CORRUPTION : MEDECINS, OMS, PSYCHIATRES, VACCINS, ANSM...
Corruption : "L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux"
les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.
« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique. S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »
Charles Caulin est aujourd’hui mis en examen pour participation illégale d’un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée ; Jean-Roger Claude, Michel Detilleux et Bernard Rouveix pour prise illégale d’intérêts. Et May Garnier pour complicité de ce délit.Un autre consultant de Servier mis en examen est le professeur Jean-Michel Alexandre, personnage clé du système du médicament de 1985 à 2000. Il a présidé la commission d’AMM de 1985 à 1993, puis a dirigé la commission d’évaluation de l’agence du médicament de 1993 à 2000, tout en exerçant la même responsabilité au niveau de l’agence européenne.Auditionné en 2011, par la mission d’information de l’Assemblée nationale sur le Mediator, Jean-Michel Alexandre avait déclaré d’emblée qu’il n’avait jamais « touché le moindre émolument de l’industrie pharmaceutique » pendant qu’il exerçait ses fonctions à l’Agence du médicament. Mais après avoir pris sa retraite, il a perçu entre 2001 et 2009 un total de 1 163 188 € versés par le groupe Servier à la société CRIS, déjà citée, qui a joué le rôle d’intermédiaire. Il semble que ce circuit indirect ait été choisi parce que du fait de ses fonctions antérieures, Alexandre ne pouvait pas travailler pour une firme pharmaceutique. Entendu par les magistrats, Jean-Michel Alexandre a affirmé que la teneur de ses conseils était « scientifique » et n’avait « rien à voir avec (son) activité à l’Afssaps ». Cela ne concorde pas avec les relevés d’honoraires qu’il a adressés à May Garnier. Un relevé daté d’avril 2002 fait état de plusieurs réunions de travail, dont deux avec Alain Le Ridant, dirigeant de Servier qu’Alexandre connaît de longue date. Au programme d’une de ces réunions : « Amélioration du dossier d’AMM de Vastarel, destiné à l’Allemagne ». Une autre réunion mentionne, toujours à propos de Vastarel, « communication de résumé du dossier d’AMM, note technique et note économique ». La facture se monte, pour cinq réunions, à 38 112 € hors taxes.Une autre facture, datée du 20 octobre 2008, évoque les cas d’effets indésirables dus au Protelos et les réponses données au Comité européen des médicaments à propos du Valdoxan, et deux autres produits. Montant pour cinq réunions : 35 000 €. Dans d’autres cas, la facture indique simplement « Préparation et tenue de réunions avec M. Alain Le Ridant et Mme Garnier ».
Les 25 médecins les plus gâtés par les laboratoires (la divulgation de leur nom est interdite)
Les associations de patients sont quasiment toutes financées si ce n'est créées par les firmes
Vous citez des contrats entre les labos et les associations de patients...
Les associations de patients sont quasiment toutes financées si ce n'est créées par les firmes, sauf les associations de victimes de médicaments, bien sûr. J'ai rencontré un ancien cadre de l'industrie Pharma dont le métier consistait justement à créer des associations de patients selon les pathologies ciblées par les labos. Même quand des règles sont mises en place, les industriels les contournent, c'est comme des cambrioleurs qui s'adaptent aux antivols.
Ces associations de malades liées aux labos
La Haute autorité de santé livre le nom des associations de malades les plus financées par les laboratoires pharmaceutiques.
convergence entre associations de patients et firmes pharmaceutiques
À degrés divers, des associations de patients sont soutenues ou aidées financièrement par des firmes pharmaceutiques. Des brochures d’associations de patients sont par exemple sponsorisées par des firmes pharmaceutiques.
emprise financière de l’industrie sur la recherche et les soins
"L’industrie pharmaceutique finance les associations de patients et les groupes d’entraide existants ou en crée d’autres pour les instrumentaliser dans la promotion de tel médicament."
Les associations de patients sont elles aussi instrumentalisées à des fins de marketing, nous montre l’expert en corruption. C’est au milieu des années 80 que l’industrie pharmaceutique a découvert le potentiel des organisations de malades à agir en agents publicitaires. "Lorsqu’elles sont financées, elles remercient les financeurs par la publicité qu’elles font pour les produits de ces derniers", dit Schönhöfer. "Beaucoup d’associations, mais pas toutes, ne sont rien d’autre qu’un prolongement de l’industrie pharmaceutique".
Les associations de patients complices des Labos
On sait depuis longtemps que les associations de patients ont besoin de disposer de moyens importants pour financer leur communication, leur démarches auprès des autorités de santé et, dans certains cas, des recherches ad hoc. On sait aussi qu'en dehors de quelques grandes causes relayées par les médias (myopathie, sida), les dons individuels ne suffisent pas à assurer leur survie. Et pourtant, certaines d'entre elles mènent grand train dans des locaux somptueux, leurs dirigeants se balladent en voiture de fonction, parfois avec chauffeur. Quant à leurs campagnes de recrutement de nouveaux adhérents, elles s'étalent en pleines pages dans les journaux, en affiches 4x4 dans le métro et en spots TV. Tout cela coûte cher, très cher... Alors d'où vient l'argent ? On le sait maintenant - au moins partiellement - grâce au document publié il y a quelques jours par la Haute Autorité de Santé. Ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui les financent... grassement. Pour l'année 2011, la HAS a identifié des versements pour un montant global de 5,8 millions d'euros. Une paille... Parmi les plus généreux donateurs on trouve le groupe Johnson & Johnson (650 000 euros), suivi parAbbott et GSK (300 000 euros chacun) et, plus loin, Bayer (150 000 euros). Environ 350 associations de patients ont bénéficié de ces dons. En moyenne cela fait moins de 20 000 euros par association, cela paraît raisonnable. Mais on se rend compte que certaines associations de patients s'en tirent mieux que d'autres : L'association française des diabétiques a ainsi perçu plus de 500 000 euros en 2011 L'association pour la lutte contre le psoriasis : 350 000 euros L'association Asthme & Allergies : 300 000 euros L'association française des hémophiles : 300 000 euros Bien entendu, les donateurs sont d'autant plus généreux qu'ils commercialisent des traitements contre les maladies concernées. Pour l'Association française des diabétiques. Deux laboratoires/donateurs se distinguent : Sanofi (qui donne environ 100 000 euros) et Eli-Lilly (qui donne aussi 100 000 euros, mais cette fois à l'antenne parisienne de l'AFD). Ces deux laboratoires commercialisent les principaux médicaments à base d'insuline ainsi que des dispositifs de mesure de la glycémie. Asthme & Allergies reçoit la quasi-totalité de ses financements du laboratoire GlaxoSmithkline (250 000 euros sur 300 000 collectés). Glaxo commercialise la Ventolin et le Relenza, deux des traitements les plus vendus pour lutter contre l'asthme. L'Association pour la lutte contre le psoriasis reçoit 200 000 euros du laboratoire Johnson & Johnson (sur 350 000 euros) et 120 000 euros du laboratoire LEO Pharma. Leo Pharma commercialise exclusivement des produits destinés au traitement du psoriasis. Johnson & Johnson est en plein boom avec le produit Stelara depuis que le Raptiva, jugé dangereux, a été retiré du marché. L'Association française des hémophiles, enfin, reçoit 100 000 euros (sur 300 000) venant de Bayer Santé, acteur dominant du marché des médicaments anti-hémorragiques avec le Kogenate Ces donations directes ne représentent sans doute que la part immergée de l'iceberg. Car la HAS a établi son rapport sur la base des déclarations sur l'honneur des laboratoires. Son questionnaire portait également sur les aides monétaires indirectes et les aides en nature mais aucun laboratoire n'a rempli ces colonnes là... Rappelons que ces associations, publient des magazines destinés à leurs adhérents dans lesquels elles vendent des pages de publicité aux laboratoires qui se laissent facilement convaincre (ce n'est pas une donation, c'est un achat d'espace...). Elles organisent régulièrement des manifestations, des rencontres qui reçoivent le soutien "en nature" de leurs parrains (c'est alors du sponsoring). Et, bien que je n'ai pas d'info précise sur ce point, on dit aussi que la prise en charge, par les laboratoires, des salaires de certains permanents des associations est une pratique courante... Dans ces conditions, espérer que les associations de patients puissent s'intéresser sérieusement aux traitements alternatifs, financer des recherches dans ce domaine ou même simplement informer leurs adhérents sur leur existence... relève de la naïveté.
Médicaments "inutiles et dangereux" : "Les lobbys sont d’une puissance dramatique"
… On voit par exemple que certaines associations de patients mettent toujours en avant la dernière nouveauté… Et les laboratoires ne sont jamais loin derrière."
les firmes pharmaceutiques financent encore les associations de patients, ou les créent. Elles créent aussi des tests de dépistage elles-mêmes, utilisés par exemple lors de grandes « journées nationales de dépistage de la dépression », ou lors des campagnes de sensibilisation comme celle de l’année dernière en France, histoire que tout un chacun se sente concerné par « la dépression », ne serait-ce que par suggestion. Tout cela, bien sûr, en occultant les effets secondaires et les risques de dépendance.
"TOUTES LES ASSOCIATIONS DE PATIENTS, QUI ONT PIGNON SUR RUE, SONT FINANCEES PAR L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE"
Corruption et psychiatrie
Corruption de l'état
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales?
Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs
Corruptiion par l'industrie pharmaceutique : "Cahuzac n'est que l'arbre qui cache la forêt"
Corruption OMS
Scandale de l'OMS et Mafia Médicale éclate! Sylvie Simon
Corruption ansm / ex afssaps
Mardi 24 mars, nous révélions en effet que Gilles Bouvenot, président de la commission de la transparence jusqu’en 2014, ainsi que d’autres éminents membres de sa commission ou de la commission d’autorisation de mise sur le marché des médicaments, ont secrètement conseillécontre rétribution, pendant près de 20 ans, des laboratoires pharmaceutiques sur la meilleure façon de présenter leurs dossiers afin d’obtenir les autorisations et les remboursements recherchés.
N'inventant plus de médicaments, l'industrie invente des maladies qui n'existent pas: préhypertension, préostéoporose, prédiabète, cholestérol, dépression courante et vingt autres, médicalisant toutes les tensions et ennuis normaux de la vie sociale, professionnelle ou émotionnelle. Cet immense bourrage de crâne, elle ne peut y parvenir qu'avec la complicité active, intéressée et lourdement rémunérée d'experts universitaires corrompus, devenus ses porte-voix.
une autorité de régulation des produits médicaux, honnête quant aux risques des médicaments , à leur efficacité, et aux alternatives, n’aurait probablement jamais mis la plupart des médicaments psychotropes sur le marché. Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins. Or, nous avons pu constater la fiabilité de l’AMM que certains appellent à présent Autorisation de Mise à Mort, et l’intégrité de l’Afssaps, dépendante des laboratoires, même si elle a changé de nom, qui attend toujours qu’il y ait un nombre de morts conséquent pour retirer le produit du marché. « Le travail de l’agence est une comédie, tout est décidé en amont ! » Sur les 429 membres inscrits en 1999 aux différentes commissions d’experts de l'Afssaps, 334 déclaraient entretenir un lien direct ou indirect avec un laboratoire
« Comment dans ces conditions, s’étonne le Sénat, ne pas redouter que les agences ne soient devenues au fil des années les instruments dociles de ceux qui fournissent la majorité de leurs subsides ... ? »
|
AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé, un plan orchestré pour intimider un expert récalcitrant, des médecins sous influence du marketing…bienvenue dans le monde de BIG PHARMA
|
la décision se prend sur la base d'un dossier préparé par l'industriel
|
Scandale d'État(s)
|
La France plus vigilante sur les plantes que sur le Vioxx
|
l'agence française de sécurité sanitaire (AFSSAPS), chargée de la pharmacovigilance et de l'information sur les risques des médicaments, n'a pas (encore?) jugé bon d'avertir les patients français et leurs médecins.
|
Financée à environ 80% par l'industrie du médicament, elle fait appel à près de 2000 experts par an, la grande majorité travaillant pour les laboratoires privés.
|
Liens experts / firmes : pourquoi se gêner ? Les révélations de Mediapart sur un système d'ententes entre des hauts responsables du médicament en France et des firmes appellent une réaction forte des autorités politiques et du monde médico-pharmaceutique. Une première étape consiste à faire que le "sunshine act à la française" permette réellement de connaître les plus gros liens d'intérêts des soignants avec des firmes, tout autant que les plus petits |
Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.
|
ut le travail des autorités de pharmacovigilance (Afssaps, HAS en France, EMEA en Europe) privilégie les intérêts des firmes pharmaceutiques,
C’est une affirmation de l’igas. Sans mâcher ses mots, il dépeint la faillite d’un système. Celui qui consiste normalement à autoriser et rembourser des médicaments utiles et pas dangereux, à surveiller ses effets secondaires et à les retirer si besoin.
Plus de 99% des membres experts travaillent ou ont travaillé pour des laboratoires…..
|
Conflits d'intérêts : la réforme du médicament ne règle rien
Les experts de santé publique ne pourront participer aux décisions sur les médicaments que s’ils ont déclaré les liens d’intérêt qu’ils ont avec les labos. Une déclaration pas à jour ou incomplète entrainera une amende de 30 000 euros,
Notre système de santé est il totalement corrompu ?
L'affaire du Mediator rebondit une nouvelle fois. Un responsable et une ancienne employée des laboratoires Servier, ainsi que deux anciens responsables de L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) auraient été mis en examen entre le 12 et le 14 février.
afssaps, miracles et imcompétence : Le Vioxx, cet anti-inflammatoire prescrit dans l'arthrose aurait fait des dizaines de milliers de victimes aux États-Unis. Et en France ? Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), notre pays aurait été miraculeusement épargné. Un peu comme quand le nuage de Tchernobyl s'est arrêté aux frontières...Ce n'est pas sur France-Inter ou sur France 2 que les autorités sanitaires françaises sont accusées de lenteur ou d'incompétence. C'est dans le Lancet, la revue médicale britannique, qui n'est pas forcément lu par vos voisins de palier. Dommage. "L'affaire du vioxx a eu aussi un énorme retentissement en France, ou le ministre de la santé lui avait rmis lui-même solannellement, au sénat, le "prix médical de l'année" en 2002, et lui avait accordé un niveau de prix cinq fois supérieur à celui des anti-inflamatoire courants. Une étude de l'Agence Française du médicament (par enquêtes téléphoniques) concluait en outre, seule au monde, en mai 2004, à l'absence de risques cardiaques des Coxibs."extrait de La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer de dr Marcia Angell rapellons que : "Le Vioxx, ou rofecoxib, c'est ce médicament anti-inflammatoire de l'arthrose et de l'arthrite que le laboratoire Merck a retiré du marché le 30 septembre 2004 pour cause d'infarctus et de morts subites en série."et que "La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains."
AVC, infarctus, décès : l’ANSM s’offre un nouveau Mediator : Alertes de pharmacovigilance ignorées, décès passés sous silence, lobbying des firmes pharmaceutiques, articles de Prescrire enterrés, amphétamines cachées, AVC, infarctus, et décès imputables à des médicaments soignant une pathologie bénine, et même des addictions, les autorités de santé françaises réécrivent une variante de l'histoire tristement célèbre du Mediator, avec cette fois-ci avec les médicaments anti-rhume.
Corruption des hautes instances cardiologiques : Prenons le cas de la Société Française de Cardiologie, fin 2013 sur les 43 membres du conseil d'administration 2012-2016, 31 déclaraient des liens avec un ou plusieurs organismes pharmaceutiques (dont plusieurs commercialisent des statines) et 4 personnes n'apparaissaient tout simplement pas sur la liste. Je n'ai pas examiné les autres personnes, mais pour les curieux voici le lien : SFC : Déclaration de Relations Professionnelles 2013
FDA / food and Drug Administration et MHRA (Angleterre)
La FDA est au service de l'industrie pharmaceutique, pas au service du public
Haute autorité de santé / HAS : corrompue
HAS : commissions d'experts dont 50% sont rémunérés par l'industrie pharmaceutique
Corruption de l'agence eurpéenne du médicament (EMA) et de la commission européenne
Corruption du Centers for Disease Control (CDC)
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
Les essais cliniques sont falcifiés, biaisés, bidons
La majorité des résultats des essais cliniques américains seraient biaisés : Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans le Journal of American Medical Association
Read more at : Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans le Journal of American Medical Association
Médicaments : des falcifications massives d'essais cliniques !!
Et pas qu’un peu. Entre avril 2005 et juin 2009, les biologistes désignés comme responsables d’essais cliniques étaient tout simplement… absents de leur labo, au moment où ils étaient pourtant censés mener les tests. Peut-être se doraient-ils la pilule sur une plage exotique (plutôt que de la tester) ? Une étrange situation qui s’est reproduite 1900 fois ! En plus de cette "falsification généralisée", la FDA estime aussi que Cetero a modifié a posteriori les résultats de ses études pour parvenir à la bonne conclusion : que le médicament évalué était sacrément efficace et sans danger.
"Les fautes relevées sont suffisamment graves pour susciter des préoccupations quant à l’intégrité de toutes les données générées par Cetero sur cette période de cinq années" a affirmé mardi la FDA dans un communiqué, avertissant par là même les fabricants de médicaments qu’ils pourraient avoir à refaire les études de Cetero intervenues entre avril 2005 et Juin 2010. Même conclusion du côté de l’auditeur indépendant mandaté par la FDA : "Si le laboratoire est corrompu, les données générées le seront aussi".
les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs
"Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique
Les auteurs fustigent un système gangréné par « le laxisme, la démagogie, l'incompétence et la corruption"
La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux – Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet
« Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».
Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux…
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons !
2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer !
les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires
Des études cliniques biaisées
Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
En fouillant dans les dossiers d'autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis, ils sont tombés sur des études jamais rendues publiques qui montraient l'absence d'efficacité du médicament, excepté pour les malades atteints des dépressions les plus sévères
Au terme dune enquête minutieuse, le journaliste Guy Hugnet livre ici toutes les preuves que la mise sur le marché des antidépresseurs (Prozac, Zoloft, Déroxat, Séropram, Effexor, Cymbalta...) est fondée sur des données biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque les véritables données scientifiques sont analysées, il ne reste pas grand-chose!
89 % des études ayant révélé des résultats négatifs ou discutables n'ont pas été publiées dans la littérature scientifique Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans le Journal of American Medical Association
Vous exposez avec précision la façon dont les études sont biaisées, qu’en est-il exactement
C’est le problème des essais pré-cliniques et cliniques. Les premiers sont effectués dès lors qu’une molécule est mise au jour par un laboratoire universitaire et attire l’intérêt de l’industrie pharmaceutique. Ce choix ne se fonde jamais sur des questions de santé publiques mais exclusivement sur l’ampleur du marché et la probabilité de développement rapide de la molécule. L’industrie parle alors de molécule fertile ou mature. Les recherches sur une molécule dont le créneau est trop mince ou dont le développement apparaît trop long, sont abandonnées. Les dirigeants des grands laboratoires misent au «pif», à l’intuition. Une fois sélectionnée, la molécule est soumise à des essais dits pré-cliniques pendant deux ou trois ans. Au cours de cette phase, on observe sa toxicité et son efficacité chez l’animal. Environ 90% des molécules testées durant cette étape doivent être rejetées, car trop peu efficaces ou trop toxiques. Les plus convaincantes vont être alors étudiées chez l’homme pendant quatre à huit ans par des essais cliniques. J’affirme, avec beaucoup d’autres que tous sont biaisés, filtrés, interprétés, truqués. Ce sont les laboratoires eux-mêmes qui définissent le nombre de malades à recruter, selon la confiance qu’ils accordent à l’efficacité de la molécule. Moins la molécule leur semble efficace, plus ils sont contraints de recruter un nombre élevé de patients, pour espérer atteindre un niveau de signification statistique. Mais même le choix de ces malades est biaisé.
Comment cela?
Les critères d’inclusion, définis par les laboratoires, visent à recruter des personnes plus jeunes et moins malades que dans la vie réelle. Ensuite, des médecins sont rémunérés au nombre de malades qu’ils recrutent. De cinq à dix mille dollars. Ils leur arrivent de ne pas respecter les critères pour réunir le plus grand nombre de malades possible. Comme les médecins des hôpitaux universitaires sont trop exigeants et très contrôlés par des comités d’éthiques, l’industrie s’adresse de plus en plus aux CRO (Clinical Research Organisation), organismes financés par des laboratoires et chargés de recruter pour elle les malades, de préférence dans des pays low-cost: Europe de l’Est, Afrique, Asie ou Amérique du Sud. Plus le nombre de pays est important, plus le marché est internationalisé et in fine rentable. Les essais peuvent se dérouler ainsi dans 5 à 30 pays différents, suivis par 100 à 500 médecins. Les résultats bruts sont envoyés aux laboratoires. L’industrie pharmaceutique les façonne ensuite.
Et dans le plus grand secret.
Exactement. Les médecins de la firme s’attachent alors à mettre en exergue des résultats positifs, à les magnifier, quitte à masquer des effets secondaires qui pourraient faire de l’ombre à un marché lucratif. Les accidents cardiaques du Vioxx en sont un bon exemple: ils étaient connus par la firme dès 1999. Elle ne les a pas communiqués à l’agence du médicament américaine et trois ou quatre ans plus tard, les accidents cardiaques se sont multipliés. C’est la firme elle-même qui retire alors le médicament en espérant qu’on ne parlerait plus de ces accidents. Les victimes – on estime qu’il y a eu entre dix mille et quarante mille morts – ont alors porté plainte. La firme a été condamnée à leur payer 4,7 milliards de dollars. En France, trois malades seulement ont pu être indemnisés à hauteur de 400.000 mille euros au total.
Il est important que l’industrie pharmaceutique subventionne les recherches universitaires sur le médicament mais il est inacceptable que ceux qui ont menés les recherches soient, après coup, les évaluateurs du médicament. Ils ne peuvent être juges et parties. À la fois, experts sur la qualité du médicament et portes voix de l’industrie pharmaceutique. Je ne vous donnerai pas les noms, mais parmi les universitaires, tout le monde les connaît. Ce devrait être aujourd’hui l’heure d’un Grenelle du médicament pour remettre à plat toutes ces dérives et parvenir à faire travailler ensemble l’industrie et la recherche publique. Il faut que l’Etat finance fortement cette démarche sur le CIR (crédit impôt recherche). Sinon la France restera la lanterne rouge des découvertes de médicaments et entièrement dépendante de l'étranger pour soigner ses malades.
Médicaments rejetés lors des essais cliniques
Le laboratoire commanditaire des essais cliniques est propriétaire des résultats, il peut décider ou non de les publier dans la presse médicale. Les médecins investigateurs et les cobayes sont tenus au secret médical. Malheureusement, ne publier que les résultats positifs ne fait pas avancer la sûreté des médicaments.
La quasi totalité des médicaments candidats sont rejetés pendant les essais cliniques pour cause d'inefficacité ou de toxicité mais on entend rarement parler des effets indésirables subis par les cobayes humains. De par sa gravité, la tragédie du TGN1412 a fait couler de l'encre et sérieusement remis en question l'utilisation du modèle animal pour développer et tester les médicaments destinés à l'humain.
En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l'anticorps monoclonal TGN1412.
Moins d'une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d'une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d'un des jeunes hommes a tellement enflé qu'il avait l'impression qu'elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d'un autre volontaire a triplé de volume.
Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d'entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d'une gangrène.
Les six hommes ont tous de graves défaillances d'organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d'après le Professeur Richard Powell, de l'Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7
90% de non-reproductibilité
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité …
bad pharma le côté sombre de l’industrie pharmaceutique
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
Un pionnier de l’"analgésie multimodale" se révèle être "Le Madoff de la recherche médicale", un pur produit du système… Car l’anesthésiste Lyrica Pfizer.jpget algologue Scott S. Reuben n’est qu’un épiphénomène d’un domaine de la médecine – la recherche médicale financée par les laboratoires privés – structurellement encore plus vulnérable que les autres aux corruptions, mensonges, conflits d’intérêts et autres fraudes.
La revue britannique The Lancet, généralement reconnue comme une des meilleure publications médicales au monde, vient également confirmer ces conclusions :
PHARMA PAPERS : "liens d’intérêts : pas moins de 14 millions de liens ont été répertoriés en France depuis 2012, pour un montant total de plus de 3,5 milliards d’euros versés aux professionnels de san
Corruption de l'ansm, commission de transparence.... : tous corrompus
Les agences du médicaments sont corrompues
La Main dans le sac
Corruption des médias
Il y a de la "corruption" de médecins
Vaccins ! Révélations Connaissons nous toute la vérité
Même pour interdire le cyanure, il faudrait 2 ans
Le Racket des laboratoires pharmaceutiques
OMS-Grippe A/H1N1 - Pandémie de corruption...
Opération mains propres sur la santé : "tous pourris" / Un sytème de santé totalement corrompu
Nos élus nous tuent
Omerta dans l'industrie pharmaceutique: médicaments et corruption
LE LOBBY PHARMACEUTIQUE ET LA REPUBLIQUE
La cupidité du monopole dans la médecine
cancer :" la profession médicale est aussi corrompue que toutes les nations du tiers monde réunies"
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
Orthopédie : dessous-de-table sur les prothèses
Commentaires
-
- 1. Cornut Le 30/11/2020
[i][/i]Bonjour, je voulais juste vous dire mon dégoût par rapport à l'ansm soit disant agence pour la sécurité du médicament parce-que voyant l'exes d'autorité dont elle usite pour autoriser ou non un médicament n'est pas legale. Je précise, en France il est possible de consommer du cannabis ilégalement très facilement avec tous les emmerdes qui vont avec. J'ai une scèrose en plaques déclaré en 2007 et cette bande d'enculer ne sont toujours pas capable de me delivrer un médicament au cannabis. Cordialement.undefinedBonjour, je voulais juste vous dire mon dégoût par rapport à l'ansm soit disant agence pour la sécurité du médicament parce-que voyant l'exes d'autorité dont elle usite pour autoriser ou non un médicament n'est pas legale. Je précise, en France il est possible de consommer du cannabis ilégalement très facilement avec tous les emmerdes qui vont avec. J'ai une scèrose en plaques déclaré en 2007 et cette bande d'enculer ne sont toujours pas capable de me delivrer un médicament au cannabis. Cordialement. -
- 2. VergeDeSatan Le 26/02/2019
toujours la même chose un patient un médecin contre tous ces pourris de médecins ignorant-&-si incompétents''''' qui tuent honorablement avec -("-!-la bénédiction étatique du ministère de la solidarité et de la santé")!( comme bien évidemment caché sous de pseudo loi'''!-.?.-! qui hélas ressemble étrangement a un état dans l'état mafieux'' qu'on tant a rendre-raison-ailleurs* mais méééééééé jamais chez-nous-?-làààà
et toute cette pseudo recherche sur la risible évaluation-de-la-douleur chronique a pissé de rire vraiment que des apprenties sorciers(RES) des charlatant si trouvent dedans, même pas capable d'avoir une seule vraie équipe pluridisciplinaire médicalisé digne de se nom et cela dans tous nos hôpitaux parisien ou de banlieue")-
juste des titres ronflant rien de plus rien de moins et aucun diagnostic est le même d'un hopital a l'
ou pour certain on vous fait ou essaye de vous faire gober des séances d'hypnose* ou autre atelier aux séances de yogade-la-douleurs")-( ou les pseudo Drs-Profs y devrais y consulter urgemment un vrai nutritionniste* et faire un sévère régime physique avec beaucoup de vrai sport tonic-&-puissant**** avant de venir faire des colloques* ou autres prises de micro* télévisuelle abusive''''-?- en ventant a toute l'écoute visuelle* que cela ne peut, qui être bénéfique -!-("ALORS QUE CHAQUE CAS EST INDIVIDUEL")-!-ou est la fumeuse déontologie-&-éthique SI-si-venté* pour eux'''d'ailleurs je devrais --!-("devraient y écrire plus éventé* que-venté-que-d'allégation-mensongère-là)-!-( tout autant au rendu littéraire-médicale complètement tronqué
et ou hélas 80.000 PERSONNES Y PERDENT LA VIE CHAQUE ANNEE''''?°°°?°°?.? A CAUSE-&-DÛ-UNIQUEMENT A TOUTES LES ERREURS MEDICALES-&-AUX FAUX PROGNOSTIQUES---.?.--!-
CQFD UN DEFENDEUR DES DROITS DES PATIENTS(TES) MES SOEURS ET DE MES FRERES de la des Douleur'S-Chronique* NP'E-NC-NS-AP-NL-!- UN VRAI TROP GRAND SCANDALE mais tout cela fait tourner leurs très grosse marmite dune juteuse soupe aux moult essai clinic ou leurs propre nudité leurs font peur alors imaginé celle d'un vrai naturiste pauvres Carabin Aspirant Sortez hors de vos si tristounet petit aigus et si étroite bulb vide-&-si creuse d'intérêt généraux tant a vos Singerie-&-autres-Perroquet'' que vous ne serais qu'ad vitam aeternam* Maître VergeDeSatan*
Ajouter un commentaire