Phobie sociale sur ordonnances
Une médecine répugnante : Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu'ils devraient guérir
Phobie sociale, agoraphobie, attaque de panique, anxiété généralisée ...iatrogène (provoqué par le médecin)
Le mensonge du "déséquilibre chimique" de sérotonine
« Ce qui est le probable c’est qu’il y ait des sous-groupes de neurones à sérotonine qui sont hyperactifs chez les personnes déprimées, plutôt que sous-actifs comme il a été généralement assumé« , dit Lowr
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Médecins et professeurs
Pathologies inexistantes et exagérées : « le désordre d’anxiété généralisée »
La Verite Sur Les Compagnies Parmaceutiques
Attaques de panique et DSM4
Assez récemment, un jeune retraité d’un laboratoire pharmaceutique a expliqué à l’un de nos interlocuteurs que le concept «d’attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax. Les critiques et les exemples pleuvent : les psychoses maniaco-dépressives sont devenues dans le DSM4 des troubles bipolaires, censés être bien plus fréquents : chaque patient peut ainsi s’approprier ce diagnostic, pour réclamer un traitement à son médecin !
» Beaucoup de troubles mentaux sont littéralement inventés sans aucun fondement scientifique. Ainsi le fameux » DSM « , sorte de bible des psychiatres qui répertoriait 112 troubles mentaux en 1952, 163 en 1968 et 253 en 1987, on répertorie actuellement 374 ! En inventant des nouvelles catégories de maladie comme le trouble de l’expression orale, le trouble des mathématiques, le déficit d’attention. Des milliers d’enfants, d’adultes, des personnes âgées se voient prescrire des psychotropes et deviennent ainsi de nouveaux clients !…Tout cela pour masquer des symptômes de difficultés passagères me paraît une dérive dangereuse, alors que dans bien des cas, un peu de chaleur humaine, de communication, d’écoute et de réelle attention suffirait. «
Gabapentine / neurontion était à l’origine de mes crises d’anxiété et de panique
Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale
La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale.
Anxiété : augmentation des symptômes duent aux benzodiazépines à demi-vie courte et moyenne
Ceci est vrai surtout pour les benzodiazépines à demi-vie courte et moyenne, qui sont parmi les plus prescrites en France (ainsi le Lexomil, le Xanax ou le Témesta), dans la mesure où elles provoquent souvent un phénomène de manque entre les doses, qui se manifeste notamment par une anxiété accrue. »
BIG PHARMA
Antidépresseurs : des drogues dures légales dangereuses qui provoquent une très forte dépendance induite par les médecins
Antidepresseurs : peu de bénéfices, beaucoup de dégâts
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Quelques livres
Cette enquête raconte comment les labos pharmaceutiques font de maladies avérées, mais relativement rares, un risque général de santé publique et rendent pathologiques des maux normaux de l’existence. Depuis le début des années quatre-vingt-dix, la recherche pharmaceutique en santé mentale stagne. Pourtant le nombre de patients traités pour des dépressions a été multiplié par 15 en 40 ans, si bien qu’un Français sur quatre consomme des psychotropes au cours d’une année. De nombreuses études scientifiques ont démontré l’efficacité douteuse, parfois la dangerosité de ces traitements, mais sans changement, car les laboratoires ont la main sur le secteur de la recherche et étouffent les études défavorables. Sous l’impact de l’industrie pharmaceutique, la timidité devient un « trouble de l’anxiété sociale », les tensions familiales sont le syndrome « du tigre en cage » ou celui « de l’aliénation parentale »… Le nombre de maladies mentales répertoriées par le DSM, le manuel international de classification des troubles mentaux, est passé de 77 à 525 depuis 1952 ! Les liens financiers de ses rédacteurs avec les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas un secret. Le processus de mise sur le marché d’un nouveau médicament est toujours le même : un laboratoire pharmaceutique finance une étude scientifique et des médecins comme porte-paroles. Au préalable ou ensuite, la pathologie est reconnue par le DSM, puis un traitement est lancé, avec des campagnes marketing ciblées sur le grand public et les médecins prescripteurs. Cette pratique théorisée par l’un des grands maîtres du marketing américain, Vince Perry porte un nom : la vente (ou fabrication) de maladies.
Votre médicament peut être votre problème
Parce que les scientifiques en savent très peu sur le cerveau, Breggin et Cohen le soutiennent, la fameuse théorie selon laquelle la dépression et la maladie mentale découlent des déséquilibres chimiques est «pure spéculation» et la pierre angulaire de propagande d’une campagne massive de relations publiques par les compagnies pharmaceutique. Dans un argument bien documenté qui souffre d’un ton un peu dogmatique, ils soutiennent que, plutôt que d’améliorer le fonctionnement du cerveau, ces médicaments créer réellement de tels déséquilibres, causant des dommages immédiats et parfois irréversibles.
Psychiatrie mortelle et déni organisé
Dans cet ouvrage, en se basant sur les faits disponibles, l’auteur de Psychiatrie mortelle et déni organisé montre que la manière dont nous utilisons habituellement les médicaments psychiatriques inflige beaucoup plus de tort qu’elle ne fait du bien. Le professeur et médecin Peter C. Gøtzsche établit que les médicaments psychiatriques tuent chaque année plus d’un demi-million de gens de 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ces médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer. Or, la consommation actuelle de psychotropes pourrait être réduite de 90 %, tout en améliorant la santé mentale et physique ainsi que la survie des patients.
Dans son livre, Gøtzsche soutient aussi que les chefs de la psychiatrie – souvent à la solde de l’industrie pharmaceutique – ont créé et promu de nombreux mythes pendant des décennies pour mieux cacher le fait que la psychiatrie biologique a été généralement un échec.
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Témoignage (forum http://benzo.forumactif.net )
« C’est incroyable j’ai les mêmes symptomes que toi côté phobie sociale, je n’avais pas cela avant donc tu as raison c’est un effet secondaire des médocs. «
« Mais pour le coup je relisais moi-même plusieurs fois mes mails jusqu’à récemment (manque de confiance en soi, peur de blesser les gens, difficile de communiquer avec eux, une forme de phobie sociale qui s’exprime jusque dans le virtuel… agoraphobie, difficulté à regarder les gens quand on leur parle, etc.) ; je relis moins mes mails car j’ai beaucoup progressé de ce point-de-vue là, mais je suis convaincue que ces transformations radicales de la personnalité (quelque soient ses manifestations) sont dûes aux psychotropes. »
« Je n’avais pas d’anxiété avant de prendre des anxiolytiques et plus particulièrement des benzodiazépines.
Après quelques années de prises de ces substances, mon anxiété a graduellement augmenté et avec cette augmentation de l’anxiété, j’ai petit à petit augmenter le nombre de comprimés d’anxiolytique.
Puis, après plus de 10 ans de prises de ces produits, je n’arrivais plus à gérer mon anxiété même en augmentant les doses et elle s’est petit à petit muée en crises d’angoisses, puis en attaques de panique pour finir par me cloîtrer à la maison. Après plus de 10 ans de prises d’anxiolytique, j’étais devenue agoraphobe.
Mais ça ne s’est pas arrêté à ça. Après 13 ans de prises, j’avais développé une anxiété généralisée et une phobie sociale.
En fait, plus j’augmentais mes doses d’anxiolytiques, plus mon anxiété augmentais !
MAIS, après m’être sevrée de ces produits, mon anxiété a commencé à diminuer. Bien entendu elle était encore très présente, mais plus au niveau que j’avais connu en prenant des anxiolytiques.
Pour faire disparaître l’anxiété qu’il me restait encore, j’ai commencé à utiliser des techniques de gestion de l’anxiété qui ont bien fonctionné.
J’avais déjà essayé de pratiquer ces techniques quand je prenais encore des anxiolytiques de type benzodiazépine et il est vrai qu’elles ne fonctionnaient pas à ce moment là!
Mais aujourd’hui que je ne prends plus d’anxiolytique et je ne souffre plus d’anxiété! Le changement est flagrant!
Donc c’était bien ces médicaments qui avaient créé cette anxiété généralisée et rien que le fait de m’en sevré à fait chuter mon niveau d’angoisse de manière radicale !
Je conseille vraiment à toutes les personnes qui souffrent des crises d’angoisse, d’attaques de panique, d’agoraphobie, d’anxiété généralisée ou encore de phobie sociale d’arrêter de prendre de tels anxiolytiques ! »
Témoignage antidépresseur et phobie sociale induite
Sous Deroxat durant plusieurs années ( Personnalité très anxieuse ,obsessionnelle et drame majeur survenu ds ma vie), j’ai réussi après 3 tentatives infructueuses, à me sevrer de ce poison…Mais à quel prix!
Je suis membre du forum « Paxil progress » aux USA,où j’ai découvert que TOUS les troubles que je ressens, 16 mois après l’arrêt, sont dûs à cet antidépresseurs : agoraphobie, raideurs et contractures musculaires rendant la marche difficile, vertiges, angoisse généralisée, perte totale de l’appétit, douleurs articulaires, et j’en passe. Lorsque je ne vais vraiment pas bien je me dis que le Deroxat a détruit ma vie. Lorsque je vais mieux je reprends espoir.
Comme disent les Américains: « Paxil is hell » (« Le Déroxat c’est l’enfer« ).
Honte aux laboratoires qui fabriquent ces poisons pire que des drogues dures, honte aux médecins qui les prescrivent! Leur sevrage est un enfer!
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