Alzheimer et maladies assimilées sur ordonnances

Principe de la médecine moderne

La démence et le délire induits par les médicaments sont communément attribués de manière erronée à une maladie médicale sous-jacente ou simplement à une «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins) ne savaient peut-être pas qu'en arrêtant ou en modifiant le dosage de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent Être restauré dans un état pré-médicinal de la fonction mentale.

"Alzheimer est une maladie causée par les médecins" à 20mn 24 "Alzheimer était pratiquement inexistant, avant 1940" à 17mn 30

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Alzheimer : le racket

Pourquoi le langage commun a-t-il adopté  le terme  Alzheimer, alors que la maladie  d'Alzheimer ne représente qu'une partie des  démences ?
Parce que la maladie d'Alzheimer survient généralement chez des adultes, âgés de 50 à 65 ans, donc considérés comme jeunes de nos jours
Les symptômes de la maladie d’Alzheimer (M.A.) débutent, en général, vers cinquante/soixante ans, ou plus tôt parfois. La détérioration des fonctions intellectuelles est plus massive et profonde que dans d’autres démences.
La démence sénile de type Alzheimer (DSTA) survient chez des personnes de plus de soixante-cinq ans. Dans la démence sénile de type Alzheimer, la détérioration des facultés intellectuelles – bien que très proche de celle de la maladie d’Alzheimer – est plus lente, évolue généralement par paliers sur une plus longue durée.
 
Dans une étude dans l'État de Washington, dans 46% des patients atteints d'une déficience mentale induite par un médicament, le problème a été causé par des tranquillisants mineurs ou des somnifères; Dans 14%, par des médicaments à haute pression sanguine; Et dans 11%, par des antipsychotiques.
 
elle fonctionne également comme caution pour maintenir dans l’impunité les effrayantes dérives de la prescription gériatrique, en posant à tour de bras des diagnostics d’Alzheimer chez des sujets qui sont simplement empoisonnés par la multiplicité des médicaments – pas tous psychotropes – qu’ils reçoivent au mépris des exigences les plus élémentaires du consentement et de la dignité
 
Bernard Begaud
 
20 milliards d'euros escroqués aux français, avec l'accord de la sécu, pour des médicaments Alzheimer inutiles mais souvent mortels,  : Petit rappel des faits. Le bénéfice de 4 médicaments proposés et de leurs génériques, dont la facture globale en vingt ans a coûté 20 milliards d’euros aux Français avait déjà été mis en doute en 2011 par la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais cette fois elle est catégorique. Selon son rapport du 21 octobre 2016 [1], elle recommande le déremboursement de ces médicaments qui concerne, à ce jour, 850 000 personnes.
 
Mais l’industrie du médicament a intérêt, objectivement, à ce qu’on regroupe tous les troubles cognitifs des sujets âgés sous l’étiquette de « Alzheimer ». Pourquoi? Parce que les associations de familles de patients atteints d’Alzheimer forment un lobby puissant, ce qui facilite l’expérimentation d’un médicament en permettant rapidement le recrutement de centaines de patients désireux d’aller mieux
 
« Le mythe de la maladie d’Alzheimer. Ce qu’on ne vous dit pas sur ce diagnostic tant redouté »
 
La réalité de la maladie d’Alzheimer est loin d’être solidement établie: en effet sa clinique en est extrêmement hétérogène et les lésions anatomopathologiques (plaques séniles et dégénérescence neurofibrillaire) décrites par Alzheimer en 1906 pour des cas précoces n’ont rien de spécifique puisqu’on en retrouve dans le cerveau de vieillards par ailleurs indemnes de déclin cognitif. Certains, cependant, ne manquent pas d’arguer que tous les vieux finiront un jour ou l’autre par décliner intellectuellement. Plus précisément: seront atteints de maladie d’Alzheimer. Ça reste à prouver. Mais si tous sont concernés, s’agit-il encore d’une maladie ?
 
 
Ce cri d’alerte puissant, après une étude épidémiologique, montre une association significative entre consommation de benzodiazé­pines et risque de démence de type Alzheimer : 30 000 cas supplémentaires chaque année sont attri­buables à l’effet de ces médicaments
Médicaments de synthèse mis en cause
  • les inhibiteurs calciques dans leur ensemble
  • les β bloquants
  • les neuroleptiques
  • les antidépresseurs imipraminiques
  • les statines (hypolipémiants : Tahor, Crestor)
  • les IPP (Inhibiteurs de la pompe à protons) dans les gastrites + RGO
  • la plupart des anticoagulants
  • les diurétiques
  • les biphosphonates (ostéoporose)
  • les additifs et colorants identifiables par la lettre E suivie d’un chiffre. Nombre d’entre eux consommés régulièrement (et parfois même intégrés aux médicaments : colorants) sont délétères pour la membrane cellulaire.
Savez-vous que le cholestérol protège de la démence ?
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
 
Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention.
 
LA VIEILLESSE N'EST PAS UNE MALADIE  - Alzheimer, un diagnostic bien commode
Rappelons qu’aujourd’hui, 850.000 personnes en France sont directement touchées par la maladie d’Alzheimer et 600 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque jour ! Des chiffres qui font froid dans le dos : plus 75% de cas de démence dans la population générale entre 2010 et 2030 et plus 200% chez les plus de 90 ans, la maladie d’Alzheimer représentant environ 60-70% de ces cas…
De tout temps, on a parlé de « sénilité »… « Oui c’est normal. M. X, il est vieux, il perd la boule, il n’a plus toute sa tête ». Mais aujourd’hui, avec l’augmentation de l’espérance de vie, notamment après 60 ans, notre vision des aînés atteints d’un déficit cognitif -lié tout simplement au vieillissement cérébral- a évolué… Et avec elle, le diagnostic de la maladie d’Alzheimer, qui s’est considérablement étendu !
Rappelons que la maladie d’Alzheimer (et autres pathologies apparentées) est une maladie évolutive qui affecte principalement les personnes âgées et certains jeunes seniors. Elle peut s’avérer particulièrement difficile à vivre tant pour le malade lui-même que ses proches.
« Poser l’étiquette « Alzheimer » sur une personne ne fait qu’exprimer l’horreur qu’inspire le vieillissement à une société qui se croit éternellement jeune. Et à en exclure une partie de la population », nous dit Alain Jean, médecin généraliste et gériatre hospitalier. Dans ce nouvel ouvrage, ce spécialiste s’interroge : « l’objectif de tout ce livre consiste, en effet, à s’interroger sur la réalité de la « maladie » d’Alzheimer. Et si, pour finir, elle n’existait pas ? Et si, pour aller à contre-courant de l’opinion moyenne, y compris médicale, les choses étaient loin d’être si solidement établies ? Comme on veut, à toute force, nous le faire croire ».
In fine, Alain Jean aborde un débat plus que d’actualité : à force de vouloir maîtriser à tout prix la vieillesse et la mort, n’est-ce pas la médecine qui perd la raison ?
 
Faute de solution médicale justement, ces maladies galopent effroyablement : 400 nouveaux cas d’Alzheimer sont diagnostiqués chaque jour en France (1 toutes les 3 mn), 40 pour le Parkinson. Un million de malades d’Alzheimer au dernier relevé, 150 000 malades de Parkinson. Première cause de dépendance.  Pas de traitement qui guérisse ces démences, juste des centres spécialisés (plus de 1 500 établissements avec une unité Alzheimer), mouroirs modernes où l’espérance de vie dépasse rarement les deux ans, où les patients assommés de médicaments cherchent désespérément la sortie pour rentrer à la maison…  Au final, le coût pour l’Assurance maladie atteint près de 10 milliards d’euros, soit 22 099 € par patient. 
1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas ! 
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…  Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).  En réalité, pour  l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.  Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques. 
4) Les médicaments font le lit de la maladie 
Si vous n’allez pas bien dans votre tête, que vous déprimez, dormez mal, vous tracassez pour un rien, êtes sujet à un stress chronique, on vous met vite en garde. On vous assène que la dépression est, au même titre que le tabagisme, l’un des grands facteurs de risque d’Alzheimer notamment. Un facteur qui interviendrait pour plus de 10%. Ce n’est pas faux, mais ce n’est pas complètement juste. Car on oublie d’ajouter que les médicaments délivrés à gogo pour traiter la déprime, l’anxiété, les troubles du sommeil présentent des effets bien plus délétères pour nos capacités cognitives et qu’une consommation quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neuro-dégénérative.  On oublie de nous dire que la famille des benzodiazépines nourrit un futur Alzheimer :  – une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 30 % !  – une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente les mêmes risques de 60 à 80 % !  Autre grande famille de médicaments dangereux pour le cerveau : les anticholinergiques. Cette autre famille comprend des antihistaminiques, des antidépresseurs, des somnifères, anxiolytiques et bien d’autres traitements. Les anticholinergiques sont aussi employés dans le traitement de l’incontinence par impériosité et dans le Parkinson…  Or les anticholinergiques peuvent eux aussi, à doses élevées et sur le long terme, accroître le risque de démence. Selon une vaste étude américaine publiée en janvier dernier, le risque de démence, dont Alzheimer, est clairement dose-dépendant par rapport à l’exposition cumulée aux anticholinergiques sur dix ans. Au terme de cette étude menée sur près de 3 500 personnes, un peu plus de 23 % des participants ont développé une démence et 80 % l’Alzheimer.  L’utilisation des anticholinergiques entraîne donc un risque accru de démence :  – de 19 % sur des traitements de 91 à 365 jours, – 23 % de 1 à 3 ans, – de 54 % sur plus de 3 ans.
 
Le 18 octobre 2011, se tenait à l’Assemblée nationale un premier rendez-vous intitulé « La santé environnementale au péril des lobbies et conflits d’intérêts »dans le cadre d’un cycle de quatre séminaires organisé par l’association Adéquations. Ce fut l’occasion de dénoncer la responsabilité des industriels et la passivité des pouvoirs publics dans l’explosion du nombre de maladies neurodégénératives. Bonne nouvelle : les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l’autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu’elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l’alimentation, l’air, l’eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu’au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons). Mauvaise nouvelle : les industriels de la chimie, de l’agro-alimentaire et du médicament, occultent ce constat qui est pourtant aujourd’hui bien démontré par les recherches en épidémiologie et en toxicologie. Les autorités politiques et sanitaires adoptent la même attitude. Notre société est tombée dans le piège de la marchandisation des maladies du cerveau et dans la paralysie de la prévention. Les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques sont un fabuleux marché qui garantit un exceptionnel retour sur investissement de 39% ! Maisons de retraite, assurances, compléments nutritionnels, bracelets électroniques et surtout les médicaments dont la liste ne cesse de s’allonger… sont autant de moyens de faire de l’argent. Ces nouvelles ont été apportées par Marie GROSMAN, biologiste, et Roger LENGLET, philosophe et journaliste d’investigation invités le 18 octobre par l’association Adéquations à présenter leur livre « Menace sur nos neurones : Alzheimer, Parkinson… et ceux qui en profitent » (Actes Sud, septembre 2011), lors d’un séminaire public organisé à l’Assemblée nationale. Les auteurs s’appuient sur des milliers de recherches internationales publiées et accessibles à tous. L’exposition aux molécules neurotoxiques, ont-ils expliqué, commence dès la vie in utero, occasionnant des problèmes de développement cérébral chez l’embryon et plus tard des syndromes d’hyperactivité, ou d’autisme, ou des processus neurodégénératifs que l’on va alors soigner à coup de nouvelles molécules elles-mêmes neurotoxiques. En effet les médicaments eux-mêmes sont souvent neurotoxiques : un quart d’entre eux sont officiellement répertoriés comme ayant des effets indésirables sur le cerveau. « Le nombre de malades augmente de façon vertigineuse », avertissent les auteurs. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994, on est passé à un million aujourd’hui et on s’attend à leur doublement tous les 20 ans. De même la France compte aujourd’hui entre 300 000 et 500 000 personnes autistes, 100 000 cas de Parkinson (avec une progression de 9 000 malades par an), et 80 000 cas de scléroses en plaque (2 000 nouveaux malades chaque année). Le déni de l’impact des produits neuro-toxiques est proprement « criminel » selon Roger LENGLET, qui a également dénoncé la passivité des pouvoirs publics, ainsi que la disparition des filières de formation en toxicologie en France. L’aluminium et le mercure Les auteurs ont insisté sur deux substances emblématiques, l’aluminium et le mercure. Malgré sa puissante neurotoxicité désormais avérée, l’aluminium est toujours présent dans l’eau du robinet de nombreux Français et reste le métal le plus utilisé dans l’alimentation industrielle en tant que colorant alimentaire (E 173). Quant au mercure, il est toujours employé par 80 % des dentistes dans les amalgames dentaires (les femmes enceintes et allaitantes le distillent donc en continu à leur bébé). La tolérance française vis-à-vis du mercure fait figure d’exception, rappelle Marie GROSMAN, de nombreux autres pays ayant déjà mis en place son interdiction ou s’apprêtant à le faire. La biologiste participera au troisième round de négociations du traité international de réduction du mercure sous l’égide de l’ONU, qui se tiendra du 31 octobre au 4 novembre 2011 à Nairobi (Kenya).
 
Gaia Health Blog, Heidi Stevenson, 30 octobre 2011
Tout d’abord, quelques faits :
Jusqu’à l’avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d’un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.
– Jusqu’à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.
>- En 2007, le nombre d’enfants handicapés mentaux était 35 fois plus élevé que le nombre de 1990.
– Jusqu’à ce que les gens soient drogués pour la schizophrénie, leur espérance de vie était identique à celle des autres. De nos jours, toute personne diagnostiquée peut s’attendre à voir son espérance de vie réduite de 25 ans. Cela signifie qu’un homme qui aurait pu espérer avoir une durée de vie typique, aujourd’hui de 78 ans en Zunie, est susceptible de vivre seulement 53 ans s’il est traité avec des antipsychotiques.
Ce sont des faits abasourdissants, mais ils sont tous fidèlement et minutieusement confirmés dans le brillant ouvrage de Robert Whitaker, Anatomy of an Epidemic [Anatomie d’une épidémie] (1), ainsi que dans plusieurs livres du docteur Peter Breggin. Ce problème me touche directement. Il m’a été difficile d’écrire sur ce sujet, car la personne atteinte n’est pas moi, mais quelqu’un bien-aimé, qui a été changé par Big Pharma, la psychiatrie et la médecine moderne.
Mais ce qui arrive aux gens doit être dit, surtout maintenant, pour nos enfants. Bien trop de vies sont totalement brisées par des traitements médicaux qui, à mon avis, peuvent être seulement qualifiés de malveillants.
Vérité sur les drogues psychiatriques
La psychiatrie s’est ingéniée à se faire passer pour une vraie médecine, à l’instar des autres professions médicales, comme la gastro-entérologie et la neurologie. Pour parvenir à cet objectif, la décision fut prise de soutenir que la maladie mentale a des causes physiques et est soignable avec des médicaments. L’American Psychiatric Association (APA), le National Institute for Mental Health (NIMH), et la National Alliance for the Mentally Ill (NAMI), s’associèrent avec Big Pharma pour convaincre le monde que le haut est en bas et que le noir est blanc.
En dépit du manque absolu de preuve, ils affirmèrent que les gens souffrent de problèmes mentaux parce qu’ils ont le cerveau malade – leur cerveau détraqué souffre de déséquilibres chimiques. Des années et des années de recherches, certaines brillantes, tentèrent de prouver que le cerveau des malades est à l’origine des troubles mentaux. Ils ne purent jamais le faire, mais ça ne fit aucune différence. Les études prouvant le contraire furent manipulées pour donner l’impression qu’elles montraient des différences physiques ou chimiques dans le cerveau des gens atteints de maladies mentales.
Ce n’était rien d’autre qu’un mensonge. Il n’y avait pas une once de vérité. Pas le moindre indice ne montrait que les gens avaient une anomalie cérébrale lors des premiers diagnostics de maladie mentale. Il importait peu que le diagnostic soit dépression, psychose maniacodépressive, schizophrénie, ou la foule de nouveaux diagnostics dont il fut fait étalage comme excuses pour prescrire des psychotropes. Seulement, à présent, il y a du vrai en cela. C’est la véritable tragédie du crime de la psychiatrie : Aujourd’hui, dès que les gens commencent à prendre des psychotropes, le mensonge initial devient vérité. Les drogues endommagent le cerveau, et tout indique que c’est permanent. Ces dommages cérébraux donnent d’authentiques troubles du cerveau, qui engendrent ces mêmes symptômes pour lesquels les drogues sont prescrites.
La psychiatrie est à l’origine de l’immense majorité des maladies mentales.
L’ampleur de cet holocauste iatrogène, médicalement induit, était quasi-inconcevable avant que Big Pharma et la psychiatrie ne décident de s’en prendre aux enfants. Aujourd’hui, nous ne savons pas encore exactement le degré de calamité cela atteindra. Si l’on considère les énormes dommages fait au cerveau adulte, que doit-il arriver au cerveau des enfants ? De combien sera réduite leur vie, après que sa qualité ait été quasiment détruite ?
Maniaco-dépression : Antidépresseurs et antipsychotiques
La psychose maniacodépressive est un excellent exemple des changements dans le cours naturel perçu de la maladie mentale. Il y a exactement 50 ans, avec à peine un cas sur cinq à vingt mille personnes, la psychose maniacodépressive était extrêmement rare. La plupart des victimes, vraisemblablement pas moins de 80%, connaissaient un seul incident et retournaient à la vie normale. Or, aujourd’hui, pas moins d’un individu sur 20 à 50 est diagnostiqué maniacodépressif, et, comme Whitaker le démontre clairement dans Anatomy of an Epidemic, la seule explication possible implique l’action des drogues données pour la dépression et la psychose. Le pronostic désormais avancé pour la psychose maniacodépressive, c’est qu’elle est permanente. Les psychiatres ne donnent généralement pas l’espoir d’y échapper ! Considérez que les enfants sont maintenant livrés à cette magouille de drogue mentale. De combien sera réduite leur vie, et dans quel état la passeront-ils ? Merci aux semblables du Dr Joseph Biederman, qui, selon Whitaker, « ont spécifié le cadre du diagnostic qui a rendu possible [le diagnostic des enfants atteints de psychose maniacodépressive]. » Nous avons un très grand nombre d’enfants diagnostiqués à tort, puis droguée avec les psychotropes les plus puissants et nocifs imaginables – et pire, avec des cocktails de ces drogues. Ces enfants deviennent inévitablement de plus en plus malades. Parfois à peine à l’âge de deux ans, à cause d’un diagnostic bidon, leur vie est brisée. Ils deviennent juste du fourrage pour l’industrie mercantile du gros business pharmaceutique et médical. La psychiatrie couvre bien sûr d’une manière retorse ce qu’elle fait à ces enfants. Ils changent simplement la description de l’évolution naturelle de la « maladie » qu’ils ont définie. Au lieu de reconnaître que la plupart des gens se rétablissent, ils disent à présent qu’il n’y a aucun espoir de guérison. Ils disent maintenant naturel ce qu’ils ont créé. Voilà le vrai terrorisme. Le système médical moderne a décidé que les gens qu’il est censé servir sont sans valeur, que leur but est de servir de pâture à l’insatiable machine à produire des bénéfices qu’il est devenu.Référence (1) Anatomy of an Epidemic, de Robert Whitaker, publication de Broadway Paperbacks, Crown Publishing Group, 2010, pp 172-204.
 
Un million de malades d’Alzheimer en France. Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention. Entretien
Basta ! : Quelle est l’ampleur des maladies qui assiègent nos cerveaux ?
Marie Grosman [1]  : Le nombre de malades d’Alzheimer et d’autisme augmente de façon vertigineuse dans de nombreux pays, surtout les plus développés. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et, si l’on ne fait rien, ce chiffre doublera tous les 20 ans. Le nombre de personnes souffrant d’autisme a été multiplié en France par 17 au cours des cinquante dernières années. On constate également une très forte progression des tumeurs cérébrales chez les enfants (20 % de plus en dix ans). La maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, qui concernent respectivement 100 000 et 80 000 personnes, sont aussi en progression. Cela devrait quand même inciter à agir sur les causes de ces maladies !
Roger Lenglet [2]  : Toutes les données citées dans notre livre sont démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses. Nous sommes face à une pandémie neurologique qui ne cesse d’empirer. Les autorités trouvent toujours une explication rassurante à donner. Elles répètent que ces maladies n’ont pas de causes connues, hormis le vieillissement de la population. Mais l’âge est une condition de la maladie et non une cause. La maladie se produit souvent en fin de vie car c’est le temps nécessaire à son expression. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de pathologies dont le temps de latence est important entre l’exposition aux toxiques et l’apparition des symptômes. Et de plus en plus de jeunes sont touchés par la maladie d’Alzheimer. Entre 30 000 et 50 000 personnes de 13 à 60 ans sont concernées.
Nous naissons et vivons aujourd’hui dans « un monde neurotoxique ». Est-ce, selon vous, la cause principale du développement des maladies neurodégénératives ?
R. L. : On a l’habitude de raisonner sur le mode « pasteurien » : un virus = une maladie. Dans un monde où les produits chimiques sont devenus omniprésents, leurs effets se combinent, et les maladies sont multifactorielles. Mais les principaux coupables sont connus. Grâce à une étude épidémiologique de 1995, par exemple, on sait qu’un taux de 100 microgrammes/l d’aluminium dans l’eau du robinet multiplie par deux ou trois le nombre de cas d’Alzheimer. C’est un facteur puissant qui peut déclencher la maladie. À cela s’ajoute la synergie entre les produits, comme le mercure et le plomb, par exemple, qui aggrave considérablement leur nocivité, comme tous les toxicologues le savent [3].
Les enfants sont-ils particulièrement touchés par les substances neurotoxiques ?
M. G. : L’exposition aux molécules neurotoxiques commence dès le début de la vie in utero. Dans le ventre maternel, la barrière placentaire qui protège le fœtus ne stoppe pas les neurotoxiques, qui ont tendance à s’accumuler dans son cerveau en développement. Mercure, plomb, cadmium, phtalates, pesticides et solvants font partie de cette farandole qui a des effets, notamment sur la thyroïde. Plus ces substances sont présentes dans le cordon ombilical, moins le fœtus dispose d’hormones thyroïdiennes. Cette faible quantité peut entraîner une altération irréversible du développement cérébral. On sait aussi que plus la mère porte d’amalgames dentaires [plombages], plus le taux de mercure dans le cerveau du bébé est élevé  [4]. Les mères d’enfants autistes ont été en moyenne davantage exposées au mercure dentaire pendant leur grossesse [5].
Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament.
Est-ce lié au fait que ces médicaments représentent un marché en pleine expansion ? 4,3 milliards de dollars en 2009 pour la seule prescription de médicaments pour Alzheimer…
M. G. : Effectivement, les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques constituent un fabuleux marché. Et garantissent un exceptionnel retour sur investissement : 39 % par an, selon André Syrota, directeur de l’Inserm. Pour les pandémies cardiovasculaires, le retour sur l’investissement serait de l’ordre de 37 %.
R. L. : On privatise la maladie en la réduisant à un produit financier outrageusement rentable. Ces médicaments assurent une sécurité sur les investissements totalement incroyable dans un monde en pleine instabilité financière. C’est une véritable marchandisation des pandémies.
Avec des situations de conflits d’intérêts ?
M. G. : L’association Formindep a fait éclater le scandale sur les conflits d’intérêts des experts de la Haute Autorité de santé (HAS), qui ont formulé les recommandations pour les médicaments anti-Alzheimer. Le médecin à la tête de la Commission transparence de la HAS était également rémunéré par des firmes pharmaceutiques, ce qui est interdit par le règlement. Avant même la sanction du Conseil d’État, la HAS a revu sa recommandation sur le sujet.
R. L. : Les acteurs économiques font un lobbying forcené pour maintenir le remboursement des médicaments. Cela signifierait sinon la fin de la prescription et d’un marché. Dans le cas de médicaments inefficaces et dangereux, le corps médical a toujours la même formule : « Le médicament permet d’intégrer dans les circuits de prise en charge les patients touchés. » Sans cela, on ne s’occuperait pas du patient ? Il existe pourtant une prise en charge non médicamenteuse et l’accompagnement nécessaire des malades.
D’où l’importance d’assurer l’indépendance de la pharmacovigilance ?
R. L. : Une vraie expertise du médicament est possible. La revue médicale indépendante Prescrire a prévu tous les scandales sanitaires de ces dernières décennies liés aux médicaments, grâce à ses contre-expertises. Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés.
M. G. : Nous avons besoin d’experts qui n’ont aucun conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques. On nous répond depuis vingt ans que « les meilleurs travaillent déjà pour des laboratoires » et que cela reviendrait à « se priver de leurs compétences » [6]. En attendant, le travail mené par le Réseau environnement santé, qui a abouti à l‘interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, montre toute l’importance de l’expertise citoyenne.
Qu’en est-il de la prévention ?
R. L. : Le fait le plus marquant est justement la quasi-inexistence d’actions de prévention, alors que les enjeux sanitaires sont considérables et que la plupart des causes sont connues. Faut-il attendre que la prévention devienne rentable pour la mettre en place ? Nous devons sortir d’une approche exclusivement thérapeutique. Et redévelopper la toxicologie, qui permet d’évaluer les effets des substances sur les organismes vivants et d’identifier les affections qu’elles peuvent entraîner. Les filières de formation à la toxicologie ont été fermées en France alors qu’il faudrait faire le contraire. Les toxicologues sont considérés comme des emmerdeurs qui viennent vous dire : « Le produit pour lequel vous avez un marché fait des morts. »
Comment expliquez-vous que les responsables politiques puissent négliger les causes de l’hécatombe ?
R. L. : Les relations de l’Élysée avec les laboratoires pharmaceutiques conditionnent totalement la politique de santé publique mise en œuvre en France. Le principal conseiller en santé de Nicolas Sarkozy est Arnold Munnich, un généticien dont l’équipe de recherche détient de multiples brevets. On demande aux chercheurs de se concentrer sur les prédispositions génétiques, alors que ça ne concerne pas plus de 3 % des maladies neurodégénératives. Un élément est frappant : le « pantouflage » intense entre les secteurs pharmaceutiques et chimiques, et les postes à responsabilité publique. Le gouvernement Sarkozy a réduit de 5 à 3 ans le délai minimum pour pouvoir rejoindre le secteur de l’industrie privée après avoir occupé un poste dans le secteur public. Le gouvernement est également à l’initiative de rapprochements entre recherche publique et industrie privée, qui permettent aux laboratoires pharmaceutiques de siphonner allègrement les crédits publics alloués à la recherche.
M. G. : Les spéculateurs se réjouissent de cette collusion avec l’industrie pharmaceutique. Et les assureurs privés se positionnent avec appétit sur ce marché : la poursuite de cette politique de l’autruche signifie la mort assurée de la Sécurité sociale et le partage de l’actuel régime obligatoire entre des assureurs privés.
Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?
R. L. : Ces procès auront forcément lieu. Pour le moment, les décideurs font barrage. Mais dès la reconnaissance officielle de la neurotoxicité des produits, en particulier celle des médicaments, une brèche va s’ouvrir pour les plaintes des malades. C’est ce qui s’est passé pour l’amiante : 300 000 procès ont été gagnés aux États-Unis, après la reconnaissance de la toxicité de celle-ci.
M. G. : Au niveau collectif, il faut se battre pour que les class actions [recours collectifs, ndlr] soient autorisées, afin de rééquilibrer le rapport de force entre les multinationales, dont les ripostes sont hallucinantes, et les citoyens. La France a envisagé de l’autoriser, sauf dans le domaine de la santé [7]. On en est à une situation où le tabac fait plus de 66 000 morts en France chaque année, et un seul plaignant a perdu. Aux États-Unis, ce sont des États entiers qui ont obligé les cigarettiers à passer des accords.
R. L. : Il y a également des moyens de prévenir l’exposition aux neurotoxiques de façon individuelle. Personne ne peut se protéger complètement, mais des actions sont possibles au niveau de l’alimentation, du jardinage, des téléphones mobiles et d’autres sources délétères pour le cerveau… On peut refuser de se faire poser des amalgames dentaires et exiger des céramiques ou des composites à base de résine. On a mené la révolution pasteurienne, la révolution toxicologique reste à faire. En santé publique, toute prise de conscience est forcément anxiogène. On doit mettre en pratique un nouvel « hygiénisme » qui corresponde à la réalité qui nous entoure. Tout en sachant que, sans action collective, la législation et les normes de protection resteront le fruit des pressions des industriels.
Propos recueillis par Sophie Chapelle
 
La maladie d’Alzheimer pourrait être responsable aux Etats-Unis de presque autant de décès que les pathologies cardio-vasculaires ou le cancer, contrairement à ce que laissent penser les statistiques, selon une étude publiée mercredi dans la revue Neurology
 
Mas la plupart des AVC sont iatrogènes !
 

France Inter vient de réaliser une émission d’une qualité exceptionnelle au sujet du racket de Big Pharma sous prétexte d’Alzheimer. Non seulement les 4 médicaments proposés sont inefficaces mais ils tuent, en outre la prétendue épidémie a été sur-majorée et l’on entend un leader d’opinion, coincé par la journaliste bredouiller avant de finir par dire que oui les médicaments sont inefficaces mais ils procurent de l’espoir. Ce sont donc bien des « placebos » mais qui coûtent une fortune

(Natural News) Un éminent chercheur au National Institutes of Health (NIH) national a été inculpé lundi pour violation criminelle des lois de conflits d'intérêts fédéraux en omettant de divulguer des liens financiers avec géant pharmaceutique Pfizer, selon l'accusation.

Pearson "Trey" Sunderland III, ancien chef de la Direction de la psychiatrie gériatrique du NIH, a été accusé d'un chef de méfait pour avoir accepté 285.000 dollars en frais de consultation non divulgués de Pfizer.
Sunderland - qui risque jusqu'à un an de prison et de 100.000 dollars d'amende - a renoncé à la procédure de mise en accusation devant un grand jury, ce qui indique qu'il peut consentir à une entente sur le plaidoyer.

Les procureurs ont inculpé Sunderland de ne pas avoir la liste des paiements de Pfizer, qui ont été faites entre 1997 et 2004. Au cours des études NIH avec Pfizer et une autre société en 1998 pour trouver des indicateurs de la maladie d'Alzheimer dans le gouvernement afourni des échantillons de liquide céphalo-rachidien, Sunderland auraitdécidé d'accepter 25.000 dollars par an en frais de consultation, ainsi que des frais 2500 $ pour assister à des réunions d'une journée avec l'entreprise.
Selon le document d'inculpation, Sunderland a fait un arrangement similaire à recevoir un montant additionnel de $ 25.000 par an à partir de Pfizer au cours d'une autre étude de deux «biomarqueurs» supposées identifier la maladie d'Alzheimer chez les patients.
Bien que l'avocat Robert F. Muse de Sunderland a dit qu'il n'avait pas de commentaire sur l'affaire, il avait déjà dit Sunderland n'a pas tenté de dissimuler son travail à l'extérieur, et il a un certain nombre d'autres chercheurs du NIH a vu formes d'information financière comme une «nuisance bureaucratique».
Nouvelles de la prétendue absence de divulgation de Sunderland a déclenché une sonde de manquements à l'éthique par des chercheurs du NIH . Enquêteurs du Congrès ont découvert 44 chercheurs du NIH qui avaient accepté de l'argent non divulgué de sociétés pharmaceutiques et de biotechnologie.

Dernier Août - un an après finances latentes de Sunderland ont été découverts - le NIH a adopté de nouvelles réglementations interdisant employés de travailler pour ou détenir des actions dans des sociétés pharmaceutiques ou de biotechnologie.

Selon Consumer Health défenseur Mike Adams, auteur de " Take Back Your Power de la Santé, «les conflits d'intérêt, comme Sunderland de sont monnaie courante dans les agences gouvernementales, telles que la FDA, où les décideurs et les experts - en particulier ceux chargés de l'approbation des thérapies médicamenteuses - ont souvent tenus secrets financiers conflits.
"Drug Company argent a infecté et corrompu tous les services liés à la santé du gouvernement américain", a déclaré Adams. "De services de réglementation comme la FDA aux organismes de recherche comme le NIH, les compagnies pharmaceutiques ont utilisé la corruption pour acheter l'influence dont ils ont besoin pour maximiser les profits.
«La poursuite d'un chercheur du NIH n'est que la pointe de l'iceberg», at-il dit.
Sunderland a invoqué son cinquième amendement droit la protection contre l'auto-incrimination, quand il a été appelé à témoigner devant unsous-comité de la Chambre en Juin. Sa première audition sur la nouvelle charge est prévue pour le vendredi8 décembre aux Etats-Unis Cour de District de Baltimore.

Les médicaments anticholinergiques : symptômes d’Alzheimer sur ordonnances

Anticholinergiques danger 1
 
anti-cholinergiques
neurotoxiques
 
Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l'activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d'handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments - qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d'ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d'incontinence - et le risque de décès.L'étude biennale de l'incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil " Recherche " (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d'étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l'enquête de l'anticholinergics apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d'Anticholinergics le cerveau en bloquant l'acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont l'activité anticolinergic. D'Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.

Les effets anticholinergiques confondus avec les premiers signes de démence
Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
 
...Ces effets étaient jusqu'à présent considérés comme réversibles à l'arrêt du traitement. Cependant une étude publiée ce 26 janvier 2015 dans la revue scientifique américaine " JAMA Internal Medicine " et menée par une équipe l'Université de l'Etat de Washington à Seattle (Etats-Unis) *, vient de conclure que ce n'est pas toujours le cas et que la consommation prolongée par des patients âgés de certains de ces médicaments anticholinergiques, les antidépresseurs tricycliques, les anti-histaminiques de 1ère génération , et anti-muscariniques, pouvaient être associée à un risque de démence irréversible
L'étude a porté sur 3 434 patients âgés de plus de 65 ans, qui ont consommé ces médicaments pendant 10 ans, et dont aucun ne souffrait de démence au début de l'étude. Les chercheurs ont constaté que 23,2 % avaient développé des symptômes de démence, dont la Maladie d'Alzheimer chez 79,9% d'entre eux. L'origine médicamenteuse possible de cas démence irréversibles et de la Maladie d'Alzheimer chez les patients soumis pendant de longues périodes à ces médicaments semble ainsi établie.

Les médicaments Anticholinergiques pourraient augmenter le risque du handicap cognitif, mort dans des personnes plus âgées
Un effet secondaire de beaucoup de médicaments utilisés généralement semble augmenter les risques du handicap cognitif et de la mort dans des personnes plus âgées, selon la recherche neuve aboutie par l'Université d'East Anglia (UEA).
Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…

Liste de 82 médicaments anticholinergiques potentiellement risqués pour les aînés
Ces médicaments incluent des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquilisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des antihypertenseurs, des diurétiques, des antiashmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.

Score 1 (effet anticholinergique léger):

Alimemazine, Alprazolam , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone
Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine
Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole
Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol, Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine
Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
Score 2 (effet anticholinergique modéré):

Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride
Pimozide
Score 3 (effet anticholinergique sévère):

Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine
Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate
Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine
Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine
Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine
Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramine

Les agents anticholinergiques dans le viseur
C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
 
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).

Des médicaments qui provoquent un début d’Alzheimer
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).

Mes médicaments Anticholinergiques , y compris les antidépresseurs, liés à des problèmes ultérieurs cognitifs
Une nouvelle étude, publiée dans le JAMA Neurology, a constaté que les personnes âgées qui ont pris régulièrement des médicaments anticholinergiques, y compris certains médicaments contre le rhume ou les antidépresseurs, avaient des aptitudes cognitives les plus pauvres et les volumes inférieurs du cerveau. «Je ne serais certainement pas conseiller à mes grands - parents ou même mes parents de prendre ces médicaments à moins qu'ils doivent", a déclaré l' auteur principal de l'étude, le Dr Shannon Risacher, le magazine Time.
 
L'Artane est considéré comme l'ecstasy des pauvres. Consommé avec de l'alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l'individu au passage à l'acte.
 
La scopolamine fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en avril 2013)4. La scopolamine est utilisée pour lutter contre la maladie de Parkinson.
Actuellement, elle est utilisée dans le traitement symptomatique de certaines douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs, ainsi que dans la prévention du mal des transports, par son action sur
l’area postrema

La scopolamine est en général commercialisée sous forme de bromhydrate de scopolamine.
La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs muscariniques de l’acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique empêchant ainsi l’action du neurotransmetteur
 
Scopolamine / anticholinergique :En 2012, le magazine Vice avait consacré un reportage vidéo en Colombie sur cette drogue que le news magazine n’hésitait alors pas à qualifier de drogue la plus dangereuse du monde.
 
 

Benzodiazépines, somnifères, Alzheimer, AVC, morts : Bien pire que le médiator ! : NE JAMAIS STOPPER BRUTALEMENT !

Pour le psychiatre Patrick Lemoine, le lien entre la consommation excessive de somnifères et d’anxiolytiques et le risque de démence s’explique. En cause: une aggravation de l’apnée du sommeil. Il estime que certaines benzodiazépines devraient être retirées du marché.
Parce que, pour vous, ce lien entre consommation de benzodiazépines et entrée dans la démence est donc une évidence ?
Oui. Et je pense qu’il y a une explication, qui est liée à l’augmentation des arrêts respiratoires (en durée et en fréquence) que provoquent les benzodiazépines pendant le sommeil. Or, on sait parfaitement que ce syndrome d’apnée du sommeil aboutit à des tableaux démentiels.
En 1982, le gouvernement britannique apprenait que les benzodiazépines (dérivés du valium : Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan…) pouvaient provoquer des troubles neurologiques graves. 30 ans plus tard… les médecins continuent de distribuer les pilules comme des Smarties !
Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ?
Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer
Les politiques se doivent-ils de réagir ?
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.
Les médicaments désagrégateurs de cellules sont à mon avis très fortement impliqués dans ces problèmes : antibiotiques, anti-inflammatoires non-stéroidiens, traitements anti-cancer, etc…

L'abus de benzodiazépines augmenterait le risque de démence
"D'après nos analyses, l'exposition aux benzodiazépines des personnes âgées de plus de 65 ans est associée à un risque accru de démence"

Alzheimer : les benzodiazépines (somnifères) augmentent les risques
Une nouvelle étude confirme un lien entre l'utilisation à long terme des benzodiazépines et la maladie d'Alzheimer. Ces médicaments utilisés comme somnifères ou contre l'anxiété sont très souvent prescrits en France au-delà du délai recommandé.  Après avoir alerté les professionnels sur des prescriptions inadaptées, les autorités sanitaires envisagent une baisse du remboursement de ces produits
 
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Benzodiazépines, somnifères et symptômes d’Alzheimer

Les effets contraires chez les personnes âgées. Le système nerveux central des gens plus âgés est plus affecté par les effets dépressants des benzodiazépines que celui des personnes plus jeunes. Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amnésie, de l’ataxie (perte d’équilibre), des maux de cœur et de la pseudodémence (souvent attribué par erreur à la maladie d’Alzheimer) chez les personnes âgées et devraient être évités le plus possible. Ceci est du principalement au fait qu’elles métabolisent les médicaments d’une façon moins efficace que les personnes plus jeunes. L’effet de ces médicaments dure donc plus longtemps formant une accumulation résiduelle plus importante à l’utilisation régulière. Cependant, avec la même concentration sanguine, les effets dépressifs des benzodiazépines augmentent chez les gens âgés; possiblement parce qu’ils ont moins de cellules au cerveau et moins de capacités cérébrales à les régénérer que les personnes plus jeunes.
les benzodiazépines peuvent être liés à la démence sénile (démence, 1992; 3:232-8). Quiconque en doute le potentiel de benzodiazépines de mimer les effets de la démence sénile a seulement pour rappeler le cas de l’ancien chef Ernest Guinness Saunders, qui a récupéré de « Alzheimer » dès qu’il est sorti de son tranquillisants.

benzodiazépines : Attention, Ne JAMAIS stopper brusquement !!
Pour en savoir plus sur les benzodiazépines et somnifères

Benzodiazépines et risque de vieillissement cérébral problématique
Les benzodiazépines sont communément utilisées pour le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil. En outre, elles constituent les médicaments psychotropes les plus fréquemment administrés aux personnes âgées, avec souvent même une  utilisation à long terme. Les effets négatifs des benzodiazépines sur la mémoire sont bien documentés. Par contre, relativement peu d’études ont examiné, sur d’importants échantillons, si l’utilisation à long terme de benzodiazépines provoquait un déclin cognitif permanent ou était associée à un risque accru de vieillissement cérébral problématique (de « démence »).
Dans une étude menée à Taiwan, Wu et al. (2009) ont suivi pendant un minimum de 4 ans une cohorte de personnes âgées de 45 ans et plus. Le suivi se terminait à la fin de la période d’observation, ou quand les personnes quittaient l’étude, ou encore quand elles développaient une « démence ». Les personnes (n= 779 personnes ; âge moyen : 75.6 ans) qui ont, durant le suivi, développé une «  démence » ont été individuellement appariées à 6 personnes du même âge et genre qui n’avaient, elles, pas présenté de « démence ».
Les résultats montrent qu’une dose cumulée plus importante et une durée plus longue d’utilisation de benzodiazépines sont associées à un risque plus élevé de « démence ». En outre, les personnes « démentes » sont plus fréquemment des utilisatrices à long terme de benzodiazépines (utilisation pendant plus de 180 jours durant une période d’une année). Ces résultats se maintiennent après avoir contrôlé l’influence de possibles facteurs de co-morbidité (notamment cardiovasculaire et psychiatriques).

Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d’Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines.
  Au Québec, 80 % des personnes âgées consomment des benzodiazépines (Bzd)
 
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »

Les somnifères tuent 500 000 personnes par an
Une étude a été récemment publiée dans le British Medical Journal montre que seulement quatre des somnifères par an seront tripler votre risque de décès. Prendre 18 pilules par an permettra de quadrupler le risque de la mort !

Les pilules qui tuent
benzodiazépines, antidépresseurs....
Maladies et effets secondaires
 

Cholestérol, anti-cholestérol et Alzheimer

un apport en cholesterol élevé permet de réparer les cerveaux endommagés
une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s'avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d'un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l'apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer....
Les statines, hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d'Alzheimer

Les médicaments anticholestérol (statines) peuvent causer des problèmes de mémoire
Les étiquettes des médicaments anti-cholestérol de la classe des statines avertiront désormais de la possibilité de confusion et de perte de mémoire, a annoncé la Food and Drug Administration (FDA) américaine.

On ne compte pas les témoignages de gens (y compris sur ce blog) qui ont vu des parents ou des proches « guérir » de leur maladie d’Alzheimer dès lors qu’ils avaient arrêté leur statine …
 
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
 
Il a été membre du corps professoral dans trois départements d’une grande université avec un QI de 180. Au fil du temps, le professeur a perdu la capacité de reconnaître des personnes qu’il connaissait depuis des décennies et de lire plus d’une page de texte à la fois . Il répétait la même chose encore et encore, ne se rappelant pas qu’il l’avait déjà dit. Le diagnostic: la maladie d’Alzheimer rapidement progressive. Quand il est allé à sa 50e réunion de collège, il portait un signe autour de son cou avec son nom et la déclaration, j’ai la maladie d’Alzheimer . De vieux amis avaient besoin d’une explication pour expliquer pourquoi il ne pouvait pas reconnaître les gens qu’il connaissait depuis des décennies ou qu’il se répétait sans fin tout au long de la nuit.
Sa condition semblait désespérée quand il a demandé à entrer dans un essai clinique testant une nouvelle drogue d’Alzheimer à l’université de Duke.
Avant de commencer l’essai clinique, sa femme l’a enlevé de son médicament statine hypocholestérolémiant, la simvastatine. Au moment où il est arrivé à Duke, il n’était plus qualifié pour participer; il n’a pas eu la maladie d’Alzheimer, les médecins ont dit.
 
Toutes les statines utilisées aujourd'hui peuvent être associées à des effets secondaires cognitifs tels que l'amnésie, l'oubli, la confusion et la désorientation. Le mécanisme d'action semble être une réduction excessive de la biodisponibilité du cholestérol pour une bonne fonction cérébrale.
3) Nous avons récemment enlevé ma mère des statines parce qu'elle souffre de pertes de mémoire. Dix jours après l'avoir retirée de Statins, son médecin lui a envoyé un test de neuropsychographie et un scanner. Les résultats de CT sont toujours en attente. Le neuropsychologue a diagnostiqué la maladie d'Alzheimer et l'a renvoyée à son interniste pour commencer les inhibiteurs de la cholinestérase. Nous croyons qu'il s'agit d'un diagnostic prématuré, puisque sa perte de mémoire n'a pas progressé au-delà des stades initiaux observés il y a plus de deux ans et demi et qu'elle n'a été absente des Statins que dix jours après avoir été testée. Elle suit un traitement aux statines depuis neuf ans.
 
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Neuroleptiques, neuroleptiques-cachés (dont antidépresseurs) et maladie d’Alzheimer

Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
le lien de causalité entre les médicaments antipsychotiques et la maladie d’Alzheimer Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent sans drogue soins.  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.

Neuroleptiques
Les dangers de ces drogues très addictives mais inutiles

neuroleptiques cachés
dangers !

Alzheimer et vaccins

Combien de cas d'Alzheimer dus aux vaccins?
Si la vingtaine de souris sacrifiées de l’université de Colombie-Britannique pouvaient raconter les circonstances de leur mort, les gouvernements de la planète se retrouveraient avec un sacré procès sur les bras. Les recherches inédites menées par le neurologue de Vancouver Chris Shaw établissent un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer.
 
Maintenant, des preuves indiquent que les vaccins contre la grippe peuvent causer la maladie d’Alzheimer. Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg, spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin contre la grippe augmentent leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10. Il croit que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure dans le vaccin. En outre, le fait de le faire à une personne âgée (qui avec l’âge va naturellement avoir un système immunitaire plus faible) ne fera qu’augmenter ses chances d’avoir cette maladie.

Mercure et la maladie d'Alzheimer Un nombre croissant de preuves
Les données actuelles suggèrent fortement un rôle pour le mercure dans la pathogenèse de la maladie d'Alzheimer. Mercure a désormais été démontré d'inciter ou d'augmenter la production de tous les signes caractéristique de la maladie d'Alzheimer dont les enchevêtrements neurofibrillaires, les protéines tau, bêta-amyloïde et les plaques séniles. Tandis que pas la cause possible de la maladie d'Alzheimer, les éléments de preuve pour le mercure à tout le moins indique un besoin de précautions contre l'exposition au mercure. Par exemple, la première étude d'examen ci-dessous trouvé que 32 des 40 études test de mémoire chez les personnes exposées au mercure inorganique des déficits de mémoire importante. SafeMinds position, c'est que les personnes de tous âges doivent éviter l'exposition au mercure de toutes provenances, y compris les amalgames dentaires, poissons de haute-mercure, les émissions et les vaccins contenant du thimérosal.
 
maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer.
Les recherches inédites menées par le neurologue de Vancouver Chris Shaw établissent un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer
 
"Bonsoir mon mari qui a 74 ans a eu une 1ère dose avec Johnson puis une 2eme avec Moderna. Après cette 2eme injection environ 15jours à 3 semaines plus tard il a eu des troubles de la mémoire immédiate qui ne font que s’aggraver. Aujourd’hui on me dit qu’il a Alzheimer. Mon mari avait déjà des problèmes cardiaques avec un système veineux pas au top aussi je voulais savoir si d’autres personnes ou leurs proches se trouvaient dans cette même situation. Merci pour les réponses que vous pourrez m’apporter"
 

Le role de l'aluminium et des dérivés du fluor (dérivé de l'alu) dans les symptômes de la maladie d’Alzheimer

au moins 300 médicaments contiennent du fluorure
victan (benzodiazépine), haldol (neuroleptique), antibiotique fluoroquinolone, médiator (benfluorex), lariam (antipaludéen, méfloquine), droleptan (neuroleptique), dipiperon (neuroleptique), rohypnol (benzodiazépine), prozac (fluoxétine)…
 

il leur a semblé que le fluorure et l’aluminium pourraient causer l’Alzheimer.

fluor et médicaments fluorés
les dangers, les maladies

Aluminium, Alzheimer

Mais, si des fortes doses provoquent des encéphalopathies aluminiques, de récentes études neurobiologiques laissent à penser que certaines maladies du cerveau de type Alzheimer seraient au moins favorisées par l’ingestion chronique de petites doses d’aluminium. 
Or l’Aluminium est omniprésent dans notre vie quotidienne de la forme la plus inoffensive et normale, à la plus sournoise et dangereuse (on en trouve dans certaines protheses dentaires notamment), dans les traitements de l’eau du robinet, dans ceux des produits alimentaires, mais aussi ceux des produits d’hygiène, sans oublier les produits médicamenteux les plus courants (contre les maux d’estomac, les maux de tete), etc..  et même dans le filtre de la derniere cigarette ...

Pour vous aider à vous protéger, voici la liste de la plupart des médicaments à base de fluor, classés en fonction de leur usage typique. La liste fournit les noms génériques. Laissez le pointeur planer un instant sur les termes soulignés précédés d’un point pour connaître les noms sous lesquels le médicament est vendu. Si le médicament a été retiré du marché, l'année de retrait est entre parenthèses.
Médicaments contenant du fluor :
Anesthésiques
  • Desflurane
  • Droperidol
  • Enflurane
  • Flumazenil
  • Halophane
  • Isoflurane
  • Methoxyflurane
  • Midazolam
  • Sevoflurane

Antiacides

  • Lansoprazole
  • Cisapride (2000)

Anti-anxiété

  • Flurazapam
  • Halazepam
  • Hydroflumethiazide

Antibiotiques (Fluoroquinolones)

  • Ciprofloxacin
  • Penetrex
  • Flucloxacillin
  • Gatifloxacin
  • Gemifloxacin mesylate
  • Grepafloxacin HCI
  • Levofloxacin
  • Linezolid
  • Lomefloxacin
  • Moxifloxacin HCl
  • Norfloxacin
  • Sparfloxacin
  • Temafloxacin (1992)
  • Trovafloxacin mesylate
Antidépresseurs
  • Citalopram
  • Escitalopram
  • Prozac
  • Luvox
  • Paroxetine
  • Progabide

Antifongiques

  • Fluconazole
  • Flucytosine/Voriconazole

Antihistaminiques

  • Astemizole
  • Levocabastine (1999)

Hypolipidémiant (abaisseurs du Cholestérol)

  • Atorvastatin
  • Cerivastatin sodium (2003)
  • Ezetimibe
  • Fluvastatin sodium

Antimalarial

  • Halofantrine
  • Mefloquine

Antimétabolites (Chimothérapie)

  • Aprepitant
  • Fluorouracil

Coupe-faim

  • Dexfenfluramine (1997)
  • Fenfluramine HCl (1997)
  • Fenfluramine/Phentermine(1997)
Antipsychotiques
  • Fluphenazine HCI
  • Haloperidol
  • Trifluoperazine HCI

polyarthrite rhumatoïde

  • Celecoxib
  • Diflunisal
  • Flurbiprofen
  • Leflunomide
  • Sulindac

Stéroïdes

  • Amcinonide
  • Betamethosone diproprionate
  • Clobetasol
  • Clocortolone
  • Dexamethasone
  • Diflorasone
  • Dutasteride
  • Flumethasone Pivalate
  • Flunisolide
  • Fluocinolone Acetonide
  • Fluocinonide
  • Fluorometholone
  • Fluticasone propionate
  • Flurandrenolide
  • Hydroflumethiazide

 

Bêta-bloquants, antihypertenseurs et Alzheimer (démence) sur ordonnances : des drogues psychiatriques cachées

 
grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) : 14% sont induit par les médicaments contre une pression artérielle élevée
 
Dépression et idées suicidaires induites par les médicaments
 
L’hypertension inférieure à 160/100 ne devrait pas être traitée par médicaments selon le BMJ
Des études suggèrent que plus de la moitié des gens ayant une hypertension légère sont traités par médicaments même s’il n’est pas démontré qu’ils réduisent la mortalité ou le risque de développer certaines maladies dans ce cas, soulignent Stephen A. Martin de l’Université du Massachusetts et ses collègues.

Le propranolol peut causer la perte de mémoire
La dépression psychiatrique est associé avec des bêta-bloquants, en particulier les plus lipophiles, les bêta-bloquants non sélectifs, comme le propranolol

Les antidépresseurs provoquent la maladie d'Alzheimer

Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Des décennies de recherches ont montré que l’atteinte du métabolisme de la sérotonine  produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif.

Témoignage
En seulement une semaine sous Prozac, Frank a reçu un diagnostic de maladie d'Alzheimer à début rapide. L'établissement qui a établi le diagnostic a fait savoir à la famille qu'il souhaitait l'interner dans un établissement de longue durée.

Mes médicaments Anticholinergiques , y compris les antidépresseurs, liés à des problèmes ultérieurs cognitifs
Une nouvelle étude, publiée dans le JAMA Neurology, a constaté que les personnes âgées qui ont pris régulièrement des médicaments anticholinergiques, y compris certains médicaments contre le rhume ou les antidépresseurs, avaient des aptitudes cognitives les plus pauvres et les volumes inférieurs du cerveau. «Je ne serais certainement pas conseiller à mes grands - parents ou même mes parents de prendre ces médicaments à moins qu'ils doivent", a déclaré l' auteur principal de l'étude, le Dr Shannon Risacher, le magazine Time

Alzheimer et perte de mémoire induit par un antidépresseur : Depuis longtemps, la maladie d'Alzheimer est connue pour être un état de sérotonine élevée, ne devrait on pas, également, s'attendre à une sérotonine élevée produite par un médicament sérotoninergique pour produire la même substance ?

 

"Les antidépresseurs provoquent la fibromyalgie, la psychose, la manie, Alzheimer, suicide, violence, dépression, anxiété, panique, l'alcoolisme, les meurtres, les meurtres de masse, avortement spontané..... " dr Ann Blake-Tracy

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IPP, Inexium… , et bloqueurs de testostérone

Inexium , IPP , risque accru de démence : Les IPP – surtout quand ils sont prescrits au long cours – sont décidément dans le collimateur. Après les avoir soupçonnés d’augmenterle risque d’ostéoporose, celuid’infarctus du myocarde et, tout récemment, le risque infectieux et celui de maladie rénale, les voici désormais sur la sellette quant au risque de démence chez les sujets âgés. Dans une large analyse pharmaco-épidémiologique fondée sur les bases de données de l’assurance maladie AOK (1/3 de la population d’Allemagne), une équipe germanique a établi un lien entre IPP et risque de démence. Il s’agit en fait d’une confirmation puisqu’à l’occasion d’une précédente grande étude de cohorte prospective, longitudinale et multicentrique, ces mêmes chercheurs avaient détecté une association significative. Moins précise que ce premier travail qui s’était intéressé de façon très détaillée aux dossiers médicaux de 73.679 sujets de plus de 75 ans hébergée en maison de retraite, allant jusqu’à investiguer la présence de l’apoliprotéine E4 (Apo E4), cette nouvelle étude pharmaco-épidémiologique a, en revanche, l’avantage de la taille puisqu’elle a inclus un large panel de personnes – 73.679 sujets de plus de 75 ans – pour pouvoir valider le signal.

Alzheimer :les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) pourraient être responsables : Des chercheurs allemands ont constaté que les personnes âgées de plus de 75 ans et qui prennent régulièrement ces médicaments ont 44% plus de risque de développer la maladie d’alzheimer.

lansoprazole / Effets indésirables psychiatriques : Étourdissements, des vertiges, confusion, vision floue, hallucinations, sensation de malaise, de la fatigue, de la fatigue, de brûlure ou de picotement sentiment, démangeaisons, la rétention d’eau, la dépression agitation, amnésie, anxiété, dépression baisse de la libido Comme avec d’autres médicaments réduisant l’acide, les hommes prenant lansoprazole peuvent occasionnellement avoir un gonflement du sein temporaire ou l’impuissance.

IPP / Brûlures gastriques: des médicaments pas si innocents / RTS

Le traitement du cancer de la prostate peut doubler le risque de maladie d'Alzheimer
Une analyse à grande échelle des dossiers médicaux a indiqué que les hommes subissant la thérapie de privation d'androgène pour le traitement de cancer de la prostate peuvent être presque deux fois le risque de développer par la suite la maladie d'Alzheimer, et que la probabilité accrue de la maladie est proportionnelle à la durée d'ADT.

La maladie d'Alzheimer peut constituer un risque pour les patients âgés atteints de cancer de la prostate et recevant un traitement bloquant les hormones, selon une vaste analyse financée par le gouvernement américain.

Aspartame et symptômes d’Alzheimer

L’aspartame provoque des symptômes semblables aux maladies suivantes, ou bien les aggrave:
Fibromyalgie , Arthrite , Sclérose en plaques , Maladie de Parkinson , Lupus , Sensibilité multiple aux produits chimiques, Diabètes et, complications diabétiques , Épilepsie , Maladie d’Alzheimer, Malformations congénitales , Syndrome de fatigue chronique, Lymphome (tumeur maligne du tissu lympoide), Maladie de Lyme (normalement causée par un minuscule parasite), Troubles liés au manque d’attention , Troubles de panique , Dépression et autres troubles psychologiques
 
corinne Gouget
 
Cela vaut pour tous les domaines de la médecine et de la santé publique. Il ressort d'une liste partielle des réactions: maux de tête; vertiges; dépression; convulsions; troubles de la vision; l'aggravation du diabète sucré et de ses complications; hypoglycémie; allergies multiples (y compris double sensibilité au MSG); la dépendance de l'aspartame; fatigue chronique; troubles de l'alimentation; problèmes pédiatriques. Les nombreux diagnostics erronés comprennent l'arthrite, le lupus, la sclérose en plaques et la maladie d'Alzheimer.
 

« métaux lourds » et symptômes de la maladie d’Alzheimer

malaide d’alzheimer et métaux lourds
Il existe donc une forte probabilité pour que le mércure des amalgame dentaire soit un facteur étiologique majeur de la malaidie d’alzheimer (et des autres patologies neurodégénératives). Ce qui ne signifie pas que d’autre facteurs environnementaux ne pouisse être incriminés, la maldie d’alzheimer étant une maladie multifactoriel

Effets toxiques du mercure et du mercure organique et affections neurologiques
Le Dr. Haley présentera des données appuyant l’hypothèse selon laquelle le mercure et d’autres substances toxiques sont à la source de la maladie d’Alzheimer, de l’autisme et d’autres affections neurologiques. Les recherches montrent que le mercure pourrait être la cause de bon nombre d’anomalies biochimiques retrouvées dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Les expériences faites sur des animaux ont permis de révéler que les vapeurs de mercure provoquent ces mêmes anomalies. Le thimérosal, un agent de conservation qui contient de l’éthylmercure, est utilisé dans les vaccins et sa neurotoxicité est supérieure à celle du mercure. Il serait donc l’un des principaux agents responsables de l’autisme.

La maladie d'Alzheimer n'est pas due à la fatalité
Les liens entre cette pathologie et mercure en bouche sont établis depuis presque vingt ans,mais on nous fait croire qu’il faut de l’argent pour la recherche, alors qu’il faudrait plutôt financer une autre politique dentaire et l'élimination des métaux lourds que ces patients ont accumulés dans leur organisme, en particulier dans le cerveau, au cours de leur existence
Métaux lourds qui proviennent le plus souvent des amalgames posés depuis l’enfance. Cette élimination n’est pas très compliquée et reviendrait tellement moins cher que de médiquer ces malades à outrance sur des durées moyennes de 10 ans … "Vérités sur les méladies émergentes" explique comment on peut stopper l’évolution de la maladie.
Mais le plus simple n’est-il pas tout simplement de bannir les amalgames une bonne fois pour toute comme on vient de le faire en Norvège ? On verrait ainsi diminuer de 80 % le nombre de ces malades qui font les choux gras des fabricants de médicaments à nos frais, car au bout du compte qui paie les cotisations à la sécurité sociale ?

* Les preuves scientifiques :

Amalgames dentaires et maladie d'Alzheimer : rapport d’ André PICOT, toxicochimiste, Président de l’Association Toxicologie Chimie de Paris et de Marie GROSMAN, agrégée de sciences de la vie et de la Terre

* Pour les médecins
Parution de plus en plus d’articles convaincants dans PUBMED ( qui répertotie les recherches médicales internationales, choisir PubMed dans le menu déroulant de « Search »)

Pesticides, insecticides, herbicides….

De récentes études épidémiologiques suggèrent que les pesticides pourraient contribuer au développement de maladies neurodégénératives, comme les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Au sein de la famille des pesticides, les insecticides sont souvent les plus incriminés pour leur caractère neurotoxique. Néanmoins, leurs mécanismes de neurotoxicité et leur impact en santé publique demeurent largement inexplorés. Parmi les molécules les plus étudiées, la roténone et le paraquat perturbent principalement la fonction bioénergétique mitochondriale, les équilibres redox, le métabolisme des espèces réactives oxygénées, et ils promeuvent l’agrégation de l’α-synucléine. Par ailleurs, de nouvelles études suggèrent un rôle important de la susceptibilité génétique, soit dans le cas de formes héréditaires rares de la maladie de Parkinson, soit de manière plus générale par le biais de polymorphismes des enzymes métabolisant les pesticides, comme cela a été récemment illustré pour les pesticides organophosphorés.
 
Depuis les années 1980, les enquêtes épidémiologiques ont évoqué l’implication des pesticides dans plusieurs pathologies chez des personnes exposées professionnellement à ces substances, en particulier des pathologies cancéreuses, des maladies neurologiques et des troubles de la reproduction. Ces enquêtes ont également attiré l’attention sur les effets éventuels d’une exposition même à faible intensité lors de périodes sensibles du développement (in utero et pendant l’enfance).
 
De nos jours, un enfant sur six aurait un handicap, touchant principalement le système nerveux. C’est du moins ce qu’estiment Philippe Grandjean et Philip Landrigan dans leur ar ticle qui dénombre 202 substances chimiques industr ielles présentes dans l’environnement, susceptibles d’être neurotoxiques et qui pourraient donc être à l’origine de ces NDD ( neurodevelopmental disorders ) [1-3]. Ces NDD vont du simple défaut d’attention à des troubles beaucoup plus graves : hyperactivité , THDA (trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention), diffi culté d’apprentissage, retard mental sévère, autisme.
 
La plupart des pesticides et 90% des insecticides sont des neurotoxiques
 
vidéo
 
L’Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) a jugé mardi que deux insecticides néonicotinoïdes -l’acétamipride et l’imidaclopride– pouvaient être neurotoxiques pour l’humain, et prôné une réduction des seuils actuels recommandés d’exposition.
 
Selon une etude menee en 2006 a Harvard, l’exposition aux pesticides augmente le risque de Parkinson de 70%.
 
chez des agriculteurs hommes utilisant des pesticides,  le risque de développer la maladie de parkinson était multiplié par 5.6 et celui de développer la maladie d’alzheimer multiplié par 2.4 par rapport à des groupes non exposés à des pesticides
 
Dès 2012, une étude toxicologique parue dans la revue PloS One a comparé les effets des pesticides sur les cellules nerveuses lorsque ces produits étaient pris séparément puis lorsqu’ils étaient associés. Résultat : la combinaison de trois fongicides courants, multiplie par vingt à trente les effets dommageables sur le système nerveux ! Des résultats qui donnent de sérieux indices pour comprendre l’augmentation des cas de maladies d’Alzheimer, de Parkinson et sclérose en plaque ces dix dernières années.
 
Des études scientifiques et des témoignages d’apiculteurs montrent que l’Imidaclopride (Gaucho) et le Fipronil (Régent) font courir un danger à la survie des abeilles et surtout, à la santé humaine !
 
Les pesticides organophosphorés agissent sur le système nerveux. Ils partagent tous le même mécanisme d’action principal qui consiste à bloquer la dégradation d’une substance, l’acétylcholine, au niveau des connections nerveuses. Ceci entraîne une accumulation de cette substance provoquant d’abord un effet stimulant, puis un effet inhibiteur sur la transmission de l’information par les cellules nerveuses. Les OP utilisés comme insecticides sont responsables d’une mortalité élevée par intoxication. Les effets aigus des organophosphorés lors de surdosages, intentionnels ou non, ou lors d’expositions massives sont bien connus et consistent en un dysfonctionnement du système nerveux. Les symptômes peuvent inclure la nausée, des vomissements, une faiblesse, une paralysie, une hypersalivation, un ralentissement du rythme cardiaque et des convulsions. L’empoisonnement peut être mortel par asphyxie due à la faiblesse des muscles respiratoires. L’intoxication chronique conduit à des atteintes neurologiques. Les pesticides organophosphorés peuvent entraîner une dégénérescence des nerfs périphériques. Des expositions chroniques à faibles doses ont été associées à des effets du comportement.
 
Les produits neurotoxiques
 
Les effets toxiques des produits chimiques, dont des pesticides et des solvants, sur le développement du cerveau du foetus et de petit enfant sont en général négligés alors qu’ils pourraient avoir induit des troubles neurologiques chez des millions d’enfants dans le monde, selon des spécialistes de santé publique. La toxicité de ces produits sur le cerveau du foetus intervient à des doses bien inférieures que pour l’adulte, notent-ils dans un article mis en ligne mercredi par la revue médicale britannique The Lancet.
 
Selon les données préliminaires de l’imagerie cérébrale recueillies chez de jeunes garçons et filles âgés de 6 à 11 ans, en effet, un pesticide organo-phosphoré très utilisé à travers le monde, le chlorpyriphos-éthyl (ou chlorpyrifos ou CPF), aurait un impact persistant sur la structure du cerveau des enfants qui, in utero, ont été exposés à des niveaux élevés de ce produit – parce que leur mère a, durant sa grossesse, inhalé cet insecticide, consommé des aliments pollués par celui-ci, voire été contaminée par l’absorption du produit à travers la peau. Le chlorpyriphos est présent dans de nombreux pesticides utilisés en agriculture, mais aussi dans des produits à usage domestique pour les pays qui n’en ont pas interdit l’usage.
 
«Pour ces quinze maladies, le lien est établi de manière forte. Et pourtant, une seule, Parkinson, est reconnue maladie professionnelle par la MSA [Mutualité sociale agricole, NDLR], note le médecin. En France, la première véritable étude date de2006. On a du retard à l’allumage. C’est une sorte de cécité sinon organisée, du moins tolérée.»

Médicaments Alzheimer / anticholinestérase : inutiles, dangereux et mortels

 

Aducanumab / Aduhelm : Watchdog exige la démission du chef de la FDA pour l’approbation «imprudente» du médicament Biogen Alzheimer

Dans une lettre (pdf) adressée au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Xavier Becerra, Public Citizen a écrit que la décision de la FDA de donner le feu vert à l’aducanumab – qui sera au prix de 56 000 $ par an – « se classe comme l’une des décisions les plus irresponsables et les plus flagrantes de la historique de l’agence. »

Les médicaments actuels contre cette maladie seraient inefficaces, selon notre Président de la République lui-même et la Haute Autorité de Santé. Cependant, cette dernière recommande de les maintenir pour leur « effet structurant » dans la prise en charge. Hélas, ces médicaments ont essentiellement des effets secondaires. Lors de l’émission « Sciences publiques » de France Culture, Bruno Toussaint, de la revue Prescrire, n’y va pas par quatre chemins : «Nous sommes ici très au-delà des limites acceptables. Ces médicaments ne sont pas des placebos. Ce sont des médicaments qui tuent. Certes ils ne tuent pas toujours et pas tout de suite, mais ce sont des médicaments qui tuent comme le montrent les quelques études qui ont comparé les conséquences, au-delà de six ou neuf mois, de la prise de ces médicaments à celle d’un placebo. » Le laboratoire Ely Lilly a lui-même reconnu que son futur médicament le Semagastat accélérait le déclin des patients atteints d’Alzheimer et comportait un risque accru de cancer de la peau, sur quoi il a arrêté les essais cliniques (signe des temps !).
 
Les traitements médicamenteux de la maladie d’Alzheimer sont inefficaces
Ces traitements ne doivent pas seulement être déremboursés ou remboursés à 15 %, ils doivent être simplement retirés du marché.

Les médicaments de la maladie d’Alzheimer disponibles en 2014 ont une efficacité minime et transitoire. Ils sont peu maniables en raison des effets indésirables disproportionnés et exposent à de nombreuses interactions. Aucun de ces médicaments n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance et ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels

médicaments alzheimer inutiles et dangereux
Aricept 23 : Découvrez pourquoi Public Citizen et un expert dans la maladie d’Alzheimer de Johns Hopkins ont demandé à la FDA à interdire la drogue l’a récemment approuvé la maladie d’Alzheimer, l’Aricept 23, sur le marché.
Rivastigmine transdermique (Exelon) Patch : Un autre problème a surgi avec ce médicament que nous avons énumérés en tant NE PAS utiliser pour un long moment. . Il ya un nombre croissant de personnes qui ont involontairement font une overdose à l’Exelon Patch, conduisant à des symptômes de toxicité décrite dans l’article. Nous avons également discuter des moyens d’éviter ce surdosage dangereux.
galantamine (Reminyl) : Il n’existe aucune preuve que ce médicament entraîne une amélioration fonctionnelle importante ou empêche la progression de la maladie, et de nouvelles preuves indiquent qu’il pourrait accroître le risque de décès.
La FDA, basée sur les preuves actuelles, ne devrait pas approuver florbetapir pour l’évaluation des patients suspects d’avoir la maladie d’Alzheimer.
 
20 milliards d'euros escroqués aux français, avec l'accord de la sécu, pour des médicaments Alzheimer inutiles mais souvent mortels,  : Petit rappel des faits. Le bénéfice de 4 médicaments proposés et de leurs génériques, dont la facture globale en vingt ans a coûté 20 milliards d’euros aux Français avait déjà été mis en doute en 2011 par la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais cette fois elle est catégorique. Selon son rapport du 21 octobre 2016 [1], elle recommande le déremboursement de ces médicaments qui concerne, à ce jour, 850 000 personnes.

Alzheimer : des médicaments inutiles, meurtiriers, mais remboursés
Depuis six ans, la revue «Prescrire» alerte sur l’inefficacité et les effets secondaires, parfois mortels, des spécialités pharmaceutiques autorisées (et remboursées) contre cette maladie. En vain

« Tous les essais cliniques ont démontré que les médicaments anti-Alzheimer n'amélioraient pas de façon significative l'état de santé des patients »
"Le donépézil a un effet modeste et transitoire (quelques mois) chez environ 10 % des patients", indiquait la revue Prescrire en 2008. "L'efficacité des 3 autres médicaments n'est pas meilleure. À long terme, un essai comparatif randomisé d'une durée de 3 ans a montré que le donépézil ne retardait ni l'entrée en institution ni la perte d'autonomie chez les malades atteints d'une forme légère à modérée de la maladie d'Alzheimer", résumait la revue."

liste des médicaments pour Alzheimer «inhibition de la cholinestérase»
Le donépézil (Aricept Aricept & ODT)
La galantamine (Razadyne & Razadyne ER)
Tacrine (Cognex)
La rivastigmine (Exelon Exelon Patch &)
un rapport au gouvernement britannique en 2009 indiquant que les médecins prescrivent chaque année outre-Manche des neuroleptiques à 180.000 patients atteints de démence, à l’origine de 1.620 AVC et 1.800 décès
 
Alzheimer
En France, près de 70% des 800 000 patients atteints par la maladie d’Alzheimer sont sous traitement spécifique (trois fois plus qu’au Royaume-Uni, où le rapport efficacité/coût de ces médicaments n’est pas reconnu). « Sur la forme, le guideline de la HAS est critiquable en ce sens que (…) les conclusions de l’argumentaire ne reflètent pas les données présentées dans le corps de texte de l’argumentaire », note le jeune médecin de 31 ans. « De plus, les propositions de la HAS ne font pas l’objet d’une graduation (recommandation de grade A, B ou C), ce qui empêche le lecteur d’identifier le niveau de preuve scientifique de chacune de ces propositions. Il n’y a, par ailleurs, aucun index bibliographique. Les preuves apportées ne sont donc pas vérifiables. Sur le fond, la HAS omet de parler des risques : troubles cardiaques et digestifs parfois sévères, mais également neurologiques (vertiges, tremblements, confusion, dépression…), sans compter de multiples interactions néfastes qui ont été rapportées avec d’autres molécules. « Les données de la science prouvent quant à elles une balance bénéfices-risques clairement défavorable pour ces médicaments. Deux études(4) de taille ont été oubliées (…). L’une comme l’autre étaient en défaveur du traitement médicamenteux. Pourquoi ces études n’ont-elles pas été abordées ? », questionne Louis-Adrien Delarue. La HAS ne livre pas d’analyse des coûts globaux de l’ensemble de ces traitements. Or un milliard d’euros ont été dépensés entre 2006 et 2009 selon les chiffres du SNIIR-AM(5) , soit une moyenne de 250 millions d’euros par an. Largement de quoi financer l’actuel plan Alzheimer 2008-2012 majoritairement consacré à la prise en charge de malades, et non aux médicaments. Sur les 17 membres du groupe de travail « Alzheimer » dont la déclaration publique d’intérêt est accessible (trois ont oublié cette obligation), neuf ont déclaré des liens d’intérêts et six d’entre eux ont des liens considérés comme « majeurs » selon les propres critères la HAS. Y compris, la présidente du groupe de travail, en tant que « conseiller scientifique » des quatre firmes concernées par les traitements de la maladie d’Alzheimer. Les règles élémentaires de gestion des conflits d’intérêts de la HAS sont donc clairement bafouées, puisque la HAS récuse, à la fonction de président du groupe de travail, tout professionnel ayant des liens majeurs avec les firmes pharmaceutiques concernées par les recommandations professionnelles.
 
Parmi les substances anticholinestérasiques, on retrouve :     
des médicaments utilisés  :        
dans la maladie d'Alzheimer : donépézil, galantamine, rivastigmine ;        
dans la myasthénie : néostigmine ;    
des pesticides (comme le malathion), insecticides organophosphorés, insecticides carbamates ;    
des gaz de combat neurotoxiques, comme le sarin et la substance VX, parmi d'autres ;    
dans une moindre mesure des psychotropes comme la caféine (anticholinésterase non-compétitif)1,2.
 
Arme chimique
Dès 1937, l’Allemagne exploite les propriétés neurotoxiques d’un insecticide organophosphoré, le tabun ; puis en 1939, le sarin ; et en 1944, le soman.
 
Les organophosphorés (OP) utilisés comme insecticides (IOP) sont responsables d’une mortalité élevée par intoxication. Par ailleurs, les neurotoxiques organophosphorés (NOP) sont les éléments essentiels de l’arsenal chimique militaire moderne pouvant être utilisés à des fins terroristes.
Les organophosphorés (OP) sont des toxiques létaux, à action systémique  prédominante, dont le mécanisme d'action principal est de bloquer la  dégradation  de l'acétylcholine au niveau des synapses cholinergiques par  inhibition irréversible des cholinestérases
 
On désigne sous le terme générique de neurotoxique les composés appartenant à la famille des agents organophosphorés. Ils sont dérivés des insecticides organophosphorés. Ils agissent à très faible dose en inhibant l’acétylcholinésterase, une enzyme qui intervient dans les mécanismes de la transmission nerveuse au niveau de synapses. Cela se traduit par une accumulation d’acétylcholine qui perturbe et interrompt la transmission de l’influx nerveux.
Ces agents sont tous très lipophiles et sont très rapidement absorbés par la peau, le tissu conjonctif oculaire et les muqueuses (principalement celles des voies respiratoires dans le cadre de la respiration). L’intoxication se fait donc par voie percutanée, oculaire, pulmonaire et orale.
Leur toxicité est bien plus importante que tous les autres toxiques. La dose létale du VX n’est que de 10 mg/min/m³. Par comparaison, la dose létale du chlore est de 19 000 mg/min/m³ et celle de l’Yperite de 1 500 mg/min/m³. Ils sont considérés comme des armes de destruction massive.
 
Le sarin est une substance volatile inodore et incolore contenant un agent neurotoxique appartenant à la famille des organophosphorés, des composés utilisés dans la fabrication des pesticides et de certains médicaments.
 
En octobre 2016, après des années d’atermoiements puis de controverses, la Haute autorité de santé (HAS) tranchait : elle estimait que le service médical rendu des quatre médicaments indiqués dans le traitement symptomatique de la maladie d’Alzheimer était « insuffisant ». Conclusion : inefficaces (et potentiellement dangereux) rien ne justifiait que leur prise en charge soit assurée via la solidarité nationale.
 
Le non déremboursement de médicaments inefficaces et dangereux n’est pas une nouveauté mondiale. C’est le lot. Notamment en cancérologie.
 
Dans ces zones rurales d’Asie, on estime à 500 000 le nombre de décès par suicide. Dans 60 % des cas, le moyen utilisé est l’absorption de pesticides. Ces empoisonnements ne sont pas bien pris en charge sur le plan médical et de 15 à 30 % des tentatives de suicide aux organophosphorés provoquent le décès.
 
Sanction terrible, sans appel : «insuffisant pour être pris en charge par la solidarité nationale». La Commission de la transparence, en charge de l’évaluation des médicaments au sein de la Haute Autorité de santé a rendu ce mercredi son avis : pour ces experts, les quatre médicaments (1) encore largement prescrits contre la maladie d’Alzheimer ne servent à rien
 
20 milliards d’euros escroqués aux français, avec l’accord de la sécu, pour des médicaments Alzheimer inutiles mais souvent mortels : Petit rappel des faits. Le bénéfice de 4 médicaments proposés et de leurs génériques, dont la facture globale en vingt ans a coûté 20 milliards d’euros aux Français avait déjà été mis en doute en 2011 par la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais cette fois elle est catégorique. Selon son rapport du 21 octobre 2016 [1], elle recommande le déremboursement de ces médicaments qui concerne, à ce jour, 850 000 personnes.
 

Médicaments Alzheimer :  la fausse piste

Les neuroleptiques tuent les malades d'Alzheimer, mais pas que....

 
Leurs effets secondaires sont redoutables (effets extra-pyramidaux pour ceux de première génération et syndrome métabolique pour ceux de deuxième génération). Utiles en période de crise (phase d’exaltation du trouble bipolaire par exemple), leur utilisation prolongée est dangereuse. Malheureusement, beaucoup de psychiatres ont pour habitude de prolonger le traitement de crise ad vitam aeternam, soi-disant à titre préventif. D’autres psychiatres incompétents nient toute spécificité au traitement du trouble bipolaire et traitent celui-ci comme une alternance de dépression (d’où les AD) et de bouffées délirantes (d’ou les neuroleptiques). Une « tradition » associe dans une mythique clinique de la psychose une utilisation généralisée et sans mesure des neuroleptiques (quelque soit le trouble mental) enveloppée dans un charabia psychanalytique soi-disant humaniste, parce qu’elle nie toute mesure d’efficacité au motif de l’unicité du sujet (sans rire malheureusement).
L’essai clinique anglais DART-AD en double aveugle (Clive Ballard et col. Ref.1) dont les résultats ont été publiés en février 2009 dans la revue Lancet Neurology sur des malades traités pour Alzeihmer montre des résultats terrifiants à moyen terme : le taux de survie à deux ans est de 46% (vs 71% pour le groupe placebo) et à 3 ans de 30% (vs 59% pour le groupe placebo). En d’autres termes, à deux ans, un tiers des malades sont morts à cause des neuroleptiques et à 3 ans la surmortalité est proche de la moitié.
 
démence : les neuroleptiques et antidépresseurs mis en cause
Deux études distinctes publiées dans deux revues médicales britanniques mettent en cause l'utilisation des neuroleptiques et des antidépresseurs pour traiter les patients atteints de démence, au moment où a lieu à Paris une conférence internationale sur la maladie d'Alzheimer.
 
La conclusion d’une étude de longue durée de The Lancet Neurology, montre qu’il y a une forte hausse des risques d’effets secondaires graves et de mort chez les patients recevant ces médicaments. En plus, ils accélèrent la détérioration mentale
 

pour 1,000 personnes traitées par neuroleptiques pour troubles du comportement pendant 12 semaines, on observe :91 à 200 patients seulement avec diminution des troubles du comportement 
10 décès supplémentaires
18 accidents vasculaires cérébraux dont la moitié sévère

58 à 94 patients avec des troubles de la marche

La conclusion d’une étude de longue durée de The Lancet Neurology, montre qu’il y a une forte hausse des risques d’effets secondaires graves et de mort chez les patients recevant ces médicaments. En plus, ils accélèrent la détérioration mentale
 
Après un an de traitement continu, le risque de mortalité était 42% plus élevé dans le groupe traité avec un antipsychotique. La différence entre les deux groupes augmentait dans les années suivantes:
 
Les médicaments utilisés pour traiter les psychoses, comme la schizophrénie, sont souvent utilisés chez les malades d'Alzheimer pour apaiser l'agitation et l'agressivité, qui peuvent être dangereuses pour les patients et leur entourage.
Entre 30 et 60% des patients déments placés en établissements de soins en Europe et en Amérique du Nord sont traités avec des médicaments antipsychotiques, selon The Lancet Neurology.
De précédentes études ont montré un petit bénéfice à court terme (6 à 12semaines) des traitements antipsychotiques sur les symptômes neuropsychiatriques de la maladie d'Alzheimer. Mais elles ont aussi mis en évidence des effets indésirables accrus.
L'étude de Clive Ballard (Centre Wolfson pour les maladies du vieillissement, King's College, Londres) a comparé entre 2001 et 2004 deux groupes de 64 patients Alzheimer, âgés de de 67 à 100 ans, résidanten institution au Royaume-Uni. L'un était traité par antipsychotiques (thioridazine, chlorpromazine, halopéridol, trifluorperazine ou rispéridone), l'autre recevait un placebo.
La survie à 12 mois était de 70% dans le groupe sous antipsychotiques contre 77% dans le groupe placebo. A deux ans, l'écart se creusait avec un taux de survie de 46% dans le groupe sous antipsychotiques contre 71% dans le groupe placebo. A 3 ans, les taux de survie étaient respectivement de 30% contre 59%.
Sur la totalité de la période, le risque de décès était plus faible de 42% dans le groupe placebo que dans le groupe antipsychotiques.
Les auteurs de l'étude concluent que les antipsychotiques de deuxième génération ont encore une place dans le traitement des manifestations neuropsychiatriques sévères de la maladie d'Alzheimer, en particulier l'agressivité. Mais ils estiment «urgent d'arrêter les prescriptions non indispensables et prolongées».
Plusieurs études ont montré qu'une prise en charge psychologique ou d'autres classes de médicaments, comme les antidépresseurs, pouvaient être une alternative aux antipsychotiques, ajoutent-ils.

Nouveau neuroleptiques : 200 000 morts

« les antipsychotiques ne sauvent personne, ils tuent les gens »

10 patients souffrant d'Alzheimer ont fait régresser leurs symptômes

Un exemple de protocole MEND personnalisé
Alimentation : minimiser les sucres simples (glucose..) et l'inflammation par la consommation de fruits et légumes, poissons, et moins de viande.  Réduire le stress par la pratique du yoga et des exercices pour réduire le stress. Méditer 20 minutes, deux fois par jour. Améliorer le sommeil, en prenant de la mélatonine le soir. Dormir au minimum 7-8 heures par nuit. Jeûner 12 heures  entre le dîner et le petit déjeuner.  Pratiquer 30 minutes d'exercice physique par jour, 4 à 6 jours par semaine. Supplémentations diverses en vitamines, huile de poissons..etc.  

Alzheimer sur ordonnance

La maladie d'Alzheimer est iatrogène (provoqué par le médecin)

Les médicaments…les médicaments pour la maladie d’Alzheimer sont inutiles, très dangereux, voir mortels…et symptômes d’Alzheimer sur ordonnances

Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu'ils devraient guérir

Psychiatrie mortelle et déni organisé

Psychiatrie mortelle et deni organise

Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.
Prsychiatrie mortelle et negationnisme organnise

Après avoir empoisonné les gens avec des médicaments et leurs avoir provoqué Alzheimer : on les tue

On drogue on torture et on tue les vieux

Menace sur nos neurones – Alzheimer, Parkinson… et ceux qui en profitent

Guérir Alzheimer (sans médicaments)

« Toutes les drogues psychiatriques, a long terme, provoquent des lésions cérébrales visibles sur un IRM »

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Quelques livres

« Ce qu’on ne vous dit pas sur ce diagnostic tant redouté ».
La soi-disant maladie d’Alzheimer n’a pas de symptômes spécifiques
 
LA VIEILLESSE N'EST PAS UNE MALADIE  - Alzheimer, un diagnostic bien commode
Rappelons qu’aujourd’hui, 850.000 personnes en France sont directement touchées par la maladie d’Alzheimer et 600 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque jour ! Des chiffres qui font froid dans le dos : plus 75% de cas de démence dans la population générale entre 2010 et 2030 et plus 200% chez les plus de 90 ans, la maladie d’Alzheimer représentant environ 60-70% de ces cas…
De tout temps, on a parlé de « sénilité »… « Oui c’est normal. M. X, il est vieux, il perd la boule, il n’a plus toute sa tête ». Mais aujourd’hui, avec l’augmentation de l’espérance de vie, notamment après 60 ans, notre vision des aînés atteints d’un déficit cognitif -lié tout simplement au vieillissement cérébral- a évolué… Et avec elle, le diagnostic de la maladie d’Alzheimer, qui s’est considérablement étendu !
Rappelons que la maladie d’Alzheimer (et autres pathologies apparentées) est une maladie évolutive qui affecte principalement les personnes âgées et certains jeunes seniors. Elle peut s’avérer particulièrement difficile à vivre tant pour le malade lui-même que ses proches.
« Poser l’étiquette « Alzheimer » sur une personne ne fait qu’exprimer l’horreur qu’inspire le vieillissement à une société qui se croit éternellement jeune. Et à en exclure une partie de la population », nous dit Alain Jean, médecin généraliste et gériatre hospitalier. Dans ce nouvel ouvrage, ce spécialiste s’interroge : « l’objectif de tout ce livre consiste, en effet, à s’interroger sur la réalité de la « maladie » d’Alzheimer. Et si, pour finir, elle n’existait pas ? Et si, pour aller à contre-courant de l’opinion moyenne, y compris médicale, les choses étaient loin d’être si solidement établies ? Comme on veut, à toute force, nous le faire croire ».
In fine, Alain Jean aborde un débat plus que d’actualité : à force de vouloir maîtriser à tout prix la vieillesse et la mort, n’est-ce pas la médecine qui perd la raison ?
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.
Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée.
Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.
 
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson : Premiers médicaments, explosion de diagnostics…
Ce n’est qu’à une époque très récente que sont apparus les premiers médicaments pour ces maladies dont on parlait peu jusqu’alors. Et quand il y a médicament, il y a officiellement « maladie ». C’est bien ce qui s’est passé – et pas seulement pour cette raison – avec Parkinson et Alzheimer : ces maladies se sont généralisées, et de façon spectaculaire.  Si de nombreux médecins ont revu et amélioré les descriptions de James Parkinson et d’Aloïs Alzheimer tout au long du XIXe siècle, il a en effet fallu attendre plus d’un siècle pour Parkinson, et presque autant pour Alzheimer, pour que ces maladies fassent parler d’elles.  Pour la petite histoire, la « découverte » d’Alzheimer était à l’origine une fausse bonne piste. Le premier cas décrit par le médecin allemand était celui d’une femme de 51 ans, un jeune âge. On pensait alors que la maladie d’Alzheimer ne concernait que des personnes de la cinquantaine. C’était un diagnostic réservé aux gens de 45 à 65 ans. Et les observations d’autres médecins entretinrent cette erreur pendant plusieurs décennies, jusqu’au XXe siècle finissant. Ce n’est qu’en 1977 que la médecine rectifia cette erreur en établissant un diagnostic de maladie d’Alzheimer indépendant de l’âge.  Toujours est-il que la médecine, jusque dans la deuxième partie du XXe siècle, ne savait pas faire face à ces maladies. Les anticholinergiques et la chirurgie ne donnaient que de piètres résultats pour Parkinson. Dans le courant des années 1960, la levopeda (synthétisée par Casimir Funk en 1911) s’imposa alors comme LE traitement du Parkinson, avant que d’autres outils thérapeutiques, telle que la stimulation cérébrale profonde, n’apparaissent deux décennies plus tard.  Pour Alzheimer, ce n’est qu’à la fin des années 1990 que sont apparus les premiers traitements spécifiques dignes de ce nom avec les inhibiteurs du cholinestérase (Aricept en 1997).  Qu’en est-il en 2015 ? La L-Dopa (levopeda) est toujours le traitement allopathique de référence du Parkinson, même si de nombreuses classes de médicaments sont employées en renfort. Mais ce n’est qu’un traitement symptomatique qui peut soulager quelque temps et présenter par la suite des effets indésirables.  Quant à l’Alzheimer, les traitements restent bien décevants. De nombreux produits sont à l’essai, mais quatre grands médicaments continuent de se partager « le marché » : Aricept (le plus ancien, du labo Eisai), Exelon (Novartis), Reminyl (Jansen-Cilag) et Exiba (Lundbrek).  Quatre médicaments d’efficacité douteuse mais à la nocivité avérée à travers de graves effets secondaires. Une situation de plus en plus dénoncée, à telle enseigne que certains experts (comme ceux de la revue médicale Prescrire) évoquent un futur scandale sanitaire de grande ampleur.  Les professeurs Even et Debré donnent le ton dans leur Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux : « Soyons clairs. Toutes les études, sans exception, et tous les avis des commissions officielles américaines ou françaises concluent à l’absence de tout effet positif autre que ponctuel et transitoire, sur l’évolution de l’Alzheimer. » Et d’ajouter : « Situation d’autant plus triste qu’aucune molécule efficace ne se profile à l’horizon de 5-10 ans. »  Les affirmations des labos feraient-elles plus de bruit que de bien ? Leur présence en Bourse est incitative pour attirer les actionnaires qui oublient que c’est l’Assurance maladie qui paye… d’où une forte augmentation des impôts au nom de la solidarité et un déficit toujours plus grand de la Sécurité sociale. Un cercle vicieux qui pose des problèmes éthiques sérieux, quand l’industrie pharmaceutique se nourrit des malheurs de la société.  De toute évidence, nous avons encore fort à faire pour comprendre ces maladies, cerner leurs causes, et les éliminer. Les remèdes symptomatiques actuels ne nous apportent pas de vraies solutions. Ce ne sont que des pis-aller. Il est temps de changer notre façon de voir. Comme l’a dit Einstein, « un problème sans solution

« Un empoisonnement universel. Comment les produits chimiques ont envahi la planète »
Qui ne connaît pas aujourd’hui dans son entourage un cancéreux, un malade d’Alzheimer, un obèse ou un diabétique ? On assiste à une explosion de nature épidémique d’un certain nombre de maladies graves. Le cancer en France, c’est 110 % d’augmentation du nombre de cas annuels entre 1980 et 2012. La hausse de l’espérance de vie explique une fraction de cette envolée, seulement une fraction. Il y avait 8,5 % d’obèses en France en 1997, 15 % en 2012. Selon les projections, on attendait 3,5 millions de cas de diabète en 2016, on y est arrivé dès 2009. Personne ne sait vraiment combien il y a de cas d’Alzheimer chez nous, entre 900 000 et un million. L’Inserm en prévoit 2 millions en 2020, c’est-à-dire après-demain matin. L’augmentation est fulgurante sur une période très brève. Dans le même temps paraît une avalanche d’études très sérieuses sur les liens directs entre l’exposition aux polluants et le déclenchement de ces maladies. À l’évidence, la contamination chimique joue un rôle central dans la dégradation de la santé publique en France, comme dans les autres pays développés.

Quand l’aluminium nous empoisonne
Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l’épilepsie, l’anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l’asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d’aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.

Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
le lien de causalité entre les médicaments antipsychotiques et la maladie d’Alzheimer
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent sans drogue soins.  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
Francine Lehner est la première personne à dénoncer les métaux dans les médicaments et dans les produits de la vie quotidienne indiquant les symptômes et  les maladies qui en découlent.
de Cambayrac Françoise
Alzheimer, autisme, fibromyalgie, spasmophilie, fatigue chronique, sclérose en plaques, allergies

Quand l’aluminium nous empoisonne
Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l’épilepsie, l’anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l’asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d’aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.

On tue les vieux (ce livre ne parle pas d’Alzhiemer mais a sa place ici)
de Christophe Fernandez

Guide critique des médicaments de l'âme  
Remèdes mortels et crime organisé
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.

Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia...

pharmageddon (anglais) : l'hisoire d'une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre.
L'espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans.

tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
 
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
 
Pourquoi et comment arrêter de prendre des médicaments psychiatriques (anglais uniquement)
 
Pourquoi la thérapie, l'empathie et l'amour doivent remplacer les médicaments, les électrochocs, et les théories biochimiques de la nouvelle psychiatrie ».
  Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?
 
La question de la prescription excessive de médicaments psychiatriques en France comme en Belgique revient de plus en plus fréquemment sur la place publique. Dans ce contexte, cet ouvrage apporte une information sur chaque classe de médicaments

Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

Effets secondaires : le scandale français
Et si, à l'image d'un immense iceberg dont le Mediator ne serait que la partie émergée, le pire était à venir ? Notre enquête le démontre. Le système de contrôle de l'Etat est déficient car démuni face à la puissance économique des grands laboratoires. Des études scientifiques sont volontairement biaisées pour mieux minimiser la dangerosité d'un médicament. Des médecins experts sont corrompus pour fermer les yeux sur les risques encourus par les patients...
 
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
 
L'envers de la pilule : Les dérives de l’industrie de la santé
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
 
Big Pharma, une industrie toute-puissante qui joue avec notre santé
"Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels."...
On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine
, comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus.
Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
  L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise

Les antidépresseurs, le grand mensonge
"Irving Kirsch soutient que les médicaments de type Prozac n'ont guère plus d'efficacité que des vulgaires placebos, les effets secondaires en plus. "La différence d'amélioration entre les patients prenant des placebos et ceux prenant des antidépresseurs n'est pas très importante. Cela signifie que les personnes souffrant de dépression peuvent aller mieux sans traitement chimique", explique cet éminent professeur. Ce livre a mis en rage la communauté scientifique et le lobby des laboratoires pharamaceutiques qui jugent irresponsable cette entreprise de démystification... car la France est le premier consommateur au monde de psychotropes.
 
Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?

The Myth of the Chemical Curede docteur Joanna Moncrieff
Ce livre expose le point de vue traditionnel que les médicaments psychiatriques corrigent un déséquilibres chimiques est une fraude dangereux. Il retrace l'émergence de ce point de vue et la façon dont il a soutenu les intérêts de la profession psychiatrique, l'industrie pharmaceutique et l'Etat moderne. Au lieu de cela, il est proposé que ces «médicaments psychiatriques en créant des états cérébraux anormaux, qui sont souvent désagréables et altérent les fonctions intellectuelles et émotionnelles normales avec d'autres conséquences néfastes. La recherche sur les antipsychotiques, les antidépresseurs et stabilisateurs de l'humeur est examinée pour démontrer cette thèse et il est suggéré que la reconnaissance de la nature réelle des médicaments psychiatriques conduirait à une pratique plus démocratique de la psychiatrie.

Antidépresseurs: mensonges sur ordonnance
de Guy Hugnet
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.

Bad pharma
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
Des études cliniques biaisées
Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
 
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
 
COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER **** (anglais uniquement) du docteur Vernon Coleman
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
 
Le médecin empereur est mise a nu : Tout le monde est malade et je sais pourquoi
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
 
Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
 
Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
 
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
  Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »
 
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers
 
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
 
la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
1. Les sociétés nanties d'un système médical très coûteux sont impuissantes à augmenter l'espérance de vie, sauf dans la periode prénatale.    
2. L'ensemble des actes médicaux est impuissant a réduire la morbidité globale.    
3. Les actes médicaux et les programmes d'action sanitaire sont devenues les sources d'une nouvelle maladie : la maladie iatrogène. C'est-à-dire toutes les conséquences néfastes engendrées par les soins professionnels dans leur ensemble. Cela constitue pour Illich l'épidémie la plus importante qui soit et cependant la moins reconnue.    
4. Les mesures prises pour neutraliser la maladie iatrogène continueront à avoir un effet paradoxal, elles rendront cette maladie médicalement incurable encore plus insidieuse.
 
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou

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