Phobie sociale sur ordonnances

Une médecine répugnante : Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu'ils devraient guérir

« Plusieurs médicaments ont les mêmes effets secondaires que les troubles qu’ils sont censés soulager Le valium (benzodidazépine) est supposé réduire l’anxiété, la fatigue et la dépression, mais en lisant la liste des effets secondaires, nous remarquons que le valium peut engendrer les mêmes effets. »
 
 
  Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu'ils devraient guérir
 

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créé la maladie faussement diagnostiquée »
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Phobie sociale, agoraphobie, attaque de panique, anxiété généralisée ...iatrogène (provoqué par le médecin)

Agoraphobie et/ou claustrophobie, Attaques de panique, anxiété, Sentiment
 
La création massive de l’accoutumance L’utilisation à long terme de benzodiazépines (plus de plusieurs mois) peut causer ou aggraver la dépression et la perte de mémoire, émousser les émotions et provoquer des tendances suicidaires. Lorsqu’ils sont prescrits pour un cas de traumatisme, ils peuvent retarder le choc et le deuil, qui refont surface lorsque le traitement est interrompu. L’agoraphobie et d’autres types de phobies sont des effets secondaires fréquents chez les personnes qui sont traitées aux benzodiazépines à long terme. Ces substances causent parfois un état d’excitation paradoxale, d’anxiété et de rage, ainsi que des hallucinations. Des cas d’agression de conjointes et de bébés ainsi que d’homicides ont aussi été attribués à la consommation de ces m édicaments.
 
aggravation (ou apparition) de l’anxiété, du trouble panique, du trouble d’anxiété généralisée. aggravation (ou apparition) de phobies (ainsi l’agoraphobie, la phobie sociale, les peurs irrationnelles)
 
Paradoxalement, la prise chronique de BZD peut produire des difficultés d’adaptation au fur et à mesure que la tolérance se développe, créant de l’anxiété, des attaques de panique, de la dépression, de l’agoraphobie, de l’insomnie et de l’hostilité (Bisserbe et al., 1992). Si la dépendance se développe, elle peut entraîner de profondes modifications du caractère, du sommeil, de l’appétit, des attitudes envers les autres et envers soi- même, ainsi que des difficultés au niveau des relations interpersonnelles (Miller et Gold, 1990). L’utilisation des BZD dans certains cas peut même entraîner des réactions désinhibitoires se manifestant entre autres par une augmentation de l’anxiété, une hyperactivité, une désinhibition sexuelle, des rêves vivides, de l’hostilité et de la rage (Paton, 2002)
 
le concept «d’attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax.
 
elles provoquent souvent un phénomène de manque entre les doses, qui se manifeste notamment par une anxiété accrue.
 
Attaques de panique, Anxiété, symptômes du syndrôme des jambes sans repos…
 
Anxiété, Attaques de panique, Dépersonnalisation, Insomnie, Agoraphobie…
 
syndrôme prolongé de sevrage aux psychotropes : benzodiazépines, antidépresseurs…
 
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
 
Aujourd’hui, Chaque médecin a la moitié du nombre de patients qu’ils avaient il y a 35 ans… Et, quand cela n’est plus compensé, ils se mettent à inventer des maladies. Ceci, en fait, est la cause principale de la crise de santé américain.
 
Le valium est supposé réduire l’anxiété, la fatigue et la dépression, mais en lisant la liste des effets secondaires, nous remarquons que le valium peut engendrer les mêmes effets.
 
Médicaments, pesticides, psychotropes, armes de destruction massive…
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Il y a des années, après avoir subi une profonde perte personnelle, mon médecin m’a prescrit le Prozac, et j’ai rejoint les millions d’Américains qui ont pris un antidépresseur. Quelques semaines plus tard, j’ai eu ma première attaque de panique – course de coeur, transpiration abondante, haleine pour respirer – sensations de terreur normalement réservées pour des événements mettant la vie en danger. Les attaques continuaient toutes les demi-heures et étaient si incapacitantes que je ne pouvais même pas quitter ma maison. Mes médecins étaient confondus. Peut-être les attaques étaient liées au deuil, pensaient-ils.

Le mensonge du "déséquilibre chimique" de sérotonine

les professionnels de la santé australien, les administrateurs de santé, les prescripteurs et les citoyens que ce qu’ils ont appris l’industrie pharmaceutique sur toute nouvelle génération de médicaments « sérotonine » n’est pas vrai. L’industrie pharmaceutique est un client de l’United States Food and Drug Administration, marchandises (US FDA) la thérapeutique, l’Administration (TGA). Tous ont été victimes de fraude corporative qui vient à la lumière maintenant aux Etats-Unis en raison de litiges en 42 procureurs généraux agissant au nom du peuple.
 
regard lucide sur les méthodes douteuses de marketing des firmes pharmaceutiques
 
Les antidépresseurs ont été conçus pour inhiber la recapture de la sérotonine ou en d’autres termes altérer le métabolisme de la sérotonine après que le monde ait été convaincu par le marketing de masse que la sérotonine est faible dans la dépression, donc il y a un besoin d’augmenter ce niveau. Quand en fait la sérotonine est effectivement élevée dans la dépression, et élevée dans la longue liste des troubles mentionnés ci-dessus. Ce qui est faible est la capacité à métaboliser la sérotonine – la chose exacte est que les antidépresseurs sont conçus pour altérer en aggravant ainsi tous les symptômes ci-dessus ou en les créant !!!!!! Comme la sérotonine continue à augmenter : les problèmes deviennent massifs. Est-il étonnant que nous avons maintenant des recherches sur les antidépresseurs  indiquants qu’ils produisent la dépression à long terme ? !! la dépression et tellement plus long terme !
 
Breggin et Cohen le soutiennent, la fameuse théorie selon laquelle la dépression et la maladie mentale découlent des déséquilibres chimiques est «pure spéculation»
 
Trois vidéos sur Fox New sur  » la théorie du déséquilibre de la dépression. ils sont les auteurs d’un article publiée dans PLoS Medicine: « La sérotonine et dépression: un décalage entre les annonces et les scientifiques.
 
« Il est grand temps qu’il soit dit clairement que la théorie du déséquilibre de la sérotonine de la dépression n’est pas étayée par des preuves scientifiques ou par des avis d’experts. Biais de la publicité trompeuse de l’industrie pharmaceutique…
 
En bref, il n’existe pas de corroboration rigoureuse de la la théorie de la sérotonine
 
publicité consommateurs :les ISRS corrigent une «bio-déséquilibre chimique » causé par un manque de sérotonine dans le cerveau. Les allégations faites dans la publicité ISRS congruent avec des preuves scientifiques? PAS DU TOUT
 
La deficience de la serotonine dans la depression n’a jamais ete prouvé. «A serotonin deficiency for depression has not been found» Psychiatrist Joseph Glenmullen « En effet, aucune anomalie de la sérotonine dans la dépression n’a jamais été démontrée »
 
La théorie du déséquilibre de la sérotonine A ETE Un outil de marketing pour les sociétés pharmaceutiques
 
Aucune anomalie du métabolisme de la sérotonine Dans la dépression N’a jamais été »démontré
 
L’idée que la souffrance humaine, la souffrance psychologique, est strictement biochimique est une campagne de promotion, peut-être le plus réussi dans l’histoire du monde, créé par les compagnies pharmaceutiques
 
mensonges sur deroxat secret
 
une tromperie du peuple financé avec l’argent des propre contribuables.
 
Parce que les scientifiques en savent très peu sur le cerveau, Breggin et Cohen le soutiennent, la fameuse théorie selon laquelle la dépression et la maladie mentale découlent des déséquilibres chimiques est «pure spéculation» et la pierre angulaire de propagande d’une campagne massive de relations publiques par les compagnies pharmaceutique. Dans un argument bien documenté qui souffre d’un ton un peu dogmatique, ils soutiennent que, plutôt que d’améliorer le fonctionnement du cerveau, ces médicaments créer réellement de tels déséquilibres, causant des dommages immédiats et parfois irréversibles.
 
« Un déficit en sérotonine pour la dépression n’a pas été trouvée.
 
Un nombre important de chercheurs croient que l’expression de  » déséquilibre chimique  » pour parler des causes physiologiques de la dépression n’est plus vraiment adéquate
 
« En réalité, la science N’a Pas la Capacité de Mesurer les niveaux de toutes biochimiques DANS LES minuscules espaces entre les cellules nerveuses (synapses) dans le cerveau d’un être humain
 
Dépression: la théorie sous-jacente aux antidépresseurs remise en question
« Ce qui est le probable c’est qu’il y ait des sous-groupes de neurones à sérotonine qui sont hyperactifs chez les personnes déprimées, plutôt que sous-actifs comme il a été généralement assumé« , dit Lowr
 

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Médecins et professeurs

opposition à l’Escalade de la surutilisation des médicaments psychiatriques, au diagnostic et à l’oppression, au fait de droguer les enfants
 
Les liens du docteur Lucire
 
Le site du professeur david Healy
 

Pathologies inexistantes et exagérées : « le désordre d’anxiété généralisée »

"Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée« , « le syndrome prémenstruel dysphorique ou « le syndrome de reflux oesophagien »."

La Verite Sur Les Compagnies Parmaceutiques

La verite sur les compagnies pharmaceutique 1

Attaques de panique et DSM4

Assez récemment, un jeune retraité d’un laboratoire pharmaceutique a expliqué à l’un de nos interlocuteurs que le concept «d’attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax. Les critiques et les exemples pleuvent : les psychoses maniaco-dépressives sont devenues dans le DSM4 des troubles bipolaires, censés être bien plus fréquents : chaque patient peut ainsi s’approprier ce diagnostic, pour réclamer un traitement à son médecin !

 » Beaucoup de troubles mentaux sont littéralement inventés sans aucun fondement scientifique. Ainsi le fameux  » DSM « , sorte de bible des psychiatres qui répertoriait 112 troubles mentaux en 1952, 163 en 1968 et 253 en 1987, on répertorie actuellement 374 ! En inventant des nouvelles catégories de maladie comme le trouble de l’expression orale, le trouble des mathématiques, le déficit d’attention. Des milliers d’enfants, d’adultes, des personnes âgées se voient prescrire des psychotropes et deviennent ainsi de nouveaux clients !…Tout cela pour masquer des symptômes de difficultés passagères me paraît une dérive dangereuse, alors que dans bien des cas, un peu de chaleur humaine, de communication, d’écoute et de réelle attention suffirait. «

Gabapentine / neurontion était à l’origine de mes crises d’anxiété et de panique

Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

Les médicaments induisent des troubles cognitifs:   Partie1 et Partie2 
La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale.
 
Avez-vous parfois le sentiment que vous étiez mieux avant de commencer une nouvelle pilule? Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si elles sont de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
Les maladies induites par les médecins
Environ 163000 Américains âgés souffrent d’une grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) soit causée ou aggravée par les médicaments.
La dyskinésie tardive induite par les médicaments c’est développé chez 73000 personnes âgées, cette condition est la plus grave et commune des effets indésirables des médicaments antipsychotiques, et il est souvent irréversible
 Syndrome parkinsonien (pakinsonnisme) 61000 personnes âgées sont également dues à l’utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l’halopéridol (Haldol), la chlorpromazine (THORAZINE), de la thioridazine (MELLARIL), trifluopérazine (STELAZINE), et fluphenazine (PROLIXIN).

Anxiété : augmentation des symptômes duent aux benzodiazépines à demi-vie courte et moyenne

« la prise chronique de benzodiazépines et de somnifères a très souvent pour conséquence l’aggravation des symptômes pour lesquels ils ont initialement été prescrits (insomnie, anxiété)

Ceci est vrai surtout pour les benzodiazépines à demi-vie courte et moyenne, qui sont parmi les plus prescrites en France (ainsi le Lexomil, le Xanax ou le Témesta), dans la mesure où elles provoquent souvent un phénomène de manque entre les doses, qui se manifeste notamment par une anxiété accrue. »

BIG PHARMA

Antidépresseurs : des drogues dures légales dangereuses qui provoquent une très forte dépendance induite par les médecins

les dangers de la toxicomanie aux antidépresseurs

Antidepresseurs :  peu de bénéfices, beaucoup de dégâts

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Quelques livres

comment les laboratoires nous rendent fou
Cette enquête raconte comment les labos pharmaceutiques font de maladies avérées, mais relativement rares, un risque général de santé publique et rendent pathologiques des maux normaux de l’existence. Depuis le début des années quatre-vingt-dix, la recherche pharmaceutique en santé mentale stagne. Pourtant le nombre de patients traités pour des dépressions a été multiplié par 15 en 40 ans, si bien qu’un Français sur quatre consomme des psychotropes au cours d’une année. De nombreuses études scientifiques ont démontré l’efficacité douteuse, parfois la dangerosité de ces traitements, mais sans changement, car les laboratoires ont la main sur le secteur de la recherche et étouffent les études défavorables. Sous l’impact de l’industrie pharmaceutique, la timidité devient un « trouble de l’anxiété sociale », les tensions familiales sont le syndrome « du tigre en cage » ou celui « de l’aliénation parentale »… Le nombre de maladies mentales répertoriées par le DSM, le manuel international de classification des troubles mentaux, est passé de 77 à 525 depuis 1952 ! Les liens financiers de ses rédacteurs avec les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas un secret. Le processus de mise sur le marché d’un nouveau médicament est toujours le même : un laboratoire pharmaceutique finance une étude scientifique et des médecins comme porte-paroles. Au préalable ou ensuite, la pathologie est reconnue par le DSM, puis un traitement est lancé, avec des campagnes marketing ciblées sur le grand public et les médecins prescripteurs. Cette pratique théorisée par l’un des grands maîtres du marketing américain, Vince Perry porte un nom : la vente (ou fabrication) de maladies.
Un mémoire puissante des antidépresseurs, des erreurs de diagnostic et de folie. Il y avait ce terme nouveau, la dépression, étant ballotté. Lorsque je avais reçu un diagnostic officiel, de toute façon? Il venait d’être mentionné par mon médecin et maintenant le personnel ont été ramasser et courir avec lui. Les choses semblaient se soufflé hors de proportion. Je voulais savoir pourquoi je ne pouvais pas être testé pour cette soi-disant déséquilibre dans mon cerveau avant d’être mis sur le médicament, mais je ne voulais pas qu’il pense que je me interrogeais sur son expertise. Il était le deuxième médecin présent à recommander les treatmen. «Et ce sont le genre récent -? Ceux qui ne sont pas addictif ou quelque chose ‘ ‘Non addictif. Ils sont très sûr.  » Peu de temps après la naissance de sa fille Rébecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; étant donné la thérapie de choc électrique; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et était en alternance maniaque et consommée par le désespoir paralysant pendant laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et un partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient. Australiens ont adopté antidépresseurs: douze millions d’ordonnances sont rédigées chaque année, la plupart du temps par les médecins généralistes. Mais, que savons-nous vraiment des effets des pilules? L’idée qu’ils corriger un déséquilibre chimique dans notre cerveau ne est nullement prouvé – il ya beaucoup de preuves qui contredisent ce point de vue. On croit communément que ces médicaments ne sont pas une dépendance; en fait – que Rebekah trouvé à sa grande détresse – ils sont difficiles à se détacher et ceux qui ne peuvent souffrir d’effets secondaires débilitants. Ce est un mémoire puissante des trois années cauchemardesques Rebekah endurées comme elle a été maintes fois diagnostiquée, pour se rendre compte que son médicament a été la cause de sa détérioration mentale. Rebekah appelle à une meilleure information des sociétés pharmaceutiques sur les risques associés à des antidépresseurs et des classes similaires de médicaments – des faits, plutôt que le marketing déguisés en science médicale – et pour un réexamen des moyens certains psychiatres traitent leurs patients.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
...les champs de la mort pharmaceutique n’est pas un incident isoléL’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES : Confessions d’une visiteuse médicale (sortie en français mars 2014) Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médi
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
comment s’est faite la médicalisation des anciennes névroses, sous le nom de dépression. Il pose beaucoup de questions gênantes sur la manière dont la science médicale est gouvernée par de grands intérêts financiers
avec la participation de l’agidd.
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois
gratuitement en ligne (en traduction google ou anglais)
Pourquoi et comment Arrêter de Prendre des drogues psychiatriques. Cet ouvrage vise à nous convaincre de cesser de prendre ces médicaments
Professeur david Healy.The Creation of Psychopharmacology. Editeur : Harvard University Press; Édition : New Ed (3 septembre 2004). L’histoire de la psychopharmacologie. L’histoire des psychotropes. L’histoire des benzodiazépines.
La question de la prescription excessive de médicaments psychiatriques en France comme en Belgique revient de plus en plus fréquemment sur la place publique. Dans ce contexte, cet ouvrage apporte une information sur chaque classe de médicaments
avant de vendre un médicament
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
Anatomy of an Epidemic (Anatomie d’une épidémie)Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?
Les dérives de l’industrie de la santé En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
Le livre noir du médicament Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
Effet secondaire tueur La recherche suggère que les individus de tous âges doivent être étroitement surveillés pour des pensées et des comportements suicidaires et homicides pour 1 mois après avoir commencé à prendre des antidépresseurs, comme les ISRS, et après ils augmentent leur dose. Les individus devraient aussi être étroitement surveillés quand ils cessent de prendre des antidépresseurs. Votre drogue peut être votre problème (anglais uniquement) et autres livres de professeurs Peter Breggin M.D. et David Cohen Ph.D.
Comment et pourquoi cesser de prendre les médicaments psychiatriques
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
de Philippe Pignarre
Les épidémiologues n’ont jamais vu cela : en 1970, il y avait cent millions de déprimés dans le monde. Aujourd’hui, ils sont près d’un milliard. Entre 1980 et 1989, les consultations pour dépression sont passées aux États-Unis de 2,5 à 4,7 millions.
Big Pharma, une industrie toute-puissante qui joue avec notre santé « Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
Bad pharma Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
The Myth of the Chemical Curede docteur Joanna Moncrieff Ce livre expose le point de vue traditionnel que les médicaments psychiatriques corrigent un déséquilibres chimiques est une fraude dangereux. Il retrace l’émergence de ce point de vue et la façon dont il a soutenu les intérêts de la profession psychiatrique, l’industrie pharmaceutique et l’Etat moderne. Au lieu de cela, il est proposé que ces «médicaments psychiatriques en créant des états cérébraux anormaux, qui sont souvent désagréables et altérent les fonctions intellectuelles et émotionnelles normales avec d’autres conséquences néfastes. La recherche sur les antipsychotiques, les antidépresseurs et stabilisateurs de l’humeur est examinée pour démontrer cette thèse et il est suggéré que la reconnaissance de la nature réelle des médic
« Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée. En manipulant
Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS
Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS.La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets.
Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif.Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments.En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état de retrait
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers.
 on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses
Le Pr Frances a lancé une mise en garde sévère à l’intention de ceux qui auraient l’intention de se servir du DSM-5: «Les nouveaux diagnostics en psychiatrie sont plus dangereux que les nouveaux médicaments parce qu’ils déterminent ceux qui vont être mis sous traitement ou pas. Avant de s’en servir, ils mériteraient les mêmes précautions de sécurité que ceux que nous accordons aux médicaments. L’association psychiatrique américaine n’est pas compétente pour le faire.» Elle a pourtant investi 25 millions de dollars dans l’opération.
Le processus de mise sur le marché d’un nouveau médicament est toujours le même : un laboratoire pharmaceutique finance une étude scientifique et des médecins comme porte-paroles. Au préalable ou ensuite, la pathologie est reconnue par le DSM, puis un traitement est lancé, avec des campagnes marketing ciblées sur le grand public et les médecins prescripteurs.
Cette pratique théorisée par l’un des grands maîtres du marketing américain, Vince Perry porte un nom : la vente (ou fabrication) de maladies.

Votre médicament peut être votre problème

Parce que les scientifiques en savent très peu sur le cerveau, Breggin et Cohen le soutiennent, la fameuse théorie selon laquelle la dépression et la maladie mentale découlent des déséquilibres chimiques est «pure spéculation» et la pierre angulaire de propagande d’une campagne massive de relations publiques par les compagnies pharmaceutique. Dans un argument bien documenté qui souffre d’un ton un peu dogmatique, ils soutiennent que, plutôt que d’améliorer le fonctionnement du cerveau, ces médicaments créer réellement de tels déséquilibres, causant des dommages immédiats et parfois irréversibles.

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Psychiatrie mortelle et déni organisé

 Dans cet ouvrage, en se basant sur les faits disponibles, l’auteur de Psychiatrie mortelle et déni organisé montre que la manière dont nous utilisons habituellement les médicaments psychiatriques inflige beaucoup plus de tort qu’elle ne fait du bien. Le professeur et médecin Peter C. Gøtzsche établit que les médicaments psychiatriques tuent chaque année plus d’un demi-million de gens de 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ces médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer. Or, la consommation actuelle de psychotropes pourrait être réduite de 90 %, tout en améliorant la santé mentale et physique ainsi que la survie des patients.
Dans son livre, Gøtzsche soutient aussi que les chefs de la psychiatrie – souvent à la solde de l’industrie pharmaceutique – ont créé et promu de nombreux mythes pendant des décennies pour mieux cacher le fait que la psychiatrie biologique a été généralement un échec.

Psychiatrie mortelle et deni organise 1

 

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Témoignage (forum http://benzo.forumactif.net )

« C’est incroyable j’ai les mêmes symptomes que toi côté phobie sociale, je n’avais pas cela avant donc tu as raison c’est un effet secondaire des médocs. « 
« Mais pour le coup je relisais moi-même plusieurs fois mes mails jusqu’à récemment (manque de confiance en soi, peur de blesser les gens, difficile de communiquer avec eux, une forme de phobie sociale qui s’exprime jusque dans le virtuel… agoraphobie, difficulté à regarder les gens quand on leur parle, etc.) ; je relis moins mes mails car j’ai beaucoup progressé de ce point-de-vue là, mais je suis convaincue que ces transformations radicales de la personnalité (quelque soient ses manifestations) sont dûes aux psychotropes. »

 

« Je n’avais pas d’anxiété avant de prendre des anxiolytiques et plus particulièrement des benzodiazépines.
Après quelques années de prises de ces substances, mon anxiété a graduellement augmenté et avec cette augmentation de l’anxiété, j’ai petit à petit augmenter le nombre de comprimés d’anxiolytique.
Puis, après plus de 10 ans de prises de ces produits, je n’arrivais plus à gérer mon anxiété même en augmentant les doses et elle s’est petit à petit muée en crises d’angoisses, puis en attaques de panique pour finir par me cloîtrer à la maison. Après plus de 10 ans de prises d’anxiolytique, j’étais devenue agoraphobe.
Mais ça ne s’est pas arrêté à ça. Après 13 ans de prises, j’avais développé une anxiété généralisée et une phobie sociale.

En fait, plus j’augmentais mes doses d’anxiolytiques, plus mon anxiété augmentais !

MAIS, après m’être sevrée de ces produits, mon anxiété a commencé à diminuer. Bien entendu elle était encore très présente, mais plus au niveau que j’avais connu en prenant des anxiolytiques.
Pour faire disparaître l’anxiété qu’il me restait encore, j’ai commencé à utiliser des techniques de gestion de l’anxiété qui ont bien fonctionné.
J’avais déjà essayé de pratiquer ces techniques quand je prenais encore des anxiolytiques de type benzodiazépine et il est vrai qu’elles ne fonctionnaient pas à ce moment là!
Mais aujourd’hui que je ne prends plus d’anxiolytique et je ne souffre plus d’anxiété! Le changement est flagrant!
Donc c’était bien ces médicaments qui avaient créé cette anxiété généralisée et rien que le fait de m’en sevré à fait chuter mon niveau d’angoisse de manière radicale !


Je conseille vraiment à toutes les personnes qui souffrent des crises d’angoisse, d’attaques de panique, d’agoraphobie, d’anxiété généralisée ou encore de phobie sociale d’arrêter de prendre de tels anxiolytiques ! »

Témoignage antidépresseur et phobie sociale induite

Sous Deroxat durant plusieurs années ( Personnalité très anxieuse ,obsessionnelle et drame majeur survenu ds ma vie), j’ai réussi après 3 tentatives infructueuses, à me sevrer de ce poison…Mais à quel prix!
Je suis membre du forum « Paxil progress » aux USA,où j’ai découvert que TOUS les troubles que je ressens, 16 mois après l’arrêt, sont dûs à cet antidépresseurs : agoraphobie, raideurs et contractures musculaires rendant la marche difficile, vertiges, angoisse généralisée, perte totale de l’appétit, douleurs articulaires, et j’en passe. Lorsque je ne vais vraiment pas bien je me dis que le Deroxat a détruit ma vie. Lorsque je vais mieux je reprends espoir.
Comme disent les Américains: « Paxil is hell » (« Le Déroxat c’est l’enfer« ).
Honte aux laboratoires qui fabriquent ces poisons pire que des drogues dures, honte aux médecins qui les prescrivent! Leur sevrage est un enfer!

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