Neurotoxiques sur ordonnances

Neurotoxiques et définitions

Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.
 
« Neurotoxiques (Inhibiteur de la jonction synaptique …) : Les neurotoxiques agissent sur l’influx nerveux, empêchent la coordination motrice et bloquent certains muscles essentiels (muscles respiratoires, cœur). Les plus connus sont le curare, les neurotoxines, et les gaz innervants ; de nombreux insecticides appartiennent à cette classe. Le plus souvent, leur cible est l’interface entre la cellule nerveuse et la cellule suivante (nerveuse ou musculaire) »
« il est important ici de faire la différence entre « vénéneux » qui s’applique aux végétaux et « venimeux » (de venin) qui s’applique aux animaux »
« La plupart des médicaments anti-infectieux efficaces, tels les antibiotiques, sont des poisons et leur posologie est calculée afin de détruire l’agent infectieux sans mettre en danger la vie du patient. »
 
Pesticides = tous les produits capables de « tuer les pestes » Incluent donc les : • insecticides • «antibiotiques» /antiparasitaires bactericides/fungi-/virucides • herbicides • molluscicides • raticides
 
Les médicaments cytotoxiques inhibent ou empêchent le bon fonctionnement des cellules. On les utilise surtout pour traiter le cancer, souvent dans le cadre d’une chimiothérapie. Dernièrement, leur utilisation s’est étendue au traitement de certaines maladies de la peau comme le psoriasis, de l’arthrite rhumatoïde, de l’arthrite rhumatoïde juvénile, de même que des problèmes musculaires résistant aux stéroïdes. Les médicaments cytotoxiques les plus connus sont les antinéoplasiques. Le terme antinéoplasique est d’ailleurs parfois utilisé au lieu de médicament cytotoxique
 
Pesticides : de nombreux pesticides sont des toxiques du système nerveux provoquent retards intellectuels, Parkinson…
 
Un pesticide est une substance répandue sur une culture pour lutter contre des organismes considérés comme nuisibles. C’est un terme générique qui rassemble les insecticides, les fongicides, les herbicides, les parasiticides. Ils s’attaquent respectivement aux insectes ravageurs, aux champignons, aux « mauvaises herbes » et aux vers parasites.
 
Elles sont liées aux modes d’action des insecticides, fondés par exemple sur la neurotoxicité de certaines molécules, ou sur leur impact sur la respiration cellulaire, la formation de la cuticule chitineuse, ou de la perturbation de la mue.
 
Se dit d’un poison ou de ce qui agit comme un poison, c’est-à-dire de toute substance nocive pour l’organisme.
 
Un médicament anticholinergique inhibe (réduit) l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui intervient dans le cerveau et surtout dans le système nerveux parasympathique.  Ces médicaments s’opposent ainsi à l’action du système nerveux parasympathique.  Les médicaments anticholinergiques incluent des antihypertenseurs, des diurétiques, des agents cardiovasculaires, des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquillisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des anti-ashmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des antibiotiques, des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.
 
La neurotoxicité est l‘action d’un poison (ou substance neurotoxique) sur le système nerveux. Il peut s’agir d’éléments chimiques comme les métaux lourds, de composés chimiques ou de substances biologiques comme les neurotoxines. Une substance neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx nerveux, en agissant notamment sur les émetteurs ou les récepteurs synaptiques.
 
L’aspartate et le glutamate sont des excitotoxines donc des neurotoxiques ils sont des acides aminés excitateurs (50% des synapses du SNC sont glutamatergi ques), c’est-à-dire qu’elle s ont la triste capacité de s’attaquer de manière non linéaire aux neurone s de notre cerveau par excitation par surcharge suractivité jusqu’à ce qu’ils explos ent ce qu’a bien démontré scientifiquement l’éminent neurochirurgien et nutritionniste américain, le Dr Russell Blaylock dans ce livre : « Excitotoxins, The Taste that Kills » en 1994, ou l’on explique aussi les ravages de l’aspartame. C’est le passage de ces toxiques (excitateurs de neurones) vers le cerveau qui représente un réel danger, notamment si l’on se trouve en hypoglycémie et encore plus s’il s’agit d’enfants en bas âges. Par bas age il faut considérer que les parents qui laissent leur enfants de moins de 12 ans avaler des chips au E 621 sans retenue ni explications sont tout simpl ement des brain killer
 
Les PCB sont des dérivés chimiques chlorés également connus sous le nom de pyralènes. Pour ceux qui aiment la précision, on peut les qualifier d’hydrocarbures halogénés de haut poids moléculaire, semi-volatils et hydrophobes. Ils n’existent pas à l’état naturel. La famille des PCB, qui appartient aux composés organochlorés polycycliques, regroupe 209 molécules également appelées congénères.
 
Les sources d’exposition de la population générale aux PE sont principalement l’eau et l’alimentation, mais aussi l’air et certains produits industriels (médicaments, cosmétiques, produits phytosanitaires,…).
 
« Lorsque le cerveau est en développement, les atteintes peuvent créer des lésions irréversibles menant à des maladies neurologiques », souligne Marie Grosman. Les conséquences peuvent être à court terme l’autisme et à long terme l’Alzheimer. Exemples d’« accusés » : le mercure, l’aluminium, les pesticides, les polluants liés au trafic routier, la fumée de tabac, le plomb, le fluor, les PCB… Des agresseurs omniprésents, de l’eau à nos armoires à pharmacie. A la lecture des études citées, pourquoi a-t-on alors tant de mal à admettre le lien entre les neurotoxiques et les maladies neurologiques ? Selon Marie Grosman, « ces nombreuses publications scientifiques sont ignorées des autorités qui se polarisent sur la recherche génétique et vont jusqu’à nier l’alarmante progression de l’autisme ». Une seule solution : « Mettre en place une prévention pour réduire les expositions de la population aux produits neurotoxiques » et les remplacer par d’autres. Mais des considérations moins louables interviennent, selon Marie Grosman, qui assume son parti pris. A savoir « le poids des industries pharmaceutiques et leur lobbying, la peur d’un nouveau scandale sanitaire, donc des procès… »
 
S’il est possible de créer des médicaments à partir d’analogues d’état de transition, il est aussi possible de créer des composés chimiques qui vont perturber (possiblement mortellement) l’activité de certaines enzymes.
La plupart des gaz de combat neurotoxiques sont basés sur ce principe : ils inhibent des enzymes comme l’acétylcholinestérase (AChE).
 
Les plus connus sont les pesticides (DDT, aldrine, kepone, dieldrine, chlordane, heptachlore, endrine, mirex, BPC, toxaphène, lindaneetc.), les PCB et les dioxines.
 
s.m. pl. [organophosphorus compounds]. Inhibiteurs irréversibles de l’acétylcholinestérase comportant un atome de phosphore en position centrale entouré d’un atome d’oxygène, d’un halogène, cyanure ou thiocyanate, et de deux chaînes organiques, aliphatiques ou ramifiées. Ces composés sont hautement toxiques, par blocage des transmissions cholinergiques dû à la persistance de l’acétylcholine à l’extrémité des voies motrices et des voies parasympathiques. Utilisés d’abord en tant qu’insecticides, ils sont devenus des gaz de combats souvent utilisés au XXe siècle. Les plus connus sont le diisopropyl-fluorophosphate (DFP), le dimpylate ou diazinon, le fenthion, le malathion, le parathion, le sarin, le soman, et le tabun. Quelques organophosphorés ont, ou ont eu, une utilisation thérapeutique : le malathion (Prioderm®, Para Plus®) comme antiparasitaire externe ; l’éthiocopate et le paraoxon dans le traitement du glaucome en application locale. La pralidoxime (Contrathion®) et l’obidoxime sont des antidotes, ou contre-poisons, des organophosphorés. Ils permettent de réactiver les acétylcholinestérases en les déphosphorylant.
 
Les médicaments anticholinestérasiques augmentent les niveaux d’acétylcholine, un transmetteur neuromusculaire, par l’inhibition d’une enzyme cholinestérase responsable de la dégradation de l’acétylcholine.(note du blog : parmis les anticholinestérasiques, ce trouvent les armes chimiques de destruction massive d’origine organophosphorée)
 
En général, un xénobiotique est une molécule chimique polluante et parfois toxique à l’intérieur d’un organisme, y compris en faibles voir très faibles concentrations2. Deux cas typiques de xénobiotiques sont les pesticides, et les médicaments, en particulier les antibiotiques3.
 
Un médicament qui bloque les effets de l’acétylcholine, une substance produite par le corps qui est responsable de certaines activités du système nerveux parasympathique (). Médicaments ayant des effets anticholinergiques (y compris les antidépresseurs, les antihistaminiques, les antipsychotiques, les médicaments pour les problèmes intestinaux, antiparkinsoniens) inhibent la sécrétion d’acide dans l’estomac, ralentir le passage des aliments dans le système digestif, inhiber la production de salive, la sueur et les sécrétions bronchiques, et augmenter la fréquence cardiaque et la pression artérielle. Les effets indésirables de ces médicaments incluent la bouche sèche, constipation, difficulté à uriner, la confusion, l’aggravation du glaucome, une vision floue, et des problèmes de mémoire à court terme.
 
Perfluorocarbure / téflon
Les perfluorocarbures (PFC) ou hydrocarbures perfluorés sont des composés halogénés gazeux de la famille des fluorocarbures (FC).
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Les industries : »nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. » souvent, avec les dérivés des mêmes molécules !

La Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, est condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision.
 
ce sont les mêmes cartels industriels qui produisent les pesticides et les molécules chimiques sensé être des médicaments. Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
 
Il n’existe pas un pays du globe où BAYER n’ait pas d’activités. Les anciennes maisons-soeurs de l’IG Farben BASF, BAYER et AVENTIS dominent le marché allemand et l’industrie chimique européenne. Leur chiffre d’affaires commun dépasse 80 milliards d’euros. Il faut y ajouter un empire constitué de participations à d’autres entreprises ainsi que d’entreprises sous-traitantes. Au début de l’année 2002, BAYER a repris AVENTIS CROPSCIENCE pour la somme de 7 milliards d’euros. Cette acquisition, qui est la plus importante de l’histoire des multinationales, fait de BAYER la plus grande entreprise de technologie génétique d’Europe et le deuxième producteur de pesticides du monde. Aucun gouvernement, aucun homme politique et aucune institution ne peut se permettre d’ignorer cette puissance. Aucune instance nationale ou internationale ne peut contrôler efficacement des multinationales telles que BAYER ou même s’opposer à des produits ou des procédés de production dangereux. La catastrophe de Bhopal en Inde nous a appris que les dangers des grandes unités de production chimique ne sont comparables qu’à ceux de l’industrie nucléaire. Dans cet ordre d’idée, critiquer BAYER constitue toujours une critique fondamentale des multinationales dans leur ensemble et de l’industrie chimique en particulier.
 
une vidéo a voir !
 
Pour que le monde de Monsanto ne devienne jamais le notre
 
Monsanto est une entreprise dont le siège est situé à Saint-Louis, États-Unis et est au XXIe siècle spécialisée dans les biotechnologies végétales. Elle a été fondée en 1901 par John Francis Queeny. Originellement entreprise de produits chimiques, son nom est associé à celui des PCB et de l’agent orange massivement utilisé par l’armée américaine lors de la guerre du Viêt Nam. Détentrice d’un brevet aujourd’hui périmé sur le glyphosate, herbicide total qu’elle commercialise sous le nom de Roundup, Monsanto est également un des principaux producteurs de semences génétiquement modifiées.L’entreprise a fait et continue de faire l’objet d’enquêtes et d’actions en justice concernant à la fois les produits chimiques ou issus du génie génétique qu’elle met sur le marché et ses méthodes de lobbying. Elle est accusée de promouvoir des produits nocifs pour la santé et l’écosystème[3] et de falsifier les résultats d’enquêtes scientifiques[4], accusations portées entre autres par un ancien directeur de filiale de la firme[5].
 
L’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…
 
Le plan d’I.G. Farben pour dominer les marchés mondiaux du pétrole et des médicaments a échoué. Les forces alliées ont gagné la guerre. Mais ce conflit a coûté la vie à un nombre colossal de soldats américains et alliés. Pourtant les récompenses des forces alliées sont bien maigres comparées à d’autres. Les actions industrielles des perdants, I.G. Farben inclus, sont absorbées par le trust Rockefeller (U.S.A.) et Rothschild/ J.P. Morgan (R.U.).
 
Depuis 15 ans, vingt livres de très grands universitaires ou d’éditeurs des plus grands journaux scientifiques anglo-saxons, repris par des milliers d’articles dans la grande presse américaine et anglaise, ont décrit les noires et mortelles dérives de l’industrie pharmaceutique (hier M. Angell, JP Kassirer, R. Smith, D. Healy, etc. et aujourd’hui, B. Goldacre avec « Bad Pharmas » et P. Gotzsche
 
C’est dans le domaine des médicaments chimiques que les effets sanitaires néfastes suscitent le plus d’émois. Chaque année apporte son lot de scandales qui démontrent à la fois le cynisme d’une industrie pharmaceutique extrêmement lucrative et l’incompétence des instances règlementaires laxistes. Ces dernières années nous avons été confrontés à la toxicité de l’anti-inflammatoire VIOXX retiré du marché à la suite de milliers de morts par infarctus du myocarde. Le cas du Médiator se trouve encore devant les tribunaux. Les media viennent nous confirmer l’inutilité des anti-cholestérols à base de STATINES mais qui coûtent cependant 2 milliards par an à la sécurité sociale française. Il y a peu, des études indépendantes ont montré les effets néfastes des substituts hormonaux prescrits à la ménopause, qui augmentent le risque de cancers qu’ils étaient supposés éviter ! Plus récemment nous apprenons que la pilule contraceptive dite de « troisième génération » multiplie par cinq le risque de phlébites…Ces scandales sanitaires ne sont que la partie émergée de l’iceberg, celle qui arrive jusqu’à vos oreilles. Il faut que vous sachiez que la très grande majorité des médicaments chimiques sont hépatotoxiques et souvent sans efficacité réelle sur la santé. Malgré cela la surconsommation médicamenteuse est ahurissante, dans l’indifférence générale. Nous n’avons pas cité les psychotropes, les RITALINE ou les PROZAC, prescrits largua manu par un corps médical complaisant.
 
« Un empoisonnement universel. Comment les produits chimiques ont envahi la planète »
Qui ne connaît pas aujourd’hui dans son entourage un cancéreux, un malade d’Alzheimer, un obèse ou un diabétique ? On assiste à une explosion de nature épidémique d’un certain nombre de maladies graves. Le cancer en France, c’est 110 % d’augmentation du nombre de cas annuels entre 1980 et 2012. La hausse de l’espérance de vie explique une fraction de cette envolée, seulement une fraction. Il y avait 8,5 % d’obèses en France en 1997, 15 % en 2012. Selon les projections, on attendait 3,5 millions de cas de diabète en 2016, on y est arrivé dès 2009. Personne ne sait vraiment combien il y a de cas d’Alzheimer chez nous, entre 900 000 et un million. L’Inserm en prévoit 2 millions en 2020, c’est-à-dire après-demain matin. L’augmentation est fulgurante sur une période très brève. Dans le même temps paraît une avalanche d’études très sérieuses sur les liens directs entre l’exposition aux polluants et le déclenchement de ces maladies. À l’évidence, la contamination chimique joue un rôle central dans la dégradation de la santé publique en France, comme dans les autres pays développés.
 
Addendum : L’industrie du ruban rose L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets. L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant. De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes. Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe. L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard. Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen. General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests. Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ? On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.
 
La présente plainte soumet à la Cour de Justice Internationale (CJI) les plus grands crimes jamais commis dans l’histoire de l’humanité. Il est reproché aux accusés d’avoir causé des blessures et la mort de millions de personnes dans le cadre du « commerce avec la maladie », de crimes de guerre et d’autres crimes contre l’humanité. Ces crimes relèvent de la juridiction du Tribunal Pénal International. Sachant qu’ils seront tenus responsables de ces crimes, les accusés ont initié une campagne globale afin de porter préjudice à l’autorité de la CJI afin de se placer au-dessus de la loi internationale et de poursuivre leurs crimes au détriment de la race humaine.
 
 Monsanto, avec son complice criminel, la société Dow Chemical, produit l‘Agent Orange dont la dioxine est l’un des composants, qui sert à l’invasion américaine du Vietnam. Résultats ? Plus de 3 millions de personnes contaminées, mort d’un demi-million de civils vietnamiens, un demi-million de bébés vietnamiens qui naissent avec des malformations de naissance et des milliers de vétérans américains qui souffrent ou meurent encore aujourd’hui de ses effets ! Monsanto est de nouveau traîné en justice et des mémos internes révèlent qu’ils connaissaient les effets mortels de la dioxine de l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement. Bien que ce soit scandaleux, Monsanto est autorisé à présenter sa propre « recherche » qui concluait que la dioxine était inoffensive et ne présentait un quelconque risque de santé. Satisfait, le tribunal se rallie à Monsanto et classe l’affaire. Il apparaît plus tard que Monsanto a présenté des études mensongères et que la vraie recherche concluait que la dioxine tuait très efficacement.
 
Après le procès de Nuremberg (1945-1946), IG Farben sera scindée en différentes unités : BASF, Bayer, Hoechst, géants de l’industrie chimique allemande moderne… Ses actifs sont confisqués par les Alliés. Treize de ses dirigeants sont condamnés à des peines allant de six mois à six ans de prison.
 
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
 
gratuitement en ligne ouvrage de 210 pages
 
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
 
PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Mais rien n’a jusqu’ici freiné l’irrésistible ascension de cet ancien géant de la chimie reconverti dans la biogénétique et passé maître dans l’art du lobbying. Portrait d’une multinationale multirécidiviste.
 
Maintenant il est temps de dire, « Assez ! » Ce mal absolu doit prendre fin. Les responsables doivent être arrêtés et mis en demeure de répondre de leurs crimes. Nous avons besoin de retourner à Nuremberg pour terminer un travail commencé il y a environ 60 ans.
 
Un groupe pharmaco-chimique comme Bayer se divise en deux branches : l’une fabrique des épidémies, l’autre les soigne
Au début des années 1980 en Espagne, une épidémie de « pneumonie atypique » tue mille personnes et en handicape 25 000 autres. La cause ? Probablement le Nemacur, un pesticide commercialisé par Bayer et utilisé dans la production de tomates 4 . La branche Bayer CropScience est l’un des plus gros fabricants mondiaux de ces pesticides mis en cause dans les maladies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson, ou dans certains cancers (estomac, prostate, vessie, cerveau, lèvres…)
 
Le marché est dominé par certaines des plus grandes sociétés du monde–dont beaucoup aussi produisent et libérer des produits chimiques organochlorés toxiques, maintenant soupçonnés de causer le cancer du sein
Traitements et causes. Basé au Royaume-Uni Zeneca Group PLC est le leader incontesté dans le secteur de cancer du sein, vente de $ 470 millions par an d’un traitement controversé médicament appelé Nolvadex. Zeneca vend également un herbicide cancérigène appelé acetochlor, dont le marché est estimé à $ 300 millions par an
 
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…

Médicaments : « toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments »

Sont ici regroupés les médicaments dont la toxicité est connue pour le nerf périphérique justifiant à la fois une surveillance clinique régulière et une évaluation électrophysiologique initiale.
 
 
Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament
 
« Les effets indésirables [des médicaments] ont atteint des proportions épidémiques et augmentent deux fois plus vite que le nombre de prescriptions. La Commission européenne a estimé en 2008 que les effets indésirables tuent 197 000 citoyens de l’UE chaque année, pour un coût de 79 milliards d’euros »
 
Big Pharma, une industrie toute-puissante qui joue avec notre santé Mais il suffit de regarder les chiffres de la iatrogénie médicamenteuse pour constater que les médicaments posent un véritable problème de santé publique. Pensez donc, on estime que les EMI sont responsables en Europe de 197.000 morts par an, ce qui en fait la cinquième cause de décès à l’hôpital. Les chiffres sont à peu près les mêmes aux Etats-Unis, toutes proportion gardées: une étude datant de 1998 estime à 2,2 millions le nombre d’EMI graves par an, dont 100.000 décès
 
Antidépresseurs, antibiotiques, benzodiazépines, lithium….
« …le tableau d’origine médicamenteuse ressemble fréquemment à la maladie neurologique idiopathique.. »
 
Anticholinestérasique, lithium, carbamate, Organophosphorés ….
 
Si le patient savait qu’une seule capsule de Chloromycetin détruit irréparablement la moelle épinière ou provoque la leucémie, pensez-vous qu’il continuerait de prendre ce médicament ? En 1976 ont été écrites (seulement aux USA) plus de 500.000 recettes pour ce médicament”
 
Antibactériens: fréquemment, nitrofurantoïne et isoniazide; rarement, amphotéricine, éthambutol, métronidazole, streptomycine et sulfamidés (y compris sulfasalazine). Antitumoraux: chlorméthine, cisplatine, vinblastine et vincristine. Antidépresseurs tricycliques: amitriptyline et imipramine. Vaccins contre l’hépatite B, contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, et contre la fièvre typhoïde. Divers: amiodarone, captopril, chloroquine, colchicine, ciclosporine, cimétidine, disulfirame, indométacine, interféron alfa-2a, labétalol, pénicillamine, phénytoïne, pyridoxine (à dose élevée), sels d’or et thalidomide.
Antitumoraux: carboplatine, cisplatine, fluorouracil, oxaliplatine, paclitaxel et vincristine, Nitrofurannes: nitrofurantoïne et nifurtoïnol, Statines: atorvastatine, pravastatine et simvastatine [voir Folia de septembre 2000] Vaccins contre l’influenza et contre l’hépatite B, Autres: amiodarone, disulfirame, itraconazole et ornidazol
 
psychotropes = catastrophes !
 
« La médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent » docteur  Lanctôt
 
Les articles de Sciences et Avenir
 
Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans
 
…ces médicaments furent découverts et développés parce qu’ils produisent un effet neurotoxique chez l’animal…
 
 
une vidéo du professeur philippe Even
 
…Les produits de synthèse actuels n’ont rien à voir avec aucune des substances produites par la vie. Construits de toutes pièces, ce sont des corps morts et leur introduction dans l’organisme, du fait qu’il s’agit de corps chimiques étrangers à nos structures, provoque leur rejet. Ce rejet, hélas ne s’effectue pas sans léser divers organes de manière irréversible.
 
thalidomide, Clioquinol, Oraflex (Opren), tegrétol, halcion..
 
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias… (avec 140 photos inédites et très éloquentes).

Neurotoxiques, médicaments neurotoxiques, psychotropes et substances vénéneuses

Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
 
Ce sont des faits abasourdissants, mais ils sont tous fidèlement et minutieusement confirmés dans le brillant ouvrage de Robert Whitaker, Anatomy of an Epidemic [Anatomie d’une épidémie] (1), ainsi que dans plusieurs livres du docteur Peter Breggin. Ce problème me touche directement. Il m’a été difficile d’écrire sur ce sujet, car la personne atteinte n’est pas moi, mais quelqu’un bien-aimé, qui a été changé par Big Pharma, la psychiatrie et la médecine moderne
 
une liste : atarax, stresam, valium, xanax….
 
La réglementation française classe les « substances vénéneuses », selon l’article L.5132-1 du Code de la Santé Publique, en 4 catégories en fonction de leur toxicité et de leur dangerosité :Article L5132-1 du Code de la Santé Publique :  » Sont comprises comme substances vénéneuses : 1º Les substances dangereuses classées selon les catégories définies à l’article L. 5132-2 ; 2º Les substances stupéfiantes ; 3º Les substances psychotropes ; 4º Les substances inscrites sur la liste I et la liste II définies à l’article L. 5132-6. On entend par « substances » les éléments chimiques et leurs composés comme ils se présentent à l’état naturel ou tels qu’ils sont produits par l’industrie, contenant éventuellement tout additif nécessaire à leur mise sur le marché. On entend par « préparations » les mélanges ou solutions composés de deux substances ou plus « .
 
C’est une nouvelle classe de substance vénéneuse qui comprend : les antidépresseurs, les anxiolytiques, les neuroleptiques, les somnifères, les tranquillisants.
 
«Les thérapies médicales conventionnelles sont inefficaces et pas mieux qu’une pilule de sucre pour le traitement de la fibromyalgie. » voici un fait très intéressant de noter que le Collège américain de rhumatologie des Etats sur leur site web concernant une étude de 15 ans: «thérapies médicales conventionnelles sont inefficaces et pas mieux qu’une pilule de sucre pour le traitement de la fibromyalgie. »
 
La plupart des pesticides et 90% des insecticides sont des neurotoxiques
 
Les dangers de la toxicomanie à la ritaline
 
L’héroïne fut synthétisée en 1874 comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de la toux.
 
En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série d’amphétamines. En vente libre dès 1930, les amphétamines connaissent un succès fulgurant.
 
La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression.
 
les dangers de la toxicomanie aux beta-bloquants
 
Les psychotropes vous tuent !
 
…ces médicaments furent découverts et développés parce qu’ils produisent un effet neurotoxique chez l’animal…
 
Assez dément non quand on sait que l’aspartame est un puissant neurotoxique
 
Les 92 effets recencés par la FDA
Les excitotoxines sont des acides aminés excitateurs neurotoxiques
 
dorway.com
 
redécouvert en 1912 par les laboratoires Merck espérant l’utiliser comme anorexigène[3] qui le feront breveter en 1914 ; il est alors un intermédiaire dans la fabrication d’un styptique (vasoconstricteur).
 
ritaline, médiator, antidépresseurs…
Les médicaments prescrits pour la maladie de Alzheimer sont des anticholinestérasiques réversibles, qui appartiennent à la même classe chimique que les pesticides organophosphorés
C’est destiné a l’extermination des malades souffrants d’Alzheimer ???
 
Depuis six ans, la revue «Prescrire» alerte sur l’inefficacité et les effets secondaires, parfois mortels, des spécialités pharmaceutiques autorisées (et remboursées) contre cette maladie. En vain
 
Les médicaments prescrits pour la maladie d’Alzheimer accélèrent le déclin mental et la mort

Drogues

Légifrance
 
« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet »
 
« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament «  »

Anticholestérol

…Cottet a rapporté que les travailleurs agricoles exposés à un insecticide qui a été pulvérisé de l’air sur les champs de la région de Clermont-Ferrand en France sont tombés malades et ont été trouvés à avoir remarquablement faible taux de cholestérol plasmatique. Cet insecticide (phenylethyl de l’acide acétique) a été développé par la division agricole de Imperial Chemical Industries (ICI)….
Conclusion : Après 30 ans de recherche fondamentale et clinique et une grande partie du travail, il est devenu évident en 1978 environ que clofibrate était pas un médicament approprié à utiliser pour réduire les taux de cholestérol élevé de plasma et de LDL et de morbidité et de mortalité par maladie coronarienne. Les effets positifs étaient de petite taille et les effets négatifs inacceptables grande. Pourtant, il était le seul médicament hypolipémiant disponibles dans les années 1960.
 
L’escroquerie
 
michel de Lorgeril vidéo

Benzodiazépines, somnifères et assimilés : des substances vénéneuses neurotoxiques

Les somnifères tuent 500 000 personnes par an
Une étude a été récemment publiée dans le British Medical Journal montre que seulement quatre des somnifères par an seront tripler votre risque de décès. Prendre 18 pilules par an permettra de quadrupler le risque de la mort !
 
Arrêté du 7 octobre 1991 fixant la liste des substances de la liste I des substances vénéneuses à propriétés hypnotiques et/ou anxiolytiques dont la durée de prescription est réduite
 
« les médecins portent la responsabilité du crime qui consiste à avoir produit des milliers de toxicomanes »
 
FIBROMYALGIE : Pfizer se voit refuser l’extension de Lyrica® (prégabaline)
 
Ce lien explique pourquoi
 
Les patients qui ont pris des somnifères est mort 4,6 fois plus souvent (en moyenne) que les patients qui ont évité la somnifères.
 
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
 
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie. On marche sur la tête.

Antidépresseurs : des substances vénéneuses neurotoxiques

« Les experts disent que les médicaments antidépresseurs causent les suicides au lieu de les prévenir « 
 
Morts sur ordonnance, est un documentaire (0h53) consternant sur la consommation de médicaments psychotropes aux effets secondaires redoutables, voire mortels, qui analyse comment l’industrie pharmaceutique a verrouillé le marché pour vendre toujours plus, en toute connaissance de cause. Ce documentaire est proposé par Marina Carrère d’Encausse, de l’émission Le Monde en face
 
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
 
Demande d’interdiction par le revue prescrire : cymbalta, stablon, ixel, effexor, valdoxan, zyban, champix, stresam…
le psychiatre Peter Breggin, M.D., affirme: “La chose la plus importante à dire, au sujet des antidépresseurs les plus fréquemment utilisés est qu’ils n’ont pas d’effet anti-dépressif spécifique.” Comme les neuroleptiques, auxquels ils ressemblent beaucoup chimiquement, ils sont hautement neurotoxiques et handicapant pour le cerveau, leurs effets étant le résultat d’un dérangement de la fonction cérébrale normale
 
conseils pour le sevrage de ces drogues dures légales
 
Tous les antidépresseurs engendrent une très forte dépendance
 
L’ère d’antidépresseur, de 1988 à nos jours, peut entrer dans l’histoire comme un désastre de santé publique. Selon des estimations prudentes, la «deuxième génération» des antidépresseurs, en particulier les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) provoque environ 400 décès par an en Australie de l’induction du suicide. Ils ont tous un profil similaire pour l’induction de la violence, avec les plus énergisants plus récents plus fortement impliqués. Les essais cliniques présentés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) et d’autres études ont montré qu’ils produisaient un risque important de suicide. Les antipsychotiques atypiques produisent plus de décès par suicide de nouveau, et les événements cardiovasculaires. Les médicaments en cause sont le Prozac (fluoxétine), Zoloft (sertraline), Aropax (paroxétine), Luvox (fluvoxamine), Cipramil (citalopram), Lexapro (escitalopram), Zyban (bupropion), Efexor (venlafaxine) et le Serzone (néfazodone) , maintenant retiré et autres. Les antipsychotiques sont Zyprexa (olanzapine) et Risperdal (rispéridone) et quelques autres.
 
«Considérant l’intérêt et le risque, nous pensons que cette préparation est totalement inadapté pour le traitement de la dépression. »
 
antibiotiques et antidépresseurs IMAO :
les Hydrazines , qui sont en fait, des médicaments apparentés au RIMIFONR.
L’histoire du RIMIFONR est une des plus belles histoires de la chimie thérapeutique d’aprés guerre : une petite molécule toute simple, toute bête, l’iso-nicotinyl- hydrazide, INH, ou isoniazide, avait été préparée et identifiée en 1912. Pendant prés d’un demi-siècle ignorée, elle reste sans emploi et n’intéresse personne.
Quarante ans plus tard, en 1952, une expérimentation systématique démontre que l’isoniazide est active contre le bacille tuberculeux : en fait, c’est le plus extraordinaire et le plus puissant des médicaments anti-tuberculeux synthétiques ou antibiotiques qu’on ait jamais trouvé.
Trés tôt, on s’aperçut que les malades traités au RIMIFONR présentaient certaines modifications insolites du caractère: ils devenaient, sous l’effet du traitement, euphoriques, bavards, joyeux et communicatifs.
Une autre substance analogue de l’izoniazide, l’IPRONIAZIDE,  fut alors proposée comme anti-tuberculeux : en fait, il parut moins efficace que la première sur la tuberculose mais plus actif sur le psychisme.
Des biochimistes avaient remarqué que ces substances, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, avaient le pouvoir de bloquer, d’inhiber les effets d’une enzyme particulière, qu’on appelle la monoamine-oxydase ou MAO, parce qu’elle oxyde les mono-amines. L’un d’entre eux s’avisa que l’effet anti-dépresseur était lié au blocage de l’enzyme et lança cette idée à titre d’hypothèse de  travail et le sigle MAO fit rapidement fortune.
 
les médicaments qui engendrent le parkinsonisme
citalopram, prozac, déroxat….

Parkinsonnisme et maladie de parkinson asocié a l’administration prolongé de sertraline
Nous rapportons le cas d’une femme, 81 ans, qui s’est présenté avec hemiparkinsonism après administration à long terme de la sertraline à une dose de 100 mg / jour.Cependant, sans nouvelle administration du médicament pendant 14 mois, la patiente a présenté la maladie de Parkinson, mais a bien répondu à la lévodopa.

le parkinsonnisme induit par les antidépresseurs ISRS peut-être un signe précosse de la maladie de parkinson a venir
Ces dernières années, il ya eu plusieurs rapports de cas de symptômes extrapyramidaux à la suite d’un traitement par inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) 1-4 Ces symptômes comprennent la dystonie, akathisie, parkinsonisme

Une enquête sur l’utilisation des antidépresseurs dans la maladie de Parkinson.
Les résultats de cette étude indiquent qu’environ 26% des patients atteints de la maladie de Parkinson (MP) sont donnés des médicaments antidépresseurs, qui consistent, dans plus de la moitié des cas, de recaptage de la sérotonine (ISRS).  Quarante-trois pour cent des médecins du Parkinson Study Group s’est montré préoccupé que l’utilisation des ISRS peut induire une aggravation de la fonction motrice chez les patients parkinsoniens, et 37% des médecins avaient au moins un patient dans lequel ils croyaient aggravation s’est produite.

« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires. » antidepressants facts
on livre Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain(Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le Dr. Breggin appelle les soi-disant antidépresseurs « Des neuroleptiques déguisés » (p. 166)
 
Autisme et antidépresseurs
Les bébés nés de mères qui ont pris des antidépresseurs au début de leur grossesse sont environ trois fois plus susceptibles de développer l’autisme, des données alarmantes suggère.

Antibiotiques : des substances vénéneuses, cytotoxiques et neurotoxiques

Un antibiotique1 (du grec anti : « contre », et bios : « la vie ») est une molécule naturelle ou synthétique qui détruit ou bloque la croissance des bactéries. Dans le premier cas, on parle d’antibiotique bactéricide et dans le second cas d’antibiotique bactériostatique. Un même antibiotique peut être bactériostatique à faible dose et bactéricide à dose plus élevée.
 
Pesticides = tous les produits capables de « tuer les pestes » Incluent donc les : • insecticides • «antibiotiques» /antiparasitaires bactericides/fungi-/virucides • herbicides • molluscicides • raticides
 
poison : « La plupart des médicaments anti-infectieux efficaces, tels les antibiotiques, sont des poisons et leur posologie est calculée afin de détruire l’agent infectieux sans mettre en danger la vie du patient. »
 
Les fluoroquinolones sont les medicaments antibiotiques les plus toxiques et dangereux dans la pratique clinique aujourd’hui
 
Pénicillines
Les premières constatations de neurotoxicité ont été faites dès 1945 (myoclonies). Dans les années 60, un syndrome d’hyperréflexie, myoclonies et convulsions est décrit. La toxicité est attribuée au noyau bêtalactame et à ses propriétés inhibitrices sur la transmission du système GABA (acide gamma-aminobutyrique). Elle varie en fonction des chaînes latérales et est donc différente selon les pénicillines
 
Les traitements antimicrobiens sont parfois à l’origine de toxicité neurologique significative
 
les risques graves et les effets secondaires de cet antibiotique, commercialisé sous plusieurs noms, notamment Bactrim, Bactrim DS, Septra , Septra DS, Septrin, Sulfatrim, SMZ / TMP, Septran et co-trimoxazole
 
Le potentiel neurotoxique des antibiotiques a été rapidement identifié, déjà en 1945 pour la pénicilline
 
Plus de 1.000 tonnes d’antibiotiques administrées aux animaux d’élevage en 2009 Selon l’INVS (Institut de veille sanitaire), «50 % des antibiotiques produits dans le monde sont destinés aux animaux, pour les soigner ou favoriser leur croissance et ainsi accroître le rendement en viande». Problème, les antibiotiques contribuent à l’apparition de bactéries résistantes qui peuvent se transmettre à l’homme via l’alimentation. «Elles peuvent être rejetées dans l’environnement avec les excréments animaux, être présentes dans l’eau, contaminer la viande lors de l’abattage et se retrouver dans nos assiettes si la température de cuisson est insuffisante pour les détruire
.
La clindamycine, mon pire ennemi
 
Antibiotiques: la catégorie unique la plus importante de médicaments provoquant des lésions du foie. Les antibiotiques représentent la catégorie unique la plus importante d’agents qui causent des lésions particulières du foie provoquées par les médicaments, selon une nouvelle étude publiée dans Gastroentérologie, revue officielle de l’Institut de l’Association américaine de Gastroentérologie (AGA). Ces lésions sont la cause la plus commune de décès survenant à la suite de défaillance hépatique aiguë et totalisent environ 13 pour cent des cas de défaillance hépatique aiguë aux Etats-Unis.
 
Avimedi est un regroupement informel de victimes
 
il faut désormais se protéger aussi des médicaments
 
Antibiotiques: la catégorie unique la plus importante de médicaments provoquant des lésions du foie. Les antibiotiques représentent la catégorie unique la plus importante d’agents qui causent des lésions particulières du foie provoquées par les médicaments, selon une nouvelle étude publiée dans Gastroentérologie, revue officielle de l’Institut de l’Association américaine de Gastroentérologie (AGA). Ces lésions sont la cause la plus commune de décès survenant à la suite de défaillance hépatique aiguë et totalisent environ 13 pour cent des cas de défaillance hépatique aiguë aux Etats-Unis.
 
Antibiotique couramment prescrit Impliqué dans l’autisme Dans une étude publiée cette semaine, l’antibiotique Augmentin TM a été impliquée dans la formation de l’autisme. L’étude publiée dans Medical Hypotheses suggère fortement la possibilité d’empoisonnement d’ammoniaque à la suite de jeunes enfants prenant Augmentin.
 
liste
 
Joan Fallon rappelle que l’Augmentin est l’un des médicaments les plus largement prescrits chez l’enfant, et que son introduction dans les années 80 coïncide avec l’augmentation du nombre de cas d’autisme
 
Trois pesticides (glyphosate, 2,4-D et dicamba) modifient la façon dont les bactéries répondent à des antibiotiques courants.
 

Neuroleptiques, neuroleptiques cachés, pesticides, neurotoxiques

1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.
1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.
1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.
1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.
Histoire clinique : les neuroleptiques classiques
1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.
 
La phénothiazine, à partir de laquelle les phénothiazines médicaments sont dérivés est en fait un insecticide utilisé pour traiter les parasites du bétail – déstiné à tuer les poux et les puces ou donnés oralement à tuer les vers intestinaux – dans la première moitié du 20e siècle. Regardez dans tout bon dictionnaire tels que Merriam-Websters.   Un groupe de psychiatres français a fait observer que les travailleurs agricoles exposés à des phénothiazines avaient souvent de l’inquiétude, de l’angoisse et la folie maintenant connu sous le nom de Akatysie, tandis qu’un petit pourcentage d’entre eux ont développé un « pseudo-Parkinsonism, » ils devenaient des zombies que les médecins français espère reproduire afin de « pacifier les détenus de l’asile. »   L’objectif initial pour le développement de ces médicaments était d’isoler les parties de la molécule phénothiazine qui transformait les personnes en « zombies » faciles à manipuler .   Ce n’est que plus tard que la notion de « traitement » de la maladie mentale avec ces poisons va se développer.   Thorazine, Haldol et d’autres phénothiazines drogues ont détruit la vie de millions de personnes innocentes.   Plus tard il a été également constaté que les phénothiazines interferraient avec la dopamine dans le cerveau, c’est alors que les psychiatres ont commencé le mythe d’un « déséquilibre de dopamine. »   Ainsi, le terme pseudo-scientifiques  « déséquilibre chimique » fut utilisé par tous les  psychiatre qui prescrirent ces dangereuses  produits chimiques toxiques.
 
La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène, découvert sept ans plus tôt par Paul Ehrlich. De cette molécule dérivent des neuroleptiques.
 
neuroleptiques cachés
 
mépronizine, donormyl, noctran, théralène, vastarel, nozinan, phénergan…
 
« Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation a été « le plus élevé que tout autres médicaments psychotropes dans l’histoire » »
 
« Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées ».
 
Les médicaments qui causent la maladie de parkinson (les symptômes de Parkinson peuvent persister pendant plusieurs mois, voire des années) Parkinson provoquée par les médicaments antipsychotiques a été reconnue depuis le début des années 1950. Ces médicaments comprennent les tranquillisants majeurs plus anciens tels que l’Haldol, Prolixin, Stelazine et Thorazine, les principaux médicaments antipsychotiques tels que le Risperdal, Orap et Zyprexa, et les médicaments utilisés pour les nausées, des vomissements, et le reflux acide tel que Compazine et Reglan. Les médicaments ont en commun la capacité à bloquer les récepteurs de la dopamine dans le cerveau. En effet, ils provoquent des symptômes de Parkinson en faisant les récepteurs indisponible pour propre dopamine du cerveau. L’incidence déclarée de médicament a causé Parkinson varie de 15 -61%. Le plus puissant médicament inhibiteur des récepteurs de la dopamine, plus elle est susceptible de provoquer la maladie de Parkinson. L’âge est un facteur de risque; les personnes âgées sont plus susceptibles de développer des symptômes de Parkinson. Ceci peut être lié à la perte normale liée à l’âge des cellules nerveuses dopaminergiques. Les symptômes de la maladie de Parkinson médicamenteuse causés sont presque indiscernables de PD typique exception de la présence de la dyskinésie co-existant dans la maladie de Parkinson provoquée médicament (en l’absence de traitement avec Sinemet). Cependant, il ya quelques différences. Par exemple, la maladie de Parkinson provoquée médicament se traduit généralement par la bradykinésie et la rigidité symétrique dans les premiers stades, tandis que PD typique est souvent asymétrique dans les premières phases. Dans médicament a causé la maladie de Parkinson le mouvement lent, absence d’expression faciale, le balancement des bras absent, la parole douce et monotone, et la posture fléchie peut être confondu avec la dépression. Le tremblement de pilule laminage caractéristique au repos vu dans PD typique est rare dans médicament a causé la maladie de Parkinson. Médicament a causé la maladie de Parkinson, est cependant, souvent associé à un tremblement d’action qui a une fréquence plus rapide que le tremblement de repos typique. Un tremblement de la lèvre au médicament a causé la maladie de Parkinson, une fois pensé pour être unique, est parfois vu dans PD typique. Les symtpômes de Parkinson peuvent apparaître après plusieurs jours de commencer l’antipsychotique médicament bloquant la dopamine; Toutefois, la progression dépend de la dose et de la puissance du médicament. Les symptômes de Parkinson disparaissent généralement en quelques semaines après que le médicament incriminé est retiré. Chez certains patients, notamment les personnes âgées, les symptômes de Parkinson peuvent persister pendant plusieurs mois, voire des années Tous les patients traités par le récepteur de la dopamine d’agents de blocage de développer la maladie de Parkinson, ce qui indique la sensibilité individuelle. Peut-être, les gens qui sont enclins à développer des médicaments causé Parkinson ont PD infraclinique et le médicament démasque alors le PD sous-jacent. Cette idée est soutenue par l’observation de RAJPUT qui a trouvé des preuves à l’examen post-mortem de PD typique de deux patients qui avaient drogues réversible causé la maladie de Parkinson. En plus des anomalies pathologiques typiques, y compris des corps de Lewy et la dépigmentation de la substantia nigra vu dans les deux cas, il y avait une réduction des niveaux de dopamine dans le striatum d’un patient. Par conséquent, le patient occasionnel qui Parkinson persiste après le retrait du médicament peut avoir un vrai PD sous-jacent. Après l’administration chronique du récepteur de la dopamine bloquant médicaments antipsychotiques à des singes, oiseaux présentes augmenté les niveaux de dopamine dans les noyaux gris centraux, après deux mois de traitement, mais les niveaux ont été nettement réduite après 20 mois. Il ne sait pas si la drogue a causé la maladie de Parkinson est un «prédicteur» de l’évolution ultérieure de la dyskinésie tardive (ainsi appelé parce que la dyskinésie apparaît après que le médicament a été lancé, ou parfois après que le médicament a été arrêté). Alors que médicament a causé la maladie de Parkinson et de la dyskinésie tardive sont probablement médiés par des mécanismes différents, les deux troubles peuvent coexister dans la même personne. Cette combinaison représente un défi parce que le traitement d’un état peut aggraver l’autre. Il existe trois classes de médicaments qui sont susceptibles de produire la maladie de Parkinson:      récepteurs de la dopamine agents, y compris les phénothiazines (comme Compazine, Stelazine et Thorazine) bloquant, butyrophénones (tels que l’Haldol), et le métoclopramide (Reglan).     Dopamine appauvrissant agents, y compris la réserpine (rarement utilisé) et tétrabénazine (utilisé pour contrôler la dyskinésie)     Les médicaments qui agissent par différents mécanismes connus et inconnus, y compris les médicaments antipsychotiques atypiques tels que Resperidal, Orap et Zyprexa).  Dans une série de 95 nouveaux cas de la maladie de Parkinson évalués dans un service de médecine gériatrique, 58 ont été causés par la drogue. Le médicament incriminé fréquente était un Compazine nausées anti, anti-drogues de vomissements. Dans notre expérience, Reglan est l’une des causes les plus fréquentes de médicaments causés parkinsonisme. Rarement, le lithium, la flunarizine et cinnarizine (médicaments ne sont pas disponibles aux États-Unis) peuvent provoquer réversible Parkinson. Commentaire par le Dr Lieberman. Si un médicament est soupçonné de causer la maladie de Parkinson, il devrait y avoir une relation directe de lorsque le médicament a démarré et quand les symptômes de Parkinson apparu. Les symptômes doivent apparaître sur les deux côtés du corps en même temps. Et, les symptômes devraient disparaître plusieurs jours ou semaines après l’arrêt du médicament. Les symptômes peuvent ne pas répondre aux Sinemet ou les agonistes de la dopamine car les récepteurs dans le cerveau sont bloqués empêchant Sinemet ou les agonistes de la dopamine de travail. Cet article est paru dans «médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson. » Edité par le Dr Donald Calne B, Springer Verlag 1989 L’article est un classique.

 

Le lithium « est un métal toxique avec aucune fonction connue dans le corps …. elle interfère avec la transmission nerveuse, en général, ce qui ralentit les réponses au cerveau. » « Conformément à ses effets toxiques sur le système nerveux, le lithium provoque un tremblement de 30-50 pour cent des patients. Tremblements peuvent être un signe d’avertissement de toxicité grave imminente du cerveau, en particulier si elle se produit avec d’autres signaux de danger, comme la mémoire dysfonctionnement, concentration réduite, ralentissement de la pensée, confusion, désorientation, difficulté à marcher, troubles de l’élocution, une vision floue, des bourdonnements dans les oreilles, des nausées, des vomissements et des maux de tête. Douleurs musculaires et des tics, faiblesse, léthargie et la soif sont d’autres signes communs de toxicité du lithium. Dans les derniers stades de la toxicité du lithium, le patient peut devenir délirant et succomber convulsions et un coma études EEG indiquent un ralentissement anormal des ondes cérébrales dans une partie importante de patients régulièrement traités par lithium;.. l’état s’aggrave avec une toxicité  » (Pour une information complète voir le texte médical du Dr Breggin Brain désactivation traitements en psychiatrie Second Edition .)

 
le blog

Le lithium neurotoxiques

Lithium : Les intoxications aiguës, erreur de prise ou int oxication volontaire le plus souvent, peuvent entraîner le décès par défaillance cardiovasculaire et des complications neurotoxiques pouvant donner des séquelles irréversibles (démences, neuro pathies diverses). 
Les intoxications chroniques, observées lors de traitements mal contrôlés ou d’affections intercurrentes entraînant une diminution de son éli mination rénale, entrainent des troubles gastro-intestinaux à type d’anorexie ou de troubles du transit, des troubles neurologiques avec des symptômes évoquant la maladie de Parkinson et p arfois des convulsions et un coma, des troubles cardiovasculaires tels que des myocardites ou des troubles du rythme, des troubles rénaux avec une insuffisance rénale, au niveau endo crinien on décrit des troubles affectant la thyroïde, la régulation calcique et la glycémie, su r le plan hématologique on peut observer des leucocytoses et même des anémiques aplasiques, enfi n sur le plan cutané on peut observer des psoriasis, de l’acné, ou des angio- oedèmes.
 
Anticholinestérasique, lithium, carbamate, Organophosphorés …
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Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium.
 
En 1957 un pharmacologue a déploré le mode de traitement « par empoisonnement de lithium »
 
Donc, il y a la preuve sur le lithium et le suicide
 
lithium
Le lithium « est un métal toxique avec aucune fonction connue dans le corps …. elle interfère avec la transmission nerveuse, en général, ce qui ralentit les réponses au cerveau. » « Conformément à ses effets toxiques sur le système nerveux, le lithium provoque un tremblement de 30-50 pour cent des patients. Tremblements peuvent être un signe d’avertissement de toxicité grave imminente du cerveau, en particulier si elle se produit avec d’autres signaux de danger, comme la mémoire dysfonctionnement, concentration réduite, ralentissement de la pensée, confusion, désorientation, difficulté à marcher, troubles de l’élocution, une vision floue, des bourdonnements dans les oreilles, des nausées, des vomissements et des maux de tête. Douleurs musculaires et des tics, faiblesse, léthargie et la soif sont d’autres signes communs de toxicité du lithium. Dans les derniers stades de la toxicité du lithium, le patient peut devenir délirant et succomber convulsions et un coma études EEG indiquent un ralentissement anormal des ondes cérébrales dans une partie importante de patients régulièrement traités par lithium;.. l’état s’aggrave avec une toxicité «  (Pour une information complète voir le texte médical du Dr Breggin Brain désactivation traitements en psychiatrie Second Edition .)
 
Lithium : Les intoxications aiguës, erreur de prise ou int oxication volontaire le plus souvent, peuvent entraîner le décès par défaillance cardiovasculaire et des complications neurotoxiques pouvant donner des séquelles irréversibles (démences, neuro pathies diverses).
Les intoxications chroniques, observées lors de traitements mal contrôlés ou d’affections intercurrentes entraînant une diminution de son éli mination rénale, entrainent des troubles gastro-intestinaux à type d’anorexie ou de troubles du transit, des troubles neurologiques avec des symptômes évoquant la maladie de Parkinson et p arfois des convulsions et un coma, des troubles cardiovasculaires tels que des myocardites ou des troubles du rythme, des troubles rénaux avec une insuffisance rénale, au niveau endo crinien on décrit des troubles affectant la thyroïde, la régulation calcique et la glycémie, su r le plan hématologique on peut observer des leucocytoses et même des anémiques aplasiques, enfi n sur le plan cutané on peut observer des psoriasis, de l’acné, ou des angio- oedèmes.
 
lithium
Le Lithium est très dangereux,étant donné que pour obtenir un effet » sédatif » le dosage, »Thérapeutique » que les psychiatres doivent prescrire est tellement toxique qu’il peut entraîner des dommages important ou même la mort.Pire encore,le corps ne le décompose pas et ne le métabolise pas bien.Pour l’éliminer,les reins sont mis à rude épreuve. En effet,selon des experts médicaux,le Lithium,ingéré à haute dose,endommage les reins dans presque tous les cas. Ce médicament psychiatrique est encore plus dangereux quand il s’accumule dans le corps,et des prises prolongés peuvent entraîner des lésions permanentes du cerveau et la mort.
Le Lithium est vendu sous le nom de Cibalith-S, Eskalith, Lithane, Lithizine, Lithonate et Lithotabs,ou sous les noms de DEPAKOTE ou de LAMICTAL( Lamotrigine) .Le médicament Trileptal,prescrit contre les crises d’Epilepsie,a été préconisé comme traitement du trouble bipolaire par un psychiatre qui avait des liens financiers avec le fabricant de ce médicament
 
stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote
Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau. Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des convulsions et la détresse émotionnelle
 
Dans le cas du trouble bipolaire les biomyths centrent sur des idées de stabilisation de l’humeur. Mais il n’y a aucune preuve que les médicaments stabilisent l’humeurs. En fait, il est même pas clair que cela fait sens de parler d’un centre de l’humeur dans le cerveau. Un autre morceau de la mythologie qui vise à garder les gens sur les médicaments est que ceux-ci sont censés être neuroprotecteur-mais il n’y a aucune preuve que cela est le cas et, en fait, ces médicaments peuvent entraîner des dommages au cerveau.

Acétylcholine, médicaments anticholinergique et pesticides

Le blog
 
Définition: Anticholinergique (médicament) Un médicament anticholinergique inhibe (réduit) l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui intervient dans le cerveau et surtout dans le système nerveux parasympathique.  Ces médicaments s’opposent ainsi à l’action du système nerveux parasympathique.  Les médicaments anticholinergiques incluent des antihypertenseurs, des diurétiques, des agents cardiovasculaires, des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquillisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des anti-ashmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des antibiotiques, des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.
 
Un médicament qui bloque les effets de l’acétylcholine, une substance produite par le corps qui est responsable de certaines activités du système nerveux parasympathique (). Médicaments ayant des effets anticholinergiques (y compris les antidépresseurs, les antihistaminiques, les antipsychotiques, les médicaments pour les problèmes intestinaux, antiparkinsoniens) inhibent la sécrétion d’acide dans l’estomac, ralentir le passage des aliments dans le système digestif, inhiber la production de salive, la sueur et les sécrétions bronchiques, et augmenter la fréquence cardiaque et la pression artérielle. Les effets indésirables de ces médicaments incluent la bouche sèche, constipation, difficulté à uriner, la confusion, l’aggravation du glaucome, une vision floue, et des problèmes de mémoire à court terme.
 
L’acétylcholine, abrégée en ACh, est un neurotransmetteur qui joue un rôle important aussi bien dans le système nerveux central, où elle est impliquée dans la mémoire et l’apprentissage, que dans le système nerveux périphérique, notamment dans l’activité musculaire et les fonctions végétatives.
Enfin, les composés insecticides très toxiques, de la classe des organophosphorés, sont des inhibiteurs irréversibles de l’acétylcholinestérase. C’est le cas du malathion un insecticide neurotoxique dangereux interdit[4] en France depuis le 1er décembre 2008.
Des gaz de combat comme le sarin, le soman ou le tabun utilisent aussi l’activité anticholinestérase.
 
Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
 
Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…
 
Score 1 (effet anticholinergique léger):
Alimemazine, Alprazolam (xanax) , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion, hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone, Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine, Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole, Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol (haldol), Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine, Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
Score 2 (effet anticholinergique modéré):
Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride, Pimozide
Score 3 (effet anticholinergique sévère):
Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine, Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate, Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine, Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine, Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine, Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramin
 
Les organophosphorés (OP) utilisés comme insecticides (IOP) sont responsables d’une mortalité élevée par intoxication. Par ailleurs, les neurotoxiques organophosphorés (NOP) sont les éléments essentiels de l’arsenal chimique militaire moderne pouvant être utilisés à des fins terroristes.
 
De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
 
Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les chercheurs.
 
Ce sont de classiques pourvoyeurs de syndromes confusionnels, mais aussi de troubles amnésiques aigus et régressifs : la scopolamine entrave l’apprentissage et le codage de l’information dans la mémoire à long terme ; de même, le trihexyphénidyle (Artanet) affecte les acquisitions récentes, ce que démontre la pratique neurologique quotidienne, chez le parkinsonien âgé, par exemple ; un modèle expérimental utilisant la scopolamine chez l’animal ou chez l’homme est utilisé dans l’évaluation pharmacologique de diverses molécules supposées agir sur la mémoire ou pour expliquer a posteriori certains effets secondaires médicamenteux constatés cliniquement ; ces effets dysmnésiants des anticholinergiques confirment, en quelque sorte, le fait maintenant bien établi que l’acétylcholine est un neurotransmetteur essentiel aux processus de mémorisation comme en attestent aussi les troubles mnésiques des démences de type Alzheimer et leur réponse thérapeutique aux inhibiteurs de la cholinestérase.
 
Les agents anticholinergiques dans le viseur
C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
 
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).
 
Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire….
 
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier)
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La scopolamine, drogue qui prive le sujet intoxiqué de son libre-arbitre et de sa capacité à discerner le bien du mal, a été approuvée par la FDA pour le développement d’injection et de timbre dermique
Commentaire : " je connais cette drogue, TRES repandue en Colombie surtout . Dans la famille de mon epouse , plusieurs ont subi des attaques a la scopolamine. Ce n est pas une drogue de divertissement , mais une drogue utilisee par les delinquants, la plupart du temps pour vider le compte bancaire des victimes , avec retrait de carte "
 
Voici un documentaire où des personnes témoignent avoir été intoxiquées par cette puissante drogue, laquelle transforme tout individu en zombie qui obéit aux ordres..
 
La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs muscariniques de l’acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique empêchant ainsi l’action du neurotransmetteur
 
 
le débat, en vidéo
 

Anticoagulants : anti-vitamine k (previscan)….et mort aux rats

Les anti-vitamine K ont été découverts par hasard, au Canada, dans les années 1920 après stockage de luzerne (trèfle) après une récolte non fânnée correctement. Les moisissures s’étant développé sur cette luzerne avaient tué tous le bétail ayant consommé « foin », tous morts d’hémorragies intestinales massives a permis de suspecter l’effet [1]. Sa première application fut dans la compositions de la « mort-aux-rats », provoquant des hémorragies intestinales globales conduisent à la mort de l’animal.
 
En 1998, la première étude(1) menée par les Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV) portant sur l’évaluation des risques iatrogènes médicamenteux évitables, a mis en évidence que 13% des hospitalisations secondaires(2,3) à des effets indésirables sont liées à une hémorragie sous AVK, soit environ 17 000 hospitalisations par an, dont plus de la moitié évitables.
 
Parmi les effets secondaires des AVK citons la fatigue chronique, la pâleur inhabituelle, les nausées fréquentes, la perte importante d’appétit, l’amaigrissement maladif, la chute accélérée de cheveux. La prise prolongée de ces médicaments est associée à un risque accru de saignement, responsable de 4 000 décès et 17 000 hospitalisations par an.
 
Les autorités sanitaires s’inquiètent des dangers que pourraient représenter pour la santé publique trois anticoagulants nouvelle génération, l’Eliquis, le Pradaxa et le Xarelo. Apparus en 2008, ces médicaments prescrits pour prévenir les risques d’accident vasculaire peuvent entraîner de graves hémorragies.
 
Les autorités sanitaires mettent en garde contre les risques d’hémorragies entraînés par une nouvelle classe d’anticoagulants, apparus depuis 2008, le plus souvent prescrits pour prévenir les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Les carbamates : médicaments, pesticides et neurotoxique

source :  carbamates
 
Les carbamates sont apparus vers la fin des années 1940 et on dispose aujourd’hui d’une cinquantaine de molécules actives qui font des carbamates des insecticides en constante progression.
Les pesticides organophosphorés et les carbamates sont extrêmement toxiques et donnent lieu à un grand nombre d’empoisonnements, surtout en milieu agricole. Ces empoisonnements se manifestent par des diarrhées, des vomissements et des crampes abdominales pouvant faire penser à une gastro-entérite ou à une intoxication alimentaire, mais la présence de myosis, d’hyper salivation, de bronchorrhée, de bradycardie et de rétention urinaire suggère une stimulation cholinergique excessive.
 
Les organophosphorés et les carbamates sont des antiparasitaires très utilisés, ils entrent notamment dans la composition de certains antipuces à usage vétérinaire(colliers).
 
La Mépronizine® est un somnifère qui était indiqué dans l’insomnie chez l’adulte. Elle contient 2 substances actives : le méprobamate (anxiolytique) et l’acéprométazine (phénothiazine) et est utilisée lorsque des benzodiazépines ne peuvent être prescrites. Elle est autorisée en France depuis 1986, et commercialisée par le laboratoire Sanofi Aventis France. Ce médicament se présente sous forme de comprimés enrobés sécables et s’administre par voie orale. A la suite d’une réévaluation du rapport bénéfice/risque de ce médicament, l’Afssaps a restreint son indication à l’insomnie occasionnelle chez l’adulte lorsque le rapport bénéfice/risque des benzodiazépines ne paraît pas favorable, a limité la durée de traitement, a déconseillé son utilisation chez le sujet âgé, et a demandé au laboratoire Sanofi-Aventis France de réduire le nombre de comprimés disponibles par boite. En accord avec l’Afssaps, une lettre d’information  a été adressée le 27 septembre 2010 aux professionnels de santé. Compte tenu de ces éléments, la Commission d’AMM a voté contre le maintien de l’AMM de la Mépronizine®, en accord avec la Commission nationale de Pharmacovigilance.
 
En 2004, l’observation d’un risque de pharmacodépendance, de syndrome de sevrage grave (effets indésirables induits par l’arrêt de consommation du produit) et d’intoxications volontaires graves a conduit à restreindre l’indication de ces spécialités….Compte tenu de ces éléments, la Commission d’AMM a voté contre le maintien de l’autorisation de mise sur le marché des spécialités Equanil 250 mg et 400 mg ®, comprimé enrobé et Méprobamate 200 mg et 400 mg Richard, comprimé. La Commission d’AMM a également voté contre le maintien de l’AMM de la spécialité Equanil injectable 400 mg/5ml indiquée en deuxième intention dans les états aigus d’anxiété ou d’agitation.
 
Signes de l’intoxication : Similaires à eux observés avec les insecticides organophosphorés. Ils résultent d’une accumulation d’acétylcholine réalisant le
 

Chimiothérapies, anticancers, cytotoxiques, neurotoxiques….

Le terminateur de chaîne ADN cytotoxique AZT fut mis au point il y a trente ans pour détruire des cellules humaines par la chimiothérapie. A cause de sa toxicité prévue, une chimiothérapie n’est jamais administrée que pendant des durées très limitées, c’est à dire des semaines ou des mois, mais l’AZT est à présent prescrit, malgré sa toxicité notoire, pour une durée indéterminée à des séropositifs sains (Nussbaum, 1990 ; Volberding et al., 1990).
 
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2′-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.
 
Les médicaments cytotoxiques inhibent ou empêchent le bon fonctionnement des cellules. On les utilise surtout pour traiter le cancer, souvent dans le cadre d’une chimiothérapie. Dernièrement, leur utilisation s’est étendue au traitement de certaines maladies de la peau comme le psoriasis, de l’arthrite rhumatoïde, de l’arthrite rhumatoïde juvénile, de même que des problèmes musculaires résistant aux stéroïdes. Les médicaments cytotoxiques les plus connus sont les antinéoplasiques. Le terme antinéoplasique est d’ailleurs parfois utilisé au lieu de médicament cytotoxique.
 
Selon les constatations de l’étude, en fait, la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à éliminer après une chimiothérapie. Cela présente une fois pour toutes la preuve irréfutable de la tromperie de l’industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est le menu unique de traitement du cancer aujourd’hui, apparaît selon l’étude un fiasco total, mais elle agit au détriment du malade cancéreux. Cette choquante découverte publiée dans le journal Nature Medicine, et qui a été soigneusement ignorée par la communauté scientifique dominante, éclaire en détail la manière dont la chimiothérapie oblige les cellules saines à libérer une protéine qui alimente les cellules cancéreuses, les faisant prospérer.
 
« Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anti-cancéreux. »- Professeur G. Mathé, « L’Express » – 4/10/85. « La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. » Pr. Dr . J. HACKETAL (« Keine Angst vor Krebs »).
 
Le corps médical est sous la coupe des « grands patrons » qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie.
 
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) :
 
Une sagesse populaire dit «la vérité c’est comme l’huile elle vient toujours au-dessus». Cela fait environ  4 décennies que la médecine conventionnelle nous vend l’idée que la chimiothérapie est l’arme fatale contre les cancers , aujourd’hui la vérité émerge de plus en plus des décombres de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer: même les professionnels de la santé ne croient plus à son efficacité. Pire ,ils estiment qu’elle est dangereuse, une chaine d’information libanaise Al Manar vient de publier un rapport montrant que même les médecins ne croient pas à la chimiothérapie. Et pourtant pendant 35 ans  environ  l’industrie pharmaceutique nous sert le même plat sans cesse réchauffé .Et nous , les « moutons de panurge » suivent toujours
 
La chimiothérapie anti-cancer peut endommager des cellules saines et les pousser à produire une protéine qui alimente la tumeur et entraîne une résistance au traitement, selon une étude qui vient d’être publiée.
 
cancers métastasé du sein, de la prostate, du poumon et du colon
 
La vérité très indésirable sur la chimiothérapie
 
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … « Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans. » : l’omerta médicale
 
« Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n’a pas changé dans les 70 dernières années »
 
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible. « Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n’auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l’absence totale de certitude quant à l’issue d’un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu’il n’y a pas d’autre choix. »   Ralph W. Moss, Ph.D
 
Voici les faits. En 1942, le Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n’a été guéri. Essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Encore une fois, personne ne fut guéri. Selon le Dr John Diamond, MD, Une étude de plus de 10.000 patients montre clairement que la chimio est supposée forte expérience avec la maladie de Hodgkin (lymphome) est en fait un mensonge. Les patients qui ont subi une chimiothérapie étaient 14 fois plus susceptibles de développer une leucémie et 6 fois plus susceptibles de développer des cancers des os, des articulations et des tissus mous que les patients qui n’ont pas subi une chimiothérapie.  » Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, était l’un des spécialistes les plus qualifiés du cancer aux États-Unis. . Il a utilisé des traitements alternatifs sur ses patients atteints de cancer avec un grand succès. Sur le traitement du cancer dans ce pays, il a déclaré: Nous avons une industrie de plusieurs milliards de dollars qui tue des gens, à droite et à gauche, juste pour le gain financier. . Leur idée de la recherche est de voir si deux doses de ce poison est mieux que trois doses de ce poison.
 
CHIMIOTHÉRAPIE : Des taux de réussite autour de… 2,2 % ! En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
 
au moins 80 pour cent de la chimiothérapie administrée dans le monde est sans valeur
 
« (…) beaucoup d’oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n’est soutenue par aucune étude clinique.
 
« La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d’une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs. »
 
 » l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer. » » l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer. »
 
Cancer : seul un essai clinique sur cinq est publié. L’industrie pharmaceutique occulte ses ratages De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.
 
Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux… En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier : 1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons ! 2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique 3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer !
 
les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s’est propagé) sans tuer le premier patient ! En d’autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles « doses », car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s’est propagé) sans tuer le premier patient!
 
La catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer, La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l’utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n’est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 – $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l’ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg).  »
 
Cancer : la chimiothérapie remise en cause par une étude américaine la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases.
 
les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité William Campbell Douglass II, MD – « Pour comprendre l’hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill  au Canada, l’un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d’oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j’ai travaillé avec un radiologue qui m’a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique » Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d’en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la
 
la chimiothérapie a amélioré la survie de moins de 3% chez les adultes atteints d’un cancer. Voulez-vous dire que les oncologues médicaux en Australie sont simplement trier des escrocs de marketing ou quoi ?
 
Médicaments spécifiques iatrogènes : chimiothérapie du cancer En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical. Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l’épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l’estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau. Avec son étude approfondie, Abel conclu qu’il n’y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l’avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d’oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n’est soutenue par aucune étude clinique. » Une décennie après l’examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu’il n’y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé. Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n’existe pour indiquer s’il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n’est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.
 
Les compagnies pharmaceutiques continuent à propager ces médecines pourries! Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement… Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur
 
En réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables. Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles. Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s’en servent pour forger « l’état actuel des connaissances » par les congrès, les revues, les journalistes qu’ils soutiennent. Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique
 
 
Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s’ils avaient le cancer ? C’est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic.
Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu’ils savent, qu’elle n’est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie. Pas encore assez choqué ? Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu’il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l’absence de traitement, il n’y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c’est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.
 
Dénoncer la fraude et la mythologie des traitements conventionnels du cancer le traitement du cancer est une activité importante en Amérique – en fait, c’est une entreprise de 200 milliards de dollars par an. Pourtant, 98 pour cent des traitements conventionnels du cancer, non seulement échouent lamentablement, mais sont également presque garanti pour rendre les patients plus malades du cancer. Ce qui est pire: Les pouvoirs sont la suppression remèdes contre le cancer naturelles qui pourraient aider des dizaines de milliers de personnes se rétablir et vivre sans cancer avec peu ou pas de dépendance à la drogue, la chirurgie et la chimiothérapie. Le traitement du cancer aux États-Unis est l’un des plus éhonté des dissimulations dans l’histoire médicale. Assez, c’est assez! Vous méritez de savoir la vérité sur la criminalité des oncologues et sur les dangers de la chimiothérapie, les traitements conventionnels du cancer et le cancer « affaires ».
 
Comment la chimiothérapie peut favoriser la reprise d’un cancer Des chercheurs américains ont trouvé une explication à l’échec de certains traitements anti-cancéreux. Ils ont découvert que la chimiothérapie peut endommager certaines cellules saines, en les poussant à produire une protéine qui entraîne une résistance au traitement
 
La chimio tue Un des effets secondaires de la chimiothérapie est, ironiquement, le cancer. Les médecins de cancer ne disent pas grand-chose, mais il est imprimé directement sur ​​les étiquettes d’avertissement de médicaments de chimiothérapie (en petits caractères, bien sûr). Si vous allez dans une clinique de traitement du cancer avec un type de cancer, et vous vous permettez d’être injecté avec des produits chimiques chimiothérapie, vous aurez souvent développer un deuxième type de cancer par la suite. Votre oncologue prétendent souvent avoir traité avec succès votre premier cancer, même pendant que vous développez une deuxième ou troisième cancer causés directement par la chimiothérapie utilisée pour traiter le cancer d’origine.
 
LE DECLIN DU CANCER « La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture,mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. »
 
témoignage
 
Découverte innatendue de chercheurs sur la chimiothérapie Une équipe de scientifiques cherchant la raison de la résistance des cellules cancéreuses est tombée par hasard sur une bien plus importante découverte. Pendant leur recherche, l’équipe a découvert que la chimiothérapie endommage en fait gravement les cellules saines et les oblige par conséquent à libérer une protéine qui encourage et alimente la croissance de la tumeur. De plus, elle rend même la tumeur fortement résistante à un futur traitement.
 
extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma: « la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d’Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l’espérance de vie »
 
« 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles «  ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée
 
Et si, au lieu du cancer, c’était au traitement que vous aviez « survécu » Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer ! Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d’un « cancer » était précoce plus on avait de chances d’en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu’on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l’est pas aujourd’hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n’évoluent pas). Beau doublé !
 
 
C’est pire qu’une crise, c’est une tragédie grecque. C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts. Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
 
La chimio qui accélère votre cancer Deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers  favorisent le développement des tumeurs cancéreuses. Ces deux médicaments sont le 5-fluorouracile et la gemcitabine utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas. Plus vous prenez de ces médicaments, plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Tout ceci est écrit noir sur blanc sur le site de l’Inserm. Au lieu de supprimer un médicament, ils préfèrent en donner un deuxième pour compenser les effets négatifs du premier. Ou « comment fournir de nouveaux revenus à l’industrie pharmaceutique ».
 
Les médecins américains gagnent directement de l’argent quand ils prescrivent des chimiothérapies Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, il dit que les médecins achètent les chimiothérapies aux compagnies pharmaceutiques et ensuite, les revendent ; en faisant un profit bien sûr. C’est parfaitement légal. Ce sont les seuls médicaments pour lesquels ils ont le droit de faire ça. Pour tous les autres, ils doivent se contenter d’invitations à des congrès, ou autres formes de rémunérations indirectes ou cachées. Mais pour les chimiothérapies, ils gagnent de l’argent directement. Et vu les prix, ça doit leur en faire gagner énormément.
 
La contribution de la chimiothérapie cytotoxique à la survie de 5 ans dans les tumeurs malignes adultes. Résultats: La contribution globale de la chimiothérapie cytotoxique curatif et adjuvant à la survie à 5 ans chez les adultes a été estimée à 2,3% en Australie et 2,1% aux Etats-Unis. Conclusion : Comme le taux de survie relative à cinq ans pour le cancer en Australie est maintenant plus de 60%, il est clair que la chimiothérapie cytotoxique ne fait qu’une contribution mineure à la survie au cancer. Pour justifier la poursuite du financement et la disponibilité des médicaments utilisés en chimiothérapie cytotoxique, une évaluation rigoureuse du rapport coût-efficacité et l’impact sur la qualité de la vie se impose d’urgence.

Vaccins, neurotoxiques, métaux lourds : aluminium , mercure…

une liste de supers liens de vraies informations non biaisées par le crime médical organisé
 
Politiques, médias et associations sont focalisés depuis plusieurs mois sur l’aluminium vaccinal et notamment la myofasciite à macrophages qui peut se manifester plus de dix ans après la dernière vaccination. Cet adjuvant présent dans la majorité des vaccins n’est malheureusement pas que neurotoxique. Tumeurs et cancers sont également régulièrement observées chez l’animal – parfois même plusieurs années après la vaccination – mais aussi chez l’homme.
 
une autre étude sur les mécanismes toxicologiques de l’aluminium vaccinal chez les enfants et le lien avec des maladies auto-immunes.
 
Les sels d’aluminium sont neurotoxiques (InVS, 2003 – Académie de Médecine, 2012). – Les sels d’aluminium ont un possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien (Marisol Touraine, 2012). – Les sels d’aluminium utilisés dans les vaccins migrent vers le cerveau (travaux de l’INSERM – Données confirmées par l’Académie de Médecine, 2012). – Les publications scientifiques de qualité sont de plus en plus nombreuses à alerter sur les effets secondaires graves des sels d’aluminium vaccinaux (voir bibliographie).   Certains en tirent clairement les conséquences.. – Le Conseil d’Etat. Il reconnait maintenant le lien entre la Myofasciite à Macrophages et les vaccins utilisant des sels d’aluminium (arrêt du 21.11.2012 -…
 
La neurotoxicité du Gardasil, prouvée par les travaux des professeurs Gherardi et Authier de l’hôpital Mondor, est due aux sels d’aluminium utilisés comme absorbant. Ceux-ci passent la barrière céphalique pour s’accumuler dans le cerveau, pouvant ainsi provoquer des effets secondaires graves et nombreux, telles des maladies auto-immunes (scléroses en plaques, encéphalomyélites aiguës disséminées, syndrome de Guillain-Barré, etc.), des myofasciites à macrophages, des paralysies irréversibles, autismes, etc. Ces travaux ont aussi montré la présence de fractions d’ADN de PVH (papillomavirus humain, présent dans le vaccin) lors d’autopsies de cerveaux !
 
Les vaccinations sont particulièrement neurotoxiques. Elles ont été associées à de nombreux troubles neurologiques, comme des encéphalopathies, l’épilepsie, les convulsions, l’autisme, la déficience mentale, la dépression, l’anxiété, les troubles du système nerveux central, la paralysie, le Syndrome de Guillain-Barré, la surdité, la cécité, le trouble du déficit de l’attention et la mort subite du nourrisson (MSN).Les troubles neurologiques associés aux vaccinations sont divers et nombreux. Les vaccinations abaissent les niveaux de QI et contribuent à créer des troubles mentaux, ainsi que les maladies neurologiques énumérées plus bas.
  L’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins depuis 1926. Son rôle : stimuler fortement le système immunitaire, et permettre ainsi que la dose d’antigène soit réduite, et son action renforcée.
 
L’aluminium est un produit neurotoxique. Tout corps vivant cherche à l’éliminer au plus vite. Personne n’a donc cherché à comprendre quelles pouvaient être les conséquences de l’injection d’un vaccin contenant cet adjuvant, puisqu’il était censé être excrété de l’organisme en quelques semaines ! Mais les travaux de l’équipe INSERM des Prs GHERARDI et AUTHIER (hôpital Henri Mondor – Créteil) montrent qu’il n’en est rien… Une fois capturé par les macrophages (cellules de l’immunité), l’aluminium est « protégé », il reste quelque temps au site d’injection, puis migre progressivement dans l’organisme. L’Académie de Médecine précise : « la concentration d’aluminium va en décroissant : rein > rate > foie > cœur > ganglions > cerveau ». Chez certaines personnes, la biopersistance de l’aluminium au site d’injection du vaccin est anormalement longue. Elle peut perdurer de nombreuses années, induisant une maladie neuromusculaire dénommée Myofasciite à Macrophages.
 
Autisme et Vaccination Aluminium et Alzheimer  En résumé, si notre président et notre ministère de la Santé veulent arrêter l’épidémie d’Alzheimer qui menace la population, au lieu de réclamer des résultats à une recherche impuissante, au grand dam des laboratoires, ils feraient mieux de supprimer les causes de cette maladie, surtout les produits chimiques et les publicités coûteuses et mensongères pour un vaccin non seulement inutile mais très dangereux.
 
Un nouveau livre sans langue de bois sur l’un de plus grands scandales de toute l’histoire de la médecine… à diffuser sans modération! Edité par l’Association ALIS (Association Liberté Info Santé)
 
Information vaccin : Belgique
 
Les vaccins sont inefficaces et dangereux !
 
belgique
 
Autisme et vaccins
initiative cytoyene
 

mépris impitoyable : autisme et vaccins–la vérité derrière une tragédie : Andrew Wakefield révèle le l’intérieur l’histoire de la connexion vaccin-autisme et ses recherches controversées. Comme le dit Andrew Wakefield dans son prologue, « si l’autisme n’affecte pas votre famille maintenant, il va le faire. Si quelque chose ne change pas,  si rien ne change bientôt, c’est presque une certitude mathématique

AUTISME ET VACCINS: catastrophe sans précédent aux Etats-Unis
le plus grand crime jamais commis contre la population américaine
 
L’autisme et la mort subite repris dans la notice du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche : La notice du vaccin Tripedia (diphtérie-tétanos-coqueluche), fabriqué par Sanofi Pasteur et commercialisé aux Etats-Unis reprend explicitement dans les effets secondaires l’autisme et la mort subite du nourrisson
 
Autisme et Vaccination Aluminium et Alzheimer  En résumé, si notre président et notre ministère de la Santé veulent arrêter l’épidémie d’Alzheimer qui menace la population, au lieu de réclamer des résultats à une recherche impuissante, au grand dam des laboratoires, ils feraient mieux de supprimer les causes de cette maladie, surtout les produits chimiques et les publicités coûteuses et mensongères pour un vaccin non seulement inutile mais très dangereux.
 
ils ont dissimulé au public 340% de risques d’autisme liés aux vaccins !
 
Le 21 juin 2007, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations retenait notre attention sur le procès collectif vaccinal en instance devant la Cour fédérale des Etats-Unis. Depuis lors, la polémique ne s’est pas essoufflée. Bien au contraire, l’Etat fédéral dans un réquisitoire net et précis conclut à un lien de causalité avéré entre vaccinations infantiles et autisme chez une petite fille de 9 ans, Hannah Poling.
 
Les inquiétudes concernant les vaccinations continuent d’augmenter de manière exponentielle à la lumière de toutes les informations et de la documentation qui a émergé au cours de ces quelques dernières années. En conséquence, les médias corporatifs ont voulu répondre aux médias alternatifs en déclarant que l’augmentation du nombre de personnes qui choisissent de ne pas vacciner ou de ne pas suivre le calendrier vaccinal est le résultat d’une tactique qui vise à semer la peur.La chose n’est pas trop surprenante étant donné le fait que les médias corporatifs sont détenus par les principaux fabricants de vaccins, et que les principaux fabricants de vaccins sont la propriété des médias d’entreprise. [1], [2], [3], [4]. Compte tenu de ce fait, il est facile d’imaginer la possibilité que ces institutions tentent désespérément de protéger la réputation de leurs produits.
 
Après avoir emmené son petit garçon de 18 mois en parfaite santé chez le pédiatre pour qu’il reçoive son vaccin ROR, la maman Gladys est rentrée chez elle avec un enfant dont la santé venait d’être endommagée par la vaccination. Le médecin lui a dit que les symptômes des dommages étaient « normaux », bien que son enfant devait plus tard recevoir le diagnostic d’autisme. La maman a pu aider son enfant avec une alimentation sans gluten et sans caséine, ainsi qu’en ayant recours à l’homéopathie. Veuillez s’il vous plaît avertir les parents que vous connaissez des dangers de la vaccination et contribuer à mettre fin aux vaccinations rendues obligatoires par le gouvernement.
 
Le Dr Moulden, médecin, spécialiste en neuropsychiatrie, neurologie comportementale, fait état despreuves neurologiques, hématologiques et immunologiques qui permettent aujourd’hui de conclureque TOUTES les vaccinations polluent le corps et peuvent provoquer des dégâts majeurs pour la santé,pouvant conduire à des maladies chroniques ou à destroubles comme l’autisme
 
L’agence américaine du médicament a approuvé un vaccin susceptible de provoquer la Mort Subite du Nourrisson et l’Autisme.
 
Petit garçon devenu autiste après avoir reçu 32 vaccins : Tous ces symptômes se sont manifestés quand Landen a eu 18 mois juste après qu’il ait reçu les vaccins ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), Varicelle,  et le vaccin contre la grippe. Au total, il a reçu 32 vaccins avant que tombe le diagnostic d’autisme quand il a eu 3 ans. C’est alors que Nathalie a enfin compris que les vaccins étaient à l’origine de la mauvaise santé de ses enfants.
 
Voici un ouvrage indispensable pour comprendre la dérive intellectuelle et morale de la science moderne occidentale, malheureusement copiée à la lettre par le reste du monde !
Ce livre démontre sans aucune contradiction possible que le vaccin du tétanos ou son traitement avec sérum n’a aucun fondement scientifique.
 
Qui n’a pas tremblé devant le spectre du tétanos après une blessure, une piqûre de rosier, ou une brûlure ? Les autorités médicales, depuis qu’il existe un vaccin, ont tellement martelé la peur dans nos esprit s en dressant un tableau très noir de la maladie et en nous persuadant que seule la vaccination était salvatrice, que bien peu d ’entre nous prennent le temps de réfléchir et de considérer avec bon sens la réalité des faits.
 

Thimerosal :Il y a plus d’une décennie, à la suite d’une forte hausse des troubles du développement tels que l’autisme et le TDAH, le conservateur thimérosal contenant du mercure a été largement soupçonné d’avoir été éliminé des stocks de vaccins aux États-Unis et à l’étranger. Cependant, des quantités dangereuses de thimérosal continuent d’être être utilisées, ce qui pose une menace importante pour la santé publique et conduisant à une crise de confiance dans la sécurité des vaccins.  Dans ce livre révolutionnaire, Robert F. Kennedy, Jr., examine la littérature de recherche sur le thimérosal et fait une déclaration très claire au sujet de ses effets potentiellement dangereux. Dans le passé, la CDC, la FDA, le NIH, et AAP, ainsi que le Congrès des États-Unis, l’American Academy of Family Physicians, le département américain de l’Agriculture, l’Agence européenne des médicaments, et de la California Environmental Protection Agency ont exprimé des inquiétudes sur l’utilisation du thimérosal dans les vaccins. Mais malgré les nombreuses voix appelant à une action, les médias et les décideurs politiques ont échoué à plusieurs reprises pour répondre adéquatement à la question.  Maintenant, avec Thimérosal: Que la Science Parle, la science doit soutenir l’élimination de ce produit chimique toxique de l’approvisionnement en vaccins dans le monde, et son remplacement par des alternatives plus sûres déjà disponibles, est tout en un seul endroit. Faire ce changement devrait augmenter les taux de vaccination par la restauration de la confiance des parents concernés dans le vaccin programme, un programme qui est d’une importance vitale pour la santé publique.

Même dans l'eau, les médicaments nous empoisonnent !

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