Dépendance induite par les médecins, aux antidépresseurs
Introduction aux antidépresseurs
Dans son livre Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain(Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le Dr. Breggin appelle les soi-disant antidépresseurs « Des neuroleptiques déguisés » (p. 166).
Les antidépresseurs sont d’autre part :
« Presque tous les antidépresseurs, y compris les ISRS et les tricycliques ont des effets stimulants analogues aux amphétamines »
professeur peter breggin
extrait du livre noir du médicament : Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler.
« la fluoxétine est similaire à la cocaïne dans ses effets sur la sérotonine »
La dépendance induite par les médecins, aux antidépresseurs, sur internet
Toutes personne sujette à un syndrôme de sevrage est en droit de poursuivre en justice le médecin prescripteur, le pharmacien et le médecin conseil de la sécu (mise en danger de la vie d'autrui) ainsi que le laboratoire pharmaceutique (uniquement avec l'aide d'un médecin expert compétent en matière d'empoisonnement). Pour la France, je recommande d'éviter l'association aaavam. Les victimes d'un syndrôme de sevrage aux antidépresseurs sont environ : 78% pour effexor, 66% pour le déroxat / séroxat / paxil, 60% pour le zoloft et 55% pour les IMAO.
Collège royal des psychiatres:« Le retrait des antidépresseurs est grave, pas modéré »
Le sevrage de ces antidépresseurs sérotoninergiques, selon l'Organisation mondiale de la Santé, semble être encore pire que pour les benzodiazapines - qui ont déjà l'une des pires réputations pour la gravité du sevrage.
Dépendance et symptômes de sevrage On a caché que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ( la classe la plus prescrite d’antidépresseurs ) favorisaient le suicide et créaient une dépendance. Il convient de noter qu'il existe de nombreuses similitudes entre les symptômes de sevrage des médicaments benzodiazépine et antidépresseurles Dans une étude portant sur la différence entre le sevrage des ISRS et des benzodiazépines Nielsen et al (2012) ont conclu que «les symptômes d'interruption qui ont été décrits pour les benzodiazépines et les ISRS, étaient très similaires pour 37 des 42 des symptômes identifiés...se référant à ces réactions, dans le cadreÀ ces réactions dans le cadre d'un syndrome de dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais non sélectif Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, ne semble pas rationnel . » 20 Les expériences des organismes de bienfaisance chez les personnes se retirant soit d'un antidépresseur ou d'une benzodiazépine, soit les deux.Selon Baylissa Frederick, de Recovery Road: «Il n'y a pas eu de différence notable entreSymptômes vécus. Les deux peuvent être aussi horribles ... les deux peuvent être aussi intenses, aussi longues, et avec répercussions similaires» extrait non disponible sur internet : «il existe une accoutumance et une dépendance à ces molécules, exactement comme avec beaucoup de drogues"
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professeur Healy david : "La dépendance et les symtômes de sevrage à l'égard des antidépresseurs a été reconnue depuis le début des années 1960."
"Le syndrome de sevrage complique l'évaluation des patients après l'arrêt du traitement, puisque les deux patients et les médecins interprètent souvent l'apparition de symptômes comme une recrudescence de" l'anxiété "lié à la rechute naissante, et reprendre le traitement avec l'affaissement gratifiant de la« anxiété». Cela peut condudire à la fois les patients et les médecins à surévaluer l'importance du médicament pour la stabilité du patient »(Kramer et al 1961).La toxicomanie ou de dépendance thérapeutique de la dose normale doit être distinguée de la toxicomanie de la sorte causée par les opiacés et les amphétamines.La dépendance à la drogue thérapeutique peut donner lieu à des syndromes de sevrage durant des mois ou plus.Les sociétés n'ont pas été tenus de tester leurs médicaments de la toxicomanie thérapeutique avant la commercialisation....En effet, pour de nombreux patients, il sera plus difficile d'arrêter ces ISRS que ce serait d'arrêter les benzodiazépines...Il n'y a en fait aucune raison de distinguer cliniquement entre la dépendance à la dose: La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces » gélules miracle » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref, » la lune en gélules » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
Les antidépresseurs entraîneraient une dépendance et un sevrage à l'arrêt Les réactions de sevrage liées aux antidépresseurs les plus couramment prescrits semblent similaires à celles causées par les anxiolytiques |
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la dépendance aux antidépresseurs apparaît comme une douloureuse réalité pour beaucoup d’utilisateurs, alors que le problème n’existe pas officiellement.
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Bien que les premières observations concernant le syndrome de sevrage lié à l’arrêt des antidépresseurs date de 1961, il a fallu plus de trente ans pour que cette information soit largement répandue. Ce problème existe avec tous les antidépresseurs,
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ces médicaments, d’abord officiellement proclamé exempt de tout risque de dépendance, a été déclaré ensuite précisément à l’origine de dépendances.
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la toxicomanie, la dépendance et le syndrome de sevrage aux antidépresseurs par le professeurs Breggin
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Le Parisien annonce sur quelques lignes que « les fabricants du Deroxat®, l'antidépresseur le plus vendu dans le monde, reconnaissent qu'il crée un dépendance »
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Si les observations de pharmacodépendance aux AD tricycliques sont rares et anecdotiques, il en va différemment avec les nouveaux antidépresseurs : inhibiteurs de recapture des amines pressives en particulier
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L'OMS avait retenu l’année précédente quatre antidépresseurs (Deroxat, Prozac, Effexor et Zoloft) dans sa liste des dix substances présentant le plus fort syndrome de sevrage… devant la morphine et la méthadone, rien de moins!
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les antidépresseurs et les anxiolytiques entraînent certains risques. La preuve, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, le risque de dépendance vis-à-vis des antidépresseurs figure sur les boîtes de médicaments. Pas en France. professeur e Zarifian
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« les fabricants du Deroxat®, l'antidépresseur le plus vendu dans le monde, reconnaissent qu'il crée un dépendance »
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En décembre 2004 pourtant, l'agence de contrôle des médicaments britannique a émis un rapport avertissant que tous les antidépresseurs IRS peuvent être associés à des symptômes de sevrage
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Depuis 1990, un avertissement a été imprimée dans le Formulaire national britannique sur les symtômes de sevrage des antidépresseurs
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C’est pour cette raison que le traitement ne doit pas être interrompu brusquement.
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une association de médecins
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En France, de nombreux psychiatres estiment que les médicaments prescrits contre la dépression, dans de nombreux cas, étaient inappropriés. Mal prescrits, ces derniers peuvent en outre entraîner une forte dépendance
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Glaxo fait présentement face à des milliers de poursuites au sujet des effets secondaires du Paxil tels que l'accoutumance, la dépendance et un syndrome de sevrage sévère.
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Tous les médicaments psychiatriques ont le potentiel de provoquer des réactions de sevrage, y compris les antidépresseurs, stimulants, tranquillisants, neuroleptiques et stabilisateurs de l'humeur "tels que le lithium
Prozac, Deroxat and Co : drogues sur ordonnance Une étude danoise vient de donner raison aux patients en démontrant que les ISRS avaient la même toxicité que les benzodiazépines (BZD), la plus importante famille d’anxiolytiques.
Dès la mise à l’essai du Prozac, on savait que les ISRS pouvait engendrer une toxicomanie ou une dépendance et que l’interruption du traitement pourrait être difficile ou provoquer des symptômes de sevrage.En ce qui concerne le Prozac, cependant, ces symptômes sont parfois difficiles à cerner, car ils apparaissent des heures ou des jours après l’interruption du traitement ou la diminution de la dose. Le Prozac possède en effet une longue demi-vie biologique (c’est-à-dire la vitesse à laquelle la concentration du médicament dans le sang diminue). Ainsi, les symptômes de sevrage prennent parfois des heures, voire des jours, à se manifester, si bien que le patient ou les prestataires de soins n’établira pas nécessairement un lien avec le médicament. Les sociétés pharmaceutiques ont d’abord vigoureusement nié l’existence de tout symptôme de sevrage41. Jusqu’à 2001, les fabricants du Paxil prétendaient que les effets liés au sevrage ne dépassaient pas 0,0001 %. De 1992 à 1997, tout au long d’une campagne nationale de lutte contre la dépression menée en Grande-Bretagne et financée par le fabricant et le gouvernement (Defeat Depression [vaincre la dépression]), on a constamment réitéré le message suivant : les antidépresseurs ne sont pas toxicomanogènes. On a conseillé aux médecins de dire à leurs patients que les problèmes de sevrage liés aux ISRS étaient rares et peu graves. Dans le cadre d’une stratégie destinée à nier ou à minimiser le phénomène de dépendance associé aux ISRS, les sociétés pharmaceutiques ont mené une campagne concertée visant à redéfinir la notion de pharmacodépendance dans le DSM-IV (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Selon la nouvelle définition, la dépendance physique découlant de la tolérance aux médicaments ne serait pas suffisante en soi pour conclure à une « dépendance ». Il faudrait également qu’un patient manifeste un comportement « abusif » ou toxicomaniaque. Étant donné que la majorité des patients qui prennent des ISRS observent fidèlement les doses qui leur sont prescrites, on ne peut parler de surconsommation; par conséquent, au sens même de cette définition, il est impossible qu’un patient soit dépendant, et ce, même s’il lui est difficile ou impossible d’interrompre le traitement en raison des symptômes de sevrage qu’il éprouve. Selon Charles Medawar, « on décrétait unilatéralement que la “dépendance” était assimilée à la toxicomanie. Encore une fois, on considérait que les usagers étaient les seuls responsables de leurs problèmes de dépendance43 ». Les médecins et les pharmaceutiques ont diffusé cette nouvelle définition puisqu’elle exhonorait le médicament et le médecin prescripteur de toute responsabilité en cas de dépendance. En fait, c’est le fabricant du Prozac, Eli Illy, qui a signalé les effets de sevrage de ces médicaments. Son intervention visait le Paxil, un produit concurrent. Eli Illy a toutefois soigneusement évité l’expression « symptômes de sevrage », préférant l’expression « symptômes ou effets liés à l’interruption du traitement », plus inoffensive. Le fabricant a d’ailleurs conseillé à ses employés d’éviter le mot « sevrage » puisqu’il implique une accoutumance. Depuis, les recherches ont démontré qu’entre 35 % et 85 % des personnes qui cessent brusquement de prendre un ISRS éprouveront des symptômes de sevrage. Dans le cas d’un médicament à action brève comme le Paxil ou l’Effexor, ces symptômes peuvent apparaître quelques heures après l’interruption ou la diminution de la dose. En voici une liste non exhaustive : brusques sautes d’humeur, aggravation de la dépression, variations de l’appétit, insomnie, sensations de choc électrique et agitation. Étant donné que ces symptômes imitent le problème qui avait motivé la prescription du médicament (la dépression, par exemple), le patient et son médecin croiront qu’il s’agit d’une rechute. On prescrira parfois d’autres substances ou une plus forte dose pour neutraliser des symptômes qui auraient été causés par le médicament même. Les études par observation n’ont pas permis d’établir la durée des effets associés au sevrage. Les ISRS et d’autres médicaments apparentés sont abondamment prescrits par les médecins; ceux-ci sont pourtant peu nombreux à connaître leurs effets indésirables. Dans une enquête sur l’état des connaissances, Young et Currie ont découvert que 70 % des médecins ignoraient que les antidépresseurs pouvaient provoquer des épisodes de sevrage. Seulement 17 % d’entre eux ont précisé qu’ils mettraient leurs patients en garde contre cette éventualité
Cocaïne, alcool, antidépresseurs : « Le plus difficile a été l’arrêt des antidépresseurs »
Journal médical BMJ
Californie : procès contre Glaxo SmithKline (GSK) chargé la société pharmaceutique de ne pas mettre en garde le public sur les dangers de sevrage du déroxat / Paxil
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Les symptômes de sevrage identiques pour les benzodiazépines que pour les antidépresseurs
Il convient de noter qu'il existe de nombreuses similitudes entre les symptômes de sevrage des médicaments benzodiazépine et antidépresseurles Dans une étude portant sur la différence entre le sevrage des ISRS et des benzodiazépines Nielsen et al (2012) ont conclu que «les symptômes d'interruption qui ont été décrits pour les benzodiazépines et les ISRS, étaient très similaires pour 37 des 42 des symptômes identifiés...se référant à ces réactions, dans le cadreÀ ces réactions dans le cadre d'un syndrome de dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais non sélectif Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, ne semble pas rationnel . » 20 Les expériences des organismes de bienfaisance chez les personnes se retirant soit d'un antidépresseur ou d'une benzodiazépine, soit les deux.Selon Baylissa Frederick, de Recovery Road: «Il n'y a pas eu de différence notable entreSymptômes vécus. Les deux peuvent être aussi horribles ... les deux peuvent être aussi intenses, aussi longues, et avec répercussions similaires»
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Principes des addictions psychiatriques
Principes des addictions psychiatriques
...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible
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Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d'une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long termepsychrights
"Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux ."
Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau
C'est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c'est complètement faux. Nous n'avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n'ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.
principes de la médecine moderne
Des effets secondaires connus sont traitées comme si elles sont de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Dépendance, médicaments, drogues : définitions
"ce que les usagers ne savent pas c'est que l'abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement." M. Emafo Président de l’OICS.
neurotoxique médicaments, psychotropes, pesticides.... Dépendance : mission interministeriel de lutte contre la drogue (MILDT) Brutale ou progressive selon les produits, la dépendance est installée quand on ne peut plus se passer de consommer, sous peine de souffrances physiques et/ou psychiques. "En d'autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé " drogue " et un autre appelé " médicament
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Tout produit amenant à une dépendance physique ou psychique peut être qualifié de drogue
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Ces produits, autrefois appelés "drogues", correspondaient aux médicaments d’aujourd’hui
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«la dépendance physique se définit comme l'apparition de symptômes spécifiques lorsque la médication est brusquement interrompue».
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ISRS, Cocaïne, Amphétamine, Héroïne, Benzodiazépines, Neuroleptiques...
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La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
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L'effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l'ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
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La dépendance physique se traduit par des troubles organiques dès que la drogue cesse d'être consommée : c'est l'état de manque,
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video
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le cerveau
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Dangers !
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Les mensonges
C'est pourquoi : "Allez voir un psychiatre est la chose la plus dangereuse qu’une personne puisse faire" professeur peter Breggin (professeur de psychiatrie)
Les effets secondaires sont minimisés, banalisés ou carrément dissimulés aux patients Glaxo fait présentement face à des milliers de poursuites au sujet des effets secondaires du Paxil tels que l'accoutumance, la dépendance et un syndrome de sevrage sévère
"Le doute n'est plus de mise. Les antidépresseurs les plus prescrits ne sont guère plus efficaces qu'un placebo"
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antidépresseurs : "Ils n'entraînent pas de réelle dépendance physique."
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"Il est grand temps qu'il soit dit clairement que la théorie du déséquilibre de la sérotonine de la dépression n'est pas étayée par des preuves scientifiques ou par des avis d'experts. Biais de la publicité trompeuse de l'industrie pharmaceutique...
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"une agence du médicament en coma dépassé"
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docteur F. Baughman
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80 milliards de dollars par ans, c’est ce que rapporte le commerce des antidépresseurs
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Les antidépresseurs ne seraient pas aussi efficaces que ce qui est rapporté dans la littérature
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regard lucide sur les méthodes douteuses de marketing des firmes pharmaceutiques
Un nombre important de chercheurs croient que l'expression de " déséquilibre chimique " pour parler des causes physiologiques de la dépression n'est plus vraiment adéquate.
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Il n'ya pas de preuves scientifiques démontrant que d'un déséquilibre chimique
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"En réalité, la science N'a Pas la Capacité de Mesurer les niveaux de toutes biochimiques DANS LES minuscules espaces entre les cellules nerveuses (synapses) dans le cerveau d'un être humain.
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Contrairement aux prévisions, les personnes déprimées ne sont pas moins de sérotonine, et ils ne semblent pas avoir les déséquilibres prévisibles d'autres neurotransmetteurs, que ce soit.
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Il n’y a aucune preuve scientifique que les personnes dépressives souffrent d’une « carence en sérotonine »,
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"Il est grand temps qu'il soit dit clairement que la théorie du déséquilibre de la sérotonine de la dépression n'est pas étayée par des preuves scientifiques ou par des avis d'experts. Biais de la publicité trompeuse de l'industrie pharmaceutique...
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En bref, il n'existe pas de corroboration rigoureuse de la la théorie de la sérotonine, ...
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publicité consommateurs :les ISRS corrigent une «bio-déséquilibre chimique" causé par un manque de sérotonine dans le cerveau. Les allégations faites dans la publicité ISRS congruent avec des preuves scientifiques? PAS DU TOUT !
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La théorie du déséquilibre de la sérotonine A ETE Un outil de marketing pour les sociétés pharmaceutiques
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Aucune anomalie du métabolisme de la sérotonine Dans la dépression N'a jamais été »démontré
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ils ont déboulonné le "déséquilibre chimique" théorie de la dépression.
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"déséquilibre chimique" : l'escroquerie.
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Personne n'a identifié un déséquilibre biochimique dans la dépression qui pourraient influer sur ces médicaments.
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"Un déficit en sérotonine pour la dépression n'a pas été trouvée. ...
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Sérotonine et dépression : Deconnexion entre les publicités et la littérature scientifique (anglais)
La deficience de la serotonine dans la depression n'a jamais ete prouvé. «A serotonin deficiency for depression has not been found» Psychiatrist Joseph Glenmullen "En effet, aucune anomalie de la sérotonine dans la dépression n'a jamais été démontrée" Psyc
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Nous n'avons même pas une technologie, une technologie scientifique, permettant de mesurer ce qui se passe dans le cerveau ...Il y a littéralement une invention. " (note : ce n'est plus vrai pour le taux de serotonine)
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millepertuis guéri 24% des personnes qui ont déprimé reçu, et guéri Zoloft 25 pour cent -- mais placebo complètement guéri 32 pour cent. Le placebo est champion !
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Trois vidéos sur Fox New sur " la théorie du déséquilibre de la dépression. ils sont les auteurs d'un article publiée dans PLoS Medicine: "La sérotonine et dépression: un décalage entre les annonces et les scientifiques
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Parce Qu'un déséquilibre Soit fiable de Neurotransmetteur Été N'a jamais trouvé dans la dépression. - jamais.
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Glenmullen valoir à juste titre qu'il n'ya pas de preuve à l'appui du «déséquilibre chimique»
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Le seul déséquilibre chimique de votre cerveau a été mis là par la psychiatrie |
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Quelques liens antidépresseurs
procès, conseils,sevrage...prozac, norset, deroxat, effexor, paxil, cymbalta...Corruptions et fraudes
"Considérant les avantages et les risques, nous pensons cette préparation totalement inadapté pour le traitement de la dépression
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Apprendre tout sur le sevrage de tous les antidépresseurs: inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonineISRS et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (SNRI) ...
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La vérité sur le déroxat
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Toutes les infos sur l'effexor
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Il est important de se retirer très lentement de ces médicaments, généralement sur une période d'un an ou plus, sous la supervision d'un spécialiste qualifié. Sevrage est parfois plus sévère que l'original des symptômes ou des problèmes.
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antidépresserurs, benzodidazépines
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techniques et témoignages
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" La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur."
ex: La dernière initiative du gouvernement pour employer deroxat pour « la castration chimique »
Licence to (k)ill
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Antidépresseurs : dépendance et dangers
Les antidépresseurs provoquent de la dépendance (et de la dépression)
Témoignage
Bonsoir.(ce témoignage, comme quasi tous les autres, lorsqu'ils n'arrangent pas la médecine et les labos, a été censuré par doctissimo)
Je suis médecin généraliste et dépressive.
J'ai fait plusieurs dépressions sevères depuis mes 15 ans, et j'ai testé différents traitements.
J'ai d'abord testé pour vous l'absence de traitement: quand j'étais adolescente, personne ne s'en est aperçu ( merci mes parents), et je n'ai rien pris... Mon diagnostic est retrospectif. Ça a duré une année, et a retenti sur toute ma scolarité future, par les lacunes que cela a engendré. Un joli petit calvaire.
Puis j'ai pris de l'anafranil: efficace, je confirme la sécheresse de bouche et les tremblements. Pas de sd de sevrage à l'arrêt. Puis qq années plus tard, du prothiaden ( tricyclique). Moins d'effets secondaires. Effficace et pas... De sd de sevrage...
Puis du survector. Inefficace. Pas d'effet secondaire.
Depuis 10 ans maintenant, je prends des Irs. Citalopram en l'occurence. Efficace. Effet secondaire: constipation.
MAIS IMPOSSIBILITE D'ARRETER! À chaque tentative, même hyper progressive, par gouttes: apparition de symptomes hyper dérangeants, quasi insupportables!!! Non reconnus par les autres médecins, même étant dans la profession.
Je vais essayer de vous les décrire, ce n'est pas facile. Ça se passe par flashes, par élancements très fugaces mais très intenses. C'est dans la tête, souvent si je change mon regard, ou que je tourne la tête, ou qu'il y a un bruit subit, ou une lumière vive.
On dirait comme un bruit de rafale de vent, d'un quart de seconde, croissant, ou une vibration, accompagné d'une crispation de tout le corps, et surtout du visage, des yeux, du cou.
La première fois, ça surprend. Ensuite, on est de plus en plus dans une attente anxieuse de la prochaine salve. On devient crispé d'avance.
C'est hyper pénible.
La première fois où j'ai voulu me sevrer du citalopram, j'ai été surprise, mais j'ai perséveré, pensant que ça allait s'atténuer. J'ai tenu 2 mois, et j'ai craqué, j'ai repris le traitement. Impossible de le supporter plus longtemps. Ça n'avait pas du tout diminué!
Puis, j'ai fait une récidive dépressive sous citalopram. J'ai du augmenter le dosage. Ensuite, impossible de rebaisser au dosage d'avant!
J'ai voulu tester le escitalopram (séroplex) pour le cas où il y aurait moins ce pb. En fait, bien qu'ayant pris des doses assez fortes (20mg) j'avais ces symptomes de sevrage en fin de journée, en attendant la prise suivante! Je suis donc revenue au citalopram (40mg) avec enfin un peu de repos.
Puis j'ai refait une récidive dépressive sous 40 mg. Ne pouvant plus monter, je suis allée voir un psychiatre pour me faire aider. Jusque là, je m'étais soignée moi-même. J'ai 51 ans.
Le psychiatre (qui a zappé quand je lui ai parlé de mes sp de sevrage) m'a donné de la mirtazapine (tinset), à prendre tandis que je baissais progressivement le citalopram.
Ça marche, qq sensations flashes, mais pas trop rapprochées, supportables. Là, j'en suis à 1/4 de dose de citalopram (10mg) avec 45 mg de mirtazapine. J'espère arrêter d'ici qq jours le citalopram, sous couverture de la mirtazapine.
Mais arriverai-je plus tard à arrêter ce dernier médicament? Je crains fort que puisque les flashes sont très peu là, c'est que c'est bien le pb de l'inhibition de la recapture de la sérotonine, qui est en cause.
En tous cas, LE SYNDROME DE SEVRAGE AUX ISRS EXISTE BIEN! Je n'ai pas tenu plus de 2 mois avec lui.
Les antidépresseurs me sont indispensables, c'est clair, mais j'aurais préferé ne les prendre que de temps en temps. Aujourd'hui, je ne peux plus arrêter.
"Il est plus difficile de stopper les antidépresseurs que l'héroïne ou la cocaïne"
PAXIL/ DEROXAT ADDICTION STORY
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"Le médecin ne m'a jamais mentionné que l'on pouvait développer une dépendance à ce médicament là"
Les antidépresseurs provoquent des symptômes de sevrage qui peuvent être très sévères et peuvent durer des semaines, des mois ou des années. Ce n'est pas le retour de la maladie !
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Témoignage sevrage trop rapide du déroxat / paxil
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Dépendance induite par les médecins aux antidépresseurs
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Drogues, psychotropes et antidépresseurs
Effexor-Venlafaxine est un stupéfiant
"Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu'on leur donne"
CE N'EST PAS VOUS, CE SONT LES SYMPTOMES DE SEVRAGE AUX ANTIDEPRESSEURS
Dépendance et justice
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Syndrome de sevrage aux antidépresseurs
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Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que les drogues illégales
"Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que les drogues illégales"
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Dépendance aux antidépresseurs : l'OMS et les médecins nous racontent n'importe quoi !
Dépendance induite par les médecins aux antidépresseurs
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Génération zombie - Enquête sur le scandale des antidépresseurs
STOP AU NEGATIONNISME DES MEDECINS, STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !
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