Octobre rose (dépistage systématique du cancer du sein) : la grande escroquerie

Comme tous les traitements du cancer,issus de la médecine moderne, celui du cancer du sein, peut tuer la victime.

Contrairement a ce que l'on nous raconte.
 
cancer sur ordonnances
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage."
 
"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies."  extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
 
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
 
 

Le scandale d'octobre rose

Dépistage systématique du cancer : escroquerie

Octobre rose : la grande escroquerie

Cancer rose

L’industrie du ruban rose

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L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques

Mammo : oui ou non

Le danger possiblement mortel des surdiagnostics du cancer du sein

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Courir pour le cancer du sein est une arnaque

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Dépistage systèmatique du cancer du sein : pour le profit

Le dépistage organisé du cancer, remise en question

Dépistage des cancers, le surdiagnostic par Bernard Junod

Peter Gotzsche : Mammographie non merci

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Le dépistage du cancer du sein , que faut-il en penser ?

Depistage du cancer du sein

Conférence : Le cancer est une maladie curable

"on meurt autant du cancer du sein, aujourd'hui qu'en 1960, alors que l'augmentation des guérisons n'est due qu'aux surdiagnostics"

vers la 22 ème minute

Dr. Fernand Turcotte - Surdiagnostique, surtraitement

Octobre rose : stop !

Cancer rose

Octobre rose, des mammographies inutiles et dangereuses !

Carcinome canalaire in situ : le cancer du sein le plus fréquent. Dans 98% des cas, ce cancer ne tue pas.

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SURDIAGNOSTICS ET CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES

"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies."  extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
 
formindep
 
"D'ailleurs, l'examen de femmes"saines" agées de plus de cinquante ans ne révèle en moyenne que deux ou trois cas pour mille femmes examinées.Ni les frottis, ni les mammographies ne peuvent donc être considérés comme de bons tests. En effet sur cent tests "positifs", 90 à 99% d'entre eux sont des "faux positifs"
 
On peut donc estimer le nombre moyen de surdiagnostics à une centaine par jour en 2008, sans compter les cancers « in situ ».
 
revue prescrire : L'autopalpation des seins est déconseillée car elle augmente sans bénéfice le nombre d'investigations invasives.
environ 60 % des anomalies dépistées en France sont en fait des "faux positifs"
 
Les Mammographies de dépistage, car elles ne prolongent pas la vie, alors qu’elles rendent beaucoup de femmes en bonne santé, malades par l’intermédiaire de surdiagnostic et conduit à la mort prématurée pour certains parce que la radiothérapie et la chimiothérapie augmente la mortalité lorsqu’ils sont utilisés pour d’inoffensifs cancers détectés lors du dépistage.
 
Le nombre estimé de surdiagnostics en France est de 36 000 cas par an, pour le seul cancer du sein. Cent femmes par jour sont ainsi diagnostiquées et traitées inutilement.
...Guérir des faux cancers – grâce aux surdiagnostics – donne l’illusion que la médecine progresse, mais la réalité est tout autre. En France, selon les statistiques de mortalité, le risque de décéder d’un cancer du sein fut pratiquement identique en 1980 et en 2005. On peut donc douter que la précocité des traitements chirurgicaux, par radiothérapie et par chimiothérapie, ait amélioré les chances de guérison
 
Comment les conflits d’intérêts mènent-ils à traiter inutilement des surdiagnostics, à savoir des « cancers » qui n’auraient pas eu de conséquence sur la vie des patients s’ils n’avaient pas été découverts ?
 
« [...] une réduction du nombre de faux diagnostics entre directement en conflit avec des intérêts financiers considérables ». En effet, « En France, les dépenses pour le traitement médicamenteux des vrais et des pseudo-cancers ont passé de 473 millions en 2004 à 847 millions en 2007. ».
 
Selon nos estimations, le niveau de surdiagnostic dans les pays avec les programmes organisés de dépistage est d'environ 50%
 
Le surdiagnostic des cancers du sein mène à des traitements inutiles dans un cas sur trois : Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles
 
La question n’est plus de savoir si, mais combien de fois, il se produit
 
Les relations de la nutrition et des vitamines avec la genèse et la prévention du cancer sont de plus en plus évidentes. Dans un protocole clinique, 32 patientes ayant un cancer du sein «à haut risque» ont été traitées avec des antioxydants, des acides gras et 90 mg de CoQ10. Six des 32 patients ont présenté une régression partielle de la tumeur. Dans l'un de ces 6 cas, la posologie de CoQ10 a été augmentée à 390 mg. En un mois, la tumeur n'était plus palpable et en un mois, la mammographie confirmait l'absence de tumeur. Encouragés, un autre cas ayant une tumeur du sein vérifiée, après une chirurgie non radicale et une tumeur résiduelle vérifiée dans le lit de la tumeur, a ensuite été traité avec 300 mg de CoQ10. Après 3 mois, la patiente était en excellente condition clinique et il n'y avait pas de tissu tumoral résiduel. L'activité bioénergétique de la CoQ10, exprimée en activité hématologique ou immunologique, peut constituer le mécanisme moléculaire dominant, mais non le seul, à l'origine de la régression du cancer du sein."

Les traitements médicamenteux

 
Une étude comparative allemande antérieure a révélé que les femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein et ne suivant aucun traitement vivent plus longtemps. L’étude recommandait donc à celles répondant à ce cas de figure de s’abstenir. 6 Cet avis confirme la découverte d’Ernst Krokowski, professeur de radiologie allemand qui démontra de façon concluante que la métastase était généralement provoquée par une intervention médicale, dont parfois la seule biopsie ou une chirurgie sans rapport avec le cancer.7 L’intervention sur une tumeur fait passer un nombre beaucoup plus important de cellules cancéreuses dans le sang, tandis que la plupart des procédures médicales (en particulier la chimiothérapie) détruisent le système immunitaire.
 
Les scientifiques ont constaté que, tout en réduisant les tumeurs, la chimiothérapie ouvre une porte d'entrée pour que les cellules du cancer du sein se répandent dans le sang et d'autres parties du corps.
 
deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers peuvent favoriser le développement des tumeurs cancéreuses
 
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
 
Cette autorisation hasardeuse de mise sur le marché d’un médicament inutile et dangereux illustre la dérive des agences du médicament
 
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).
 
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.
 
L'institut Curie, machin qui ne vit que des essais cliniques et de l'argent public, écrit des articles dithyrambiques en son site, sur l'immunothérapie dans le cancer du sein (voir LA), tandis que les émissions télévisées grand public font de même Allodocteurs), et alors que l'on vante le 3 juin 2016 (ICI) les mérites d'une autre molécule (erlotinib ou Tarceva) prônée dans des indications similaires et qu'on apprend le 6 juin (mais pas par les mêmes canaux) que les laboratoires qui le promeuvent sont condamnés par la justice américaine à 67 millions de dollars d'amende pour avoir menti sur les durées de survie et pour avoir tant vanté ses effets que des praticiens, des (c)oncologues, l'ont prescrit en première intention et non en deuxième intention comme l'AMM le préconisait (voir LA). Pour les grincheux, pour ceux qui pensent que La Revue Prescrire est un nid de gauchistes, d'ayatollahs, d'anti capitalistes, je ne peux m'empêcher de citer la revue qui écrivait en 2007 (!) combien cette molécule était surévaluée et combien les experts étaients sous influence : LA.
 
Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins) : Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
 
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie
 
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
 
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)  :
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prix d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe. Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens traitements. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours.
 
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
 
Environ un millier d’études publiées traitent le tamoxifène et le cancer de l’endomètre. Une analyse de plusieurs études à grande échelle montre que le tamoxifène double le risque d’une femme pour le cancer de l’utérus en cas d’utilisation d’un à deux ans, et il quadruple dans les cinq ans. La plupart des gens ne savent pas que le tamoxifène était initialement considéré comme une pilule contraceptive, car il interfère avec la capacité de l’utérus à maintenir une grossesse !
En avril 1996, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré le tamoxifène comme étant un cancérigène connu, mais AstraZeneca continue à commercialiser ce médicament toxique. Le 16 Mai 2000, le New York Times a rapporté que l’Institut national des sciences de la santé environnementale des substances l’a énuméré comme cancérogènes connu. Le tamoxifène a donc été inclus dans cette liste ! Prendre une substance cancérigène pour arrêter la propagation du cancer, c’est comme jouer « à la roulette russe » avec un pistolet en pleine charge ! La revue Science a publié une étude de la Duke University Medical Center en 1999 montrant qu’au bout de deux à cinq ans, le tamoxifène a initié la croissance du cancer du sein !
Dans un article publié en 1994, Betty Martini a écrit «Le tamoxifène a été testé et re-testé depuis plus de 15 ans. Les testeurs ont admis la fraude, de nombreuses contre-indications ont été tout simplement ignorées, des résultats d’essai ont été limités dans le temps et les séquelles non comptabilisées, bien que les femmes tombèrent malades et certaines d’entre-elles en sont mortes. Les essais ne prouvent pas la que la substance fonctionne, donc ils en font plus encore, avec votre argent. Ils vont poursuivre les tests jusqu’à ce qu’ils puissent trouver un moyen de truquer les résultats en faveur des femmes en bonne santé, afin qu’elles achètent du poison pour une maladie qu’elles n’ont pas, mais le médicament le leur donnera ! « 
 
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
 
Le docétaxel, une molécule extrêmement répandue pour traiter les cancers du sein, est dans le viseur des autorités sanitaires. Après avoir reçu leur traitement, plusieurs femmes ont été victimes d'entérocolite, une inflammation simultanée des muqueuses de l'intestin grêle et du côlon. Parmi elles, cinq sont décédées
 
Tout cela pour peut-être trois mois de stabilisation tumorale et cinq mois de plus de survie globale tout en insistant sur la meilleure tolérance. Progrès qui restent à confirmer cinq ans après cette publication triomphale. Nous ne sommes plus dans l’information, mais dans la propagande
 
 
effets secondaires taxol
 
Or docétaxel, taxol ou taxotère, tous ces produits sont issus de la même molécule, le paclitaxel, un poison puissant que l’on trouve dans la nature au sein de champignons et certaines sortes d’ifs, et qui empêche la mitose (multiplication) des cellules. Aujourd’hui, un certain nombre de personnes faisant appel à l’association suivent des protocoles de chimiothérapies utilisant ces produits. Que répondre à leur questionnement sur la toxicité de ces chimios ?
Qu’effectivement, le paclitaxel, comme toutes les molécules utilisées pour les chimios, est avant tout un poison et que, de ce fait même, il agit comme tel, tuant les cellules cancéreuses mais attaquant également indifféremment les cellules saines et une partie de l’organisme. Résultat : des effets secondaires très lourds tels que la diminution des globules blancs, des plaquettes et des globules rouges, la perte de cheveux et l’inflammation des muqueuses, en particulier de la bouche. Egalement une atteinte des nerfs périphériques, parfois sévère, un risque de rétention hydrique (ascite, épanchements pleuraux ou péricardiques), des réactions cutanées, des réactions d’hypersensibilité à l’injection…
En outre, si la chimiothérapie, dans le meilleur des cas, va tuer une grande partie des cellules cancéreuses, elle ne guérira pas le malade du cancer : celui-ci étant la conséquence d’une inflammation (à ce propos, relire : http://www.cancer-et-metabolisme.fr/cancer-et-metabolisme/), le cancer restera en latence tant que l’inflammation ne sera pas traitée…
 
Taxol / la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la maladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine

Dites NON a Herceptin / Trastuzumab

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Chimothérapie : Les anticorps monoclonaux / mab, pour immunothérapie : Herceptin, Rituxan ou MabThera, Campath / MabCampath / Campath-1H / Lemtrada, Erbitux, Avastin / Bevacizumab, Envrel, Humira, Tsa

"Les anticancéreux mis sur le marché dans les 15, 20 dernières années sont inutiles et dangereux"

après plusieurs années de suivi, pour 86 % de ces 36 médicaments, il n’existait toujours pas de preuve d’une amélioration de la durée de survie
 
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfractaires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois): LA

85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
 
sont des renoncements de la part des oncologues qui ne peuvent faire autrement que continuer le traitement pour ne pas désespérer Billancourt, pour ne pas avoir à dire dire aux malades et à leur famille "Nous avons échoué" comme n'importe quel médecin traitant le dirait à son malade de trente ans. Elle sait mais ne dit pas que nombre d'essais cliniques sont menés  sur des cadavres ambulants en dépit de toute éthique, en faisant des promesses fallacieuses, en promettant la guérison à des patients qui sont déjà morts... Elle ne dit pas non plus que la finalité de ces essais est d'obtenir une AMM, une facile AMM, un prix considérable, facilement considérable, car, que voulez-vous, si on sauve un patient, il n'y a pas de prix, en cachant les effets secondaires ou en les minimisant et qu'ils permettent aux expérimentateurs de faire les malins dans les congrès en lisant des textes qu'ils n'ont souvent pas écrits en s'aidant d'écrans power point composés pour eux et aux frais de leurs maîtres big pharmiens.
 
 plus de la moitié d'entre eux mis sur le marché dans l'Union européenne entre 2009 et 2013 n'ont pas cliniquement prouvé leur efficacité à combattre le cancer, ni même à améliorer le bien-être des patients.
 
C'est là des modalités de traitement modernes se dirigent. Mais si vous regardez de plus près la recherche, vous pouvez voir que la toxicité (réactions indésirables aux médicaments), ainsi que les coûts élevés de traitement des patients sont les deux préoccupations importantes qui doivent être pris en considération par les patients qui sont prêts à accepter la traitements. En examinant les dernières recherches, les patients qui ont reçu une combinaison de médicaments stimulant immunitaire pour certains cancers du mélanome (qui ont pu tolérer les effets secondaires), vu leur vie prolongée par environ 11,5 mois , à un coût de 300 000 $ par année en laissant souvent leur familles confrontées à des difficultés financières. Ou cet article:  Hype généralisée donne de l' espoir faux pour les patients du cancer . En outre, quels sont les risques des thérapies immunitaires? Cet article explore cette question pour vous.
 
ne serait efficace que chez 33% des 20% de femmes réceptives et pour une petite amélioration, soit :chez ces 7% (environ) de femmes. Mais cela rapporte 5 milliards de dollars par ans au labo..
 
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet) :
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prix d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe. Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens traitements. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours."
 
engendré par les anticorps monoclonaux La LEMP constitue une démence subaiguë notée par l'apparition progressive de troubles neurologiques divers (déficits sensitifs et/ou moteurs, troubles du comportement, syndrome cérébelleux), fonctions de la localisation des lésions cérébrales. Elle évolue vers la mort en quelques mois.
 
approuvé en 2003 aux États-unis, comme médicament injectable administré une fois par semaine pour traiter le psoriasis en plaques chez les adultes. Le Raptiva, anticorps monoclonal humanisé ayant un effet immunosuppresseur sélectif, a été prescrit dans le traitement des patients adultes atteints de psoriasis en plaques intolérants ou présentant une contre-indication à d'autres traitements systémiques tels que la ciclosporine, le méthotrexate ou la PUVA thérapie.
Il est suspecté de déclencher des leuco encéphalopathies multifocales progressives, des polyradiculonévrites inflammatoires dont des cas de syndrome de Guillain-Barrésyndrome de Guillain-Barré. Le 16 octobre 2008, la Food and Drug Administration (FDA) souligne les risques des infections potentiellement mortelles suivantes : infection bactérienne, méningite virale, infection fongique généralisée, leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP)6.
Autorisé en Europe en 2004, commercialisé en 2005, il est retiré du marché en 2009.
Actuellement pour être accepté par les instances pharmaceutiques et sanitaires , un nouveau médicament n’a pas le devoir ou l’obligation de démontrer  que son efficacité est supérieure au médicament  déjà utilisé, ni que sa toxicité soit moindre ou égale. Ceci est un scandale.
 
L'idée ici est que vous prenez des antigènes provenant de cellules cancéreuses, injectez-les, par exemple, souris et récoltez les anticorps. Ils peuvent ensuite être fusionnés avec, par exemple, des cellules de mélanome, ce qui entraîne des hybrides de plongée rapide. La partie des souris est alors «nettoyée», en supprimant autant que possible sinon tout, par génie génétique. Le résultat est un «médicament qui a généralement un nom se terminant par« mab ».
Ils peuvent stimuler une réponse immunitaire, d'autres peuvent se lier à la surface des cellules cancéreuses, et d'autres interférent avec les protéines produites par des cellules cancéreuses qui les aident à prendre le contrôle du corps du patient.
 
avastin (anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de mortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).
 
Avastin / Bevacizumab
"Incroyable ! Contre le cancer, l'un des médicaments les plus prescrits par les médecins est non seulement inutile, mais potentiellement dangereux."
 
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois. ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.
 
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie
 
Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins) : Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…
 
Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)
 
Le taux de survie à un an est de 66 % pour le groupe placebo contre 72 % pour le groupe Avastin. Par contre, les résultats provisoires concernant la survie globale du patient en cas de prise d’Avastin " ne se sont pas révélés statistiquement significatifs
 
L’agence américaine des médicaments (FDA) a décidé de retirer du marché l’Avastin, dans le cancer du sein, et met notamment en cause son inefficacité et des effets secondaires graves. « Les femmes qui prennent de l’Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s’exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie », avec des risques de crise cardiaque, d’hypertension ou d’hémorragie potentiellement fatales.
 
utilisées pour traiter certains cancers, sont censées travailler en bloquant la protéine favorisant la croissance des vaisseaux sanguins, appelée facteur de croissance endothéliale vasculaire, ou VEGF. Malheureusement, de nouvelles recherches récemment publiées dans la revue Nature, montrent que c’est faux. En fait, loin de fragiliser les vaisseaux sanguins pour « tarir » les tumeurs malignes, ces traitements anticancer, connus sous le nom de drogues anti-angiogenèse, normalisent et renforcent les vaisseaux sanguins, ce qui veut dire qu’ils sont capables de stimuler la croissance de tumeurs plus grandes.
 
Le coût efficacité paraît prohibitif (100 000 euros environ par qualy gagné - qualy : nombre d'années gagné pondéré par la qualité de vie). syndrome de leuco-encéphalopathie : "Ce syndrome peut être réversible s'il est reconnu et traité rapidement. Chez les patients qui présentent un tel syndrome on recommande un traitement des symptômes spécifiques, y compris la maîtrise de l'hypertension, ainsi que l'arrêt de l'AVASTIN".
 
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
 
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
 
Par nicole Delépine
 
Et toujours pas d'évaluation globale des anticorps monoclonaux en vue...
 
Immunothérapie X-geva / denosumab...
ces médicaments ont été généralement inefficaces pour l'un des types les plus courants, le cancer de la prostate.
Trastuzumab (Herceptine®)
 
Nombre d'Acm ont une activité mutagène, cancérogène ou sont toxiques pour la reproduction.
synagis / palivisumab, mabthera / rituximab, mabcampas / alemtuzumab, soliris / eculizumab, arzera / ofatumumab, herceptin / trastuzumab, bexxar / tositumomab, vectibix / panitumumab, avastin / bevacizumab, zevalin / ibritumomab tiuxetane, removab / catumaxomab, erbitux / cetuximab, adcetris / brentuximab vedotin, orthoclone okt3 / muromonab, simulect / basilximab, rmicab / infliximab, xollair / omalizumab, roactemra / tocilizumab, cimzia / etanercept, cimzia / certolizumab pegol, enbrel / etnercept, (humira, trudexa) / adalimumab, orencia / abatacept, arcalyst / rinolacept, ilaris / canakinumab, nplate / romiplostim, stelara / ustekinumab, simponi / golimumab, benlysta / belimumab, reopro / absiximab, lucentis / ranibizumab, (prolia, xgeva) / denozumab
 
Selon une étude britannique, 57% des médicaments mis sur le marché européen entre 2009 et 2013 n’apportent aucune amélioration aux patients.
Sur ces 68 nouveaux traitements, 39 d'entre eux (soit 57%) ont reçu le feu vert de l'Agence sans avoir démontré une amélioration de la durée de vie ou de la qualité de vie des patients par rapport aux traitements existants - les principaux paramètres pour évaluer l'intérêt d'un nouveau médicament.
 
L'autre point noir de Kymriah, et non le moindre, c'est son prix. Le traitement étant personnalisé, chaque patient doit débourser 475.000 dollars (400.000 euros) pour en bénéficier. Les malades pour qui le traitement n'aurait pas fonctionné, n'auront rien à payer, a promis Novartis.
 
s'agissant des immunothérapie (les traitements les plus innovants). Seuls 3 % des Français sont en phase avec la réalité de traitements dont les prix vont de 80.000 à 116.000 euros , en attendant certaines thérapies cellulaires facturées 400.000 euros aux Etats-Unis.
 
anticorps monoclonaux (entre autres)
conférence en vidéo. Effet secondaire des anticorps monoclonaux : leucoencéphalopathie

CHIRURGIE ET RADIOTHERAPIE DU CANCER DU SEIN

Finalement, tous les types et toutes les combinaisons de traitements conventionnels contre le cancer du sein semblent présenter les mêmes faibles taux de survie à long terme. Pire encore, Michael Baum, grand chirurgien britannique spécialiste du cancer du sein, a découvert que dans le cas d’atteinte de cet organe, la chirurgie avait tendance à augmenter le risque de rechute ou de décès dans un délai de trois ans. Il a également établi que la chirurgie accélérait le développement de la maladie en stimulant la formation de métastases dans d’autres parties de l’organisme.5
"Ce sont les métastases qui tuent, alors que les tumeurs primitives en général, et celles du sein en particulier, peuvent s’avérer relativement inoffensives. Ces découvertes sont confirmées par de récentes recherches qui montrent que la chirurgie, même si elle n’avait rien à voir avec le cancer, pouvait déclencher une propagation explosive de métastases et entraîner une mort prématurée.8"
 
Le coté noir de radiothérapie
Dans son livre de 1990 "Cancer induit par irradiation à faible dose d'exposition:", le Dr Gofman,dans une analyse indépendante fournit la preuve humaine et physique que la cancérogenèse des rayonnements ionisants se produit aux doses et aux débits les plus bas imaginables. Cette découverte réfute les affirmations de certaines parties de la communauté des radiations selon lesquelles de très faibles doses ou doses peuvent être sans danger. En 1996, le Dr Gofman a exposé dans : "le dépistage du cancer du sein : l'histoire d'une cause majeure, prouvée et évitable de cette maladie" a révélé que ... "environ les trois quarts de l'incidence annuelle actuelle du cancer du sein aux USA , est principalement de sources médicales"
... En raison de la preuve évidente ci-dessus des dangers des rayonnements ionisants actuellement utilisés dans divers traitements médicaux, les médecins avisés comme le Dr Russell Blaylock (neurochirurgien), le Dr Margaret Cuomo (radiologue certifié), le Dr Francisco Contreras (oncologue), le Dr Keith Block (oncologue) et bien d'autres ont de sérieuses réserves quant à l'utilisation et à l'efficacité de la radiothérapie
 
un nouvel article intitulé «Le traitement par rayonnement génère des cellules souches cancéreuses résistantes aux traitements contre les cellules du cancer du sein agressives», publié dans la revue Cancer Le 1er juillet 2012, des chercheurs du département de radio-oncologie du Jonsson Comprehensive Cancer Center de l'UCLA rapportent que le traitement par radiation conduit réellement les cellules cancéreuses du sein vers une plus grande malignité.

Médecins du monde dénonce

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La vérité sur le programme de dépistage du cancer du sein

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Le grand mensonge du dépistage du cancer

LES MAMMOGRAPHIES PROVOQUENT LE CANCER

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Mammographie contre thermographie

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