Le cancer sur ordonnances

Introduction : la vérité sur le cancer

UN DOCUMENTAIRE D'INTRODUCTION  INCONTOURNABLE SUR LE CANCER

extraits :

« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer » docteur ben Johnson

 

« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. » docteur rashid Buttar

 

« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »

 

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"En d'autres termes, si vous y allez en premier , avec la médecine alternative, vos chances de survie sont de 90% ou plus, si vous faites ce qui est indiqué. Si vous y allez avec la médecine orthodoxe d'abord, puis avec la médecine alternative en second, vous subirez des année s de souffrance, et si vous êtes chanceux, vous aurez alors un ‘50%’ de chance de survie."

 

extraits : « Si d’aucun sont correctement informés des effets de la chimiothérapie sur le corps humain, ce sont bien les cancérologues qui prescrivent ce type de traitement à leurs patients. Or dans une étude parue en 2014 dans un journal en libre accès du nom de PLOS ONE, on apprend qu’une majorité assourdissante de cancérologues ne souhaiterait en aucun cas se voir administrer une chimiothérapie, si un diagnostic de cancer devait leur être annoncé. Parmi les milliers de médecins qui ont participé à cette étude, un pourcentage énorme de 88,3 % d’entre eux admettent qu’ils renonceraient pour eux-mêmes au type de « prise en charge lourde » qu’ils proposent à leurs patients. » page 107

"Il s'agit d'un cercle vicieux qui  ne peut-être rompu que par une prise de mesures appropriées, lesquelles ne comprennent la notion de chimiothérapie et de rdiothérapie en aucun cas." page 119

Cancer stop 1

Quelques causes iatrogènes du cancer : le cancer sur ordonnances

Lorsque l’on admet que l’origine d’un cancer est toujours causée par une inflammation, la solution apparait d’elle-même : combattre et faire disparaître cette inflammation.
 
Cette nouvelle n'est pas passée inaperçue dans le monde de la psychiatrie. Elle dit ni plus ni moins que la plupart des psychotropes seraient potentiellement cancérigènes. C'est ainsi que la FDA américaine vient de demander des études de carcinogénicité particulières pour les psychotropes
 
En plus de tuer plus de 5 millions de personnes au cours des dix dernières années, approuvé par la FDA, les médicaments psychiatriques provoquent un autre effet secondaire désagréable dont votre médecin n'a probablement pas entendu parler --ils augmentent considérablement le risque des utilisateurs de développer un cancer.

cancer du sein
une grande fréquence de mammographies : un risque accru de cancer
Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.

cancérogènes pour l'Homme - Partie A : produits pharmaceutiques
Diéthylstilbestrol, Thérapie de la ménopause aux œstrogènes seuls, Thérapie de la ménopause aux œstroprogétatifs combinés, Contraceptifs oraux œstroprogestatifs combinés, Tamoxifène,  Busulfan, Chlorambucil, Cyclophosphamide, Melphalan,  Sémustine (méthyl-CCNU), Thieotepa, Tréosulfan, Chimiothérapie combinée MOPP, Etoposide en association avec le cisplatine et la bléomycine, Etoposide (Groupe 2A en 2000), Chlornaphazine, Azathioprine,Ciclosporine, Méthoxsalen + rayons ultra violets, Plantes contenant de l'acide aristolochique, Acide aristolochique (Groupe 2A en 2002), Mélanges d'analgésiques contenant de la phénacétine, Phénacétine (Groupe 2A en 1987)    

iatrogènese: mot signifie littéralement "provoqué par le médecin" (français)
La seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 /an, dont une partie évitable ».
Les médicaments en cause incluent la famille des benzodiazépines, comme le témazepam, les non-benzodiazépines, comme le zolpidem, les barbituriques et les sédatifs antihistaminique
 
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
 
Les traitements anti-cholestérol sont 3 à 5 fois plus cancérigènes que le tabac ou l’amiante.
 
En conséquence, la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.
 
ces molécules, réputées jusqu'à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l'usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n'ont malheureusement pas pris le temps de lire l'ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
 
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
 
Un autre médicament tristement célèbre à cet égard est chlornaphazine. Chlornaphazine a été autrefois largement utilisé dans le traitement de la polyglobulie. Son utilisation a été associée à une incidence accrue de cancer de la vessie [ 5 ]. Le tamoxifène qui est utilisé comme agent d'appoint dans le traitement du cancer du sein porte également un potentiel cancérogène significatif. Par exemple, Mignotte et al. dans une grande étude de cas contrôlée a indiqué que le risque relatif de développer un cancer de l'endomètre chez les femmes qui ont été administrés tamoxifène était de 4,9 par rapport aux femmes qui n'ont pas reçu de tamoxifène
 
«Un médicament dangereux», «un anticancéreux qui donne le cancer».
 
dans PLoS ONE trouvé un risque accru de cancer du sein chez les femmes prenant un antidépresseur.
«Aucun des 4 études épidémiologiques pour lesquelles le chercheur principal (PI) avait des liens de l'industrie a rapporté une association positive entre la consommation d'AD et le risque de cancer. Parmi les 22 études pour lesquelles la PI n'avait pas de liens de l'industrie, 45% (10/22) rapporté résultats positifs. De même, aucune des études pré-cliniques 11 pour lequel le PI avait des liens avec l'industrie rapporté des résultats positifs pour le cancer. Parmi les 24 études pour lesquelles la PI n'avait pas de liens de l'industrie, 42% (10/24) ont indiqué que les annonces étaient cancérigènes , promoteurs de tumeurs, génotoxiques ou néoplasique. Ainsi, au total, aucun des 15 chercheurs qui avaient des liens de l'industrie ont fait des constatations positifs pour le cancer, comparativement à 43% des chercheurs sans liens avec l'industrie. Il y avait une relation statistiquement significative entre les liens de l'industrie des chercheurs et conclusions concernant DA et le cancer ". 
 
entre 11 et 15 ans avant la date d’échantillonnage a été associée à une augmentation significative du risque de cancer du sein chez les femmes ayant reçu, en moyenne, le plus de médicament au cours de la période
 
AVERTISSEMENT: Les somnifères peuvent être dangereux pour votre santé ou causer la mort par cancer, maladie cardiaque ou d'autres maladies.
 
B7 TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF (THS) DE LA MENOPAUSE ET CONTRACEPTIFS ORAUX
Depuis 1980, les oestrogènes sont utilisés pour réduire les troubles liés à la ménopause (bouffées de chaleur, ostéoporose, affections cardiovasculaires). Dans les années 90, on s’est aperçu que l’administration d’oestrogènes augmentait l’incidence des cancers du corps utérin, ce qui a conduit à administrer simultanément oestrogène et progestérone. En 1997, une méta-analyse des études effectuées (essentiellement des enquêtes cas-témoins) a montré une augmentation de l’incidence des cancers du sein chez les personnes traitées, augmentation qui disparaît dès l’arrêt de l’administration, ce qui est normal puisque les hormones sont des agents de promotion.
Il apparaît que 5 317 cas de cancer du sein et 1 120 décès par cancer du sein peuvent être attribués au traitement hormonal, soit 12,7% des cancers du sein et 10% des décès causés par ce cancer.
 
Alerte FDA ; Le finastéride peut augmenter le risque de cancer de la prostate
Autres effets secondaires : dysfontion éréctile et impuissance persistante, dépression, suicide…
 
2 firmes pharmaceutiques font pression sur des scientifiques pour cacher des effets secondaires graves …: augmentent significativement le risque de cancer du pancréas, de pancréatite et de cancer de la thyroïde
Risque de cancer du pancréas multiplié par 2,4 chez les patients sous sitagliptine et par 2 chez les patients sous exenatide.
Risque de cancer de la thyroïde multiplié par 3,4 chez les patients sous sitagliptine et par 7,6 chez les patients sous exenatide
 
PIOGLITAZONE (Actos®) anti-diabètique
Risque de cancer de la vessie, l’Afssaps met en garde – Afssaps
 
Trois études renforcent les vieux soupçons. Arznei-Telegramm demande le retrait du marché.
Le soupçon d’effet cancérigène, de cancérogénicité existait avant même que le médicament soit mis sur le marché.
 
alerte afssaps 2009


protopic (tacrolimus) : pour eczema
La FDA a émis un avis de santé publique pour informer les professionnels de la santé et les patients sur une risque potentiel de cancer de l’utilisation de Protopic

prempro pour ménopause

Effets secondaires: cancer du sein, cancer de l’ovaire, cancer de la vésicule, le lupus, la sclérodermie, Strokes, les caillots sanguins, l’asthme sévère, des embolies pulmonaire

L'une de ces dangereuses conséquences est l'augmentation du risque de cancer associé à long terme à l'hormonothérapie

scanners : cancers
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers

les pilules contraceptives sont cancerigènes : Pour la première fois, le risque est officiellement reconnu. Le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), dépendant de l’OMS, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes du «groupe 1», ceux dont l’action est «certaine».

les contraceptifs oestro-progestatifs sont des cancérogènes du groupe 1 - c’est à dire avec le niveau de preuve le plus important

Le cancer du sein est le plus fréquent à cause de la pilule contraceptive.
La pilule augmente le risque de cancer du sein, de l'utérus et du foie, car la prise est répétée pendant des mois, voire des années.

Après plusieurs années, certains patients développent une autre forme de cancer à la suite de leur traitement par chimiothérapie et la radiothérapie

parabènes : Liste noire de 400 médicaments cancérigènes
Les parabènes sont des conservateurs largement utilisés dans les cosmétiques, mais aussi dans des médicaments et certains aliments.

les neuroleptiques peuvent augmenter le risque de cancer du sein par l'intermédiaire de leurs effets sur la sécrétion de prolactine
Tous les neuroleptiques disponibles, y compris la réserpine, élever les niveaux sériques de prolactine

scanner médicaux et cancer
Quels sont les dangers? «A 20 ou 30 ans, explique de son côté le Pr Bourguignon, les personnes surexposées risquent de développer des cancers et, dans le cas d'utilisation de techniques interventionnelles (chirurgie sans ouvrir), il peut exister un risque de brûlure sévère de la peau»

Aucune exposition aux rayons X n'est considérée comme bénéfique
Des scientifiques américains ont averti vendredi que l'image scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays peuvent être dangereux.

tranquillisants ou neuroleptiques = cancer
Selon une étude parue dans la revue Arch. Gen. of Psychiatry, les femmes prenant des tranquillisants ou neuroleptiques, ont un risque accru de développer un cancer du sein. Cette analyse épidémiologique a porté sur 50.000 femmes traitées par un neuroleptique entre 1989 et 1995 et elles ont été comparées à des sujets témoins. Les auteurs constatent que le fait de recevoir ce genre de molécule augmente en moyenne de 16% le risque de cancer du sein. Cet effet est visiblement dépendant de la dose : le risque s'accroît en même temps que la dose et la durée du traitement. (Source Arch. Gen. of Psychiatry).

Le médicament miacalcic (calcitonine pour l'ostéoporose) favorise la croissance et les métastases des cancers de la prostate
communiqué de presse

danger du fluor
Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche ; autres méfaits : convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements.  ( au moins 300 médicaments contiennent du fluorure  )

Antibiotiques et cancer
Une étude épidémiologique a aussi mis en évidence[13],[14] que la prise d'antibiotiques était statistiquement associée à une augmentation modeste mais significative du risque de contracter certains cancers chez les participants ayant eu des prescriptions répétées d'antibiotiques[14]. Cette augmentation était de 20 à 50% du risque relatif par rapport aux personnes non-exposées


effroyable vérité sur le cancer du sein
D'après une étude publiée dans la revue de l’Association Américaine de Médecine, il est prouvé qu’il y a un Lien entre la prise d’antibiotiques et l’augmentation du risque du cancer du sein !

Le traitement hormonal substitutif provoque le cancer du sein : Cinq années de thérapie hormonale combinée double le risque, d’après une étude.

même si le médicament provoque le cancer chez les animaux, on le donne tout de même aux humains
Cidofovir peut induire de multiples effets secondaires: insuffisance rénale grave, maux de tête, fatigue, nausée, vomissements, fièvre et éruption cutanée. Il est déconseillé aux femmes enceintes. Même à de très faibles doses, le cidofovir est cancérigène lors de tests sur les animaux.

Les personnes qui prennent des bisphosphonates, médicaments pour consolider les os, pendant plus de 5 ans, courent deux fois plus de risque que les autres d'avoir un cancer de l'oesophage, montrent des chercheurs britanniques.

Liste IARC des produits et substances cancérigènes chez l’homme
Contraceptifs oraux (combinés, séquentiels), Diéthylstilboestrol, Érionite, Formaldéhyle, Iode.....

Les médias ont déjà dénoncé l’inefficacité et les effets dangereux du Victoza
ce médicament est connu pour provoquer des inflammations du pancréas, des réactions allergiques, des maux de crâne (très fréquents), des vomissements (très fréquents également), mais surtout le cancer de la thyroïde.

des chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire !
Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur.
Mais ce faisant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur.

traitements contre la stérilité et la leucémie aiguë de l’enfant
D’après une nouvelle étude de chercheurs français, les enfants nés de femmes ayant pris, afin de tomber enceinte, un médicament prescrit en cas de stérilité risquent deux fois plus que les autres de développer une leucémie.

La FDA alerte sur Proscar et Avodart : à éliminer !
Ces mentions légales avertissent désormais du risque accru qu'un cancer de la prostate de haut grade soit diagnostiqué sous ces traitements.


ritaline
Quelque 40 ans après que le médicament a été commercialisé par la société Ciba Geigy, les tests de cancérogénicité ont été menées au détriment des contribuables par le National Toxicology Program, dont les résultats ont été publiés en 1995. Des souris adultes ont été nourris Ritalin sur une période de deux ans à des doses proches de celles prévues pour les enfants. Les souris ont développé une incidence statistiquement significative d'anomalies et les tumeurs hépatiques, y compris les cancers rares hautement agressifs appelés hépatoblastomes. Ces résultats sont particulièrement inquiétants que les tests ont été effectués sur des adultes, plutôt que de jeunes souris qui seraient censés être beaucoup plus sensibles aux effets cancérigènes. Le National Toxicology Program a conclu que le Ritalin est un «cancérogène pour l'homme», et a recommandé la nécessité de poursuivre les recherches

antihypertenseurs : Le conseil du docteur michel de Lorgeril
"Tout faire pour ne pas avoir à prendre les médicaments de l’HTA"
"effets catastrophiques sur le risque de développer un cancer"

Les traitements de l’hypertension provoquent des cancers
Régulièrement, des auteurs très sérieux (généralement des épidémiologistes, parfois des médecins) travaillant pour un département de Santé Publique d’un gouvernement d’un pays développé) annoncent qu’ils observent plus de cancers chez des patients traités pour hypertension artérielle (HTA pour les intimes) avec un médicament.

Plusieurs types de médicaments pour l'hypertension artérielle ont été associées à un risque élevé de cancer.
Les Drs. Ilke Sipahi, Daniel I. Simon et James C. Fang ont terminé une analyse de plus de 60.000 patients désignés au hasard à prendre soit un placebo ou un médicament de la pression artérielle connue sous le nom de l'angiotensine-récepteur (ARB). Ils ont constaté que l'ARB est liée à un risque accru de cancer. Par exemple, le risque de cancer du poumon était de 25 pour cent plus élevé chez les participants prenant ARB que chez les sujets témoins. Ces résultats ont été publiés en ligne dans la revue "The Lancet Oncology" en Juillet 2010.
....Non seulement les bloqueurs des canaux calciques à action rapide été liés avec le cancer, mais ils ont été montré pour augmenter le risque de décès d'une crise cardiaque, dit le National Institutes of Health, qui dit aussi qu'ils doivent être prescrits avec prudence.

De nouvelles recommandations pour la prévention des maladies cardiovasculaires viennent (décembre 2013) d’être publiées
en mon nom personnel, je vais vous donner mon opinion : il devient de plus en plus visible que les personnes traitées pour une supposée HTA succombent plus souvent de chutes (dues à des pressions trop basses ou à des hypoglycémies, les deux provoquées par les médicaments) qu’à des accidents cardiovasculaires avérés … sans parler des cancers que nos experts n’osent pas encore attribuer à leurs médicaments antihypertenseurs, malgré des données convergentes …

Cancer du sein : des médicaments contre l'hypertension liés à un risque doublé
L'utilisation pendant dix ans et plus des anti-hypertenseurs de la classe des inhibiteurs calciques (ou antagoniste du calcium), qui est une classe très prescrite, était liée à un risque 2,4 fois plus élevé de cancer du sein canalaire (le plus fréquent) et 2,6 fois plus élevé de cancer du sein lobulaire.

L’exposition aux pesticides augmente le risque de tumeur cérébral
Les agriculteurs exposés à de forts niveaux de pesticides, mais aussi ceux qui les utilisent pour leurs plantes d’intérieur, ont un plus grand risque de développer une tumeur cérébrale, selon une étude publiée en ligne, dans la revue britannique spécialisée Occupational and Environmental Medicine.

RAYONS NOCIFS : Scanners et radios augmentent le risque de cancers
Une étude publiée dans le JAMA par le Dr. Rebecca Smith-Bindman, de l’université de Californie (San Francisco) et son équipe a trouvé que le nombre de scanners par millier de personnes a triplé aux Etats-Unis entre 1996 et 2010.  Ces chercheurs estiment que 2% des cancers à venir seront directement liés à l’exposition à ces rayonnements. Tout en soulignant l’intérêt de l’imagerie médicale pour la santé, ils demandent aux médecins de bien mesurer le rapport bénéfices risques, d’en informer le patient et de limiter ou retarder certains examens.

Dangerosité des vitamines de synthèse
Une étude récente publiée dans le Lancet (Lancet 2004;364) portant sur 170 000 personnes montre que des antioxydants de synthèse (vit. A,C,E +Sélénium) ne protègent pas contre le cancer mais plus encore que leur association avec du bêta carotène de synthèse augmente le risque de mortalité normale.

...Les produits de synthèse actuels n’ont rien à voir avec aucune des substances produites par la vie. Construits de toutes pièces, ce sont des corps morts et leur introduction dans l’organisme, du fait qu’il s’agit de corps chimiques étrangers à nos structures, provoque leur rejet. Ce rejet, hélas ne s’effectue pas sans léser divers organes de manière irréversible.

LES MAMMOGRAPHIES PEUVENT-ELLES DONNER LE CANCER ?
Il est loin d’être le seul dans son analyse et le NCI (National Cancer Institute) va plus loin en affirmant que ce chiffre s’élève à 40 % chez les femmes de 40 à 49 ans. L’Institut a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

risque lié a la radiologie
Dans le domaine des doses élevées (quelques dixièmes de Sievert ; voir chapitre " Le milli-Sievert, c'est quoi ? "  4.1.3mSv), de nombreuses études scientifiques (dont celles sur les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, celles sur les patients ayant suivi un radiodiagnostic ou une radiothérapie et celles sur des personnes professionnellement exposées) ont prouvé avec certitude l'existence d'un risque réel d'induction de cancers dans de nombreux organes dû au rayonnement. De nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 10% par Sievert pour des doses élevées. Ceci veut dire qu'on observera 10 cancers supplémentaires (dus au rayonnement) dans le cas où 100 personnes auraient été exposées à une dose de 1 Sievert.

La médecine classique n’a jamais admis que les vaccins pouvaient être carcinogènes.
Personne ne peut répondre à cette question car aucune étude n’a été menée en ce sens, pas plus que sur leurs risques mutagènes ou tératogènes. Or, les vaccins contiennent des substances carcinogènes. Ainsi, si vous téléphonez à l’Association américaine des pédiatres en leur demandant quelle est la dose maximum de dérivés de mercure, d’aluminium ou de formaldéhyde qui peut être tolérée par l’organisme d’un enfant, ils vous répondront que toute dose est dangereuse car ces substances sont toutes potentiellement carcinogènes. Or, elles se trouvent dans la plupart des vaccins. Si vous injectez vous-même ces produits à vos enfants, vous irez en prison mais si les médecins le font, ils ne risquent rien.

« La cause principale, sinon la seule cause de l’augmentation monstrueuse des cancers a été la vaccination ». Dr Robert Bell
Pourquoi permet-on aux mêmes acteurs de l’industrie et du gouvernement de jouer aux apprentis-sorciers avec la santé humaine? Pourquoi personne n’a-t-il été rendu responsable de ces crimes par négligence ou pire encore ?

Pesticides : Certains cancers multipliés par trois en zone viticole
«C’est d’ailleurs là-dessus que joue l’industrie dans son argumentaire. Sur certaines maladies, ce n’est pas le lien entre pesticides et maladies qui est faible. Ce sont les études qui sont faibles.»

ce sont les mêmes cartels industriels qui produisent les pesticides et les molécules chimiques sensé être des médicaments. Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
 
Il existerait, selon une étude de cohorte rétrospective taïwanaise récente, d’une durée de 5 ans et portant sur 59.647 sujets (17), une relation statistiquement significative entre la prise de benzodiazépines et le risque de can – cer, plus particulièrement du cancer hépatique, rénal et du cancer de la prostate et de la vessie. Une forte association existerait également chez les hommes entre la prise de benzodiazépines et le cancer du cerveau. Une telle association avec le cancer a aussi été retrouvée dans une étude longitudinale (2,5 ans en moyenne) américaine de 2012 sur 10.529 sujets (18), qui estime que le risque de cancer est augmenté de 35% chez les consommateurs à hautes doses de benzo – diazépines. Globalement, la prise de benzodia – zépines amènerait une mortalité au minimum trois fois plus importante selon cette dernière étude. Les biais n’ont cependant pas pu être entièrement exclus de cette recherche et ces résultats doivent être corroborés par d’autres études à venir.
 
Les consommateurs de médicaments hypnotiques sont plus à risque de cancers et de décès que les non consommateurs selon une étude américaine publiée dans la revue anglaise British Medical Journal Open.
 
La balance bénéfices-risques du traitement hormonal substitutif de la ménopause est défavorable en raison d'un risque accru cardiovasculaire et de cancers du sein. Il expose aussi à un risque de cancers de l'ovaire.

Comment des vaccins causent des cancers, des paralysies et des décès depuis des décennies
Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) admet que 98 millions d'Américains ont été contaminés pendant 8 années par des vaccins polio contenant un virus cancérigène" (le SV40)

La Commission d’Enquête parlementaire sur l’uranium appauvri semble avoir trouvé une nouvelle cause à plusieurs cas de cancers détectés chez des soldats italiens.
Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l’armée ; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d’exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer.

Le chlorure d'aluminium et le chlorhydrate d'aluminium, sels d'aluminium souvent présents dans les déodorants et anti-sudorifiques, interfèrent avec les récepteurs oestrogéniques des cellules mammaires   cancéreuses    1135   .   L'usage   régulier   de   ces   produits   peut   favoriser   l'éclosion   d'un cancer du sein d'autant plus que l'aluminium est une substance génotoxique capable de causer des   altérations   de   l'ADN   et   que   les   cellules   cancéreuses   du   sein   montrent   justement   une instabilité génomique

Vaccin : Aluminium neuro-toxique et... cancérigène
Cet adjuvant présent dans la majorité des vaccins n’est malheureusement pas que neurotoxique. Tumeurs et cancers sont également régulièrement observées chez l’animal - parfois même plusieurs années après la vaccination - mais aussi chez l’homme.
 
Quel ironie, on ne meurt plus du VIH mais du cancer causé par les traitements  chimiques qui sont là pour vous aider à lutter contre le  sida. On peut dire je pense qu’ils  ne veulent pas nous soigner, juste nous tuer. Dans tout les cas tu finis entre 4 planches, très joyeux.
 
Ces femmes courent également un risque 40 fois plus grand de développer une forme peu courante de cancer du vagin appelé adénocarcinome à cellules claires, précisent les chercheurs. Ce cancer reste néanmoins rare avec un cas sur mille chez ces femmes exposées au DES. Les auteurs de l'étude soulignent toutefois que le risque de développer cette maladie subsiste jusqu'à au moins 40 ans. De plus ces femmes exposées au stade fœtal au Distilbène ont deux fois plus de chances de développer des cellules pré-cancéreuses dans le col de l'utérus ou du vagin et un risque accru de 80 % d'avoir un cancer du sein après 40 ans. L'analyse des données indique qu'à 55 ans une de ces femmes exposées à l'hormone sur 25 développera des changements cellulaires anormaux dans le cervix ou le vagin et une sur 50 souffrira d'un cancer du sein.
 
oestrogène de synthèse
 
Si l’efficacité du médicament est relative, les effets secondaires sont inquiétants : infections, cancers, ostéonécrose de la mâchoire, fractures atypiques notamment. On observe également des dermatites, des eczémas, des rashes et des endocardites.
 
L'Agence nationale de sécurité sanitaire, qui avait déjà alerté sur le phénomène en 2010 réitère ses conclusions. En s’appuyant sur plusieurs études parues depuis cette date, elle assure que les lignes à haute tension, représentent un risque « possible » de leucémie chez les enfants qui habitent à proximité.
 
Les personnes qui ont utilisé un inhibiteur de la pompe à protons pendant plus de trois ans auraient peut-être multiplié par huit leur risque de cancer de l'estomac,
 
En particulier, a-t-il noté, le risque était plus élevé chez les personnes ayant utilisé des antibiotiques pendant une période plus longue, de 30 à 60 jours ou plus.
 
le risque de survenue d’un cancer du pancréas était 30% plus élevé chez les personnes prenant des gliptines. La metformine et le sulfamide, des antidiabétiques oraux, semblent aussi associés à un risque de 20 à 40% plus élevé pour ce cancer
 
Lors d'une réunion en 2012, la FDA a voté pour permettre l'utilisation de cellules fœtales humaines et de cellules tumorales humaines adultes dans les vaccins, malgré la reconnaissance des nombreux risques, notamment le fait que les receveurs de vaccins pourraient plus tard développer un cancer.
 
"En fait, le fluorure cause plus de décès par cancer humain, et le provoque plus vite que tout autre produit chimique. "--Dean Burk --  Congrès du 21 juillet 1976

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Aluminium vaccinal et cancer

 
 
 

Traitements hormonaux et cancer du sein / la pilule contraceptive est classée hautement cancerigène !

Metformine contre le diabète : danger mortel

SMT Healy ET STOP

Quelques médicaments et traitements

Les débuts de l'industire pharmaceutique et de la cancerologie
William Avery Rockefeller est né en 1810 et mort en 1906, patriarche d’une dynastie aussi célèbre que discrète, et descendant d’immigrants allemands (Roggenfelder). Old Bill (son surnom), fermier à New-York jusqu’en 1850, se rendit ensuite à Cleveland, où il se fit passer frauduleusement pour un docteur en médecine
Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2]  Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile).
Pendant que son fils John D. Rockefeller Ier fondait la Standard Oil Company, en 1870, grâce aux prêts d’une autre famille discrète et célèbre, les Rothschild, William achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars à tous ceux qu’il arrivait à convaincre qu’ils étaient malades et seraient mieux avec son « remède ».
 
De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.
 
"TOUTES LES MALADIES OU PRESQUE SONT CAUSEES PAR DES TOXIQUES ET DONC LES MEDICAMENTS DE BIG PHARMA NE SONT PAS LES SOLUTIONS PUISQU’ILS SONT EUX MEMES TOXIQUES AVEC DES EFFETS INDESIRABLES DUS AUX MOLECULES CHIMIQUES."

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux...
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons !
2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !
des médicaments estimés efficaces et censés réduire nettement le taux de mortalité ont en fait un bénéfice largement surévalué

Cancer : la chimiothérapie remise en cause par une étude américaine
la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases. 

Cancerologie, la revue prescrire demande l'interdiction de
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®).  

un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) : LA

C’est pire qu’une crise, c’est une tragédie grecque.
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
 
plus de 50 pour cent du taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre, Le rayonnement des procédures médicales dans la pathogenèse du cancer et la cardiopathie ischémique , que plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X. Radiation médicale est une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.

le glivec et le sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib)
« Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »

Traitement du cancer : "la médecine qui tue"
Chaque année au Royaume-Uni, 200.000 cas de cancers sont diagnostiqués et 152.500 personnes en meurent.

Vinflunine : un cytotoxique à éviter, pourtant payé au prix fort !
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.

témoignage chimiothérapie chez l'enfant
l’Agence Fédérale de la Santé nous refusa l’accès à ce traitement qui pouvait peut-être sauver Alexandre

les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité
William Campbell Douglass II, MD - "Pour comprendre l'hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill  au Canada, l'un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d'oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j'ai travaillé avec un radiologue qui m'a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique" Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d'en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la
Son « crime » est d’avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient français ou belge, vous n’y avez pas droit. Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements

distilbène : Les femmes exposées dans le ventre de leur mère sont soumises à un net accroissement du risque de certains cancers
Ces femmes courent également un risque 40 fois plus grand de développer une forme peu courante de cancer du vagin appelé adénocarcinome à cellules claires, précisent les chercheurs. Ce cancer reste néanmoins rare avec un cas sur mille chez ces femmes exposées au DES. Les auteurs de l'étude soulignent toutefois que le risque de développer cette maladie subsiste jusqu'à au moins 40 ans.
De plus ces femmes exposées au stade fœtal au Distilbène ont deux fois plus de chances de développer des cellules pré-cancéreuses dans le col de l'utérus ou du vagin et un risque accru de 80 % d'avoir un cancer du sein après 40 ans. L'analyse des données indique qu'à 55 ans une de ces femmes exposées à l'hormone sur 25 développera des changements cellulaires anormaux dans le cervix ou le vagin et une sur 50 souffrira d'un cancer du sein.

distilbène :  Aujourd'hui, le Distilbène est prescrit dans le seul traitement du cancer de la prostate
oestrogène de synthèse
 

la chimiothérapie a amélioré la survie de moins de 3% chez les adultes atteints d'un cancer.
Voulez-vous dire que les oncologues médicaux en Australie sont simplement trier des escrocs de marketing ou quoi ?

folontyn d'Allos :extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie.

 

Il s’agit du 5-fluorouracile et la gemcitabine, utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas. Le principe est simple : plus vous utilisez ces médicaments, et plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Au lieu de supprimer ce médicament et en donner un deuxième au patient, pour compenser les effets négatifs du premier, les sociétés pharmaceutiques continuent de distribuer ce poison.
 
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)

Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)
Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.
Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie : Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
 
Javlor (vinflunine) :  a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie
Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter
votre enfant sera la prochaine victime de ce vaccin mortel
Stop gardasil

La vaccination contre le développement des cancers du col utérin est, aujourd’hui, une imposture, car son efficacité est hypothétique et les risques indirects plus élevés que les industriels veulent bien le reconnaître.
Il importe en effet de ne pas oublier que les vaccins proposés (Gardasil, Cervarix) n’ont toujours pas démontré plusieurs années après leur mise sur le marché qu’ils étaient capables de réduire l’incidence dans la population vaccinée des dysplasies sévères ou graves qui peuvent évoluer vers un cancer.


Médicaments de la prostate: Tous les risques et aucun avantage
les médicaments qu'il prétend très aidera votre prostate - pourrait en fait augmenter votre risque de contracter la forme la plus mortelle et la plus agressive de cancer de la prostate!

Enantone (traitement du cancer de la prostate et endométriose) 

la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.

les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient !
En d'autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles "doses", car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient!

La catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer,
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"

ABRAXANE
Une nouvelle version d'un médicament contre le cancer ancienne, le Taxol, se vend à 4200 $ par dose.  L'ancienne version, qui a des effets similaires, les coûts 25 fois moins.
 
L'utilisation prolongée du tamoxifène augmenterait les risques de souffrir d'un type rare de cancer du sein, selon une nouvelle étude.
 
Ce médicament a été Eli Lilly trouvé pour prévenir le cancer du sein par un tiers dans une étude de plus de 10.000 femmes ménopausées. Échanger votre prévention du cancer du sein à un risque accru de 50 pour cent des accidents vasculaires cérébraux mortels et de caillots sanguins. Ironically,  Ironie du sort, Evista a été une fois vendue comme un médicament contre l'ostéoporose, étant illégalement promu pour le traitement des maladies cardio-vasculaires en 2002.
GLEEVEC, également vendu sous le nom de Glivec. Ce médicament contre le cancer, utilisé pour traiter la leucémie, malheureusement détruit également les cellules du muscle cardiaque, ce qui peut causer la mort d'insuffisance cardiaque congestive.
 
Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s'ils avaient le cancer ? C'est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic. Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu'ils savent, qu'elle n'est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie. Pas encore assez choqué ?  Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu'il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l'absence de traitement, il n'y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c'est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.
 
...Une erreur de paramétrage du logiciel utilisé pour réaliser les traitements de radiothérapie a entraîné un surdosage des patients, qui concerne a priori l’ensemble des cancers traités entre 1989 et 2000. Près de 5000 patients seraient concernés ; environ 300 auraient reçu une dose supérieure de 7% à celle qui aurait dû leur être délivrée. ...


L’ère de la chimiothérapie a commencé dans les années 1940 avec les premières utilisations des gaz moutarde azotés et des antifolates.
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.

En réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.
Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémoniqueEn réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique 

un ancien chercheur chez Amgen Inc a constaté que de nombreuses études de base sur le cancer--une forte proportion d'entre eux de laboratoires universitaires--sont peu fiables, avec des conséquences sinistres pour la production de nouveaux médicaments à l'avenir.47 sur les 53 ne pourrait pas être répliquées. Il a décrit ses conclusions dans un morceau de commentaire publié mercredi dans la revue Nature. 

Médicaments spécifiques iatrogènes : chimiothérapie du cancer
En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical.Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l'épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau.Avec son étude approfondie, Abel conclu qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l'avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique. »Une décennie après l'examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu'il n'y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé.Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n'existe pour indiquer s'il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.

Les compagnies pharmaceutiques continuent à propager ces médecines pourries!
Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement... Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur

taxol ( paclitaxel )
effets secondaires taxol

Taxol
la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la méladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine

interferon
histoires de survivants

interféron: le tueur silencieux
dommages au cerveaux et vie détruite

interféron
Les évenements indésirables graves du traitement interferon

Avastin, Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, tamiflu....
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.

Non au THS après un cancer du sein et non au THS à la ménopause
par le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue à Montpellier

Afinitor (cancer du rein)
Au vu des résultats disponibles de la seule étude de phase III, à l’issue d’une analyse intermédiaire des données, seul un impact théorique modéré peut être attendu de l’évérolimus en termes de réduction de la morbidité. De plus, aucune amélioration de la survie globale n’a  pu être 

Sutent* (sunitinib) dans le cancer du rein : Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Il faut aussi tenir compte des complications du Sutent : épuisement (18% des malades traités), hypertension, (16%), syndrome pied main (33%), diarrhées (10%), hypothyroïdie sévère5 (4%), baisse des plaquettes sanguines (10%), et des globules blancs (7%), phlébites et embolies (1.3%)[12], accidents cardiaques et toxicité hépatique pouvant entraîner la mort. Des complications sévères nécessitant une prise en charge médicale ont émaillé les traitements de 57% des patients obligeant les médecins à réduire les doses initialement prescrites de 50 mg à 37.5 mg.

La vérité sur le tamoxifène
provoque le cancer et l’EPA est au courant

tamoxifène favoriserait le cancer du sein
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus


tamoxifène : Ce médicament contre le cancer qui cause le cancer
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.

avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).


AVASTIN - Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.

Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du sein
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin n’est plus autorisé dans le cancer du sein (Etats-Unis) Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...

Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

Herceptin : le médicament contre le cancer Herceptin causes des lésions cardiaques chez 28 pour cent des patients

Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin


Herceptin est une entrprisse très profitable pour Genentech
Dans la seule année 2007, le médicament a fait 327 millions de dollars de chiffre d'affaires pour l'entreprise de biotechnologie. En fait, un cours complet de traitement peut atteindre jusqu'à 70.000 dollars

Une étude récemment publiée, et relayée dans la presse anglo-saxonne, montre des résultats encourageants sur le potentiel de l’immunothérapie dans le traitement de certains cancers. Mais ce sont les laboratoires, plutôt que les malades, qui s’en frottent les mains.

En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l'anticorps monoclonal TGN1412.

Moins d'une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d'une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d'un des jeunes hommes a tellement enflé qu'il avait l'impression qu'elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d'un autre volontaire a triplé de volume.
Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d'entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d'une gangrène.
Les six hommes ont tous de graves défaillances d'organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d'après le Professeur Richard Powell, de l'Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7
Les tests pré-cliniques avaient déduit que le médicament était sûr pour les humains suite aux tests sur des rats, des lapins et des macaques cynomolgus. Ces derniers avaient reçu une dose 500 fois plus importante que celle administrée aux volontaires.

Médicaments cytotoxiques
Les médicaments cytotoxiques inhibent ou empêchent le bon fonctionnement des cellules. On les utilise surtout pour traiter le cancer, souvent dans le cadre d’une chimiothérapie. Dernièrement, leur utilisation s’est étendue au traitement de certaines maladies de la peau comme le psoriasis, de l’arthrite rhumatoïde, de l’arthrite rhumatoïde juvénile, de même que des problèmes musculaires résistant aux stéroïdes. Les médicaments cytotoxiques les plus connus sont les antinéoplasiques. Le terme antinéoplasique est d’ailleurs parfois utilisé au lieu de médicament cytotoxique.

Profils d’effets indésirables de médicaments anticancéreux
À très long terme, les patients qui ont reçu une chimiothérapie anticancéreuse développent parfois un autre cancer : des cytotoxiques sont eux-mêmes cancérogènes. La leucémie, particulièrement la leucémie myéloblastique aiguë, parfois précédée d’une myélodysplasie, est le plus fréquent des cancers secondaires..

extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie"

Jevtana* et cancer de la prostate : Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Le Jevtana* va couter près de 100 millions d’euros à la collectivité en 2016 pour un bénéfice nul pour les malades.

deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire : Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

 

 

Surdiagnostics : une catastrophe

100 milliards de dollars dépensés chaque année pour des traitements de chimiothérapie toxiques qui causent des dommages aux patients et des effets secondaires appelés « cerveau chimio », un groupe d’experts du cancer commissionnés par l’Institut National du Cancer a admis publiquement il y a deux ans que des dizaines de millions de « cas de cancer » n’en étaient pas du tout.
 
plus de cent hommes et cent femmes seraient chaque jour diagnostiqués puis traités inutilement. Ainsi, en quinze ans, la France aurait «soigné» un million de personnes pour un cancer de la prostate ou du sein qui n’en était pas un.
Selon des études récentes, un traitement précoce pourrait même accélérer le développement de métastases dans les organes vitaux ! Contrairement à ce que soutient la propagande médicale, le diagnostic rapide et la prise en charge hâtive n’améliorent d’ailleurs nullement le taux de survie général
la montée en flèche du nombre de cas de cancer du sein et de la prostate où la mortalité reste stable pendant cette période de 25 ans est reliée à l’augmentation du dépistage. La différence croissante entre diagnostics et décès s’explique par l’augmentation de cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux s’ils n’avaient été décelés lors d’un dépistage par mammographie ou par un PSA. Le nombre d’appareils de mammographie a augmenté considérablement en France : 308 en 1980 contre 2 511 en 2000, soit huit fois plus.
"A ce jour, nous n’avons toujours pas vu la preuve de la guérison du cancer du sein par la médecine"
Overdiagnosis in cancer ») paru dans le Journal of the National Cancer Institute (USA), les auteurs H. Gilbert Welch et William C. Black donnent l’estimation du surdiagnostic en comparant un groupe invité au dépistage à un groupe non invité. Le surplus est de 25 % pour les cancers du sein détectés par mammographie, 50 % pour les cancers du poumon (dépistage par rayons-X notamment) et 60 % pour les cancers de la prostate dépistés par le marqueur PSA.
 
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas.
 
La plupart des hommes auront le cancer de la prostate au cours de leur vie. C'est vrai, si vous vivez jusqu'à 90 ans, votre risque est de 90% ! Si vous vivez jusqu'à l'âge de 50 ans, 50% auront la prostate. Cependant, 98% des cancers de la prostate n'ont pas besoin de traitement parce que nous mourons avec eux, pas d'eux! L'astuce est de dire qui est dans les 2% qui en mourront. Avec l'arrivée de nouvelles technologies telles que les sonogrammes 3D-4D et les IRM avec spectroscopie, nous pouvons identifier avec un degré élevé de certitude ceux qui sont graves et ont besoin d'un traitement.
Pour les hommes atteints d'un cancer de la prostate localisé, la chirurgie ne sauve pas des vies et elle a un taux beaucoup plus élevé de complications telles que l'impuissance et l'incontinence.
 
en 30 ans
 
TV Suisse
 
Il est à mon avis d'au moins 90 %. Et dans les 10 % restants, rien ne dit que la tumeur évoluerait, et si elle le faisait, qu'elle évoluerait tellement qu'elle deviendrait mortelle.
 
Rappelons que dans les récentes années, des études ont mis en évidence le surdiagnostic et le surtraitement de plusieurs cancers, notamment ceux du sein, de la prostate, de la thyroïde… Une étude publiée ce mois-ci dans le JAMA Internal Medicine indique que près d'un cancer du poumon sur 5 détecté avec la tomographie par ordinateur est à croissance lente et peu susceptible de causer un préjudice réel. Ces surdiagnostics sont susceptibles de causer un tort considérable en raison du (sur)traitement.
 
Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !
Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !
 
Une analyse d’études randomisées de dépistage à grande échelle montre que 20% des cancers du sein dépistés par mammographie, jusqu’à 60% des cancers de la prostate dépistés par dosage du PSA et autour de la moitié des cancers du poumon dépistés par radiographie et analyse des expectorations relèvent du surdiagnostic
 
environ 60 % des anomalies dépistées en France sont en fait des "faux positifs"
 
Le surdépistage des cancers en est une facette particulièrement grave, compte tenu des conséquences extrêmes qu’elle peut induire (procédures inutiles et risquées, médicamentation très lourde qui peut être mortelle (un analogue agoniste GnRH (Enantone/Eligard/Viadur, Décapeptyl, Zoladex…) chez un homme de plus de 70 ans ayant des facteurs de risque cardiovasculaires risque beaucoup plus de le tuer qu’un cancer de la prostate – avant ou après lui avoir rendue la vie très pénible).
 
«Cet article confirme que le surdiagnostic est un problème fréquent dans les cancers d’évolution lente comme ceux de la thyroïde et surtout ceux de la prostate »
 
Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles
 
On peut donc estimer le nombre moyen de surdiagnostics à une centaine par jour en 2008, sans compter les cancers « in situ ».
 
La question n’est plus de savoir si, mais combien de fois, il se produit
 
dans les pays avec les programmes organisés de dépistage est d'environ 50%
 
L’épidémie de cancers de la thyroïde observée ces vingt dernières années dans certains pays serait en majorité due au surdiagnostic. Un cancer peu susceptible de provoquer des symptômes au cours de la vie d’une personne ou d’entraîner la mort aurait été détecté chez 500.000 personnes dans le monde.
Le Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC/IARC) basé à Lyon (Rhône), dont l’étude a été publiée jeudi dans le New England Journal of Medicine, a en effet évalué que plus de 470.000 femmes et 90.000 hommes auraient fait l’objet d’un surdiagnostic de cancer de la thyroïde en vingt ans et dans 12 pays développés (Australie Danemark, Angleterre, Finlande, France, Italie, Japon, Norvège, République de Corée, Ecosse, Suède et Etats-Unis).
En Australie, France, Italie et aux Etats-Unis, le surdiagnostic est évalué entre 70 et 80 % par les chercheurs, contre 50 % au Japon et dans les pays nordiques.
Le Dr Salbatore Vaccarella, qui a dirigé l’étude, précise que l’exemple le plus frappant est celui de la République de Corée, avec 90 % des cas observés pouvant relever du surdiagnostic entre 2003 et 2007.
En outre, « la majorité des cancers surdiagnostiqués ont été traités par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à d’autres traitements nocifs comme l’ablation des ganglions du cou ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie », déplore le Dr Silvia Franceschi, un des auteurs de l’étude.
Ces tumeurs sont en effet, la plupart du temps, des micro-cancers dont le pronostic est bon, avec une survie proche de 99 % à 20 ans. Selon les chercheurs, ces pathologies pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance rapprochée, mais sans traitements agressifs d’emblée
 
Au niveau mondial, d‘après l’Agence Internationale sur le Cancer, il y aurait eu près de 500000 femmes sur traitées par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à l’ablation des ganglions du cou et/ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie et mais source dans tous les cas d’inconfort et de séquelles.
 
15 à 25% pour ceux du sein. Selon eux, le problème serait aussi fréquent dans les tumeurs de la thyroïde
 
"D'ailleurs, l'examen de femmes"saines" agées de plus de cinquante ans ne révèle en moyenne que deux ou trois cas pour mille femmes examinées.Ni les frottis, ni les mammographies ne peuvent donc être considérés comme de bons tests. En effet sur cent tests "positifs", 90 à 99% d'entre eux sont des "faux positifs"
 
Est-ce un effet pervers du dépistage ? « Tout a commencé dans les années 1980 avec les échographies à disposition », analyse le professeur Schlumberger. « On s'est mis à en faire à tout bout de champ même, quand à la palpation, la thyroïde paraissait normale. » Le nombre de petits nodules ainsi repérés a augmenté. Or, seuls « environ 5 % des nodules thyroïdiens sont des cancers », précise l'endocrinologue. « Puis on s'est mis à faire des cytoponctions pour préciser la nature d'anomalies de plus en plus petites. On est ainsi allés chercher des problèmes qui n'existaient pas. »
Des intérêts financiers sont-ils en jeu ? Personne ne le dira ouvertement. Mais les surdiagnostics servent des intérêts dépassant ceux des patients, qui vivent, eux, terrifiés par l'annonce d'un diagnostic où le mot cancer résonne comme une épée de Damoclès. Ils sont « relativement peu enclins aujourd'hui » à s'entendre proposer l'option surveillance d'une grosseur jugée indolente et de bon pronostic à long terme par leur médecin, relèvent aussi bien l'endocrinologue que la présidente de Vivre sans thyroïde. Le traitement à vie par lévothyroxine, hormone de synthèse en comprimés quotidiens, destinée à remplacer celle que ne produira plus la thyroïde fait en revanche les affaires des laboratoires qui la produisent.
 
S’il était ministre de la Santé, le Dr Turcotte abolirait tous les examens annuels sur des bien portants, toutes les campagnes de vaccination antigrippale, tous les tests de dépistage systématique (le mot est important) de cancer du sein, de la peau, de la prostate ou du côlon.
Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause de lui. « Le traitement est souvent pire que la maladie, croit le médecin. Depuis 1992, on a les études qui démontrent que les mammographies sont inutiles. Même chose pour la prostate : ça fait bientôt six ans qu’on dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer tellement lentement que ça va nous faire mourir après notre mort. »
 
Deux notions sont absentes de cet opuscule (si si cherchez bien vous verrez) : celles de surdiagnostic et de celle de surtraitement.
 
Le nombre estimé de surdiagnostics en France est de 36 000 cas par an, pour le seul cancer du sein. Cent femmes par jour sont ainsi diagnostiquées et traitées inutilement.
...Guérir des faux cancers – grâce aux surdiagnostics – donne l’illusion que la médecine progresse, mais la réalité est tout autre. En France, selon les statistiques de mortalité, le risque de décéder d’un cancer du sein fut pratiquement identique en 1980 et en 2005. On peut donc douter que la précocité des traitements chirurgicaux, par radiothérapie et par chimiothérapie, ait amélioré les chances de guérison

80% de surdiagnostics ! Les traitements (de l'industrie du cancer) ne servent à...pas grand chose Les victimes meurent en particulier des complications du traitement (de l'industrie du cancer) du cancer de la prostate (Attention aux mensonges sur la chirurgie et la radiothérapie)

Témoignage

Le cancer, les traitements, dépistages... sur internet

"Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85.
« La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. »
Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas.

Que rapporte un essai clinique aux médecins : « Le cancer, un moyen de gagner de l'argent »
chimiothérapie : chaque malade inclus rapporte 7.000 €
antidépresseurs : 12 300 euros pour chaque malade suivi (soit 193000 euros)

Dois-je me faire tester pour le cancer ? Peut-être pas et voici pourquoi
le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s'avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu'il vaut mieux ignorer.

Beaucoup de gens qui "meurt d'un cancer" meurt en réalité de la chimothérapie bien avant qu'ils ne seeraient rééllement mort du cancer lui-même.
Voici les faits. In 1942, Memorial Sloan-Kettering Cancer Center quietly began to treat breast cancer with these mustard gas derivatives. No one was cured . En 1942, Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n'a été guéri. Chemotherapy trials were also conducted at Yale around 1943 where 160 patients were treated. Essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Again, no one was cured. Encore une fois, personne ne fut guéri.

CANCER, PROCESSUS DE CANCERISATION
Certaines personnes développent un cancer après un stress intense ( décès , rupture ) , d’autres ne le font pas , c’est en fonction du taux d’intoxication par les produits chimiques ( mercure dentaire ;aluminium des vaccins ; glutamate de sodium ; alpartame ; les produits raffinés(sucre, sel, farines, huiles ) ;traitements chimique des légumes ; médicaments ; additifs alimentaires ; four à micro-ondes ; eaux nitratées ; tout ce qui est chimique ; tout ce qui n’est pas naturel .Et en fonction du manque de vitamines et surtout de vitamine C et de MAGNESIUM .

Cancer mensonges & propagande
Deux pages consacrées au cancer, et à toutes les vérités cachées sur les traitements naturels, efficaces et non toxiques qui sont passés sous silence....

Cancer racket
Une importante liste de liens cancer.

Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons
La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi
La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.

Le dépistage du cancer mène aux sur-diagnostics
Une analyse d’études randomisées de dépistage à grande échelle montre que 20% des cancers du sein dépistés par mammographie, jusqu’à 60% des cancers de la prostate dépistés par dosage du PSA et autour de la moitié des cancers du poumon dépistés par radiographie et analyse des expectorations relèvent du surdiagnostic
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … "Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans." : l'omerta médicale
 
Le surdépistage des cancers en est une facette particulièrement grave, compte tenu des conséquences extrêmes qu’elle peut induire (procédures inutiles et risquées, médicamentation très lourde qui peut être mortelle (un analogue agoniste GnRH (Enantone/Eligard/Viadur, Décapeptyl, Zoladex…) chez un homme de plus de 70 ans ayant des facteurs de risque cardiovasculaires risque beaucoup plus de le tuer qu’un cancer de la prostate – avant ou après lui avoir rendue la vie très pénible).

Question sur la chimiothérapie
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible.
"Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n'auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l'absence totale de certitude quant à l'issue d'un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu'il n'y a pas d'autre choix."   Ralph W. Moss, Ph.D
 
les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées
Le Dr Hardin Jones, MD, professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. Il a dit à un groupe ACS, "Mes études ont prouvé de façon concluante que les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées. Pour un type typique du cancer, les personnes qui ont refusé le traitement ont vécu en moyenne des années 12-1/2. Ceux qui ont accepté types de chirurgie autres formes de traitement ont vécu en moyenne de trois ans seulement .... J'attribue cela à l'effet traumatique de la chirurgie sur le mécanisme de défense du corps naturel. Le corps a une défense naturelle contre tous les types de cancer. "G. Borell, L'histoire de peroxyde (Delano, Minnesota: ECHO, 1988), page 30. - Dr Hardin Jones est un professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. 
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
 
"La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs."

CANCÉROLOGIE : ON SE MOQUE DE NOUS DEPUIS LONGTEMPS
Depuis 50 ans, en dépit du bla-bla-bla que les institutions nous servent, aucun progrès effectif n’a été réalisé dans la recherche sur le cancer. Mieux, cet état de fait n’est pas un hasard mais une volonté politique avérée à but purement mercantile. D’ailleurs, tous ceux qui ont trouvé des remèdes efficaces ont été combattus, écartés, voire éliminés, et leurs méthodes ont été confisquées, réduisant les malades dissidents à se soigner et à guérir par effraction. Ce que j’ose prétendre depuis des années est une fois de plus confirmé par trois bombes médiatiques qui sont tombées récemment : 
1 - L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique !  En effet, plusieurs responsables de recherche de la très réputée Harvard Medical School ont falsifié les résultats d'études scientifiques, ceci afin d’arriver à des conclusions qui leur permettaient de pouvoir prétendre à une subvention fédérale de 15 millions de dollars. Un procès va se tenir prochainement sur cette affaire. Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt….. 
2 - La plupart des études scientifiques sur le cancer sont bidons !  C. Glenn Begley, ancien patron d'un labo pharmaceutique a récemment lâché sa bombe dans un article de la revue Nature : sur 53 études de haut niveau (publiées dans les revues les plus sérieuses) qu'il avait jugées intéressantes dans le cadre du développement de nouveaux médicaments anti-cancer, 47 (soit 88%) n'ont jamais pu être reproduites par ses équipes !   Begley a alors aménagé une rencontre avec plusieurs responsables de ces fausses études. Et voici ce qu'il raconte sur l'un de ces rendez-vous : « Je lui ai expliqué que nous avions refait leur expérience 50 fois sans jamais parvenir au même résultat qu'eux. Il m'a répondu qu'ils avaient fait six tentatives, obtenant le résultat une seule fois, mais c'est bien celui-là qu'ils ont choisi de publier car il sonnait mieux… »   Ce cas n’est malheureusement pas isolé, loin de là, et c’est le système de financement des labos de recherche qui est à revoir. 
3 -  Des médicaments anti-cancer qui font flamber les cancers !  Le problème est que ces études malhonnêtes constituent une base de développement pour des nouveaux médicaments, tels le Glivec et le Sutent, anti-angiogéniques dont le principe est de bloquer l'irrigation sanguine des tumeurs dans l’espoir de les tuer. Manque de chance, une équipe scientifique a montré que cette technique tue aussi  les péricytes environnantes, qui ont pour fonction de combattre la tumeur. Résultat : la tumeur diminue bel et bien en volume, mais elle dissémine beaucoup plus rapidement ses cellules cancéreuses dans le reste de l'organisme. C’est ce qu’a déclaré le professeur Raghu Kalluri, responsable de l'étude. Ceci n’empêche pas que le Glivec depuis 2001 et le Sutent depuis 2006 soient toujours autorisés et administrés officiellement dans la plupart des chimios en Europe, sans états d’âme.  Mais Motus et bouche cousue ! Business is business !  Et les morts ne font jamais de réclamations……
 
" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."
«Cet article confirme que le surdiagnostic est un problème fréquent dans les cancers d’évolution lente comme ceux de la thyroïde et surtout ceux de la prostate »
 
C'est donc incroyable. Ca le sera encore plus si nous ajoutons qu'on le sait depuis plus de 30 ans
 
"Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n'a pas changé dans les 70 dernières années"
 
Cela fait maintenant 32 ans que le Président Nixon a déclaré la guerre au cancer. Depuis, on a dépensé 2 billions de dollars pour la recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec pour conséquence un nombre plus important que jamais de
 
Une combinaison simple des aliments pouvait arrêter des cellules de cancer d'envahir la matrice de collagène !
 
« (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique.
 
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le Cancer aujourd'hui »
 
Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.

L’information avait été jalousement gardée jusqu’au 21 juin 2003
Enfin révélée, elle a provoqué l’émoi de tous les médias grand public : la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un échantillon de 13 000 volontaires et consistant à donner une supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants confère une dimension chiffrée et officielle à ce que les médecins de terrain et ceux qui pratiquent les médecines naturelles savent depuis la nuit des temps.....Si la méthode avait été adoptée, elle aurait abouti à une large éradication du cancer. Un effondrement du nombre de cancers provoquerait certainement un effondrement du taux de remplissage des cliniques et hôpitaux : beaucoup ne seraient plus rentables... et, expliquait-il, un allongement de la durée de vie rendrait insoluble le problème du paiement des retraites...
 
On survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité
Les statistiques montrent que l'on survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité. On parle certes de prévention - mais cela consiste en messages destinés à distiller la peur, facteur elle-même de maladie.

 
Vérités sur le business médical de l'industrie du cancer
L'Organisation mondiale de la Santé a admis ceci : « Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. » Depuis près de 40 ans, la Zunie a dépensé 200 milliards de dollars à « essayer » sans succès de trouver un remède. Mais, la plupart des médecins ne sont même pas capables de vous dire pourquoi la médecine (du cancer) est un pareil fiasco. (Suggestion : il y a un dessein caché.)
Saviez-vous que le coût moyen du traitement conventionnel pour le cancer dépasse 300.000 dollars ?

Cancer
informez vous !


fraude massive dans la recherche sur le cancer
Dans un scandale qui a résonné partout dans le monde de la recherche sur le cancer, l'Office of Research Integrity au Département américain de la Santé a révélé que un scientifique de Boston University cancer fabriqué ses conclusions. Son travail a été publié dans deux journaux en 2009, et il a été ordonné de les retirer. Mais d'importantes études par d'autres scientifiques, comme ceux de la Clinique Mayo, qui a basé son travail sur ses constatations, pourrait maintenant faire 10 années de leurs études sans valeur, selon le commentaire de la santé Gaia.

 

Le 13 décembre 1974, lors d'une réunion qui a lieu chez Madame le Professeur Ripoche au 46 rue de Spontini entre Monsieur Charbonnot, Directeur Général de la Santé, le professeur Lechat qui était chargé de la pharmacovigilance au Ministère de la Santé et M. Poniatowski, Ministre de la Santé, il est décidé de ne pas rendre publiques les travaux de M. Gernez, ceci contre l'avis du ministre ... ensuite, chantage pour que le Dr Gernez cesse ses travaux, 3800 médecins prêts à mettre le protocole de prévention en pratique reçoivent une lettre émanant d’un dénommé Moulin qui était à l’époque secrétaire, ou sous-secrétaire de l’ordre des médecins ...
Bref, le schéma habituel lorsqu'une pompe à fric se sent menacée.
L'éradication possible du cancer et autres maladies dégénératives est encore aujourd'hui un quasi secret d'état. Même Nixon a du baisser les bras après l'avoir annoncée le 23 décembre 1971 dans un discours télévisé. Depuis 30 ans, c'est donc au bas mot 2 millions de morts par cancer qui auraient pu être évités ... en France. Au niveau mondial, le calcul renvoit Hitler au jardin d'enfants.
Et pourtant ... le 17 Juin 1979 à Salzburg, les découvertes d'André Gernez sont consacrées par le milieu scientifique officiel. Il reçoit, à l'unanimité d'un jury composé de 40 prix Nobel, le prix Hans Adalbert Schweigart de la protection de la vie pour la découverte du double cycle cellulaire qui permet la prévention du cancer et sa guérison par la méthode dite "systématique post-opératoire synchronisée". Il reçoit son prix des mains du double prix Nobel Linus Pauling ... étonnant, non ?

Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu"
Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !
Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !

Nous ne pouvons pour le moment « guérir » que 15 à 20% des cancers et encore, que certains types de cancers, et ce uniquement si certaines conditions favorables sont réunies.

La mainmise de l’industrie pharmaceutique sur la médecine
Des bénéfices colossaux réinvestis pour développer les ventes   Dans les années 1980, le bénéfice net des entreprises du médicament stagnait à 10% du chiffre d’affaires. Depuis, sa stratégie est devenue plus agressive. Les financiers et les publicitaires ont remplacé chercheurs et médecins à la direction des très grandes entreprises du médicament. Il ne reste que peu de place pour l’éthique médicale ou scientifique ou la notion de malades devenus consommateurs. Dans cette stratégie de conquête de marché, les grands essais thérapeutiques sont essentiels comme caution scientifique, pour obtenir les autorisations de mise sur le marché à un prix élevé et comme vecteurs de publicité pour élargir les indications.

corruption
les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.
« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique. S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »

CANCER : LES RAVAGES DU DÉPISTAGE
Le surdiagnostic participe donc à amplifier artificiellement l’incidence des cancers du sein comme celui de la prostate. Aujourd’hui, on parle d’épidémie, créant une véritable angoisse collective. Or, si le nombre de cas détectés n’a cessé d’augmenter, la mortalité, elle, est restée plutôt stable. Pour les chercheurs opposés au «tout dépistage», les vrais cancers sont ceux qui ont causé la mort et non pas ceux, toujours plus nombreux, que l’on dépiste. Car plus on en cherche, plus on trouve de pseudo-cancers.

Pire que le mal ?  Dépister ou ne pas dépister les cancers, telle est la question, selon le professeur Fernand Turcotte
"Une personne en santé est un malade qui s'ignore", écrivait, en 1923, Jules Romains dans sa pièce de théâtre Knock ou le triomphe de la médecine. "Une personne en santé est quelqu'un qui n'a pas encore subi assez de tests de dépistage", reprend aujourd'hui Fernand Turcotte pour caricaturer une certaine attitude du monde médical face au cancer. Ce professeur de la Faculté de médecine mène depuis plus de 30 ans une croisade en faveur du bon sens et de l'esprit critique dans la pratique médicale. Spécialiste en prévention, il estime que le dépistage tous azimuts du cancer a entraîné la médecine dans un piège dont elle ne parvient plus à se dépêtrer.
...Si le diagnostic précoce du cancer sauvait des vies, on devrait pouvoir en observer les effets par une baisse des taux de mortalité....
...Ça signifie que plus d'un million d'hommes ont été opérés avec les risques que cela comporte, et qu'ils doivent vivre avec les conséquences de cette opération - certains devront porter une couche pour le reste de leur vie - sans que tout cela n'ait sauvé une seule vie...

cancer : les nouveaux médicaments sont peu ou pas efficaces

Chimiothérapie

Nos gouvernements ne veulent pas guérir le cancer !!
"Toute la chimio, elle vous tue", mais les gens veulent être remboursés.
Les médecins qui donnent ce genre de traitement savent ils qu'ils condamnent le patient ?
Oui ils le savent !

Les pratiques de BIG PHAMA pour vendre des chimiothérapies qui ne guérissent pas

"En Allemagne, 240 000 personnes meurent, chaque année, des suites de la chimio, soit environ 700 par jour"

"Bien peu d'oncologues et d'infirmières sont disposés à accepter la chimiothérapie que leurs patients endurent pour des avantages minuscules" professeur peter Goztche (extrait de remèdes mortels et crime organisé)
 
« Si d’aucun sont correctement informés des effets de la chimiothérapie sur le corps humain, ce sont bien les cancérologues qui prescrivent ce type de traitement à leurs patients. Or dans une étude parue en 2014 dans un journal en libre accès du nom de PLOS ONE, on apprend qu’une majorité assourdissante de cancérologues ne souhaiterait en aucun cas se voir administrer une chimiothérapie, si un diagnostic de cancer devait leur être annoncé. Parmi les milliers de médecins qui ont participé à cette étude, un pourcentage énorme de 88,3 % d’entre eux admettent qu’ils renonceraient pour eux-mêmes au type de « prise en charge lourde » qu’ils proposent à leurs patients. » page 107
 
Faire ce type de traitement,c’est comme de faire exploser une bombe au napalmpour tuer des araignées
 
mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à éliminer après une chimiothérapie.
Cela présente une fois pour toutes la preuve irréfutable de la tromperie de l’industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est le menu unique de traitement du cancer aujourd’hui, apparaît selon l’étude un fiasco total, mais elle agit au détriment du malade cancéreux. Cette choquante découverte publiée dans le journal Nature Medicine, et qui a été soigneusement ignorée par la communauté scientifique dominante, éclaire en détail la manière dont la chimiothérapie oblige les cellules saines à libérer une protéine qui alimente les cellules cancéreuses, les faisant prospérer.
 
Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2]  Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile).
 
Les patients devraient être avertis des dangers de la chimiothérapie après qu'une nouvelle étude publiée dans The Lancet Oncology a montré que la chimio tue jusqu'à 50% des patients atteints de cancer dans certains hôpitaux.
 
Ces antitumoraux sont les suivants : mifamurtide (Mepact), nintédanib (Vargatef), olaparib (Lynparza), panobinostat (Farydak), trabectédine (Yondelis), le vandétanib (Caprelsa), la vinflumine (Javlor)
 
"Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85.
« La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. »
Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
 
Le corps médical est sous la coupe des "grands patrons" qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie.
 
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) : LA
 
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
 
Les nouveaux médicaments contre le cancer qui sont venus sur le marché dans la dernière décennie, environ les trois quarts ont été approuvées sans preuve qu’ils prolongé la vie des patients. Les effets secondaires graves annulent, souvent, les modestes améliorations en action antitumorale, selon un rapport du Journal de Milwaukee-sentinelle..


Chimiothérapie: 35 ans de mensonge ou lorsque Big Pharma danse au bord de la falaise.
Une sagesse populaire dit «la vérité c’est comme l’huile elle vient toujours au-dessus». Cela fait environ  4 décennies que la médecine conventionnelle nous vend l’idée que la chimiothérapie est l’arme fatale contre les cancers , aujourd’hui la vérité émerge de plus en plus des décombres de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer: même les professionnels de la santé ne croient plus à son efficacité. Pire ,ils estiment qu’elle est dangereuse, une chaine d’information libanaise Al Manar vient de publier un rapport montrant que même les médecins ne croient pas à la chimiothérapie. Et pourtant pendant 35 ans  environ  l’industrie pharmaceutique nous sert le même plat sans cesse réchauffé .Et nous , les « moutons de panurge » suivent toujours


La "chimio" favoriserait la relance du cancer, d'après des chercheurs américains
La chimiothérapie anti-cancer peut endommager des cellules saines et les pousser à produire une protéine qui alimente la tumeur et entraîne une résistance au traitement, selon une étude qui vient d'être publiée.

échec flagran des chimiothérapies, toujours niés par la plupart des cancérologues.
cancers métastasé du sein, de la prostate, du poumon et du colon

Eviter la chimiothérapie auguemente les chances de recouvrer la santé
La vérité très indésirable sur la chimiothérapie

La chimiothérapie : la roulette russe médicale Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … "Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans." : l'omerta médicale

"Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n'a pas changé dans les 70 dernières années"

Questionnement sur la chimiothérapie
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible.
"Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n'auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l'absence totale de certitude quant à l'issue d'un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu'il n'y a pas d'autre choix."   Ralph W. Moss, Ph.D

la chimiothérapie tue plus que le cancer
Voici les faits. En 1942, le Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n'a été guéri. Essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Encore une fois, personne ne fut guéri.
Selon le Dr John Diamond, MD, Une étude de plus de 10.000 patients montre clairement que la chimio est supposée forte expérience avec la maladie de Hodgkin (lymphome) est en fait un mensonge. Les patients qui ont subi une chimiothérapie étaient 14 fois plus susceptibles de développer une leucémie et 6 fois plus susceptibles de développer des cancers des os, des articulations et des tissus mous que les patients qui n'ont pas subi une chimiothérapie. "
Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, était l'un des spécialistes les plus qualifiés du cancer aux États-Unis. . Il a utilisé des traitements alternatifs sur ses patients atteints de cancer avec un grand succès. Sur le traitement du cancer dans ce pays, il a déclaré: Nous avons une industrie de plusieurs milliards de dollars qui tue des gens, à droite et à gauche, juste pour le gain financier. . Leur idée de la recherche est de voir si deux doses de ce poison est mieux que trois doses de ce poison.

CHIMIOTHÉRAPIE : Des taux de réussite autour de... 2,2 % ! En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.

La vérité sur la chmiothérapie
au moins 80 pour cent de la chimiothérapie administrée dans le monde est sans valeur

« (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique.
 

"La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs."
 

" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."

Cancer : seul un essai clinique sur cinq est publié. L’industrie pharmaceutique occulte ses ratages De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux...
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons !
2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !

les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient !
En d'autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles "doses", car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient!

La catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer,
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "

Cancer : la chimiothérapie remise en cause par une étude américaine
la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases.

les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité
William Campbell Douglass II, MD - "Pour comprendre l'hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill  au Canada, l'un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d'oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j'ai travaillé avec un radiologue qui m'a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique" Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d'en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la

la chimiothérapie a amélioré la survie de moins de 3% chez les adultes atteints d'un cancer.
Voulez-vous dire que les oncologues médicaux en Australie sont simplement trier des escrocs de marketing ou quoi ?

Médicaments spécifiques iatrogènes : chimiothérapie du cancer
En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical.
Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l'épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau.
Avec son étude approfondie, Abel conclu qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l'avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique. »
Une décennie après l'examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu'il n'y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé.
Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n'existe pour indiquer s'il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.

Les compagnies pharmaceutiques continuent à propager ces médecines pourries!
Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement... Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur

L’ère de la chimiothérapie a commencé dans les années 1940 avec les premières utilisations des gaz moutarde azotés et des antifolates.
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.

En réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.
Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.
Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.
Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique

un ancien chercheur chez Amgen Inc a constaté que de nombreuses études de base sur le cancer--une forte proportion d'entre eux de laboratoires universitaires--sont peu fiables, avec des conséquences sinistres pour la production de nouveaux médicaments à l'avenir.
47 sur les 53 ne pourrait pas être répliquées. Il a décrit ses conclusions dans un morceau de commentaire publié mercredi dans la revue Nature.

Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s'ils avaient le cancer ? C'est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic.
Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu'ils savent, qu'elle n'est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie.
Pas encore assez choqué ?
Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu'il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l'absence de traitement, il n'y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c'est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.


Dénoncer la fraude et la mythologie des traitements conventionnels du cancer
le traitement du cancer est une activité importante en Amérique - en fait, c'est une entreprise de 200 milliards de dollars par an. Pourtant, 98 pour cent des traitements conventionnels du cancer, non seulement échouent lamentablement, mais sont également presque garanti pour rendre les patients plus malades du cancer. 
Ce qui est pire: Les pouvoirs sont la suppression remèdes contre le cancer naturelles qui pourraient aider des dizaines de milliers de personnes se rétablir et vivre sans cancer avec peu ou pas de dépendance à la drogue, la chirurgie et la chimiothérapie.
Le traitement du cancer aux États-Unis est l'un des plus éhonté des dissimulations dans l'histoire médicale. Assez, c'est assez! Vous méritez de savoir la vérité sur la criminalité des oncologues et sur les dangers de la chimiothérapie, les traitements conventionnels du cancer et le cancer "affaires".


Comment la chimiothérapie peut favoriser la reprise d’un cancer
Des chercheurs américains ont trouvé une explication à l’échec de certains traitements anti-cancéreux. Ils ont découvert que la chimiothérapie peut endommager certaines cellules saines, en les poussant à produire une protéine qui entraîne une résistance au traitement

La chimio tue
Un des effets secondaires de la chimiothérapie est, ironiquement, le cancer. Les médecins de cancer ne disent pas grand-chose, mais il est imprimé directement sur ​​les étiquettes d'avertissement de médicaments de chimiothérapie (en petits caractères, bien sûr). Si vous allez dans une clinique de traitement du cancer avec un type de cancer, et vous vous permettez d'être injecté avec des produits chimiques chimiothérapie, vous aurez souvent développer un deuxième type de cancer par la suite. Votre oncologue prétendent souvent avoir traité avec succès votre premier cancer, même pendant que vous développez une deuxième ou troisième cancer causés directement par la chimiothérapie utilisée pour traiter le cancer d'origine.

LE DECLIN DU CANCER
« La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture,mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. »

témoignage

Découverte innatendue de chercheurs sur la chimiothérapie
Une équipe de scientifiques cherchant la raison de la résistance des cellules cancéreuses est tombée par hasard sur une bien plus importante découverte. Pendant leur recherche, l'équipe a découvert que la chimiothérapie endommage en fait gravement les cellules saines et les oblige par conséquent à libérer une protéine qui encourage et alimente la croissance de la tumeur. De plus, elle rend même la tumeur fortement résistante à un futur traitement.

extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie"

"85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles "
ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée

Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu"
Nicole Delépine : A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !
Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !


« À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. »

C’est pire qu’une crise, c’est une tragédie grecque.
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité


La chimio qui accélère votre cancer
Deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers  favorisent le développement des tumeurs cancéreuses. Ces deux médicaments sont le 5-fluorouracile et la gemcitabine utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas.
Plus vous prenez de ces médicaments, plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Tout ceci est écrit noir sur blanc sur le site de l’Inserm.
Au lieu de supprimer un médicament, ils préfèrent en donner un deuxième pour compenser les effets négatifs du premier. Ou « comment fournir de nouveaux revenus à l’industrie pharmaceutique »
.

Les médecins américains gagnent directement de l’argent quand ils prescrivent des chimiothérapies
Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, il dit que les médecins achètent les chimiothérapies aux compagnies pharmaceutiques et ensuite, les revendent ; en faisant un profit bien sûr. C’est parfaitement légal. Ce sont les seuls médicaments pour lesquels ils ont le droit de faire ça. Pour tous les autres, ils doivent se contenter d’invitations à des congrès, ou autres formes de rémunérations indirectes ou cachées. Mais pour les chimiothérapies, ils gagnent de l’argent directement. Et vu les prix, ça doit leur en faire gagner énormément.

La contribution de la chimiothérapie cytotoxique à la survie de 5 ans dans les tumeurs malignes adultes.
Résultats: La contribution globale de la chimiothérapie cytotoxique curatif et adjuvant à la survie à 5 ans chez les adultes a été estimée à 2,3% en Australie et 2,1% aux Etats-Unis.
Conclusion : Comme le taux de survie relative à cinq ans pour le cancer en Australie est maintenant plus de 60%, il est clair que la chimiothérapie cytotoxique ne fait qu'une contribution mineure à la survie au cancer. Pour justifier la poursuite du financement et la disponibilité des médicaments utilisés en chimiothérapie cytotoxique, une évaluation rigoureuse du rapport coût-efficacité et l'impact sur la qualité de la vie se impose d'urgence.


Chimiothérapie : Quand la corruption atteint des Sommets
seulement 6 résultats d’études sur 53, en recherche clinique sur le cancer, ont pu être reproduits par une équipe de recherche. - See more at:

seulement 6 résultats d’études sur 53, en recherche clinique sur le cancer, ont pu être reproduits par une équipe de recherche.


Vinflunine : un cytotoxique à éviter, pourtant payé au prix fort !
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.

Cancerologie, la revue prescrire demande l'interdiction de :
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®). 

Un médicament très couramment utilisé pour le traitement du cancer peut causer des dommages au cerveau dont les effets durent des années après la fin du traitement selon une récente recherche publiée dans le Journal of Biology.  Le 5-fluorouracil (5-FU), utilisé pour traiter les cancers du sein, des ovaires, du colon, de l'estomac, du pancréas et de la vessie, attaque les cellules oligodendrocytes du cerveau et les cellules souches desquelles elles proviennent.

erlotinib (extrait de remède mortels et crime organisé) :
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)

extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie"

anticorps monoclonaux (entre autres)
conférence en vidéo.
Effet secondaire des anticorps monoclonaux
: leucoencéphalopathie

Selon nicole Delépine, cancerologue, l'herceptine ne serait efficace que chez 33% des 20% de femmes receptives et pour peu d'effet bénéfique, chez ces 7% (environ) de femmes.Mais cela rapporte 5 milliards de dollars par ans au labo.

leucoencéphalopathies engendré par les anticorps monoclonaux
La LEMP constitue une démence subaiguë notée par l'apparition progressive de troubles neurologiques divers (déficits sensitifs et/ou moteurs, troubles du comportement, syndrome cérébelleux), fonctions de la localisation des lésions cérébrales. Elle évolue vers la mort
en quelques mois.

anticorps monoclonaux liste
Ipilimumab
Nivolumab
Bévacizumab
Cetuximab
Ibritumomab tiuxetan
Alemtuzumab
Gemtuzumab ozogamicin
Trastuzumab (Herceptin®)
Rituximab

avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).


AVASTIN - Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.


Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du sein
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin n’est plus autorisé dans le cancer du sein (Etats-Unis) Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)

avastin et cancer du cerveau
Le taux de survie à un an est de 66 % pour le groupe placebo contre 72 % pour le groupe Avastin.
Par contre, les résultats provisoires concernant la survie globale du patient en cas de prise d’Avastin " ne se sont pas révélés statistiquement significatifs


Avastin… Des effets pires que le mal!
L’agence américaine des médicaments (FDA) a décidé de retirer du marché l’Avastin, dans le cancer du sein, et met notamment en cause son inefficacité et des effets secondaires graves.
« Les femmes qui prennent de l’Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s’exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie », avec des risques de crise cardiaque, d’hypertension ou d’hémorragie potentiellement fatales.


Les drogues du type Avastin, utilisées pour traiter certains cancers, sont censées travailler en bloquant la protéine favorisant la croissance des vaisseaux sanguins, appelée facteur de croissance endothéliale vasculaire, ou VEGF.
Malheureusement, de nouvelles recherches récemment publiées dans la revue Nature, montrent que c’est faux. En fait, loin de fragiliser les vaisseaux sanguins pour « tarir » les tumeurs malignes, ces traitements anticancer, connus sous le nom de drogues anti-angiogenèse, normalisent et renforcent les vaisseaux sanguins, ce qui veut dire qu’ils sont capables de stimuler la croissance de tumeurs plus grandes.


Avastin
Le coût efficacité paraît prohibitif (100 000 euros environ par qualy gagné - qualy : nombre d'années gagné pondéré par la qualité de vie).
syndrome de leuco-encéphalopathie : "Ce syndrome peut être réversible s'il est reconnu et traité rapidement.
Chez les patients qui présentent un tel syndrome on recommande un traitement des symptômes spécifiques, y compris la maîtrise de l'hypertension, ainsi que l'arrêt de l'AVASTIN".


Toxicité proffessionelle des anticorps monoclonaux et une liste
synagis / palivisumab, mabthera / rituximab, mabcampas / alemtuzumab, soliris / eculizumab, arzera / ofatumumab, herceptin / trastuzumab, bexxar / tositumomab, vectibix / panitumumab, avastin / bevacizumab, zevalin / ibritumomab tiuxetane, removab / catumaxomab, erbitux / cetuximab, adcetris / brentuximab vedotin, orthoclone okt3 / muromonab, simulect / basilximab, rmicab / infliximab, xollair / omalizumab, roactemra / tocilizumab, cimzia / etanercept, cimzia / certolizumab pegol, enbrel / etnercept, (humira, trudexa) / adalimumab, orencia / abatacept, arcalyst / rinolacept, ilaris / canakinumab, nplate / romiplostim, stelara / ustekinumab, simponi / golimumab, benlysta / belimumab, reopro / absiximab, lucentis / ranibizumab, (prolia, xgeva) / denozumab

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

Herceptin : le médicament contre le cancer Herceptin causes des lésions cardiaques chez 28 pour cent des patients
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
 


Herceptin est une entrprisse très profitable pour Genentech
Dans la seule année 2007, le médicament a fait 327 millions de dollars de chiffre d'affaires pour l'entreprise de biotechnologie. En fait, un cours complet de traitement peut atteindre jusqu'à 70.000 dollars

En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l'anticorps monoclonal TGN1412.
Moins d'une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d'une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d'un des jeunes hommes a tellement enflé qu'il avait l'impression qu'elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d'un autre volontaire a triplé de volume. Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d'entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d'une gangrène. Les six hommes ont tous de graves défaillances d'organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d'après le Professeur Richard Powell, de l'Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7 Les tests pré-cliniques avaient déduit que le médicament était sûr pour les humains suite aux tests sur des rats, des lapins et des macaques cynomolgus. Ces derniers avaient reçu une dose 500 fois plus importante que celle administrée aux volontaires.

immunotherapie
L'utilisation d'anticorps monoclonaux visent à empêcher la prolifération cellulaire en bloquant l'activité de certains récepteurs codés par des oncogènes. Des anticorps monoclonaux sont utilisés dans le traitement de certains cancers


Une étude récemment publiée, et relayée dans la presse anglo-saxonne, montre des résultats encourageants sur le potentiel de l’immunothérapie dans le traitement de certains cancers. Mais ce sont les laboratoires, plutôt que les malades, qui s’en frottent les mains.

les chimiothérapies de troisième, quatrième, voire cinquième ligne sont des aberrations, sont des renoncements de la part des oncologues qui ne peuvent faire autrement que continuer le traitement pour ne pas désespérer Billancourt, pour ne pas avoir à dire dire aux malades et à leur famille "Nous avons échoué" comme n'importe quel médecin traitant le dirait à son malade de trente ans. Elle sait mais ne dit pas que nombre d'essais cliniques sont menés  sur des cadavres ambulants en dépit de toute éthique, en faisant des promesses fallacieuses, en promettant la guérison à des patients qui sont déjà morts... Elle ne dit pas non plus que la finalité de ces essais est d'obtenir une AMM, une facile AMM, un prix considérable, facilement considérable, car, que voulez-vous, si on sauve un patient, il n'y a pas de prix, en cachant les effets secondaires ou en les minimisant et qu'ils permettent aux expérimentateurs de faire les malins dans les congrès en lisant des textes qu'ils n'ont souvent pas écrits en s'aidant d'écrans power point composés pour eux et aux frais de leurs maîtres big pharmiens.

Après plusieurs années, certains patients développent une autre forme de cancer à la suite de leur traitement par chimiothérapie et la radiothérapie
 
Faire ce type de traitement,c’est comme de faire exploser une bombe au napalm pour tuer des araignées
 
la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien
 
Une équipe comprenant des chercheurs du BIDMC a montré que les cellules cancéreuses mortes et mourantes générées par la chimiothérapie et la thérapie ciblée contre le cancer déclenchent paradoxalement une inflammation qui favorise une croissance tumorale agressive .
 
Certains types de chimiothérapies (chimiothérapies) ont été associés à différents types de cancers secondaires. Les cancers les plus souvent liés à la chimiothérapie sont le syndrome myélodysplasique (SMD) et la leucémie myéloïde aiguë (LAM) . Parfois, MDS se produit d'abord, puis se transforme en AML. La leucémie lymphocytaire aiguë (ALL) a également été liée à la chimiothérapie. La chimiothérapie est connue pour être un facteur de risque plus important que la radiothérapie pour provoquer la leucémie.
Le risque augmente avec des doses de médicament plus élevées, un temps de traitement plus long et une intensité de dose plus élevée (plus de médicament administré sur une courte période de temps). Des études ont montré que le risque de leucémie commence à augmenter environ 2 ans après le traitement avec des agents alkylants, devient le plus élevé après 5 à 10 ans, puis diminue.
 
Il existe de nombreux cancers secondaires, mais seulement une fraction est causée par le traitement du cancer.
...on sait que le tamoxifène, un composé de traitement hormonal, augmente le risque de sarcome utérin et de cancer de l'endomètre.
 
La chimiothérapie pourrait causer la propagation du cancer et devenir plus mortelle, selon de nouvelles recherches.
 
Les traitements de chimiothérapie sont également cancérigènes. Oui, cancérigène. Rappelez-vous, un cancérogène est un facteur qui augmente les chances de développer un cancer.
 
Les scientifiques ont constaté que, tout en réduisant les tumeurs, la chimiothérapie ouvre une porte d'entrée pour que les cellules du cancer du sein se répandent dans le sang et d'autres parties du corps.
Il y a quelques semaines (le 10 Juillet 2010), le Seattle Times a rapporté l’histoire de Sue Crump, une pharmacienne de vingt ans d’ancienneté qui a passé beaucoup de temps à délivrer des médicaments de chimiothérapie. Sue est décédée en Septembre d’un cancer du pancréas, et une de ses dernières volontés, c’est que la vérité soit racontée comment son «exposition sur le lieu de travail» à la chimiothérapie toxique a causé son propre cancer. Mais je ne suis pas surpris, l’êtes-vous ? Après tout, l’un des effets secondaires de la chimiothérapie est qu’il cause le cancer !
 
En d'autres termes, même si la chimiothérapie «rétrécit les tumeurs», elle répand également le cancer dans tout le corps , fonctionnant comme une sorte d'activation du cancer futur (ce qui revient à générer des affaires récurrentes pour l'industrie du cancer).
 
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
 
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
 
vidéo

"la chimiothérapie n'est pas efficace pour 90% des cancers"

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"Les gens qui ont accepté la chimiothérapie meurent dans les trois ans suivant le diagnostic, un grand nombre meurt immédiatement après quelques semaines"

"Les gens qui ont refusé un traitement de chimiothérapie vivent en moyenne 12 ans et demi de plus que les personnes qui subissent une chimiothérapie."

"la chimiothérapie et les rayonnements aident, seulement, environ 3% des patients"

La chimiothérapie provoque des tumeurs plus agressives

"La chimiothérapie augmente les risques de migration des cellules cancereuses vers d'autres parties du corps. La maladies est appelée cancers métastasiques et est la forme la plus létale."

"La chimiothérapie propage le cancer, générant des affaires récurrentes pour l'industrie du cancer à but lucratif"

"la chimiothérapie tue plus que le cancer"

Les anticorps monoclonaux pour immunothérapie chimique : Herceptin, Rituxan ou MabThera, Campath / MabCampath / Campath-1H / Lemtrada, Erbitux, Avastin, Envrel, Humira, Tsabri, Xolair...

L'idée ici est que vous prenez des antigènes provenant de cellules cancéreuses, injectez-les, par exemple, souris et récoltez les anticorps. Ils peuvent ensuite être fusionnés avec, par exemple, des cellules de mélanome, ce qui entraîne des hybrides de plongée rapide. La partie des souris est alors «nettoyée», en supprimant autant que possible sinon tout, par génie génétique. Le résultat est un «médicament qui a généralement un nom se terminant par« mab ».
Ils peuvent stimuler une réponse immunitaire, d'autres peuvent se lier à la surface des cellules cancéreuses, et d'autres interférent avec les protéines produites par des cellules cancéreuses qui les aident à prendre le contrôle du corps du patient.
 
après plusieurs années de suivi, pour 86 % de ces 36 médicaments, il n’existait toujours pas de preuve d’une amélioration de la durée de survie
 
sont des renoncements de la part des oncologues qui ne peuvent faire autrement que continuer le traitement pour ne pas désespérer Billancourt, pour ne pas avoir à dire dire aux malades et à leur famille "Nous avons échoué" comme n'importe quel médecin traitant le dirait à son malade de trente ans. Elle sait mais ne dit pas que nombre d'essais cliniques sont menés  sur des cadavres ambulants en dépit de toute éthique, en faisant des promesses fallacieuses, en promettant la guérison à des patients qui sont déjà morts... Elle ne dit pas non plus que la finalité de ces essais est d'obtenir une AMM, une facile AMM, un prix considérable, facilement considérable, car, que voulez-vous, si on sauve un patient, il n'y a pas de prix, en cachant les effets secondaires ou en les minimisant et qu'ils permettent aux expérimentateurs de faire les malins dans les congrès en lisant des textes qu'ils n'ont souvent pas écrits en s'aidant d'écrans power point composés pour eux et aux frais de leurs maîtres big pharmiens.
 
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfractaires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois): LA

85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
 

anticorps monoclonaux (entre autres)
conférence en vidéo.
Effet secondaire des anticorps monoclonaux : leucoencéphalopathie

approuvé en 2003 aux États-unis, comme médicament injectable administré une fois par semaine pour traiter le psoriasis en plaques chez les adultes. Le Raptiva, anticorps monoclonal humanisé ayant un effet immunosuppresseur sélectif, a été prescrit dans le traitement des patients adultes atteints de psoriasis en plaques intolérants ou présentant une contre-indication à d'autres traitements systémiques tels que la ciclosporine, le méthotrexate ou la PUVA thérapie.
Il est suspecté de déclencher des leuco encéphalopathies multifocales progressives, des polyradiculonévrites inflammatoires dont des cas de syndrome de Guillain-Barrésyndrome de Guillain-Barré. Le 16 octobre 2008, la Food and Drug Administration (FDA) souligne les risques des infections potentiellement mortelles suivantes : infection bactérienne, méningite virale, infection fongique généralisée, leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP)6.
Autorisé en Europe en 2004, commercialisé en 2005, il est retiré du marché en 2009.
Actuellement pour être accepté par les instances pharmaceutiques et sanitaires , un nouveau médicament n’a pas le devoir ou l’obligation de démontrer  que son efficacité est supérieure au médicament  déjà utilisé, ni que sa toxicité soit moindre ou égale. Ceci est un scandale.
 
ne serait efficace que chez 33% des 20% de femmes receptives et pour peu d'effet bénéfique, chez ces 7% (environ) de femmes.Mais cela rapporte 5 milliards de dollars par ans au labo.


leucoencéphalopathies engendré par les anticorps monoclonaux
La LEMP constitue une démence subaiguë notée par l'apparition progressive de troubles neurologiques divers (déficits sensitifs et/ou moteurs, troubles du comportement, syndrome cérébelleux), fonctions de la localisation des lésions cérébrales. Elle évolue vers la mort en quelques mois.

anticorps monoclonaux liste
Ipilimumab
Nivolumab
Bévacizumab
Cetuximab
Ibritumomab tiuxetan
Alemtuzumab
Gemtuzumab ozogamicin
Trastuzumab (Herceptin®)
Rituximab

avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).


AVASTIN
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.


Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du sein
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)

Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin n’est plus autorisé dans le cancer du sein (Etats-Unis) Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)

avastin et cancer du cerveau
Le taux de survie à un an est de 66 % pour le groupe placebo contre 72 % pour le groupe Avastin.
Par contre, les résultats provisoires concernant la survie globale du patient en cas de prise d’Avastin " ne se sont pas révélés statistiquement significatifs


Avastin… Des effets pires que le mal!
L’agence américaine des médicaments (FDA) a décidé de retirer du marché l’Avastin, dans le cancer du sein, et met notamment en cause son inefficacité et des effets secondaires graves.
« Les femmes qui prennent de l’Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s’exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie », avec des risques de crise cardiaque, d’hypertension ou d’hémorragie potentiellement fatales.


Les drogues du type Avastin, utilisées pour traiter certains cancers, sont censées travailler en bloquant la protéine favorisant la croissance des vaisseaux sanguins, appelée facteur de croissance endothéliale vasculaire, ou VEGF.
Malheureusement, de nouvelles recherches récemment publiées dans la revue Nature, montrent que c’est faux. En fait, loin de fragiliser les vaisseaux sanguins pour « tarir » les tumeurs malignes, ces traitements anticancer, connus sous le nom de drogues anti-angiogenèse, normalisent et renforcent les vaisseaux sanguins, ce qui veut dire qu’ils sont capables de stimuler la croissance de tumeurs plus grandes.


Avastin
Le coût efficacité paraît prohibitif (100 000 euros environ par qualy gagné - qualy : nombre d'années gagné pondéré par la qualité de vie).
syndrome de leuco-encéphalopathie : "Ce syndrome peut être réversible s'il est reconnu et traité rapidement.

Chez les patients qui présentent un tel syndrome on recommande un traitement des symptômes spécifiques, y compris la maîtrise de l'hypertension, ainsi que l'arrêt de l'AVASTIN".

Toxicité professionelle des anticorps monoclonaux et une liste
synagis / palivisumab, mabthera / rituximab, mabcampas / alemtuzumab, soliris / eculizumab, arzera / ofatumumab, herceptin / trastuzumab, bexxar / tositumomab, vectibix / panitumumab, avastin / bevacizumab, zevalin / ibritumomab tiuxetane, removab / catumaxomab, erbitux / cetuximab, adcetris / brentuximab vedotin, orthoclone okt3 / muromonab, simulect / basilximab, rmicab / infliximab, xollair / omalizumab, roactemra / tocilizumab, cimzia / etanercept, cimzia / certolizumab pegol, enbrel / etnercept, (humira, trudexa) / adalimumab, orencia / abatacept, arcalyst / rinolacept, ilaris / canakinumab, nplate / romiplostim, stelara / ustekinumab, simponi / golimumab, benlysta / belimumab, reopro / absiximab, lucentis / ranibizumab, (prolia, xgeva) / denozumab

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

Herceptin : le médicament contre le cancer Herceptin causes des lésions cardiaques chez 28 pour cent des patients  : Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin

 


Herceptin est une entrprisse très profitable pour Genentech
Dans la seule année 2007, le médicament a fait 327 millions de dollars de chiffre d'affaires pour l'entreprise de biotechnologie. En fait, un cours complet de traitement peut atteindre jusqu'à 70.000 dollars

En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l'anticorps monoclonal TGN1412.
Moins d'une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d'une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d'un des jeunes hommes a tellement enflé qu'il avait l'impression qu'elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d'un autre volontaire a triplé de volume. Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d'entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d'une gangrène. Les six hommes ont tous de graves défaillances d'organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d'après le Professeur Richard Powell, de l'Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7 Les tests pré-cliniques avaient déduit que le médicament était sûr pour les humains suite aux tests sur des rats, des lapins et des macaques cynomolgus. Ces derniers avaient reçu une dose 500 fois plus importante que celle administrée aux volontaires.

la Vérité de l'immunothérapie
L'idée de base en Active Immunotherapy est de stimuler le système immunitaire d'une personne, non seulement en quantité, mais sur mesure pour lutter contre leur cancer spécifique, de sorte qu'il s'agit du cancer

Si l’efficacité du médicament est relative, les effets secondaires sont inquiétants : infections, cancers, ostéonécrose de la mâchoire, fractures atypiques notamment. On observe également des dermatites, des eczémas, des rashes et des endocardites.


Une étude récemment publiée, et relayée dans la presse anglo-saxonne, montre des résultats encourageants sur le potentiel de l’immunothérapie dans le traitement de certains cancers. Mais ce sont les laboratoires, plutôt que les malades, qui s’en frottent les mains.

                             il est question des anticorps moloclonaux / immunothérapie, après la 49 éme minute

Depuis plus de 15 ans, les récents médicaments anti-cancéreux sont inutiles et dangereux

Le cas du prolia / denosumab contre l'ostéoporose

Radiothérapie, radios et scanners

Les radiation médicales sont une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est que le rayonnement-induit des mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.
Des millions de cas de cancer, et des millions de cas de maladie coronarienne, peuvent être évités grâce à des changements simples et systématiques dans la façon dont les médecins utilisent les rayons X. C'est le message dans ce monumental livre par l'une des autorités les plus distinguées du monde sur les effets des rayonnements sur la santé.
 
plus de 50 pour cent du taux de mortalité par cancer est en fait induit par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre,
 
Le plus gros souci lié à la radiothérapie vient du fait qu’en irradiant une tumeur, on ne peut éviter totalement d’irradier les tissus environnants. Il y a donc un risque d’altération de cellules saines, situées à proximité de la zone traitée. Cette altération entraîne ce que l’on appelle les « effets secondaires ».
Autres effets secondaires liés à la radiothérapie
Vasodilatation capillaire rapide dès la cinquième heure après irradiation, même à faible dose.
Action immunologique: Baisse rapide du nombres des lymphocytes.
Irritation de la peau à l’endroit traité.Pour des rayons au niveau de la tête et du cou: Chute de cheveux temporaire ou définitive, altération du goût, difficultés à avaler, sécheresse de la bouche et manque de salive, perte d’appétit si les doses sont fortes.
Pour des rayons au niveau du thorax et de l’abdomen : Vomissements, diarrhées, nausées, crampes et gaz pour la région de l’estomac et de l’intestin.
Pour des rayons au niveau du bassin : Troubles urinaires et douleurs lors des rapports sexuels.
Fatigue au bout de quelques séances, qui peut nécessiter d’adapter son mode de vie durant le traitement.
En France, de nombreux cas de patients mécontents qui revendiquent leur statuts de victimes suite aux erreurs humaines. La plupart de ces patients ayant eu des problèmes lors de leurs soins ont été surradiés pour plusieurs motifs comme une erreur d’étalonnage ou une mauvaise calibration du faisceau ou encore d’une déviation de ce dernier lors de sa construction.
Cette technique demande un matériel de pointe et une grande maîtrise de précision dans ses réglages. Trop souvent le personnel n’est pas assez compétent pour affiner ces réglages, seuls un peu plus de la moitié des centres de radiothérapie comptent une personne spécialisée en radiophysie médicale dans leur effectif.
Dans tous ces cas dramatiques de surexposition, les patients ont fait face à plusieurs complications allant d’une brûlure très prononcée de l’épiderme à la mort en passant par des problèmes au niveau des organes entourant la zone irradiée. Ces surirradiations peuvent provoquer des rechutes locales entrainant le plus souvent la mort si ce n’est pas détecté suffisamment tôt.
 
En 2009, les chercheurs du National Cancer Institute a estimé que les 72 millions tomodensitogrammes effectués en 2007 pourrait conduire à ainsi 29 000 futurs cas de cancer.
 
Le secret le plus sombre de la radiothérapie (ou radiothérapie), qui utilise les rayonnements ionisants, est qu'il cause le cancer ou un deuxième cancer. Ces «cancers induits par le rayonnement» sont mentionnés sur le site Web de l'American Cancer Society (ACS). Vous pouvez lire l'article complet «Radiation Exposure and Cancer» au lien suivant:
http://www.cancer.org/cancer/cancercauses/radiationexposureandcancer/ index? sitearea = mh
... Dans son livre de 1990 "Cancer induit par irradiation à faible dose d'exposition:", le Dr Gofman,dans une analyse indépendante fournit la preuve humaine et physique que la cancérogenèse des rayonnements ionisants se produit aux doses et aux débits les plus bas imaginables. Cette découverte réfute les affirmations de certaines parties de la communauté des radiations selon lesquelles de très faibles doses ou doses peuvent être sans danger. En 1996, le Dr Gofman a exposé dans : "le dépistage du cancer du sein : l'histoire d'une cause majeure, prouvée et évitable de cette maladie" a révélé que ... "environ les trois quarts de l'incidence annuelle actuelle du cancer du sein aux USA , est principalement de sources médicales"
... En raison de la preuve évidente ci-dessus des dangers des rayonnements ionisants actuellement utilisés dans divers traitements médicaux, les médecins avisés comme le Dr Russell Blaylock (neurochirurgien), le Dr Margaret Cuomo (radiologue certifié), le Dr Francisco Contreras (oncologue), le Dr Keith Block (oncologue) et bien d'autres ont de sérieuses réserves quant à l'utilisation et à l'efficacité de la radiothérapie.
 
La première chose à prendre en compte, c’est que la tumeur, Carcinome de son petit nom, a disparu au bout du deuxième FEC100. Puis il y a eu 7 Taxol, et au bout du 3e Taxol, échographie et mammographie pour vérifier ce que l’on sentait à l’examen clinique, c’est à dire RIEN. Il n’y avait plus aucune trace.
La seconde chose a été l’opération, c’est à dire la tumorectomie sans tumeur, où on m’a confirmé qu’il n’y avait absolument plus rien, ni aux niveau des trois ganglions prélevés, ni au niveau du tissu prélevé à l’endroit de la tumeur disparue.Ensuite, il y a eu mes recherches sur les risques de la radiothérapie. Évidemment, aucun oncologue, ni chirurgien ni radiothérapeute ne m’en a soufflé mot. Mais aux vues des risques de cancers secondaires et surtout des risques de complications cardiaques qui surviennent généralement plusieurs années après les radiothérapies, il y a de quoi réfléchir. Surtout que je « bénéficiais » de 3 facteurs de risques accrus, à savoir :
Le fait d’être une femme
Le fait que la radiothérapie soit ciblée sur le sein gauche (proche du cœur)
Le fait d’avoir eu des doses de drogue cardiotoxique par la chimiothérapie, à savoir le FEC100.
 
En 1965, le Dr Ian MacKenzie a publié un rapport élégant intitulé « Cancer du sein suite à de multiples fluoroscopies » ( British J. of Cancer 19: 1-8) et, en 1968, Wanebo et ses collègues, stimulés par le travail de MacKenzie, ont rapporté « Le Cancer du sein après exposition aux bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki "( New England J. of Medicine 279: 667-671), mais peu étaient disposés à admettre que le cancer du sein pourrait être induit par un rayonnement faible.
 
480 pages (1990).
 
Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons
La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi
La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
 
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
 
Aucune exposition aux rayons X n'est considérée comme bénéfique
Des scientifiques américains ont averti vendredi que l'image scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays peuvent être dangereux.
 
le docteur Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leurcémie était les radiations médicale dans la forume de diagnostic médical de rayons X
Dans les années 1970, le dr Bross a dirigé un projet qui a étudié l'auguementation alarmante des taus de leurcémie.Elle a été appelé : l'étude leucémie Tri-state. Son échantillion a utilsé des registres de 16 millions de personnes de New York, du Maryland de du Minesota
.
RAYONS NOCIFS : Scanners et radios augmentent le risque de cancers
Une étude publiée dans le JAMA par le Dr. Rebecca Smith-Bindman, de l’université de Californie (San Francisco) et son équipe a trouvé que le nombre de scanners par millier de personnes a triplé aux Etats-Unis entre 1996 et 2010. Ces chercheurs estiment que 2% des cancers à venir seront directement liés à l’exposition à ces rayonnements. Tout en soulignant l’intérêt de l’imagerie médicale pour la santé, ils demandent aux médecins de bien mesurer le rapport bénéfices risques, d’en informer le patient et de limiter ou retarder certains examens.
 
risque lié a la radiologie
Dans le domaine des doses élevées (quelques dixièmes de Sievert ; voir chapitre " Le milli-Sievert, c'est quoi ? " 4.1.3mSv), de nombreuses études scientifiques (dont celles sur les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, celles sur les patients ayant suivi un radiodiagnostic ou une radiothérapie et celles sur des personnes professionnellement exposées) ont prouvé avec certitude l'existence d'un risque réel d'induction de cancers dans de nombreux organes dû au rayonnement. De nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 10% par Sievert pour des doses élevées. Ceci veut dire qu'on observera 10 cancers supplémentaires (dus au rayonnement) dans le cas où 100 personnes auraient été exposées à une dose de 1 Sievert.
 
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage." Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
 
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
 
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X
 
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."
 

Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.

Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements
Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.»
 
Chaque année, un autre 6 000 patients qui ont eu une radiothérapie pelvienne pour des conditions telles que le cancer de l’intestin souffrent de dommages à long terme (y compris l’incontinence). Un millier de ces patients continue à éprouver des problèmes encore pires, comme une insuffisance intestinale ou des saignements abondants.
 
Apparemment, il n'y a pas de grande étude cumulative pour soutenir les taux de survie globale de la radiothérapie, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de données pour justifier le rayonnement , alors pourquoi est-il mis en œuvre quotidiennement? La réponse est l'argent, et les systèmes de croyances endoctrinés inculqués dans les écritures orthodoxes médicales
l'industrie du cancer conventionnelle est une entreprise annuelle de 125 milliards de dollars.
 
En ce qui concerne la radiothérapie externe, le protocole habituel délivre une dose de 10 Gy par semaine à raison de 5 séances de 2 Gy par jour. La dose totale délivrée par ce type de traitement varie selon les cas de 30 à 70 Gy, voire jusqu'à 80 Gy9
(10Gy = 10sv = 10 000 msv, soit 500000 Radiographies thoracique (0,02 msv), par semaine / soit 25 000 fois la dose autorisé par an, pour un travailleur du secteur nucléaire)
 
« La dose moyenne d'un scanner (TDM) est de 10 millisieverts (mSv) mais, associé à un PetScan (TEP), les doses peuvent passer à 15-20 mSv », a indiqué le Dr Gérard, ce qui correspond au maximum autorisé par an pour un travailleur du secteur nucléaire.
 
1 rd = 0,01 Gy = 1 cGy = 10 mGy
 
La réglementation française fixe à 1 millisievert (mSv) par an la dose efficace maximale admissible résultant des activités humaines en dehors de la radioactivité naturelle et des doses reçues en médecine. Les limites de doses équivalentes pour le cristallin et pour la peau sont fixées respectivement à 15 mSv/an et à 50 mSv/an.
 
scanner thorax (8 msv) = 400 Radiographies thoracique (0,02 msv)
Mammographie (0,7msv) = 35 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner abdomen (10 msv) = 500 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner tête (2 msv) = 100 Radiographies thoracique (0,02 msv)
coronarographie par scanner (21,4 msv) = 1070 Radiographies thoracique (0,02 msv)
 
Le PET scan, aussi appelé tomoscintigraphie par émission de positons (TEP ou « positron emission tomography » en anglais) est un examen d’imagerie qui permet de visualiser le fonctionnement des organes (imagerie fonctionnelle). Il associe l’injection d’un produit radioactif visible en imagerie et la prise d’images par un scanner
 
les premiers radiothérapeutes obtiennent des résultats. La première guérison par irradiations d’un cancer remonte à 1899.
la radiothérapie pour la stérilisation humaine
"Chaque année, 24500 nouveaux cancers sont spécifiquement attribués aux rayonnements, aux USA. Environ 16500 en meurent."
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduireautomatiquement,puis en français

Prévention cancer

UN SCANDALE D'ETAT : DEPUIS 40 ANS ON NOUS CACHE QU'IL EST POSSIBLE DE PREVENIR LE CANCER SIMPLEMENT ET SANS DANGER
Quand on sait qu'en 2010, CHAQUE JOUR, 980 personnes se découvriront un cancer, que chaque jour 410 personnes meurent d'un cancer, il apparaît évident que de tels travaux qui démontrent la possibilité de PREVENIR les cancers doivent être publiés d'urgence.

CURE ANTI CANCER EN PRATIQUE
Description

Association pour andé Gernez
Prévenir les maladies dégénératives, dont le cancer, c'est possible.

les écrits du docteur Gernez
biomédecine

le CANCER est VAINCU !
Union Biologique Internationale

Le cancer serait vaincu (Dr André Gernez) , mais chut ! Ce n'est pas rentable...
Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’INSERM sur unéchantillon de 13 000 volontaires, la consommation de vitamines et de minérauxantioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisserd’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Mais ledocteur Gernez et le professeur Willem affirment qu'une étude INSERMréalisée sur des souris démontre dès 1971 que le cancer peut être évitédans 93% des cas.

Informations générales de prévention du cancer
Vue d'ensemble de prévention du cancer

Quelques médecins et autres

ralf Moss consultant
plus d'infos sur le cancer

ralf Moss

Médicine Cellulaire

fondation indépendante de recherche sur le cancer
la guerre du cancer en médecine

docteur johanna budwig
Le "corps médical (?) " censure une méthode avérée de guérison et de prévention du cancer
Rappelez-vous : ce n’est que dans un environnement déficient en oxygène que les cellules cancéreuses peuvent s’épanouir.

DR. HARDIN JONES «Mes études ont prouvé de façon concluante que les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées,"

dr john w Gofman «travail de pionnier dans la dénonciation des effets sur la santé de faibles niveaux de rayonnements» le Dr Brossa perdu son financement de l'Institut national du cancer quand son étude a été publiée dans le Journal américain respecté de la santé publique
 
La guerre PASTEUR - BELJANSKI.
 
Centre d’Innovations, de Recherches et d’Informations Scientifiques
  Docteur André GERNEZ

docteur Gernez
biomédecine
 
jean solomidès
historique et travaux


Des solutions cancers
Docteur Rath, Gernez, Clark, Burzinsky....

docteur evangelos Michelakis
Le DCA fonctionne comme un scalpel moléculaire, explique-t-il, il cible les cellules qui se développent anormalement comme c’est le cas de l’HTAP, mais ne touchent pas les cellules normales des autres artères dont l’activité mitochondriale est restée intacte

clinique du docteur Burzynsky
Houston


clinique de cancerologie
mexique

Cliniques mexicaines
une liste

Cliniques mexicaines
mise en garde


LAKHOVSKI Savant génial persécuté sur l’autel du marché du cancer
Savants persécutés sur l’autel du marché du cancer
Au temps de Lakhovsky, le corps médical était encore pluriel et ouvert, le serment d’Hippocrate avait encore un sens, l’hôpital était encore un lieu d’accueil et de soins où l’humanitaire primait sur le gestionnaire et la rentabilité, même si certains patrons le combattaient. Le cancer de la pensée unique n’avait pas encore fait surface, à l’heure actuelle ses ravages dans le monde médical désespèrent même certains médecins ayant encore une âme et une conviction de sauveur de vies


docteur laurent Schwartz
La Naltrexone ( Revia) à faible dose diminue l’apport en glucose.     – L’Acide Lipoïque permet à la cellule tumorale de bruler ce glucose et donc diminue la synthèse d’ADN et d’ARN.     – L’Hydroxicitrate empêche la synthèse des membranes. Il s’agit de médicaments et de compléments alimentaires qui ont plusieurs dizaines d’années et qui sont dans la pharmacopée européenne.  Cliquez ici pour voir la vidéo du Dr Laurent Schwartz     Voilà le principe, il s’agit de priver les cellules cancéreuses, et uniquement celles-là, des éléments nécessaires à leur croissance et leur multiplication. C’est une approche différente des chimiothérapies et radiothérapies dont l’objectif est de tuer ces cellules, avec d’inévitables effets sur les cellules normales. Comme ces anomalies métaboliques sont le fait des  seules cellules cancéreuses, le traitement métabolique n’a que peu d’effets secondaires. 

Cancer du sein : "Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteinte de cancer du sein est d'éviter le dépistage." prof peter Gotzsche

anti campagne rose
un site des médecins

Au nom de tous les seins
reportage france 5 et commentaires formindep sur les médecins corrompus qui y sont interviewer
 
L'auteur montre que l'exposition passée aux rayonnements ionisants --- principalement les rayons X médicaux --- est responsable d'environ 75 pour cent du problème de cancer du sein aux États-Unis.
 
Comme l’explique la Dr Véronique DESAULNIERS(Canada),en ce qui concerne le cancer du sein, il n’y a ni facteur génétique ni hérédité.
Angelina JOLIE a été trompée et mal informée.
De plus,les mêmes gènes peuvent être aussi bien activés que désactivés par dessubstances naturelles phytochimiques.Contrairement à ce que pensent la plupartdes gens qui est qu’on est une victime d’un cancer,nous avons beaucoup decontrôle sur le cancer.

Le surdiagnostic des cancers du sein mène à des traitements inutiles dans un cas sur trois
Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles

Prevention Cancer et dépistage : l’Arnaque Sémantique
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
  "Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage."
Les mensonges et le trafic d'influence des industriels du tabac ne nous surprennent plus guère (1). Nous ne sommes pas non plus étonnés quand des firmes pharmaceutiques modifient des résultats d'essais cliniques ou menacent des chercheurs et des revues indépendantes qui les gênent (2,3). Mais des cancérologues, des radiologues, et d'autres professionnels impliqués dans le dépistage mammographique des cancers du sein : leur arrive-t-il de recourir à des méthodes analogues ?


Mammographie : Les risques graves et très graves passés sous silence
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements
Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.» D’autres médecins partagent ce point de vue.
 
revue prescrire : L'autopalpation des seins est déconseillée car elle augmente sans bénéfice le nombre d'investigations invasives.
environ 60 % des anomalies dépistées en France sont en fait des "faux positifs"


Une étude déconseille les dépistages systématiques par mammographie
Se basant sur des études menées entre 1963 et 1991, le groupe de médecins et de scientifiques suisses relève plus d'inconvénients que d'avantages à ces mammographies.

No Mammo ?
Le blog de l'auteur du livre

Si le dépistage du cancer du sein était un médicament, il serait retiré du marché parce que les dommages qu’il engendre ne compensent plus les vies sauvées.
« Sur 2 000 femmes participant au dépistage pendant dix ans, la vie d’une seule femme est prolongée grâce au dépistage et au traitement précoce, explique le Dr Gøtzsche, mais dix seront diagnostiquées et traitées à tort

En termes de mortalité totale, un bénéfice du dépistage mammographique dans la population générale n'est pas démontré
"Certains cancers du sein n'ont pas de conséquence clinique, la patiente décédant avant toute manifestation de son cancer du sein. Le dépistage de ces cancers aboutit à un diagnostic par excès. Les diagnostics par excès des mammographies de dépistage concernent vraisemblablement 30 % à 50 % des diagnostics de cancer du sein"

dépistage du cancer du sein : Ce dépistage systématique n’apporte pas d’amélioration en termes de mortalité, sur-diagnostics, souffrance et mutilations supplémentaires : la balance bénéfice/ risque n’est pas favorable. Voilà pourquoi, à la lumière des données actuelles de la science, j’ai décidé à titre personnel de ne pas suivre vos conseils et de ne pas subir de mammographie de dépistage. En tant que médecin et en vertu de la Loi 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades,  j’apporterai à mes patientes toutes les informations qui leur seront nécessaires pour qu’elles puissent décider, pour elles mêmes, en toute connaissance de cause.

Cancer du sein : la pertinence du dépistage en question
Des spécialistes critiquent l'efficacité et le manque d'objectivité de l'Institut national du cancer dans l'information de la population à l'occasion de la campagne de sensibilisation Octobre rose.

Des statistiques trompeuses pour promouvoir la mammographie

la puissante fondation américaine « Susan G. Komen for the Cure » utilise des statistiques trompeuses afin de promouvoir la mammographie pour le dépistage du cancer du sein tout en ignorant complètement les risques pourtant très importants qu’elle génère. Les deux chercheurs affirment que la campagne de 2011 a exagéré le bénéfice de la mammographie car elle citait un taux de survie de 5 ans après le diagnostic de 98 % pour une tumeur décelée suffisamment tôt, contre 23 % pour un diagnostic tardif
Les essais cliniques montrent que 0,53 % des femmes non dépistées meurent d’un cancer du sein dans les 10 ans, comparativement à 0,46 % qui subissent un dépistage..

cancer du sein: gare aux traitements inutiles, dit un éditorial qui prend acte des 22% de régression spontanée
Lors d'autopsies de personnes décédées pour d'autres raisons, on constate souvent des cancers qui n'ont donné aucun symptôme clinique du vivant de ces personnes.
 
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
 
Voici une caricature de Adams et Berger qui montre à quel point le corps des femmes est devenu objet de commerce, pris en otage par l'industrie du cancer ou "l'économie du cancer"
 
La chimiothérapie peut causer le cancer
 
Pour la chimiothéraie et la radiothérapie, les études seraient biaisées. On peut pas laisser les malades sans espoir et ces méthodes sont très lucratives pour les hôpitaux qui sont des véritables entreprises ou seul le chiffre d'affaire est important.
Même si ce dépistage ne se traduit par aucun bénéfice en termes de survie (âge de décès toujours à 68 ans), on a mécaniquement augmenté la durée de survie des malades, puisqu’on est passé de 8 ans (68 ans – 60 ans) à 11 ans (68 ans – 57 ans). Un coup dans l’eau ? Pas tout à fait : de 57 à 60 ans, on aura quand même perdu 3 ans de vie normale et il suffit de renvoyer chacun(e) à son expérience de la chose pour comparer trois ans de chirurgie/radiothérapie/chimiothérapie à trois ans de douce inconscience – pour un bénéfice strictement nul en termes d’espérance de vie.
Comment les conflits d’intérêts mènent-ils à traiter inutilement des surdiagnostics, à savoir des « cancers » qui n’auraient pas eu de conséquence sur la vie des patients s’ils n’avaient pas été découverts ?
On peut donc estimer le nombre moyen de surdiagnostics à une centaine par jour en 2008, sans compter les cancers « in situ ».
La question n’est plus de savoir si, mais combien de fois, il se produit
 
Cancer du sein 
  Les dangers et le manque de fiabilité du dépistage sont aggravés par ses coûts grandissants et inflationnistes.
 
Alerte : les mamographies provoquent le cancer
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X

"les trois quarts de l'incidence annuelle actuelle du cancer du sein aux États-Unis est causé par des rayonnements ionisants, principalement à partir de sources médicales."
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."

Dépister le cancer du sein ?
Les article du formindep (syndicat de médecins)

IMAGERIE et CANCER du SEIN: La mammographie avant 30 ans peut augmenter le risque de 40% – BMJ.com
Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.

il n'existe aucune preuve d'un bénéfice global de mortalité d'une mammographie de dépistage.
C'est un rapport assez grossier ce qui démontre que la vie des femmes dont les cancers du sein sont détectés par la mammographie sont rarement, voire jamais, sauvé par la mammographie. En d'autres termes, la différence de temps entre la détection par mammographie et le dépistage clinique (comme un morceau) n'est pratiquement jamais la différence entre la vie et la mort .

Pour sauver une vie, les programmes de dépistage du cancer du sein en massacre 10 !
Dire que les mammographies de dépistage réduisent la mortalité du cancer du sein de 30 % est un mensonge selon Peter Gøtzsche. Car si le dépistage sauve effectivement une vie pour chaque 2000 femmes qui subissent une mammographie de dépistage, dans le même temps, parmi ces 2000 femmes, elle en massacre aussi 10 qui subiront injustement les affres du traitement. Car explique le Pr Peter Gøtzsche chez ces 10 femmes/2000, les cellules cancéreuses détectées auraient pu disparaitrent d’elles-même ou ne jamais progresser vers un cancer. Ces femmes vont pourtant subir une excérèse et 6 d’entre elles subiront même l’ablation inutile d’un sein. Sans compter la radiothérapie, les chimiothérapies et l’ensemble des répercutions physiques et psychologiques provoquées par le diagnostic et le traitement. (ajoutons, qu'en plus ce comportement fausse les statistiques en faisant croire qu'on guérit beaucoup plus de cancers qu'en réalité. J. L. )

Faut-il arrêter le programme français de dépistage du cancer du sein par mammographie ?
2006

extrait de mensonges et vérité de diona R Kirsch 
Certains médecins aiment pratiquer les mastectomies (ablation du sein)tout simplement parce qu'ils les ont pratiquées toute leur vie professionnelle. Certains croient même que c'est le moyen le plus sûr  pour éliminer tout risque de cancer ultérieur. C'est faux. Même la chirurgie la plus radicale ne retire pas tous les tissus du sein qui peuvent devenir cancéreux par la suite.La survie à long terme des femmes conservant leur sein lors d'une opération est égale à celles ayant subies une mastectomie radicale.

Selon nos estimations, le niveau de surdiagnostic dans les pays avec les programmes organisés de dépistage est d'environ 50%

A qui profite le business du cancer du sein ?
Depuis dix ans, en effet, de nombreuses études indépendantes contestent les bénéfices avancés (30 % de cancers dépistés et soignés), et en février 2012 même la Haute Autorité de la Santé (HAS) a admis la nécessité d’une remise à plat des données scientifiques. Quelle importance, direz-vous, si on sauve des vies et si cela économise l’argent de la Sécu, un dépistage coûtant moins cher qu’un traitement ? (300 000 millions d’euros en 2010 quand même, et dans 30 % des cas, un traitement en sus.)

Plus d'un million d'américaines traitées inutilement d'un cancer du sein (en 30 ans)
"Nous avons conclu que les mammographies ont détecté des tumeurs qui ne se seraient jamais développées pour provoquer des symptômes cliniques chez 1,3 million de femmes lors des trente dernières années", concluent les auteurs de l'étude, Gilbert Welch de la faculté de médecine Dartmouth (New Hampshire, nord-est) et Archie Bleyer de l'Université des sciences d'Oregon (nord-ouest).

Cancer du sein : la chimiothérapie inutile pour des milliers de femmes, selon des études
15-12-2007-Des milliers de femmes atteintes de cancer du sein pourraient échapper à la chimiothérapie ou recevoir des formes plus légères de ce traitement sans pour autant réduire leurs chances de combattre la maladie, selon de nouvelles études américaines.
La première d'entre elles souligne que certaines de ces femmes ont tiré des bénéfices, en termes de non-mortalité ou de non-rechute, lorsqu'elles recevaient un produit moins fort que l'Adriamycine, le traitement pourtant standard depuis des décennies.
Une seconde étude souligne qu'un test génétique peut aider à prédire quelle femme en tirera des bénéfices, y compris dans le cas de cancer propagé aux ganglions lymphatiques. Des cas qui, aujourd'hui, impliquent un traitement lourd.
Ces découvertes devraient permettre de ralentir le nombre croissant de femmes traitées par chimiothérapie pour ne plus cibler qu'un petit nombre d'entre elles en ayant réellement besoin, ont commenté des médecins jeudi à San Antonio, lors d'un symposium sur le cancer du sein.
"Nous abandonnons en partie la chimiothérapie que nous utiliserons de façon plus ciblée", chez certaines femmes, a déclaré le Dr Eric Winer de l'Institut de cancérologie Danafarber, à Boston.
Le test génétique, notamment, "va changer nos pratiques tout de suite", a renchéri le Dr Peter Ravdin du centre de cancérologie Anderson de l'Université du Texas, à Houston. "Les résultats montrent que ce test (...) aide à sélectionner les patientes qui tireront le plus grand bénéfice de la chimiothérapie".
 

Addendum : L’industrie du ruban rose
L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.

Le cancer : les traitements conventionnels inefficaces…
Une étude comparative allemande antérieure a révélé que les femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein et ne suivant aucun traitement vivent plus longtemps. L’étude recommandait donc à celles répondant à ce cas de figure de s’abstenir. 6 Cet avis confirme la découverte d’Ernst Krokowski, professeur de radiologie allemand qui démontra de façon concluante que la métastase était généralement provoquée par une intervention médicale, dont parfois la seule biopsie ou une chirurgie sans rapport avec le cancer.7 L’intervention sur une tumeur fait passer un nombre beaucoup plus important de cellules cancéreuses dans le sang, tandis que la plupart des procédures médicales (en particulier la chimiothérapie) détruisent le système immunitaire.

Dépistage du cancer du sein, la plus vaste escroquerie dans le domaine du DMO
Le nouveau plan d’arnaque des labos pharmaceutiques organisé avec l’aide de la sécu, oblige les médecins à remplir un certain quota de dépistages du cancer afin de recevoir une prime annuelle. L’objectif est d’augmenter le nombre de traitement par chimio dont l’argent va tout droit dans les poches des Labos. Combien de nouvelles victimes des séquelles des chimio faudra-t-il dénombrer au bout de la chaîne ?

 

Le nombre estimé de surdiagnostics en France est de 36 000 cas par an, pour le seul cancer du sein. Cent femmes par jour sont ainsi diagnostiquées et traitées inutilement.
...Guérir des faux cancers – grâce aux surdiagnostics – donne l’illusion que la médecine progresse, mais la réalité est tout autre. En France, selon les statistiques de mortalité, le risque de décéder d’un cancer du sein fut pratiquement identique en 1980 et en 2005. On peut donc douter que la précocité des traitements chirurgicaux, par radiothérapie et par chimiothérapie, ait amélioré les chances de guérison

Ma vérité sur octobre rose 2014 et le dépistage du cancer du sein par DELÉPINE Gérard Chirurgien cancérologue
Le dépistage organisé par mammographie n’améliore pas l’espérance de vie

Octobre rose :gabegie et désinformation
Tous les ans en octobre le monde est rose pour la cause du cancer du sein.     La course ne fait pas reculer le cancer, mais avancer les affaires.     Le don ne réduit pas la mortalité, mais fait vivre les marques.     Le spot télévisé profite aux médias et associations, mais vous désinforme.           Eteignez la télé, ôtez le ruban, cessez de courir et entrez ; ici cinq médecins indépendants ont créé ce site pour vous, pour relayer informations, controverses et outils de compréhension du cancer et des abus du dépistage.

Le mythe de la mammographie, un livre de Rolf Hefti
La majorité des femmes ont été amenés à croire par l'industrie médicale orthodoxe, en conjonction avec le soutien massif de diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein", que les mammographies sont indispensables, assez inoffensif, et "sauver des vies". Par conséquent, un grand nombre de femmes ont fait le choix de faire ce test de dépistage de diagnostic régulièrement, estimant qu'ils ont fait un choix «éclairé» à ce sujet.
Mais combien de ces femmes sont au courant de leur décision n'est pas un choix éclairé, mais plutôt un choix mal informés, parce qu'elle est fondée uniquement sur un ensemble très sélectif, unilatérale des données en faveur de la mammographie qui leur est présentée par la profession médicale traditionnelle , diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein», et les médias populaires?

Pourquoi l’Europe continue-t-elle à lancer des campagnes de prévention basées sur la mammographie ? 
La réponse est très simple:
- des milliards ont été investis dans la mammographie. Il faut les amortir.
- pratiquer l’échographie ductale à grande échelle est pour le moment impossible car les hôpitaux n’ont ni les appareils adaptés, ni les sondes et surtout, les radiologues ne sont pas encore formés à cette technique

DÉPISTAGE DU CANCER DU SEIN PAR LA MAMMOGRAPHIE
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le dépistage du cancer du sein
publié par le Nordic Cocrane Centre 2012

Dépistage et réduction de la mortalité par cancer du sein
"Trop dépister les cancers nuit-il à la santé ? L'exemple des cancers du sein". Conférence-débat du Prix Prescrire 2012

extrait du livre de feu sylvie Simon, Information ou désinformation ? La manipulation médiatique et politique en matière de santé
"D'ailleurs, l'examen de femmes"saines" agées de plus de cinquante ans ne révèle en moyenne que deux ou trois cas pour mille femmes examinées.Ni les frottis, ni les mammographies ne peuvent donc être considérés comme de bons tests. En effet sur cent tests "positifs", 90 à99% d'entre eux sont des "faux positifs"

Le leurre de la détection précose
La femme d épi st ée  n’a pas vécu  plus longtemps que  la femme non d épistée, mais  a vécu 3 ans de plus en sachant qu ’ elle avait un cancer du sein par rapport à  la femme non d épi st ée,  sa phase de  « maladievécue  » a été plus longue

anti-cholestérol : ces molécules, réputées jusqu'à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l'usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n'ont malheureusement pas pris le temps de lire l'ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.

taxol ( paclitaxel )
effets secondaires

taxol
la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la méladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine
  Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)

La vérité sur le tamoxifène
provoque le cancer et l’EPA est au courant

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

Herceptin : le médicament contre le cancer Herceptin causes des lésions cardiaques chez 28 pour cent des patients
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin

herceptin : seul 33% des 20% de femme qui pourraient être réceptives a ce traitement ont une petite amélioration
Par nicole Delépine
 
avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).


AVASTIN - Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.


Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin, Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, tamiflu....
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.

Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du seinLes femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
 
tamoxifène favoriserait le cancer du sein
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus 

tamoxifène : Ce médicament contre le cancer qui cause le cancer
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.

cancer du sein
traitement par les plantes (l'atémisinine)

Cancer du sein
pouvoir choisir son traitement

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Le cancer de la prostate

le dépistage du cancer est (enfin) déconseillé
l’Institut national du cancer (INCa) et l’Assurance maladie, en accord avec le Collège de médecine générale, ont décidé de largement diffuser une brochure portant sur «l’opportunité de la prescription d’un premier dosage du PSA »
 
Il est possible que le résultat du taux de PSA soit élevé quand il n'y a aucune présence de cancer.

C’est l’inventeur du PSA lui-même, le Dr Richard J. Ablin, qui avait énergiquement désavoué son propre test
Mais ce sont finalement les conclusions américaines de l’USPSTF (Preventive Services Task Force) qui ont porté l’estocade contre le PSA en octobre. Après reprise des plus récentes et sérieuses études existantes à ce jour, elle a en effet conclu à l’inefficacité du test. C’est l’inventeur du PSA lui-même, le Dr Richard J. Ablin, qui avait énergiquement désavoué son propre test peu de temps auparavant dans les colonnes du New York Times. Dans un article intitulé The great prostate mistake (Prostate : la grande erreur), il qualifiait son invention de «désastre de santé publique» en raison de ses imperfections et de son coût démesuré, 3 milliards de dollars rien qu’aux Etats-Unis. Car ce que l’on reproche aussi au dépistage par ce fameux test PSA, c’est sa prescription trop facile avec, en France, environ 5 millions de tests réalisés en 2010. Le fruit, souvent, d’une ordonnance rédigée à la va-vite, sans explications ni information appropriée.

PSA et dépistage du cancer de la prostate, les USA jettent l’éponge

Les USA sont sur le point d’abandonner le dépistage du cancer de la prostate par le dosage sanguin des PSA et la pratique régulière du toucher rectal.

une récente recherche paru dans la revue scientifique Nature qui démontre que les médicaments anticancéreux contre la tumeur de la prostate favorise la maladie au lieu de la combattre (Treatment-induced damage to the tumor microenvironment promotes prostate cancer therapy resistance through WNT16B

Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause de lui. « Le traitement est souvent pire que la maladie, croit le médecin. Depuis 1992, on a les études qui démontrent que les mammographies sont inutiles. Même chose pour la prostate : ça fait bientôt six ans qu’on dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer tellement lentement que ça va nous faire mourir après notre mort. »

Je ne suis pas le premier à déconseiller ce dépistage. La Haute autorité de santé l'a fait avant moi. Ce que je veux, à l'occasion de la Journée européenne du cancer de la prostate, qui a lieu aujourd'hui, c'est comprendre pourquoi on continue à dépister. Cela fait des années qu'on sait que ces traitements ne sont pas efficaces. Cinq millions de tests sont effectués chaque année, 20 000 hommes se font opérer et 80 % d'entre eux deviennent impuissants ou incontinents. Et la mortalité ne baisse pas.

Cancer de la prostate, surtout ne rien faire
Ne rien faire reste donc à ce jour la meilleure solution

TOUCHE PAS A MA PROSTATE ! PLUS JAMAIS DE BIOPSIES INUTILES DE CHIRURGIE RADICALE ET D'IMPUISSANCE
Le cancer de la prostate concernait en 2009 plus de 71 000 hommes. En France, comme dans de nombreux pays, le traitement de référence est radical : on enlève la prostate « pour ne pas courir de risque ». Les urologues ont donc la main lourde : 22 000 prostates enlevées en 2010, près de 4 fois plus qu’en 1998.
Les séquelles de ces opérations sont fréquentes et invalidantes, mais hélas passées sous silence par de nombreux urologues. « On vous affirme que la rééducation sphinctérienne vous épargnera les fuites urinaires, l'incontinence au moindre effort tellement fréquent, dénonce le Pr Henri Joyeux (Faculté de médecine de Montpellier). Un autre chirurgien plus honnête vous prévient des risques d'incontinence, mais vous promet de conserver votre érection, un autre vous affirme qu'avec le Viagra - totalement inefficace dans ces cas - et les traitements actuels, votre puissance sexuelle ne sera pas perturbée. Doux rêves ! »
Selon l’Association nationale des malades du cancer de la prostate (ANAMACaP), un homme sur trois se plaint de fuites urinaires un an après une ablation de la prostate. Et selon l’étendue de la tumeur et l’importance du geste chirurgical, 41 à 80 % des patients souffrent d’impuissance à divers degrés. C’est cette situation que dénoncent les Américains Ralph Blum et Mark Scholz dans leur livre « Touche pas à ma prostate »

Cancer de la prostate : non aux traitements inutiles et invalidants
Les séquelles de ces opérations sont fréquentes et invalidantes, mais hélas passées sous silence par de nombreux urologues. « On vous affirme que la rééducation sphinctérienne vous épargnera les fuites urinaires, l'incontinence au moindre effort tellement fréquent, dénonce le Pr Henri Joyeux (Faculté de médecine de Montpellier). Un autre chirurgien plus honnête vous prévient des risques d'incontinence, mais vous promet de conserver votre érection, un autre vous affirme qu'avec le Viagra - totalement inefficace dans ces cas - et les traitements actuels, votre puissance sexuelle ne sera pas perturbée. Doux rêves ! »
 
Dans la seule grande étude évaluant le dépistage : il y a eu plus d’hommes morts d’un cancer de la prostate dans le groupe auquel le dépistage a été proposé, que dans celui non incité à se dépister.

Cancer de la prostate : la chirurgie inefficace
Aux Etats-Unis, la plus grande étude jamais réalisée sur le cancer de la prostate révèle que l'ablation chirurgicale est inefficace dans la plupart des cas.
 
Cette situation a conduit la Haute Autorité de Santé à ne pas recommander ce dépistage en routine.
 
il conclut maintenant qu'un taux élevé de PSA serait surtout le signe d'une augmentation bénigne de la taille de la prostate. et que le test entraîne inutilement des milliers de chirurgies qui visent à enlever de minuscules cancers qui pourraient être sans
 
Cancer localisé de la prostate chez l'homme âgé, l'abstention thérapeutique est-elle le meilleur choix ?

Cette opération aux conséquences parfois terribles est inutile dans 80% des cas
Touche pas a ma prostate
 
aucune preuve déterminante allant dans le sens d’une réduction de la mortalité grâce au dépistage.

Dépister le cancer de la prostate ?
les articles du formindep (syndicat de médecins)

Dépistage du cancer de la prostate : toujours inutile pour la HAS
Le dépistage du cancer de la prostate est controversé. Il n’améliore pas l’espérance de vie, diminue de façon insignifiante la mortalité due à ce cancer et conduit à de nombreuses mutilations inutiles chez des sujets en bonne santé.

L’étude ne montre aucun bénéfice de la chirurgie pour le cancer de la prostate
Une fois encore, la médecine fondée sur des preuves se révèle être une imposture. Dans ce cas, le traitement standard du cancer de la prostate, la chirurgie radicale, bien qu'elle mutile systématiquement, n'apporte aucun bienfait. Nous pouvons planter un autre clou dans le cercueil de la prétention de la médecine traditionnelle à être scientifique et factuelle. Le traitement standard du cancer de la prostate est à l'ablation chirurgicale rapide et drastique de la prostate. Elle est pratiquée depuis des années sur la présomption que l'ablation élimine le cancer. Il n'y a pourtant jamais eu la moindre preuve documentant quelque peu la réalité de son efficacité, mais les chirurgiens sortent leur scalpel sans scrupule, laissant derrière eux des foules d'hommes impuissants et incontinents.  Maintenant, pourtant, il existe des preuves. Mais elles ne montrent aucunement ce que tous ces toubibs veulent entendre. Au lieu de cela, elles montrent le contraire : Dans la plupart des cas, la prostatectomie radicale pour cancer de la prostate ne présente aucun intérêt !  Tout comme s'avère souvent fausse l'affirmation selon laquelle la détection du cancer précoce sauve des vies, les traitements de routine s'avèrent inutiles, à moins, naturellement, que vous soyez le médecin qui empoche d'importants honoraires grâce à la chirurgie et à chaque visite à son cabinet qui en résulte.  L'étude : The Independent rapporte aujourd'hui les conclusions de l'essai randomisé le plus grand du monde sur le traitement du cancer de la prostate. Appelé Prostate Intervention Versus Observation Trial (PIVOT), il a commencé en 1994. Ils ont comparé l'ablation chirurgicale de la prostate par rapport à ne rien faire. Ils n'ont trouvé aucun avantage statistique en faveur de la chirurgie.  Les conclusions ne sont pas encore imprimées. Elles ont été présentées à Paris lors d'une réunion de l'Association européenne d'urologie. 11.000 spécialistes du monde entier y ont assisté.  Les conclusions ont été accueillies par le silence. Selon The Independent, contrairement aux réactions habituelles devant des conclusions d'essais à grande échelle, la multitude d'annonces par l'intermédiaire des médias sociaux de l'Internet, rien ne s'est passé

Pire que le mal ?  Dépister ou ne pas dépister les cancers, telle est la question, selon le professeur Fernand Turcotte
Si le diagnostic précoce du cancer sauvait des vies, on devrait pouvoir en observer les effets par une baisse des taux de mortalité. Gilbert Welch cite le cas du cancer de la prostate. "Le zèle avec lequel on cherche ce cancer détermine le nombre de cas que l'on trouve", écrit le médecin américain. Au cours du dernier quart de siècle, plus d'un million d'hommes ont reçu un diagnostic du cancer de la prostate à la suite d'un test de dépistage. Pourtant, le taux de mortalité dû au cancer de la prostate est demeuré désespérément stable. "Ce n'est pas anodin, commente Fernand Turcotte. Ça signifie que plus d'un million d'hommes ont été opérés avec les risques que cela comporte, et qu'ils doivent vivre avec les conséquences de cette opération - certains devront porter une couche pour le reste de leur vie - sans que tout cela n'ait sauvé une seule vie."

les médicaments anticancéreux contre la tumeur de la prostate favorise la maladie au lieu de la combattre
 
Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)
Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.
Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survieEnantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).

Haute autorité de santé (HAS)
Dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA : intérêt non démontré chez les hommes présentant des facteurs de risque

Une autre étude très importante a été faites qui montre qu'après 8 ans de suivit la mortalité totale, toutes causes confondues est quasiment identique chez les hommes opérés que chez les hommes non opéré.

Le cancer de la thyroïde, comme celui de la prostate chez les hommes de plus de 75 ans, est en effet très courant et, la plupart du temps, ne tue pas. S’il n’avait pas été diagnostiqué, la plupart des patients ne se seraient jamais aperçus de rien, et seraient morts d’une autre cause.  Par contre, l’opération du cancer de la prostate provoque des problèmes d’incontinence et d’impuissance. En cas d’ablation totale de la prostate, ceux-ci apparaissent dans 93 % des cas, selon une toute récente étude danoise [3]. 
 
Jevtana* et cancer de la prostate : Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix

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Le cancer du colon (colorectal)

cancer du colon et quelques arnaques médicales
L'excellente revue Que Choisir - Santé publie ce mois ci une étude édifiante sur le test de dépistage du cancer du colon, qui me donne l'idée de résumer quelques arnaques médicales.
1 - Commençons par le test Hemocult, qui consiste a prélever un échantillon d'excrément et à le faire analyser pour dépister la présence de sang. En cas de test positif, un examen endoscopique de l'intestin - une coloscopie - est pratiqué pour vérifier la présence du cancer.
En dépistant plus tot le cancer les chances de survie sont évidemment bien meilleures.
Alors globalement c'est vrai, mais un problème survient quand on regarde les chiffres de plus près. sur 100 personnes testées on trouvera 2% de positifs, dont seulement 10% (donc des 2%) ont un cancer.
Sauf que le test loupe la moité des cancers et d'autre part que 80% des positifs subiront inutilement une coloscopie qui est tout sauf un acte anodin : sur 1000 coloscopies il se produit 5 "accidents"
Au final, si l'on regarde uniquement l'intéret du patient, la test Hemocult est d'un intérêt extrêment limité pour ne pas dire plus car il existe encore d'autres problèmes. Pour les détails voir Que choisir Santé numéro 20 de septembre 2008, p4.
Par contre sur le plan économique on comprend facilement que toutes ces coloscopies, peu utiles voire dangereuses, n'en sont pas moins une véritable rente pour les centres médicaux publics ou privés.
Et à l'heure ou la Sécu dérembourse des médicaments vraiment utiles, soit disant pour cause de SMR (service médical rendu) insuffisant ca donne à réfléchir sur le lobby administrativo médical ...

Un autre dépistage conseillé par les médecins et les autorités sanitaires, celui du cancer du côlon et du rectum, pose un vrai problème rarement abordé dans les médias et les revues médicales :
celui du critère choisi pour évaluer son utilité. En effet, le dépistage de ce cancer réduit probablement de 10 à 15% la mortalité par cancer du côlon mais ne modifie pas la mortalité de la population et n’accroît pas son espérance de vie. Pour une raison simple : les essais réalisés pour évaluer l’efficacité de ce dépistage fournissent des résultats après une dizaine d’années. Les sujets qui, en raison du dépistage, évitent de mourir d’un cancer du côlon  meurent, après quelques années pour la plupart, d’une autre maladie. Au total, le bénéfice populationnel (le nombre des survivants) après un dépistage ayant duré 10 ans dans une population dépistée comparativement à une population non dépistée est nul ou réduit et n’a pas de signification statistique.

Pour comprendre ce fait, imaginons un sujet qui décide à 45 ans de ne plus jamais monter dans une voiture pour éviter de mourir d’un accident de la route. Sa vie sera-t-elle prolongée ? Rien n’est moins certain car le risque de mourir, chaque année, d’un accident de la route qu’il évite en partie seulement (car il pourrait être l’un des piétons victimes d’un conducteur imprudent ou encore être tué par une voiture en traversant imprudemment la route à la sortie d’un repas bien arrosé), ce risque est  de 1,793 sur 1.000 décès en 2010.  Ce qui lui  laisse 998,2/1.000 risques de mourir d’une autre cause. Cette probabilité peut aussi être exprimée sous une forme plus parlante. En 2010, 36 hommes de plus de 45 ans sur un million ont été tués dans un accident d’automobile et 20.310 sur un million sont morts d’une autre cause. Le risque mortel accidentel est réel, mais la probabilité de mourir d’une autre cause est beaucoup plus élevée. [24]
Ce dépistage, au même titre que de nombreuse action de santé publique, pose la question : Quel critère d’efficacité un décideur politique doit-il choisir ?
Si le critère choisi pour évaluer l’efficacité  de cette action de prévention est la mortalité spécifique par cancer du côlon, le dépistage peut être proposé (sachant qu’il ne sera d’aucune utilité pour 85% des citoyens qui accepteront de le réaliser). [25] Si le critère choisi est la mortalité globale, ce dépistage qui n’est pas sans risque (accidents de la coloscopie [examen le plus conseillé pour faire un diagnostic de polype ou de cancer colorectal], mortalité post opératoire) est inutile. Bien évidemment, les médecins, les institutions médicales, les responsables politiques, plus ou moins consciemment (car : soit leur information est incomplète ; soit résister à la pression des partisans du dépistage généralisé leur est impossible pour des raisons politiques), proposent à toute la population ce dépistage en n’explicitant jamais cette différence entre  mortalité globale et mortalité spécifique liée à une maladie.
Les résultats d‘une des 3 enquêtes randomisées concernant le dépistage du cancer colorectal compare deux groupes d’égale importance et dont l’état de santé est similaire. Chaque groupe est constitué de plus de 30.000 personnes. Toutes sont suivies durant 13 ans. Chez un groupe (30.967 sujets), un dépistage est réalisé tous les deux ans. L’autre groupe, non dépisté, sert de témoin (30.966 sujets). Le nombre des décès toutes causes est de 8.732 dans le groupe dépisté et de 8.724 dans le groupe non dépisté (groupe témoin). Le nombre des décès par cancer du côlon est plus élevé dans le groupe contrôle (341) que dans le groupe dépisté (292). Mais celui des décès d’une cause autre que le cancer colorectal est plus élevé dans le groupe dépisté (8.440 contre 8.383). Il faut bien mourir un jour, et si le dépistage peut nous éviter la mort par cancer du côlon, une autre cause nous emportera tôt ou tard. [26]

L'Académie de médecine dénonce le test utilisé pour le dépistage de masse du cancer colorectal
Les tumeurs colorectales provoquent souvent des saignements. Le test actuel, dénommé Hemoccult II, traque donc la présence d'hémoglobine dans les selles des Français âgés de 50 à 74 ans visés par ce dépistage. Mais il ne distingue pas l'hémoglobine humaine de l'hémoglobine animale issue d'aliments non digérés. En outre, certains médicaments et aliments faussent les résultats. Enfin, la lecture du test se fait par interprétation visuelle de la coloration prise par le réactif, ce qui est source d'erreurs.

Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du sein

Le médicament du laboratoire suisse Roche reste toutefois autorisé pour traiter certains types de cancer du côlon, du poumon, du rein et du cerveau, a précisé la FDA dans un communiqué. L'institution américaine met notamment en cause son inefficacité et des effets secondaires graves.

Une étude a montré qu’entre 1999et 2004 le traitement médicamenteux du cancer du côlon aux États-Unis était passé de 500 à 250 000 dollars par an !

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Cancer de la thyroïde

Plus de 500.000 personnes auraient été surdiagnostiquées…
L’épidémie de cancers de la thyroïde observée ces vingt dernières années dans certains pays serait en majorité due au surdiagnostic. Un cancer peu susceptible de provoquer des symptômes au cours de la vie d’une personne ou d’entraîner la mort aurait été détecté chez 500.000 personnes dans le monde.
Le Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC/IARC) basé à Lyon (Rhône), dont l’étude a été publiée jeudi dans le New England Journal of Medicine, a en effet évalué que plus de 470.000 femmes et 90.000 hommes auraient fait l’objet d’un surdiagnostic de cancer de la thyroïde en vingt ans et dans 12 pays développés (Australie Danemark, Angleterre, Finlande, France, Italie, Japon, Norvège, République de Corée, Ecosse, Suède et Etats-Unis).
En Australie, France, Italie et aux Etats-Unis, le surdiagnostic est évalué entre 70 et 80 % par les chercheurs, contre 50 % au Japon et dans les pays nordiques. Le Dr Salbatore Vaccarella, qui a dirigé l’étude, précise que l’exemple le plus frappant est celui de la République de Corée, avec 90 % des cas observés pouvant relever du surdiagnostic entre 2003 et 2007.
En outre, « la majorité des cancers surdiagnostiqués ont été traités par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à d’autres traitements nocifs comme l’ablation des ganglions du cou ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie », déplore le Dr Silvia Franceschi, un des auteurs de l’étude.
Ces tumeurs sont en effet, la plupart du temps, des micro-cancers dont le pronostic est bon, avec une survie proche de 99 % à 20 ans. Selon les chercheurs, ces pathologies pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance rapprochée, mais sans traitements agressifs d’emblée.
 
Cancer de la thyroïde
La probabilité de détecter une anomalie de la thyroïde est élevée mais le risque que cette dernière cause un tort est faible, disent les chercheurs. Chez plusieurs personnes recevant un diagnostic de cancer de la thyroïde, ce dernier est d'une forme non agressive qui ne requière pas un traitement comportant en lui-même des risques.

Interdire le dépistage du cancer de la thyroïde
Des médecins coréens appellent donc aujourd'hui à interdire le dépistage du cancer de la thyroïde, à la suite du Dr Hyeong Sik Ahn du Collège de Médecine de l'Université de Séoul, qui est le principal auteur de cette nouvelle étude.

Une inquiétante boule dans le cou
Les nodules thyroïdiens, donc, sont de petites boules qui apparaissent très fréquemment dans la thyroïde : on estime qu’une personne sur 2 de plus de 50 ans en possède au moins un. De plus, ils sont 4 fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes. Mais dans la très grande majorité des cas, ces nodules ne causent aucun problème, y compris lorsqu’ils se présentent sous forme de kystes, c’est-à-dire remplis de liquide.
De plus, la taille du nodule n’a aucun rapport avec sa malignité (le danger pour votre santé). Si vous vous apercevez que vous avez une grosse boule, il n’y a donc pas plus de raison de vous inquiéter. Beaucoup de personnes vivent avec un nodule de 3 cm de diamètre (presque une balle de ping pong !) et ne s’en sortent pas plus mal.

Les médias ont déjà dénoncé l’inefficacité et les effets dangereux du Victoza
ce médicament est connu pour provoquer des inflammations du pancréas, des réactions allergiques, des maux de crâne (très fréquents), des vomissements (très fréquents également), mais surtout le cancer de la thyroïde.

Cancer de la thyroïde : le sur-diagnostic pousse aux traitements injustifiés
Les progrès du dépistage permettent de détecter des nodules thyroïdiens de plus en plus petits. Mais ils conduisent aussi à des biopsies, des traitements voir des ablations superflues de ces lésions peu évolutives.

Welch et Black estiment que la proportion des surdiagnostics est d'environ 60% pour les cancers de prostate, 15 à 25% pour ceux du sein. Selon eux, le problème serait aussi fréquent dans les tumeurs de la thyroïde

Le cancer de la thyroïde, comme celui de la prostate chez les hommes de plus de 75 ans, est en effet très courant et, la plupart du temps, ne tue pas. S’il n’avait pas été diagnostiqué, la plupart des patients ne se seraient jamais aperçus de rien, et seraient morts d’une autre cause.
Par contre, l’opération du cancer de la prostate provoque des problèmes d’incontinence et d’impuissance. En cas d’ablation totale de la prostate, ceux-ci apparaissent dans 93 % des cas, selon une toute récente étude danoise [3].  L’ablation partielle ou totale de la thyroïde, elle, entraîne en cascade des problèmes de déséquilibres hormonaux, avec des effets potentiels à tous les niveaux de l’organisme, y compris le moral et la joie de vivre. En effet, les hormones thyroïdiennes régulent le fonctionnement de chacune des cellules de votre corps [4]

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Leucémie

le docteur Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leurcémie était les radiations médicale dans la forume de diagnostic médical de rayons X
Dans les années 1970, le dr Bross a dirigé un projet qui a étudié l'auguementation alarmante des taus de leurcémie.Elle a été appelé : l'étude leucémie Tri-state. Son échantillion a utilsé des registres de 16 millions de personnes de New York, du Maryland de du Minesota.

traitements contre la stérilité et la leucémie aiguë de l’enfant
D’après une nouvelle étude de chercheurs français, les enfants nés de femmes ayant pris, afin de tomber enceinte, un médicament prescrit en cas de stérilité risquent deux fois plus que les autres de développer une leucémie.

GLEEVEC, également vendu sous le nom de GlivecCe médicament contre le cancer, utilisé pour traiter la leucémie, malheureusement détruit également les cellules du muscle cardiaque, ce qui peut causer la mort d'insuffisance cardiaque congestive.

Profils d’effets indésirables de médicaments anticancéreux
À très long terme, les patients qui ont reçu une chimiothérapie anticancéreuse développent parfois un autre cancer : des cytotoxiques sont eux-mêmes cancérogènes. La leucémie, particulièrement la leucémie myéloblastique aiguë, parfois précédée d’une myélodysplasie, est le plus fréquent des cancers secondaires. 

La leucémie est causée par les antibiotiques et les anti-inflammatoires. Et la nature de la leucémie n’a rien à voir avec celle de la version officielle

La réalité est la suivante. En fait, la théorie est fausse, les tests sont faux, et le diagnostic est faux. La leucémie ne vient pas du tout d’une cancérisation de la moelle osseuse.

La leucémie est une maladie appelée également, cancer du sang ou leucose aiguë des organes hématopoïétiques (sang, rate, ganglion, moelle osseuse).  Elle se caractérise par une production exagérée de précurseurs des globules blancs ("bébés" globules blancs) dans la moelle osseuse et le sang.

Une infirmière administre le vaccin Gardasil à sa fille: celle-ci développe une leucémie et en décède ; En tant qu’infirmière, son travail consistait à administrer régulièrement des vaccins qu’elle n’a jamais remis en question. Elle déclare qu’elle n’a jamais été informée de leurs effets secondaires.

Solution ???????????

Cancer des ovaires

"Il n'existe aucune méthode efficace de dépistage du cancer ovarien permettant de réduire la mortalité"
"En fait, une proportion élevée de femmes qui subissent ces examens ont des faux positifs et peuvent de ce fait souffrir de complications inutiles telles qu'une intervention chirurgicale lourde", a-t-elle ajouté.

cancer des ovaires survivor
témoignage

Solution ???????????
Les recherches de solutions de ce blog.

Cancer du pancréas

cancer du pancréas : la radiothérapie et la chimiothérapie de servent a rien :
"La chimiothérapie et la radiothérapie n'ont pas en l'état actuel de prétention curative".
 
la guerre du cancer en médecine
 
Les taux de survie à 5 ans à la clinique au Mexique où je suis allé ont une moyenne globale de taux de survie de 85% de cancer en rémission, ou disparu
 
survivante d’un cancer de 10 ans, stade-4
 
Traitements alternatif du cancer
 
J'ai une amie dont la maman avait le cancer du pancréas non metastasé et qui a tenu 14 ans alors que les médecins disaient 6 mois ... comme quoi méme le corps médical peut être surpris
 
témoignage
 
Ce que vous devez impérativement savoir sur la chimiothérapie
 
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)
 
Dr Kelley, sauvé d’un cancer du pancréas par la cure Gerson à l’âge de 37 ans
13 verres par jour de jus frais (impératif) de fruits et de légumes alternés, un régime sans viande et sans aucun produit laitier, où le sel est remplacé par du potassium et de l’iode, et surtout… des lavements au café qui réalisent un nettoyage interne exceptionnel par les voies biliaires et une sédation complète des grandes douleurs
Selon lui, son avantage certain sur la cure Breuss est que l’on peut continuer à s’alimenter presque normalement, ce qui n’est pas négligeable pour des patients déjà affaiblis par la maladie.
 
En 1934, l’University of Southern California réunit un Comité Spécial de Recherche Médicale pour envoyer des patients atteints de cancer en phase terminale, du Pasadena County Hospital au Labratoire Clinique de Rife, à San Diego. Le comité comprenait docteurs et pathologistes assurant le suivi des patients, si encore vivants, pendant les 90 jours des traitements. Après ces 90 jours de traitements, le comité arriva à la conclusion que 86.5% des patients étaient complètement guéris. Le traitement fut réajusté et le reste des 13.5% patients se rétablit dans les 4 semaines suivantes.
 
le reportage
 
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre,
 
que plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X. Radiation médicale est une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.
 
Saviez-vous qu'il y existe des traitements naturels ou alternatifs du cancer qui en tout ont un taux réel de succès de 50% pour des patients souffrant du cancer que la médecine classique a renoncé à traiter
 
cancer du pancréas
 
frank Goldman (2006)
 
"On peut effectivement enlever tout le pancréas mais en général, on évite parce que l'on tombe sur des diabètes extrêmement difficiles à équilibrer. Les qualités de vie des patients peuvent par la suite être difficiles. Au niveau des greffes, des tentatives ont été faites. Ce n'est pas une pratique courante. Il ne s'agit pas du foie, du rein ou du cœur. Mais il commence à y avoir des premiers succès. Pour un cancer, le pronostic peut être mortel si on n'enlève pas la maladie. Cela peut valoir le coup d'aller aussi loin dans l'agressivité thérapeutique.
 
témoignage
 
mexique
 
une liste
 
mise en garde
 
Oui
 
Une petite phase I d'essai clinique au Jefferson Hôpitaux universitaires de haute dose, vitamine C intraveineuse en combinaison avec des médicaments de chimiothérapie montrent que ce traitement est sans danger et peut avoir des promesses pour les patients atteints de cancer du pancréas avancé. L'étude publiée dans l'accès ouvert journal en ligne PLoS ONE a testé l'utilisation de l'acide ascorbique par voie intraveineuse (vitamine C) trois fois par semaine sur un cycle de huit semaines dans neuf patients atteints IV cancer du pancréas de stade métastatique, en plus de la gemcitabine standard et l'erlotinib de chimiothérapie.
 
Une étude, publiée dans la revue du pancréas, a constaté que les souris traitées avec des enzymes pancréatiques ont survécu significativement plus longtemps que ceux qui n'en avaient pas. La croissance des tumeurs dans le groupe traité par voie enzymatique était également significativement plus lente. Il ya cinq ans, une étude pilote des patients atteints de cancer humain par l'un des auteurs de l'étude,
 
a été publié dans la revue Nutrition and Cancer. Gonzalez a ensuite reçu une subvention du gouvernement fédéral 1,4 million $ pour un essai clinique de phase III prospective faisant intervenir des enzymes pour le cancer du pancréas. Cette étude pluriannuelle est en cours.
 
vidéo
 
Elle peut être liée à la fatigue prolongée entraînée par le cancer non encore diagnostiqué. Il faut la distinguer de la dépression secondaire à l’annonce du cancer et à l’inquiétude qui l’accompagne.
Les "mauvaises" pratiques de l'oncologie moderne, mais des détails intéressants
marqueur tumoral
L'augmentation d'un marqueur tumoral dans le sang n'est pas toujours synonyme de présence ou évolution d'un cancer car ces marqueurs pourraient être élevés dans certaines maladies non cancéreuses, donc, en général, les marqueurs tumoraux ne sont ni spécifiques ni sensibles pour le diagnostic d'un cancer. Malgré leur rôle limité dans le diagnostic de cancer, ils peuvent être utiles pour détecter la récidive d'une maladie cancéreuse après le traitement initial, ou pour surveiller l'efficacité thérapeutique.
Plusieurs marqueurs tumoraux présents dans le sang sont analysés, mais ils ne servent qu’à affiner le diagnostic, sans certitude sur l’existence d’un cancer : CA 19-9, chromogranine A.

C 19.9
Son dosage dans le sang reflète, dans une certaine mesure, le volume de la tumeur qui est à son origine. Il est aussi élevé dans des maladies non cancéreuses du pancréas ou du foie. Son dosage est peu spécifique et peu sensible (son élévation n’est décelable que pour des cancers déjà volumineux ou étendus). Il n’a donc pas d’intérêt pour le diagnostic de ces cancers.

Le CA 19-9 (« CA 19-9 » est une abréviation pour « Carbohydrate Antigen 19-9« ) est un marqueur tumoral, il n’est pas assez sensible ou spécifique pour être utilisé comme un test de dépistage et il n’est pas utilisé pour le diagnostic d’un type de cancer en particulier

le dosage du CA 19-9 a t il un intêret
Pas vraiment un marqueur tumoral...
Véritable bombe thérapeutique : la cure Gerson
La cure Gerson, une véritable bombe thérapeutique qui a discrètement sauvé des milliers de malades depuis plus de 50 ans. Jamais personne, jusque-là, n’avait entendu parler de cette méthode qui laisse loin derrière, en efficacité, ce que l’on connaissait. Ici pas de médicament miracle, mais la simple logique pour restaurer rapidement l’organisme : 13 verres par jour de jus frais (impératif) de fruits et de légumes alternés, un régime sans viande et sans aucun produit laitier, où le sel est remplacé par du potassium et de l’iode, et surtout… des lavements au café qui réalisent un nettoyage interne exceptionnel par les voies biliaires et une sédation complète des grandes douleurs – découverte fortuite remontant aux tranchées de la guerre de 14/18 pour calmer les grands blessés. Cette cure, initialement destinée à la tuberculose par le Dr Gerson, s’effectue tranquillement chez soi, sur quelques mois et s’applique à de très nombreuses maladies. Le second volet du livre concerne la thèse géniale du Dr Kelley, sauvé d’un cancer du pancréas par la cure Gerson à l’âge de 37 ans. Ses deux découvertes : ce que la médecine appelle  » métastases  » est simplement du tissu placentaire et c’est la pancréatine qui stoppe la prolifération du placenta. La conclusion thérapeutique devient alors simple et évidente .

Ce qui tue les cellules cancéreuses
Quel est le pH d'un corps alcalin qui va tuer le cancer? Il est rapporté le patient atteint de cancer a besoin pour atteindre un niveau de pH de l'organisme de 8,0 à 8,5 pH et l'y maintenir pendant 4 à 5 jours, et cela permettra d'atteindre les résultats souhaités.

Controverse sur l’équilibre acido-basique: cancer, faut-il acidifier ou alcaliniser?
Ce qui est à rechercher ce n’est pas acidifier, mais alcaliniser, c’est à dire alcaliniser le terrain, ce qui, en définitive, est le but recherché aussi bien par les tenants de l’alcalinisation que de l’acidification.

les aliments acalins
qui agissent contre le cancer
 
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Cancer des os

les guérisons des cancers des os de l'enfant sont plus rares aujourd'hui qu'il y a 20 ans
il n'y a plus de choix thérapeutique et l'amputation revient à la mode (comme la peine de mort ?).
Il y a 30 ans les cancers des os de l'enfant guérissaient encore rarement et les patients étaient le plus souvent amputés. Et puis entre 1980 et 1990 l'inventivité des chirurgiens et l'amélioration des schémas de traitement mis au point aux USA à la fin des années 1970 nous permit de guérir près de 90% des malades en leur gardant leur membre. Ils nous rendent visite maintenant avec leurs enfants.
Mais ce bonheur du cancérologue pédiatre s'avéra fugace. Que s'est-il passé ? Actuellement je vois passer dans mon unité avec désespoir des parents venant chercher du secours car leur enfant est déclaré perdu, bon pour les soins palliatifs et la mort. Pourtant il était curable quelques mois plus tôt avec un "bon traitement". Dans la dernière semaine j'en vis trois différents avec toujours le même scenario. Découverte du cancer, inclusion dans un essai thérapeutique en cours, explication des médecins sur le "protocole" de traitement proposé et présenté comme la seule possibilité de traitement sans jamais évoquer les autres schémas ayant fait leur preuve et publiés depuis une vingtaine d'années. Le rouleau compresseur de la pensée unique qui passe en médecine par le mythe des essais thérapeutiques et au moins des traitements uniformisés est en marche. Rage et désespoir ! Comment ébaucher une prise de conscience, une révolte, une réversion du phénomène ?

Cancer du poumon

Cancer du poumon : la HAS déconseille le dépistage chez les fumeurs
Dans le cadre du 3ème Plan cancer, la Haute Autorité de Santé (HAS) a évalué l'intérêt de dépister ce cancer chez les fumeurs, dans le but de détecter et de traiter la maladie à un stade précoce. Et de conclure que « les conditions ne sont actuellement pas réunies pour que ce dépistage soit possible et utile

Dépistage du cancer du poumon : effets indésirables et bénéfice incertain
Le dépistage par radiographies des poumons est déconseillé :  Selon les données d’essais cliniques, il ne diminue pas la mortalité, pas même chez les fumeurs, alors qu’il expose à des radiations et à un risque élevé de faux positifs c’est-à-dire la découverte de nodules bénins qui seront explorés inutilement, au risque de complications.
Environ 90 % des anomalies détectées au scanner sont des faux positifs

Sortir son père du cancer
Il a sorti son  père du cancer

Thérapie du cancer par oxygénothérapie hyperbare
oxygénothérapie hyperbare consiste à respirer de l'oxygène pur tandis que dans une chambre sous pression à jusqu'à trois fois celle de l'atmosphère normale

le radon est probablement la seconde cause (après le tabagisme) de décès par cancer du poumon en France. La mortalité par cancer du poumon attribuable à l’exposition domestique au radon peut être considérée prématurée puisque 50% environ des décès surviennent avant l’âge de 60 à 70 ans suivant les types de relation dose-réponse considérés.

Le thé vert réduirait de 5 à 13 fois le risque de cancer du poumon
Le thé vert peut réduire considérablement le risque de cancer du poumon chez les fumeurs et les non fumeurs selon une étude présentée au congrès de l'American Association of Cancer Research à Coronado en Californie.

Cigarette, le secret du polonium 210 dans la fumée de cigarette
Les fabricants savent depuis quarante ans que ce radio-élément dangereux est présent dans le tabac. Mais ils ont tout fait pour le dissimuler.  Philip Morris (PM), RJ Reynolds, British American Tobacco et toutes les « majors » de l’industrie du tabac ont volontairement caché au public pendant plus de quarante ans la présence dans les feuilles de tabac, les cigarettes et la fumée de tabac d’un élément radioactif dangereux et cancérigène, le polonium 210 (210Po).

D'après le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), les cancers du sein et du poumon seraient liés dans 30 % des cas à la pollution atmosphérique

La société cancérigène: Lutte-t-on vraiment contre le cancer ?
Tous fumeurs ? Aucun au contact de solvants, de benzène, d’amiante ? Il faut rappeler ici que les cancers du nasopharynx ou des glandes salivaires, empilés dans les statistiques des cancers des voies aéro-digestives supérieures, n’ont quasiment rien à voir avec le tabac ou l’alcool, mais beaucoup avec les poussières de bois et les radiations ionisantes. (…) Il existe aussi de nombreuses causes professionnelles de cancers des voies aéro-digestives supérieures : l’exposition à l’acide sulfurique, au formaldéhyde, au nickel ou aux teintures, pour ne citer que celles-là, concerne plus de 700.000 personnes. Et si 40% des tumeurs de la vessie sont causées par le tabac, les industries des colorants, du caoutchouc, des métaux ou des solvants font le reste. Enfin, et surtout, le cancer broncho-pulmonaire est le plus fréquent des cancers professionnels. Mais comme rien ne le distingue, le plus souvent, du cancer du fumeur, et que la reconnaissance des cancers professionnels est particulièrement sous-développée en France, le tabac arrive à point nommé pour monopoliser l’attention, habiller l’hécatombe, et… financer le plan cancer. (…)Depuis cinquante ans que le discours se focalise sur le tabac, le tabagisme n’a pas cessé de reculer : entre 1953 et 2001, le nombre de fumeurs réguliers a diminué chez les hommes, passant de 72% à 32%. En conséquence, on aurait dû logiquement observer une baisse des cancers broncho-pulmonaires dès les années 80. Or, entre 1980 et 2000, les cancers du poumon n’ont pas cessé d’augmenter. Comment le comprendre ? Et comment s’expliquer que les cancers qui augmentent le plus (mélanome, thyroïde, lymphome, cerveau) n’ont pas grand-chose à voir avec le tabac ?La carte des décès par cancer du poumon en Europe du Nord montre que les fréquences les plus élevées se superposent exactement avec « le croissant de forte industrialisation prenant l’Europe en écharpe de Glasgow à Milan ». Cette coïncidence est jugée troublante par les auteurs d’un ouvrage de cancérologie, qui laissent néanmoins le lecteur seul avec ses questions. Faut-il en déduire que les fumeurs se sont installés de préférence dans l’Europe industrielle ? (…)

Cancer de la peau, vessie, cerveau, foie, oesophage ....lymphome et autres

Étude de cas : nouvelle application de l’Artemether pour traiter le cancer du cerveau
Récemment, des scientifiques d’un peu partout dans le monde ont découvert que ce médicament pouvait également tu er les ce llules cancéreuses et utilise nt ARTEMOS pour cette nouvelle application. Approximativement cinq mois après avoir pris ARTE MOS, une patient e a guéri miraculeusement !

avastin et cancer du cerveau
Le taux de survie à un an est de 66 % pour le groupe placebo contre 72 % pour le groupe Avastin. Par contre, les résultats provisoires concernant la survie globale du patient en cas de prise d’Avastin " ne se sont pas révélés statistiquement significatifs

CANCER : MON TEMOIGNAGE
Ce site présente différents moyens mis en oeuvre pour lutter contre ma maladie, un cancer de la peau, exactement un mélanome. Voici plus de dix-huit ans que je résiste à ce cancer alors que, selon des statistiques américaines, seulement trois personnes sur dix vivent au delà de cinq ans lorsque la chirurgie s'est révélée insuffisante.

mon cancer
on diagnostique un lymphome, cancer du système lymphatique, une tumeur de 9cm dans le médiastin* antéro-supérieur et une autre de 2cm près des surrénales
on me fait faire une première chimio à la suite de laquelle mon organisme est dévasté, couché 24h sur 24 pendant 2 semaines, incapable de faire quoi que ce soit la 3ème.

aspartame 1981 L’entreprise pharmaceutique G.D Searle & Company obtient l’autorisation de commercialisation de NutraSweet.   Ce substitut de sucre avait été refusé par la FDA pour cause d’études suggérant un possible lien entre la consommation du produit et des risques de cancer du cerveau. Searle sera racheté par Monsanto en 1985 pour devenir sa filiale pharmaceutique.

extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie"

Le thé vert contre le cancer : confirmé
L’extrait se diluait trop et arrivait alors difficilement sur le site des tumeurs. Cette fois, on a rusé en perfectionnant le système de ciblage, grâce à des molécules en fer sur lesquelles les tumeurs apprécient de se lier. Le test en laboratoire pour un cancer de la peau a montré que 40 % des tumeurs disparaissaient après un seul mois de traitement. 30 % du reste avait réduit de volume. C’est un résultat très significatif. Il faudra cependant améliorer le ciblage avant de passer aux essais sur les humains.

Vinflunine : un cytotoxique à éviter, pourtant payé au prix fort !
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.

Cancerologie, la revue prescrire demande l'interdiction de :
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®).  

Cancer du foie
Le chirurgien lui a dit trois ans trop tard que neuf sur dix patients auxquels il opéré est mort quand même

cancer oesophage
des taux de survie de l'ordre de 20%

BEC5 Curaderm est mondialement reconnue pour son efficacité dans le traitement de la carcimonas basocellulaire (BCC) qui constituent le cancer de la peau. Peau non mélanique cancers sont extraits de la variété plus répandue de cancer de la peau et BEC5 Curaderm, avec sa formule dérivée de la plante purifiée, est efficace pour amener leur régression.
Environ 77 % des formes bénignes des cancers cutanés prennent la forme de carcinomes baso-cellulaires (vous pouvez en savoir plus sur les carcinomes baso-cellulaires ici), mais les récents développements ont trouvé qu’ils soient tout à fait traitable.
Le nombre de personnes qui ont choisi la crème BEC5 Curaderm dans leur tentative de trouver un traitement efficace pour le cancer de la peau est supérieure à 100 000 et il est de plus en plus tout le temps. La popularité du traitement peut être imputée à ses propriétés commodes et non invasif.
 

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Le cancer foudroyant : une invention des médecins

Cancer foudroyant - définition, causes et prise en charge
 
La vérité par un témoignage : Quand la chimothérapie tue
Lorsqu’il est décédé, le mari de Mme Bibeau, Paul Allard, venait de se faire retirer une tumeur au colon. L’opération s’était bien déroulée, mais son oncologue lui a offert de suivre un traitement de chimiothérapie pour réduire davantage de 5 % ses risques de récidive. Il est décédé 28 jours après le premier traitement dans des souffrances atroces, parce qu’il n’avait pas assez de l’enzyme nécessaire pour dégrader le médicament, une information inscrite dans ses gènes.
 
le massacre médical
 
Chaque année, plus de 8,6 millions d’événements indésirables médicamenteux (EIM) sont signalés aux États-Unis – 2,2 millions d’entre eux sont graves.
En fait, les événements indésirables sont la quatrième cause de décès à l’échelle nationale, après les maladies cardiaques, le cancer et les accidents vasculaires cérébraux, et ils placent un énorme fardeau financier pour le système de santé.
Même avec la prescription appropriée, la génétique d’un patient peuvent affecter la façon dont ils métabolisent et répondre aux médicaments. Plus de 85% des patients ont des variations détectables dans leur ADN qui augmentent leur risque d’une ADE.
 
chimiothérapie : les cancéreux meurent "mystèrieusement" de cancers foudroyants

Opiacés / opioïdes, antidouleurs.... benzodiazépines et morts des patients

Le mésusage et l'abus de médicaments d'ordonnance aux États-Unis continue d'augmenter en dépit des interventions par des professionnels de la santé, de la réglementation et les organismes d'application de la loi. Les analgésiques opioïdes sont la principale classe de médicaments sur ordonnance qui ont causé les décès par surdose involontaire. Les benzodiazépines lorsqu'ils sont pris seuls sont des agents relativement sûrs en surdosage. Cependant, une augmentation de 5 fois du nombre de décès attribués aux benzodiazépines s'est produite de 1999 à 2009, les visites aux services d'urgence liées aux analgésiques opioïdes a augmenté de 111%, suivie par les benzodiazépines 89%. De 2003 à 2009, les deux médicaments sur ordonnance avec la plus forte augmentation dans les taux de mortalité étaient oxycodone 264,6% et 233,8% alprazolam. Par conséquent, les benzodiazépines ont un impact significatif sur les surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance en second lieu seulement aux analgésiques opioïdes. La prescription de combinaison des benzodiazépines et des analgésiques opioïdes a lieu couramment. Les interactions pharmacocinétiques entre les benzodiazépines et les analgésiques opioïdes sont complexes. Les actions pharmacodynamiques de ces agents diffèrent que leurs effets combinés produisent une dépression respiratoire importante. Médecin et pharmacie shopping en patients se produit, et les programmes de drogue surveillance des ordonnances peuvent fournir des informations importantes sur benzodiazépines et modèles analgésique de prescription d'opiacés et l'utilisation patient. professionnels de soins de santé doivent informer les patients et de travailler en étroite collaboration avec les organismes de réglementation et les législateurs pour endiguer les accidents mortels de plus en plus à des surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance.
 
Près de neuf sur dix de ces intoxications ont été causées par une surdose de médicaments d'ordonnance, avec le principal coupable étant des analgésiques à base d'opiacés comme le Vicodin (hydrocodone), l'OxyContin et le Percocet (oxycodone), la codéine, la morphine et n'oublions pas Actiq (fentanyl ), la sucette de baies à saveur infâme qui est 100 fois plus puissant que la morphine et-comme la plupart des analgésiques opiacés-si surprescription que seulement environ 10% de ses ventes proviennent de son indication d'origine pour traiter la douleur cancéreuse
 
Les données ont montré que les combinaisons médicamenteuses de benzodiazépines et d'opioïdes contribuent à au moins 30% des décès liés aux opioïdes (Jones et al., JAMA 2013; 309: 657-9).


Les benzodiazépines dans le top des 10 médicaments qui tuent
les études montrent que les personnes souffrant de dépendance aux analgésiques ont également tendance à abuser de sédatifs. Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.

Est-il dangereux de mélanger Benzos et opiacés?
Que votre polymédication est par choix ou est médicalement prescrit, il est important d'être conscient des médicaments que vous utilisez et la façon dont ils interagissent les uns avec les autres. Certaines combinaisons de médicaments peuvent être dangereux et même mortel. Mélange benzodiazépines et les opiacés peut être extrêmement dangereux. Les benzodiazépines et les opiacés sont des dépresseurs du système nerveux central. Lors de la prise à la fois une benzodiazepine, tels que le lorazépam, et un opiacé comme la morphine, les médicaments peuvent conduire à une dépression excessive du système nerveux, ce qui provoque une dépression respiratoire et finalement la mort.

Les ordonnances de benzodiazépines sont en hausse dans les soins primaires, et leur utilisation combinée fréquente avec des analgésiques opioïdes peuvent contribuer aux décès liés à la médication,
Les données ont montré que les combinaisons de médicaments des benzodiazépines et des opioïdes contribuer à au moins 30% des décès liés aux opioïdes (Jones et al, JAMA 2013; 309: 657-9)

benzodiazepines :
L’association de la BHD avec des benzodiazépines (Xanax, Valium...) expose au risque de décès par dépression respiratoire d’origine centrale, notamment en cas d’usage de la buprénorphine par voie intraveineuse. C'est le seul cas ou la BHD peut provoquer une overdose mortelle (souvent en association avec l'alcool).

"De 2003 à 2009, les deux médicaments sur ordonnance avec la plus forte augmentation du taux de mortalité étaient oxycodone 264,6% et 233,8% alprazolam.
Par conséquent, les benzodiazépines ont un impact significatif sur les surdoses accidentelles de médicaments d'ordonnance en second lieu seulement aux analgésiques opioïdes. La prescription de combinaison des benzodiazépines et des analgésiques opioïdes a lieu couramment. Les interactions pharmacocinétiques entre les benzodiazépines et les analgésiques opioïdes sont complexes. Les actions pharmacodynamiques de ces agents diffèrent que leurs effets combinés produisent une dépression respiratoire significative ".


Les opioïdes responsables d’une «crise de santé publique» au Canada
Le mélange alcool et oxycodone (un antidouleur délivré sur ordonnance), qui s’est révélé mortel pour Derek Boogaard, 28 ans, hockeyeur de la LNH originaire de Regina, est une cause de décès de plus en plus courante au Canada et aux États-Unis.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des Etats-Unis font état d’une augmentation sans frein des overdoses médicamenteuses de traitement contre la douleur.10 000 morts par an, chez les hommes (hausse de 265% depuis 1999),  48 000 femmes tuées depuis 1999 en raison d’overdoses de médicaments contre la douleur dûment prescrits (hausse de 400%).  Quelle explication pour une telle courbe d’augmentation chez les femmes ? Elles seraient plus sujettes aux douleurs chroniques, pourraient plus facilement développer une dépendance et présenteraient une plus grande tendance au nomadisme médical ce qui favorise les prescriptions multiples. Par ailleurs, les antidouleurs sont souvent utilisés conjointement avec les benzodiazépines.  Ces abus dramatiques de médicaments (extrêmes dans ce cas) ne sont pas sans rappeler la fin tragique de Mickael Jackson, à Los Angeles, comme d’autres célébrités d’ailleurs…  Rapportées à la population française, les statistiques américaines équivaudraient à quelques 3 500 morts par an ! Or, l’étude DRAMES (Décès en Relation avec l’Abus de Médicaments ET de Substances) faisait état en 2010 de 376 décès recensés, chiffre qui cumule les overdoses par héroïne, traitements de substitutions aux opiacés et médicaments contre la douleur. On est donc loin des chiffres annoncés outre-atlantique.  Source : JOURNAL INTERNATIONAL DE MEDECINE (JIM Pro du 7.7.2013), article d’ Aurélie Haroche, publié le 3 juillet 2013.

Il est dangereux de mélanger Benzos et les opiacés? 
Que votre polymédication est par choix ou est médicalement prescrit, il est important d'être conscient des médicaments que vous utilisez et comment ils interagissent les uns avec les autres. Certaines combinaisons de médicaments peuvent être dangereux et même mortel. Mélanger les benzodiazépines et les opiacés peut être extrêmement dangereux. Les deux benzos et les opiacés sont des dépresseurs du système nerveux central. En prenant à la fois une benzodiazépine, comme le lorazépam, et un opiacé comme la morphine, les médicaments peuvent conduire à la dépression excessive du système nerveux, provoquant une dépression respiratoire et finalement la mort.

(1995)L’étude tient pour l’essentiel en une cinquantaine de pages, complétées de la transcription extensive d’autant de témoignages d’anciens toxicomanes. Son énoncé sinon ses conclusions semblent incontestables (1) : l’utilisation détournée des comprimés de Rohypnol est à ce point développée en Belgique et ailleurs qu’elle constitue un phénomène particulier de toxicomanie, avec ses réseaux, ses coûts, son vocabulaire et surtout ses propres effets sanitaires et sociaux


L'utilisation concomitante d'opiacés, de benzodiazépines (BZD), et / ou de l'alcool pose un formidable défi pour les cliniciens qui gèrent la douleur chronique. Bien que l'utilisation croissante des analgésiques opioïdes pour le traitement de la douleur chronique et l'augmentation concomitante de l'abus et le mauvais usage liée aux opioïdes sont largement tendances, la contribution de l'utilisation de la combinaison des BZD, de l'alcool et / ou d'autres agents sédatifs reconnu à la morbidité liée aux opioïdes et la mortalité est sous-estimée, même lorsque ces agents sont utilisés de façon appropriée....

combinaisons très dangereuses chez 60% des utilisateurs à long terme près d'un tiers prennent un opiacé avec un médicament anti-anxiété de la famille des benzodiazépines tel que le Xanax (alprazolam); une combinaison qui est la cause la plus fréquente des décès par surdose d'une combinaison de médicaments


décès par surdose de médicaments : Aux États-Unis en 2007, les intoxications accidentelles étaient la deuxième cause de mort de blessures (après les accidents de véhicules à moteur) (1) ; environ 93 % de tous les décès d'empoisonnements involontaires ont été causés par médicaments, empoisonnement, également connu sous le nom de surdose de drogue (2). De 1990 à 2001 en Floride, le taux de mortalité nonsuicidal empoisonnement a augmenté de 325 %.
Pour caractériser les tendances récentes dans les taux de mortalité de surdose de drogue en Floride, CDC a analysé les données de la Commission de médecins légistes de la Floride. Le présent rapport résume les résultats de cette analyse, qui a constaté que, de 2003 à 2009, le nombre de décès annuels dans quel médecin légiste, des essais ont montré des concentrations létales d'un ou plusieurs médicaments augmenté 61,0 %, passant de 1 804 à 2 905, et le taux de mortalité a augmenté de 47,5 %, passant de 10,6 à 15,7 pour 100 000 habitants. Au cours de 2003--2009, les taux de mortalité a augmenté pour toutes les matières sauf la cocaïne et l'héroïne. Le taux de mortalité des médicaments d'ordonnance ont augmenté de 84,2 %, passant de 7,3 à 13,4 pour 100 000 habitants. La plus forte hausse a été observée dans le taux de mortalité de l'oxycodone (264,6 %), suivi d'alprazolam (233,8 %) et la méthadone (79,2 %). En 2009, le nombre de décès impliquant les médicaments de prescription a été quatre fois les nombre des drogues illicites. Ces résultats indiquent la nécessité de renforcer les interventions visant à réduire les décès par surdose de médicaments d'ordonnance en Floride. Médecin légiste enregistrements sont une source opportune et axée sur la population pour les données relatives aux décès par surdose de médicaments spécifiques. Les données de ce rapport et les analyses subséquentes permet de concevoir et de mesurer l'efficacité des interventions.


Benzodiazépines : une composante majeure des surdoses involongaire de drogues avec les analgésiques opioïdes. :...Cependant, 5 fois une augmentation des décès attribués aux benzodiazépines est produite de 1999 à 2009. Visites au service d'urgence liées à des analgésiques opiacés a augmenté de 111 %, suivie de benzodiazépines 89 %. Au cours de 2003 à 2009, les médicaments 2 ordonnances avec la plus forte augmentation dans le taux de mortalité étaient l'oxycodone 264,6 et alprazolam 233,8 %.

Le Rohypnol™ est une drogue dure, succédané de l’héroïne et un amnésiant puissant. Ce produit est dangereux par son pouvoir amnésiant et désinhibant
. Ce produit n’a plus de place en thérapeutique.
 

oxycondin tue
Canada

L'oxycodone, comme les autres morphiniques, doit être maniée avec précaution lorsqu'elle est utilisée avec d'autres dépresseurs du système nerveux central (SNC), notamment avec les benzodiazépines, car ceux-ci peuvent augmenter la somnolence ou la dépression respiratoire (pouvant être fatale en cas de surdosage)

Benzodiazépines: tueurs silencieux
de nombreuses victimes

Un décès sur deux serait dû à une décision médicale susceptible d'abréger la vie
Dans un tiers des cas, cette décision consistait à intensifier le traitement contre la douleur avec utilisation d'opioïdes ou de benzodiazépines

opioïdes et benzodiazépines
La combinaison a été trovnée dans 30% des 16 651 décès par surdose impliquant analgésiques narcotiques en 2010, l'année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles, selon les US Centers for Disease Control and Prevention.
 
Les pilules qui tuent
antidépresseurs, benzodiazépines / somnifères, neuroleptiques....

"Récemment, un jeune est mort d’avoir associé du Rohypnol à sa dose de Méthadone ... C’est le Rohypnol qui est dangereux ! "

Il est clairement notifié dans les notices de ses médicaments qu'il ne faut pas associer le Subutex avec un benzodiazèpines (la Methadone non plus).
Le Séresta EST un benzodiazèpines
Le mélange de ces deux médicaments peut entraîner la mort par dépression respiratoire centrale (un arrêt respiratoire).
Je ne mets pas en cause les laboratoires qui fabriquent ses médicaments, au contraire, ils ont bien stipulé les contre-indications.
Non, je mets en cause le ou les médecins qui l'ont traité, qui lui ont prescrit ces médicaments, sachant leurs effets interactifs....
Mélanger le Sèresta et le Subutex PEUT entraîner une détresse respiratoire mortelle.
Pour moi ces médecins (qu'ils soient généralistes ou psy) sont responsables, pénalement responsable !!!
Je me battrais pour que ça n'arrive plus, pour qu'ils prennent leur responsabilité face à la loi, pour qu'ils réfléchissent avent de préconiser un traitement pouvant entraîner le décès de leur patient.
Je ne veux pas faire interdire les médicaments, je ne le pourrais pas de toute manière, certains en ont besoin.
Non, ce que je veux c'est que les médecins, les psy et l'autorité médicale prennent leurs responsabilités lorsqu'ils préconisent deux médicaments qui ne doivent pas être associés, qu'il réfléchisse AVANT de donner un traitement, qu'ils pensent aux conséquences sur la vie, la santé, tant physique que mentale, que peuvent avoir certains traitements, qu'ils arrête de faire rentrer les gens dans leurs petites cases.
Qu'ils soient Pénalement responsable lorsque un de leur traitement entraîne le décès d'un de leur patient, chose qui devrait se faire mais qui ne se fait pas vu qu'il est plus facile de cataloguer un décès aux médicament comme étant un suicide plutôt que j'accepter que c'est un traitement trop lourd et mettre en cause un médecin.
Responsable mais pas coupable ?
NON.
Qu'un garagiste fasse une erreur en réparant une voiture, erreur qui entraînerait le décès de son conducteur, il passerait au tribunal.
Qu'un électricien branche mal un circuit électrique, électrocutant un client, il serait jugé.
Qu'un maçon utilise le mauvais ciment pour construire une maison qui s'écroulerait sur ses habitants, et il finirait en prison

 
Aider à mettre fin à l’abus, aux mauvais traitements et aux décès de Rx, les médicaments et les traitements à la méthadone
 
L’association des benzodiazépines à des traitements de substitution à l’héroïne à base de buprénorphine (Subutex®) ou de méthadone expose au risque de dépression respiratoire pouvant provoquer la mort
 
Les symptômes du sevrage de la méthadone inclure des nausées, des vomissements, des convulsions, et l’insomnie, et peuvent durer pendant des semaines.
 
Par ailleurs pas mal d’usagers prétendent arriver à décrocher "facilement" de leur héroïne quand ça devient quasi-impossible avec la métha et le subutex
 
L’OxyContin contient de l’oxycodone, un opioïde comme la morphine, la codéine, l’héroïne et la méthadone. L’oxycodone se trouve également dans des médicaments tels que le Percocet, l’Oxycocet et l’Endocet
 
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
 
Skénan, codéine, etc…
 
infirmier

Non Aux Benzodiazépines
NON aux benzodiazépines !

Mort de michael Jackson
Les examens toxicologiques ont permis de détecter des niveaux élevés de cet anesthésique, et la présence de benzodiazépines (somnifères ou calmants) qui ont aussi pu contribuer au décès.

le comédien australien Heath Ledger a été retrouvé mort à son domicile à l'âge de 28 ans. Les résultats des tests de toxicologie réalisés après sa mort permettent de conclure à une intoxication médicamenteuse fatale due à la prise combinée d'oxycodone, d'hydrocodone, de diazepam, de temazepam, d'alprazolam et de doxylamine. Le département de la Santé de New York a légitimement parlé d’« une mort accidentelle, résultant d'un abus médicamenteux».

parcétamol :
Première cause d'intoxication médicamenteuse en France.
...Une législation mise en place en raison du nombre important d'overdoses et du nombre grandissant de greffes de foie consécutifs à un empoissonnement au paracétamol....
Cette consommation de 4 grammes par jour doit rester exceptionnelle. Prolongée sur plusieurs jours, elle est aussi dangereuse qu'une prise massive en une seule fois, et peut provoquer une atteinte hépatique grave.

Benzodiazépines : Les médecins les prescrivent particulièrement pour les personnes âgées. Mais les effets secondaires sont mortels - les tranquillisants sont très addictif.

Les somnifères tuent 500 000 personnes par an
Une étude a été récemment publiée dans le British Medical Journal montre que seulement quatre somnifères par an vont tripler votre risque de décès. Prendre 18 pilules par an permettra de quadrupler le risque de la mort ! L'étude a également souligné que certains médicaments sont pires que d'autres avec Ambien en tête le risque de décès prématuré par 5,7 fois et 6,6 fois Restoril. Cela signifie somnifères tuent 500 000 Américains chaque année, juste un peu en dessous des chiffres pour les maladies cardiaques et le cancer.

La morphine, une cause importante de mort chez les cancéreux
J’avais dit dans ce billet, que la cause des morts lors d’un cancer était souvent la suivante. Le patient voit son taux de cortisol augmenter fortement lors de la prise de la chimiothérapie. Ce qui retient l’eau dans le centre du corps et a contrario déshydrate les membres. Mais, comme la chimiothérapie fait maigrir par ailleurs, le patient se déshydrate globalement. A l’arrêt de la chimio, il subit un effondrement du taux de cortisol. Ce qui entraine que le centre du corps se déshydrate et que les membres retiennent l’eau. Et comme le corps est déshydraté globalement, le centre du corps est alors particulièrement déshydraté. A la suite de ça, une toux va souvent apparaitre.
 

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Prix et catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer

La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"
 
Enfin, j’ai pu avoir connaissance de la facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 €uros.
Qui paie? La Sécurité Sociale bien sûr; mais la Sécu, c’est le contribuable, donc nous. Multiplié par 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an (en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 €uros, le chiffre de 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros.
 
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)“
Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prix d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe.
Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens triatments. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours.
 
e traitement médicamenteux du cancer du côlon aux États-Unis était passé de 500 à 250 000 dollars par an !
 
Les laboratoires pharmaceutiques – dont les bénéfices (15 à 25 % du chiffre d’affaires) sont indécents, particulièrement en temps de crise – imposent des prix scandaleux qu’aucun État responsable ne devrait accepter, sous aucun prétexte. À titre d’exemple, dix-huit semaines de traitement avec une molécule ciblée comme le cetuximab (Erbitux* du laboratoire Merck) coûtent en moyenne 80 000 dollars et n’améliorent la survie médiane que de 1,2 mois. Dans sa grande bonté, le groupe pharmaceutique allemand Merck ne livre plus ce médicament contre le cancer aux hôpitaux publics grecs en raison de factures impayées. « Cela n’affecte que la Grèce, où nous avons été confrontés à de nombreux problèmes. Cela ne concerne que ce produit », explique M. Zachert, directeur financier de Merck au Börsen-Zeitung le 3 novembre 2012. Cynique ou inconscient, il ajoute : « Les Grecs pourront toujours se procurer l’Erbitux* dans les pharmacies. » Avec quel argent ? L’anticancéreux Erbitux* est le deuxième médicament sur ordonnance de Merck le plus vendu. Il a représenté un chiffre d’affaires de 855 millions d’euros en 2011. Ne pleurez pas pour Merck : il publie un bénéfice trimestriel meilleur que prévu le 26 octobre 2012 quelques jours avant la « punition » infligée aux hôpitaux grecs. Le chiffre d’ affaires s’est établi à 11,5 milliards de dollars. Merck anticipe un chiffre d’affaires 2012 au même niveau ou proche de celui de 2011 sur la base de taux de change constants.
 
j'ai pu avoir connaissance de la facture d'une seule séance de chimio « douce » : 2600 euros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 euros

 

Voies alternatives dans le traitement du cancer :
hopital : 5000 euros/jour en cancerologie

« Les médicaments du cancer atteignent un niveau de prix immoral »
ces dernières années, le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. Comme le rappelle cet article, en une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 5 000 à 10 000 dollars par mois (3 700 à 7 400 €).En 2012, sur les douze molécules autorisées aux États-Unis, onze coûtaient 100 000 dollars (74 000 €) par an. Et cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite « ciblée », qui va favoriser l’émergence de médicaments de « niche ».

"Rien qu'aux Etats-Unis au moins 200 milliards de dollars ont été dépensés ces derniers trente ans pour lutter contre le cancer mais cette maladie n'a pas été vaincue.

 

Solutions ?????

Légal : Ces données sont à titre purement indicatif et ne doivent en aucun cas se substituer à la médecine et/ou aux prescriptions médicales, ni à un quelconque traitement officiel en cours.Note :Sans changement d'alimentation, rien ne semble possible, et il semble qu'un seul traitement alternatif ne suffit quasi jamais, cela doit être un ensemble, un programme (de traitements alternatifs) ? sauf pour les cytotoxiques qui ne doivent pas être cumulés.
 

cancer tutor : lecture impérative
 
C'est interdit en France ?
 
Saviez-vous qu'il y existe des traitements naturels ou alternatifs du cancer qui en tout ont un taux réel de succès de 50% pour des patients souffrant du cancer que la médecine classique renoncé à traiter ?
 
De très nombreuses infos, liens et témoignages (sur la gauche du site, il faut choisir sa langue : le français)
 
Ty Bollinger
 
infos et témoignages de guérisons naturelles.
 
Si vous êtes un patient atteint d'un cancer avancé, ou si vous aidez un patient atteint d'un cancer avancé, vous DEVEZ vous rendre sur un autre site Web pour trouver un traitement qui peut lui donner de bonnes chances de survie !!! : cancer tutor
 
Ils abordent les cinq caractéristiques de chaque cancer. Ces cinq conditions doivent être corrigées avant que quiconque puisse surmonter le cancer: 1) Un système immunitaire faible; 2) un manque d'absorption d'oxygène par les cellules; 3) les toxines excessives; 4) l'acidité; et 5) les lacunes spécifiques. Le traitement conventionnel du cancer (chimiothérapie, radiothérapie et chirurgie) aggrave toutes ces conditions. En fait, il est responsable de presque tous les décès attribués au «cancer». C'est vrai. Le "traitement" provoque la mort - pas le cancer.
 
Il existe de nombreuses méthodes naturelles qui ont largement fait leurs preuves pour guérir  les cancers les plus avancés.
Les traitements par remèdes naturels sont tous plus efficaces que les traitements de médecine conventionnelle ,ils sont sécuritaires car ils n’affectent pas les cellules saines et ont pour objectif d’augmenter le système immunitaire qui à lui seul sait tuer tous les cancers.
Un grand nombre de ces personnes qui ont fait ces traitements témoignent  du fait qu’elles ont non seulement vaincu les cancers les plus désespérants,mais aussi qu’elles vivent sans rechutes 20 ans et plus après.
 

La Naltrexone ( Revia) à faible dose diminue l’apport en glucose.     – L’Acide Lipoïque permet à la cellule tumorale de bruler ce glucose et donc diminue la synthèse d’ADN et d’ARN.     – L’Hydroxicitrate empêche la synthèse des membranes. Il s’agit de médicaments et de compléments alimentaires qui ont plusieurs dizaines d’années et qui sont dans la pharmacopée européenne.  Cliquez ici pour voir la vidéo du Dr Laurent Schwartz     Voilà le principe, il s’agit de priver les cellules cancéreuses, et uniquement celles-là, des éléments nécessaires à leur croissance et leur multiplication. C’est une approche différente des chimiothérapies et radiothérapies dont l’objectif est de tuer ces cellules, avec d’inévitables effets sur les cellules normales. Comme ces anomalies métaboliques sont le fait des  seules cellules cancéreuses, le traitement métabolique n’a que peu d’effets secondaires.

Cancer Tutor Est Centré sur les Rares Traitements Alternatifs du Cancer
en français

association cancer et métabolisme
La Natrexone à faible dose ( Revia) diminue l’apport en glucose. L’acide lipoïque permet à la cellule tumorale de bruler ce glucose et donc diminue la synthèse d’ADN et d’ARN. Quant à l’hydroxicitrate, il empêche la synthèse des membranes. Il s’agit de médicaments et de complément alimentaires qui ont plusieurs dizaines d’années et qui sont dans la pharmacopée européenne

Des traitements du cancer dont vous n'avez jamais entendu parlé peuvent vous sauvez la vie
Traitments alternatif du cancer

Quelques solutions ?
Non chimique

Les produits Solomides contre le cancer
Il faut rappeler que le Dr Solomides, licencié ès-science, ancien chercheur de l’Institut Pasteur, a inventé dans les années 50, les physiatrons ou Peroxydases synthétiques (PS), avec lesquels il a commencé par guérir son père atteint d’un cancer du foie en phase terminale.

Un remède contre le cancer découvert il y a 100 ans ?
En 1999 des chercheurs ont repris les travaux du Dr Coley pour comparer les résultats avec les traitements modernes contre le cancer. Les Toxines étaient bien plus efficaces. C’est la société américaine MBVax qui a repris les recherches sur le traitement et en a fait bénéficier à 70 malades atteints de cancers en phase terminale. Pour ces patients c’était comme une dernière chance, il leur a été permis de se soigner de manière alternative, car ils avaient peu de chances de survivre à leur cancer, alors que cela est souvent refusé à d’autres malades.
Les résultats sont parlants : dans 20 % des cas la rémission fût complète et dans 70 % des cas la tumeur a diminué.
Malgré cette preuve indéniable que les Toxines de Coley peuvent guérir du cancer, la société MBVax n’est pas en mesure d’entreprendre des études nécessaires à leur commercialisation. Pour mener les essais et répondre aux normes des laboratoires MBVax devrait en effet pouvoir investir quelques centaines de millions de dollars.

Cancer - La fin d'une maladie de civilisation
docteur Rath

VITAMINE C et CANCER
Informer, pour bien comprendre et mieux préserver sa bonne santé.

Les cellules cancéreuses détruites par GcMAF
Le GcMAF est le remède interne propre à l’organisme. TOUTES les personnes en bonne santé en ont.

Le Pao pereira
Mirko Beljanski

la technologie de Rife
En 1934, l’University of Southern California réunit un Comité Spécial de Recherche Médicale pour envoyer des patients atteints de cancer en phase terminale, du Pasadena County Hospital au Labratoire Clinique de Rife, à San Diego.  Le comité comprenait docteurs et pathologistes assurant le suivi des patients, si encore vivants, pendant les 90 jours des traitements.  Après ces 90 jours de traitements, le comité arriva à la conclusion que 86.5% des patients étaient complètement guéris.  Le traitement fut réajusté et le reste des 13.5% patients se rétablit dans les 4 semaines suivantes


Sortir son père du cancer
Le discours officiel reste toujours franchement opposé à la généralisation des compléments alimentaires, malgré l’apport de l’étude SUVIMAX. Lancée en 1994 sur une durée de huit ans, cette étude a porté sur une population de 13.000 hommes et femmes et l’une des conclusions « dérangeantes » est que les hommes complémentés (notamment en vitamines, zinc, sélénium, anti-oxydants) ont eu une mortalité par cancer diminuée de 31%, ce qui est énorme.
Il est difficilement compréhensible pour les citoyens que nous sommes tous de constater qu’aucune action concrète de politique de prévention publique à grande échelle n’ait été lancée en application de ces résultats. Il n’y aura finalement que les citoyens eux-mêmes qui pourront, individuellement, s’approprier tous ces savoirs non promus par les autorités, comme le protocole de prévention active contre le cancer du Dr Gernez. Pour votre information, ce protocole est en cours d’adaptation par des médecins et des naturopathes de sorte que tout un chacun aura la possibilité de le pratiquer chez lui

Cancer sortez de la boite gratuitement en ligne
Ce que vous savez sur le cancer a été soigneusement conçu et planifié par les ‘artistes – comédiens’ de l'industrie pharmaceutique de propagande, pour vous ma intenir dans l'ignorance, sur l'immense supériorité de Mère Nature au traitement du cancer. Malheureusement, certaines personnes qui ont un côt é naturel (par exemple, les gens pratiquant la médec ine alternative), n‘ont pas l‘intégrité, moins en tous cas, que les compagnies de tabac et les compagnies pharmaceutiques. Les bonnes nouvelles sont, que ce livre, Cancer – Sortez de la Boîte , va rétablir les faits et mettre les choses au clair. Il vous renseignera sur les traitements alternatifs contre le cancer, ceux qui fonctionnent vraiment ; et dans de nombreux cas les v endeurs ou les cliniques citées vous aideront à utili ser les traitements. Cependant, ce livre est tout aussi impo rtant pour les gens qui n'ont pas de cancer, que pou r ceux qui en ont un, car il leur est destiné également. Considérez ces statistiques factuelles : • Un taux de guérison véritable de 90% ou plus, peut f acilement être atteint par les patients victimes d’u n cancer, qui évitent la médecine orthodoxe, qui s’orie ntent vers la médecine alternative en premier, et qu i en font un devoir. • Le taux de guérison véritable de la médecine orthodoxe est de 3% ou moins. • 95% des patients atteints de cancer, qui ont agi ave c des traitements alternatifs contre le cancer, mai s ayant déjà reçu le traitement complet et orthodoxe, ont été renvoyés chez eux pour mourir ; c'est à dire que la médecine alternative a remis sur pieds un grand nombre de patients atteints de cancer, pourtant dans un état critique. • Pour ceux qui attendent d'aller avec d'autres traitem ents contre le cancer, qu'après qu'ils aient été renvoyés chez eux pour mourir, seule une poignée parmi plus des 300 autres traitements contre le cancer, est ass ez forte pour avoir une chance de survie. • Mais même pour ces rares personnes, qui ne trouver ont qu’un de ces puissants traitements (par exemple celles qui ont lu ce livre), au mieux, elles auront des chances de survie d'environ 50%. Xxiv
En d'autres termes, si vous y allez en premier , avec la médecine alternative, vos chances de survie sont de 90% ou plus, si vous faites ce qui est indiqué. Si vous y allez avec la médecine orthodoxe d'abord, puis avec la médecine alternative en second, vous subirez des année s de souffrance, et si vous êtes chanceux, vous aurez alors un ‘50%’ de chance de survie.

Mon traitement alternatif
mon cancer

Protocole de traitement naturel et complémentaire dans le cancer par le docteur luc Bodin
gratuitement en ligne

Centre de traitement du cancer par l'hyperthermie et les thérapies alternatives
La vitamine B 17 (Laetrile, Amygdaline) dans le traitement du cancer
La vitamine B 17 est utilisée à but thérapeutique dans le cadre du traitement alternatif du cancer.
En effet, le cancer a tendance à croitre sans contrôle et effectuer des coupes dans les tissus étrangers. Pour cela, la cellule cancéreuse fait usage d'une enzyme particulière. Cette enzyme clive les parois cellulaires et les interstices cellulaires, telle une paire de ciseaux. Avec l'apport de vitamine B 17, une enzyme produite par les molécules de vitamine B17 arrête le danger précédemment occasionné et produit à son tour une toxine qui tue les cellules cancéreuses.
À partir du moment où cette enzyme atteint la cellule cancéreuse, la toxine est libérée en particulier dans la tumeur et son environnement immédiat. Les cellules cancéreuses disséminées sont aussi victimes de ce mécanisme. Ainsi, les cellules cancéreuses peuvent être éradiquées de l'organisme. De plus, le développement des métastases peut également être évité.
Dans notre Centre de traitement du cancer par l'hyperthermie et les thérapies alternatives, nous préconisons donc un apport adéquat de vitamine B 17 sous surveillance médicale..

graviola
pour le traitement du cancer ???

graviola
Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants.Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicamenst de chimiothérapie couramment utilisé comme l'Adriamycine.

Qu'est-ce que la cure BREUSS ?
Très sommairement, c'est une cure à base de jus de légumes mise au point par un chercheur Autrichien au siècle dernier et qui part de la remarque toute simple que si les cellules cancéreuses ont besoin de protéines pour se développer, il suffit de supprimer l'alimentation protéînée pour asphyxier ces dernières et ce durant un cycle complet de renouvellement qui est d'environ 42 jours. C’est l'organisme qui fait le ménage puisqu’il a des possibilités insoupçonnées !

L'ALOE Arborescens ET LE CANCER
Père Romano Zago

Un bref témoignage sur la guérison du cancer par des moyens naturels.
Voici l'histoire de deux hommes qui ont été complètement guéri de leur cancer par des moyens totalement naturels... Ce sont des exemples parmi tant d'autres.

Des solutions cancers
Docteur Rath, Gernez, Clark, Burzinsky....

le 714X, mis au point par le biologiste Gaston Naessens
Les cellules cancéreuses ayant une attirance marquée pour le camphre, ce produit est utilisé comme porteur de l'azote destiné aux cellules cancéreuses. Celles-ci, gavées d'azote par le 714X, n'émettent plus le facteur cocancérigène K qui paralyse le système immunitaire. La fonction du 714X, contrairement à la chimiothérapie traditionnelle, n'est donc pas de tuer les cellules cancéreuses, mais plutôt de les nourrir pour faire en sorte qu’elles cessent de neutraliser le système immunitaire. Celui-ci, retrouvant sa vigueur, pourrait reprendre le dessus et éliminer les cellules cancéreuses.

714X
La théorie derrière les travaux de Gaston Naessens est que le cancer est causé par un micro-organisme amical (présent dans toutes les cellules) qui devient hostile. 714 X fournit d'azote aux cellules cancéreuses, ce qui provoque ce microorganisme (somatides – « les organes peu ») de cesser d'excréter leurs composés toxiques et le système immunitaire est mobilisé. Je présume que, à ce moment-là, le système immunitaire tue les cellules cancéreuses. « En outre, la thérapie X 714 débloque le système lymphatique, qui est responsable de l'élimination des toxines du corps. »

Les solutions anti cancer existent depuis longtemps!!!
INFORMEZ-VOUS!!!

Le cartilage de requin
Le cancer est particulièrement rare chez cet animal, 100 fois plus rare que chez les autres poissons ; aussi, tout naturellement, des chercheurs se sont-ils interrogés sur les raisons qui pouvaient lui conférer une telle résistance. L'attention fut tout d'abord attirée par le squalène, substance huileuse, abondamment présente dans le foie du requin, dont les propriétés anticancéreuses ont été reconnues. 
Mais plus récemment l'attention se reporta sur le cartilage. 

docteur evangelos Michelakis
Le DCA fonctionne comme un scalpel moléculaire, explique-t-il, il cible les cellules qui se développent anormalement comme c’est le cas de l’HTAP, mais ne touchent pas les cellules normales des autres artères dont l’activité mitochondriale est restée intacte

clinique du docteur Burzynsky
Houston

Les enzymes dans le traitement du cancer
Les enzymes jouent un rôle dans tous les processus métaboliques du corps. Dans le traitement alternatif du cancer, elles entrent dans la composition des médicaments qui peuvent normaliser le système immunitaire et le rendre à nouveau actif.
Les propriétés suivantes sont associées aux enzymes : les cellules cancéreuses peuvent être exposées. Elles sont en effet rendues visibles pour le système immunitaire. Les cellules tueuses et les macrophages peuvent ainsi reprendre leur activité contre le cancer.
Dans le traitement complémentaire du cancer, ce sont essentiellement des enzymes protéolytiques qui sont employées.
Le traitement enzymatique peut très bien être utilisé en parallèle avec le traitement par l'hyperthermie des patients atteints du cancer.

docteur evangelos Michelakis
Le DCA fonctionne comme un scalpel moléculaire, explique-t-il, il cible les cellules qui se développent anormalement comme c’est le cas de l’HTAP, mais ne touchent pas les cellules normales des autres artères dont l’activité mitochondriale est restée intacte


L'histoire de la vitamine b 17
Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17
Quoiqu’il en soit, empoisonner le système est le but de ces médicaments et la douleur et le tourment qui en résultent sont souvent pires pour le patient que la maladie elle-même. Les toxines attrappent les cellules sanguines en train de se diviser et causent un empoisonnement du sang. Le système gastro-intestinal se retrouve en pleine convulsion causant des nausées, des diarrhées, des vomissements, des pertes d’appétit, des crampes et une faiblesse généralisée progressive. Les cellules des cheveux sont des cellules qui se divisent très rapidement, elles meurent et les cheveux, les poils, tombent durant le traitement. Les organes reproducteurs sont affectés et deviennent stériles. Une fatigue neurologique se développe. La vue et l’audition sont touchées. Toutes les fonctions du corps possibles sont affectées avec une telle agonie pour le patient, que bon nombre de ceux-ci décident souvent de se laisser mourir par la maladie plutôt que de continuer le traitement. Il est également ironique de constater que les personnels médicaux habilités à administrer ces substances aux patients de cancers prennent des précautions pour être sûrs qu’eux-mêmes ne seront pas exposés aux poisons

Essiac : Ce protocole de cancer est évalué SEULEMENT comme étant efficace sur les patients atteints de cancer nouvellement diagnostiqués qui n'ont pas un cancer à croissance rapide et leur cancer ne s'est pas propagé de façon significative! Essiac plateau peut également être utile dans la protection du foie. Si
vous êtes un patient de cancer avancé qui a eu beaucoup de
chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie ou si vous avez un
cancer potentiellement à croissance rapide, ne pas utiliser ce protocole


L'histoire ESSIAC
Les produits ESSIAC® sont fabriqués à partir d’une formule à base de plantes en usage depuis 1922. L’infirmière Rene Caisse a utilisé cette formule pour venir en aide aux gens atteints d’une maladie grave après qu’un Amérindien ojibwé du Canada lui ait donné la formule. Originaire de Bracebridge (Ontario), madame Caisse a mis au point sa propre formule à base d’herbes pour en faire une boisson qu’elle a nommée Essiac, qui est en fait son nom écrit à l’envers. Malgré le manque de preuve scientifique, elle affirmait que sa formule aidait ses patients.

huile de cannabis de Rick Simpson
Depuis 2003, Rick Simpson a ainsi proposé gratuitement son huile de cannabis à plus de 5000 patients souffrant de différentes pathologies, incluant tous les types de cancers, leucémie, mélanome, diabètes, douleurs chroniques, verrues, infections virales ou bactériennes… avec des résultats convaincants. Rick affirme ainsi que 70% des patients qui suivent son protocole se libèrent du cancer, en ingérant 60 grammes d’huile de cannabis de haute qualité. Il précise aussi que pour les cas où il est hélas trop tard pour soigner la maladie, son huile permet au moins d’améliorer la qualité de la fin de vie du patient, pour qu’il puisse mourir dans la dignité.

68 études de l’efficacité du cannabis contre le cancer
r représente une des principales causes de décès dans les pays industrialisés. Les traitements proposés jusqu’à présent par l’industrie pharmaceutique possèdent hélas pour la plupart une efficacité limitée, accompagnée d’une toxicité importante et d’effets secondaires fortement indésirables. Il est maintenant reconnu depuis longtemps que la plante de cannabis peut aider de manière naturelle à soulager les symptômes du cancer ainsi que ceux causés par la chimiothérapie: réduction de la douleur, des nausées, des vomissements, amélioration de l’appétit, de l’humeur, du sommeil, de la relation avec l’entourage… et l’on sait à quel point la qualité de vie du patient joue un rôle important dans le combat contre la maladie.

Rick Simpson
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Véritable bombe thérapeutique : la cure Gerson
La cure Gerson, une véritable bombe thérapeutique qui a discrètement sauvé des milliers de malades depuis plus de 50 ans. Jamais personne, jusque-là, n’avait entendu parler de cette méthode qui laisse loin derrière, en efficacité, ce que l’on connaissait. Ici pas de médicament miracle, mais la simple logique pour restaurer rapidement l’organisme : 13 verres par jour de jus frais (impératif) de fruits et de légumes alternés, un régime sans viande et sans aucun produit laitier, où le sel est remplacé par du potassium et de l’iode, et surtout… des lavements au café qui réalisent un nettoyage interne exceptionnel par les voies biliaires et une sédation complète des grandes douleurs – découverte fortuite remontant aux tranchées de la guerre de 14/18 pour calmer les grands blessés. Cette cure, initialement destinée à la tuberculose par le Dr Gerson, s’effectue tranquillement chez soi, sur quelques mois et s’applique à de très nombreuses maladies. Le second volet du livre concerne la thèse géniale du Dr Kelley, sauvé d’un cancer du pancréas par la cure Gerson à l’âge de 37 ans. Ses deux découvertes : ce que la médecine appelle  » métastases  » est simplement du tissu placentaire et c’est la pancréatine qui stoppe la prolifération du placenta. La conclusion thérapeutique devient alors simple et évidente .

Cette page est destinée aux personnes qui sont confrontées au cancer
La cancérologie piétine depuis 50 ans, certains spécialistes veulent bien le reconnaître, d’autres se veulent rassurants, affirmant que les progrès ont été considérables ces dernières années, alors le seul véritable constat se retrouve dans le taux de réussite, tous cancers confondus sur 5 années de survie avec les soins que nous connaissons

DAVID SERVAN SCHREIBER et DAVID KHAYAT affirment que le curcuma est un puissant anti-cancer
Il est vrai que dans beaucoup de publications, on voit l’effet anti-cancer de fortes doses de curcuma sur des cellules, ou chez des rats auxquels on a injecté un cancérigène.

La curcumine et le curcuma
ralf Moss

Le régime Huile-Protéine anti-cancer du Dr Johanna Budwig
Chaque cuillère à soupe (15ml) d’Huile de Lin (HL) est mélangée avec 2 ou plus cuillères à soupe de Quark ou Fromage Blanc (FB) maigre. Le rapport est donc 1:2.

Voies alternatives dans le traitement du cancer  du docteur Lévy
Dans le New England journal of Medi cine, deux professeurs de la Harvard School of Public Health, John C. Bailar et Elaine M. Smith, dressaient le bilan - en s'appuyant sur des données épidémiologiques officielles- de trente-cinq années de recherches sur le cancer, pour un budget équivalent à celui de la conquête spatiale. «Trente-cinq années d'efforts intenses, centrés essentiellement sur l'amélioration des traitements, doivent être considérées comme un échec patent Les résultats n'ont pas été ceux qu'on espérait» «Mes conclusions sont tout autres, déclare le Dr Joseph Lévy. J'ai la conviction que nous avons réalisé d'immenses progrès dans la compréhension et le traitement de cette maladie. Mais si l'on veut que ces progrès passent dans la pratique, il faudra bien que la science officielle fasse le saut qu'elle a refusé de faire jusqu'à présent, et qu'elle prenne en considération les travaux de tant de chercheurs, écartés des organismes subventionnés, pour avoir osé faire preuve d'originalité.» Ces chercheurs, dont les plus connus ont été traînés dans la boue par les assauts médiatiques des chercheurs de la cancérologie officielle, le Dr. Joseph Lévy les connaît bien, puisqu'il s'est inspiré de leurs travaux pour mettre au point des synergies de traitements qui ont fait leurs preuves et dont il donne le détail dans son livre. Ils ont pour noms Keith Brewer (mondialement connu pour ses recherches sur la séparation des isotopes), René Jacquier (l'inventeur de l'oxygénation biocata¬lytique), Fritz-Albert Popp (le physicien allemand qui a découvert la respiration biophotonique des cellules), Geerd Hamer (médecin allemand qui a travaillé sur les origines psychosomatiques du cancer), Monique et Mirko Beljanski (auteurs de l'oncotest basé sur l'écartement des spires de l'ADN), Gaston Naessens (biologiste, inventeur du somatoscope et d'une thérapie anti-cancer), Hans Nieper le premier à avoir fait une synthèse des travaux de chercheurs isolés).

sélénium
prévenir et guérir du cancer

CHLORURE DE MAGNESIUM ET CANCER
en cas de cancer avéré , il est recommandé d’adjoindre au traitement , quel qu’il soit, la prise régulière de chlorure de magnésium ou de delbiase à raison de 4 comprimés par jour, le système immunitaire s’en trouvera renforcé et vous vous sentirez mieux , revigoré et meilleur moral , ce qui peut influer très positivement sur le cours de cette maladie . ( la gelée royale prise le matin, remonte aussi le moral ) .

LES MALADIES DEGENERATIVES TELLES QUE LE CANCER SE DEVELOPPENT EN TERRAIN ACIDE. ALCANISEZ VOTRE ORGANISME ET FAVORISEZ VOTRE GUERISON

"...La connaissance de l’eau ne fait malheureusement pas partie des connaissances de base enseignées dans les écoles de médecine...." 
"Les eaux basiques et ionisées sont donc de véritables médicaments réducteurs: il faut uniquement les prendre en cure, avec un suivi précis, à la fois clinique et biologique; leur intérêt est que beaucoup d’électrons apportés en masse sur la muqueuse intestinale ont une action anti-inflammatoire, anti-oxydante et ensuite sur le sang, anti-aggrégante. Une cure de 15 jours à 3 semaines peut éventuellement être utile pour désenflammer et désoxyder un organisme qui vieillit... Mais, prise à long terme, en tant que source de boisson exclusive sur plusieurs mois, cette eau fortement ionisée négativement peut, à l’inverse, s’avérer très nocive, en mettant au repos la capacité anti-oxydante autonome du corps..."

Le thé vert : l'anti-cancer par excellence
Les propriétés anticancer du thé vert proviennent des catéchines qu'il contient en très grande quantité. 
Quels types de thé vert choisir, comment le préparer et quelle quantité faut-il consommer pour se protéger des cancers ?

Les principales variétés de thé vert et de thé blanc sont des remèdes naturels préventifs puissants et participent au traitement de nombreux cancers.
De nombreuses études scientifiques indiquent qu’en particulier les catéchines (polyphénols présents en grande quantité dans le thé vert) ont un effet très positif dans la prévention, mais aussi dans l’accompagnement thérapeutique. Les catéchines se trouvent principalement dans le thé vert et le thé blanc. De nombreuses autres substances présentes dans le thé peuvent avoir un rôle dans le traitement et la prévention de la maladie. Vous trouverez ici nos recommandations personnelles sur les variétés de thé vert et blanc les plus pertinentes dans le cadre du cancer ainsi que des indications sur comment les préparer.

Cancer : les cliniques de traitements alternatifs et intégrés
frank Goldman
(2006)


« thérapie de pH élevé »
vidéo

Le PH alcalin ne guérit pas le cancer
nicole Delépine (oncologue)

Ce qui tue les cellules cancéreuses
Quel est le pH d'un corps alcalin qui va tuer le cancer? Il est rapporté le patient atteint de cancer a besoin pour atteindre un niveau de pH de l'organisme de 8,0 à 8,5 pH et l'y maintenir pendant 4 à 5 jours, et cela permettra d'atteindre les résultats souhaités.

Controverse sur l’équilibre acido-basique: cancer, faut-il acidifier ou alcaliniser ?
Ce qui est à rechercher ce n’est pas acidifier, mais alcaliniser, c’est à dire alcaliniser le terrain, ce qui, en définitive, est le but recherché aussi bien par les tenants de l’alcalinisation que de l’acidification.

le dichloroacétate : Les scientifiques guérissent le cancer, mais personne n’y prête attention
Les chercheurs canadiens ont trouvé un remède simple contre le cancer, mais les grandes sociétés pharmaceutiques ne sont pas intéressées.  Des chercheurs de l’Université de l’Alberta, à Edmonton, au Canada ont guéri le cancer, mais il y a eu peu d’ondulation dans les nouvelles ou à la télévision. Il s’agit d’une technique simple en utilisant un médicament très basique. Le procédé utilise le dichloroacétate, qui est actuellement utilisé pour traiter les troubles métaboliques. Donc, il n’y a aucun souci d’effets secondaires ou de leurs effets à long terme.

Le cancer et ses traitements métaboliques.
Le cancer au départ c’est toujours une inflammation quelque part. Facile à comprendre, le poumon c’est l’irritation des bronches par la fumée (plus particulièrement le gaz carbonique).  Toutes les irritations se traduisent par un gonflement. Qui entraine une pression. Le sang circule mal, les cellules ne peuvent se nourrir correctement, les cellules sont mal alimentées et commencent à se dérègler. Elles sont en anaérobie, elles manquent d’oxygène. Le gonflement s’accélère et devient dur. C’est la tumeur.  Les propriétés des cellules cancéreuses changent. Elles se nourrissent exclusivement de glucose (sucre) en deviennent très avides car elles fonctionnent mal et leur rendement fonctionnel est très mauvais. Au lieu de fournir de l’ATP (Adénosine Tri Phosphatée – énergie) elles produisent de l’acide lactique qui va favoriser leur division.  Cela est connu depuis 1920. Warburg, deux fois prix Nobel l’avait bien expliqué.   L’idée de Laurent Schwartz, et de plusieurs autres, c’est couper l’alimentation en glucose des cellules cancéreuses. Elles meurent de faim.  Et elles seules.  Pourquoi: La cellule cancéreuse se nourrit que de glucose, la cellule saine de glucose, de lipides, et de protéines. En cas de pénurie de glucose la cellule saine transforme son alimentation en remplaçant le glucose par les matières grasses, tout en continuant à utiliser les protéines, et elle n’est pas affaiblie par ce nouvel équilibre, au contraire car pour transformer les matières grasses en sucre elle utilise les cétones, celles-ci fournissent un sucre de bien meilleure qualité qui alimente alors les cellules saines, et en particulier redonne un nouveau dynamisme aux neurones. Par ailleurs les cétones perturbent la fermentation du sucre qu’utilisent les cellules cancéreuses.  Donc pas d’effets secondaires.  Plusieurs approches sur ce principe.      Bloquer l’arrivée du glucose aux cellules cancéreuses par des produits, des antioxydants. La meilleure combinaison pour le moment c’est l’association de l’acide lipoïque sous la forme de sodium R Lipoate avec du Naltrexone révia, puis l’apport d’hydroxicitrate qui va essayer de réduire la production d’acide lactique.  Résultat : Flo ( Ma femme, disparition totales des métastases). D’une manière générale il y a régression du cancer, puis stabilisation un certain temps, puis reprise mais deux fois moins vite.      Régime alimentaire cétogène. Nous le recommandons depuis deux mois avec des résultats étonnants.  Principe :  Suppression complète du glucose de l’alimentation. C’est à dire suppression du sucre, chocolat, pain, gâteaux, pâtes, pommes de terre, féculents, fruits, jus de fruits, boissons comme coca, etc…  Remplacement par des graisses, oméga trois et oméga six. Beurre, crème 30% ou plus, rillettes, foie gras, poissons gras saumon, anchois, sardines à l’huile, macros, viandes de toutes sortes sources de protéines, œufs, etc… il y a un excellent livre du Pr Kämmerer “ Régime Cétogène contre le Cancer “ qui explique cela en détail.

hyperthermie
C’est en 1910 que l’on trouve pour la 1ère fois la description de la possibilité d’un surchauffement qui pourrait augmenter l’effet des rayons sur les tumeurs malignes. Cette méthode déjà connue et appliquée fut redécouverte au début des années 60 en tant qu’hyperthermie pour tout le corps. De nombreuses études sont en cours sur ce sujet depuis les années 70. En Allemagne, ce fut avant tout le physicien et chercheur en cancérologie Manfred von Ardenne qui associa la thérapie dite thérapie par oxygène en plusieurs étapes par hyperthermie à une thérapie à plusieurs étapes pour le cancer.
En développant aussi la technologie des appareils, Manfred von Ardenne rendit le contrôle du surchauffement plus facile, entraînant donc une application plus ciblée dans la pratique.

Les essais cliniques ont lié avec succès le composé AKBA au traitement potentiel des cancers du cerveau, du sein, du colon, du pancréas, de la prostate et de l’estomac et leurs études emplissent les revues médicales comme Carcinogenèse et PLoS One, sur les prouesses du Boswellia serrata dans la lutte contre le cancer.
 
BEC5 Curaderm est mondialement reconnue pour son efficacité dans le traitement de la carcimonas basocellulaire (BCC) qui constituent le cancer de la peau. Peau non mélanique cancers sont extraits de la variété plus répandue de cancer de la peau et BEC5 Curaderm, avec sa formule dérivée de la plante purifiée, est efficace pour amener leur régression.
Environ 77 % des formes bénignes des cancers cutanés prennent la forme de carcinomes baso-cellulaires (vous pouvez en savoir plus sur les carcinomes baso-cellulaires ici), mais les récents développements ont trouvé qu’ils soient tout à fait traitable.
Le nombre de personnes qui ont choisi la crème BEC5 Curaderm dans leur tentative de trouver un traitement efficace pour le cancer de la peau est supérieure à 100 000 et il est de plus en plus tout le temps. La popularité du traitement peut être imputée à ses propriétés commodes et non invasif.


alimentation bio contre le cancer
vidéo

Jamais l’association ne pourra conseiller aux malades qui l’appellent d’arrêter les chimios. Cependant, compte tenu des effets souvent indésirables, voire mortels (f. docétaxel), et de l’effet attendu (rémission plutôt que guérison), nous ne pouvons que leur recommander de se renseigner sur les vertus d’une plante utilisée en médecine chinoise depuis bien longtemps : l’armoise annua ; vertus mises en avant entre autres par Youyou Tu, prix Nobel de médecine en 2015
 

L'Artemisia annua, l’herbe qui tue 98% des cellules cancéreuses en seulement 16 heures
Le Dr Len Saputo appelle l’artémisinine une « bombe intelligente pour le cancer »

Qu'est-ce que l'Artémisinine ?
informations et études scientifiques

Artemisia annua : Au début de 2007, j'ai publié un livre intitulé le cancer du sein "Cause - Prévention - Cure" (ISBN-10: 0955422108) et j'y ai décrit une découverte étonnante d'un remède contre le cancer qui existe actuellement. Toutefois, pour les raisons exposées dans les nouvelles livre de la guérison a été passé sous silence, en attendant une version synthétique de la drogue, fondée sur une herbe naturelle appelée artemsinin cultivé en Chine et au Vietnam a été élaboré. La raison de l'attente pour cette version synthétique à se concrétiser parce que une herbe naturelle ne peut pas être brevetée, et par conséquent, les grandes compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas faire de l'argent hors de lui...."

Quelques cliniques, liens :
Fondation Wigmore Ann (Nouveau-Mexique)
Ann Wigmore Institut de santé naturels (Puerto Rico)
Burzynski Clinique (Texas)
Institut de la santé Creative (Michigan)
Gerson Institute - Charlotte Gerson (Californie, Mexique)
Institut de santé Hippocrate - Brian Clement, Ph.D. (Floride, Californie)
Clinique médicale holistique de la Caroline (Caroline du Nord)
Living Foods Institut - Brenda Cobb (Géorgie)
Oasis de guérison - Thomas Lodi, MD (Arizona)
Oasis of Hope (Mexique)
Oasis of Hope (Californie)
Optimum Health Institute (Californie, Texas)
La Fondation Issels (Arizona)
L'Institut Kushi - Mirea Ellis (Massachusetts)
Weimar Institute (Californie)


Sites information sur le cancer

Cancer Thérapie alternative FAQ
Annie Appleseed Project
Association de Cancer Ressources en ligne
Breast Cancer Action
Thermographie du seinCancer Control Society

Quelques témoignages : sortir du cancer sans chimiothérapie ni radiothérapie (il y en a des centaines, en anglais, sur internet)

sortir du cancer sans chimio ni radiothérapie
 
Atteinte d'un cancer du côlon, Josée Blanchette a décidé de ne pas subir de traitements de chimiothérapie. Et d'en parler en écrivant un article dans Le Devoir. «Ce n'était pas mon premier cancer. La première fois, j'ai arrêté après deux traitements. Le premier traitement avait failli me tuer. Je me suis sentie glisser vers les abîmes.»
Ne m’écrivez pas pour me dire que la chimio vous a sauvé la vie. Ceux qui en sont morts ne se feront jamais entendre.
 
on diagnostique un lymphome, cancer du système lymphatique, une tumeur de 9cm dans le médiastin* antéro-supérieur et une autre de 2cm près des surrénales on me fait faire une première chimio à la suite de laquelle mon organisme est dévasté, couché 24h sur 24 pendant 2 semaines, incapable de faire quoi que ce soit la 3ème.
 
témoignage
 
La cancérologie piétine depuis 50 ans, certains spécialistes veulent bien le reconnaître, d’autres se veulent rassurants, affirmant que les progrès ont été considérables ces dernières années, alors le seul véritable constat se retrouve dans le taux de réussite, tous cancers confondus sur 5 années de survie avec les soins que nous connaissons
 
Association Cancer et Métabolisme
 
témoignage (vidéo)
 
Le cancer est un marché juteux et les déclarations sur les traitements qui rapportent de l'argent aux compagnies pharmaceutiques et, inversement, sur ceux qui ne leur en rapportent pas ne sont jamais neutres
 
sous titres francais.
 
l'auteur n'est pas médecin
 
Pour Marie-Josée Campagna, c’était peut-être le choix le plus important de sa vie. Atteinte d’un cancer, elle a refusé la chimiothérapie et opté pour une thérapie alternative, basée sur la nourriture: la méthode Gerson. Aujourd’hui, elle ne regrette rien
 
témoignage
 
Le biochimiste américain a rencontré il y a cinq ans un homme qui souffrait d’un cancer des poumons (un histiocytome fibreux malin). A 78 ans, ce monsieur n’avait plus, selon les médecins, que quelques mois à vivre. Pourtant, il continuait à refuser obstinément tout traitement. Aucune chimiothérapie.
 
Il existe une seule solution pour traiter ce cancer, basée sur l’hyperthermie, qui consiste à tuer la tumeur en combinant chaleur et chimio. La machine avait été installée en France en 1995, mais elle est tombée en panne, et personne ne l’a réparée. Il faut donc se faire traiter à l’étranger : Allemagne, Italie, Hollande. Mais le prix du traitement est extrêmement élevé. On parle d’un budget de 20.000 à 100.000 euros ! Cette thérapie donne de bons résultats, mais il n’y a évidemment aucune garantie de succès à 100%. Naïvement, j’ai cru avoir la chance d’être née dans un pays à la pointe de la médecine. C’est faux, la France est terriblement en retard à bien des points de vue dans ce domaine. Naïvement, j’ai cru avoir la chance d’être citoyenne européenne, et donc de pouvoir me faire soigner indifféremment dans n’importe quel pays de l’Union, grâce à mon petit formulaire E112. C’est faux aussi, ces compétences restent du ressort national : la CPAM ne reconnaissant pas cette thérapie, elle ne la prend pas en charge, point final. Il m’a même été impossible de rencontrer le moindre médecin conseil pour m’écouter, je ne suis pas dans la liste.
 
j’avais de nouvelles métastases dans la colonne vertébrale et le foie. La médecine conventionnelle n’avait plus rien d’autre à m’offrir que de mauvais conseils bien intentionnés Mi-février j’ai voyagé en Allemagne (en chaise roulante) pour me faire hospitaliser à la clinique intégrative du Dr Herzog, située à une heure de Francfort. Après un premier soin dès mon arrivée– l’oncothermie (ou hyperthermie locale)— j’ai senti , à ma surprise, un soulagement pour la première fois depuis six mois. Après trois jours de soins continus et variés, j’ai reçu le traitement le plus radical, l’hyperthermie totale. Son efficacité est due au fait que les cellules cancéreuses ne résistent pas à la chaleur. Après m’avoir endormie, on m’a provoqué une fièvre de 42º C pendant quatre heures. On m’a aussi donné des petites doses de chimio, dont l’effet est plus agissant et plus ciblé sous l’hyperthermie. Je n’ai pas eu d’effets secondaires et on m’a ensuite désintoxiquée de la chimio et remonté le système immunitaire. (Bien que ça paraisse inconcevable, désintoxiquer le corps et renforcer le système immunitaire sont hors du domaine de l’oncologie conventionnelle, ce qui explique pourquoi la chimio finit par faire plus de mal que de bien.) Je suis restée deux semaines à la clinique et suis rentrée aux USA en marchant normalement, sans douleurs et sans prise de médicament. Oui, c’est bien ça, après seulement deux semaines ! Je suis ensuite allée voir mon oncologue local pour le suivi. Cet homme brillant, une éminence dans son domaine, n’a pourtant rien trouvé d’autre à dire en voyant ma bonne allure que « Ça doit être un effet placebo ». Puisqu’il avait besoin de le voir (sur papier, pas sur moi) pour le croire, il m’a envoyé faire un scanner. Le résultat : les tumeurs avaient diminué, autant dans les vertèbres que sur le foie. Je suis un miracle pour mes deux oncologues. Pour celui de Floride parce que mon cancer a réagi à ces traitements « bizarroïdes », (quoiqu’il m’a avoué ensuite que je lui avais ouvert l’esprit et, en tant que directeur du centre de cancer, il a récemment engagé un médecin intégratif, « sous mon influence », a-t-il dit.). Et pour mon oncologue allemand, je suis un miracle par le fait d’être toujours vivante après tous les traitements toxiques reçus au cours des années.
 
témoignage
 
la médecine le condamnait, il s’est guéri tout seul. Mais il avait une vraie démarche derrière.
 
Le protocole prévoyait par la suite une mastectomie avec curetage ganglionnaire suivie d’une radiothérapie.
Je les ai refusées (rejet viscéral, désir de ne pas aller au bout de mes forces, avec une qualité de vie très amoindrie et, dans mon cas, une augmentation de chance de survie très hypothétique; le pronostic de ce genre de cancer (en moyenne 2 à 3 ans après sa découverte) a orienté ma décision.
Depuis Juin 2014 mon seul traitement consiste donc en 2 prises quotidiennes d’acide lipoïque et d’hydroxycitrate accompagné de mesures d’hygiène de vie. J’ai donc réduit fortement ma consommation de sucres rapides, je marche régulièrement (maintenant en groupe avec un club de randonnée) et je cultive idées positives et méditation en ne me focalisant pas (trop) sur le cancer.
 
EliminéValerie M., Dix-sept ans, allait mourir en 2004 lorsque sa famille l'a amenée dans une autre clinique dans l'Ouest. Elle avait un sarcome d'Ewing, un cancer mortel des os.
Valerie avait été traitée avec des thérapies de pointe dans les hôpitaux au Texas, mais en vain. Ses médecins ont abandonné. Ils lui ont dit de rentrer à la maison et de mettre ses affaires en ordre. Ils ont dit: "Rien de plus ne peut être fait". En d'autres termes, c'était fini..
Après seulement deux semaines de thérapie de substitution à la clinique de l'Ouest, Valerie pouvait marcher sans difficulté. Le jour où elle est rentrée à la maison, ses lésions au poumon avaient disparu. Ses médecins au Texas ont été au s stupéfaits.
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En avril 2007, j'ai été diagnostiqué avec un taux de PSA de 39.6, et les tests effectués, (y compris une biopsie) ont clairement identifié un cancer de la prostate, métastasé et au stade 4, à mon os iliaque gauche, et j'ai aussitôt reçu une "condamnation à mort" d'un médecin.
 J'ai aussi découvert que cela prend environ 4 mois pour changer entièrement notre sang. Par conséquent, je suis resté sur une modification de régime avec l'alimentation biologique/macrobiotique. Comme mes recherches (effectuées avec assiduité) ont indiqué que mon système immunitaire venait d'être restauré dans un état positif, j'ai continué à chercher des procédés de valorisation, des protocoles, des plantes, des herbes, des nutriments, etc.
 
 Voici plus de onze ans que je résiste à ce cancer alors que, selon des statistiques américaines, seulement trois personnes sur dix vivent au delà de cinq ans lorsque la chirurgie s'est révélée insuffisante.
 
J'ai un grand jardin à Tahiti, à Vairao plus précisément (à 12km au sud de Taravao) et dans ce jardin je possède un corossolier. Depuis six mois environ je fournis des feuilles et des fruits de cet arbre à un bon ami soigné pour un cancer de la vessie. A deux reprises on lui a chirurgicalement détruit deux polypes cancéreux. Il sortait mal en point de ses séances de radiothérapie quand on lui a décelé un troisième polype. Un brave homme, ému par son découragement , lui a conseillé un remède anticancéreux bien connu dans l'île, des décoctions de corossol.

Mon ami a suivi ses conseils. Depuis lors son chirurgien lui a fait subir deux cystoscopie. A son grand ahurissement il a constaté que le troisième polype avait disparu. Mon ami poursuit sa cure de corossol. Son médecin généraliste et son chirurgien l'ont baptisé "Monsieur  Corossol" et, bien entendu, continueront à le soumettre à des examens de contrôle. Moi je fournis comme déjà dit, les feuilles et les fruits.

corossol

 

Dr Burzinsky dénonce le buisness du cancer (attention, ce médecin semble utiliser, quand même, la chimiothérapie)

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Cancer, la vérité cachée...

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Solution cancer du sein : le profit ou la vie ?

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