Cobayes humains

Cobayes humains

 
Les malades, vrais cobayes de l’industre pharmaceutique
Résultat: ce sont les patients humains qui sont les vrais cobayes de l’industrie pharmaceutique, environ 20 000 en décèdent chaque année en France
 
Ce n’était pas au XVIème siècle, mais dans les cinquante dernières années. De quoi reléguer les pires conspirationnistes au rang de doux rêveurs

chaque semaine 10 personnes perdent la vie depuis 2008, pour avoir participé à des essais médicaux.
Le 16 juillet 2012, la Cour Suprême indienne a accusé des groupes pharmaceutiques de se servir de personnes comme cobayes pour des essais cliniques illégaux et a demandé au gouvernement d’enquêter et faire un rapport.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’inquiète de cet important nombre de morts.
 
…Après, on nous rabâche que l’état est là pour nous protéger, mais je le répète une énième fois, ils se foutent complétement de nos vies, au contraire, une personne malade est préférable à une personne bien portante (pas besoin de vous expliquer les interêts des pharmaco-mafiosis)…..
2000 : La série de Washington Post (partie 6), « Corps chasseurs » expose l’exploitation contraire à l’éthique dans les expériences menées par les enquêteurs de la U.S. dans les pays sous-développés. Partie 4 traitée avec le gouvernement des États-Unis a financé, expériences génétiques menées par l’Université Harvard en Chine rurale. (les liens vers le Huffingtonpost ont disparu, comme par hasard)
2001 : Une entreprise de biotechnologie en Pennsylvanie demande à la FDA l’autorisation de mener des essais contre placebo sur les nourrissons en Amérique latine, né avec une maladie pulmonaire grave, mais ces tests serait illégales aux États-Unis.
2001 : Ellen Roche, un bénévole de 27 an en bonne santé, meurt dans l’étude sur les enjeux à l’Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland).

Des centaines d’Indiens sont morts dans les essais de médicaments
Cependant, très peu d’autopsies ont été réalisées afin de déterminer la cause du décès.

Et les cobayes… c’est vous, c’est moi, ce sont nos parents, nos enfants
« Les essais cliniques qui ponctuent chaque stade de développement des médicaments [sont] un des points forts de la France grâce à la qualité de ses hôpitaux. Selon une étude du LEEM, en 2006, 70 % des études cliniques incluant l’Europe avaient été proposées à la France et 49 % y avaient été organisées » [3].
Eh oui, cher patient ! « Grâce à la qualité de ses hôpitaux », la France peut y organiser des essais cliniques à grande échelle pour l’industrie pharmaceutique.
Et les cobayes… c’est vous, c’est moi, ce sont nos parents, nos enfants.
Vous a-t-on déjà proposé, lors d’une hospitalisation, de bénéficier d’un nouveau traitement qualifié de « révolutionnaire » par les experts qui le développaient ?
Traitement révolutionnaire qui, bien entendu, s’est ensuite révélé à l’origine d’effets secondaires graves, et totalement inefficace ?
Cette « bonne réputation » des hôpitaux français auprès des labos pharmaceutiques repose en effet sur l’exceptionnelle docilité des patients, à qui on ne laisse d’ailleurs pas vraiment le choix.
D’énormes intérêts financiers
Il faut dire que les intérêts financiers sont absolument colossaux. Un laboratoire de recherche qui développe un nouveau médicament peut facilement espérer revendre les licences pour 500 millions d’euros, parfois plus.
 
Vous ne le saviez peut-être pas, mais les Nord-Américains servent dorénavant de cobayes pour déterminer la sécurité de certains des médicaments les plus dangereux qui soient. Si vous avez pris des médicaments mis sur le marché récemment, ou d’autres offerts à titre d’échantillons, vous aussi vous faites partie du grand essai clinique en cours.
 

Allemagne de l’Est : 50.000 cobayes involontaires
Ils sont bien plus nombreux que ce que l’on pensait. Plus de 50.000 citoyens de l’ex-Allemagne de l’Est ont servi de cobayes pour des groupes pharmaceutiques de l’Ouest, souvent à leur insu. Certains y ont même laissé la vie, a révélé l’hebdomadaire Der Spiegel, qui a consulté des documents du ministère est-allemand de la Santé et de l’Institut allemand des médicaments.
600 études dans 50 cliniques. De précédentes révélations de la télévision publique régionale allemande MDR faisaient état en 2010 de 2.000 patients est-allemands sur lesquels un antidépresseur avait été testé. Mais au total, les faits concernent plus de 600 études, menées dans 50 cliniques, jusqu’à la chute du Mur de Berlin, en 1989. Parmi les hôpitaux concernés, celui de La Charité, à Berlin-Est, précise Le Monde. Et les tests portaient sur divers traitements, notamment sur des chimiothérapies et des traitements pour le coeur, indique de son côté la Deutsche Welle. Chaque étude aurait été payée 800.000 Marks, soit environ 400.000 euros.


Expérimentation Humaine : Avant et Après l’Ère Nazie
Mis à part les médecins nazis, il est difficile de trouver un seul médecin qui a été grièvement puni pour l’expérimentation humaine,
L’expérimentation sur des êtres humains n’est pas le travail aberrant de quelques médecins, elle est systémique, parce qu’il est le système par lequel la médecine occidentale moderne fonctionne


reconnu coupable d’avoir impliqué ces patients dans des essais cliniques sans leur consentement libre et éclairé
La santé de centaines de patients britanniques est mise en danger parce que leur médecin de famille est secrètement payé pour les utiliser comme des cobayes pour tester des médicaments.


essais cliniques, escroqueries, mensonges….
« Nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. Quant à la pharmacovigilance qui devrait permettre de suivre attentivement les médicaments pour repérer les accidents, il s’agit davantage d’une pharmaco-somnolence … »


pilules amères : les dessous de la recherche pharmaceutique
ARTE télévision


Les sans-abri meurent après essai de vaccin de la grippe aviaire en Pologne
Trois médecins polonais et six infirmières font face à des poursuites pénales après un certain nombre de personnes sans-abri est décédé à la suite les essais d’un vaccin pour la grippe aviaire H5N1 virus.


Cobayes humains français : Silence ! On meurt
« Le traitement par thalidomide a été associé à une augmentation de la mortalité. »


En Amérique, plus de 75% des tests cliniques sont faits sur des immigrés défavorisés
Le résultat est net chaque année : de nombreux sujets sont blessés ou tués.
60 Millions de cobaye – Consommateurs, vous êtes en danger
Des handicapés à vie qui affrontent dans d’interminables procès de grandes sociétés en général intouchables, exclusivement soucieuses de leur profit et de leur développement.


Ils ont fait prendre à 429 pauvres Amishs (en bonne santé) qui ne demandaient rien du clopidogrel
20.9% des patients porteurs du CYP2C19*2 et traités par clopidogrel font un évènement cardiovasculaire ou meurent sur une durée de 1 an contre 10.0% pour ceux qui n’ont pas ce variant


Médecins généralistes et le jackpot des patients / cobayes
Des médecins sont payés jusqu’à 2 000 livres sterling pour chaque patient inclus dans un protocole médical. La santé de centaines de patients britanniques est mise en danger parce que leur médecin de famille est secrètement payé pour les utiliser comme des cobayes pour tester des médicaments.


Etats-Unis : Plus de 40 expérimentations médicales sur des prisonniers, des Noirs et des malades mentaux
Des médecins, souvent missionnés par le gouvernement américain, ont réalisé des dizaines d’expérimentations médicales sur leurs concitoyens, handicapés, malades ou détenus. Ce n’était pas au XVIème siècle, mais dans les cinquante dernières années. De quoi reléguer les pires conspirationnistes au rang de doux rêveurs…


Expérimentation sur les enfants
70 malades sur 100 meurent du traitement et non de leur cancer


Le scandale des essais thérapeutiques
« pour dénoncer des pratiques et faits qui ne devraient pas exister dans des institutions censées soigner nos enfants ».


Cobayes humains
Témoignage et enquête dans l’univers de l’expérimentation humaine


23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne
Le but de l’opération est de les faire participer, en tant que cobayes, à un programme d’essais sur des médicaments expérimentaux contre le HIV à des doses plus élevées que la posologie normale.


Inde : 49 bébés morts pendant des essais de médicaments
Tous étaient des cobayes pour de nouveaux médicaments pédiatriques avant leurs mises sur le marché (contre les carences en zinc, l’hypertension artérielle ou encore une maladie du foie).


Pfizer a testé illégalement un médicament au Nigeria
un médicament interdit en Europe


Polémique autour de tests humains pour des médicaments anti-sida au Cameroun
Un reportage diffusé sur France 2, le 17 janvier dernier, insinue que le virus du sida aurait été inoculé à des prostituées séronégatives au Cameroun afin de tester un médicament prophylactique, le Viread, produit par le laboratoire Gilead.


12 bébés morts pendant les essais de vaccins en Argentine
Au moins 12 enfants qui faisaient partie d’une étude clinique pour tester l’efficacité d’un vaccin contre la pneumonie sont mortes au cours de la dernière année en Argentine, la presse locale jeudi.


Les expériences « médicales » dans les camps nazis
et la découverte des traces des expériences, à Strasbourg


Les médecins de la honte
Les médecins nazis et autres auteurs de crimes nazis


Médicaments du Nord testés sur les pauvres du Sud
« si l’on n’a pas suffisamment d’événements [en d’autres termes, de crises cardiaques ou de décès], on ne peut jamais terminer un essai »


Médicaments sans scrupules
L’Afrique, cobaye de Big Pharma


SIDA: des cobayes humains testés au Cameroun !
Après la contamination, donc, aucunes des filles ne reçoit la moindre prise en charge par ce laboratoire américain qui a déjà dépassé le milliard de dollar de bénéfice dans la vente du VIREAD comme traitement.


J’ETAIS UN COBAYE MEDICAL (video)
J’etais devenue un cobaye humain car condmanee par la medecine a une mort certaine et proche…


Cobayes humains, le grand secret des essais pharmaceutiques
jamais les dangers de dérives n’ont été aussi forts. Jamais le déséquilibre n’a été aussi patent, d’une part entre les laboratoires pharmaceutiques qui les produisent, d’autre part entre les médecins qui les prescrivent et les malades qui les consomment.


 » Enfants Cobayes  » de Pierre LACOMBE et Loïc DUFOUR
Les médecins sélectionnent des patients et procèdent à une sorte de tirage au sort. Certains bénéficient d’un traitement, les autres ne reçoivent rien.


Les Etats-Unis s’excusent d’avoir inoculé la syphilis à des Guatémaltèques
Environ 1 500 personnes ont participé à cette expérimentation qui avait pour objectif de déterminer si la pénicilline, dont on commençait tout juste à se servir, pouvait être utilisée pour prévenir des maladies sexuellement transmissibles (MST).


Nouveau scandale : Escroquerie au Seroplex.
C’est une bombe : Le laboratoire danois Lundbeck a escroqué les systèmes d’assurance maladie du monde entier ! Le Bureau of Investigative Journalism, repris par le journal The Independant révèle, après une longue enquête, que l’unique étude indépendante démontrant que le Seroplex est meilleur que le Seropram avait en fait été truquée par le laboratoire Lundbeck, qui vend les deux produit

fraude concernant l’efficacité antalgique de Lyrica, Celebrex, Effexor…

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux…
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons !
2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer
 
Quelle meilleure façon de réaliser de plantureux bénéfices que de vendre la mort par injection au gouvernement, au nom de quelques mystérieuses menaces d’armes biologiques qui auraient été directement générées de l’intérieur même de notre pays.
Un témoin, Karin Forner, a affirmé à MDR que sa mère qui souffrait de dépression chronique n’avait été acceptée dans un hôpital de Plauen qu’en échange de sa participation à une « étude » en 1989.

Quelques livres

Cobayes humains, le grand secret des essais pharmaceutiques
jamais les dangers de dérives n’ont été aussi forts. Jamais le déséquilibre n’a été aussi patent, d’une part entre les laboratoires pharmaceutiques qui les produisent, d’autre part entre les médecins qui les prescrivent et les malades qui les consomment
 
combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
 
Vous ne le saviez peut-être pas, mais les Nord-Américains servent dorénavant de cobayes pour déterminer la sécurité de certains des médicaments les plus dangereux qui soient. Si vous avez pris des médicaments mis sur le marché récemment, ou d’autres offerts à titre d’échantillons, vous aussi vous faites partie du grand essai clinique en cours.
 
les antidépresseurs  » pousse-au-crime  » ? Les antibiotiques qui paralysent ? Dans notre vie quotidienne, nous subissons les effets pervers de produits mal conçus ou insuffisamment testé
 
L’Imposture De La Biologie et de la médecine
 
l’Amérique en pleine transformation
Cathy O’Brien raconte comment, d’abord incestée par son père (sa mère étant complice) et par ses oncles depuis son plus jeune âge, elle sera ensuite « vendue » par celui-ci au gouvernement américain.Elle et sa fille Kelly, qui viendra au monde en 1980, deviendront ainsi des esclaves du projet « Monarque », une branche de l’opération « MK-Ultra » de la CIA consacrée aux recherches sur le contrôle de l’esprit.Conditionnée à tout oublier et programmée sur une base trauma-tique, Cathy O’Brien servira indifféremment d’esclave sexuelle à diverses grandes figures politiques de plusieurs pays — dont des sénateurs, gouverneurs et Présidents des É.-U., de courrier diplomatique très spécial, d’intermédiaire et de « mule » dans le trafic de la cocaïne et autres drogues organisé par la CIA….
 
Aux portes de l’an 2000, avec la mise en carte » des individus, ce n’est pas la peste que nous redoutons, mais l’embrigadement idéologique et le conditionnement mental de nos sociétés. L’auteur braque ici ses projecteurs sur la CIA, cadre principal de l’Opération Mind Control : plus de vingt-cinq ans durant, la CIA a développé une effrayante technologie de contrôle mental, apparemment plus poussée que les méthodes mises au point par les chercheurs soviétiques. Elle dispose aujourd’hui de moyens extrêmement sophistiqués qui lui permettent, notamment, de programmer des individus pour toute mission d’espionnage ou d’assassinat qu’ils réaliseront, même contre leur volonté, même contre une loi naturelle aussi fondamentale que l’instinct de conservation. Fondé sur un matériau de plus de deux mille documents issus de la CIA et mille deux cents pages de témoignages, ce livre raconte l’histoire de ceux qui ont été « ratés » par la cryptocratie américaine : en dépit des techniques d’effacement de la mémoire, ils sont nombreux à se souvenir et à dénoncer les détails horribles de leur expérience. »

Cobaye Humain // Tésté Comme Des Rat En Laboratoire

Cobayes humains

France : les pensionnaires des maisons de retraite sont des cobayes humains

Cobayes humains (Big Pharma en Inde)

Essai illégal Utérus Artificiel sur femmes enceintes (2012)

Essais cliniques en cancérologie mythes et réalité

Conférence « Mind-Control hors de contrôle »

23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne

Les héritiers du docteur Mengele

Pharmatests à l’Est

MK Ultra au Canada / Dr Ewen Cameron

Ils ont fait prendre à 429 pauvres Amishs qui ne demandaient rien du clopidogrel

Dans le JAMA du jour se trouve une étude passionnante de pharmacogénétique sur la résistance au clopidogrel.

Des auteurs du Maryland ont étudié le génome et différents paramètres cliniques ou biologiques d’Amishs en bonne santé. L’intérêt de de cette population est qu’elle est très homogène, avec une consanguinité relativement importante, (ça c’est moyen pour eux) et que les unions et naissances sont consciencieusement notées sur les registres de l’Église depuis des centaines d’années. On sait donc parfaitement qui est issu de qui et qui est lié avec qui.

Ils ont fait prendre à 429 pauvres Amishs qui ne demandaient rien du clopidogrel et de l’aspirine puis ont étudié leur agrégabilité plaquettaire ex vivo.

Enfin, ils ont recoupé toutes ces informations, génotype/paramètres cliniques et biologiques/résultat des tests d’agrégabilité.

Un variant du gène codant pour le cytochrome P450 CYP2C19, le CYP2C19*2 a ainsi été identifié comme étant fortement lié avec une résistance au clopidogrel.

Cette résistance est par ailleurs fortement dépendante de ce gène, un individu homozygote sera fortement résistant, et un individu hétérozygote le sera moyennement par apport à un individu n’ayant pas ce variant.

Il ne restait plus aux auteurs qu’à tester la relation entre ce variant, l’agrégabilité plaquettaire et les évènements cliniques dans une population indépendante, plus large, en tout cas moins homogène que celle des Amishs.

Ceci a été fait chez 227 patients du Sinai Hospital de Baltimore devant bénéficier d’une coronarographie, traités par clopidogrel et aspirine et qui ont été suivis durant 1 an.

Les résultats sont frappants.

20.9% des patients porteurs du CYP2C19*2 et traités par clopidogrel font un évènement cardiovasculaire ou meurent sur une durée de 1 an contre 10.0% pour ceux qui n’ont pas ce variant (rapport de hasards à 2.42; intervalle de confiance à 95%  1.18-4.99;P=.02)

CIA Opération Paperclip

Psychotropes : Guerres sur ordonnance

CIA Mind Control Technics (ABC News - 1979)

Expérimentation hépatites sur les enfants handicapés

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Expériences vaccinales sur des bébés de mères en prison, enfants handicapés mentaux, et enfants africains

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Des médecins ont délibérément inoculé la syphilis au Guatemala

Cobayes afro-américains

Les COBAYES HUMAINS de l’unité 731

Le psychiatre nazi Heinrich Gross (« 789 enfants handicapés ont été tués » « Gross a tranquillement exercé la profession de psychiatre-légiste pendant 30 ans jusqu’en 1997. » )

Les essais cliniques sont totalement bidon !

La majorité des résultats des essais cliniques américains seraient biaisés
Ce sont les conclusions d’une étude publiée dans le Journal of American Medical Association

Médicaments : des falcifications massives d’essais cliniques !!
Et pas qu’un peu. Entre avril 2005 et juin 2009, les biologistes désignés comme responsables d’essais cliniques étaient tout simplement… absents de leur labo, au moment où ils étaient pourtant censés mener les tests. Peut-être se doraient-ils la pilule sur une plage exotique (plutôt que de la tester) ? Une étrange situation qui s’est reproduite 1900 fois ! En plus de cette « falsification généralisée« , la FDA estime aussi que Cetero a modifié a posteriori les résultats de ses études pour parvenir à la bonne conclusion : que le médicament évalué était sacrément efficace et sans danger.
« Les fautes relevées sont suffisamment graves pour susciter des préoccupations quant à l’intégrité de toutes les données générées par Cetero sur cette période de cinq années » a affirmé mardi la FDA dans un communiqué, avertissant par là même les fabricants de médicaments qu’ils pourraient avoir à refaire les études de Cetero intervenues entre avril 2005 et Juin 2010. Même conclusion du côté de l’auditeur indépendant mandaté par la FDA : « Si le laboratoire est corrompu, les données générées le seront aussi« .

les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs
« Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique
Les auteurs fustigent un système gangréné par « le laxisme, la démagogie, l’incompétence et la corruption »
 
C’est Charles Seife, professeur de journalisme à l’université de New York, qui dévoile le pot aux roses via une étude publiée par la revue JAMA, accompagnée d’une bafouille déposée sur le site US de Slate. Sur 57 essais au sujet desquels la FDA a trouvé des choses à redire, 22 concernaient des falsifications de données, 14 des violations flagrantes de protocole, 42 des erreurs dans la rédaction des dossiers. Et… seuls 3 de ces études pipées ont donné lieu à une communication officielle, les autres ayant été passées sous silence ! Aucun retrait d’article, aucune correction, aucune plainte, aucune alerte, rien…
Charles Seife explique : « La FDA a, de façon répétée, caché les preuves de fraudes scientifiques, pas seulement au public, mais aussi à ses propres experts les plus fiables, y compris lorsque ceux-ci devaient décider si un médicament pouvait ou non être autorisé ». « Cela signifie que les médecins du monde entier fondent des décisions vitales pour leurs patients sur des études que la FDA sait ne pas être crédibles ».

La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux – Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet
« Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux…
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons !
2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer !

les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires

Des études cliniques biaisées
Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
 
En fouillant dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis, ils sont tombés sur des études jamais rendues publiques qui montraient l’absence d’efficacité du médicament, excepté pour les malades atteints des dépressions les plus sévères
 
Au terme dune enquête minutieuse, le journaliste Guy Hugnet livre ici toutes les preuves que la mise sur le marché des antidépresseurs (Prozac, Zoloft, Déroxat, Séropram, Effexor, Cymbalta…) est fondée sur des données biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque les véritables données scientifiques sont analysées, il ne reste pas grand-chose!
 
antidépresseurs
89 % des études ayant révélé des résultats négatifs ou discutables n’ont pas été publiées dans la littérature scientifique Ce sont les conclusions d’une étude publiée dans le Journal of American Medical Association

Vous exposez avec précision la façon dont les études sont biaisées, qu’en est-il exactement
C’est le problème des essais pré-cliniques et cliniques. Les premiers sont effectués dès lors qu’une molécule est mise au jour par un laboratoire universitaire et attire l’intérêt de l’industrie pharmaceutique. Ce choix ne se fonde jamais sur des questions de santé publiques mais exclusivement sur l’ampleur du marché et la probabilité de développement rapide de la molécule. L’industrie parle alors de molécule fertile ou mature. Les recherches sur une molécule dont le créneau est trop mince ou dont le développement apparaît trop long, sont abandonnées. Les dirigeants des grands laboratoires misent au «pif», à l’intuition. Une fois sélectionnée, la molécule est soumise à des essais dits pré-cliniques pendant deux ou trois ans. Au cours de cette phase, on observe sa toxicité et son efficacité chez l’animal. Environ 90% des molécules testées durant cette étape doivent être rejetées, car trop peu efficaces ou trop toxiques. Les plus convaincantes vont être alors étudiées chez l’homme pendant quatre à huit ans par des essais cliniques. J’affirme, avec beaucoup d’autres que tous sont biaisés, filtrés, interprétés, truqués.       Ce sont les laboratoires eux-mêmes qui définissent le nombre de malades à recruter, selon la confiance qu’ils accordent à l’efficacité de la molécule. Moins la molécule leur semble efficace, plus ils sont contraints de recruter un nombre élevé de patients, pour espérer atteindre un niveau de signification statistique. Mais même le choix de ces malades est biaisé.
Comment cela?
Les critères d’inclusion, définis par les laboratoires, visent à recruter des personnes plus jeunes et moins malades que dans la vie réelle. Ensuite, des médecins sont rémunérés au nombre de malades qu’ils recrutent. De cinq à dix mille dollars. Ils leur arrivent de ne pas respecter les critères pour réunir le plus grand nombre de malades possible. Comme les médecins des hôpitaux universitaires sont trop exigeants et très contrôlés par des comités d’éthiques, l’industrie s’adresse de plus en plus aux CRO (Clinical Research Organisation), organismes financés par des laboratoires et chargés de recruter pour elle les malades, de préférence dans des pays low-cost: Europe de l’Est, Afrique, Asie ou Amérique du Sud. Plus le nombre de pays est important, plus le marché est internationalisé et in fine rentable. Les essais peuvent se dérouler ainsi dans 5 à 30 pays différents, suivis par 100 à 500 médecins. Les résultats bruts sont envoyés aux laboratoires. L’industrie pharmaceutique les façonne ensuite.
Et dans le plus grand secret.
Exactement. Les médecins de la firme s’attachent alors à mettre en exergue des résultats positifs, à les magnifier, quitte à masquer des effets secondaires qui pourraient faire de l’ombre à un marché lucratif. Les accidents cardiaques du Vioxx en sont un bon exemple: ils étaient connus par la firme dès 1999. Elle ne les a pas communiqués à l’agence du médicament américaine et trois ou quatre ans plus tard, les accidents cardiaques se sont multipliés. C’est la firme elle-même qui retire alors le médicament en espérant qu’on ne parlerait plus de ces accidents. Les victimes – on estime qu’il y a eu entre dix mille et quarante mille morts – ont alors porté plainte. La firme a été condamnée à leur payer 4,7 milliards de dollars. En France, trois malades seulement ont pu être indemnisés à hauteur de 400.000 mille euros au total.
Il est important que l’industrie pharmaceutique subventionne les recherches universitaires sur le médicament mais il est inacceptable que ceux qui ont menés les recherches soient, après coup, les évaluateurs du médicament. Ils ne peuvent être juges et parties. À la fois, experts sur la qualité du médicament et portes voix de l’industrie pharmaceutique. Je ne vous donnerai pas les noms, mais parmi les universitaires, tout le monde les connaît. Ce devrait être aujourd’hui l’heure d’un Grenelle du médicament pour remettre à plat toutes ces dérives et parvenir à faire travailler ensemble l’industrie et la recherche publique. Il faut que l’Etat finance fortement cette démarche sur le CIR (crédit impôt recherche). Sinon la France restera la lanterne rouge des découvertes de médicaments et entièrement dépendante de l’étranger pour soigner ses malades.

Médicaments rejetés lors des essais cliniques
Le laboratoire commanditaire des essais cliniques est propriétaire des résultats, il peut décider ou non de les publier dans la presse médicale. Les médecins investigateurs et les cobayes sont tenus au secret médical. Malheureusement, ne publier que les résultats positifs ne fait pas avancer la sûreté des médicaments.
La quasi totalité des médicaments candidats sont rejetés pendant les essais cliniques pour cause d’inefficacité ou de toxicité mais on entend rarement parler des effets indésirables subis par les cobayes humains. De par sa gravité, la tragédie du TGN1412 a fait couler de l’encre et sérieusement remis en question l’utilisation du modèle animal pour développer et tester les médicaments destinés à l’humain.
En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l’anticorps monoclonal TGN1412.
Moins d’une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d’une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d’un des jeunes hommes a tellement enflé qu’il avait l’impression qu’elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d’un autre volontaire a triplé de volume.
Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d’entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d’une gangrène.
Les six hommes ont tous de graves défaillances d’organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d’après le Professeur Richard Powell, de l’Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7

90% de non-reproductibilité
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité

bad pharma le côté sombre de l’industrie pharmaceutique
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
 
Un pionnier de l’ »analgésie multimodale » se révèle être « Le Madoff de la recherche médicale », un pur produit du système… Car l’anesthésiste Lyrica Pfizer.jpget algologue Scott S. Reuben n’est qu’un épiphénomène d’un domaine de la médecine – la recherche médicale financée par les laboratoires privés – structurellement encore plus vulnérable que les autres aux corruptions, mensonges, conflits d’intérêts et autres fraudes.
 
« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »
 
Plus de la moitié des résultats d’études sont faux ! : Lors d’un projet baptisé «Reproducibility Project» une équipe de 270 jeunes chercheurs américains ont renouvelé la mise en place d’une centaine d’études afin de vérifier les résultats obtenus en première instance. Protocoles identiques, échantillons similaires, mais des résultats différents, en gros, moins de la moitié de ces contre-études, à peine 40% des cas, sont arrivées aux mêmes conclusions que les premières recherches.
La revue britannique The Lancet, généralement reconnue comme une des meilleure publications médicales au monde, vient également confirmer ces conclusions :

« L’une des choses pratiques chez les patients inexistants est qu’ils ne meurent jamais ou n’ont pas d’effets secondaires sur le traitement »

Les essais cliniques sont manipulés

Le côté caché des essais cliniques

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