme caution pour maintenir dans l’impunité les effrayantes dérives de la prescription gériatrique, en posant à tour de bras des diagnostics d’Alzheimer chez des sujets qui sont simplement empoisonnés par la multiplicité des médicaments – pas tous psychotropes – qu’ils reçoivent au mépris des exigences les plus élémentaires du consentement et de la dignité
«la distinction entre les drogues licites et les drogues illicites ne repose sur aucune base scientifique cohérente»
Avec l’âge, les grandes fonctions métaboliques et homéostasiques perdent de leur efficacité et l’on observe des modifications de la pharmacocinétique de nombreux médicaments (diminution de l’élimination et risque d’accumulation) rendant l’homme plus sensible aux effets des médicaments, des drogues ou de l’alcool, entraînant la prolongation de leurs effets et potentiellement une augmentation du risque d’effets indésirables (Nambudiri & Young, 1991
des milliers de plus de 60 ans sont accrochés sur les tranquillisants qui les ont transformées en zombies
Qui sont les vrais barons de la drogue : Big pharma, les vrais barons de la drogue contrôle la production de la grande majorité des « drogues légales » de la planète.
Une escalade médicamenteuse, à l’insu du patient
Les sociétés pharmaceutiques ont récemment condamnées aux plus grandes amendes dans l’histoire américaine, y compris les plus grandes amendes criminelles jamais imposées aux sociétés, pour le marketing illégale des médicaments antipsychotiques. Les paiements s’élevaient à plus de $ 5 milliards.
Le nombre des personnes âgées devenues «polydépendantes» (alcool, médicaments voire produits illicites) ne cesse d'augmenter.
Sujets âgés et substances psychoactives : état des connaissances
De nombreux médicaments donnent des signes physiques de dépendance avec des signes de sevrage en cas d’arrêt brutal tels que les médicaments antihypertenseurs, ou même les médicaments antidépresseurs tels que les ISRS
De nombreux médicaments donnent des signes physiques de dépendance avec des signes de sevrage en cas d’arrêt brutal tels que les médicaments antihypertenseurs, ou même les médicaments antidépresseurs tels que les ISRS
Les mauvaises manières des maisons de retraite : Mediapart a enquêté sur plusieurs établissements, qui donnent à voir un tableau éprouvant de la fin de vie en France.
le contrôleur des prisons a rendu public son rapport annuel[4], en faisant un parallèle entre les prisons et les hôpitaux psychiatriques d'une part, et les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de l'autre, qu'il réclame de pouvoir contrôler car "juridiquement cela n'a rien à voir mais, dans le fonctionnement, cela a tout à voir"
« Presc ription mille feuilles » (8 lignes en moyenne en EHPAD selon les études) favorisée en EHPAD par la multiplication des prescripteurs (le médecin traitant, et possiblement le médecin hospitalier, le spécialiste, l’urgentiste, parfois le médecin coordonnateur), à quoi s’ajoute l’automédication
Dans 11,70 % des EHPAD, au moins 33 % des patients consomment 10 molécules ou plus, - Dans 12,87 % des EHPAD, au moins 5 % des patients consomment plus de 15 molécules.
Les principales classes thérapeutiques utilisées en EHPAD 29 sont : - Antidépresseurs : 32 % - Anxiolytiques : 27 % - Hypnotiques : 22 % - Neuroleptiques : 15 % - Régulateurs de l’humeur : 3 %
les pensionnaires sont quant à eux sur-médicalisés : rien ne vaut un petit cocktail de neuroleptiques pour assommer des pensionnaires qui se montrent par trop agressifs ou déambulateurs et donc trop chronophages. Déshydratation, dénutrition et escarres sont récurrentes. Les mauvais traitements contre les animaux sont aujourd’hui combattus avec plus d’efficacité.
Les laboratoires Abbott s'engage à payer 1,6 milliard de dollars sur la commercialisation de Depakote
Le géant pharmaceutique mondial Abbott Laboratories a accepté de payer au gouvernements fédéraux et d'État 1,6 milliard de dollars en amendes pénales et civiles pour avoir illégalement fait la promotion des usages non approuvés de son médicament Depakote, y compris pour endormir les patients âgés en maison de soins infirmiers
Le géant pharmaceutique mondial Abbott Laboratories a accepté de payer au gouvernements fédéraux et d'État 1,6 milliard de dollars en amendes pénales et civiles pour avoir illégalement fait la promotion des usages non approuvés de son médicament Depakote, y compris pour endormir les patients âgés en maison de soins infirmiers
La contention chimique consiste à l’administration de médicaments dans le but de réduire la libre mobilité de la personne (Dr. Pradines, 2010). Les principales molécules utilisées à ces fins sont des anxiolytiques aux effets myorelaxants et sédatifs (principalement des benzodiazépines) et des neuroleptiques sédatifs (risperidone, tiapride…). La contention chimique présente des risques importants de somnolence, de troubles de la marche avec risques de chutes accrus et d’accidents vasculaires cérébraux (dans le cas des neuroleptiques)
Les contentions pharmacologiques (ou médicamenteuses) utilisent des psychotropes, c'est à dire des médicaments psychoactifs
les tranquillisants : surtout les carbamates et les benzodiazépines,
les tranquillisants : surtout les carbamates et les benzodiazépines,
les neuroleptiques, en particulier sédatifs,
les antidépresseurs : surtout les antidépresseurs sédatifs tels que la miansérine.
32 % des plus de 65 ans et près de 40 % des plus de 85 ans se sont vu prescrire des anxiolytiques ou des somnifères, pour des durées souvent supérieures à trois ans
Les trois psychotropes les plus vendus dans le monde rapportent 25 milles dollars brut toutes les minutes. Les profits sont énormes: chaque jour un psychotrope rapporte en moyen de 7,7 millions de dollars. (Ex : Le ZYPREXA rapporte 11,956 millions de dollars par jour).
Les dix psychotropes les plus prescrits rapportent plus de 26,5 milliards par an. Plus de 80 milliards de dollars rapporté par an par les psychotropes.
Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux
Principes des addictions psychiatriques
...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. «Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient.»
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [Le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. «Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient.»
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [Le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
« les effets des drogues légales sont généralement supérieurs à ceux des drogues illégales et génèrent donc des effets plus dévastateurs et débilitant »
il était oppose’ à son placement en maison de retraite, où on lui faisait prendre des médicaments qui altèrent ses capacités physiques et mentales, et où elle n’est pas bien soignée
Un rapport remis jeudi 12 décembre à la ministre déléguée aux personnes âgées, Michèle Delaunay, relève que les ordonnances en maisons de retraite comptent huit médicaments en moyenne.
Cette pratique d’écrasement était conduite pour 221 patients sur un total de 683 inclus dans l’étude. Et dans près de la moitié des cas (41, 5 %), les médicaments présentaient une forme galénique (la présentation du médicament) qui, en principe, interdisait tout écrasement.
Les erreurs de préparation de piluliers conduisent à l'hôpital 10 % à 20 % des résidents d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues illégales »
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Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l'avez jamais imaginé !
Maltraitance médicamenteuse et autres, des personnes agées / plus de 65 ans
définition OMS
Entre 2007 et 2010, l'Ouest audois a servi de terrain d'expérimentation à une enquête sanitaire et sociale dont les résultats « dérangeants » n'ont pas été rendus publics. Et pour cause ! Ils établissent de façon accablante comment les pensionnaires sont assommés de médicaments....
Impossible d'obtenir une réponse formelle et locale à cette question. Au début de cette année 2 012 une étude, publiée par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), révèle que les recommandations concernant la prescription de médicaments, surtout les benzodiazépines (tranquillisants mineurs), sont régulièrement dépassées. Le professeur Claude Jeandel, gériatre au CHU de Montpellier, souligne que la iatrogénie, c'est-à-dire la prise de médicaments incompatibles entre eux, entraîne 15 à 20 % des hospitalisations des plus de 75 ans ». Confirmant la justesse des résultats dérangeants dans les maisons de retraite de l'Ouest audois entre 2007 et 2010...
40 % des hospitalisations de personnes âgées sont conséquentes de facteurs iatrogéniques. C'est-à-dire de la prise de médicaments incompatibles entre eux par la faute de prescriptions inadaptées. C'est une question de santé qui mériterait la création d'une mission parlementaire. Nous savons que ces faits se produisent lorsqu'il y a conflit entre le diagnostic établi par le médecin coordinateur de la maison de retraite et le médecin traitant du patient.
Violence médicamenteuse : Il peut s’agir d’excès de neuroleptiques, moyen d’obtenir la paix en maison de repos et parfois à domicile, ou à l’inverse, la privation de médicaments prescrits. La polymédication excessive est parfois une forme de maltraitance.Le plus souvent, ces actes ne sont pas isolés, ils sont associés les uns aux autres et se retrouvent en « cascade », plusieurs types de violence se retrouvant dans une même situation. Fréquemment, ces actes de violence sont répétés à de nombreuses reprises. De plus, les situations d’abus sont régulièrement le fruit d’interactions complexes entre la personne âgée et son entourage et peuvent provoquer la négation progressive de la personnalité de l’aîné.
Les médicaments anti-Alzheimer vont pouvoir continuer à ruiner la santé des patients : Maintenir le remboursement de ces traitements, donc leur prescription par les médecins, c’est en réalité exposer les patients à des effets secondaires parfois très graves. Ces médicaments peuvent en effet susciter des troubles du rythme cardiaque et rendre nécessaire, par la suite, la pose de pacemaker. Ils peuvent provoquer des chutes, donc des fractures du col du fémur qui se termineront par la pose de prothèse totale de hanche. Tolérer de tels effets secondaires en l’absence de bénéfice constitue une maltraitance envers des patients particulièrement vulnérables.
les violences médicales, médicamenteuses, par exemple l’abus de sédatifs ou de neuroleptiques pour calmer les personnes, pour « simplifier » le fonctionnement d’un service, d’un domicile. Manque de soins de base, non-information sur les traitements ou les soins, défaut de soins de rééducation, non prise en compte de la douleur…
Les personnes âgées de plus 80 ans consomment en moyenne dix médicaments différents alors que rien ne justifie médicalement une telle consommation, selon une étude conduite par l'hôpital parisien Georges-Pompidou, diffusée mardi 17 septembre.
"Au-delà de trois à quatre molécules prises ensemble, on ne sait plus trop leur métabolisme, c'est-à-dire leur façon de réagir. Et, surtout, à partir de cinq médicaments, le risque d'accident médicamenteux augmente considérablement"
Le témoignage poignant de cinq aides soignantes relance le dossier de la maltraitance des personnes âgées.
La mère de Madame F. est dans un EHPAD (Etablissement d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes) depuis moins de 5 mois. Déjà, elle est amaigrie, affaiblie. Entrée fortement dépendante, ses difficultés d’expression et de compréhension empirent. Depuis peu, elle est devenue incontinente. Elle est victime, comme des milliers de personnes dépendantes (personnes âgées, handicapés, malades mentaux...) de « maltraitance passive » – ou maltraitance ordinaire.
« À l’occasion de cette Journée, j’invite les États Membres et la société civile à faire preuve d’une plus grande détermination et à redoubler d’efforts pour éliminer toutes formes de violence et de mauvais traitements contre les personnes âgées. »
"On peut tuer les gens en toute impunité"
"On les traite comme des chiens, ce n'est pas digne d'un être humain"
Médicaments et chutes, souvent mortelles, sur ordonnances : "Les chutes sont la première cause de mortalité chez les plus de 65 ans"
Les médicaments mis en cause ont été, notamment, des antihypertenseurs (chez environ la moitié des patients), des benzodiazépines, des hypnotiques, des antiépileptiques
Une liste de 70 médicaments favoriserait les chutes, souvent mortelles, des personnes âgées. L'Afssaps étudie leur éventuel retrait du marché.... Alors que 7% seulement des patients qui ne prenaient pas ces médicaments sont décédés durant les deux années de cette étude, 20% de ceux qui suivaient ce traitement sont morts, soit une personne âgée sur cinq .
liste de plus de 70 médicaments : Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.) Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine
Dans une étude, les principales catégories de médicaments responsables des chutes causées par les fractures de la hanche étaient les somnifères et les tranquillisants mineurs (30%), les antipsychotiques (52%) et les antidépresseurs (17%). Toutes ces catégories de médicaments sont souvent prescrits inutilement, surtout chez les personnes âgées. (Voir la section sur les somnifères et les tranquillisants , les médicaments antipsychotiques et les antidépresseurs , voir également la liste des médicaments pouvant causer des fractures de la hanche à cause de chutes provoquées par des médicaments ).
Antidépresseurs, antitussifs, tranquillisants, antihypertenseurs, diurétiques, antiasthmatiques, antiépileptiques... Faut-il avoir peur des médicaments à effet anticholinergique ? Consommés régulièrement, ils entrainent des pertes de l'équilibre et des chutes qui augmentent la mortalité des seniors.
Certains entraînent en effet une baisse de la vigilance, des troubles visuelles, une hypotension. La prise simultanée de plus de 3 ou 4 médicaments de ces 3 classes : cardio-vasculaire, psychotropes, analgésiques augmente aussi le risque de chute
Les chutes sont la première cause de mortalité chez les plus de 65 ans.
La réduction des médicaments associés au risque de chute, des psychotropes en particulier, est une des actions de prévention des chutes les plus accessibles.
Le terme « iatrogénie » provient du greciatros= médecin; et degénos= origine,causes. Il signifie donc « ce qui est provoqué par le médecin »
attribuables à des chutes induites par les médicaments, entraînant plus de 1500 décès.
ces médicaments s’accumulent dans l’organisme au lieu d’être évacués par les reins. Ils provoquent alors somnolence ou excitation, perte de mémoire ou raideur des membres. Ils sont à l’origine de chutes, confusions, sédation excessive.
Médicaments : Comment le crime médical organisé tuent les personnes de plus de 65 ans par le prof Gotzsche peter
Médicaments mortels et crime organisé
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine.L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie
pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption
et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste... Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins... Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la
physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique... Sivous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite àm’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité... Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »
Extrait du chapitre: "La psychiatrie: paradis de l'industrie pharmaceutique", pages 277 à 279
Le canular du déséquilibre chimique:
Au lieu de s'appliquer à tenter de comprendre les patients, la psychiatrie est devenue une entreprise de listes de buanderie qu'on pourrait demander à une secrétaire ou bien aux patients eux-mêmes de remplir. Les diagnostics sont souvent établis après une brève consultation de 10 à 15 minutes, à la fin de laquelle bien des patients se font dire qu'ils devront prendre un médicament pour le reste de leur vie dans le but de rétablir un "équilibre chimique" dans leur cerveau. Il arrive aussi très souvent qu'on leur raconte que leur problème ressemble à celui des patients atteints d'un diabète requérant de l'insuline. Si cela était vrai, le nombre de malades mentaux frappés d'incapacité aurait diminué une fois qu'on a introduit les antipsychotiques et les antidépresseurs. Or, ce qui s'est passé c'est la hausse vertigineuse du nombre de personnes affectées d'un diagnostic psychiatrique qui reçoivent une pension d'invalidité.
[...]
L'histoire du déséquilibre chimique, histoire qu'on raconte à propos de tous les médicaments psychotropes, même les benzodiazépines (pilules pour les nerfs ou pour dormir) est un gros mensonge. On n'a jamais fait la preuve qu'aucune des grandes maladies psychiatriques soit causée par un défaut biochimique et il n'existe aucun test biologique capable de montrer qu'une personne souffre d'une maladie mentale particulière. Par exemple, l'idée selon laquelle les patients déprimés manquent de sérotonine a été rejetée de manière convaincante. En fait, certains médicaments qui réduisent la sérotonine agissent aussi sur la dépression. [...] Une foule d'autres faits plaident à l'encontre du canular du déséquilibre chimique; c'est ainsi qu'il faut compter des semaines de traitement avant que les médicaments n'agissent.
Les médicaments psychotropes ne résolvent pas un déséquilibre chimique, ils le provoquent, ce qui explique qu'il soit si difficile d'en interrompre la consommation. Quand on les prend pendant plus longtemps que quelques semaines, ces médicaments provoquent la maladie qu'ils prétendent guérir. Nous avons transformé la schizophrénie, le TDAH et la dépression qui, par le passé, étaient des maladies bénignes et de courte durée, en maladies chroniques en raison des médicaments que nous utilisons pour les traiter.
Les gens peuvent éprouver des symptômes terribles quand ils tentent d'arrêter le traitement, tant des symptômes qui sont propres à la maladie que des symptômes qu'ils n'avaient jamais eus auparavant. Il est malencontreux que presque tous les psychiatres - et les patients eux-mêmes - interprètent ce phénomène comme signifiant qu'ils ont toujours besoin du médicament. Habituellement, ils n'ont en pas besoin. Ils sont devenus dépendants, tout comme un toxicomane dépend de l'héroïne ou de la cocaïne.
[...]
Les psychiatres devraient prendre en considération le fait que, contrairement aux psychiatres, les autres médecins spécialistes sont très réticents aux traitements symptomatiques de longue durée sans savoir ce qui explique le symptôme, par exemple quand une personne souffre de nausées ou de maux de tête. Toutefois, il faut une volonté bien arrêtée, du temps, de la patience et une période de réduction progressive pour sevrer un patient de ces médicaments tout en minimisant les symptômes provoqués par le sevrage. Quand les patients ont été maintenus sous médication pendant des années, le sevrage peut requérir jusqu'à une année complète. La plupart des psychiatres préfèrent s'en remettre au traitement pour la vie entière, ce qui est désastreux pour plusieurs raisons. Cette conduite emprisonne les patients dans un rôle de patient pendant que les médicaments changent leur personnalité d'une manière qui les rend incapables de confronter les défis de la vie courante. Il semble probable que tous les médicaments, pas seulement les antipsychotiques, peuvent provoquer des dommages permanents au cerveau et des changements durables de la personnalité, comme la dyskinésie tardive, le déclin cognitif et l'indifférence émotive. [...]
Alzheimer sur ordonnances
source : Alzheimer sur ordonnances
psychiatrie : elle fonctionne également comme caution pour maintenir dans l’impunité les effrayantes dérives de la prescription gériatrique, en posant à tour de bras des diagnostics d’Alzheimer chez des sujets qui sont simplement empoisonnés par la multiplicité des médicaments – pas tous psychotropes – qu’ils reçoivent au mépris des exigences les plus élémentaires du consentement et de la dignité
Le fluor est un poison. Il n’a pas sa place dans le métabolisme humain, animal ou végétal. Il détruit les os et les dents, et fait des ravages dans toutes les structures du corps. Le fluor est l’un des éléments les plus répandus dans les remèdes pharmaceutiques.
Le mythe de la maladie d’Alzheimer : que veut vraiment dire ce titre provocateur ? : « Le mythe de la maladie d’Alzheimer. Ce qu’on ne vous dit pas sur ce diagnostic tant redouté »
Quelques mensonges de la part du professeur Lemoine patrick, mais aussi quelques vérités, dont: "Il existe d'autres tranquillisants, notamment l'Atarax, un antihistaminique qui a une indication dans l'anxiété mais qu'il faut également manipuler avec des pincettes parce qu'il peut modifier l'espace QT sur l'électrocardiogramme, ce qui peut engendrer ce qu'on appelle des "torsades de pointe" qui peuvent être mortelles". C'est la raison pour laquelle on pratique généralement un électrocardiogramme avant de le prescrire. Sa prescription doit être faite sur de brèves périodes. Et en plus, comme l'Atarax est anticholinergique, il peut altérer la mémoire et pour cette raison est contre-indiqué chez les personnes âgées.
…Ces effets étaient jusqu’à présent considérés comme réversibles à l’arrêt du traitement. Cependant une étude publiée ce 26 janvier 2015 dans la revue scientifique américaine » JAMA Internal Medicine » et menée par une équipe l’Université de l’Etat de Washington à Seattle (Etats-Unis) *, vient de conclure que ce n’est pas toujours le cas et que la consommation prolongée par des patients âgés de certains de ces médicaments anticholinergiques, les antidépresseurs tricycliques, les anti-histaminiques de 1ère génération , et anti-muscariniques, pouvaient être associée à un risque de démence irréversible
L’étude a porté sur 3 434 patients âgés de plus de 65 ans, qui ont consommé ces médicaments pendant 10 ans, et dont aucun ne souffrait de démence au début de l’étude. Les chercheurs ont constaté que 23,2 % avaient développé des symptômes de démence, dont la Maladie d’Alzheimer chez 79,9% d’entre eux. L’origine médicamenteuse possible de cas démence irréversibles et de la Maladie d’Alzheimer chez les patients soumis pendant de longues périodes à ces médicaments semble ainsi établie.
Les effets secondaires anticholinergiques peuvent induire une perte d’autonomie, une diminution de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité [8] . Ils peuvent être parfois mineurs, temporaires ou survenir comme conséquence d’une condition préexistante du patient. Cependant, pris dans leur ensemble, ils peuvent avoir des suites dramatiques sur l’état de santé de la personne âgée. En particulier, les effets atropiniques peuvent entraîner une confusion et amplifier le risque d’apparition de troubles de la mémoire
….Les médicaments anticholinergiques sont considérés comme potentiellement inappropriés chez les sujets âgés
Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire….
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).
Evidemment, une fois qu’on a compris le lien entre folie et opiacés, on comprend immédiatement le lien entre Alzheimer et opiacés. Si les opiacé-likes entrainent des problèmes importants de mémoire, alors, forcément, ils sont une cause d’Alzheimer. Et vu la proportion de personnes âgées sous opiacés ou leurs analogues, ça doit en être une cause très importante
La maladie d’Alzheimer pourrait être responsable aux Etats-Unis de presque autant de décès que les pathologies cardio-vasculaires ou le cancer, contrairement à ce que laissent penser les statistiques, selon une étude publiée mercredi dans la revue Neurology
20 milliards d'euros escroqués aux français, avec l'accord de la sécu, pour des médicaments Alzheimer inutiles mais souvent mortels, : Petit rappel des faits. Le bénéfice de 4 médicaments proposés et de leurs génériques, dont la facture globale en vingt ans a coûté 20 milliards d’euros aux Français avait déjà été mis en doute en 2011 par la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais cette fois elle est catégorique. Selon son rapport du 21 octobre 2016 [1], elle recommande le déremboursement de ces médicaments qui concerne, à ce jour, 850 000 personnes.
Mais l’industrie du médicament a intérêt, objectivement, à ce qu’on regroupe tous les troubles cognitifs des sujets âgés sous l’étiquette de « Alzheimer ». Pourquoi? Parce que les associations de familles de patients atteints d’Alzheimer forment un lobby puissant, ce qui facilite l’expérimentation d’un médicament en permettant rapidement le recrutement de centaines de patients désireux d’aller mieux
Va-t-elle, en d’autres termes, choisir la logique et la cohérence : faire procéder à leur déremboursement plus de 150 millions d’euros d’économie annuelle) en organisant parallèlement une amélioration substantielle de la prise en charge de ces personnes ?
Alzheimer et démence : le racket
liens du génocide
liens du génocide
Ce cri d’alerte puissant, après une étude épidémiologique, montre une association significative entre consommation de benzodiazépines et risque de démence de type Alzheimer : 30 000 cas supplémentaires chaque année sont attribuables à l’effet de ces médicaments
Médicaments de synthèse mis en cause
- les inhibiteurs calciques dans leur ensemble
- les β bloquants
- les neuroleptiques
- les antidépresseurs imipraminiques
- les statines (hypolipémiants : Tahor, Crestor)
- les IPP (Inhibiteurs de la pompe à protons) dans les gastrites + RGO
- la plupart des anticoagulants
- les diurétiques
- les biphosphonates (ostéoporose)
- les additifs et colorants identifiables par la lettre E suivie d’un chiffre. Nombre d’entre eux consommés régulièrement (et parfois même intégrés aux médicaments : colorants) sont délétères pour la membrane cellulaire.
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention.
Combien de cas d’Alzheimer dus aux vaccins?
Si la vingtaine de souris sacrifiées de l’université de Colombie-Britannique pouvaient raconter les circonstances de leur mort, les gouvernements de la planète se retrouveraient avec un sacré procès sur les bras. Les recherches inédites menées par le neurologue de Vancouver Chris Shaw établissent un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer.
Si la vingtaine de souris sacrifiées de l’université de Colombie-Britannique pouvaient raconter les circonstances de leur mort, les gouvernements de la planète se retrouveraient avec un sacré procès sur les bras. Les recherches inédites menées par le neurologue de Vancouver Chris Shaw établissent un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer.
Les médicaments anticholestérol (statines) peuvent causer des problèmes de mémoire
Les étiquettes des médicaments anti-cholestérol de la classe des statines avertiront désormais de la possibilité de confusion et de perte de mémoire, a annoncé la Food and Drug Administration (FDA) américaine.
Les étiquettes des médicaments anti-cholestérol de la classe des statines avertiront désormais de la possibilité de confusion et de perte de mémoire, a annoncé la Food and Drug Administration (FDA) américaine.
Il suffit en général d’arrêter le médicament pour aller mieux. On ne compte pas les témoignages de gens (y compris sur ce blog) qui ont vu des parents ou des proches « guérir » de leur maladie d’Alzheimer dès lors qu’ils avaient arrêté leur statine …
grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) : 14% sont induit par les médicaments contre une pression artérielle élevée
extrait non disponible sur internet au sujet des antidépresseurs : « Un rapport récent du Centre de pharmacologie de Bordeaux a indiqué qu’après 70 ans, et en moyenne à 78 ans, la fréquence des démences était accrue par ces médicaments de 60% après dix-huit ans de surveillance des groupes traités et non traité…sans compter les chutes, fractures, embolies et morts résultant e ces effets thérapeutiques en plus graves qu’avec les benzodiazépines données pour calmer et faire dormir les vieillards quand les établissements qui les abritent manquent de personnel la nuit » (page 197)
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
origine médicamenteuse de la démence
révèle comment et pourquoi les traitements médicaux eux-mêmes – en particulier, médicaments psychotropes – sont une cause importante de la dégénérescence du cerveau et la mort prématurée.Une première en son genre-ressources pour les patients et les cliniciens, cet ouvrage intègre les résultats des recherches de l’épidémiologie (études d’observation des patients dans le «monde réel»), la biologie fondamentale (expérimentation animale), et la science clinique (études de neuroimagerie et l’autopsie) afin de démontrer les effets démence et mortelle de médicaments psychiatriques. Mis en valeur par plus de 100 neuroimages, des diapositives de spécimens de tissus, et des illustrations, le livre décrit de façon unique: Ø les racines sociétales du problème (organes cibles, l’incompétence de réglementation, et la performativité) Ø les sous-types et les causes essentielles de la démence Ø les tendances, la prévalence et les causes de la démence associée à des antidépresseurs, antipsychotiques, anxiolytiques, stabilisateurs de l’humeur, et les stimulants et Ø les actions et les réformes dont les patients, les fournisseurs, et la politique
Neuroleptiques
Les dangers de ces drogues très addictives mais inutiles
Les dangers de ces drogues très addictives mais inutiles
…Des décennies de recherches ont montré que l’atteinte du métabolisme de la sérotonine produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif…
Les risques cachés des benzodiazépines
Les effets contraires chez les personnes âgées. Le système nerveux central des gens plus âgés est plus affecté par les effets dépressants des benzodiazépines que celui des personnes plus jeunes. Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amnésie, de l’ataxie (perte d’équilibre), des maux de cœur et de la pseudodémence (souvent attribué par erreur à la maladie d’Alzheimer) chez les personnes âgées et devraient être évités le plus possible. Ceci est du principalement au fait qu’elles métabolisent les médicaments d’une façon moins efficace que les personnes plus jeunes. L’effet de ces médicaments dure donc plus longtemps formant une accumulation résiduelle plus importante à l’utilisation régulière. Cependant, avec la même concentration sanguine, les effets dépressifs des benzodiazépines augmentent chez les gens âgés; possiblement parce qu’ils ont moins de cellules au cerveau et moins de capacités cérébrales à les régénérer que les personnes plus jeunes.
les benzodiazépines peuvent être liés à la démence sénile (démence, 1992; 3:232-8). Quiconque en doute le potentiel de benzodiazépines de mimer les effets de la démence sénile a seulement pour rappeler le cas de l’ancien chef Ernest Guinness Saunders, qui a récupéré de « Alzheimer » dès qu’il est sorti de son tranquillisants.
16.000 à 31.000 cas d’Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines.
Fibromyalgie , Arthrite , Sclérose en plaques , Maladie de Parkinson , Lupus , Sensibilité multiple aux produits chimiques, Diabètes et, complications diabétiques , Épilepsie , Maladie d’Alzheimer, Malformations congénitales , Syndrome de fatigue chronique, Lymphome (tumeur maligne du tissu lympoide), Maladie de Lyme (normalement causée par un minuscule parasite), Troubles liés au manque d’attention , Troubles de panique , Dépression et autres troubles psychologiques
Faute de solution médicale justement, ces maladies galopent effroyablement : 400 nouveaux cas d’Alzheimer sont diagnostiqués chaque jour en France (1 toutes les 3 mn), 40 pour le Parkinson. Un million de malades d’Alzheimer au dernier relevé, 150 000 malades de Parkinson. Première cause de dépendance. Pas de traitement qui guérisse ces démences, juste des centres spécialisés (plus de 1 500 établissements avec une unité Alzheimer), mouroirs modernes où l’espérance de vie dépasse rarement les deux ans, où les patients assommés de médicaments cherchent désespérément la sortie pour rentrer à la maison… Au final, le coût pour l’Assurance maladie atteint près de 10 milliards d’euros, soit 22 099 € par patient.
1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas !
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire… Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…). En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique. Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
4) Les médicaments font le lit de la maladie
Si vous n’allez pas bien dans votre tête, que vous déprimez, dormez mal, vous tracassez pour un rien, êtes sujet à un stress chronique, on vous met vite en garde. On vous assène que la dépression est, au même titre que le tabagisme, l’un des grands facteurs de risque d’Alzheimer notamment. Un facteur qui interviendrait pour plus de 10%. Ce n’est pas faux, mais ce n’est pas complètement juste. Car on oublie d’ajouter que les médicaments délivrés à gogo pour traiter la déprime, l’anxiété, les troubles du sommeil présentent des effets bien plus délétères pour nos capacités cognitives et qu’une consommation quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neuro-dégénérative. On oublie de nous dire que la famille des benzodiazépines nourrit un futur Alzheimer : – une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 30 % ! – une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente les mêmes risques de 60 à 80 % ! Autre grande famille de médicaments dangereux pour le cerveau : les anticholinergiques. Cette autre famille comprend des antihistaminiques, des antidépresseurs, des somnifères, anxiolytiques et bien d’autres traitements. Les anticholinergiques sont aussi employés dans le traitement de l’incontinence par impériosité et dans le Parkinson… Or les anticholinergiques peuvent eux aussi, à doses élevées et sur le long terme, accroître le risque de démence. Selon une vaste étude américaine publiée en janvier dernier, le risque de démence, dont Alzheimer, est clairement dose-dépendant par rapport à l’exposition cumulée aux anticholinergiques sur dix ans. Au terme de cette étude menée sur près de 3 500 personnes, un peu plus de 23 % des participants ont développé une démence et 80 % l’Alzheimer. L’utilisation des anticholinergiques entraîne donc un risque accru de démence : – de 19 % sur des traitements de 91 à 365 jours, – 23 % de 1 à 3 ans, – de 54 % sur plus de 3 ans.
Gaia Health Blog, Heidi Stevenson, 30 octobre 2011
Tout d’abord, quelques faits :
Jusqu’à l’avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d’un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.
– Jusqu’à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.
Tout d’abord, quelques faits :
Jusqu’à l’avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d’un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.
– Jusqu’à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.
>- En 2007, le nombre d’enfants handicapés mentaux était 35 fois plus élevé que le nombre de 1990.
– Jusqu’à ce que les gens soient drogués pour la schizophrénie, leur espérance de vie était identique à celle des autres. De nos jours, toute personne diagnostiquée peut s’attendre à voir son espérance de vie réduite de 25 ans. Cela signifie qu’un homme qui aurait pu espérer avoir une durée de vie typique, aujourd’hui de 78 ans en Zunie, est susceptible de vivre seulement 53 ans s’il est traité avec des antipsychotiques.
Ce sont des faits abasourdissants, mais ils sont tous fidèlement et minutieusement confirmés dans le brillant ouvrage de Robert Whitaker, Anatomy of an Epidemic [Anatomie d’une épidémie] (1), ainsi que dans plusieurs livres du docteur Peter Breggin. Ce problème me touche directement. Il m’a été difficile d’écrire sur ce sujet, car la personne atteinte n’est pas moi, mais quelqu’un bien-aimé, qui a été changé par Big Pharma, la psychiatrie et la médecine moderne.
Mais ce qui arrive aux gens doit être dit, surtout maintenant, pour nos enfants. Bien trop de vies sont totalement brisées par des traitements médicaux qui, à mon avis, peuvent être seulement qualifiés de malveillants.
Vérité sur les drogues psychiatriques
La psychiatrie s’est ingéniée à se faire passer pour une vraie médecine, à l’instar des autres professions médicales, comme la gastro-entérologie et la neurologie. Pour parvenir à cet objectif, la décision fut prise de soutenir que la maladie mentale a des causes physiques et est soignable avec des médicaments. L’American Psychiatric Association (APA), le National Institute for Mental Health (NIMH), et la National Alliance for the Mentally Ill (NAMI), s’associèrent avec Big Pharma pour convaincre le monde que le haut est en bas et que le noir est blanc.
En dépit du manque absolu de preuve, ils affirmèrent que les gens souffrent de problèmes mentaux parce qu’ils ont le cerveau malade – leur cerveau détraqué souffre de déséquilibres chimiques. Des années et des années de recherches, certaines brillantes, tentèrent de prouver que le cerveau des malades est à l’origine des troubles mentaux. Ils ne purent jamais le faire, mais ça ne fit aucune différence. Les études prouvant le contraire furent manipulées pour donner l’impression qu’elles montraient des différences physiques ou chimiques dans le cerveau des gens atteints de maladies mentales.
Ce n’était rien d’autre qu’un mensonge. Il n’y avait pas une once de vérité. Pas le moindre indice ne montrait que les gens avaient une anomalie cérébrale lors des premiers diagnostics de maladie mentale. Il importait peu que le diagnostic soit dépression, psychose maniacodépressive, schizophrénie, ou la foule de nouveaux diagnostics dont il fut fait étalage comme excuses pour prescrire des psychotropes. Seulement, à présent, il y a du vrai en cela. C’est la véritable tragédie du crime de la psychiatrie : Aujourd’hui, dès que les gens commencent à prendre des psychotropes, le mensonge initial devient vérité. Les drogues endommagent le cerveau, et tout indique que c’est permanent. Ces dommages cérébraux donnent d’authentiques troubles du cerveau, qui engendrent ces mêmes symptômes pour lesquels les drogues sont prescrites.
La psychiatrie est à l’origine de l’immense majorité des maladies mentales.
L’ampleur de cet holocauste iatrogène, médicalement induit, était quasi-inconcevable avant que Big Pharma et la psychiatrie ne décident de s’en prendre aux enfants. Aujourd’hui, nous ne savons pas encore exactement le degré de calamité cela atteindra. Si l’on considère les énormes dommages fait au cerveau adulte, que doit-il arriver au cerveau des enfants ? De combien sera réduite leur vie, après que sa qualité ait été quasiment détruite ?
Maniaco-dépression : Antidépresseurs et antipsychotiques
La psychose maniacodépressive est un excellent exemple des changements dans le cours naturel perçu de la maladie mentale. Il y a exactement 50 ans, avec à peine un cas sur cinq à vingt mille personnes, la psychose maniacodépressive était extrêmement rare. La plupart des victimes, vraisemblablement pas moins de 80%, connaissaient un seul incident et retournaient à la vie normale. Or, aujourd’hui, pas moins d’un individu sur 20 à 50 est diagnostiqué maniacodépressif, et, comme Whitaker le démontre clairement dans Anatomy of an Epidemic, la seule explication possible implique l’action des drogues données pour la dépression et la psychose. Le pronostic désormais avancé pour la psychose maniacodépressive, c’est qu’elle est permanente. Les psychiatres ne donnent généralement pas l’espoir d’y échapper ! Considérez que les enfants sont maintenant livrés à cette magouille de drogue mentale. De combien sera réduite leur vie, et dans quel état la passeront-ils ? Merci aux semblables du Dr Joseph Biederman, qui, selon Whitaker, « ont spécifié le cadre du diagnostic qui a rendu possible [le diagnostic des enfants atteints de psychose maniacodépressive]. » Nous avons un très grand nombre d’enfants diagnostiqués à tort, puis droguée avec les psychotropes les plus puissants et nocifs imaginables – et pire, avec des cocktails de ces drogues. Ces enfants deviennent inévitablement de plus en plus malades. Parfois à peine à l’âge de deux ans, à cause d’un diagnostic bidon, leur vie est brisée. Ils deviennent juste du fourrage pour l’industrie mercantile du gros business pharmaceutique et médical. La psychiatrie couvre bien sûr d’une manière retorse ce qu’elle fait à ces enfants. Ils changent simplement la description de l’évolution naturelle de la « maladie » qu’ils ont définie. Au lieu de reconnaître que la plupart des gens se rétablissent, ils disent à présent qu’il n’y a aucun espoir de guérison. Ils disent maintenant naturel ce qu’ils ont créé. Voilà le vrai terrorisme. Le système médical moderne a décidé que les gens qu’il est censé servir sont sans valeur, que leur but est de servir de pâture à l’insatiable machine à produire des bénéfices qu’il est devenu.Référence (1) Anatomy of an Epidemic, de Robert Whitaker, publication de Broadway Paperbacks, Crown Publishing Group, 2010, pp 172-204.
Un million de malades d’Alzheimer en France. Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention. Entretien
Basta ! : Quelle est l’ampleur des maladies qui assiègent nos cerveaux ?
Marie Grosman [1] : Le nombre de malades d’Alzheimer et d’autisme augmente de façon vertigineuse dans de nombreux pays, surtout les plus développés. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et, si l’on ne fait rien, ce chiffre doublera tous les 20 ans. Le nombre de personnes souffrant d’autisme a été multiplié en France par 17 au cours des cinquante dernières années. On constate également une très forte progression des tumeurs cérébrales chez les enfants (20 % de plus en dix ans). La maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, qui concernent respectivement 100 000 et 80 000 personnes, sont aussi en progression. Cela devrait quand même inciter à agir sur les causes de ces maladies !
Roger Lenglet [2] : Toutes les données citées dans notre livre sont démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses. Nous sommes face à une pandémie neurologique qui ne cesse d’empirer. Les autorités trouvent toujours une explication rassurante à donner. Elles répètent que ces maladies n’ont pas de causes connues, hormis le vieillissement de la population. Mais l’âge est une condition de la maladie et non une cause. La maladie se produit souvent en fin de vie car c’est le temps nécessaire à son expression. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de pathologies dont le temps de latence est important entre l’exposition aux toxiques et l’apparition des symptômes. Et de plus en plus de jeunes sont touchés par la maladie d’Alzheimer. Entre 30 000 et 50 000 personnes de 13 à 60 ans sont concernées.
Nous naissons et vivons aujourd’hui dans « un monde neurotoxique ». Est-ce, selon vous, la cause principale du développement des maladies neurodégénératives ?
R. L. : On a l’habitude de raisonner sur le mode « pasteurien » : un virus = une maladie. Dans un monde où les produits chimiques sont devenus omniprésents, leurs effets se combinent, et les maladies sont multifactorielles. Mais les principaux coupables sont connus. Grâce à une étude épidémiologique de 1995, par exemple, on sait qu’un taux de 100 microgrammes/l d’aluminium dans l’eau du robinet multiplie par deux ou trois le nombre de cas d’Alzheimer. C’est un facteur puissant qui peut déclencher la maladie. À cela s’ajoute la synergie entre les produits, comme le mercure et le plomb, par exemple, qui aggrave considérablement leur nocivité, comme tous les toxicologues le savent [3].
Les enfants sont-ils particulièrement touchés par les substances neurotoxiques ?
M. G. : L’exposition aux molécules neurotoxiques commence dès le début de la vie in utero. Dans le ventre maternel, la barrière placentaire qui protège le fœtus ne stoppe pas les neurotoxiques, qui ont tendance à s’accumuler dans son cerveau en développement. Mercure, plomb, cadmium, phtalates, pesticides et solvants font partie de cette farandole qui a des effets, notamment sur la thyroïde. Plus ces substances sont présentes dans le cordon ombilical, moins le fœtus dispose d’hormones thyroïdiennes. Cette faible quantité peut entraîner une altération irréversible du développement cérébral. On sait aussi que plus la mère porte d’amalgames dentaires [plombages], plus le taux de mercure dans le cerveau du bébé est élevé [4]. Les mères d’enfants autistes ont été en moyenne davantage exposées au mercure dentaire pendant leur grossesse [5].
Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament.
Est-ce lié au fait que ces médicaments représentent un marché en pleine expansion ? 4,3 milliards de dollars en 2009 pour la seule prescription de médicaments pour Alzheimer…
M. G. : Effectivement, les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques constituent un fabuleux marché. Et garantissent un exceptionnel retour sur investissement : 39 % par an, selon André Syrota, directeur de l’Inserm. Pour les pandémies cardiovasculaires, le retour sur l’investissement serait de l’ordre de 37 %.
R. L. : On privatise la maladie en la réduisant à un produit financier outrageusement rentable. Ces médicaments assurent une sécurité sur les investissements totalement incroyable dans un monde en pleine instabilité financière. C’est une véritable marchandisation des pandémies.
Avec des situations de conflits d’intérêts ?
M. G. : L’association Formindep a fait éclater le scandale sur les conflits d’intérêts des experts de la Haute Autorité de santé (HAS), qui ont formulé les recommandations pour les médicaments anti-Alzheimer. Le médecin à la tête de la Commission transparence de la HAS était également rémunéré par des firmes pharmaceutiques, ce qui est interdit par le règlement. Avant même la sanction du Conseil d’État, la HAS a revu sa recommandation sur le sujet.
R. L. : Les acteurs économiques font un lobbying forcené pour maintenir le remboursement des médicaments. Cela signifierait sinon la fin de la prescription et d’un marché. Dans le cas de médicaments inefficaces et dangereux, le corps médical a toujours la même formule : « Le médicament permet d’intégrer dans les circuits de prise en charge les patients touchés. » Sans cela, on ne s’occuperait pas du patient ? Il existe pourtant une prise en charge non médicamenteuse et l’accompagnement nécessaire des malades.
D’où l’importance d’assurer l’indépendance de la pharmacovigilance ?
R. L. : Une vraie expertise du médicament est possible. La revue médicale indépendante Prescrire a prévu tous les scandales sanitaires de ces dernières décennies liés aux médicaments, grâce à ses contre-expertises. Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés.
M. G. : Nous avons besoin d’experts qui n’ont aucun conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques. On nous répond depuis vingt ans que « les meilleurs travaillent déjà pour des laboratoires » et que cela reviendrait à « se priver de leurs compétences » [6]. En attendant, le travail mené par le Réseau environnement santé, qui a abouti à l‘interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, montre toute l’importance de l’expertise citoyenne.
Qu’en est-il de la prévention ?
R. L. : Le fait le plus marquant est justement la quasi-inexistence d’actions de prévention, alors que les enjeux sanitaires sont considérables et que la plupart des causes sont connues. Faut-il attendre que la prévention devienne rentable pour la mettre en place ? Nous devons sortir d’une approche exclusivement thérapeutique. Et redévelopper la toxicologie, qui permet d’évaluer les effets des substances sur les organismes vivants et d’identifier les affections qu’elles peuvent entraîner. Les filières de formation à la toxicologie ont été fermées en France alors qu’il faudrait faire le contraire. Les toxicologues sont considérés comme des emmerdeurs qui viennent vous dire : « Le produit pour lequel vous avez un marché fait des morts. »
Comment expliquez-vous que les responsables politiques puissent négliger les causes de l’hécatombe ?
R. L. : Les relations de l’Élysée avec les laboratoires pharmaceutiques conditionnent totalement la politique de santé publique mise en œuvre en France. Le principal conseiller en santé de Nicolas Sarkozy est Arnold Munnich, un généticien dont l’équipe de recherche détient de multiples brevets. On demande aux chercheurs de se concentrer sur les prédispositions génétiques, alors que ça ne concerne pas plus de 3 % des maladies neurodégénératives. Un élément est frappant : le « pantouflage » intense entre les secteurs pharmaceutiques et chimiques, et les postes à responsabilité publique. Le gouvernement Sarkozy a réduit de 5 à 3 ans le délai minimum pour pouvoir rejoindre le secteur de l’industrie privée après avoir occupé un poste dans le secteur public. Le gouvernement est également à l’initiative de rapprochements entre recherche publique et industrie privée, qui permettent aux laboratoires pharmaceutiques de siphonner allègrement les crédits publics alloués à la recherche.
M. G. : Les spéculateurs se réjouissent de cette collusion avec l’industrie pharmaceutique. Et les assureurs privés se positionnent avec appétit sur ce marché : la poursuite de cette politique de l’autruche signifie la mort assurée de la Sécurité sociale et le partage de l’actuel régime obligatoire entre des assureurs privés.
Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?
R. L. : Ces procès auront forcément lieu. Pour le moment, les décideurs font barrage. Mais dès la reconnaissance officielle de la neurotoxicité des produits, en particulier celle des médicaments, une brèche va s’ouvrir pour les plaintes des malades. C’est ce qui s’est passé pour l’amiante : 300 000 procès ont été gagnés aux États-Unis, après la reconnaissance de la toxicité de celle-ci.
M. G. : Au niveau collectif, il faut se battre pour que les class actions [recours collectifs, ndlr] soient autorisées, afin de rééquilibrer le rapport de force entre les multinationales, dont les ripostes sont hallucinantes, et les citoyens. La France a envisagé de l’autoriser, sauf dans le domaine de la santé [7]. On en est à une situation où le tabac fait plus de 66 000 morts en France chaque année, et un seul plaignant a perdu. Aux États-Unis, ce sont des États entiers qui ont obligé les cigarettiers à passer des accords.
R. L. : Il y a également des moyens de prévenir l’exposition aux neurotoxiques de façon individuelle. Personne ne peut se protéger complètement, mais des actions sont possibles au niveau de l’alimentation, du jardinage, des téléphones mobiles et d’autres sources délétères pour le cerveau… On peut refuser de se faire poser des amalgames dentaires et exiger des céramiques ou des composites à base de résine. On a mené la révolution pasteurienne, la révolution toxicologique reste à faire. En santé publique, toute prise de conscience est forcément anxiogène. On doit mettre en pratique un nouvel « hygiénisme » qui corresponde à la réalité qui nous entoure. Tout en sachant que, sans action collective, la législation et les normes de protection resteront le fruit des pressions des industriels.
Propos recueillis par Sophie Chapelle
Marie Grosman [1] : Le nombre de malades d’Alzheimer et d’autisme augmente de façon vertigineuse dans de nombreux pays, surtout les plus développés. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et, si l’on ne fait rien, ce chiffre doublera tous les 20 ans. Le nombre de personnes souffrant d’autisme a été multiplié en France par 17 au cours des cinquante dernières années. On constate également une très forte progression des tumeurs cérébrales chez les enfants (20 % de plus en dix ans). La maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, qui concernent respectivement 100 000 et 80 000 personnes, sont aussi en progression. Cela devrait quand même inciter à agir sur les causes de ces maladies !
Roger Lenglet [2] : Toutes les données citées dans notre livre sont démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses. Nous sommes face à une pandémie neurologique qui ne cesse d’empirer. Les autorités trouvent toujours une explication rassurante à donner. Elles répètent que ces maladies n’ont pas de causes connues, hormis le vieillissement de la population. Mais l’âge est une condition de la maladie et non une cause. La maladie se produit souvent en fin de vie car c’est le temps nécessaire à son expression. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de pathologies dont le temps de latence est important entre l’exposition aux toxiques et l’apparition des symptômes. Et de plus en plus de jeunes sont touchés par la maladie d’Alzheimer. Entre 30 000 et 50 000 personnes de 13 à 60 ans sont concernées.
Nous naissons et vivons aujourd’hui dans « un monde neurotoxique ». Est-ce, selon vous, la cause principale du développement des maladies neurodégénératives ?
R. L. : On a l’habitude de raisonner sur le mode « pasteurien » : un virus = une maladie. Dans un monde où les produits chimiques sont devenus omniprésents, leurs effets se combinent, et les maladies sont multifactorielles. Mais les principaux coupables sont connus. Grâce à une étude épidémiologique de 1995, par exemple, on sait qu’un taux de 100 microgrammes/l d’aluminium dans l’eau du robinet multiplie par deux ou trois le nombre de cas d’Alzheimer. C’est un facteur puissant qui peut déclencher la maladie. À cela s’ajoute la synergie entre les produits, comme le mercure et le plomb, par exemple, qui aggrave considérablement leur nocivité, comme tous les toxicologues le savent [3].
Les enfants sont-ils particulièrement touchés par les substances neurotoxiques ?
M. G. : L’exposition aux molécules neurotoxiques commence dès le début de la vie in utero. Dans le ventre maternel, la barrière placentaire qui protège le fœtus ne stoppe pas les neurotoxiques, qui ont tendance à s’accumuler dans son cerveau en développement. Mercure, plomb, cadmium, phtalates, pesticides et solvants font partie de cette farandole qui a des effets, notamment sur la thyroïde. Plus ces substances sont présentes dans le cordon ombilical, moins le fœtus dispose d’hormones thyroïdiennes. Cette faible quantité peut entraîner une altération irréversible du développement cérébral. On sait aussi que plus la mère porte d’amalgames dentaires [plombages], plus le taux de mercure dans le cerveau du bébé est élevé [4]. Les mères d’enfants autistes ont été en moyenne davantage exposées au mercure dentaire pendant leur grossesse [5].
Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament.
Est-ce lié au fait que ces médicaments représentent un marché en pleine expansion ? 4,3 milliards de dollars en 2009 pour la seule prescription de médicaments pour Alzheimer…
M. G. : Effectivement, les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques constituent un fabuleux marché. Et garantissent un exceptionnel retour sur investissement : 39 % par an, selon André Syrota, directeur de l’Inserm. Pour les pandémies cardiovasculaires, le retour sur l’investissement serait de l’ordre de 37 %.
R. L. : On privatise la maladie en la réduisant à un produit financier outrageusement rentable. Ces médicaments assurent une sécurité sur les investissements totalement incroyable dans un monde en pleine instabilité financière. C’est une véritable marchandisation des pandémies.
Avec des situations de conflits d’intérêts ?
M. G. : L’association Formindep a fait éclater le scandale sur les conflits d’intérêts des experts de la Haute Autorité de santé (HAS), qui ont formulé les recommandations pour les médicaments anti-Alzheimer. Le médecin à la tête de la Commission transparence de la HAS était également rémunéré par des firmes pharmaceutiques, ce qui est interdit par le règlement. Avant même la sanction du Conseil d’État, la HAS a revu sa recommandation sur le sujet.
R. L. : Les acteurs économiques font un lobbying forcené pour maintenir le remboursement des médicaments. Cela signifierait sinon la fin de la prescription et d’un marché. Dans le cas de médicaments inefficaces et dangereux, le corps médical a toujours la même formule : « Le médicament permet d’intégrer dans les circuits de prise en charge les patients touchés. » Sans cela, on ne s’occuperait pas du patient ? Il existe pourtant une prise en charge non médicamenteuse et l’accompagnement nécessaire des malades.
D’où l’importance d’assurer l’indépendance de la pharmacovigilance ?
R. L. : Une vraie expertise du médicament est possible. La revue médicale indépendante Prescrire a prévu tous les scandales sanitaires de ces dernières décennies liés aux médicaments, grâce à ses contre-expertises. Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés.
M. G. : Nous avons besoin d’experts qui n’ont aucun conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques. On nous répond depuis vingt ans que « les meilleurs travaillent déjà pour des laboratoires » et que cela reviendrait à « se priver de leurs compétences » [6]. En attendant, le travail mené par le Réseau environnement santé, qui a abouti à l‘interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, montre toute l’importance de l’expertise citoyenne.
Qu’en est-il de la prévention ?
R. L. : Le fait le plus marquant est justement la quasi-inexistence d’actions de prévention, alors que les enjeux sanitaires sont considérables et que la plupart des causes sont connues. Faut-il attendre que la prévention devienne rentable pour la mettre en place ? Nous devons sortir d’une approche exclusivement thérapeutique. Et redévelopper la toxicologie, qui permet d’évaluer les effets des substances sur les organismes vivants et d’identifier les affections qu’elles peuvent entraîner. Les filières de formation à la toxicologie ont été fermées en France alors qu’il faudrait faire le contraire. Les toxicologues sont considérés comme des emmerdeurs qui viennent vous dire : « Le produit pour lequel vous avez un marché fait des morts. »
Comment expliquez-vous que les responsables politiques puissent négliger les causes de l’hécatombe ?
R. L. : Les relations de l’Élysée avec les laboratoires pharmaceutiques conditionnent totalement la politique de santé publique mise en œuvre en France. Le principal conseiller en santé de Nicolas Sarkozy est Arnold Munnich, un généticien dont l’équipe de recherche détient de multiples brevets. On demande aux chercheurs de se concentrer sur les prédispositions génétiques, alors que ça ne concerne pas plus de 3 % des maladies neurodégénératives. Un élément est frappant : le « pantouflage » intense entre les secteurs pharmaceutiques et chimiques, et les postes à responsabilité publique. Le gouvernement Sarkozy a réduit de 5 à 3 ans le délai minimum pour pouvoir rejoindre le secteur de l’industrie privée après avoir occupé un poste dans le secteur public. Le gouvernement est également à l’initiative de rapprochements entre recherche publique et industrie privée, qui permettent aux laboratoires pharmaceutiques de siphonner allègrement les crédits publics alloués à la recherche.
M. G. : Les spéculateurs se réjouissent de cette collusion avec l’industrie pharmaceutique. Et les assureurs privés se positionnent avec appétit sur ce marché : la poursuite de cette politique de l’autruche signifie la mort assurée de la Sécurité sociale et le partage de l’actuel régime obligatoire entre des assureurs privés.
Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?
R. L. : Ces procès auront forcément lieu. Pour le moment, les décideurs font barrage. Mais dès la reconnaissance officielle de la neurotoxicité des produits, en particulier celle des médicaments, une brèche va s’ouvrir pour les plaintes des malades. C’est ce qui s’est passé pour l’amiante : 300 000 procès ont été gagnés aux États-Unis, après la reconnaissance de la toxicité de celle-ci.
M. G. : Au niveau collectif, il faut se battre pour que les class actions [recours collectifs, ndlr] soient autorisées, afin de rééquilibrer le rapport de force entre les multinationales, dont les ripostes sont hallucinantes, et les citoyens. La France a envisagé de l’autoriser, sauf dans le domaine de la santé [7]. On en est à une situation où le tabac fait plus de 66 000 morts en France chaque année, et un seul plaignant a perdu. Aux États-Unis, ce sont des États entiers qui ont obligé les cigarettiers à passer des accords.
R. L. : Il y a également des moyens de prévenir l’exposition aux neurotoxiques de façon individuelle. Personne ne peut se protéger complètement, mais des actions sont possibles au niveau de l’alimentation, du jardinage, des téléphones mobiles et d’autres sources délétères pour le cerveau… On peut refuser de se faire poser des amalgames dentaires et exiger des céramiques ou des composites à base de résine. On a mené la révolution pasteurienne, la révolution toxicologique reste à faire. En santé publique, toute prise de conscience est forcément anxiogène. On doit mettre en pratique un nouvel « hygiénisme » qui corresponde à la réalité qui nous entoure. Tout en sachant que, sans action collective, la législation et les normes de protection resteront le fruit des pressions des industriels.
Propos recueillis par Sophie Chapelle
Le 18 octobre 2011, se tenait à l’Assemblée nationale un premier rendez-vous intitulé « La santé environnementale au péril des lobbies et conflits d’intérêts »dans le cadre d’un cycle de quatre séminaires organisé par l’association Adéquations. Ce fut l’occasion de dénoncer la responsabilité des industriels et la passivité des pouvoirs publics dans l’explosion du nombre de maladies neurodégénératives. Bonne nouvelle : les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l’autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu’elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l’alimentation, l’air, l’eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu’au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons). Mauvaise nouvelle : les industriels de la chimie, de l’agro-alimentaire et du médicament, occultent ce constat qui est pourtant aujourd’hui bien démontré par les recherches en épidémiologie et en toxicologie. Les autorités politiques et sanitaires adoptent la même attitude. Notre société est tombée dans le piège de la marchandisation des maladies du cerveau et dans la paralysie de la prévention. Les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques sont un fabuleux marché qui garantit un exceptionnel retour sur investissement de 39% ! Maisons de retraite, assurances, compléments nutritionnels, bracelets électroniques et surtout les médicaments dont la liste ne cesse de s’allonger… sont autant de moyens de faire de l’argent. Ces nouvelles ont été apportées par Marie GROSMAN, biologiste, et Roger LENGLET, philosophe et journaliste d’investigation invités le 18 octobre par l’association Adéquations à présenter leur livre « Menace sur nos neurones : Alzheimer, Parkinson… et ceux qui en profitent » (Actes Sud, septembre 2011), lors d’un séminaire public organisé à l’Assemblée nationale. Les auteurs s’appuient sur des milliers de recherches internationales publiées et accessibles à tous. L’exposition aux molécules neurotoxiques, ont-ils expliqué, commence dès la vie in utero, occasionnant des problèmes de développement cérébral chez l’embryon et plus tard des syndromes d’hyperactivité, ou d’autisme, ou des processus neurodégénératifs que l’on va alors soigner à coup de nouvelles molécules elles-mêmes neurotoxiques. En effet les médicaments eux-mêmes sont souvent neurotoxiques : un quart d’entre eux sont officiellement répertoriés comme ayant des effets indésirables sur le cerveau. « Le nombre de malades augmente de façon vertigineuse », avertissent les auteurs. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994, on est passé à un million aujourd’hui et on s’attend à leur doublement tous les 20 ans. De même la France compte aujourd’hui entre 300 000 et 500 000 personnes autistes, 100 000 cas de Parkinson (avec une progression de 9 000 malades par an), et 80 000 cas de scléroses en plaque (2 000 nouveaux malades chaque année). Le déni de l’impact des produits neuro-toxiques est proprement « criminel » selon Roger LENGLET, qui a également dénoncé la passivité des pouvoirs publics, ainsi que la disparition des filières de formation en toxicologie en France. L’aluminium et le mercure Les auteurs ont insisté sur deux substances emblématiques, l’aluminium et le mercure. Malgré sa puissante neurotoxicité désormais avérée, l’aluminium est toujours présent dans l’eau du robinet de nombreux Français et reste le métal le plus utilisé dans l’alimentation industrielle en tant que colorant alimentaire (E 173). Quant au mercure, il est toujours employé par 80 % des dentistes dans les amalgames dentaires (les femmes enceintes et allaitantes le distillent donc en continu à leur bébé). La tolérance française vis-à-vis du mercure fait figure d’exception, rappelle Marie GROSMAN, de nombreux autres pays ayant déjà mis en place son interdiction ou s’apprêtant à le faire. La biologiste participera au troisième round de négociations du traité international de réduction du mercure sous l’égide de l’ONU, qui se tiendra du 31 octobre au 4 novembre 2011 à Nairobi (Kenya).
Faîtes les crever de faim !
»Alzheimer est une maladie causée par les médecins » à 20mn 24
« Alzheimer était pratiquement inexistant, avant 1940 » à 17mn 30
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La dépression sur ordonnances
La dépression provoquée par les médecins
Plus de 500 médicaments à l'origine de la dépression et du suicide
Mais très dangereux
antidépresseurs, antiépiléptiques, atomoxétine, benzodiazépines / somnifères, interférons, isotrétinîne / roaccutane, méfloquine, montélukast, rimonabant, varfénicline, ntiandrogènes (p.ex. acétate de cyprotérone, flutamide), β-bloquants (surtout les lipophiles), cinnarizine, flunarizine, méthyldopa et agonistes dopaminergiques, progestatifs.
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Un nombre important de personnes âgées consomment des médicaments psychotropes (notamment benzodiazépines et antidépresseurs) et une forte proportion d'entre eux y recourent de façon chronique et à long terme. Le phénomène semble en outre se maintenir malgré la multiplication des preuves scientifiques concernant les effets nocifs de cette utilisation.
Les recherche au cours des 50 dernières années montrent que l'augmentation des niveaux de sérotonine produisent un comportement impulsif, assassiner et le suicide, incendie criminel, le crime violent, conduite dangereuse, la dépression, l'anxiété, l'irritabilité, des douleurs dans le coeur, l'insomnie, l'abus d'alcool et d'autres drogues, la difficulté à respirer et tension.
...Un antidépresseur est le contraire d'un dépresseur. Par conséquent, il est un stimulant. C'est ce que la cocaïne est. Ces médicaments sérotoninergiques font la même chose que les drogues illégales. Ils forcer le corps à effectuer au-delà de sa propre capacité d'énergie et avoir un impact très négatif sur la capacité de l'organisme à métaboliser vos nutriments. Ils épuisent lentement le corps de vitamines et de minéraux, les nutriments dont vous avez besoin pour votre approvisionnement en énergie.
...Un antidépresseur est le contraire d'un dépresseur. Par conséquent, il est un stimulant. C'est ce que la cocaïne est. Ces médicaments sérotoninergiques font la même chose que les drogues illégales. Ils forcer le corps à effectuer au-delà de sa propre capacité d'énergie et avoir un impact très négatif sur la capacité de l'organisme à métaboliser vos nutriments. Ils épuisent lentement le corps de vitamines et de minéraux, les nutriments dont vous avez besoin pour votre approvisionnement en énergie.
« La prescription des psychotropes (anxiolytiques, hypnotiques, neuroleptiques, antidépresseurs pour l’essentiel) est un problème de santé majeur et complexe, particulièrement chez les personnes âgés : plus d’un tiers des personnes de plus de 75 ans fait usage de psychotropes en France, tandis que ces médicaments sont à l’origine d’une iatrogénie importante (chutes, confusions, sédation excessive…) et hospitalisations indues.
Des chercheurs ont découvert que les bêta-bloquants et les inhibiteurs calciques, des médicaments utilisés pour soigner l'hypertension, étaient susceptibles de provoquer des troubles de l'humeur.La dépression et certaines maladies cardiovasculaires vont souvent de pair chez de nombreux patients. En outre, des études antérieures ont montré que des personnes qui n'avaient aucun antécédent dépressif sombraient dans la dépression après une crise cardiaque ou une insuffisance cardiaque.Quatre types de médicaments contre l'hypertension ont été étudiésLes chercheurs de l'Université de Glasgow (Royaume-Uni) ont donc cherché s'il existait un lien entre les médicaments prescrits pour traiter l'hypertension artérielle et les troubles de l'humeur.Ils ont donc suivi plus de 144 000 patients âgés de 40 à 80 ans et traités pour hypertension, soit avec des bêta-bloquants soit avec des inhibiteurs des canaux calciques, des diurétiques thiazidiques ou des antagonistes de l'angiotensine. Et ils les ont comparés avec un groupe de 111 000 patients ne prenant aucun de ces médicaments. Ils se sont aperçus que 299 patients sous antihypertenseurs avaient dus être admis à l'hôpital pour dépression majeure.
un grand nombre de médicaments psychiatriques administrés peut provoquer ou augmenter la dépression et les tendances suicidaires. Mais dans la littérature spécialisée médicale et pharmacologique, il ya de nombreux rapports sur les effets dépressifs de médicaments psychiatriques. En particulier les neuroleptiques, médicaments dits antipsychotiques, initient souvent la dépression et le suicide.
Bulletin de renseignements de santé publique de FDA
les niveaux accrus de sérotonine produisent, la dépression, le comportement impulsif, le meurtre et le suicide, l'incendie criminel, le crime violent, conduite insouciante, l'inquiétude, l'irritabilité, les douleurs autour du coeur, l'insomnie
un grand nombre de médicaments psychiatriques administrés peut provoquer ou augmenter la dépression et les tendances suicidaires. Mais dans la littérature spécialisée médicale et pharmacologique, il ya de nombreux rapports sur les effets dépressifs de médicaments psychiatriques. En particulier les neuroleptiques, médicaments dits antipsychotiques, initient souvent la dépression et le suicide. |
Nous savons aussi que certains benzodiazépines, notamment Halcion et Xanax, causent de graves effets secondaires, notamment la dépression, des hallucinations, l'amnésie et des comportements violents.
professeur Ashton Un autre effet secondaire de somnifères est la dépression. L'industrie du somnifère voudraient vous faire croire que l'insomnie mène à la dépression, ce qui peut être vrai de temps en temps. Elles impliquent que les somnifères pourrait prévenir la dépression. Il n'en est rien. Les essais contrôlés de zaleplon, le zolpidem, eszopiclone et rameltéon mentionnés dans les documents NDA FDA montrent un taux plus élevé de développer une dépression chez les personnes compte tenu des somnifères par rapport à ceux sous placebo. Cela signifie que les somnifères amener les gens à avoir plus de dépression. Peut-être que le mécanisme commun est que l'insomnie mène à dormir utilisation de la pilule, qui à son tour conduit à la dépression. Il a été prouvé très clairement que dormir utilisation de la pilule est associée à des taux de suicide très élevé, mais encore, la preuve que les somnifères provoquent une augmentation suicide est fondée sur la preuve solide que les pilules causent la dépression, ainsi que des taux très élevés de suicide observée parmi ceux qui sont connus pour avoir pris des somnifères. Les effets secondaires à long terme peuvent se manifester par des dépressions, avec parfois des tendances suicidaires graves, également par de l' aggressivité et de l'irritation ainsi que par d'autres symptômes de troubles psychiques et des changements progressifs de la personnalité. |
les soi-disant anxiolytiques ne guérissent rien mais sont plutôt des substances handicapant le cerveau. Lors d’un essai clinique, 70 pour-cent des personnes prenant de l’Halcion “ont développés des pertes de mémoire, de la dépression et de la paranoïa”
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Lorsque les effets secondaires des médicaments sont pires que les maux pour lesquelles ils sont prescrits Les études de cas sont dispersés dans les revues médicales: une femme de 62 ans souffrant d'une psychose aiguë, un homme de 73 ans souffrant d'une invalidité «grave caractéristiques psychotiques délirants", une femme de 47 souffrent d'insomnie et à peine capable de se tenir debout ou marcher , une femme de 62 ans qui rompt son tendon d'Achille, une femme diabétique de 64 ans avec la vie en danger d'hypoglycémie....Des essais cliniques en général que 10 pour cent des personnes prenant ces médicaments-parmi les plus connus sont la ciprofloxacine (Cipro) et la lévofloxacine (Levaquin)-expérience psychiatrique et le centre-système nerveux problèmes. |
Carbatrol, Celontin, Depakene, Depakote ER, Depakote asperge, les comprimés Depakote, Dilantin, Equetro, Felbatol, Gabitril, Keppra, Keppra XR, Klonopin, Lamictal, Lyrica, Mysoline, Neurontin, Peganone, Stavzor, Tegretol, Tegretol XR, Topamax, Tranxene...
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Dépression : et si c'était la pilule ?
La pilule contraceptive peut avoir une incidence sur l'humeur. Elle peut en particulier entraîner des dépressions. C'est un fait connu depuis les années 60 qui a été confirmé depuis.
interferon bêta
une dépression sévère avec idées suicidaires ou tentative a pu être observé pendant le traitement de la SEP par interféron
Interféron : effets secondaires graves
suicide, troubles psychiatriques, morts subites, dépression, idées suicidaires...
beta-bloquants
les bêta-bloquants induisent de la dépression.
Les fluoroquinolones représentent 4% de tous les effets psychiatriques notifiés à l'Afssaps ; cela les situe en huitième position, n'étant précédées que par des neuroleptiques.
Ces substances génèrent de nombreux effets secondaires, dont parfois de lourdes invalidités temporaires ou définitives. Des effets tendineux, allant jusqu'à la rupture de tendon(s) en divers endroits du corps ont été signalés dès 1983
Dépression et idées suicidaires induites par des médicaments
antidépresseurs, anti-épiléptiques, beta-bloquants, benzodiazépines, amphétamines, chimiothérapies, antihistamniques....
LARIAM®-Mefloquine peut provoquer des symptômes psychiatriques, tels que anxiété, paranoïa, dépression, hallucinations et comportement psychotique. Dans certains cas, ces symptômes ont continué longtemps après l'arrêt de la prise de LARIAM®. Des rares cas d'intentions de suicide et de suicides ont été rapportés même si aucune relation avec le médicament n'a été confirmée ".
propécia (contre la chute des cheveux)
Suicide et impuissance
roaccutane : les avertissements sur les étiquettes actuelles stipule
«Accutane peut causer la dépression, la psychose et, plus rarement, des idées suicidaires, tentatives de suicide, le suicide et les comportements agressifs et / ou violents
distilbène
témoignages
Suicide et impuissance
roaccutane : les avertissements sur les étiquettes actuelles stipule
«Accutane peut causer la dépression, la psychose et, plus rarement, des idées suicidaires, tentatives de suicide, le suicide et les comportements agressifs et / ou violents
distilbène
témoignages
les soi-disant anxiolytiques ne guérissent rien mais sont plutôt des substances handicapant le cerveau. Lors d’un essai clinique, 70 pour-cent des personnes prenant de l’Halcion “ont développés des pertes de mémoire, de la dépression et de la paranoïa”
Des chercheurs rapportent une explication possible pour les symptômes d'anxiété et de dépression présents chez certaines personnes prenant des médicaments anti-cholestérol de la famille des statines et certaines personnes suivant un régime alimentaire faib
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La Ritaline est une drogue et conditionne les enfants qui en absorbent à se droguer leur vie durant.
Troubles psychiatriques, dépression, risques de suicide...
Vaccins et adjuvants
Encéphalopathies, autisme, mort, sclérose en plaque, épilepsie, convulsions, déficience mentale, dépression, anxiété, troubles du système nerveux central, paralysie, Syndrome de Guillain-Barré, surdité, hyperactivité, Myofasciite A Macrophages,
Euthanasies, meurtres et assassinats médicaux
2021, 22..: Extermination des personnes âgées, comme dans les annés 1940
l ’injection de chlorure de potassium, est un acte d ’euthanasie active. Elle n ’est jamais justifiable et est juridiquement qualifiable d ’homicide volontaire (Art. 221- 1 du Code pénal
Euthanasie :
1. Sujet tabou (dans les hôpitaux).
2. Sujet brûlant (dans les médias)
3. Méthode permettant d’amputer une famille d’un de ses membres sans risquer les poursuites, et en lui permettant de programmer l’inhumation ou l’incinération à date ferme.
4. Dernier recours quand un patient hospitalisé, malgré les (bons ou mauvais) soins que le(s) médecin(s) dispens(nt), n’en finit pas d’occuper un lit et de (faire) chier.
1. Sujet tabou (dans les hôpitaux).
2. Sujet brûlant (dans les médias)
3. Méthode permettant d’amputer une famille d’un de ses membres sans risquer les poursuites, et en lui permettant de programmer l’inhumation ou l’incinération à date ferme.
4. Dernier recours quand un patient hospitalisé, malgré les (bons ou mauvais) soins que le(s) médecin(s) dispens(nt), n’en finit pas d’occuper un lit et de (faire) chier.
À propos de la mort, des problèmes éthiques : quelle est la valeur d’un être humain ?
Saviez-vous d’ailleurs que, pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent pratiquer l’anesthésie ou injecter des substances paralysantes pour réduire les tensions musculaires. Cette information est très peu connue du grand public. Par ailleurs, il est arrivé maintes fois qu’un patient en état de « mort cérébrale » se réveille brusquement sous l’effet d’une douleur ou d’un choc
Saviez-vous d’ailleurs que, pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent pratiquer l’anesthésie ou injecter des substances paralysantes pour réduire les tensions musculaires. Cette information est très peu connue du grand public. Par ailleurs, il est arrivé maintes fois qu’un patient en état de « mort cérébrale » se réveille brusquement sous l’effet d’une douleur ou d’un choc
Tout comme la presse en Allemagne n’a pas annoncé ce que faisaient les Nazis à Auschwitz et les autres camps de concentration, ceux qui font euthanasias sans la permission du patient n’annoncent pas ce qu’ils font ; ils le couvrir et falsifient les dossiers médicaux.
est un organisme de bénévole avec des gens qui ont eu un être cher victime d'une euthanasie contre la volonté exprimée de la personne ou sans aucune demande d’euthanasie de cette personne. Notre objectif principal est d’empêcher les patients dans une situation d’hôpital et aux patients hospitalisés d’être euthanasiés contre leur gré.
Vous devez savoir que toutes les semaines dans les hôpitaux de la région parisienne, des patients sont régulièrement euthanasiés
" -Les médecins qui ont travaillé dans des services universitaires ont tous connu cela...Quand on parle de cocktail lytique, il s'agit de médicaments qui peuvent soulager le patient et diminuer la durée de sa vie. Le principal cocktail lytique,le DPL, est une perfusion mélangeant 3 médicaments, le dolosal, le lagarctyl et le Phenargan qui peut soulager à faible dose et, à forte dose, provoque la mort du malade. Il était le principal médicament de l'euthanasie hospitalière. En revanche, à côté des cocktails lytiques, il y a une drogue qui devrait être supprimée définitivement c'est le chlorure de potassium directement injecté dans les veines. Comprenez : premièrement , que cela remonte à un lointain passé, mais n'existe plus,et deuxièmement on ne faisait que forcer sur la dose pour calmer le malade, au risque de précipiter sa fin propos du Professeur Pierre-Louis Fagniez. Mais le médecin député Fagniez est sèchement remis à sa place par le Dr Sicard - Le cocktail lytique n'a jamais été destiné à soulager mais à tuer.Le chlorure de potassium fait partie des cocktails lytiques. Administrer du Phénergan-Largactyl-Dolosal(PLD) n'a jamais servi à permettre au malade de mieux respirer ou d'améliorer la vigilance. Le problème est que ces traitements restaient parfois inefficaces pour donner la mort. En revanche, le chlorure de potassium la donne en quelques minutes. Sur l'intention de donner la mort par cocktail lytique, il ne faut pas être hypocrite. le mot lytique me semble un euphémismepour dire mortel. Cette mort était le plus souvent donné en l'absence de tout consentement avec le malade et la famille. C'était l'euthanasie à la sauvette, ni vu ni connu, dans l'opacité et l'arbitraire. Dans la plupart des cas, cette fin était, pour les malades, la moins pire des solutions disponibles. Il n'empêche que la façon de procéder était totalement inadmissible. Mais comment pouvait-on encadrer une pratique réputée être tout à la fois criminelle et inexistante
" -Les médecins qui ont travaillé dans des services universitaires ont tous connu cela...Quand on parle de cocktail lytique, il s'agit de médicaments qui peuvent soulager le patient et diminuer la durée de sa vie. Le principal cocktail lytique,le DPL, est une perfusion mélangeant 3 médicaments, le dolosal, le lagarctyl et le Phenargan qui peut soulager à faible dose et, à forte dose, provoque la mort du malade. Il était le principal médicament de l'euthanasie hospitalière. En revanche, à côté des cocktails lytiques, il y a une drogue qui devrait être supprimée définitivement c'est le chlorure de potassium directement injecté dans les veines. Comprenez : premièrement , que cela remonte à un lointain passé, mais n'existe plus,et deuxièmement on ne faisait que forcer sur la dose pour calmer le malade, au risque de précipiter sa fin propos du Professeur Pierre-Louis Fagniez. Mais le médecin député Fagniez est sèchement remis à sa place par le Dr Sicard - Le cocktail lytique n'a jamais été destiné à soulager mais à tuer.Le chlorure de potassium fait partie des cocktails lytiques. Administrer du Phénergan-Largactyl-Dolosal(PLD) n'a jamais servi à permettre au malade de mieux respirer ou d'améliorer la vigilance. Le problème est que ces traitements restaient parfois inefficaces pour donner la mort. En revanche, le chlorure de potassium la donne en quelques minutes. Sur l'intention de donner la mort par cocktail lytique, il ne faut pas être hypocrite. le mot lytique me semble un euphémismepour dire mortel. Cette mort était le plus souvent donné en l'absence de tout consentement avec le malade et la famille. C'était l'euthanasie à la sauvette, ni vu ni connu, dans l'opacité et l'arbitraire. Dans la plupart des cas, cette fin était, pour les malades, la moins pire des solutions disponibles. Il n'empêche que la façon de procéder était totalement inadmissible. Mais comment pouvait-on encadrer une pratique réputée être tout à la fois criminelle et inexistante
"à partir d'un certain age, les hôpitaux et les maisons de retraite ont une mission bien précise : tuer les vieux ..."
La patiente était âgée de plus de 80 ans et souffrait de démence. Placée dans une maison de soins par son mari, elle y montrait des signes de « peur et de colère ». Le médecin a estimé qu’ « elle souffrait intolérablement », mais « qu’elle n’était plus en mesure d’exprimer son souhait d’euthanasie ». Il reconnait qu’elle a tout de même répété à plusieurs reprises dans les jours précédant sa « mise à mort » : « Je ne veux pas mourir ». A son insu, il a versé un sédatif dans son café puis commencé les injections létales. La patiente a réagi et « lutté désespérément pour ne pas être tué » ; le médecin a alors « demandé aux parents de la patiente de la tenir pour achever son geste ».
Des milliers de personnes âgées ont été tuées par leur propre médecin généraliste sans jamais avoir demandé de mourir sous les lois de l’euthanasie en vigueur en Belgique, selon un rapport universitaire paru hier le 11 juin.
“Euthanasie involontaire” : des médecins belges tuent leurs patients sans qu’ils l’aient explicitement demandé
En 1998, la proportion de décès résultant d’une « euthanasie involontaire » (une vraie euthanasie non demandée par le patient) était de 3,2 % du total, contre 1,7 % en 2013. Entre-temps, l’euthanasie a été légalisée et sa fréquence et son champ d’application ne cessent de progresser. En 2002 en Flandres, juste avant la légalisation de l’euthanasie, plus de 5 % des morts étaient, aux dires des médecins, consécutives à l’administration de substances hâtant la mort sans que les patients aient seulement été interrogés sur leur volonté.
L’euthanasie involontaire n’a pas baissé avec la légalisation de l’euthanasie : la volonté du patient est un leurre
En 1998, la proportion de décès résultant d’une « euthanasie involontaire » (une vraie euthanasie non demandée par le patient) était de 3,2 % du total, contre 1,7 % en 2013. Entre-temps, l’euthanasie a été légalisée et sa fréquence et son champ d’application ne cessent de progresser. En 2002 en Flandres, juste avant la légalisation de l’euthanasie, plus de 5 % des morts étaient, aux dires des médecins, consécutives à l’administration de substances hâtant la mort sans que les patients aient seulement été interrogés sur leur volonté.
L’euthanasie involontaire n’a pas baissé avec la légalisation de l’euthanasie : la volonté du patient est un leurre
mort cérébral
"Son expérience personnelle avec un bébé déclaré en « mort cérébrale », et qui a si bien vécu qu’il est aujourd’hui le père de trois enfants"
"Son expérience personnelle avec un bébé déclaré en « mort cérébrale », et qui a si bien vécu qu’il est aujourd’hui le père de trois enfants"
Une politique déja appliqué depuis longtemps sur le terrain par nos cher médecin de la CPAM et compagnie? Paradoxalement le propos de M de Kervasdoué est même amplifié puisque le dérapage des dépenses ne conduit pas ainsi qu’il le souligne à une amélioration de l’état de santé de la population mais bien à une franche détérioration avec un accroissement du nombre de cancéreux entre deux chimiothérapies, de coronariens entre deux angioplasties, et de vieillards entre
Un décès sur deux serait dû à une décision médicale susceptible d'abréger la vie
Dans un tiers des cas, cette décision consistait à intensifier le traitement contre la douleur avec utilisation d'opioïdes ou de benzodiazépines
Dans un tiers des cas, cette décision consistait à intensifier le traitement contre la douleur avec utilisation d'opioïdes ou de benzodiazépines
Les médecins du NHS mettent prématurément fin à la vie de milliers de patients âgés hospitalisés parce qu'ils sont difficiles à gérer ou pour libérer des lits
l'euthanasie fait partie de la manière standard de mourir car elle est maintenant associée à 29 pour cent des décès
Ma chère mère est décédée le 19 juillet 1994. Elle avait la maladie d'Alzheimer, mais sa mort a été précipitée parce qu'elle a été privée de nourriture et d'eau. Ma petite sœur avait une procuration médicale et a été convaincue par les médecins de maison de soins infirmiers que la mère ne ressentirait aucune douleur. Quand j'ai appris, j'ai appelé la maison de soins infirmiers dans l'Illinois et a parlé au directeur médical. Je lui ai dit que je ne voulais pas ma mère affamés et déshydratés à mort. Il m'a dit qu'elle ne sentirait rien. Il n'a jamais dit qu'elle recevait des médicaments contre la douleur. J'ai répondu qu'il n'y avait pas beaucoup de différence entre ce qu'il faisait à ma mère et ce qui a été fait par les nazis aux prisonniers du camp de concentration. Il a répondu que ma mère ne pouvait rien sentir parce qu'elle n'avait plus sa fonction cérébrale. Bien sûr, être affamé et déshydraté ne contribue pas à la fonction cérébrale des prisonniers non plus. Je raccrochai et pleurai des larmes amères. Momma est morte trois jours plus tard. J'ai découvert plus tard que ce qui a été fait à ma mère était une pratique courante depuis plusieurs décennies. Ma mère ne méritait pas cette fin.
après la retraite, les personnes âgées ne contribuent pas ou peu à l'économie du pays; pire encore,
Le corps inerte et livide de Madame Burns est arrivé aux urgences de l’hôpital. Pour les médecins, cette femme, mère de trois enfants vient d’être victime d’une overdose de barbituriques. Plongée dans un coma causé par l’intoxication médicamenteuse, les médecins diagnostiquent un état de mort cérébrale. La famille donne alors son autorisation pour cesser les soins et procéder au prélèvement les organes. Au moment de prélever les organes dans la salle d’opération, Mme Burns ouvre les yeux sous les néons de la table chirurgicale
Les médecins belges tuent les vieux, les comateux, les déments sans qu’ils l’aient explicitement demandé
L’espérance de vie régresse dans toute l’Europe, comme aux USA (2018)
Les Caisses de retraite peuvent se réjouir. Avant que les populations comprennent, elles auront fait de confortables profits
Les Caisses de retraite peuvent se réjouir. Avant que les populations comprennent, elles auront fait de confortables profits
Non, ça, c'est le programme du gouvernement pour les caisses de retraite. Faut pas confondre le législatif et l’exécutif.
«Les citoyens belges devraient être conscients de la situation actuelle, et savoir que leur vie peut en arriver au point où des médecins pensent qu'elle ne vaut plus la peine d'être vécue, et décider de mettre le patient à mort en l'absence de volonté contraire explicite.»
Chaque année, 1000 Belges reçoivent la mort sans l'avoir demandée. C’est ce qu’a déclaré le Docteur Marc Cosyns[1] le 29 janvier dernier lors du procès d’Ivo Poppe, cet infirmier accusé du meurtre d’une vingtaine de personnes (cf. Belgique : un ancien infirmier accusé de dizaines d’ « euthanasies » ).
Marc Cosyns a toujours affirmé que l’euthanasie n’avait pas besoin d’être dépénalisée « car selon lui, le médecin agit en conscience pour le bien de son patient et 'l’accompagne' dans ce processus de mourir ». Lui-même ne juge pas toujours utile de déclarer les fins de vie qu'il a « aidées » à la Commission Fédérale de Contrôle et d’évaluation de l’Euthanasie.
Il déplore que les euthanasies belges soient restreintes aux patients ayant émis une demande et formulé leur consentement, car « ce sont le plus souvent les infirmiers qui abrègent discrètement la vie de leurs patients sans qu’ils l’aient demandé. Ils s’y sentent obligés parce que les médecins refusent de le faire eux-mêmes », affirme le Docteur Cosyns. En effet, il considère que même sans consentement, il s'agit d'un simple acte médical n’ayant rien à voir avec un meurtre. Il souhaite « plus de transparence, mais sans représailles, afin d'alléger la conscience du personnel médical »
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« En comparant nos chiffres avec ceux de la Belgique (en pourcentage du total de décès), on constate que la 1ère année du Québec correspond à la 6e année de la Belgique, tandis que notre 2e année se positionne entre la 7e et la 8e année de la loi belge. Pour ainsi dire, le Québec s’est jeté tête première dans la mort comme solution à la souffrance. »
« beaucoup de gens en Hollande ont peur d’aller à l’hôpital en raison de cette situation. »
Le suicides des personnes agées / de plus de 65 ans : liés directement aux médicaments
Malgré plusieurs plans nationaux de prévention,
on dénombre environ 3.000 suicides par an chez les plus de 65 ans, qui représentent 20% de la population, mais 28% des suicides.
Coalition des parents ayant enduré le Suicide
L’analyse des opiacés me fait penser que, comme beaucoup de monde le soupçonne, ces produits peuvent provoquer des envies suicidaires et des passages à l’acte.
200.000 personnes meurent chaque année des médicaments sur ordonnance, mais seulement 20.000 meurent à la suite de l’utilisation de drogues illégales
«Ces nouvelles mises en garde précisent que les patients de tous âges qui prennent ces médicaments peuvent présenter des changements comportementaux et/ou émotifs pouvant être associés à un risque accru de poser des gestes autodestructeurs ou de faire du mal à autrui».
quand le Prozac pousse au suicide
Pétition : Non aux abus de prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et antidépresseurs aux personnes âgées
Pétition 1 : Non aux abus de prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et antidépresseurs aux personnes âgées
Pour:Madame Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes.
Nous sommes tous concernés par ce scandale sanitaire dont les premières victimes sont les personnes âgées.
Leur utilisation, en forte croissance depuis quelques années, fait l'objet de contre-verses notamment en raison de cette grande proportion hors Autorisation de Mise sur le Marché et des effets secondaires importants, en particulier chez les personnes âgées ou enfants.
Ces médicaments peuvent provoquer des effets paradoxaux qui sont bien à distinguer des effets secondaires déjà très importants chez les sujets âgés.
Ces effets paradoxaux sont souvent interprétés comme une dégradation autonome de l'état du patient, ce qui conduit à la poursuite du traitement (voir augmentation des doses), alors que c'est précisément le traitement qui aggrave l'état du malade.
Le cercle vicieux s'enclenche alors et conduit souvent au décès du patient suite à une chute, notamment pour les personnes âgées.
Il est très difficile de faire reconnaître à un médecin qu'il a prescrit un médicament qui détruit l'état de santé de son patient. Ils ne veulent pas reconnaître l’existence, et de l’occurrence somme toute assez fréquente, de ces effets paradoxaux et refusent souvent l’interprétation que le patient ou sa famille fait de son état de santé.
Il est important de se rappeler que les effets "paradoxaux" peuvent survenir dès le début du traitement après une courte période de l'usage, où même, dans certains cas, à la première prise de cette drogue.
Ceci place le patient dans une position impossible, tant en raison de sa situation très dégradée que de l’état de dépendance dans lequel il se trouve déjà engagé.
Les effets paradoxaux sont pourtant indiqués sur les notices des benzodiazépines (même s’ils sont naturellement minimisés pour les raisons que l’on connaît). Ils varient souvent d’une benzodiazépine à l’autre et d’un patient à l’autre.
Les effets paradoxaux des benzodiazépines sont les suivants :
-aggravation (ou apparition) de l’insomnie
-aggravation (ou apparition) de l’anxiété, du trouble panique, du trouble d’anxiété généralisée
-aggravation (ou apparition) de la nervosité, de l’agitation
-aggravation (ou apparition) de phobies (ainsi l’agoraphobie, la phobie sociale, les peurs irrationnelles)
-aggravation (ou apparition) de l’hypomania, de l’excitation
-aggravation (ou apparition) de l’agressivité, de l’hostilité, d’une rage irrationnelle
-aggravation (ou apparition) de l’hyperactivité
-aggravation (ou apparition) de spasmes musculaires, du syndrome des jambes / bras qui bougent tous seuls (Restless Leg syndrome), de tremblements
-aggravation (ou apparition) de cauchemars, rêves très mouvementés
Outre les réactions « Paradoxales », ces produits provoquent également :
- Effets secondaires à long terme :
Les effets secondaires à long terme peuvent se manifester par des dépressions, avec parfois des tendances suicidaires graves, également par de l' agressivité et de l'irritation ainsi que par d'autres symptômes de troubles psychiques et des changements progressifs de la personnalité.
- Effets secondaires cognitifs :
La perte de mémoire est mesurable, la capacité d'enregistrer du matériel acquis dans la mémoire profonde se réduit. Cette diminution de la mémoire est surtout remarquable chez les personnes qui font des études intellectuelles ou autres. Touts les benzodiazépines causent une aggravation des fonctions de la mémoire, mais les risques d'amnésie aiguë et de trous de mémoire est prédominant avec les produits à courte durée.
- Effets secondaires psychomoteurs :
Les usagers d'un certain âge courent un plus grand risque pour ces effets secondaires et peuvent, en outre, développer de la dysarthrie (difficultés de langage) et de l'ataxie (aggravation de la coordination des mouvements).
Un risque de chutes et de fractures est prouvé chez les patients plus âgés qui utilisent le produit de façon chronique, les substances à courte durée peuvent à leur tour causer des réactions "paradoxales" (voir ci-dessus) dans ce groupe d'âge.
Mobilisons-nous et exigeons des pouvoirs publics, que ces médicaments, véritables drogues, soient employées à bon escient et que l'on cesse d'intoxiquer nos aînés avec ceux-ci !
Il y a beaucoup d'autres solutions pour apaiser une personne âgée qui est agitée ou qui a des troubles du sommeil, faut-il vouloir s'investir pour lui offrir une prise en charge adaptée. Il est certes plus facile de lui administrer un cachet ou des gouttes pour un prix dérisoire, en privilégiant l'économie avec réduction du personnel soignant, ceci au détriment de la santé et du confort du patient.
Nous demandons entre autre :
- Que les médecins respectent le Code de Déontologie Médicale, notamment leurs devoirs envers les patients ainsi que l'exercice de leur profession. Ils ne doivent pas prescrire des médicaments, entreprendre ou poursuivre des soins qui dépassent leurs connaissances, leur expérience et les moyens dont ils disposent.
- De ne pas tirer vers le bas la sécurité des patients par des pratiques qui visent plus à assurer la réduction des coûts que la sécurité et le confort des malades.
- Que les personnes âgées ne doivent pas être laissées pour compte, elles doivent pouvoir prétendre aux mêmes soins que tous les autres patients et bénéficier jusqu'à leur fin de vie de traitements dignes.
- Que l'emploi de ces médicaments doivent faire l'objet d'un encadrement beaucoup plus sérieux. Ils ne doivent pas être prescrit à l'avance (au cas où ...). Ils doivent faire l'objet d'un suivi particulier et être administrés que pour des cas extrêmes, sous responsabilité du prescripteur.
Patients ou famille, prenez conscience que nos aînés sont en danger ! Ces médicaments ont fait et font plus de morts que le Médiator si médiatisé !
Responsables politiques, réagissez avant que ce scandale éclate et que les victimes se fassent connaître et demandent des comptes. Même s'il n'est pas nouveau, pour le moment, il est très peu connu du public, car il est dissimulé par les médecins et chefs d'établissements qui profitent du système. Êtes-vous vous prêt à l'assumer ? Vous qui voulez soigner le monde entier avec l'A.M.E., pensez aussi à soigner dignement nos aînés qui ont travaillé dur et qui méritent le respect au lieu dans faire des zombies !
Mobilisons nous, tous ensembles ! Vous qui cotisez de plus en plus à la sécurité sociale, n'êtes vous pas attachés à notre service de santé et au principe de précaution ? Alors ne le laissez pas se dégrader sans réagir !
En signant cette pétition, vous rendrez service aux patients que nous sommes, ou que nous serons tous un jour où l'autre !
Anti-inflammatoire non stéroïdien / AINS : vioxx / célébrex / arcoxia / bextra / ibuprofène / advil / diclofénac / voltarène.... : un génocide ?
source : vioxx
©Prescrire 15 décembre 2009
A travers les déboires du Vioxx et du Celebrex, c'est tout le marché du médicament qui est mis en cause. Coût exorbitant, matraquage promotionnel, systèmes de contrôle défaillants...
De manière générale, ce sont les personnes âgées qui sont les plus concernées par ces risques, car leur fonction rénale diminue, un paradoxe, quand on sait que les anti-inflammatoires sont largement prescrits pour soulager les douleurs liées à l'arthrose.
j’ai vendu plusieurs AINS, qui sont connus pour tuer des milliers de personnes chaque année et hospitaliser des dizaines de milliers
«Chaque année, plusieurs centaines de personnes meurent après avoir
pris des AINS, et pas toujours à forte dose», accuse le Pr Queneau
« l’utilisation à forte dose à long terme des analgésiques tels que l’ibuprofène ou le diclofénac est tout aussi dangereuse en terme de risque de crise cardiaque que l’utilisation du médicament Vioxx, qui a été retiré en raison de ses dangers potentiels »
Chaque année, 41 000 personnes âgées sont hospitalisées - et 3 300 de ces décès par ulcères causés par des AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens, généralement pour le traitement de l'arthrite). 3 Des milliers d'adultes plus jeunes sont hospitalisés. (Voir la liste des médicaments pouvant causer des saignements gastro-intestinaux ).
les scientifiques ont été assez surpris de constater que les plus fortes corrélations incriminaient les antalgiques et opiacés (+92%), et surtout les anti-inflammatoires non stéroïdiens (+206%)
Merck estima les événements thrombotiques et il y avait 1,5 fois plus de cas d’infarctus du myocarde, de mort subite cardiaque ou d’AVC sous rofecoxib que sous placebo pour 100 patients traités (1). Plus de 80 millions de patients ont été traités avec rofecoxib et, puisque 10% des événements de ce type sont mortels, une estimation brute est que le rofecoxib a tué environ 120.000 personnes.
Le celebrex aurait tué 75 000 peronnes
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
Des chercheurs réclament le retrait d'un médicament antidouleur couramment utilisé partout sur la planète, en raison d'un risque élevé de crise cardiaque et d'autres problèmes cardiovasculaires.
Le diclofenac, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (ou AINS), est souvent prescrit pour soulager la douleur et réduire l'inflammation provoquées par l'arthrite.Selon des scientifiques, toutefois, le diclofenac, qui est vendusous un grand nombre de marques, notamment Voltaren et Pennsaid au Canada, comporte des risques d'importants effets secondaires cardiovasculaires quasiment identiques à ceux du Vioxx.Ce dernier médicament avait été retiré du marché par son fabricant, Merck, après qu'une étude clinique eut démontré qu'il était lié à une augmentation des risques de crises cardiaques et d'accidents vasculaires-cérébraux.
40 % plus de risques de crise cardiaque
Dans une étude publiée cette semaine dans la revue scientifique PLoS Medicine, le Dr David Henry, président de l'Institute for Clinical Evaluative Sciences à Toronto, et la coauteure Patricia McGettigan détaillent les risques cardiovasculaires de médicaments anti-inflammatoires, en s'appuyant sur l'analyse de plusieurs études.
Ils ont découvert que les gens prenant du diclofenac avaient 40 % de plus de risques d'être victimes d'une crise cardiaque que ceux qui prenaient du naproxen, qui est considéré comme le médicament type leplus sécuritaire pour minimiser les risques cardiovasculaires.Les chercheurs s'inquiètent particulièrement des impacts dans les pays où les revenus sont moyens et faibles, principalement en Asie et en Asie du Sud, où les parts de marché du diclofenac sont considérables.
Le diclofenac, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (ou AINS), est souvent prescrit pour soulager la douleur et réduire l'inflammation provoquées par l'arthrite.Selon des scientifiques, toutefois, le diclofenac, qui est vendusous un grand nombre de marques, notamment Voltaren et Pennsaid au Canada, comporte des risques d'importants effets secondaires cardiovasculaires quasiment identiques à ceux du Vioxx.Ce dernier médicament avait été retiré du marché par son fabricant, Merck, après qu'une étude clinique eut démontré qu'il était lié à une augmentation des risques de crises cardiaques et d'accidents vasculaires-cérébraux.
40 % plus de risques de crise cardiaque
Dans une étude publiée cette semaine dans la revue scientifique PLoS Medicine, le Dr David Henry, président de l'Institute for Clinical Evaluative Sciences à Toronto, et la coauteure Patricia McGettigan détaillent les risques cardiovasculaires de médicaments anti-inflammatoires, en s'appuyant sur l'analyse de plusieurs études.
Ils ont découvert que les gens prenant du diclofenac avaient 40 % de plus de risques d'être victimes d'une crise cardiaque que ceux qui prenaient du naproxen, qui est considéré comme le médicament type leplus sécuritaire pour minimiser les risques cardiovasculaires.Les chercheurs s'inquiètent particulièrement des impacts dans les pays où les revenus sont moyens et faibles, principalement en Asie et en Asie du Sud, où les parts de marché du diclofenac sont considérables.
Dangers du Voltarène: L'agence du médicament restreint l'utilisation du diclofénac, un anti-douleur
Ces nouvelles restrictions font suite à une évaluation réalisée par l'Agence européenne du médicament (EMA) qui a montré une augmentation du risque de thrombose artérielle (caillots dans les artères) et abouti en juin à la diffusion de nouvelles recommandations au niveau européen, précise l'ANSM ans un courrier mis en ligne sur son site.
Ces nouvelles restrictions font suite à une évaluation réalisée par l'Agence européenne du médicament (EMA) qui a montré une augmentation du risque de thrombose artérielle (caillots dans les artères) et abouti en juin à la diffusion de nouvelles recommandations au niveau européen, précise l'ANSM ans un courrier mis en ligne sur son site.
Pfizter a corrompu des médecins a grande échelle pour qu'ils prescrivent n'importe quoi ;
La procédure judiciaire a débouché sur un accord à l’amiable assorti d’une amende record de 2,3 milliards de dollar (1,5 milliard d’€uros.
Le médecin touchait une prime de 50 dollars s’il prescrivait du Bextra avant ou après une intervention chirurgicale.
La procédure judiciaire a débouché sur un accord à l’amiable assorti d’une amende record de 2,3 milliards de dollar (1,5 milliard d’€uros.
Le médecin touchait une prime de 50 dollars s’il prescrivait du Bextra avant ou après une intervention chirurgicale.
The Lancet a lancé une étude en 2000 appuyant que l’usage des médicaments de type AINS avaient comme effets secondaires de doubler le rythme cardiaque et d’accentuer les risques d’AVC chez les personnes qui en prenaient régulièrement.
Des chercheurs réclament le retrait d’un médicament antidouleur couramment utilisé partout sur la planète, en raison d’un risque élevé de crise cardiaque et d’autres problèmes cardiovasculaires.
Le diclofenac, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (ou AINS), est souvent prescrit pour soulager la douleur et réduire l’inflammation provoquées par l’arthrite.Selon des scientifiques, toutefois, le diclofenac, qui est vendusous un grand nombre de marques, notamment Voltaren et Pennsaid au Canada, comporte des risques d’importants effets secondaires cardiovasculaires quasiment identiques à ceux du Vioxx.Ce dernier médicament avait été retiré du marché par son fabricant, Merck, après qu’une étude clinique eut démontré qu’il était lié à une augmentation des risques de crises cardiaques et d’accidents vasculaires-cérébraux.
40 % plus de risques de crise cardiaque
Dans une étude publiée cette semaine dans la revue scientifique PLoS Medicine, le Dr David Henry, président de l’Institute for Clinical Evaluative Sciences à Toronto, et la coauteure Patricia McGettigan détaillent les risques cardiovasculaires de médicaments anti-inflammatoires, en s’appuyant sur l’analyse de plusieurs études.
Ils ont découvert que les gens prenant du diclofenac avaient 40 % de plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque que ceux qui prenaient du naproxen, qui est considéré comme le médicament type leplus sécuritaire pour minimiser les risques cardiovasculaires.Les chercheurs s’inquiètent particulièrement des impacts dans les pays où les revenus sont moyens et faibles, principalement en Asie et en Asie du Sud, où les parts de marché du diclofenac sont considérables.
Sept médicaments antalgiques, de la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), figurent dans cette liste de 74 médicaments jugés plus dangereux qu'utiles.
Les 7 AINS plus dangereux qu'utiles sont :
Les coxibs :Célécoxib (Celebrex)Étoricoxib (Arcoxia),Parécoxib (Dynastat)Ils «exposent à un surcroît d’accidents cardiovasculaires (dont thromboses et infarctus du myocarde) et d’effets indésirables cutanés par rapport à d’autres AINS aussi efficaces" ».
Les AINS :Acéclofénac (Cartrex ou autre)Diclofénac (Voltarène ou autre)Ils « "exposent à un surcroît d’effets indésirables cardiovasculaires (dont infarctus du myocarde, insuffisances cardiaques) et de morts d’origine cardiovasculaire par rapport à d’autres AINS aussi efficaces».
Le kétoprofène en gel (Ketum gel ou autre)« "Il expose à un surcroît de photosensibilisations (eczémas, éruptions bulleuses) par rapport à d’autres AINS topiques aussi efficaces." »
Le piroxicam par voie générale (Feldène ou autre)« "Il expose à un surcroît de troubles digestifs et cutanés (dont des syndromes de Lyell), sans être plus efficace que d’autres AINS.»
AINS : éviter les coxibs, le diclofénac et l'ibuprofène à forte dose
Des synthèses menées à partir de centaines d'essais ont montré une augmentation statistiquement significative des effets indésirables cardiovasculaires graves avec les AINS, en particulier avec les coxibs (étoricoxib (Arcoxia°), célécoxib (Célébrex° ou autre)), le diclofénac (Voltarène° ou autre) et probablement avec les fortes doses (2 400 mg par jour) d'ibuprofène (Brufen° ou autre) : augmentation des infarctus du myocarde, morts de cause vasculaire, et insuffisances cardiaques.
Des synthèses menées à partir de centaines d'essais ont montré une augmentation statistiquement significative des effets indésirables cardiovasculaires graves avec les AINS, en particulier avec les coxibs (étoricoxib (Arcoxia°), célécoxib (Célébrex° ou autre)), le diclofénac (Voltarène° ou autre) et probablement avec les fortes doses (2 400 mg par jour) d'ibuprofène (Brufen° ou autre) : augmentation des infarctus du myocarde, morts de cause vasculaire, et insuffisances cardiaques.
Nurofen-Rhume : contrairement à ce que son nom laisse entendre, il ne contient pas que de l’ibuprofène, anti-inflammatoire non stéroïdien (par ailleurs néfaste pour l’estomac), mais aussi de la pseudoéphédrine. Il s’agit d’une molécule très proche de l’amphétamine. Par réduction alcoolique de pseudo-éphédrine, un chimiste amateur
Merck, le laboratoire ayant commercialisé le Vioxx entre 1999 et 2004, n'a pas publié le résultat de ses recherches qui montraient dès 2001 que son médicament augmentait nettement le risque de crise cardiaque.
"L'antidouleur Arcoxia n'aurait jamais dû être autorisé et remboursé"
En 2004, six ans avant la polémique sur le Mediator, le scandale du Vioxx avait secoué le monde médical, et conduit le fabricant, Merck, Sharp et Dohme-Chibret (MSD), à retirer cet anti-inflammatoire du marché après des études révélant qu'il augmentait les risques cardio-vasculaires, notamment d'infarctus. Visé par quelque 26 600 plaintes, le laboratoire, après s'être défendu, s'est finalement résolu, en 2007, à accepter un accord amiable indemnisant les patients à hauteur de 4,85 milliards de dollars (3,64 milliards d'euros)
Quand l’Arcoxia® sera-t-il retiré ?
En mars 2010, l’Arcoxia®, un médicament de la même famille que le Vioxx®, produit par le même laboratoire Merck, est arrivé sur le marché français. Cet anti-inflammatoire non stéroïdien est indiqué pour soigner l’arthrose, les crises de goutte et la polyarthrite rhumatoïde.
Il fait partie des médicaments qui sont sur la sellette avec un suivi renforcé en raison de son appartenance à la classe des Coxibs, accusés de pouvoir augmenter un risque cardiovasculaire, tel qu’une hypertension artérielle, des œdèmes, une insuffisance cardiaque congestive, un taux de cholestérol élevé ou un diabète, sans compter le risque d’effets indésirables gastro-intestinaux, lors de la prescription associée à un Coxib.
Le cas de l'étoricoxib (Arcoxia°)
Le 12 avril 2007, la FDA a refusé à 20 voix contre 1 d'autoriser la mise sur le marché de l'étoricoxib (Arcoxia°), un nouvel antalgique de la firme Merck, car il ne présentait pratiquement aucun avantage et exposait à des risques importants de problèmes cardiovasculaires. Ce qui est intéressant, c'est que la plupart des pays européens ont autorisé la mise sur le marché de ce médicament que la FDA a jugé inutile et dangereux (d). Dans ces pays, Merck le commercialise, et les médecins le prescrivent aux patients. Or la presse en ayant peu parlé, ils ignorent ce qu'en pense la FDA. Ne faudrait-il pas poser des questions précises afin de savoir en premier lieu pour quelle raison ce médicament a été mis sur le marché, et ensuite s'il doit y rester ?
interdiction d'arcoxia
demandée par la revue prescrire (janvier 2013)
En 2004, six ans avant la polémique sur le Mediator, le scandale du Vioxx avait secoué le monde médical, et conduit le fabricant, Merck, Sharp et Dohme-Chibret (MSD), à retirer cet anti-inflammatoire du marché après des études révélant qu'il augmentait les risques cardio-vasculaires, notamment d'infarctus. Visé par quelque 26 600 plaintes, le laboratoire, après s'être défendu, s'est finalement résolu, en 2007, à accepter un accord amiable indemnisant les patients à hauteur de 4,85 milliards de dollars (3,64 milliards d'euros)
Quand l’Arcoxia® sera-t-il retiré ?
En mars 2010, l’Arcoxia®, un médicament de la même famille que le Vioxx®, produit par le même laboratoire Merck, est arrivé sur le marché français. Cet anti-inflammatoire non stéroïdien est indiqué pour soigner l’arthrose, les crises de goutte et la polyarthrite rhumatoïde.
Il fait partie des médicaments qui sont sur la sellette avec un suivi renforcé en raison de son appartenance à la classe des Coxibs, accusés de pouvoir augmenter un risque cardiovasculaire, tel qu’une hypertension artérielle, des œdèmes, une insuffisance cardiaque congestive, un taux de cholestérol élevé ou un diabète, sans compter le risque d’effets indésirables gastro-intestinaux, lors de la prescription associée à un Coxib.
Le cas de l'étoricoxib (Arcoxia°)
Le 12 avril 2007, la FDA a refusé à 20 voix contre 1 d'autoriser la mise sur le marché de l'étoricoxib (Arcoxia°), un nouvel antalgique de la firme Merck, car il ne présentait pratiquement aucun avantage et exposait à des risques importants de problèmes cardiovasculaires. Ce qui est intéressant, c'est que la plupart des pays européens ont autorisé la mise sur le marché de ce médicament que la FDA a jugé inutile et dangereux (d). Dans ces pays, Merck le commercialise, et les médecins le prescrivent aux patients. Or la presse en ayant peu parlé, ils ignorent ce qu'en pense la FDA. Ne faudrait-il pas poser des questions précises afin de savoir en premier lieu pour quelle raison ce médicament a été mis sur le marché, et ensuite s'il doit y rester ?
interdiction d'arcoxia
demandée par la revue prescrire (janvier 2013)
non stéroïdiens (autres que l'aspirine)
pétition : "Aujourd’hui, seul un petit groupe de malades particulièrement bien informés réussissent à guérir de l’arthrose."
Métabolisation des médicaments chez les personnes agées / de plus de 65 ans : le génocide des métaboliseurs lents et des personnes agées
source : métabolisation des médicaments
Il a été également établi que 44 % des personnes se plaignant d'effets secondaires sont des métaboliseurs lents.
Ce chiffre de 5 à 10 % ne compte pas les personnes les personnes âgées, dont le métabolisme naturel et normal diminue comme vu précédemment, ne compte pas les personnes ayant une insuffisance hépatique ou rénale ou toute autre maladie diminuant le métabolisme hépatique, ne compte pas non plus les personnes prenant plusieurs médicaments, lesquelles auront souvent aussi des concentrations trop importantes du fait de la concurrence enzymatique.
pharmacodépendance chez le sujet agé
Avec l’âge, les grandes fonctions métaboliques et homéostasiques perdent de leur efficacité et l’on observe des modifications de la pharmacocinétique de nombreux médicaments (diminution de l’élimination et risque d’accumulation)
Avec l’âge, les grandes fonctions métaboliques et homéostasiques perdent de leur efficacité et l’on observe des modifications de la pharmacocinétique de nombreux médicaments (diminution de l’élimination et risque d’accumulation)
«Les personnes âgées sont les premières victimes de la surmédicamentation, déplore Pierre Biron, spécialiste de la pharmacovigilance. Or, après 65 ans, les reins ne fonctionnent qu'à moitié. Ainsi, la même dose médicamenteuse ne sera pas éliminée aussi facilement par une personne de plus de 65 ans que par un jeune de 20 ans.» À ses yeux, les médecins ont la responsabilité de hiérarchiser les objectifs et les besoins lorsqu'ils font des prescriptions: le besoin est-il réel? Quelle est la dose de médicament la mieux adaptée? Quels sont les effets escomptés comparés à l'impact possible en termes de qualité de vie? ...
La pharmacologie et nous - III. Personnes âgées et psychotropes
Source : "Les antipsychotiques", chapitre 14
Le vieillissement est associé à une diminution physiologique des capacités fonctionnelles de la plupart des organes du corps humain. La prise en compte de ces modifications et de leurs conséquences en termes de pharmacocinétique et de pharmacodynamie est nécessaire à une prescription sécurisée des psychotropes. Les modifications pharmacocinétiques liées au vieillissement sont caractérisées par une diminution de l'absorption (par diminution de l'acidité, de la mobilité, de l'afflux sanguin et de la surface gastro intestinale), une diminution de la fixation protéique (par diminution de l'albuminémie), une augmentation du volume de distribution des médicaments lipophiles, une diminution du métabolisme hépatique et de l'excrétion rénale.De façon générale, les modifications pharmacodynamiques liées au vieillissement provoquent une hypersensibilité du système nerveux central aux psychotropes, une élimination plus lente et une métabolisation moins efficace (5) des psychotropes. En outre, les sujets âgés souffrent fréquemment de co-morbidités médicales à risque de se voir décompensées par les effets indésirables des psychotropes et des antipsychotiques en particulier. Enfin, les personnes âgées sont sujettes à la polymédication et ainsi exposées au risque d'interactions
...débuter le traitement à une posologie plus faible (3 à 4 fois en général) que chez l'adulte jeune.
les augmentations posologiques, lorsqu'elles sont nécessaires, doivent se faire lentement (règle dite du start low, go slow) ;
éviter la prescription simultanée de plusieurs psychotropes de la même classe et de plusieurs classes de psychotropes ; évaluer régulièrement l'efficacité clinique et les effets indésirables, en recourant au besoin à des échelles d'évaluation clinique validées chez le sujet âgé....
Les systèmes métaboliques enzymatiques
La pharmacologie et nous - III. Personnes âgées et psychotropes
Source : "Les antipsychotiques", chapitre 14
Le vieillissement est associé à une diminution physiologique des capacités fonctionnelles de la plupart des organes du corps humain. La prise en compte de ces modifications et de leurs conséquences en termes de pharmacocinétique et de pharmacodynamie est nécessaire à une prescription sécurisée des psychotropes. Les modifications pharmacocinétiques liées au vieillissement sont caractérisées par une diminution de l'absorption (par diminution de l'acidité, de la mobilité, de l'afflux sanguin et de la surface gastro intestinale), une diminution de la fixation protéique (par diminution de l'albuminémie), une augmentation du volume de distribution des médicaments lipophiles, une diminution du métabolisme hépatique et de l'excrétion rénale.De façon générale, les modifications pharmacodynamiques liées au vieillissement provoquent une hypersensibilité du système nerveux central aux psychotropes, une élimination plus lente et une métabolisation moins efficace (5) des psychotropes. En outre, les sujets âgés souffrent fréquemment de co-morbidités médicales à risque de se voir décompensées par les effets indésirables des psychotropes et des antipsychotiques en particulier. Enfin, les personnes âgées sont sujettes à la polymédication et ainsi exposées au risque d'interactions
...débuter le traitement à une posologie plus faible (3 à 4 fois en général) que chez l'adulte jeune.
les augmentations posologiques, lorsqu'elles sont nécessaires, doivent se faire lentement (règle dite du start low, go slow) ;
éviter la prescription simultanée de plusieurs psychotropes de la même classe et de plusieurs classes de psychotropes ; évaluer régulièrement l'efficacité clinique et les effets indésirables, en recourant au besoin à des échelles d'évaluation clinique validées chez le sujet âgé....
Les systèmes métaboliques enzymatiques
n’étant que partiellement développés à la naissance, les nouveau-nés ont des difficultés à métaboliser certains médicaments. Avec l’âge, l’activité enzymatique décroît et les personnes âgées, comme les nouveau-nés, ne métabolisent pas les médicaments avec la même efficacité que les grands enfants ou les jeunes adultes (voir Vieillissement et médicaments). Les nouveau-nés et les personnes âgées requièrent donc souvent des dosages moindres par kilogramme de poids corporel par rapport aux jeunes ou aux adultes d’âge moyen.
ces médicaments s’accumulent dans l’organisme au lieu d’être évacués par les reins. Ils provoquent alors somnolence ou excitation, perte de mémoire ou raideur des membres. Ils sont à l’origine de chutes, confusions, sédation excessive.
avec la théophylline et vaccin BCG. Certaines de ces interactions sont encore non confirmées. Le mécanisme sous-jacent de l’interaction est considéré comme due à ce vaccin (comme un inducteur de l’interféron) inactivant le système P-450 du cytochrome hépatique
Tramadol inactivation est médiée par le cytochrome CYP3A4 et en pourcentage mineur par le cytochrome CYP2B6, 2,3 tandis que la formation de son principal métabolite actif (M1) a lieu par l' intermédiaire du cytochrome CYP2D6. Il a été démontré que le vaccin contre la grippe peut diminuer l'activité du cytochrome CYP3A4 et que cette diminution atteint son maximum 7 jours après la vaccination
Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques.....L'incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l'incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l'industrie pharmaceutique internationale des soins de santé et 4 .
Depuis l994, un nombre important de documents ont été publiés dans des revues à comité de lecture principales revues médicales sur les effets indésirables des médicaments (EIM). L'estimation approximative est que chaque année 2,2 millions d'Américains sont hospitalisés pour les ADR et plus de 100.000 en meurent. Ce sont simplement des réactions indésirables aux médicaments, qui sont souvent mais pas toujours, imprévisibles, et ne figurent que dans les petits caractères de la prescription de l'information. Les premiers documents ont été accueillies avec incrédulité qui se sont révélés être scientifiquement valable et le suivi des données confirme ces conclusions. Cela suscite une vive inquiétude à tous les niveaux, mais il pourrait être le cas que la volonté de prendre des mesures appropriées sont quelque peu influencé par les énormes dons faits aux partis politiques des deux côtés de la nef par les sociétés pharmaceutiques.
Médicaments / drogues anticholinergiques : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique
source : médicaments et drogues anticholinergiques :
Les médicaments Anticholinergiques sont liés au risque du handicap cognitif, et de mort dans une population plus âgéeUne grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l'activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d'handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments - qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d'ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d'incontinence - et le risque de décès.L'étude biennale de l'incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil " Recherche " (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d'étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l'enquête de l'anticholinergics apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d'Anticholinergics le cerveau en bloquant l'acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont une activité anticolinergique. D'Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil / déroxat-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
peuvent induire une perte d’autonomie, une diminution de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité [8] . Ils peuvent être parfois mineurs, temporaires ou survenir comme conséquence d’une condition préexistante du patient. Cependant, pris dans leur ensemble, ils peuvent avoir des suites dramatiques sur l’état de santé de la personne âgée. En particulier, les effets atropiniques peuvent entraîner une confusion et amplifier le risque d’apparition de troubles de la mémoire
….Les médicaments anticholinergiques sont considérés comme potentiellement inappropriés chez les sujets âgés
De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire…
20 % des participants qui prenaient plusieurs médicaments ayant un effet anticholinergique sont décédés durant les deux années de l'étude comparativement à 7 % de ceux n'en prenant pas..
anti-cholinergiques
neurotoxiques
neurotoxiques
…Ces effets étaient jusqu’à présent considérés comme réversibles à l’arrêt du traitement. Cependant une étude publiée ce 26 janvier 2015 dans la revue scientifique américaine » JAMA Internal Medicine » et menée par une équipe l’Université de l’Etat de Washington à Seattle (Etats-Unis) *, vient de conclure que ce n’est pas toujours le cas et que la consommation prolongée par des patients âgés de certains de ces médicaments anticholinergiques, les antidépresseurs tricycliques, les anti-histaminiques de 1ère génération , et anti-muscariniques, pouvaient être associée à un risque de démence irréversible
L’étude a porté sur 3 434 patients âgés de plus de 65 ans, qui ont consommé ces médicaments pendant 10 ans, et dont aucun ne souffrait de démence au début de l’étude. Les chercheurs ont constaté que 23,2 % avaient développé des symptômes de démence, dont la Maladie d’Alzheimer chez 79,9% d’entre eux. L’origine médicamenteuse possible de cas démence irréversibles et de la Maladie d’Alzheimer chez les patients soumis pendant de longues périodes à ces médicaments semble ainsi établie.
Lorsqu’une quantité suffisante d’anticholinergique est en circulation dans le corps, un toxidrome (intoxication) appelé syndrome anticholinergique aigu peut se produire. Cela peut arriver accidentellement ou volontairement dans le cadre d’une consommation récréative (usage de drogues). Les drogues de cette classe sont généralement considérées comme peu « amusantes » par les consommateurs de drogues avertis. Parce que la plupart des usagers n’apprécient pas cette expérience, ils ne cherchent pas à la recommencer, ou très rarement. Les risques d’addiction sont faibles pour les médicaments de la classe des anticholinergiques.
Classiquement, en cas de syndrome atropinique ou anticholinergique, on décrit une peau sèche pouvant paraître rouge, une soif intense, une mydriase parfois aréactive, une hyperthermie, un délire et des hallucinations (c’est le syndrome d’ Alice au Pays des Merveilles : « dry as a bone, hot as a hare, red as a beet, and mad as a hatter »). A ces signes peuvent s’ajouter une rétention urinaire, une diminution des bruits intestinaux et du transit, voire un ileus, une faiblesse musculaire, une tachycardie et parfois des arythmie s cardiaques.
En 2012, le magazine Vice avait consacré un reportage vidéo en Colombie sur cette drogue que le news magazine n’hésitait alors pas à qualifier de drogue la plus dangereuse du monde.
L’Artane est considéré comme l’ecstasy des pauvres. Consommé avec de l’alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l’individu au passage à l’acte
Plusieurs médicaments pris par les personnes âgées sont liés à un risque accru de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude, publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.
- Score 1 (effet anticholinergique léger) :
- Alimemazine (Theralen)
Alverine (Spasmonal)
Alprazolam (Xanax)
Aripiprazole (Abilify)
Asenapine (Saphris)
Atenolol (Tenormin)
Bupropion (Wellbutrin, Zyban)
Captopril (Capoten)
Cetirizine (Zyrtec)
Chlorthalidone (Diuril, Hygroton)
Cimetidine (Tagamet)
Clidinium (Librax)
Clorazepate (Tranxene)
Codeine (Contin)
Colchicine (Colcrys)
Desloratadine (Clarinex)
Diazepam (Valium)
Digoxin (Lanoxin)
Dipyridamole (Persantine)
Disopyramide (Norpace)
Fentanyl (Duragesic, Actiq)
Furosemide (Lasix)
Fluvoxamine (Luvox)
Haloperidol (Haldol)
Hydralazine (Apresoline)
Hydrocortisone (Cortef, Cortaid)
Iloperidone (Fanapt)
Isosorbide (Isordil, Ismo)
Levocetirizine (Xyzal)
Loperamide (Immodium, autres)
Loratadine (Claritin)
Metoprolol (Lopressor, Toprol)
Morphine MS (Contin, Avinza)
Nifedipine (Procardia, Adalat)
Paliperidone (Invega)
Prednisone (Deltasone, Sterapred)
Quinidine (Quinaglute)
Ranitidine (Zantac)
Risperidone (Risperdal)
Theophylline (Theodur, Uniphyl)
Trazodone (Desyrel)
Triamterene (Dyrenium)
Venlafaxine (Effexor)
Warfarin (Coumadin) - Score 2 (effet anticholinergique modéré) :
- Amantadine (Symmetrel)
Belladonna (Multiple)
Carbamazepine (Tegretol)
Cyclobenzaprine (Flexeril)
Cyproheptadine (Periactin)
Loxapine (Loxitane)
Meperidine (Demerol)
Methotrimeprazine (Levoprome)
Molindone (Moban)
Nefopam (Nefogesic)
Oxcarbazepine (Trileptal)
Pimozide (Orap) - Score 3 (effet anticholinergique sévère) :
- Amitriptyline (Elavil)
Amoxapine (Asendin)
Atropine (Sal-Tropine)
Benztropine (Cogentin)
Brompheniramine (Dimetapp)
Carbinoxamine (Histex, Carbihist)
Chlorpheniramine (Chlor-Trimeton)
Chlorpromazine (Thorazine)
Clemastine (Tavist)
Clomipramine (Anafranil)
Clozapine (Clozaril)
Darifenacin (Enablex)
Desipramine (Norpramin)
Dicyclomine (Bentyl)
Dimenhydrinate (Dramamine, others)
Diphenhydramine (Benadryl, others)
Doxepin (Sinequan)
Doxylamine (Unisom, others
Fesoterodine (Toviaz
Flavoxate (Urispas
Hydroxyzine (Atarax, Vistaril
Hyoscyamine (Anaspaz, Levsin
Imipramine (Tofranil
Meclizine (Antivert
Methocarbamol (Robaxin
Nortriptyline (Pamelor
Olanzapine (Zyprexa
Orphenadrine (Norflex
Oxybutynin (Ditropan
Paroxetine (Paxil
Perphenazine (Trilafon
Promethazine (Phenergan
Propantheline (Pro-Banthine
Propiverine (Detrunorm
Quetiapine (Seroquel
Scopolamine (Transderm Scop
Solifenacin (Vesicare
Thioridazine (Mellaril
Tolterodine (Detrol
Trifluoperazine (Stelazine
Trihexyphenidyl (Artane
Trimipramine (Surmontil
Trospium (Sanctura
Antihypertenseurs et bêta-bloquants : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique
source : bêta-bloquants
Les médicaments bêta-bloquant sont maintenant considéré comme dangereux pour la santé publique
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d'AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques être retiré de la drogue pour la pression artérielle.
Le conseil du docteur michel de Lorgeril
"Tout faire pour ne pas avoir à prendre les médicaments de l’HTA ", "effets catastrophiques sur le risque de développer un cancer"
Pharmacodépendance chez le sujet âgé : D’autres médicaments de classes thérapeutiques diverses sont également retrouvés de façon plus sporadique : les ß-bloquants, parfois recherchés pour leur effet anxiolytique, les ß-stimulants pour leur effet confuso-onirique aux fortes doses et les corticoïdes pour leur effet stimulant. Toutes ces substances, fréquemment prescrites chez le sujet âgé du fait de la fréquence des pathologies auxquelles elles sont destinées, sont susceptibles d’entraîner des abus.
syndrome de sevrage aux bêta-bloquants Si on utilise un bêtabloquant pendant un certain temps, son corps peut devenir dépendant de la drogue. Les symptômes de sevrage des bêta-bloquants découlent de la dépendance à l'égard de l'organisme sur le médicament.
L'un des premiers signes éprouve des palpitations cardiaques, accompagnées d'essoufflement, sueurs abondantes et une respiration sifflante. Violents maux de tête, douleurs corporelles, vomissements nausées induites et des crampes abdominales intenses peuvent aussi être remarqués chez les individus qui se retirent de ce médicament à la fois.
Tremblements corporelles peuvent également être observés chez ces personnes. Tremblements dans les mains peuvent être assez visibles et la personne est incapable d'organiser quoi que ce soit régulièrement.
Brusque qui découlent de la drogue peut augmenter la sensibilité à l'égard d'adrénaline. Cela peut accroître les risques d'hypertension artérielle, qui à son tour donne naissance à rythme cardiaque irrégulier.
Une fréquence cardiaque élevée peut exercer une pression sur le muscle cardiaque et augmenter la pression sur l'artère coronaire. S'il y a un blocage dans l'artère, puis elle peut aussi conduire à du surmenage des muscles du coeur. Tous ces facteurs peuvent augmenter le risque d'une crise cardiaque ou infarctus du myocarde, qui est un résultat des muscles cardiaques endommagés.
Les patients hypertendus qui se retirent de cette drogue de prescription soudain peuvent éprouver malaise, une augmentation soudaine et forte pression artérielle, tachycardie sinusale, qui est un rythme cardiaque rapide et irrégulier, originaires du nœud du cœur et des palpitations, etc..
Il y a des chances d'un patient, développement de l'hyperthyroïdie, due à la sécrétion des hormones thyroïdiennes, qui peut entraîner une crise thyréotoxique. Cette condition peut devenir mortellement exacerbée, si le diagnostic n'est pas rapide et médicaments pour normaliser l'État ne sont pas administrés.
Patients souffrant de maladies cardiovasculaires peuvent remarquer leur condition aggravation si elles prennent des bêta-bloquants de manière aveugle. Les symptômes de l'angine de poitrine peuvent devenir intenses et se retrouvent dans l'accident vasculaire cérébral, qui peut s'avérer fatale.
Liste de 82 médicaments anticholinergiques potentiellement risqués pour les aînés
Ces médicaments incluent des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquilisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des antihypertenseurs, des diurétiques, des antiashmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.
Les médicaments antiparkinsoniens,tels que le Cogentin, le Kemadrin, l’Artane et le Symmetrel, sont fréquemment prescrits pour supprimer les troubles de mouvements, comme la maladie de Parkinson, causés souvent par les neuroleptiques. À peu près la moitié des patients traités avec des neuroleptiques conventionnels reçoivent aussi des médicaments antiparkinsoniens.Ces produits sont aussi décrits comme « anticholinergiques »à cause de leur action chimique de suppression de l’activité cholinergique du cerveau. L’hypersensibilité cholinergique provoque une large partie des effets de sevrage des médications antiparkinsoniennes qui ressemblent aux tricycliques et aux neuroleptiques et peuvent être également complexes et variées. Plusieurs études ont démontré des symptômes semblables à la grippe, comme la nausée, les vomissements, les frissons, la faiblesse et les maux de tête de même que l’insomnie et la nervosité qui se produisent lors de la période de sevrage.
Dans une rare étude double-aveugle, avec placebo, les auteurs ont trouvé « un syndrome de sevrage reconnaissable » – nommément une augmentation de l’anxiété manifestée par « une irritabilité, une tension, des palpitations et des maux de tête », des malaises physiques variés (particulièrement de la trachée gastrointestinale), des étourdissements debout, des battements de cœur irréguliers. De plus, des symptômes psychotiques se manifestèrent dans les premiers jours du sevrage et durèrent jusqu’à trois semaines. Huit des onze patients sevrés (73 %) affichaient ces symptômes évidents de sevrage.
D’autres études aussi ont observé des explosions de symptômes psychotiques qui sont normalement accompagnés par une réapparition de mouvements anormaux. En effet, les chercheurs ont relié directement ces symptômes de psychose – incluant les délires, les hallucinations, les tentatives de suicide et l’isolement – aux symptômes physiques de rigidité, de nervosité, d’akathisie et de parkinson.
Dans l’une de ces études, les auteurs soulignent simplement que « le syndrome anticholinergique de sevrage ressemble au syndrome négatif de schizophrénie à plusieurs égards. Chez les patients schizophrènes, ces symptômes peuvent être pris par erreur pour une décompensation psychotique et résulter en un traitement inadéquat ». Un cas rapporté décrit aussi un état catatonique grave (immobilisme) lors d’un sevrage brusque du Symmetrel.
De plus, un cas grave ressemblant au syndrome malign de neuroleptique a été rapporté lors d’un sevrage d’antiparkinsoniens, même si le patient n’avait jamais reçu de neuroleptiques.
Étant donné que les antiparkinsoniens aggravent la dyskinésie tardive et atteignent la mémoire, le sevrage peut générer des bienfaits additionnels. En particulier, le sevrage peut améliorer les symptômes dedyskinésie tardive et peut provoquer « une augmentation dramatique de la mémoire sur l’échelle Wechsler Memory Scale ».
Comme avec toutes les médications psychiatriques, le sevrage d’antiparkinsoniens devrait se faire graduellement, faisant en sorte de réduire la réapparition de mouvements anormaux supprimés originalement par les produits. Un sevrage graduel est plus garant d’un non retour à la consommation de médicament.
Dans l’une de ces études, les auteurs soulignent simplement que « le syndrome anticholinergique de sevrage ressemble au syndrome négatif de schizophrénie à plusieurs égards. Chez les patients schizophrènes, ces symptômes peuvent être pris par erreur pour une décompensation psychotique et résulter en un traitement inadéquat ». Un cas rapporté décrit aussi un état catatonique grave (immobilisme) lors d’un sevrage brusque du Symmetrel.
De plus, un cas grave ressemblant au syndrome malign de neuroleptique a été rapporté lors d’un sevrage d’antiparkinsoniens, même si le patient n’avait jamais reçu de neuroleptiques.
Étant donné que les antiparkinsoniens aggravent la dyskinésie tardive et atteignent la mémoire, le sevrage peut générer des bienfaits additionnels. En particulier, le sevrage peut améliorer les symptômes dedyskinésie tardive et peut provoquer « une augmentation dramatique de la mémoire sur l’échelle Wechsler Memory Scale ».
Comme avec toutes les médications psychiatriques, le sevrage d’antiparkinsoniens devrait se faire graduellement, faisant en sorte de réduire la réapparition de mouvements anormaux supprimés originalement par les produits. Un sevrage graduel est plus garant d’un non retour à la consommation de médicament.
Si vous ou l'un des membres de votre famille souffrez de diabète, d'hypertension artérielle, d'hypercholestérolémie, d'obésité ou d'une maladie cardiaque
Imaginez un matin que vous vous réveillez pour savoir que vous n'êtes plus sur ces médicaments et que vous êtes en aussi bonne santé que vous l'étiez il y a quelques années
Vous ne pouvez pas mourir de la maladie mais du traitement.
La chirurgie de pontage et l'angioplastie ne sont pas pour les patients mais pour le profit.
Jusqu'à présent, vous avez visité les médecins, car ils sont considérés comme des épargnants de vie. Vous leur faites confiance de façon si aveuglante qu'il ne vous vient jamais à l'esprit que vous êtes juste une source d'argent pour eux. Ils vous terrorisent au sujet de votre état de santé tellement que ne pas entreprendre le traitement référé par eux signifie la fin de vie pour vous.
Les cardiologues de nos jours sont impliqués dans des malversations massives non seulement en Inde mais dans le monde entier
Dans son livre le plus récent, Est-ce que votre cardiologue vous tue? Le Dr Rogers vous apprend comment contrer les maladies cardiaques sans recourir à la drogue, dont les effets secondaires sont presque toujours pires pour votre santé que la maladie. Écrit comme un mystère de qui-fait-il, ce livre prend une approche légère à un sujet lourd, ce qui le rend facile à digérer la recherche actuelle qui appelle une nouvelle approche radicale pour traiter une maladie grave. Lis ce livre. Et décidez si vous devez congédier votre cardiologue.
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
Opiacés / opioïdes + benzodiazépines / somnifères = mort du patient
Michael Jackson, mort sur ordonnance
Les examens toxicologiques ont permis de détecter des niveaux élevés de cet anesthésique, et la présence de benzodiazépines (somnifères ou calmants) qui ont aussi pu contribuer au décès.
pubmed : Benzodiazépines: une composante majeure de surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance avec des analgésiques opioïdes.
Le mésusage et l'abus de médicaments d'ordonnance aux États-Unis continue d'augmenter en dépit des interventions par des professionnels de la santé, de la réglementation et les organismes d'application de la loi. Les analgésiques opioïdes sont la principale classe de médicaments sur ordonnance qui ont causé les décès par surdose involontaire. Les benzodiazépines lorsqu'ils sont pris seuls sont des agents relativement sûrs en surdosage. Cependant, une augmentation de 5 fois du nombre de décès attribués aux benzodiazépines s'est produite de 1999 à 2009, les visites aux services d'urgence liées aux analgésiques opioïdes a augmenté de 111%, suivie par les benzodiazépines 89%. De 2003 à 2009, les deux médicaments sur ordonnance avec la plus forte augmentation dans les taux de mortalité étaient oxycodone 264,6% et 233,8% alprazolam. Par conséquent, les benzodiazépines ont un impact significatif sur les surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance en second lieu seulement aux analgésiques opioïdes. La prescription de combinaison des benzodiazépines et des analgésiques opioïdes a lieu couramment. Les interactions pharmacocinétiques entre les benzodiazépines et les analgésiques opioïdes sont complexes. Les actions pharmacodynamiques de ces agents diffèrent que leurs effets combinés produisent une dépression respiratoire importante. Médecin et pharmacie shopping en patients se produit, et les programmes de drogue surveillance des ordonnances peuvent fournir des informations importantes sur benzodiazépines et modèles analgésique de prescription d'opiacés et l'utilisation patient. professionnels de soins de santé doivent informer les patients et de travailler en étroite collaboration avec les organismes de réglementation et les législateurs pour endiguer les accidents mortels de plus en plus à des surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance.
Maintenant, pour la première fois, plus d'Américains meurent de la prescription des pilules, y compris dix médicaments très populaires
Près de neuf sur dix de ces intoxications ont été causées par une surdose de médicaments d'ordonnance, avec le principal coupable étant des analgésiques à base d'opiacés comme le Vicodin (hydrocodone), l'OxyContin et le Percocet (oxycodone), la codéine, la morphine et n'oublions pas Actiq (fentanyl ), la sucette de baies à saveur infâme qui est 100 fois plus puissant que la morphine et-comme la plupart des analgésiques opiacés-si surprescription que seulement environ 10% de ses ventes proviennent de son indication d'origine pour traiter la douleur cancéreuse
Les benzodiazépines dans le top des 10 médicaments qui tuent
les études montrent que les personnes souffrant de dépendance aux analgésiques ont également tendance à abuser de sédatifs. Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
Est-il dangereux de mélanger Benzos et opiacés?
Que votre polymédication est par choix ou est médicalement prescrit, il est important d'être conscient des médicaments que vous utilisez et la façon dont ils interagissent les uns avec les autres. Certaines combinaisons de médicaments peuvent être dangereux et même mortel. Mélange benzodiazépines et les opiacés peut être extrêmement dangereux. Les benzodiazépines et les opiacés sont des dépresseurs du système nerveux central. Lors de la prise à la fois une benzodiazepine, tels que le lorazépam, et un opiacé comme la morphine, les médicaments peuvent conduire à une dépression excessive du système nerveux, ce qui provoque une dépression respiratoire et finalement la mort.
Les ordonnances de benzodiazépines sont en hausse dans les soins primaires, et leur utilisation combinée fréquente avec des analgésiques opioïdes peuvent contribuer aux décès liés à la médication,
Les données ont montré que les combinaisons de médicaments des benzodiazépines et des opioïdes contribuer à au moins 30% des décès liés aux opioïdes (Jones et al, JAMA 2013; 309: 657-9)
benzodiazepines :
L’association de la BHD avec des benzodiazépines (Xanax, Valium...) expose au risque de décès par dépression respiratoire d’origine centrale, notamment en cas d’usage de la buprénorphine par voie intraveineuse. C'est le seul cas ou la BHD peut provoquer une overdose mortelle (souvent en association avec l'alcool).
"De 2003 à 2009, les deux médicaments sur ordonnance avec la plus forte augmentation du taux de mortalité étaient oxycodone 264,6% et 233,8% alprazolam. Par conséquent, les benzodiazépines ont un impact significatif sur les surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance en second lieu seulement aux analgésiques opioïdes. La prescription de combinaison des benzodiazépines et des analgésiques opioïdes a lieu couramment. Les interactions pharmacocinétiques entre les benzodiazépines et les analgésiques opioïdes sont complexes. Les actions pharmacodynamiques de ces agents diffèrent que leurs effets combinés produisent une dépression respiratoire significative ".
Les opioïdes responsables d’une «crise de santé publique» au Canada
Le mélange alcool et oxycodone (un antidouleur délivré sur ordonnance), qui s’est révélé mortel pour Derek Boogaard, 28 ans, hockeyeur de la LNH originaire de Regina, est une cause de décès de plus en plus courante au Canada et aux États-Unis.
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des Etats-Unis font état d’une augmentation sans frein des overdoses médicamenteuses de traitement contre la douleur.10 000 morts par an, chez les hommes (hausse de 265% depuis 1999), 48 000 femmes tuées depuis 1999 en raison d’overdoses de médicaments contre la douleur dûment prescrits (hausse de 400%). Quelle explication pour une telle courbe d’augmentation chez les femmes ? Elles seraient plus sujettes aux douleurs chroniques, pourraient plus facilement développer une dépendance et présenteraient une plus grande tendance au nomadisme médical ce qui favorise les prescriptions multiples. Par ailleurs, les antidouleurs sont souvent utilisés conjointement avec les benzodiazépines. Ces abus dramatiques de médicaments (extrêmes dans ce cas) ne sont pas sans rappeler la fin tragique de Mickael Jackson, à Los Angeles, comme d’autres célébrités d’ailleurs… Rapportées à la population française, les statistiques américaines équivaudraient à quelques 3 500 morts par an ! Or, l’étude DRAMES (Décès en Relation avec l’Abus de Médicaments ET de Substances) faisait état en 2010 de 376 décès recensés, chiffre qui cumule les overdoses par héroïne, traitements de substitutions aux opiacés et médicaments contre la douleur. On est donc loin des chiffres annoncés outre-atlantique. Source : JOURNAL INTERNATIONAL DE MEDECINE (JIM Pro du 7.7.2013), article d’ Aurélie Haroche, publié le 3 juillet 2013.
Il est dangereux de mélanger Benzos et les opiacés?
Que votre polymédication est par choix ou est médicalement prescrit, il est important d'être conscient des médicaments que vous utilisez et comment ils interagissent les uns avec les autres. Certaines combinaisons de médicaments peuvent être dangereux et même mortel. Mélanger les benzodiazépines et les opiacés peut être extrêmement dangereux. Les deux benzos et les opiacés sont des dépresseurs du système nerveux central. En prenant à la fois une benzodiazépine, comme le lorazépam, et un opiacé comme la morphine, les médicaments peuvent conduire à la dépression excessive du système nerveux, provoquant une dépression respiratoire et finalement la mort.
(1995)L’étude tient pour l’essentiel en une cinquantaine de pages, complétées de la transcription extensive d’autant de témoignages d’anciens toxicomanes. Son énoncé sinon ses conclusions semblent incontestables (1) : l’utilisation détournée des comprimés de Rohypnol est à ce point développée en Belgique et ailleurs qu’elle constitue un phénomène particulier de toxicomanie, avec ses réseaux, ses coûts, son vocabulaire et surtout ses propres effets sanitaires et sociaux
L'utilisation concomitante d'opiacés, de benzodiazépines (BZD), et / ou de l'alcool pose un formidable défi pour les cliniciens qui gèrent la douleur chronique. Bien que l'utilisation croissante des analgésiques opioïdes pour le traitement de la douleur chronique et l'augmentation concomitante de l'abus et le mauvais usage liée aux opioïdes sont largement tendances, la contribution de l'utilisation de la combinaison des BZD, de l'alcool et / ou d'autres agents sédatifs reconnu à la morbidité liée aux opioïdes et la mortalité est sous-estimée, même lorsque ces agents sont utilisés de façon appropriée....
combinaisons très dangereuses chez 60% des utilisateurs à long terme près d'un tiers prennent un opiacé avec un médicament anti-anxiété de la famille des benzodiazépines tel que le Xanax (alprazolam); une combinaison qui est la cause la plus fréquente des décès par surdose d'une combinaison de médicaments
décès par surdose de médicaments : Aux États-Unis en 2007, les intoxications accidentelles étaient la deuxième cause de mort de blessures (après les accidents de véhicules à moteur) (1) ; environ 93 % de tous les décès d'empoisonnements involontaires ont été causés par médicaments, empoisonnement, également connu sous le nom de surdose de drogue (2). De 1990 à 2001 en Floride, le taux de mortalité nonsuicidal empoisonnement a augmenté de 325 %.
Pour caractériser les tendances récentes dans les taux de mortalité de surdose de drogue en Floride, CDC a analysé les données de la Commission de médecins légistes de la Floride. Le présent rapport résume les résultats de cette analyse, qui a constaté que, de 2003 à 2009, le nombre de décès annuels dans quel médecin légiste, des essais ont montré des concentrations létales d'un ou plusieurs médicaments augmenté 61,0 %, passant de 1 804 à 2 905, et le taux de mortalité a augmenté de 47,5 %, passant de 10,6 à 15,7 pour 100 000 habitants. Au cours de 2003--2009, les taux de mortalité a augmenté pour toutes les matières sauf la cocaïne et l'héroïne. Le taux de mortalité des médicaments d'ordonnance ont augmenté de 84,2 %, passant de 7,3 à 13,4 pour 100 000 habitants. La plus forte hausse a été observée dans le taux de mortalité de l'oxycodone (264,6 %), suivi d'alprazolam (233,8 %) et la méthadone (79,2 %). En 2009, le nombre de décès impliquant les médicaments de prescription a été quatre fois les nombre des drogues illicites. Ces résultats indiquent la nécessité de renforcer les interventions visant à réduire les décès par surdose de médicaments d'ordonnance en Floride. Médecin légiste enregistrements sont une source opportune et axée sur la population pour les données relatives aux décès par surdose de médicaments spécifiques. Les données de ce rapport et les analyses subséquentes permet de concevoir et de mesurer l'efficacité des interventions.
Benzodiazépines : une composante majeure des surdoses involongaire de drogues avec les analgésiques opioïdes. :...Cependant, 5 fois une augmentation des décès attribués aux benzodiazépines est produite de 1999 à 2009. Visites au service d'urgence liées à des analgésiques opiacés a augmenté de 111 %, suivie de benzodiazépines 89 %. Au cours de 2003 à 2009, les médicaments 2 ordonnances avec la plus forte augmentation dans le taux de mortalité étaient l'oxycodone 264,6 et alprazolam 233,8 %.
Le Rohypnol™ est une drogue dure, succédané de l’héroïne et un amnésiant puissant. Ce produit est dangereux par son pouvoir amnésiant et désinhibant. Ce produit n’a plus de place en thérapeutique.
"Récemment, un jeune est mort d’avoir associé du Rohypnol à sa dose de Méthadone ... C’est le Rohypnol qui est dangereux ! "
Il est clairement notifié dans les notices de ses médicaments qu'il ne faut pas associer le Subutex avec un benzodiazèpines (la Methadone non plus).
Le Séresta EST un benzodiazèpines
Le mélange de ces deux médicaments peut entraîner la mort par dépression respiratoire centrale (un arrêt respiratoire).
Je ne mets pas en cause les laboratoires qui fabriquent ses médicaments, au contraire, ils ont bien stipulé les contre-indications.
Non, je mets en cause le ou les médecins qui l'ont traité, qui lui ont prescrit ces médicaments, sachant leurs effets interactifs....
Mélanger le Sèresta et le Subutex PEUT entraîner une détresse respiratoire mortelle.
Pour moi ces médecins (qu'ils soient généralistes ou psy) sont responsables, pénalement responsable !!!
Je me battrais pour que ça n'arrive plus, pour qu'ils prennent leur responsabilité face à la loi, pour qu'ils réfléchissent avent de préconiser un traitement pouvant entraîner le décès de leur patient.
Je ne veux pas faire interdire les médicaments, je ne le pourrais pas de toute manière, certains en ont besoin.
Non, ce que je veux c'est que les médecins, les psy et l'autorité médicale prennent leurs responsabilités lorsqu'ils préconisent deux médicaments qui ne doivent pas être associés, qu'il réfléchisse AVANT de donner un traitement, qu'ils pensent aux conséquences sur la vie, la santé, tant physique que mentale, que peuvent avoir certains traitements, qu'ils arrête de faire rentrer les gens dans leurs petites cases.
Qu'ils soient Pénalement responsable lorsque un de leur traitement entraîne le décès d'un de leur patient, chose qui devrait se faire mais qui ne se fait pas vu qu'il est plus facile de cataloguer un décès aux médicament comme étant un suicide plutôt que j'accepter que c'est un traitement trop lourd et mettre en cause un médecin.
Responsable mais pas coupable ?
NON.
Qu'un garagiste fasse une erreur en réparant une voiture, erreur qui entraînerait le décès de son conducteur, il passerait au tribunal.
Qu'un électricien branche mal un circuit électrique, électrocutant un client, il serait jugé.
Qu'un maçon utilise le mauvais ciment pour construire une maison qui s'écroulerait sur ses habitants, et il finirait en prison
L’association des benzodiazépines à des traitements de substitution à l’héroïne à base de buprénorphine (Subutex®) ou de méthadone expose au risque de dépression respiratoire pouvant provoquer la mort
le comédien australien Heath Ledger a été retrouvé mort à son domicile à l'âge de 28 ans. Les résultats des tests de toxicologie réalisés après sa mort permettent de conclure à une intoxication médicamenteuse fatale due à la prise combinée d'oxycodone, d'hydrocodone, de diazepam, de temazepam, d'alprazolam et de doxylamine. Le département de la Santé de New York a légitimement parlé d’« une mort accidentelle, résultant d'un abus médicamenteux».
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Opioïdes : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique, torture et morts des victimes
patch durogésic / fentanyl / danger mortel !
Analogues d’opiacés et suicide : L’analyse des opiacés me fait penser que, comme beaucoup de monde le soupçonne, ces produits peuvent provoquer des envies suicidaires et des passages à l’acte.
Canada
comme les autres morphiniques, doit être maniée avec précaution lorsqu'elle est utilisée avec d'autres dépresseurs du système nerveux central (SNC), notamment avec les benzodiazépines, car ceux-ci peuvent augmenter la somnolence ou la dépression respiratoire (pouvant être fatale en cas de surdosage)
En 2014, 14 000 personnes sont mortes d'une surdose impliquant ces médicaments, selon les données du Centre de prévention et de contrôle des maladies (CDC)
.
Aider à mettre fin à l’abus, aux mauvais traitements et aux décès de Rx, les médicaments et les traitements à la méthadone
Les symptômes du sevrage de la méthadone inclure des nausées, des vomissements, des convulsions, et l’insomnie, et peuvent durer pendant des semaines.
Par ailleurs pas mal d’usagers prétendent arriver à décrocher "facilement" de leur héroïne quand ça devient quasi-impossible avec la métha et le subutex
L’OxyContin contient de l’oxycodone, un opioïde comme la morphine, la codéine, l’héroïne et la méthadone. L’oxycodone se trouve également dans des médicaments tels que le Percocet, l’Oxycocet et l’Endocet
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
Skénan, codéine, etc…
infirmier
La morphine, une cause importante de mort chez les cancéreux
J’avais dit dans ce billet, que la cause des morts lors d’un cancer était souvent la suivante. Le patient voit son taux de cortisol augmenter fortement lors de la prise de la chimiothérapie. Ce qui retient l’eau dans le centre du corps et a contrario déshydrate les membres. Mais, comme la chimiothérapie fait maigrir par ailleurs, le patient se déshydrate globalement. A l’arrêt de la chimio, il subit un effondrement du taux de cortisol. Ce qui entraine que le centre du corps se déshydrate et que les membres retiennent l’eau. Et comme le corps est déshydraté globalement, le centre du corps est alors particulièrement déshydraté. A la suite de ça, une toux va souvent apparaitre.
J’avais dit dans ce billet, que la cause des morts lors d’un cancer était souvent la suivante. Le patient voit son taux de cortisol augmenter fortement lors de la prise de la chimiothérapie. Ce qui retient l’eau dans le centre du corps et a contrario déshydrate les membres. Mais, comme la chimiothérapie fait maigrir par ailleurs, le patient se déshydrate globalement. A l’arrêt de la chimio, il subit un effondrement du taux de cortisol. Ce qui entraine que le centre du corps se déshydrate et que les membres retiennent l’eau. Et comme le corps est déshydraté globalement, le centre du corps est alors particulièrement déshydraté. A la suite de ça, une toux va souvent apparaitre.
sont responsables de surdoses plus mortels aux États – Unis que l’ héroïne et la cocaïne combinée, un elon le Center for Disease Control (CDC).
Une trentaine de médicaments en vente libre contiennent un dérivé de la morphine
ATUXANE®, sirop BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE®, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE MEPYRAMINE ADULTES®, sirop DEXTROCIDINE® 0,3%, sirop DEXTROMETHORPHANE ELERTE 1,5 mg/ml, sirop DEXTUSSIL® 0,2%, sirop DEXTUSSIL® 30 mg/15 ml, sirop en récipient unidose DRILL TOUX SÈCHE® 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE sirop édulcoré au maltitol liquide DRILL TOUX SÈCHE® SANS SUCRE 5 mg/5 ml ENFANTS, sirop édulcoré au maltitol liquide ERGIX 20 mg TOUX SÈCHE®, gélule ERGIX ADULTES TOUX SÈCHE®, sirop ERGIX ENFANTS TOUX SECHE, sirop EUPHONYLL TOUX SECHE DEXTROMETORPHANE 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au sorbitol FLUIMUCIL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 2 mg/ml ADULTES SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol liquide HUMEX ADULTES TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE SANS SUCRE 15 mg/5 ml, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique HUMEX ADULTES TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop HUMEX ENFANTS TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop NODEX® ADULTES, sirop en récipient unidose PULMODEXANE 30 mg, comprimé pelliculé PULMODEXANE 300 mg/100 ml SANS SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique SURBRONC TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml SANS SUCRE, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique TUSSIDANE® 1,5 mg/ml, sirop TUSSIDANE 1,5 mg/ml SANS SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique TUSSIDANE 30 mg, comprimé pelliculé sécable ANSM – 04/12/2014 TUXIUM® 30 mg, capsule VICKS 0,133 % ADULTES TOUX SECHE MIEL, sirop VICKS TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 7,33 mg ADULTES MIEL, pastille
sont en train de tuer des milliers de personnes chaque année
Ce médicament est le FENTANYL, utilisé soit en solution injectable, soit en patchs transdermiques (Durogésic®), soit en losanges transmucosaux (Actiq ®) appliqués entre joue et gencive pour une résorption du principe active par la muqueuse buccale. Ce produit est 500 fois plus puissant que la morphine
En 2008, plus de dix ans après l’avènement de la substitution officielle, certains continuent à en consommer de manière non négligeable. Néo-codion®, Codoliprane®, Tussipax®…, petite
Les symptômes du sevrage de la méthadone inclure des nausées, des vomissements, des convulsions, et l’insomnie, et peuvent durer pendant des semaines.
Ses deux créateurs travaillaient pour le conglomérat chimique allemand I.G. FarbenIndustrie
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction,
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, inquiète l’Afssaps. Il causerait une forte dépendance. afp.com/Philippe Merle Les autorités françaises de contrôle du médicament ont placé le Tramadol sous surveillance. Présente dans une vingtaine de médicaments, la molécule serait à l’origine d’une très forte dépendance.
Le dextrométhorphane (ou isomère dextrogyre de lévométhorphane) est un analgésique opioïde, utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes à forte dose et, est alors couramment dénommé DXM
.
Le fabricant de l'oxycondin paye 600 millions de dollars d'amende : accusations criminelles qu’ils ont induit en erreur les régulateurs, les médecins et les patients sur les risques du médicament de dépendance et de son potentiel d’être maltraité.
La majeure partie des antalgiques du palier 3 concerne les opiacés et opioïdes forts : la morphine et ses dérivés comme le sufentanil, le rémifentanil, le fentanyl, l'alfentanil, l'hydromorphone, la péthidine, etc. Certains sont des agonistes partiels, tels que la buprénorphine ou la nalbuphine. Ces médicaments ont le même mode d’action que ceux du palier 2 mais sont plus puissants. Ils sont utilisés en cas de douleurs intenses ou rebelles aux antalgiques de niveau 2. Ils ont les mêmes effets secondaires que les antalgiques opiacés et opioïdes faibles et peuvent entraîner les mêmes problèmes de dépendance.
cette drogue 50 fois plus forte que l’héroïne qui se répand aux Etats-Unis
Dans certaines régions, cet anti-douleur tue désormais plus que l’héroïne
Le fentanyl est un analgésique narcotique dont les propriétés sont au moins 80 fois plus puissantes que celles de la morphine. Le fentanyl et ses dérivés (Alfentanil, Sufentanil, Remifentanil et Carfentanil) sont utilisés en tant qu’anesthésiques et analgésiques en médecine humaine aussi bien que vétérinaire (Carfentanil). Ces produits sont soumis à un contrôle international au même titre qu’un groupe de dérivés non pharmaceutiques du fentanyl (NPF) extrêmement puissants, comme le 3-méthylfentanyl synthétisé de manière illicite et vendu en tant qu’«héroïne de synthèse» ou mélangé avec de l’héroïne.
En avril 2016, le chanteur Prince meurt d’une overdose et fait connaître au monde une drogue 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus puissante que la morphine, le fentanyl.
Les laboratoires médico-légaux ont dénombré en 2016 plus de 30.000 cas d’overdoses fatales liées au fentanyl contre « seulement » 600 en 2012.
Ce médicament est le FENTANYL, utilisé soit en solution injectable, soit en patchs transdermiques (Durogésic®), soit en losanges transmucosaux (Actiq ®) appliqués entre joue et gencive pour une résorption du principe active par la muqueuse buccale. Ce produit est 500 fois plus puissant que la morphine
Pour Jac, les problèmes ont commencé lorsque son médecin lui a prescrit de l'OxyContin pour des douleurs liées à ses problèmes de dos. Et en plus d'alléger sa douleur, l'opioïde l'aidait également à gérer l'anxiété qu'elle pouvait ressentir. Lorsqu'elle a raconté ça à son médecin, il a refusé de renouveler son ordonnance.
Soit l’équivalent de quatre grains de sel. C’est la dose de Fentanyl illicite pur suffisante pour tuer un homme. Au marché noir, on le trouve sous la forme de poudre, liquide ou de comprimés.
Le chanteur américain Prince est mort d’une overdose de Fentanyl, un puissant médicament antidouleur opiacé, a annoncé, jeudi 2 juin, l’institut médico-légal qui avait procédé à l’autopsie.
Canada
MORTEL PRESCRIPTION de Oxycodone, Antalgique opiacé fort
L’enquête soulève des questions pointues sur la responsabilité de médecins dans une véritable épidémie de toxicomanie et d'overdose ce qui a enlevé presque 180,000 vies depuis 2000.
sont responsables de surdoses plus mortels aux États – Unis que l’ héroïne et la cocaïne combinée, un selon le Center for Disease Control (CDC).
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
sont en train de tuer des milliers de personnes chaque année
Ce médicament est le FENTANYL, utilisé soit en solution injectable, soit en patchs transdermiques (Durogésic®), soit en losanges transmucosaux (Actiq ®) appliqués entre joue et gencive pour une résorption du principe active par la muqueuse buccale. Ce produit est 500 fois plus puissant que la morphine
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires
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symptômes de sevrage aux opioïdes / fentanyl, oxycontin, tramadol....
Benzodiazépines, somnifères : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazépines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
même s'il n'existe aucune preuve acceptable que les tranquillisants sont efficaces pendant plus de quatre mois et que le sommeil Pilules pendant plus de 30 jours.
C’est un scandale, ça tue les vieux !
Cet article passe en revue la littérature concernant la dépendance aux benzodiazépines (BZD)chez la population des personnes âgées de 65 ans et plus. Alors que les conséquences néga-tives reliées à l’utilisation prolongée des BZD sont bien connues, le phénomène de la dépen-dance à ces substances chez cette population l’est beaucoup moins. Il n’existe toujours pasde consensus autour de la définition du problème. L’usage continu des BZD peut être davan-tage problématique chez les personnes âgées pour qui la tolérance aux agents chimiquesdiminue avec l’âge. Les facteurs de risque impliqués dans l’usage chronique sont une com-binaison interactive entre les caractéristiques des aînés et celles des médecins prescripteurs.Des pistes de recherche étayées sur un changement paradigmatique sont lancées afin de boni-fier la recherche dans ce domaine
France : un des pays européens où la consommationde psychotropes est la plus élevée•3 à 4 X supérieure à celle du Royaume Uni, de l’Italie oude l’Allemagne
20 % des 10 millions de personnes âgées consomment de façon chronique des hypnotiques ou des anxiolytiques
Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
Les professeurs Ashton et Lader nous parlent du désastre des benzodiazépines / somnifères et de l'agonie des victimes, torturées par les médecins et infirmières.
symptômes de sevrage aux benzodiazépines, assimilés (stilnox, imovane, lyrica, neurontin...) et somnifères
L'enfer du sevrage au rivotril / klonopin est en image vers la douzième minute.
Puis, la suite vers la 26 ème minute.
Puis, vers la 35 ème minute.
Puis, vers la 45 eme minute
Puis vers 1 heure 04
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Antidépresseurs : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique et suicides iatrogènes des victimes
source : antidépresseurs
articles sur les antidépresseurs: NewsTarget
Holocauste médical : médicaments Psych ont tué plus de 5 millions de personnes au cours des 10 dernières années
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine
La dépendance et les symtômes de sevrage à l'égard des antidépresseurs a été reconnue depuis le début des années 1960.
L’Agence nationale du médicament a décidé de classer les médicaments à base de tianeptine comme stupéfiants. Le plus connu d’entre eux est l’antidépresseur Stablon®. Pourquoi cette décision ? « En raison d’un risque de pharmacodépendance, d’abus et d’usage détourné » a motivé l’ANSM. Concrètement, suite à ce changement de classe thérapeutique, le Stablon® (comme tous les médicaments à base de tianeptine administrés par voie orale) fera l’objet de conditions particulières de prescription et de délivrance. La décision publiée auJournal officiel du 8 juin 2012sera effective à partir du 3 septembre 2012
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
« La question est désormais de savoir si les ISRS ont même un quelconque effet sur les déprimés, même si l’on n’en connait pas le mécanisme. La réponse est : non «
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
Michèle Rivasi, députée européenne : » Le remboursement de tels médicaments, dangereux et sans valeur ajoutée thérapeutique, est un scandale qui doit cesser au plus vite ! »
L’ère d’antidépresseur, de 1988 à nos jours, peut entrer dans l’histoire comme un désastre de santé publique.
Selon des estimations prudentes, la «deuxième génération» des antidépresseurs, en particulier les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) provoque environ 400 décès par an en Australie de l’induction du suicide. Ils ont tous un profil similaire pour l’induction de la violence, avec les plus énergisants plus récents plus fortement impliqués. Les essais cliniques présentés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) et d’autres études ont montré qu’ils produisaient un risque important de suicide. Les antipsychotiques atypiques produisent plus de décès par suicide de nouveau, et les événements cardiovasculaires. Les médicaments en cause sont le Prozac (fluoxétine), Zoloft (sertraline), Aropax (paroxétine), Luvox (fluvoxamine), Cipramil (citalopram), Lexapro (escitalopram), Zyban (bupropion), Efexor (venlafaxine) et le Serzone (néfazodone) , maintenant retiré et autres. Les antipsychotiques sont Zyprexa (olanzapine) et Risperdal (rispéridone) et quelques autres.
la revue prescrire demande l’interdiction de : Cymbalta, Ixel, valdoxan, effexor, stablon, zyban, champix…
Prozac, Paxil, Zoloft, Effexor, Celexa, norset et Luvox. Action pour la protection de la santé des femmes. Antidépresseurs inibiteursélectif de recapture de sérotonine (ISRS)
« La documentation actuelle confirme que les réactions indésirables aux ISRS sont courantes, diversifiées et graves. Dans le cas du Prozac, l’information fournie par le fabricant indique que ce produit est associé à 242 effets secondaires différents, dont 34 affectent les voies génitales et urinaires. Une analyse des réactions indésirables rapportées spontanément à la FDA a montré qu’« aux États-Unis, sur une période de dix ans, le Prozac a été associé à un plus grand nombre d’hospitalisations, de décès et d’effets nocifs graves que tout autre médicament«
Il semble que les antidépresseurs et les médicaments antipsychotiques (aussi appelés neuroleptiques) peuvent être parmi les médicaments les plus dangereux de tous.
Les recherches sur la sérotonine ont été claires dès le début : la chose la plus dommageable qui pourrait être faite pour le système de la sérotonine serait de porter atteinte à une capacité de métaboliser la sérotonine. C’est pourtant exactement comment les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets.
Depuis des décennies, la recherche a montré que l’altération du métabolisme de la sérotonine entraînerait des migraines, des bouffées de chaleur, des douleurs autour du cœur, des difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, des tensions et de l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – , Les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, les maladies cérébrales organiques, l’autisme, l’anorexie, la conduite imprudente, la maladie d’Alzheimer, le comportement impulsif sans se soucier de la punition et le comportement argumentatif
Ce sont des médicaments très dangereux qui devraient être interdits, comme des médicaments similaires ont été interdits dans le passé.
symptômes de sevrage des antidépresseurs
Neuroleptiques : toxicomanie induite par le médecin et défonce sur ordonnances / camisole de force chimique et morts des vieux
source : neuroleptiques
Les personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de la santé mentale l’ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.
Les sociétés pharmaceutiques ont récemment étés condamnées aux plus grandes amendes dans l’histoire américaine, y compris les plus grandes amendes criminelles jamais imposées aux sociétés, pour le marketing illégale des médicaments antipsychotiques. Les paiements s’élevaient à plus de $ 5 milliards.
L’avantage pour les entreprises pharmaceutiques est froidement à but lucratif. Les antipsychotiques rapportent quelques $ 14 milliards par an. Les médicaments dits antipsychotiques « atypiques » ou « deuxième génération » comme Geodon Seroquel, Zyprexa et Risperdal, Abilify engrangent plus d’argent que n’importe quelle autre classe de médicaments sur le marché et, dollar pour dollar, ils sont le plus vendu en Amérique. Bien que ces médicaments sont principalement approuvés pour traiter la schizophrénie et le trouble bipolaire, ils affectent 3 % de la population, en 2010 on comptait 56 millions ordonnances remplies antipsychotiques atypiques.
La dyskinésie tardive induite par le médicament s'est développée chez 73 000 adultes âgés; Cette affection est la réaction indésirable la plus grave et la plus fréquente aux médicaments antipsychotiques, et elle est souvent irréversible. La dyskinésie tardive est caractérisée par des mouvements involontaires du visage, des bras et des jambes. Environ 80% des personnes âgées recevant des médicaments antipsychotiques n'ont pas la schizophrénie ou d'autres conditions qui justifient l'utilisation de tels médicaments puissants, tant de ces patients ont des effets secondaires graves de médicaments qui ont été prescrits de façon inappropriée
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)
Parmi les plus dangereux médicaments commercialisés sont les soi-disant antipsychotiques atypiques qui sont ont été approuvés pour la schizophrénie, mais sont prescrits essentiellement hors AMM, principalement pour contrôler le comportement chez les enfants et les personnes âgées–malgré le fait qu’ils sont liées à de graves et irréversibles effets secondaires, y compris l’hyperglycémie,le diabète et la mort. Dr Graham affirme que « La FDA a connu ce sujet pendant deux ou trois ans. » Il estime que sur l’étiquette des antipsychotiques pourrait entrainer jusqu’à 62 000 décès supplémentaires par an
Les médicaments doivent être utilisés aussi peu que possible, par opposition à la pratique actuelle.
…Il est vrai que l’on peut atteindre un certain degré de calme dans la phase aiguë de la psychose et freiner le patient avec un antipsychotique. Mais les études randomisées ont montré qu’on peut avoir le même effet avec les benzodiazépines (médicaments anxiolytiques comme le Valium et Stesolid), qui contraste avec les antipsychotiques car ils ne tuent pas les patients.
…C’est le médicament qui rend dangereux, c’est quelque chose qui est très bien documenté. Les antipsychotiques peuvent provoquer une terrible agitation et agitation intérieure, appelée akatisie, qui a provoqué tant de meurtre et de suicide.
…Parce que vous courez le risque de mourir d’un traitement obligatoire, tous les médicaments obsessionnel-compulsif doivent être interdits.
Ces médicaments tuent les gens. Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
Traduction libre du chapitre 9 du livre Your drug may be your problem par les prof Breggin et Cohen
« Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. »
Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux. Plusieurs causent des dommages permanents au cerveau, aux doses habituellement utilisées. Ces médicaments ainsi que la profession qui défend leur utilisation sont dangereux pour votre santé. « ceux responsables de telles “thérapies” feront face un jour à des “procès de Nuremberg” »
«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre
Le 16 Novembre, 2005, USA Today a interrogé FDA scientifique, le Dr David Graham, l’homme célèbre pour l’alerte sur la mauvaise gestion de la catastrophe du Vioxx, estime qu’il y a 62.000 décès chaque année à partir de l’utilisation hors AMM de médicaments atypiques.
Les trois psychotropes les plus vendus dans le monde rapportent 25 milles dollars brut toutes les minutes. Les profits sont énormes: chaque jour un psychotrope rapporte en moyen de 7,7 millions de dollars. (Ex : Le ZYPREXA rapporte 11,956 millions de dollars par jour).
Les dix psychotropes les plus prescrits rapportent plus de 26,5 milliards par an. Plus de 80 milliards de dollars rapporté par an par les psychotropes.
J’appellerais volontiers les antipsychotiques des “antihumains” dans la mesure ou ils altèrent la possibilité de vivre une vie normale et enrichissante, la capacité de lire, de penser, de se concentrer, d’être créatif, de ressentir et d’avoir une vie sexuelle. Il ne reste pas grand chose aux gens sous antipsychotiques et certains dans cette situation se décrivent comme un zombie ou un légume. Il n’est pas surprenant que ces patients tentent parfois, sans espoir devant eux, de se suicider. On entend souvent que la schizophrénie accroît fortement le risque de suicide mais jamais du niveau de risque suicidaire des schizophrènes qui ont délibérément refusé de prendre des antipsychotiques.
symptômes de sevrage des neuroleptiques et neuroleptiques cachés
Les médicaments qui rendent fou : la démence sur ordonnances
source : fou sur ordonnances
extrait du livre psychiatrie mortel et déni organisé : "rendre les gens déments avec les médicaments psychotropes : Il est probable que tous les médicaments psychotropes infligent des lésions chroniques au cerveau, les quelles seront souvent perrmanentes et dont le prototype est le dérèglement de la fonction cognitive.Parce que les médicaments psychotropes sont tellement utilisés de nos jours, une grande partie de la démence que l'on observe actuellement est iatrogène,c'est à dire qu'elle est causée par les médecins. Une étude de 17 ans du Framing Heart Study a montré que les antidépresseurs augmentent d'environ 50% le risque de souffrir de démence."
APRIL
Avril est un organisme de bienfaisance qui cherche à faire prendre conscience que de nombreux médicaments et les anesthésiques peuvent chaque jour provoquer des effets indésirables psychiatriques (ADR) ou des effets de sevrage, y compris la dépression, l'anxiété, l'insomnie, l'agitation, l'automutilation, pensées suicidaires et d'actions, ou de la violence envers les autres.
Environ 163 000 Américains plus âgés souffrent d'une déficience mentale grave (perte de mémoire, démence) causés ou aggravés par les médicaments. 7 , 8 Dans une étude dans l'État de Washington, dans 46% des patients atteints d'une déficience mentale induite par un médicament, le problème a été causé par des tranquillisants mineurs ou des somnifères; Dans 14%, par des médicaments à haute pression sanguine; Et dans 11%, par des antipsychotiques. (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer ou aggraver la démence ).
psychrights : "Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux ."
MindFreedom internationale : activisme indépendante des droits de l'homme et des alternatives humaines en santé mentale.
Démences médicamenteuses : étude cas : L'incidence croissante des démences avec le vieillissement des populations en fait un enjeu majeur de santé publique. Parmi les causes envisagées, l'étiologie médicamenteuse n'est pas considérée. Nous avons estimé le risque de démence associé à la prise médicamenteuse par une étude cas/non-cas en utilisant les cas notifiés de la Banque française de Pharmacovigilance. Parmi 263 962 observations saisies entre 1985 et 2005, 79 (0,03 %) sont des démences. L'âge médian est de 66 ans avec 41 femmes et 37 hommes. Les classes pharmacologiques impliquées sont majoritairement des médicaments neurotropes comme les anticonvulsivants, les médicaments antiparkinsoniens, antidépresseurs, anxiolytiques, hypnotiques, antipsychotiques et morphiniques mais également non neurotropes comme l'interféron alfa-2B, l'allopurinol et la vancomycine. Au niveau des mentions légales, seul l'acide valproïque bénéficie d'une mention "syndrome démentiel" alors que d'autres médicaments peuvent également entraîner une démence. L'étiologie médicamenteuse des démences existe mais est sous-estimée en particulier dans la population âgée.
Les psychotropes sont la cause de la plupart des maladies mentales :Jusqu'à l'avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d'un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.
- Jusqu'à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.
- En 2007, le nombre d'enfants handicapés mentaux était 35 fois plus élevé que le nombre de 1990. - Jusqu’à ce que les gens soient drogués pour la schizophrénie, leur espérance de vie était identique à celle des autres. De nos jours, toute personne diagnostiquée peut s’attendre à voir son espérance de vie réduite de 25 ans. Cela signifie qu’un homme qui aurait pu espérer avoir une durée de vie typique, aujourd'hui de 78 ans en Zunie, est susceptible de vivre seulement 53 ans s'il est traité avec des antipsychotiques.
Déclencheurs de Psychose : neuroleptiques, antidépresseurs, depresseurs....
Tous fous ?
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation».
Sommes-nous tous devenus fous ?
tous fous ?
En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
Tous fous ? cible les thèses de la biopsychiatrie, selon lesquelles la détresse psychologique résulterait d’un déséquilibre chimique dans le cerveau, sans égard au contexte social et personnel des patients. L’auteur remet en question la prescription massive d’antidépresseurs et d’antipsychotiques aux effets sous-estimés et souvent dévastateurs : anxiété, pensées suicidaires, diabète, AVC, atrophie du cerveau…
Mais l’exploitation du mal-être est extrêmement lucrative et les compagnies pharmaceutiques sont prêtes à tout pour satisfaire l’appétit insatiable de leurs actionnaires : médicalisation des évènements courants de la vie, essais cliniques biaisés, corruption des médecins, intimidation des chercheurs… Même les amendes salées contre ces agissements ne les font pas reculer.
antihypertenseurs et grave déficience mentale : grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) : 14% sont induit par les médicaments contre une pression artérielle élevée
Les bêta-bloquants comme le métoprolol et le propranolol peuvent causer le délire et la psychose
Bêta-bloquants ont des effets sur le SNC, dont certains provoquent des syndromes psychiatriques — qui peuvent dépendre d'une propriété auxiliaire tels que lipophilicity.2, contrairement aux agents hydrophiles comme atenolol qui sont excrétés inchangée par les reins, les médicaments lipophiles comme le métoprolol et le propranolol sont métabolisés par le foie et sont censés pénétrer dans le cerveau. Métoprolol a un ratio de concentration cérébrale/plasma environ 20 fois supérieur à celui de atenolol.3
Métoprolol et propranolol peuvent induire délire et psychosis.4,5 les effets secondaires psychiatriques metoprolol sont fréquentes
lansoprazole / Effets indésirables psychiatriques : Étourdissements, des vertiges, confusion, vision floue, hallucinations, sensation de malaise, de la fatigue, de la fatigue, de brûlure ou de picotement sentiment, démangeaisons, la rétention d'eau, la dépression agitation, amnésie, anxiété, dépression baisse de la libido Comme avec d'autres médicaments réduisant l'acide, les hommes prenant lansoprazole peuvent occasionnellement avoir un gonflement du sein temporaire ou l'impuissance.
Inexium , IPP , risque accru de démence : Les IPP – surtout quand ils sont prescrits au long cours – sont décidément dans le collimateur. Après les avoir soupçonnés d’augmenterle risque d’ostéoporose, celuid’infarctus du myocarde et, tout récemment, le risque infectieux et celui de maladie rénale, les voici désormais sur la sellette quant au risque de démence chez les sujets âgés. Dans une large analyse pharmaco-épidémiologique fondée sur les bases de données de l’assurance maladie AOK (1/3 de la population d’Allemagne), une équipe germanique a établi un lien entre IPP et risque de démence. Il s’agit en fait d’une confirmation puisqu’à l’occasion d’une précédente grande étude de cohorte prospective, longitudinale et multicentrique, ces mêmes chercheurs avaient détecté une association significative. Moins précise que ce premier travail qui s’était intéressé de façon très détaillée aux dossiers médicaux de 73.679 sujets de plus de 75 ans hébergée en maison de retraite, allant jusqu’à investiguer la présence de l’apoliprotéine E4 (Apo E4), cette nouvelle étude pharmaco-épidémiologique a, en revanche, l’avantage de la taille puisqu’elle a inclus un large panel de personnes – 73.679 sujets de plus de 75 ans – pour pouvoir valider le signal.
Alzheimer :les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) pourraient être responsables : Des chercheurs allemands ont constaté que les personnes âgées de plus de 75 ans et qui prennent régulièrement ces médicaments ont 44% plus de risque de développer la maladie d’alzheimer.
sulfamides : Les effets indésirables des médicaments (EIM) incluent l'insomnie, la dépression mentale, des hallucinations et la psychose.Il ya eu des rapports de cauchemars terrifiants dans les publications médicales La psychose est un effet secondaire connu et documenté de médicaments sulfamides encore le terme ne figure pas dans l'information du patient.
L Les fluoroquinolones représentent 4% de tous les effets psychiatriques notifiés à l'Afssaps ; cela les situe en huitième position, n'étant précédées que par des neuroleptiques.
Ces substances génèrent de nombreux effets secondaires, dont parfois de lourdes invalidités temporaires ou définitives. Des effets tendineux, allant jusqu'à la rupture de tendon(s) en divers endroits du corps ont été signalés dès 1983 ;
De décembre 1970 jusqu’en janvier 2015, nous avons identifié 992 097 réactions indésirables liées à l’antibiotique. Parmi eux, 608 se trouvaient des comportements suicidaires liés à quinolone, dont 97 cas de suicides dûment remplis.
Antibiotique couramment prescrit Impliqué dans l'autisme
Dans une étude publiée cette semaine, l'antibiotique Augmentin TM a été impliquée dans la formation de l'autisme. L'étude publiée dans Medical Hypotheses suggère fortement la possibilité d'empoisonnement d'ammoniaque à la suite de jeunes enfants prenant Augmentin.
: certains antihistaminiques comme le Diphenhydramine et le Diménhydrinate possédent d'importante propriété anticholinergique. Les anticholinergiques sont utilisé contre les spasmes, les nausées, l'insomnie, le mal du transport et dans la maladie de parkinson. Les effets anticholinergique sont des effets indésirable provoqué par beaucoup de médicament mais speciallement par les antihistaminique de premiere génération. Les effets anticholinergique sont trés varié et varient d'une personne à l'autre. Les effets sont à dose normal: sedation, bouche seche, trouble de l'acomodation (voir flou momentanément à moin d'un metre). A dose forte (varie d'une personne à l'autre, les enfants et personnes agée sont les plus touché): euphorie, delire, illusion, hallucination, somnolance, vision floue, bien etre (ou mal-etre) intensse, hébétude, nausée (tres rare, varie des produits), confusion, trouble spatio-temporel, amnesie (perte de mémoire), retension urinaire (du mal à uriner), secheresse des muqueuse (partie génitale, bouche, organe...) provoquant une apparition de carrie, une désydratation, des troubles de la deglutition (du mal à avaler
statines : L'inquiétude grandit au sujet des effets sur l'esprit de ces médicaments que des cauchemars et des pertes de mémoire sont signalés comme effets secondaires. Les statines sont des médicaments sur ordonnance et les médicaments en vente libre qui sont couramment utilisés pour réduire le niveau de cholestérol LDL (cholestérol connus comme «mauvais») les niveaux dans le sang.
un apport en cholesterol élevé permet de réparer les cerveaux endommagés une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s’avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d’un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l’apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d’Alzheimer
Zyban et Chantix (Zyban est le même que Wellbutrin / buproprion) : l'agitation, la dépression et l'irritabilité, troubles de la coordination, de la confusion, diminution de la libido, la mémoire, la dépersonnalisation, labilité émotionnelle, hostilité, hyperkinésie, hypertonie, hypoesthésie, paresthésie, idées suicidaires, et de vertiges, amnésie, ataxie, déréalisation, et hypomanie diminué.
Effets secondaires du champix : un recours collectif autorisé au Canada
La Cour supérieure de l'Ontario a autorisé un recours collectif pour les Canadiens qui ont consommé le médicament Champix entre le 2 avril 2007 et le 31 mai 2010 et qui allèguent avoir subi certains effets secondaires indésirables.
Le recours collectif réclame des dommages et allègue qu'entre ces dates, Pfizer Canada Inc. a omis de fournir un avertissement adéquat quant aux risques. Pfizer Canada nie les allégations.
Les effets secondaires concernés sont les symptômes ou effets psychiatriques suivants
témoignage : Une de mes filles, qui allait très bien et n’avait aucun antécédant, a déclanché à 16 ans une dépression a-typique, puis quelques mois plus tard un comportement hypomaniaque, puis un an après, une bouffée délirante qui a nécessité 2 mois d’hospitalisation et qui l’a laissée fragile. Or, ce n’est qu’à ce dernier épisode qu’on a fait le lien avec la cortisone : chaque crise avait été précédée quelques jours auparavant de piqures de solu-médrol, sans doute même pas indispensables, après traitement chirurgicaux de la mâchoire dans le cas d’un traitement orthodontique un peu lourd
Les corticostéroïdes glucocorticoïdes Les effets psychotropes des corticoïdes ont été signalés depuis 1950. changements cognitifs Démence comme précoce chez les patients qui suivent un traitement avec des doses élevées de corticoïdes ont été identifiés en 1984. La présentation clinique de ces patients atteints de démence "stéroïde" imitaient celles qui sont typiques de la maladie d'Alzheimer précoce. Comme dans le cas des effets secondaires psychiatriques croticosteroid d'utilisation, la "démence" est réversible. Le cas présenté décrit un patient qui a développé les changements cognitifs et la démence comme un EEG anormal à la suite d'un traitement aux stéroïdes. L'affaire est d'un intérêt non seulement comme un exemple de la démence de stéroïdes, mais aussi parce qu'il est le premier avec séquelles documentée électroencéphalographie et EEG prémorbide, la tomodensitométrie et des tests neuropsychologiques.
Effets secondaires de la corticothérapie chez la personne âgée : Des manifestations neuropsychiques bénignes comme des insomnies ou une excitation anormale sont fréquentes. Plus rarement, une corticothérapie peut être à l’origine d’épisodes psychotiques. Une étude française rétrospective a ainsi permis de noter la survenue de complications psychiatriques chez 16% des patients recevant une corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton, essentiellement sous la forme de troubles de l’humeur, d’épisodes dépressifs ou maniaques. La survenue de ces événements est plus fréquente dans le premier mois de traitement et en cas d’administration de doses élevées de corticoïdes.
Les troubles psychiatriques iatrogènes aux corticoïdes : La présentation clinique des troubles psychiatriques cortico-induits est très variable : on peut trouver les troubles du sommeil (25 %), la dépression (32 %), la manie (22 %) et les épisodes psychotiques (11 %)
Corticoïdes et complications neuropsychiatriques : Les données concernant plusieurs centaines de milliers de consultants en médecine générale britannique ont été analysées sur 10 ans. Il en ressort que la prescription de corticoïdes est significativement associée à davantage de complications neuropsychiatriques (en comparaison à des patients traités autrement pour la même pathologie).
Événements indésirables anesthésie - peuvent-ils être évités ? : Karen Kieve, agée de 26 ans, fille du fondateur de 'avril' a glissé dans la paranoïa post-opératoire, exactement sept jours après avoir reçu un cocktail de médicaments, y compris des stéroïdes, avant, pendant et après l'anesthésie pour une chirurgie au cours de l'extraction des dents de sagesse incluses.
effets secondaires psychiatriques : Nervosité et l'insomnie sont des effets indésirables très fréquentes survenant lors de la prise des médicaments stimulants.
ritaline : danger
La Ritaline est une drogue et conditionne les enfants qui en absorbent à se droguer leur vie durant. : Le méthylphénidate (Ritaline), stimulant du système nerveux central est pharmacologiquement proche des amphétamines, a de graves effets secondaires (insomnie, dépendance, dépression…) qui incitent à prendre de nouveaux traitements tels les somnifères. Les effets secondaires peuvent aller jusqu’à des phénomènes d’accoutumance. Ils provoquent parfois des lésions graves, notamment des accidents cardiaques, ou bien aboutissent à des automutilations, des décès, des tentatives de suicide et des passages à l’acte suicidaire.
*Le sevrage de la Ritaline peut provoquer des souffrances psychiques telles des dépressions, de l'épuisement, ou des tendances suicidaires.
RITALINE - la dissimulation des suicides : LE TRAITEMENT AVEC RITALINE A CAUSÉ DES SUICIDES ET DES TENTATIVES DE SUICIDE PARMI LES ENFANTS."21 CAS DES TENTATIVES DE SUICIDE ET 6 SUICIDES "- L' AGENCE DU MÉDICAMENT SUÉDOIS A , MALGRÉ TOUT, APPROUVÉ LA VENTE DE RITALINE EN SUÉDE.
NEUROLEPTIQUES : Les effets secondaires incluent des symptômes parkinsoniens pour lesquels plus de médicaments sont prescrits qui peuvent causer (traitement induite) maladie iatrogène grave. Chez les personnes qui ne sont pas psychotique, ils peuvent en effet déclencheur psychose. Gain de poids grave, le diabète et les problèmes cardiaques peuvent également avoir des effets secondaires. Des bilans réguliers pour des signes d'effets indésirables doivent être effectuées. Ils ne sont pas «guérir» quoi que ce soit, mais changer la façon dont fonctionne l'esprit. Joanna Moncrieff de écrit un livre intitulé : Le mythe de la Cure chimique
NEUROLEPTIQUES : DANGER
Les traitements neuroleptiques sont fortement suspects de produire des crises psychotiques soit par syndrome de sevrage, soit par toxicité directe.
Autrement dit le médicament supposé soigner la folie rend fou. Joanna Moncrieff a eu le courage de le montrer pour la clozapine dans cette étude
Crise de folie meurtrière : ces antipsychotiques dangereux et insufisament controlés
Si la fusillade de Newtown a relancé le débat sur les armes à feu, elle a aussi soulevé le problème des antipsychotiques. Le meurtrier, Adam Lanza, était sous Fanapt, un médicament controversé aux effets secondaires particulièrement lourds : agressivité, paranoïa, délire ou encore crises de panique....
En effet, le Fanapt, drogue acceptée par la Food and Drug administration (FDA) depuis 2009 était très controversée bien avant le drame de Sandy Hook. Au-delà des effets secondaires de type cardiaque, les effets indésirables signalés avec le médicament du jeune Adam étaient l’agitation et l’agressivité. Les accès maniaques ou de paranoïa avaient été rapportés ainsi que des désordres compulsifs, des impulsions incontrôlables et des dépressions profondes
Oui, vous avez bien lu : la violence éclate suite au diagnostic, de personnes sans antécédents de violence.
Les neuroleptiques peuvent être une cause de violence en raison de la perturbation des neurotransmetteurs. La violence doit être considérée non seulement comme une indication de la façon dont profondément la schizophrénie / troubles bipolaires peut s'aggraver, mais comme un effet indésirable du traitement neuroleptique. Les gens qui sont métaboliseurs inefficaces sont susceptibles de subir des effets indésirables plus graves et devenir violent ou agressif. (Les neuroleptiques sont métabolisés par les enzymes du CYP450 1A2 egCYP450, 2D6 et 2C19. Un seul neuroleptique peut nécessiter une combinaison des enzymes du CYP450 pour métabolisation.)
Les vaccins tuent les vieux
Cette étude parue il y a près de 10 ans démontre que le prétendu bien-fondé de la vaccination antigrippale pour les personnes âgées est un mensonge éhonté. Aux Etats-Unis, la couverture vaccinale chez les plus de 65 ans est passée de 15-20% avant les années 1980 à 65% en 2001. On aurait donc du s’attendre à une diminution équivalente du nombre de décès liés à la grippe dans cette population. Eh bien, non, pas du tout. Non seulement cette inversion n’a jamais eu lieu mais c’est l’inverse qui s’est produit.
L'étude "a reçu peu d'attention", dit-elle,"parce que les résultats de la science sont tombés du mauvais côté." Alors que les chercheurs avaient entrepris de prouver que la vaccination massive contre la grippe allait sauver du monde. Les chercheurs ont été "étonnés" de constater que les données n'étayaient aucunement leur présupposition. Les données montrent en fait que le nombre de décès a augmenté, et non diminué, chez les personnes âgées après vaccination.
Selon le Président Donald Trump, le vaccin contre la grippe est la plus grande escroquerie de l’histoire médicale, créée par Big Pharma pour piquer de l’argent aux gens vulnérables et les rendre malades.
Là-aussi, la réponse est « NON ! ». En vieillissant, à cause de l’immunosénescence, le corps humain réagit moins bien et produit beaucoup moins d’anticorps. Le vaccin contre la grippe, déjà pas efficace chez des adultes en bonnes santé, est encore moins efficace chez des personnes âgées. Ce qui signifie qu’il ne doit pas rester grand-chose…
D’ailleurs, même le très officiel « Haut Conseil pour la Santé Publique » le reconnaît.
D’ailleurs, même le très officiel « Haut Conseil pour la Santé Publique » le reconnaît.
les chiffres annoncés de la mortalité saisonnière dus à la grippe sont bidonnés et totalement faux, mais qu’en plus aucune étude scientifique sérieuse n’a pu prouver une quelconque efficacité de ce vaccin
Les pouvoirs publics, à la botte des labos, nous font croire que des milliers de personnes décèdent chaque année suite à la grippe. En réalité, ces décès ne concernent, le plus souvent, que des personnes dont l’état général était déjà très délabré. Or s’ils meurent, c’est surtout en raison du coup fatal donné par le traitement protocolaire de la grippe. Et bing !… bon débarras – ce n’est qu’un improductif qui pompe dans les caisses de retraite, elles aussi agonisantes.
Notre ministre a-t-il aussi oublié qu’entre le 13 et le 27 février 2005, treize personnes âgées de 82 à 99 ans, toutes vaccinées contre la grippe, sont décédées dans une maison de retraite à Faulx, près de Nancy
Six personnes âgées parmi les treize décédées de la grippe depuis le 23 décembre dans une maison de retraite de Lyon étaient vaccinées.
De nombreux experts médicaux reconnaissent maintenant qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.
et avec la théophylline et vaccin BCG. Certaines de ces interactions sont encore non confirmées. Le mécanisme sous-jacent de l’interaction est considéré comme due à ce vaccin (comme un inducteur de l’interféron) inactivant le système P-450 du cytochrome hépatique
Tramadol inactivation est médiée par le cytochrome CYP3A4 et en pourcentage mineur par le cytochrome CYP2B6, 2,3 tandis que la formation de son principal métabolite actif (M1) a lieu par l' intermédiaire du cytochrome CYP2D6. Il a été démontré que le vaccin contre la grippe peut diminuer l'activité du cytochrome CYP3A4 et que cette diminution atteint son maximum 7 jours après la vaccination
Durant des années, beaucoup de complications sérieuses parmi les personnes âgées ont eu lieu suite à ces campagnes de vaccination anti-grippale, notamment des complications pulmonaires fatales. Mais ce n’est pas grave, bien au contraire c’est même excellent pour les caisses de retraite qui voient leur nombre de prestataires diminuer…
Ces complications ne sont malheureusement pas les seuls effets secondaires désastreux du vaccin, plusieurs études ont mis en lumière une augmentation de la maladie d’Alzheimer chez ceux qui sont régulièrement vaccinés contre la grippe. Les causes sont principalement dues aux vaccins qui contiennent des fragments d’ARN à double brin qui ont la particularité de bloquer une certaines familles de gènes et de neurones déjà fragilisés par les vaccinations successives.
Ces complications ne sont malheureusement pas les seuls effets secondaires désastreux du vaccin, plusieurs études ont mis en lumière une augmentation de la maladie d’Alzheimer chez ceux qui sont régulièrement vaccinés contre la grippe. Les causes sont principalement dues aux vaccins qui contiennent des fragments d’ARN à double brin qui ont la particularité de bloquer une certaines familles de gènes et de neurones déjà fragilisés par les vaccinations successives.
Comme chaque année il y a au moins plusieurs milliards de souches virales potentielles prêtes à anéantir l’humanité de cette planète, une étude à révéler que dans un mètre cube d’air, on trouve entre 1,5 et 40 millions de virus. Comment font les pros pour savoir laquelle de ces souches va être virulente cet hiver ? Ils font certainement appel à des médiums ou voyants car ils nous sortent un vaccin bien précis tous les ans…Moi je me pose une réelle question, pourquoi la recherche persiste-t-elle sur l’élaboration de vaccins (plus ou moins efficaces) plutôt que sur la maladie elle-même ?
Pourquoi le protocole de la médecine moderne concernant la grippe fait-il semblant de soigner cette maladie purement virale à grand coup de campagnes massives, couteuse et dangereuse de vaccination alors qu’une grippe est relativement facile à soigner ?
Pourquoi le protocole de la médecine moderne concernant la grippe fait-il semblant de soigner cette maladie purement virale à grand coup de campagnes massives, couteuse et dangereuse de vaccination alors qu’une grippe est relativement facile à soigner ?
"...les résultats jusqu'à présent obtenus démontrent sue l'offre annuelle d'une injection du vaccin dans une vaste industrie n'a pas entraîné une réduction significative de la maladie."
Le dernier rapport publié en 2013 par le Ministère de la Justice («Tribunal des Vaccins ») concernant les dédommagements, par les services de la Santé (Health & Human Services), des personnes dont la santé a été endommagée ou qui sont mortes à la suite de vaccinations, a été rendu public en décembre 2013. Ce rapport couvre la période du 16/08/2013 au 15/11/2013. Le rapport est disponible sous forme de Power Point: ICI.
139 plaintes ont été traitées au cours de cette période. Pour 70 d’entre elles, un dédommagement a été accordé. Ainsi, un peu plus de 50% des personnes qui avaient introduit une plainte pour dommages vaccinaux ont été indemnisées pour cette période.
Le plus grand pourcentage pour dommages indemnisés concernait le vaccin contre la grippe. Les dommages les plus fréquemment enregistrés étaient de type Guillain-Barré (SGB). Pourtant, ces faits dissimulés dans un fichier du ministère de la Santé et des Services Sociaux ne sont jamais rapportés dans les médias traditionnels. Nous allons donc les signaler ici. ...
Les indemnisations obtenues pour les dommages ou les décès provoqués par le vaccin contre la grippe sont supérieures aux indemnisations payées pour les onze autres vaccins. Pourtant, si l’on cherche à savoir quels sont les vaccins les plus vendus, on se rend compte que le vaccin contre la grippe arrive seulement en 5ème position après le Prevnar, le Gardasil, le PENTAct-Hib et l’Infanrix/Pediatrix.
raconte le Dr Blaylock. « Le vaccin est complètement inutile, et le gouvernement le sait, » dit-il. « Il y a trois raisons pour lesquelles le gouvernement dit que les personnes âgées devraient se faire vacciner contre la grippe : une pneumonie secondaire bactérienne, l’hospitalisation, et la mort. Pourtant, une étude menée par le groupe Cochrane a étudié des centaines de milliers de personnes et a trouvé que le vaccin offrait une protection nulle contre ces trois choses pour la population générale. Il n’a offert aux personnes en maison de retraite que peu d’immunité contre la grippe, au mieux un tiers, mais seulement s’ils avaient choisi le bon vaccin. »
contient 25000 fois plus de mercure que ce qui est légalement autorisé dans l’eau potable
qui travaille avec la FDA, est catégorique : "il n''existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu''il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre."
11 raisons pour lesquelles les vaccins contre la grippe sont plus dangereux qu’une grippe
La campagne de vaccination contre la grippe a été un véritable échec, cette année. Des données publiées hier révèlent que le Vaccintaux d’efficacité de la campagne de vaccination a été de 0% au Québec et ailleurs au Canada
Une nouvelle étude révolutionnaire publiée par des chercheurs de l’Institut de recherche Scripps (IRST) en Floride a déterminé que la façon dont les vaccins antigrippaux ont été produits depuis leur découverte, est fondamentalement défectueuse et que le résultat final rend ces vaccins inefficaces.
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Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique.
France : les pensionnaires des maisons de retraite sont des cobayes humains
80% des médicaments ne servent à rien et escroqueries médicales
professeur david Healy
professeur Peter C. Gøtzsche
professeur Turcotte fernand
professeur Peter C. Gøtzsche
docteur Robert Mendelsohn
Les médicaments sont inefficaces, souvent mortels et provoquent ce qu'ils sont censés traiter
Quelques livres
Dans cet ouvrage, en se basant sur les faits disponibles, l’auteur de Psychiatrie mortelle et déni organisé montre que la manière dont nous utilisons habituellement les médicaments psychiatriques inflige beaucoup plus de tort qu’elle ne fait du bien.
Le professeur et médecin Peter C. Gøtzsche établit que les médicaments psychiatriques tuent chaque année plus d’un demi-million de gens de 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ces médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer. Or, la consommation actuelle de psychotropes pourrait être réduite de 90 %, tout en améliorant la santé mentale et physique ainsi que la survie des patients.
Dans son livre, Gøtzsche soutient aussi que les chefs de la psychiatrie – souvent à la solde de l’industrie pharmaceutique – ont créé et promu de nombreux mythes pendant des décennies pour mieux cacher le fait que la psychiatrie biologique a été généralement un échec
Un rapport de l’ONU de 2002 sur les maltraitances subies par les personnes âgées dans le monde au cours des vingt dernières années confirme l’ampleur de ce phénomène, ainsi que le silence qui l’entoure. Un silence coupable, à tous les niveaux de la société – médecins et médias compris –, sur un problème qui prend des proportions d’épidémie avec l’accélération du vieillissement de la population. Un sinistre secret qui pourrait bien être le dernier tabou du XXIe siècle.
Trois ans d’enquête autour du monde auprès de gériatres et de professionnels de la santé, ainsi que de criminologues, d’avocats, d’anthropologues, de sociologues, d’économistes ont permis d’établir que la maltraitance des personnes âgées était universelle. Et que dans le contexte de la mondialisation, les impératifs économiques de leur prise en charge conduisaient à un génocide silencieux, industrialisé et instrumentalisé.
Deux ans d'enquête avec le soutien de l'AFPAP (Association française de protection et d'assistance aux personnées âgées) aboutissent au constat suivant : certaines personnes âgées meurent de façon prématurée en France (pays des droits de l'homme).
En cause, les incohérences de l'hospitalisation, la prise en charge aux urgences, les euthanasies, les maisons de retraite inadaptées, la justice complaisante...
Ce livre évènement (qui est aujourd'hui une référence) est consacré à la dénonciation des maltraitances à l'encontre des personnes âgées hébergées dans les hôpitaux et les maisons de retraite.
Deux ans d'enquête ont permis de mettre en lumière les dérives et les dysfonctionnements du système de prise en charge des personnes âgées en France.
De nombreux témoignages recueillis auprès des professionnels du secteur médico-social et auprès des personnes âgées ou de leur proches permettent de faire un état des lieux précis des situations dramatiques que vivent au quotidien de très nombreuses personnes âgées fragiles, victimes silencieuses.
Depuis plus de vingt-cinq ans, Jean-Charles Escribano est infirmier, au service des personnes âgées dépendantes. Sa compétence en organisation des soins est reconnue de tous; Un jour de 2000, il est recruté dans un nouvel établissement. Très vite, son travail devient un combat quotidien : obtenir qu’on respecte les pensionnaires en acte et en paroles ( que le personnel les vouvoie, tout simplement !), qu’on tienne leurs chambres propres et eux avec, qu’on veille à ce qu’ils mangent chaud. Hygiène insuffisante, personnel peu nombreux et mal formé, manque de place... Jean-Charles Escribano et quelques autres s’organisent, dénoncent les maltraitances graves, l’inhumanité quotidienne.
Depuis ces cinq dernières années, la presse se fait l'écho d'affaires douteuses impliquant des structures d'accueil pour personnes âgées. Mauvais traitements, soins inadaptés, arnaques financières, ouvertures frauduleuses... Face à l'opacité manifeste du système des maisons de retraite français, Jean-François Lacan mène l'enquête et lève le voile sur de nombreux scandales.
Vidéos et témoigange : maltraitance dans les EHPAD / maisons de retraite
Le déni quasi systèmatique conduisant au négationnisme des médecins et infirmiéres concernant les effets secondaires et les symptômes de sevrage
Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes prolongés de sevrage
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.
Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.
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