beta-bloquant, antidépresseurs, benzodiazépines, antibiotiques
"...Le premier est le facteur nutritionnel, le deuxième est le facteur activité physique, le troisième est le facteur intoxication : le tabac, les polluants aériens, les polluants nutritionnels – les pesticides – et surtout les médicaments. Les médicaments représentent le principal agent d’intoxication qui favorise les maladies cardiovasculaires. Et enfin le quatrième facteur est ce que j’appellerai les conditions d’existence, les difficultés de la vie (familiale, professionnelle) ou le stress (et inversement notre aptitude à surmonter ces difficultés) ce que j’appelle dans mon livre le sens de notre vie..."
la médecine est une des princales causes de l’augmentation des cancers.
Le premier est le facteur nutritionnel, le deuxième est le facteur activité physique, le troisième est le facteur intoxication : le tabac, les polluants aériens, les polluants nutritionnels – les pesticides – et surtout les médicaments. Les médicaments représentent le principal agent d’intoxication qui favorise les maladies cardiovasculaires. Et enfin le quatrième facteur est ce que j’appellerai les conditions d’existence, les difficultés de la vie (familiale, professionnelle) ou le stress (et inversement notre aptitude à surmonter ces difficultés) ce que j’appelle dans mon livre le sens de notre vie..
le plus souvent liée à des benzodiazépines, des opiacés, les antidépresseurs tricycliques et les anticonvulsivants (médicaments utilisés pour traiter et prévenir les crises d’épilepsie)
C’est pour cela qu’en tant que médecins nous sommes des sujets très méfiants par expérience, mais aussi par peur quand il s’agit de nous-même ou des nôtres. On n’a pas peur de donner aux autres, mais on a peur de le prendre à soi-même.
Le Pr P. Even et B. Debré donnent une foule de précisions sur ces dérives qui ne cessent de croître
Un étrange paradoxe : le triomphe de la médecine : "Plus les traitements sont efficaces, et plus les malades sont nombreux.”
Les pneumologues annoncent que l’asthme a doublé, que l’insuffisance respiratoire ne cesse de croître en nombre et en gravité, les endocrinologues que le diabète a doublé de fréquence en vingt ans, les cardiologies que l’hypertension artérielle touche désormais plus de la moitié de la population adulte, etc. Le nombre de médecins a doublé, doublons le nombre de malades.
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers
Les syndromes de Lyell ou de Stevens-Johnson sont des réactions aux médicaments gravissimes
La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains ! Et en France ?
ACICLOVIR ALBENDAZOLE ALLOBARBITAL ALLOPURINOL AMOBARBITAL AMOBARBITAL SODIQUE AMOXICILLINE AMPICILLINE AMPICILLINE SODIQUE AMPRENAVIR APROBARBITAL AZAPROPAZONE BACAMPICILLINE CHLORHYDRATE BARBITAL BARBITAL SODIQUE…
Ces maladies inventées par les médecins et provoquées par les médicaments psychotropes
syndrôme prolongé de sevrage aux psychotropes
« Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt. »
antidepresseurs, benzodiazépines, neuroleptiques…
On estime que les médicaments sont responsables de 15 à 20 % de toutes les causes d’hépatites fulminantes ou subfulminantes dans les pays occidentaux et d’environ 10 % au Japon.
Plus de personnes sont mortes de la vaccination que de la grippe de cochon. 500 cas de GBS ont été découverts
Certains médicaments sont connus pour induire un SJSR. C’est le cas par exemple de nombreux antidépresseurs, de la plupart des neuroleptiques, des broncho-dilatateurs contenant de la théophylline,…(très important les…)
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
les patients traités par thiazolidinediones ont un risque accru de 60% d’insuffisance cardiaque congestive, un risque accru de 40% d’infarctus du myocarde et un risque accru de 29% de décès
Une étude américaine qui vient d’être publiée dans la revue Nature éclaire l’un des mécanismes fondamentaux par lequels les glitazones (Actos – pioglitazone, Avandia – rosiglitazone, et les médicaments composés qui en contiennent) induisent des troubles osseux, de l’ostéoporose, et donc des fractures.
ils sont passés de la tête de grandes directions des entreprises à ne pas être capable d’équilibrer un carnet de chèques et de feu de leur entreprise. »
Certains types d’antidépresseurs peuvent doubler le risque de développer un cancer du sein, selon une étude canadienne de repère.
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas
En effet, chaque année, 17 000 hospitalisations sont dues aux complications hémorragiques issues du traitement par AVK.
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
Tranquillisants et sédatifs Antihstaminiques Bêta bloquants Thérapies hormonales Antidepresseurs Corticostéroïdes Chimiothérapie Relaxants musculaires Coupes-faim Antipsychotiques Amphétamines
« La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine. »
Un syndrome démentiel est un effet indésirable de certains médicaments, et plus particulièrement de médicaments psychotropes.
Les réactions paradoxales aux benzodiazépines : l’insomnie par prescripiton
Les effets paradoxaux des benzodiazépines (effet contraire à l’effet recherché) sont à distinguer des effets secondaires (aussi appelés effets indésirables).
Selon le professeur Malcolm Lader, 5% des gens à qui l’on prescrit des benzodiazépines réagissent par des réactions psychiques, appelées « paradoxales ».
le vaste problème des réactions indésirables aux médicaments
Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amnésie, de l’ataxie (perte d’équilibre), des maux de cœur et de la pseudodémence (souvent attribué par erreur à la maladie d’Alzheimer) chez les personnes âgées
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
La cour d’appel de Versailles vient de confirmer le lien de causalité entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques
L’akathisie est le chaînon qui relie la prescription d’antidépresseurs par des médecins soucieux du bien-être de leurs patients et certains meurtres et suicides étranges.
maladie iatrogène, véritable torture chimique
Syndrome des jambes sans repos.. Peut-être induit par les médicaments, impliquant une incapacité à rester en position assise, la promotion nervosité et un sentiment de frousse musculaire.
SJSR : Il est soit idiopathique avec des antécédents familiaux fréquents, soit iatrogène
Dans la plupart des cas, aucune cause n’est retrouvée. Parfois, ce syndrome est induit ou aggravé par un médicament. Le plus souvent, des psychotropes (surtout antidépresseurs et neuroleptiques) sont impliqués.
Bien que d’autres antidépresseurs, ainsi que le lithium et la venlafaxine 5, 6 ont été signalés à être en mesure de produire des jambes sans repos
la fibromyalgie, la piste d’une origine toxique par accumulation chronique de produits comme les organo-phosphorés, les carbamates (insecticide, Atrium, Equanil, Meprobamate, Mépronizine.), les pyréthroïdes.
Les bétabloquants, susceptibles de déclencher une fibromialgie
douleurs musculaires et articulaires, fibromyalgie, vertiges, neuropathies, troubles neurologiques, visuels, endocriniens (hypophyse, thyroïde, ovaires), cardio-vasculaires, (auto)immunes
les symptomes de la fibromialgie font partie des symptomes de sevrage aux benzodiazepines. Ils disparaissent a la fin de la periode de sevrage qui helas peut dans certains cas durer plusieurs années.
Le syndrome de sérotonine, une complication iatrogenique potentiellement mortelle de thérapie psychopharmacologic, le plus généralement est rapporté avec des combinaisons des médicaments serotonergique
on peut éstimer que cela representent près de 200.000 Américains pour l’année 2001.
La mort est survenue par arrêt cardiorespiratoire ou déficience rénale.
Les dyskinésies tardives surviennent dans 20 à 40 % des traitements chroniques. Peuvent survenir plusieurs années après l’arrêt du traitement et sont irréversibles.
syndrome malin des neuroleptiques qui peut engager le pronostic vital..Au vû d’un taux sous-évalué de 1%, Maxmen et Ward (1995,p33) estiment que 1000 à 4000 morts aux Etats-Unis résultent chaque année du syndrome malin des neuroleptiques
Ces réactions de sevrage peuvent être douloureuses, défigurantes et débilitantes.
risque de malformations cardiaques, risque d’hypertension artérielle pulmonaire persistante du nouveau-né
Les inhibiteurs de recapture de serotonine peuvent entrainer un dysfonctionnement sexuel permanent
8.000 procès en cours, y compris les cas dans lesquels des personnes sont mortes de coma diabétique aiguë ou d’une pancréatite,
parkinson sur ordonnances
Le parkinson est un effet direct du blocage domaminergique du striatum et de la substance noire. La maladie est apparue curieusement en même temps que l’usage généralisé de substances dopaminoactives, il est possible que les parkinsons soient induits par l’usage de neuroleptiques.
De nouveaux cas de syndromes parkinsoniens induits ou aggravés par la trimétazidine ont été observés en Espagne et en France. Ces troubles, réversibles, justifient d’arrêter ce traitement et de ne pas l’instaurer chez de nouveaux patients.
sclérose en plaques,symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphène, douleurs articulaires, dépressions, crises d’angoisse…
Le risque d’AVC était 1,7 fois plus élevé comparativement à ceux qui n’en avaient pas eu.
Ainsi parmi les principaux effets secondaires de l’aspirine on retrouve des lésions digestives (gastrite) et des troubles hémorragiques, dont des saignements digestifs.
bipolaire sur ordonnances
bipolarité iatrogène
80 000 les cas de sclérose et vaccins hépatite B
Le Dr Marc Girard, qui fut l’expert nommé par la Cour d’appel de Versailles, estime à plus de 80 000 les cas de sclérose en plaques associés à ce vaccin, ce qui est très loin du chiffre officiel. Il a découvert un rapport de la Direction générale de la santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit "la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974", alors que tous nos responsables (mais pas coupables) de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Il a aussi constaté que le centre de pharmacovigilance de Strasbourg est tellement efficace qu’une victime, décédée en 1998, était alors déclarée toujours vivante, et une autre victime aurait été vaccinée deux mois après son décès. De même, 99 % des dossiers de l’enquête auraient été "perdus" en cours d’analyse. Il est certain que, dans le domaine de la santé, les pertes de dossiers s’accumulent, comme c’est aussi le cas dans le scandale de l’hormone de croissance..
Sclérose en plaques et vaccin de l'hépatite B: GSK condamné à verser 400.000 euros
Le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) a récemment été condamné par le tribunal de Nanterre à verser près de 400.000 euros à une jeune femme atteinte de sclérose en plaques après avoir été vaccinée contre l'hépatite B, rapporte le quotidien Liberation.fr. Ce jugement intervient après dix ans de procédures.
GSK a été déclaré "entièrement responsable des conséquences dommageables résultant de la défectuosité du vaccin Engerix B". Cette décision est une première depuis un arrêt de la Cour de Cassation de 2003 indiquant que le lien entre la vaccination et la sclérose en plaques ne pouvait être établi.
Alzheimer sur ordonnances
iatrogène
le syndrome de Raynaud
provoqué par les médicaments
Information Dyskinésie tardive
Les symptômes de la dyskinésie tardive, Procès Dyskinésie tardive
Syndrome malin des neuroleptiques
Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est une réaction grave, pouvant engager le pronostic vital, touchant environ 1 % des patients traités par neuroleptique.
Neuroleptique et sujet âgé : attention au risque de syndrome parkinsonien !
Selon une étude récente, le syndrome parkinsonien peut apparaître chez 32% des seniors traités par cette famille
de médicaments, même à très faible dose
injections de stéroïdes destinées à soulager le mal de dos.
Au moins 14.000 personnes sous surveillance
Des médicaments contaminés ont déjà fait 20 morts aux USA
Des milliers de cas de narcolepsie après le vaccin HN1. Une étude du BMJ
Le British Medical Journal (BMJ), une des plus prestigieuses revues médicales au monde, a publié une étude prouvant une spectaculaire hausse de la narcolepsie provoquée par le vaccin Pandemrix, très largement utilisé contre la grippe H1N1 en 2009
narcolepsie
et vaccin
syndrome de raynau
Ce syndrome est secondaire à la prise de certains médicaments
Dystonie aiguë d’origine neuroleptique
Les neuroleptiques sont la cause la plus fréquente de dystonie aiguë induite par des médicaments. Les antiémétiques (par exemple, le métoclopramide) et les antidépresseurs, probablement surtout les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, peuvent également être responsables de dystonie aiguë.
myofasciite à macrophages
Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin sans aluminium.
Autisme sur ordonnances
antidépresseurs, vaccins, antibiotiques....
La vaccination est une des grandes causes d'épilepsie, pas la seule, mais indéniablement une des causes principales. Pour comprendre, il faut savoir que tout dommage au cerveau est à même de déboucher sur une épilepsie
Les effets secondaires des vaccins
Encéphalopathies, autisme, mort, sclérose en plaque, épilepsie, convulsions, déficience mentale, dépression, anxiété, troubles du système nerveux central, paralysie, Syndrome de Guillain-Barré, surdité, hyperactivité, Myofasciite A Macrophages, retard du développement, méningite / parlysie, tumeurs cérébrales, lupus, maladies démielysantes, ataxie, bipolarité, cancers, arthrose, fibromyalgie, narcolépsie...
LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DE SEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE, LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L’EPILEPSIE, L'HYPERTENSION… SONT DES EFFETS COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN