Hôpital : danger mortel

Un décès sur deux serait dû à une décision médicale susceptible d'abréger la vie
Dans un tiers des cas, cette décision consistait à intensifier le traitement contre la douleur avec utilisation d'opioïdes ou de benzodiazépines

Les événements indésirables liés aux médicaments sont désormais la quatrième cause de décès dans les hôpitaux.

Les médecins tuent et les hôpitaux sont des abattoirs

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Quand la médecine dérape

Erreurs médicales : 400 000 morts par an aux USA et 60 000 morts en France

la 3ème cause de décès aux États-Unis est son propre système de santé. Les erreurs de diagnostic, les erreurs chez le médecin et les erreurs médicales de ce type sont responsables de près de 400 000 décès chaque année
 
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France : 60 000 morts

Selon l'association de victimes Le Lien, les erreurs médicales seraient responsables de 60 000 décès par an en France, soit beaucoup plus que les chiffres avancés par les professionnels de santé.

Plus de 400.000 personnes dans le monde meurent chaque année des suites d’une erreur médicale. Pour vous donner une idée : ce sont deux jumbo jets pleins qui s’écrasent tous les jours
Les erreurs médicales constituent la troisième cause de décès dans les hôpitaux en Europe, après le cancer et les maladies cardiovasculaires. En tant que patient, vous pouvez vous attendre à une ou deux erreurs de traitement par hospitalisation en moyenne,

Quelques témoignages

Erreurs médicales : morts sur ordonnance

Abus Sur Ordonnance

Médecine, médecins et hôpitaux : notre santé est en danger !

Chirurgie : 28 % des actes médicaux inutiles en France

Consciente, mais ne pouvant s'exprimer : les médecins veulent lui prélever ses organes

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Hôpital : danger mortel !

À propos de la mort, des problèmes éthiques : quelle est la valeur d’un être humain ?
Saviez-vous d’ailleurs que, pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent pratiquer l’anesthésie ou injecter des substances paralysantes pour réduire les tensions musculaires. Cette information est très peu connue du grand public. Par ailleurs, il est arrivé maintes fois qu’un patient en état de « mort cérébrale » se réveille brusquement sous l’effet d’une douleur ou d’un choc

chlorure de potassium , curare
l ’injection de chlorure de potassium, est un acte d ’euthanasie active. Elle n ’est jamais justifiable et est juridiquement qualifiable d ’homicide volontaire (Art. 221- 1 du Code pénal).

Euthanasie : 
1. Sujet tabou (dans les hôpitaux).
2. Sujet brûlant (dans les médias)
3. Méthode permettant d’amputer une famille d’un de ses membres sans risquer les poursuites, et en lui permettant de programmer l’inhumation ou l’incinération à date ferme.
4. Dernier recours quand un patient hospitalisé, malgré les (bons ou mauvais) soins que le(s) médecin(s) dispens(nt), n’en finit pas d’occuper un lit et de (faire) chier.

"Supprimer la dernière année de la vie" par économie.   Une politique déja appliqué depuis longtemps sur le terrain par nos cher médecin de la CPAM et compagnie?  Paradoxalement le propos de M de Kervasdoué est même amplifié puisque le dérapage des dépenses ne conduit pas ainsi qu’il le souligne à une amélioration de l’état de santé de la population mais bien à une franche détérioration avec un accroissement du nombre de cancéreux entre deux chimiothérapies, de coronariens entre deux angioplasties, et de vieillards entre

Les effets indésirables des médicaments sont désormais la quatrième cause de décès dans les hôpitaux.
En matière de santé mentale, par exemple,  les problèmes induits par les médicaments sont la principale cause de la mort

Hopital : Quarante décès en moyenne par jour
C’est le nombre d’« événements indésirables graves » qui, à la suite d’une erreur médicale survenue à l’hôpital ou en clinique, connaissent une issue fatale

Le professeur Even estime à 100000 par an le nombre de morts provoqués accidentellement dans les hôpitaux ;
 «Un hôpital, c'est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d'elle. Et si vous y entrez, tâchez d'avoir le maximum d'alliés et d'en sortir le plus rapidement possible.»

"L'hôpital a tué mon mari", un témoignage terrifiant. Ca n'arrive pas qu'aux autres..
Il y a 4 mois que mon mari est décédé. Mais ce qui me fait le plus mal, c'est la manière dont il a été traité à l'hôpital. Pour moi, ils ont manqué à leurs devoirs, faisant preuve de cruauté,profitant de ce qu'il était privé de la parole et que j'étais la seule personne à lui rendre visite chaque jour. Victime d'un AVC, Henri 74 ans, arrive dans cet hôpital du Cher porteur d'une pneumopathieà staphylocoque contractée dans un autre hôpital. Il est placé en isolement afin de protéger les autres patients.

Vous devez savoir que toutes les semaines dans les hôpitaux de la région parisienne, des patients sont régulièrement euthanasiés
" -Les médecins qui ont travaillé dans des services universitaires ont tous connu cela...Quand on parle de cocktail lytique, il s'agit de médicaments qui peuvent soulager le patient et diminuer la durée de sa vie. Le principal cocktail lytique,le DPL, est une perfusion mélangeant 3 médicaments, le dolosal, le lagarctyl et le Phenargan qui peut soulager à faible dose et, à forte dose, provoque la mort du malade. Il était le principal médicament de l'euthanasie hospitalière. En revanche, à côté des cocktails lytiques, il y a une drogue qui devrait être supprimée définitivement c'est le chlorure de potassium directement injecté dans les veines. Comprenez : premièrement , que cela remonte à un lointain passé, mais n'existe plus,et deuxièmement on ne faisait que forcer sur la dose pour calmer le malade, au risque de précipiter sa fin propos du Professeur Pierre-Louis Fagniez. Mais le médecin député Fagniez  est sèchement remis à sa place par le Dr Sicard  - Le cocktail lytique n'a jamais été destiné à soulager mais à tuer.Le chlorure de potassium fait partie des cocktails lytiques. Administrer du Phénergan-Largactyl-Dolosal(PLD) n'a jamais servi à permettre au malade de mieux respirer ou d'améliorer la vigilance. Le problème est que ces traitements restaient parfois inefficaces pour donner la mort. En revanche, le chlorure de potassium la donne en quelques minutes. Sur l'intention de donner la mort par cocktail lytique, il ne faut pas être hypocrite. le mot lytique me semble un euphémismepour dire mortel. Cette mort était le plus souvent donné en l'absence de tout consentement avec le malade et la famille. C'était l'euthanasie à la sauvette, ni vu ni connu, dans l'opacité et l'arbitraire. Dans la plupart des cas, cette fin était, pour les malades, la moins pire des solutions disponibles. Il n'empêche que la façon de procéder était totalement inadmissible. Mais comment pouvait-on encadrer une pratique réputée être tout à la fois criminelle et inexistante

Chaque année en France, 10 000 personnes meurent suite à une erreur médicale.
Sur 350 000 événements graves, la moitié serait évitable !

Les hopitaux qui tuent
Les statistiques sont effarantes : 3000 personnes meurent chaque année au Québec à cause des bactéries contractées à l'hôpital.

La semaine dernière, on vous parlait d'un type mort d'un AVC dans les toilettes d'un hôpital et oublié pendant 36 heures (alors qu'il avait un RV pour un examen). Cette semaine, un autre hôpital essaye de faire mieux : oublier une petite mamie de 90 ans dehors toute une nuit. Retrouvée morte le lendemain évidemment...

10 erreurs médicales qui peuvent vous tuer à l'hôpital
Plus de gens meurent des erreurs médicales que des accidents de voiture, la pneumonie et le diabète.
N ° 1. Les erreurs de diagnostic. Le type le plus commun de l'erreur médicale est erreur de diagnostic . Cela ne surprend pas, puisque le bon diagnostic est la clé de l'ensemble de votre erreur médicale. Un mauvais diagnostic peut entraîner un retard dans le traitement, parfois avec des conséquences mortelles. Pas de recevoir un diagnostic peut aussi être dangereux; voilà pourquoi il est si important de chercher à comprendre ce que vous avez , et pas seulement une liste de choses que vous ne possédez pas.
N2. Un traitement inutile. Défenseur des malades Patty Skolnik fondée Citoyens pour la sécurité des patients après son opération du cerveau alors en bonne santé, 22 ans fils a subi qui l'a laissé partiellement paralysé et incapable de parler. Il a lutté pour sa vie pendant deux ans avant de succomber à des infections multiples. Son histoire est incroyablement tragique, surtout depuis son opération n'a jamais été nécessaire en premier lieu. Comme Michael, des milliers de personnes reçoivent un traitement inutile qui leur a coûté leur vie.
N 3. Et procédures superflues mortelles. Les études montrent que $ 700 000 000 000 sont dépensés chaque année sur des tests et des traitements inutiles. Non seulement cela est coûteux, il peut aussi être mortelle. tomodensitométrie augmentent votre risque à vie de cancer , et colorants de TDM et d'IRM peuvent provoquer une insuffisance rénale. Même un match nul simple prise de sang peut entraîner une infection. Cela ne veut pas dire que vous ne devriez jamais avoir fait un test; seulement d'être conscient qu'il ya des risques impliqués, et à demander toujours pourquoi un test ou procédure est nécessaire .
N ° 4. erreurs de médication. Plus de 60% ​​des patients hospitalisés manquent leur prise régulière de médicaments alors qu'ils sont à l'hôpital. En moyenne, 6,8 médicaments sont laissés de côté par patient. Incorrects médicaments sont donnés aux patients; un Institut de Médecine rapport de 2006 estime que les erreurs de médication blesser 1,5 million d'Américains chaque année à un coût de 3,5 milliards de dollars.
N° 5. "événements" Jamais. Presque tout le monde a entendu l'histoire de l'exploitation sur le mauvais membre ou le mauvais patient. Il ya plus d'histoires d'horreur. Alimentaire destiné à aller dans des tubes de l'estomac aller dans des tubes de la poitrine, ce qui entraîne des infections graves. Les bulles d'air vont dans les cathéters intraveineux, résultant des accidents vasculaires cérébraux. Éponges, chiffons, et même des ciseaux sont laissés dans le corps des gens après la chirurgie. Ce sont tous des "événements" jamais, ce qui signifie qu'ils ne devraient jamais se produire, mais ils le font, souvent avec des conséquences mortelles.
N ° 6. Les soins non coordonnés. Dans notre système de santé en pleine mutation, l'idée d'avoir "votre" médecin devient une relique du passé. Si vous allez à l'hôpital, les chances que vous ne serez pas pris en charge par votre médecin traitant, mais par le médecin sur appel. Vous y verrez probablement plusieurs spécialistes, qui griffonne des notes dans les tableaux mais rarement coordonner les uns avec les autres. Vous pouvez vous retrouver avec deux des mêmes tests, ou des médicaments qui interfèrent les uns avec les autres. Il pourrait y avoir un manque de coordination entre votre médecin et votre infirmière, qui peut également se traduit par la confusion et l'erreur médicale.
N ° 7. Infections, de l'hôpital pour vous. Selon les Centers for Disease Control , les infections nosocomiales touchent 1,7 millions de personnes chaque année. Ceux-ci comprennent les pneumonies, les infections autour du site de la chirurgie, les infections urinaires de cathéters, et les infections sanguines de perfusions. Ces infections impliquent souvent des bactéries qui sont résistantes à de nombreux antibiotiques, et peuvent être mortelles (le CDC estime près de 100.000 décès dus à leur chaque année), en particulier pour celles dont le système immunitaire est affaibli.
N° 8. "Accidents" pas-si-accidentelles. Chaque année, 500 000 patients tombent alors à l'hôpital. Comme de nombreux «accidents» se produisent en raison de mauvais fonctionnement des appareils médicaux . Défibrillateurs ne choquent pas; implants de la hanche arrêter de travailler; fils de stimulateurs cardiaques se cassent. Il est censé y avoir des garanties pour prévenir ces problèmes de se produire, mais même si elles se produisent pour 1 à 100 personnes, voulez-vous être qu'une personne qui éprouve «l'accident»?
N ° 9. Signes avant-coureurs manqués. Lorsque les patients reçoivent le pire, il ya habituellement une période de minutes à quelques heures où il ya des signes avant-coureurs. Vous pouvez vous sentir pire, et il ya des changements souvent dans votre fréquence cardiaque, la pression artérielle, et d'autres mesures. Malheureusement, ces signes sont souvent manquées, ainsi que par le moment où ils sont finalement remarqué, il y aurait eu des dommages irréversibles.  
N ° 10. Rentrer à la maison, pas si vite. Des études montrent que 1 à 5 patients Medicare retourner à l'hôpital dans les 30 jours suivant la sortie de l'hôpital. Cela pourrait être dû à des patients d'être rejetées avant qu'ils soient prêts, sans comprendre leurs informations de décharge, sans suivi adéquat, ou si il ya des complications avec leurs soins. La transition de l'hôpital à la maison est l'un des moments les plus vulnérables , et un manque de communication et d'incompréhension peut vous tuer après votre retour de l'hôpital aussi.

Comment faire pour empêcher les hôpitaux de nous tue
Les erreurs médicales tuent assez de gens pour remplir quatre gros porteurs par semaine. Un chirurgien avec cinq moyens simples pour rendre les soins de santé plus sécuritaires.

“Euthanasie involontaire” : des médecins belges tuent leurs patients sans qu’ils l’aient explicitement demandé
En 1998, la proportion de décès résultant d’une « euthanasie involontaire » (une vraie euthanasie non demandée par le patient) était de 3,2 % du total, contre 1,7 % en 2013. Entre-temps, l’euthanasie a été légalisée et sa fréquence et son champ d’application ne cessent de progresser. En 2002 en Flandres, juste avant la légalisation de l’euthanasie, plus de 5 % des morts étaient, aux dires des médecins, consécutives à l’administration de substances hâtant la mort sans que les patients aient seulement été interrogés sur leur volonté.
L’euthanasie involontaire n’a pas baissé avec la légalisation de l’euthanasie : la volonté du patient est un leurre

mort cérébral
"Son expérience personnelle avec un bébé déclaré en « mort cérébrale », et qui a si bien vécu qu’il est aujourd’hui le père de trois enfants"

Le concept de « mort cérébrale » a été inventé en 1968. Jusque-là, on ne connaissait que deux états : vivant ou mort.
Celui-ci conclut que le jeune garçon n'est absolument pas « mort cérébralement ». Il demande qu'il soit au plus vite sorti de son coma artificiel. Et en effet, cinq semaines plus tard, Stephen rentre chez lui, entièrement remis.

euthanasie
"On estime ainsi que, en Europe, 40 à 50 % des décès résultent d'une décision médicale"

SOINS TUEUR : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
Chaque année aux États-Unis, un quart de million de décès sont attribuables à une erreur médicale . Si le nombre choque, à un certain niveau vous le saviez déjà, il en fut ainsi. Tout le monde connaît quelqu'un, peut-être qu'il était vous-qui a subi un traitement misérable dans les hôpitaux américains, une partie du système de soins de santé la plus élaborée, la plus vaste et coûteux dans le monde. Mais il est peut-être le plus inefficace.
Les erreurs de diagnostic, prescriptions erronées, opérant sur le mauvais patient, même opérant sur le mauvais côté (et amputant il): ce sont les conséquences de la négligence généralisée, le surmenage, l'ignorance et les hôpitaux essaient de tirer le meilleur parti de leurs aidants naturels et le plus d'argent de leurs patients.


Les erreurs médicales à l’hôpital, cause majeure de mortalité
Une étude américaine estime que 250 000 décès chez des malades hospitalisés aux Etats-Unis pourraient être évités chaque année
50 000 décès en France ?

Hôpital : danger !

Chaque hôpital doit avoir un avertissement de santé sur son entrée
Aujourd'hui, les médecins et les infirmières doivent porter un avertissement danger pour la santé apposé sur leurs fronts

la 3ème cause de décès aux États-Unis est son propre système de santé? Les erreurs de diagnostic, les erreurs chez le médecin et les erreurs médicales de ce type sont responsables de près de 400 000 décès chaque année

Chaque année, 1,5 million d'interventions chirurgicales sont effectuées en France.
Parmi elles, 60 00 à 95 000 aboutiraient à des "événements indésirables graves " selon la terminologie officielle

France, médicaments : Les malades, vrais cobayes de l'industre pharmaceutique
Résultat: ce sont les patients humains qui sont les vrais cobayes de l’industrie pharmaceutique, environ 20 000 en décèdent chaque année en France

10 000 décès survenaient dans les hôpitaux publics,
du fait d'erreurs médicales, y ajoutant "300.000 à 500.000 événements indésirables graves chaque année"

Le plus grand malade : l'hôpital
"Faillite, pénurie de médecins, de chirurgiens et d'infirmières, matériel insuffisant ou obsolète, services d'urgence dévoyés, application désastreuse des 35 heures, manque d'hygiène dramatique, erreurs médicales en série..."

900 erreurs médicales par jour en France dans les hôpitaux
400 sont évitablesLe nombre est effarant.
 
plus de 250 000 décès par an sont dus à une erreur médicale aux États-Unis

Et les cobayes… c'est vous, c'est moi, ce sont nos parents, nos enfants
« Les essais cliniques qui ponctuent chaque stade de développement des médicaments [sont] un des points forts de la France grâce à la qualité de ses hôpitaux. Selon une étude du LEEM, en 2006, 70 % des études cliniques incluant l'Europe avaient été proposées à la France et 49 % y avaient été organisées » [3].
Eh oui, cher patient ! « Grâce à la qualité de ses hôpitaux », la France peut y organiser des essais cliniques à grande échelle pour l'industrie pharmaceutique.
Et les cobayes… c'est vous, c'est moi, ce sont nos parents, nos enfants.
Vous a-t-on déjà proposé, lors d'une hospitalisation, de bénéficier d'un nouveau traitement qualifié de « révolutionnaire » par les experts qui le développaient ?
Traitement révolutionnaire qui, bien entendu, s'est ensuite révélé à l'origine d'effets secondaires graves, et totalement inefficace ?
Cette « bonne réputation » des hôpitaux français auprès des labos pharmaceutiques repose en effet sur l'exceptionnelle docilité des patients, à qui on ne laisse d'ailleurs pas vraiment le choix.
D'énormes intérêts financiers
Il faut dire que les intérêts financiers sont absolument colossaux. Un laboratoire de recherche qui développe un nouveau médicament peut facilement espérer revendre les licences pour 500 millions d'euros, parfois plus.

Neuf cents "événements indésirables graves" (EIG) surviennent chaque jour, en moyenne, dans l'ensemble des hôpitaux et cliniques français
Et près de 380 seraient évitables puisqu'ils seraient liés à des erreurs médicales.
 
serait responsable chaque année de 10 000 à 20 000 événements indésirables graves dont au moins 1 000 décès par an.

Les hôpitaux sont de véritables nids à microbes
on tombe plus facilement malade à l’hôpital que partout ailleurs car les bactéries capables de résister aux antibiotiques y pullulent. Les infections dites « nosocomiales » (contractées dans un établissement de santé) provoquent plus de 9 000 décès par an. Et d’année en année, on ne constate aucune amélioration.

Quand les médicaments tuent au lieu de soigner...
Le nombre d'hospitalisations provoquées par la mauvaise utilisation de médicaments, les interactions médicamenteuses, le surdosage, ou tout simplement les effets secondaires de certaines molécules et certains traitements est estimé à ... 150.000, soit 500 hospitalisations par jour tout de même !  Les plus grandes victimes des médicaments sont ceux qui en prennent le plus : les personnes âgées. Les plus de 60 ans consomment la moitié des médicaments prescrits en France, et après 75 ans, on prend en moyenne 9 pilules ou remèdes par jour !

iatrogènie 

La moitié des erreurs se sont produites dans les hôpitaux

hopital de France
Témoignages

Danger à l'hopital !
Saviez-vous qu’une récente étude montre que 70 % des médecins craignent pour la qualité des soins qu’ils recevront à l’hôpital s’ils tombent malades ?
 
De nombreuses études, comme par exemple celles conduites par la faculté de médecine de l'université de Harvard (Harvard Medical School, sans doute la plus connue des facultés de médecine des Etats-Unis), montrent que 36 pour cent des patients admis dans les hôpitaux souffrent de troubles iatrogènes, et que ces troubles se révèlent graves ou fatals pour 25 pour cent des patients. Près de la moitié de ces atteintes est associée à la prise de médicaments 6.Une analyse des arrêts cardiaques dans un centre hospitalo-universitaire permit de découvrir que 64 pour cent de ces cas auraient pu être évités par la prévention. On trouva que l'usage inapproprié des médicaments en étaient la cause principale7.

LE REMPLISSAGE DES HÔPITAUX
Pourquoi faut-il fabriquer des malades ?

une hospitalisation sur trois chez les plus de 75 ans est due aux effets indésirables des médicaments.

Hopital: Un patient sur 10 est victime d'erreurs liées aux soins de santé
ntre 275.000 et 400.000 patients concernés chaque année

La médecine est le premier vrai danger pour la santé : Césariennes
En 1983, 809.000 césariennes (21% de naissances) ont été exécutées aux USA, utilisant le procédé chirurgical obstétrique et gynécologique (OB/GYN) le plus standard. La deuxième opération la plus commune d'OB/GYN était l'hystérectomie (673.000), suivie de la dilatation et du curettage de l'utérus (632.000). En 1983, les procédures d'OB/GYN ont représenté 23% de toute la chirurgie accomplie aux USA.
En 2001, la césarienne reste toujours le procédé chirurgical d'OB/GYN le plus commun.
Approximativement 4 millions de naissances se produisent annuellement, dont 24% (960.000) par césarienne. Aux Pays Bas, seulement 8 % de naissances se font par césarienne. Ceci suggère donc 640.000 césariennes sont inutiles entraînant une mortalité trois à quatre fois plus élevée et une morbidité 20 fois plus grande que l’accouchement naturel.
Le taux de césariennes aux USA est passé de 4.5% en 1965 à 24.1% de 1986.
Sakala affirme « qu’il se produit une pandémie non contrôlée des naissances par césariennes médicalement inutiles ». Van Ham a rapporté que pour une césarienne après délivrance, le taux d'hémorragie est de 7%, le taux de formation d’hématome est de 3.5%, le taux d'infection de l’appareil urinaire est de 3%, et le taux postopératoire combiné de morbidité est de 35.7% dans une population à haut risque subissant la césarienne. 


iatrogènie : iatrogènocide ?
Une étude récente publiée dans le Journal of The American Medical Association, 2000:284:94) ; par Barbara Starfield, MD, MPH a montré qu'aux États-Unis, ces données a été trouvées :
12000 décès par an d'une chirurgie inutile
7 000 décès par an, des erreurs de médication dans les hôpitaux
20 000 morts par an d'autres erreurs dans les hôpitaux
80 000 décès par an dans les infections nosocomiales dans les hôpitaux
106 000 décès par an, des effets indésirables des médicaments

«Temples du malheur»
C'est ainsi que le docteur Mendelsohn décrit les hôpitaux après y avoir passé les dernières vingt-cinq années de sa vie: «Un hôpital, c'est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d'elle. Et si vous y entrez, tâchez d'avoir le maximum d'alliés et d'en sortir le plus rapidement possible.» Pour la somme d'argent que coûte en moyenne un séjour à l'hôpital, vous pouvez passer la même période de temps dans n'importe quel lieu de séjour dans le monde, y compris les frais de transport. C'est parce que l'hôpital est le temple de l'Église de la médecine moderne qu'il est l'un des endroits les plus dangereux au monde.»
Mendelsohn explique les dangers que les hôpitaux représentent pour la santé en disant: «En général, vos chances d'attraper une infection à l'hôpital sont d'environ une sur vingt, mais ce n'est qu'une estimation modeste. La moitié des infections dans les hôpitaux sont causées par des instruments médicaux contaminés, comme les cathéters et les équipements intraveineux, alors que les infections de ce genre étaient pratiquement inexistantes avant l'utilisation massive de tels instruments aux alentours de 1965. Environ 15 000 personnes meurent chaque année suite à des infections attrapées à l'hôpital.
«D'après mon expérience, un risque sur vingt devrait être la ligne de base représentant le danger minimum d'attraper une infection. J'ai vu des épidémies se répandre si rapidement dans les hôpitaux qu'il a fallu renvoyer tout le monde à la maison. Les pavillons de pédiatrie et des nouveaux-nés sont les plus susceptibles de répandre les infections.»
Il n'y a pas que les microbes qui contaminent les hôpitaux. Il y a aussi tous ces produits chimiques dangereux, fournis en grandes quantités et que les médecins aiment utiliser, car les hôpitaux, comme on le sait, sont les temples de la Médecine moderne. Les médecins, ayant tous ces produits pharmaceutiques à leur dispostion, sont tenus de les utiliser, et c'est ce qu'ils font. À l'hôpital, les malades reçoivent en moyenne douze médicaments différents, et même si vous n'êtes pas bourré de médicaments jusqu'à la mort ou l'infirmité, il y a d'autres produits chimiques qui y circulent et qui peuvent affecter votre séjour et votre santé. Votre médecin peut ne pas utiliser ce genre de produits, mais n'importe qui d'autre à l'hôpital peut le faire. Tous ces solvants toxiques utilisés dans les laboratoires, ces produits de nettoyage, ces substances chimiques inflammables et ces déchets radioactifs constituent une menace de contamination pour vous.»
Le docteur Mendelsohn dénonce les autres dangers qui circulent dans ces institutions: «Les hôpitaux sont de véritables modèles d'inefficacité. Ils sont tellement bourrés de petites erreurs, parmi lesquelles vous avez deux ou trois options mais finissez par faire le mauvais choix , que vous devenez extrêmement inquiét lorsque vous ouvrez grands vos yeux pour voir toutes les opportunités qui existent pour les erreurs complexes! «Tout est déboussolé dans les hôpitaux, y compris les patients. Mon frère est allé à l'hôpital pour une opération d'hernie, il y a plusieurs années déjà. Il devait être opéré à 11 heures du matin, selon les médecins. À 9 h30, je montai dans sa chambre mais il n'y était pas. Je me précipitai vers la salle d'opération car j'étais presque sûr qu' il y était, et il y était!. Ils l'avaient pris à la place d'un autre patient et la raison pour laquelle il a échappé à cette opération est que l'autre devait subir une hystérectomie.
Le docteur Mendelsohn se réfère à des études indiquant que la malnutrition est presque omniprésente dans les hôpitaux. «Si les médicaments, les microbes, les interventions chirurgicales, les substances chimiques ou les accidents ne vous affectent pas, vous avez de fortes chances de mourir de faim.» Une étude effectuée sur des malades ayant été opérés par le docteur Georges Blackburn dans un grand hôpital de Boston a révélé que la moitié de ces patients souffraient d'une malnutrition grave. Ils étaient assez mal nourris pour pouvoir guérir et durent rester à l'hôpital plus longtemps. Le docteur Mendelsohn dit à propos de cette révélation si surprenante: «Les résultats de cette étude ne sont nullement peu communs, car plusieurs autres études ont révélé que la malnutrition touche de 25 à 50% des malades dans les hôpitaux américains et britanniques. Le docteur George Blackburn a fini par avouer que la malnutrition est l'une des causes de décès les plus communes parmi les personnes âgées dans les hôpitaux.»

7,5 millions de procédures chirurgicales et médicales superflues sont pratiquées
Parfois des considérations financières passent avant le bien-être du patient et les conséquences de l'intervention chirurgicale

Il faut noter qu'il existe une loi du silence respectée couramment par les médecins, les infirmiers et les administrateurs de personnels hospitaliers afin d'éviter que les patients et leurs familles connaissent la vérité sur d'éventuelles erreurs médicales et leurs conséquences

un extrait de mensonges et vérité de diona r Kirsch
"Plus de 1000 éponges, clamps ou autres instruments sont laissés par inadvertances, chaque année dans les corps de patients subissant une intervention chirurgicale
.
32 000 morts par an sont imputables aux opérations.
Un million de personnes souffrent d'escarres durant leur séjour à l'hôpital, dont 115 000 meurent chaque année suite aux complications. 2 millions de patients par an contractent une infection durant leur séjour (1 patient sur 20). Environ 90 000 patients meurent chaque année à la suite d'une infection contractée à l'hôpital et non pas à la suite de leur maladie ou leur accident. 5 % des patients quittent l'hôpital avec une maladie dont ils ne souffraient pas avant... 

La pneumonie est l'infection le plus couramment contractée lors d'un séjour hospitalier
 
un extrait de mensonges et vérité de diona r Kirsch
300 000 appendicectomies (ablation de l'appendicite) sont pratiquées inutilement. L'appendice à l'état normal (souvent considéré comme un organe inutile) sert en réalité comme réserve de bactéries utiles pour l'intestin."

L'ablation des végétations, une opération inutile ?

Le bénéfice de la chirurgie est minime et le nombre de rhinopharyngites diminue toujours avec le temps, selon une étude.

L’hôpital aussi dangereux que l’Afghanistan
Des chercheurs anglais ont constaté que le risque pour un patient hospitalisé en Grande-Bretagne de mourir d’un accident lié aux soins (intoxication aux médicaments, incident chirurgical, maladie nosocomiale) est aussi élevé que le risque pour un soldat de mourir en mission en Afghanistan ou en Irak. (1)
Les médicaments sont aussi une cause majeure d’accidents : deux fois plus de personnes en Grande-Bretagne meurent des effets secondaires de leurs médicaments sur ordonnance que d’accident de moto. Il est probable que les mêmes chiffres pourraient être observés dans les autres pays industrialisés.

Danger, hôpital !
Notre système de santé tue en moyenne 30 Canadiens par jour. Voyage dans l’enfer des erreurs médicales.

citoyen pour la sécurité des patients
"... Une estimation raisonnable est que les erreurs médicales tuent maintenant autour de 200.000 Américains chaque année. Cela rendrait l'une des principales causes de décès aux États-Unis."
 
Sanjay Gupta, MD ~ Les pages d'opinion du New York Times ~ plus de traitement, plus
Mistakes ~ July 31, 2012 Erreurs ~ 31 juillet 2012

10 types d'erreurs médicales qui peuvent vous tuer à l'hopital

Les 10 erreurs les plus fréquentes qui peuvent survenir lors d'une hospitalisation sont les suivantes

Plus de 30000 patients infectés par des sondes échographiques mal nettoyées
Dans un rapport sur la sécurité des patients, le Parlement européen estime que 8 à 12 % des patients hospitalisés en Europe sont victimes d'incidents indésirables liés aux soins. En France, une étude - en cours de publication - évalue à plus de 30000 le nombre de patients qui pourraient développer une infection à cause d'une sonde d'échographie endovaginale, endorectale ou transœsophagienne, mal désinfectée.

Plus d'un million de patients sont blessés dans les hôpitaux américains chaque année, et environ 280.000 meurent chaque année à la suite de ces blessures
morts iatrogènes (provoqués par les médecins)


dans six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout
“On ne dispose aujourd’hui de données provenant d’études randomisées* et contrôlées que pour moins de 15 % de toutes les questions que soulève la chirurgie9.” En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout....
Il serait naïf de croire que les arguments qui décident du sort d’un patient sont d’ordre strictement médical. Le fait que quelqu’un soit opéré, ou non, dépend beaucoup de l’endroit où il habite. Par rapport au nombre d’habitants, il y a trois fois plus d’oto-rhino-laryngologistes en exercice à Bâle que dans le canton des Grisons. La conséquence : 40 % des adultes bâlois n’ont plus leurs amygdales, alors que, dans les Grisons, ce n’est le cas que de 25 % d’entre eux. Le pourcentage de femmes à qui on a enlevé l’utérus est deux fois plus élevé en Suisse qu’en France – on ne dispose d’aucun argument médical pouvant expliquer cette différence14. Les Allemands sont les champions de la cardiologie interventionnelle : par rapport au nombre d’habitants, l’examen avec cathéter n’est jamais pratiqué aussi souvent qu’en Allemagne....
Ce manque de clarté entraîne des thérapies inappropriées. C’est ce que nous montre le destin des personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable et vont chez le médecin parce qu’elles se plaignent de maux de ventre, d’intestins qui gargouillent et autres douleurs caractéristiques. Eh bien, on leur enlève gaiement des organes – et, curieusement, ce ne sont jamais les mêmes. Les patients qui souffrent du syndrome du côlon irritable se font enlever l’appendice et l’utérus deux fois plus souvent que le reste de la population, quant à la vésicule biliaire, elle leur est ôtée trois fois plus souvent. On s’attaque même à leurs disques intervertébraux ; ils sont 50 % de plus à subir une opération du dos. Cette manie de l’opération n’est nullement justifiée – les gens qui souffrent de ce mal n’ont en général rien à faire sur le billard16...
Les patients souffrant du syndrome du côlon irritable ne sont pas les seuls à obtenir systématiquement des diagnostics erronés. L’équipe du médecin Kaveh Shojania, de l’université de Californie à San Francisco, a exploité des rapports d’autopsie établis sur quatre décennies (entre 1959 et 1999). Dans un quart des cas, l’autopsie a révélé un diagnostic erroné. Dans 9 % des cas, le mauvais diagnostic lui-même était la cause partielle, ou parfois même exclusive, du décès.


Il a été estimé que 15 000 patients meurent chaque mois Medicare en partie à cause des soins qu'ils reçoivent à l'hôpital, affirme une étude du gouvernement publiée aujourd'hui.

« Faites attention à vos ainés. S’ils refusent un traitement ou une hospitalisation c’est qu’ils sont fous ! » c’est en tout cas ce que certains médecins  et magistrats pensent !
Mais aussi faire taire cette femme à coup de benzodiazépine et la laisser se faire insulter par le personnel soignant.

Les mensonges de la médecine
En 1977, deux millions d'interventions chirurgicales pratiquées aux Etats-Unis étaient totalement inutiles. Non seulement elles ont coûté quatre milliards de dollars aux Américains, mais encore elles ont provoqué la mort de 10 000 personnes

Hôpitaux à risques
L'environnement hospitalier est tout particulièrement favorable à la manifestation des redoutables dangers potentiels de la médecine moderne. De nombreuses études, comme par exemple celles conduites par la faculté de médecine de l'université de Harvard (Harvard Medical School, sans doute la plus connue des facultés de médecine des Etats-Unis), montrent que 36 pour cent des patients admis dans les hôpitaux souffrent de troubles iatrogènes, et que ces troubles se révèlent graves ou fatals pour 25 pour cent des patients. Près de la moitié de ces atteintes est associée à la prise de médicaments 6.  Une analyse des arrêts cardiaques dans un centre hospitalo-universitaire permit de découvrir que 64 pour cent de ces cas auraient pu être évités par la prévention. On trouva que l'usage inapproprié des médicaments en étaient la cause principale7.   En plus des troubles de santé causés par le traitement, les hôpitaux favorisent des infections nosocomiales très dangeureuses liées à des micro-organismes rares ou devenus résistants aux médicaments, et qui sont souvent difficiles à traiter.  Quinze pour cent des journées passées dans les hôpitaux sont occupées à traiter les effets secondaires des médicaments8. Tous les médicaments, y compris ceux qui sont achetés sans ordonnance, ont des effets secondaires nocifs. On a trouvé que des médicaments très courants pouvaient affecter tous les systèmes de la physiologie. Parmis les réactions les plus fréquentes, ont a trouvé des éruptions cutanées, des nausées, des étourdissements, des périodes de léthargie, des diarrhées, ou des saignements gastriques chez un nombre important de patients. Parmis les réactions plus graves qui peuvent être fatales ou gravement débilitantes, on a trouvé la surdité, la dépression, un rythme anormal du coeur, l'angine, les bronchospasmes, des anomalies electrolytiques, des troubles du système immunitaire, des troubles sanguins graves comme l'anémie aplasique, l'intoxication du foie et des reins, la maladie de Stevens-Johnson, ou le choc anaphylactique. Ces troubles se produisent chez une proportion de la population tout à fait significative statistiquement. Malgré ce que l'on sait maintenant sur les effets secondaires des médicaments, Dr. David Kessler, ancien directeur de la Food and Drug Administration, estime que "seulement un pour cent des effets secondaires graves sont rapportés9"

«Mort par la médicine»
  • Le nombre de personnes ayant eu à l’hôpital, des effets secondaires dus aux médicaments prescrits était de 2.2 millions par an.
  • Le nombre d’antibiotiques inutiles prescrits annuellement pour des infections virales est de 20 millions par an.
  • Le nombre de procédures médicales et chirurgicales inutiles exécutées annuellement est 7.5 millions par an.
  • Le nombre de personnes exposées à une hospitalisation inutile est annuellement de 8.9 millions par an

Trafic d’organes, de tissus humains et de cadavres

Tout ce que le corps humain a à offrir y passe – ou presque : os, cartilages, tendons, fascias latas, peau, cornées, péricardes, valvules cardiaques. Ce que l’on appelle des “tissus”, dans le jargon spécialisé.

Pilleurs de cadavres en Ukraine
Sur France Ô, le magazine Investigations propose une enquête inédite sur le marché des tissus humains au coeur de l'Europe. Sur les traces des « Marchands de morts »
En suivant la piste des implants médicaux fabriqués à partir de cadavres, les reporters mettent le doigt sur un commerce de plusieurs milliards de dollars sachant que les tissus prélevés sur un seul corps (os, muscles, tendons, peau...) peuvent valoir 250 000 euros

Le trafic d'organes
le commerce d'organes

Maladies nosocomiales

Danger sur l’hôpital : les infections nosocomiales tuent 4200 patients hospitalisés par an
30% au moins seraient facilement évitables

Chaque année en France, 7% des patients hospitalisés, soit 800 000 personnes, ressortent de l'hôpital avec une infection qu'ils n'avaient pas en entrant.

750 000 infections nosocomiales par an en France
Ces infections seraient en cause dans 9 000 décès par an (soit 6,6 % des 130 000 décès annuels à l'hôpital) dont 4 200 patients pour lesquels le pronostic vital n'était pas engagé à court terme à leur entrée à l'hôpital.

La direction de l'Assistance publique de Paris déplore entre 800 et 1 000 décès annuels liés à ces infections, dites "nosocomiales", dans le seul secteur public. En y ajoutant les chiffres du privé - plus difficiles à rassembler - une dizaine de milliers de malades trouveraient chaque année la mort en France à la suite de manquements à l'hygiène hospitalière.

Consultez le classement complet des hôpitaux et établissements de santé
Le classement des hôpitaux

Les infections nosocomiales : définition et origines
En France, selon le ministère de la Santé, les infections nosocomiales toucheraient entre 600 000 et 1 100 000 patients hospitalisés par an, seraient responsables de 10 000 décès chaque année et entraîneraient un surcoût annuel compris entre 1 et 3 milliards d'euros.

HÔPITAUX: IL Y A DAVANTAGE D'INFECTIONS NOSOCOMIALES QU'ON PENSE ET QUE LES HÔPITAUX DÉCLARENT  des chercheurs estiment que le risque de contamination à l'occasion de soins est, en réalité, trois fois plus important que celui déclaré par les établissements de sant

association des victimes des infections nosocomiale 
environ 10% des patients contractent une infection nosocomiale dite aussi associée aux soins.
90 000 personnes en sont victimes dont au moins 4000 meurent. Au moins 50% de ces IN pourraient être évitée

association le lien
infections nosocamiales

MRSA survivor 
Qu'est-ce que le SARM? SARM (prononcé meer-SA) est un acronyme pour le staphylocoque doré résistant à la méthicilline - également connu sous le nom "Superbug" et peuvent causer des infections mortelles chez les patients dans les établissements de soins de santé et dans la communauté.

TABLEAU DE BORD DES INFECTIONS NOSOCOMIALES
 

Le cas des hopitaux psychiatriques

Les hopitaux psychiatriques ne sont rien d'autres que des camps de concentrations modernes pour cowbays humains avec tous types de tortures en regles générale avec des neurolèptiques pour casser et prendre le controle du patient interné de grée ou de force
 

les survivants des psychotropes
"Allez voir un psychiatre est la chose la plus dangereuse qu’une personne puisse faire"

Mais avec 6,5 millions d'ordonnances pour les ISRS sont publiées en Australie, les coûts en vies humaines et la morbidité sont importantes et elles sont affichées au Département de suicide de la santé, les tentatives de suicide et les statistiques d'admission.
david Healy

les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvée “Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées”.
 
Extermination douce
"Entre 1940 et 1944, 40 000 malades mentaux sont morts de faim dans les hôpitaux psychiatriques français. En 1942 le docteur Paul Balvet dénonce le génocide des malades mentaux, génocide hypocrite et occulté, à un congrès des aliénistes de langue française

L'hôpital psychiatrique en France, une honte 
des personnes, des êtres, sont parqués comme du vulgaire bétail

404 000 hospitalisations sont liées chaque année à des erreurs, des événements indésirables ou des effets secondaires liés aux soins. 
La même délinquance médicale appliquée aux 40 000 internés par force donnerait le chiffre de 1600 personnes internées abusivement en psychiatrie chaque année. Mais heureusement, braves gens dormez tranquille, il ne faut pas croire que tous les psychiatres ont choisi cette spécialité après avoir été recalés dans les autres spécialités plus lucratives ...

tortures et meurtres médicaux
La barbarie médicale

"Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu'on leur donne"

900 erreurs médicales par jour en France dans les hôpitaux !

Euthanasie

Des milliers de personnes âgées ont été tuées par leur propre médecin généraliste sans jamais avoir demandé de mourir
 
On tue des personnes dont on juge la vie inutile. Ce sont les médecins et les infirmières qui jugent si votre vie mérite de continuer ou s'ils doivent l'interrompre, on ne vous demande pas votre avis dans la plupart des cas. Une personnne qui va à l'hôpital a plus de malchance d'être assassinée à l'hôpital que chez elle par un cambrioleur ou par un fou. Au bloc opératoire il est facile d'euthanasier une personne plus que de la laisser en vie, on parlera alors d'aléa ou de complications, il est facile de s'arranger avec la verité.
 
Saisie par la famille, la justice se prononce sur la prise en charge d’un vieil homme privé de nourriture après une hospitalisation.
le tribunal administratif considère que la perte d’autonomie ne peut justifier à elle seule l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation…
 
Comme ceux jetés à Auschwitz, les personnes âgées vulnérables, gravement handicapées et malades chroniques sont tués en grand nombre. Ces citoyens vulnérables souffrent et meurent dans leur propre Holocauste silencieux, un holocauste qui est invisible pour le public, parce qu’elle est cachée derrière le mur des « lois de la vie privée » qui protègent les tueurs, mais ne protègent pas les patients
Tout comme la presse en Allemagne n’a pas annoncé ce que faisaient les Nazis à Auschwitz et les autres camps de concentration, ceux qui font euthanasias sans la permission du patient n’annoncent pas ce qu’ils font ; ils le couvrir et falsifient les dossiers médicaux.
 
On parle «d'euthanasie active» quand un tiers administre à un malade une substance létale dans le but de provoquer sa mort. Dans le cas «d'euthanasie passive», on stoppe un traitement, en arrêtant l’alimentation ou l’hydratation artificielle, ou on plonge le patient dans un coma pouvant provoquer la mort au bout de quelques jours. Ces pratiques sont condamnées en France.
 
Un décès sur deux serait dû à une décision médicale susceptible d'abréger la vie
Dans un tiers des cas, cette décision consistait à intensifier le traitement contre la douleur avec utilisation d'opioïdes ou de benzodiazépines
 
“On laisse les personnes âgées crever comme des chiens”
 
Selon l’article 223-6 du Code pénal, est considéré comme non assistance à personne en danger le fait pour « quiconque [ de s’abstenir ] volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours ». Cette obligation morale s’impose à tout citoyen français. Cet article se focalisera toutefois sur les professionnels de santé dont les médecins.
 
les vieux, les handicapés en fin de vie ou même tout malade du cancer ou du sida
 
Le pays envisage d'autoriser l'aide au suicide pour les personnes âgées qui ont le sentiment d'avoir "accompli" leur vie, même si elles ne sont pas malades.
 
« Depuis plusieurs années, nous contestons cette façon indirecte de provoquer des euthanasies, avec des pratiques qui ont eu tendance à se développer dans les services hospitaliers. Non seulement ces euthanasies ne respectent pas l’éthique soignante en décidant de provoquer la mort par dénutrition, mais elles conduisent les partisans de l’injection létale à parler d’hypocrisie de la loi. Pour nous, si la « sédation en phase terminale » est une pratique légitime, lorsqu’elle devient le seul moyen de soulager le patient, il ne faut pas la confondre avec une « sédation terminale » qui vise à accompagner certains arrêts d’alimentation et d’hydratation à visée euthanasique. »
 
Ludivine Chambet, 34 ans, comparaît devant la cour d'assises de Savoie pour avoir administré des mélanges de médicaments à 13 pensionnaires d'une maison de retraite, dont 10 en sont morts.
Le procès devrait s'achever le 24 mai. L'aide soignante encourt la réclusion criminelle à perpétuité  L'aide-soignante empoisonneuse condamnée à 25 ans de réclusion
 
euthanasie
"On estime ainsi que, en Europe, 40 à 50 % des décès résultent d'une décision médicale"
 
«L'ange de la mort». C'est ainsi que la presse italienne surnomme Daniela Poggiali, infirmière de 42 ans soupçonnée d'avoir tué 38 patients âgés de l'hôpital de Lugo,
Arrêtée vendredi dernier, elle est accusée d'homicide volontaire aggravé sur Rosa Calderoni, une patiente à qui elle aurait administré une dose mortelle de chlorure de potassium. Un poison qui devient indétectable au bout de quelques jours, mais qu'on a retrouvé en doses massives dans les globes oculaires de la victime juste après son décès.
 
 
l ’injection de chlorure de potassium, est un acte d ’euthanasie active. Elle n ’est jamais justifiable et est juridiquement qualifiable d ’homicide volontaire (Art. 221- 1 du Code pénal
 
Euthanasie : 
1. Sujet tabou (dans les hôpitaux).
2. Sujet brûlant (dans les médias)
3. Méthode permettant d’amputer une famille d’un de ses membres sans risquer les poursuites, et en lui permettant de programmer l’inhumation ou l’incinération à date ferme.
4. Dernier recours quand un patient hospitalisé, malgré les (bons ou mauvais) soins que le(s) médecin(s) dispens(nt), n’en finit pas d’occuper un lit et de (faire) chier.
 
À propos de la mort, des problèmes éthiques : quelle est la valeur d’un être humain ?
Saviez-vous d’ailleurs que, pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent pratiquer l’anesthésie ou injecter des substances paralysantes pour réduire les tensions musculaires. Cette information est très peu connue du grand public. Par ailleurs, il est arrivé maintes fois qu’un patient en état de « mort cérébrale » se réveille brusquement sous l’effet d’une douleur ou d’un choc
 
Vous devez savoir que toutes les semaines dans les hôpitaux de la région parisienne, des patients sont régulièrement euthanasiés
" -Les médecins qui ont travaillé dans des services universitaires ont tous connu cela...Quand on parle de cocktail lytique, il s'agit de médicaments qui peuvent soulager le patient et diminuer la durée de sa vie. Le principal cocktail lytique,le DPL, est une perfusion mélangeant 3 médicaments, le dolosal, le lagarctyl et le Phenargan qui peut soulager à faible dose et, à forte dose, provoque la mort du malade. Il était le principal médicament de l'euthanasie hospitalière. En revanche, à côté des cocktails lytiques, il y a une drogue qui devrait être supprimée définitivement c'est le chlorure de potassium directement injecté dans les veines. Comprenez : premièrement , que cela remonte à un lointain passé, mais n'existe plus,et deuxièmement on ne faisait que forcer sur la dose pour calmer le malade, au risque de précipiter sa fin propos du Professeur Pierre-Louis Fagniez. Mais le médecin député Fagniez  est sèchement remis à sa place par le Dr Sicard  - Le cocktail lytique n'a jamais été destiné à soulager mais à tuer.Le chlorure de potassium fait partie des cocktails lytiques. Administrer du Phénergan-Largactyl-Dolosal(PLD) n'a jamais servi à permettre au malade de mieux respirer ou d'améliorer la vigilance. Le problème est que ces traitements restaient parfois inefficaces pour donner la mort. En revanche, le chlorure de potassium la donne en quelques minutes. Sur l'intention de donner la mort par cocktail lytique, il ne faut pas être hypocrite. le mot lytique me semble un euphémismepour dire mortel. Cette mort était le plus souvent donné en l'absence de tout consentement avec le malade et la famille. C'était l'euthanasie à la sauvette, ni vu ni connu, dans l'opacité et l'arbitraire. Dans la plupart des cas, cette fin était, pour les malades, la moins pire des solutions disponibles. Il n'empêche que la façon de procéder était totalement inadmissible. Mais comment pouvait-on encadrer une pratique réputée être tout à la fois criminelle et inexistante
 
Il y a quelques années, un de mes collègues avait attiré mon attention sur le fait qu’une dame âgée était morte de faim et de soif a l’hôpital et qu’il représentait sa famille qui attaquait l’hôpital pour manque de soin. C’était un phénomène nouveau selon lui qu’il qualifiait d’innommable et d’inhumain. J’avais cru à l’époque que c’était un cas isolée. Ce n’était malheureusement pas le cas.Figurez-vous que les familles des personnes âgées tres malades s’insurgent en GB de la manière dont leurs parents sont traités. Ils ont beaux être âgés, malades, ridés etc., cela n’empêche pas leurs familles de les aimer.En GB dans certains hôpitaux ou hospices (heureusement pas tous) quand une personne est jugée mourante on ne lui donne plus ni a boire ni a manger (vous avez bien lu), mourir de faim est terrible, mais mourir dans les souffrances atroces de la soif dans un pays civilisée (qui ne manque ni certainement pas d’eau) est inimaginable.Evidemment laisser une personne âgée (les plus jeunes sont mieux capables de se défendre bien sur) mourir de faim et de soif, coute moins cher que de donner de la morphine à un mourant pour lui alléger sa souffrance. J’imagine le scandale en GB si on parlait de laisser et les chats et les chiens mourir de faim dans les refuges…….Le Daily mail a récemment fait un reportage sur le sujet, car la femme d’un retraité âgé de 76 ans s’était plainte que son mari était mort de faim et de soif car il avait été privé de tout liquide ou nourriture parce que les docteurs pensaient qu’il avait le cancer. En réalité il avait une pneumonie qui aurait pu être soignée avec des antibiotiques. Sa veuve a fait un scandale et l’hôpital a été condamne à lui payer des dommages et intérêts.Elle a eu raison d’attirer l’attention des familles des personés âgées sur cette terrible vérité. C’est vraiment sinistre car il est facile de priver les personnes âgées de nourriture ou de boisson sans que la famille s’en rende compte car en général on ne rend pas visite aux heures des repas, donc il est tres difficile de savoir si le ou la malade ont mangé et bu et comme tres souvent ils perdent aussi la mémoire ils ne sont pas capables de se plaindre……Même les chiens n’échappent pas à la cruauté actuelle. De nombreuses personnes ont arrêté leurs donations a RSPCA (SPA) parcequ’une branche de la Société Protectrice des animaux avaient tué plusieurs Bergers Allemands avec un revolver pour les abattoirs plutôt que de les mettre humainement a mort en les piquant. Ces chiens avaient atterri à la RSCA parce que leurs maitres âgés ne pouvaient pas les emmener en maison de retraite avec eux et le pire était que la branche n’avait pas fait le moindre effort pour les placer. Décidément l’Angleterre a bien changée…
 
“Euthanasie involontaire” : des médecins belges tuent leurs patients sans qu’ils l’aient explicitement demandé
En 1998, la proportion de décès résultant d’une « euthanasie involontaire » (une vraie euthanasie non demandée par le patient) était de 3,2 % du total, contre 1,7 % en 2013. Entre-temps, l’euthanasie a été légalisée et sa fréquence et son champ d’application ne cessent de progresser. En 2002 en Flandres, juste avant la légalisation de l’euthanasie, plus de 5 % des morts étaient, aux dires des médecins, consécutives à l’administration de substances hâtant la mort sans que les patients aient seulement été interrogés sur leur volonté.
L’euthanasie involontaire n’a pas baissé avec la légalisation de l’euthanasie : la volonté du patient est un leurre
 
Le résultat est qu’actuellement l’euthanasie aux Pays-Bas est devenue hors contrôle. La revue médicale mondialement connue The Lancet du 11 juillet dernier donne le chiffre de 4188 personnes euthanasiées l’an dernier ; chiffre auquel il faut ajouter de 20 à 23% d’euthanasies illégales non déclarées. Dans ces deux cas, il s’agit d’euthanasies dites actives consistant à injecter un produit mortel. Elles concernent 3 % des décès ; auquel il faut ajouter ce qui est appelé « la sédation profonde » qui consiste à mettre en perfusion des produits hypnotiques dont ont augmente les doses jusqu’à ce que mort s’ensuive. En 2010 cela concernait 12,3 % des décès. Au total c’est actuellement plus de 15 % de la population qui est euthanasiée. Super-luxe : il existe six unités mobiles qui viennent à domicile pratiquer les éliminations.
 
mort cérébral
"Son expérience personnelle avec un bébé déclaré en « mort cérébrale », et qui a si bien vécu qu’il est aujourd’hui le père de trois enfants"
 
Une politique déja appliqué depuis longtemps sur le terrain par nos cher médecin de la CPAM et compagnie?  Paradoxalement le propos de M de Kervasdoué est même amplifié puisque le dérapage des dépenses ne conduit pas ainsi qu’il le souligne à une amélioration de l’état de santé de la population mais bien à une franche détérioration avec un accroissement du nombre de cancéreux entre deux chimiothérapies, de coronariens entre deux angioplasties, et de vieillards entre
 
Les médecins du NHS mettent prématurément fin à la vie de milliers de patients âgés hospitalisés parce qu'ils sont difficiles à gérer ou pour libérer des lits
l'euthanasie fait partie de la manière standard de mourir car elle est maintenant associée à 29 pour cent des décès
 
La pratique reste très minoritaire, mais elle existe bel et bien. Toutes les personnes euthanasiées en Belgique ne sont pas des malades en phase terminale. Sur 2 086 euthanasies effectuées entre 2010 et 2011, les patients ne l’étaient pas dans près de 10% des cas. On invoque alors une «souffrance psychique insurmontable».
 
Ma chère mère est décédée le 19 juillet 1994. Elle avait la maladie d'Alzheimer, mais sa mort a été précipitée parce qu'elle a été privée de nourriture et d'eau. Ma petite sœur avait une procuration médicale et a été convaincue par les médecins de maison de soins infirmiers que la mère ne ressentirait aucune douleur. Quand j'ai appris, j'ai appelé la maison de soins infirmiers dans l'Illinois et a parlé au directeur médical. Je lui ai dit que je ne voulais pas ma mère affamés et déshydratés à mort. Il m'a dit qu'elle ne sentirait rien. Il n'a jamais dit qu'elle recevait des médicaments contre la douleur. J'ai répondu qu'il n'y avait pas beaucoup de différence entre ce qu'il faisait à ma mère et ce qui a été fait par les nazis aux prisonniers du camp de concentration. Il a répondu que ma mère ne pouvait rien sentir parce qu'elle n'avait plus sa fonction cérébrale. Bien sûr, être affamé et déshydraté ne contribue pas à la fonction cérébrale des prisonniers non plus. Je raccrochai et pleurai des larmes amères. Momma est morte trois jours plus tard. J'ai découvert plus tard que ce qui a été fait à ma mère était une pratique courante depuis plusieurs décennies. Ma mère ne méritait pas cette fin.
 
après la retraite, les personnes âgées ne contribuent pas ou peu à l'économie du pays; pire encore,
 
Le corps inerte et livide de Madame Burns est arrivé aux urgences de l’hôpital. Pour les médecins, cette femme, mère de trois enfants vient d’être victime d’une overdose de barbituriques. Plongée dans un coma causé par l’intoxication médicamenteuse, les médecins diagnostiquent un état de mort cérébrale. La famille donne alors son autorisation pour cesser les soins et procéder au  prélèvement les organes. Au moment de prélever les organes dans la salle d’opération, Mme Burns ouvre les yeux sous les néons de la table chirurgicale
 
Généralement quand on va à l'hôpital on s'attend à être soigné et à être entre de bonnes mains. Pourtant dans ces quelques cas, les patients sont tombés sur la mauvaise infirmière
 
Ces travailleurs de la santé (médecins, infirmiers, infirmières, préposés, etc.) ont commis un ou plusieurs homicides sur des patients qu'ils devaient soigner. Et bien souvent, on a d'abord cru que ces individus faisaient preuve de compassion. Cet ouvrage décrit les actes de soixante-deux meurtriers issus du domaine médical. L'auteure nous parle des motivations de ces criminels qui ont tué pour le plaisir, se croyant investis d'une mission, pour de l'argent, pour se valoriser, par vengeance ou en raison de troubles mentaux.
 
A l'hôpital de Piombino, non loin de Pise, la mort par hémorragie frappait des malades dont les jours ne semblaient pas en danger. Atteints de pathologies variées, ils n'avaient en commun que leur infirmière, Fausta Bonino, quinquagénaire jusque-là irréprochable.
 
de 90 à 180 morts
 
LE BON DOCTEUR SHIPMAN était un fonctionnaire de la mort. Il assassinait ses malades ­ surtout des femmes seules, âgées de plus de 75 ans pour la plupart ­ entre 13 heures et 17 heures à leur domicile, en leur injectant des doses massives de morphine.
 
Les fonctionnaires du ministère de la Santé enquêtent sur 1.872 décès survenus lors des 7 dernières années dans l’unité de soins intensifs dirigée par le Dr. Virginia Soares de Souza (56ans –  hôpital évangélique de Curitiba).Selon la police spécialisée dans les crimes liés à la santé
 
Expériences médicales interdites
Ces trois docteurs de la mort ne sont malheureusement pas des cas isolés ; depuis toujours, de nombreux médecins et de nombreuses institutions médicales ont été impliqués dans des affaires criminelles, massacres, génocides, crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
 
Denise Batters, sénatrice de Saskatchewan (Canada), signe une tribune dans laquelle elle dénonce le récent rapport de la Commission parlementaire mixte sur l’aide médicale à mourir, et soutient que plutôt que de tuer les malades mentaux, il faudrait les aider.
 
Entre 2007 et 2013, le nombre d'euthanasies aux Pays Bas a augmenté de 151% et le nombre d'euthanasies sur des personnes atteintes d'une maladie mentale a triplé entre 2012 et 2013. Un chiffre qui poussent les médecins à alerter l'opinion et nous interroge sur les limites du "droit à mourir".
 
Pour avoir donné son feu vert à la pratique de l’euthanasie dans ses centres hospitaliers en mars dernier, la branche belge de la congrégation des Frères de la charité pourrait se voir retirer son identité catholique par le Vatican
 
Après le diagnostic d’une maladie incurable, un magistrat italien de 62 ans Pietro D'Amico, de Vibo Valentia, procureur général à Catanzaro (Calabre) depuis 1995 et jusqu'à sa démission, il y a trois ans, s'est rendu en Suisse en avril dernier pour demander la mort, à l'insu des siens, or une autopsie demandée ensuite par la famille révèlera que l’homme était tout à fait sain.
 
Sur la base de ce témoignage en direct, Cécile risque-t-elle d'être poursuivie? "Si le témoignage est avéré, on se retrouve face à une femme qui avoue avoir commis un meurtre avec acte de préméditation, il n'y a donc aucune circonstance atténuante, s'indigne l'avocat blogueur, maître Eolas. C'est très grave car l'acte commis par cette retraitée atteint le sommet de l'échelle des peines, soit la réclusion à perpétuité."  
 
Une infirmière emprisonnée pour le meurtre d'un nourrisson au Texas dans les années 1980 a été inculpée d'un deuxième meurtre et pourrait avoir tué au total jusqu'à 60 bébés, ont annoncé les autorités américaines.
 
Une infirmière finlandaise, reconnue coupable des meurtres de cinq patients et de tentatives de meurtres sur cinq autres, a été condamnée aujourd'hui à la réclusion à perpétuité par le tribunal d'Helsinki, a annoncé la cour. Aino Nykopp-Koski, 60 ans, a été reconnue coupable d'avoir empoisonné et tenté d'empoisonner des personnes âgées (70 à 91 ans) dont elle avait la charge entre 2004 et 2009 en leur administrant des substances - opiacés ou sédatifs notamment - qui ne leur avaient pas été prescrites. La cour a indiqué n'avoir déterminé aucun motif à ces gestes, selon les médias.
 
L’ex-infirmière ontarienne Elizabeth Wettlaufer a plaidé coupable jeudi aux 14 chefs d’accusation qui pesaient contre elle, dont le meurtre prémédité de huit personnes âgées dont elle prenait soin dans des résidences pour aînés.

 

Témoignages

Cas d’euthanasie contre la volonté (involontiaire) 1
Lucide, pauvre, vieux vétéran euthanasié contre son gré

Cas d’euthanasie involontaire 2
Rapports de Vickie Travis : HMO Commits Medicare fraude, Patient tue et falsifie les certificat de décès

Cas d’euthanasie involontaire 3
Mère tuée par Hospice avec surdosage de Morphine

Cas d’euthanasie involontaire 4
Rapports de Robin Love : Hospice tue Parkinson Patient par déshydratation, Terminal sédation
Overdose de Morphine et de

Amour de Robin se plaint à possibilités District Attorneys
Fille de père tué en Hospice écritAux procureurs de District

Cas d’euthanasie involontaire 5
Hospice tue père avec un surdosage de Morphine

L’euthanasie involontaire nº6
Ce que j’ai vu à la maison de soins palliatifs : comment ils ont tué mon copain

Cas d’euthanasie involontaire 7
Rapports de Mary : Hospice ignoré mon POA, créé un nouveau et a tué ma mère

Cas d’euthanasie involontaire 8
Colleen Meland rapports : ma mère qui avait la BPCO a été donnée de grandes Doses de Morphine et de sédatifs en phase terminale

Cas d’euthanasie involontaire 9
Deux filles rapport mère tués en raison de la négligence des infirmières de l’Hospice
(Surdosage de morphine - pompe mal montée)

Cas d’euthanasie involontaire 10
R.N. rapports se hâta décès en Hospice et prêtre catholique euthanasié

Autre euthanasie involontaire de réelles affaires que s’est produite dans the Hospice réglage

On peut estimer qu'entre 10 000 et 20 000 personnes par an sont mortes de septicémie dans les hôpitaux en France

On peut estimer qu'entre 10 000 et 20 000 personnes par an sont mortes de septicémie dans les hôpitaux en France ! Un taux comparable à celui de nombreux autres pays. Ce serait même la septième cause de mortalité, avant les accidents de la route... Aussi incroyable que cela puisse paraître, ces septicémies sont dues pour beaucoup d'entre elles à l'utilisation des cathéters pour les perfusions et des sondes urinaires !
 
Presque un quart des patients hospitalisés ont une sonde urinaire, et le risque d'infection sur ces sondes est de 5 % par jour. Toutes les enquêtes montrent que les sondes urinaires sont trop utilisées et laissées trop longtemps en place. Ces infections sont à l'origine des septicémies hospitalières les plus fréquentes, celles dues à Escherichia coli. Les cathéters sont, eux, à l'origine de la deuxième cause de septicémie hospitalière la plus commune, les septicémies à Staphylococcus aureus, avec une forte mortalité. Le grand risque d'infection apparaît au-delà de trois jours d'utilisation.
 
La mort d'une personne de 75 ans à l'hôpital par septicémie sur sonde urinaire est moins spectaculaire que le décès de la même personne dans un incendie à l'hôpital, mais la hiérarchie de priorité en termes de sécurité pourrait s'accorder au risque réel, et non au risque perçu. Et le coût d'une augmentation des procédures de sécurité doit être évalué en fonction de son bénéfice potentiel. On découvrirait ainsi qu'il y a beaucoup de bénéfices à augmenter les mesures de sécurité sur l'usage des cathéters et des sondes urinaires... 

Le livre noir des hopitaux

Surtout, ne pas tomber malade. C’est la conclusion que l’on peut tirer au bout de quelques lignes de la lecture du « Livre noir des hôpitaux ». L’ouvrage commence avec l’histoire d’un patient qui échappa de très peu à l’ablation de l’estomac, à cause d’un diagnostic fantaisiste ! Un chanceux, celui-là. Car d’autres y sont restés. Derrière quelques bavures connues, des centaines de victimes restent anonymes
...
Quarante décès en moyenne par jour. C’est le nombre d’« événements indésirables graves » qui, à la suite d’une erreur médicale survenue à l’hôpital ou en clinique, connaissent une issue fatale. Ces chiffres, que l’on peut estimer à partir de l’étude Eneis (1), la seule réalisée en France sur ce sujet, montrent bien que les accidents survenus fin 2008, pendant les fêtes de Noël, ne sont que l’écume des dysfonctionnements, la partie émergée de l’iceberg. Le 24 décembre 2008, le petit Ilyès, 3 ans, meurt à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul, prestigieux hôpital pour enfants de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) : une infirmière a commis une erreur en lui administrant un mauvais produit. Elle est aussitôt placée en garde en vue puis mise en examen, à la grande colère de bon nombre de professionnels de l’hôpital public, furieux que l’une des leurs soit traitée comme une criminelle. 
...
S’agit-il d’une série noire ? En réalité, 400 « événements indésirables graves » se produisent chaque jour dans les hôpitaux et cliniques et pourraient être évités. [...] Les auteurs de l’étude Eneis estiment, à partir de quelque 8 754 dossiers de patients analysés dans un échantillon de 292 services appartenant à 71 établissements de soins, qu’entre 350 000 et 460 000 événements indésirables graves se produisent durant l’hospitalisation chaque année en France, dont 120 000 à 190 000 pourraient être évités. Soit entre 320 et 520 incidents évitables chaque jour.
...
Les produits de santé (dont les médicaments) sont la deuxième cause d’accidents lors de l’hospitalisation (26,7 %). [...] En janvier 2006, une infirmière de 44 ans de l’hôpital de Mantes-la-Jolie (Yvelines) est condamnée à dix-huit mois de prison avec sursis pour le décès d’une petite fille de 4 ans, opérée des amygdales et décédée le lendemain à la suite de l’administration, en trop grande quantité et de façon trop rapide, d’une solution de glucose. En juillet de la même année, c’est une jeune Réunionnaise de 18 ans atteinte de leucémie qui décède au CHU de Tours, une infirmière lui ayant donné une dose de Daunoxone cinq fois supérieure à la prescription, provoquant un arrêt cardiaque. Au CHU de Nancy, après une transplantation rénale, un patient de 48 ans meurt à la suite d’une transfusion de chlorure de sodium, produit à usage externe : le flacon, dont l’étiquette est semblable à celle d’autres produits, n’aurait jamais dû se trouver dans l’armoire du service de néphrologie. L’infirmière n’a pas été assez vigilante. Une affaire qui ressemble à celle du petit Ilyès, décédé à Saint-Vincent-de-Paul. Les premiers éléments de l’enquête indiquent en effet que « le chlorure de magnésium qui lui a été injecté n’aurait jamais dû se trouver dans la salle de soins ». La morphine fait elle aussi des ravages. En octobre 2006, une jeune infirmière et son ancien chef de service de l’hôpital de Cholet (Maine-et-Loire) sont condamnés à de la prison avec sursis pour avoir administré à un patient en phase terminale d’un cancer dix fois la dose de morphine prescrite. [...]
Mais le secteur où se produisent la majorité de ces événements (48,9 %), c’est la chirurgie où, en toute logique, la prise de risques est la plus importante. [...]
C’est un chirurgien de Neufchâteau (Vosges) qui est condamné en 2005 à un an de prison avec sursis pour avoir poursuivi « au-delà du raisonnable », selon les experts, une intervention chirurgicale sur le dos d’une patiente de 47 ans alors qu’elle s’était mise à saigner abondamment. Ils jugeront que « l’obstination et l’entêtement » du praticien sont à l’origine de la mort cérébrale de la patiente. Dans un établissement de Haguenau (Bas-Rhin), c’est un chirurgien ORL qui opère la prolifération de polypes dans la fosse nasale d’un patient de 48 ans et perfore à plusieurs reprises ses tissus crâniens. Il est condamné en appel pour homicide involontaire à dix-huit mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende. Le jeune Romain Gommenne, 18 ans, ne survit pas à la très bénigne intervention qu’il subit à la clinique des Bleuets à Reims (Marne). Le chirurgien, introduisant une minicaméra dans son bas-ventre, perce une artère et une veine. Malgré les dix-huit poches de sang qui lui sont transfusées, le jeune garçon décède. Et que dire de ce chirurgien et de cet interne qui, à l’hôpital de Saverne (Bas-Rhin), après avoir procédé à l’ablation en urgence d’une partie du côlon d’une patiente de 50 ans, se trompent et le recousent par erreur à son vagin ? L’interne reconnaîtra lors de l’audience avoir pris un organe pour un autre : afin d’aider le chirurgien à recoudre, il avait mis une pince dans le vagin et non dans le rectum. Bilan pour la patiente : cinq interventions réparatrices et 25 % d’incapacité. Pour les deux médecins, ce sera de la prison avec sursis et de fortes amendes.
Les erreurs de diagnostic peuvent aussi avoir des conséquences fatales. Quelques exemples : au centre hospitalier universitaire de Lille, fleuron de la région Nord-Pas-de-Calais, ce sont deux internes qui sont condamnés en 2004 à de la prison avec sursis et des amendes pour ne pas avoir diagnostiqué la péritonite d’une enfant de 9 ans, qui décédera. Pour la justice, l’erreur de diagnostic est avérée, mais aussi un défaut d’organisation au sein de l’hôpital. A Vitré (Ille-et-Vilaine), en 2005, l’hôpital est condamné car les médecins ayant pris en charge un patient convulsif de 41 ans n’avaient pas identifié la méningite qui lui sera fatale. A Besançon (Doubs), c’est un anesthésiste de 57 ans qui écope de neuf mois de prison avec sursis pour avoir diagnostiqué un choc septique à la suite d’une appendicectomie alors que la malade de 21 ans faisait une hémorragie interne dont elle sera victime. En 2004, le centre hospitalier universitaire de Saint-Etienne (Loire) était déclaré responsable par le tribunal administratif de la mort d’un nourrisson de 9 mois. Victime d’une chute dans un escalier deux jours plus tôt et examinée aux urgences par un interne, la petite Ambrine avait été renvoyée chez elle sans avoir subi de radiographie. Hospitalisée en urgence, opérée dans le service de neurochirurgie de l’hôpital pour un hématome important, elle décédait quelques jours plus tard. [...]
Ce n’est quand même pas tous les jours que la France décroche une place de champion du monde. Voilà qui est fait avec le plus important accident de radiothérapie jamais survenu au niveau international. Jusqu’à l’affaire du centre hospitalier Jean-Monnet d’Epinal (Vosges), révélée en 2006, quatre accidents graves seulement avaient été recensés dans le monde par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) : en 2001 en Pologne, où 5 patients avaient été victimes de brûlures, en 2000 au Panama, avec 28 patients surirradiés dont 5 étaient décédés, en 1996 au Costa Rica (17 décès sur 115 patients affectés), enfin en Espagne, en 1990, à Saragosse (au moins 15 décès sur 27 patients victimes d’une surdose). Mais avec 5 500 patients surirradiés lors de leur traitement entre les années 1987 et 2006 et déjà 5 décès avérés, l’hôpital vosgien a mis la barre très haut. Cet intervalle de temps avant qu’on ne s’aperçoive des nombreuses défaillances de son service de radiothérapie en dit déjà long. [...]
Que faut-il faire pour qu’à l’avenir le nombre d’accidents médicaux, dans tous les domaines, baisse ? De multiples recommandations de spécialistes du risque ont été faites pour les limiter. Pour éviter ce que l’on nomme les erreurs « de côté » par exemple, c’est-à-dire opérer un patient du mauvais membre, il faut que le patient marque lui-même l’endroit à opérer. C’est ainsi qu’on évitera des erreurs comme celle survenue à l’hôpital de la Timone, l’un des établissements du centre hospitalier universitaire de Marseille, quand en avril 2007 le jeune Emmanuel Le Mol, 20 ans, hémiplégique du côté droit depuis un grave accident de la route cinq ans plus tôt, et qui devait subir une neurotomie du nerf du mollet de la jambe gauche, est en fait opéré de la droite. « Personne ne s’est aperçu de rien, témoignera Corinne, sa mère. C’est mon fils qui, après l’intervention, s’est rendu compte que le médecin s’était trompé. » Celui-ci, qui connaissait pourtant bien son patient pour l’avoir vu à plusieurs reprises avant l’intervention, plaidera l’« erreur technique ». En février 2009, une patiente atteinte d’un cancer mammaire se fait amputer par erreur du mauvais côté au centre anticancéreux de Lyon, qui a alors dû procéder à une ablation des deux seins. [...]
Ces grands malades qui nous soignent
Dépressif, alcoolique, incompétent... Au sein de quelle profession ayant entre les mains la vie de tiers peut-on trouver des personnes en exercice aussi dangereuses ? Vous n’osez pas l’imaginer. Et pourtant si : chez les blouses blanches, qu’elles travaillent en secteur libéral ou à l’hôpital. Etre médecin ne garantit pas la bonne santé. Ni physique ni mentale. « J’ai des souvenirs dramatiques »

 
 

Extrait du Némésis médical

Les dangers de l’hôpital
Cherchant à mesurer les risques auxquels l’hospitalisation expose les patients, malades ou non, deux médecins établirent, en 1965, le bilan suivant (10) : 20 % des patients admis dans leur hôpital pour y subir des traitements ou des examens étaient victimes d’un ou de plusieurs incidents. Il y avait, en moyenne, un incident pour quarante et un jours-patients, un incident sérieux pour quatre-vingt-dix-neuf jours-patients. Les examens ou traitements étaient, à l’origine, de 27 % des incidents, 28 % de ceux-ci étaient dus à des accidents ou des erreurs (notamment dans l’administration de médicaments) et 45 % à des intolérances aux médicaments. Cette dernière cause obligea donc 9 % des patients à prolonger leur séjour à l’hôpital.
Cette enquête artisanale et locale fut évidemment contestée. Les National Institutes of Health (N.I.H.) organisèrent une enquête nationale. Son bilan fut plus consternant encore : sur trente-deux millions de personnes ayant passé, en 1970, par les hôpitaux (chiffre qui comprend les consultations externes), plus de 10 % durent être retenues plus longtemps que prévu en raison d’intolérances aux médicaments qu’elles avaient reçus. De plus, 1,5 million de personnes furent hospitalisées par suite de troubles provoqués par des médicaments que leur avait prescrits « leur » médecin (11).
Peu après, un pharmacien, Marc Laventurier, et un médecin, Robert Talley, estimèrent qu’au moins trente mille personnes meurent annuellement, dans les hôpitaux américains, d’empoisonnements médicamenteux. Contestant cette estimation, l’association des pharmaciens et celle des médecins procédèrent à leur propre enquête en choisissant l’hôpital universitaire de Floride pour terrain d’investigation. Nouvelle consternation dans cet hôpital-modèle, un patient sur cinq cent cinquante-cinq (soit 0,18 %) est tué annuellement par l’administration de médicaments. Dans les hôpitaux de Boston, particulièrement réputés, on constata, peu après, une « mortalité médicamenteuse » plus de deux fois plus forte : 0,44 % par an, soit un patient sur deux cent vingt-huit. (C’est là, également, le taux constaté dans les hôpitaux israéliens.) Bref, dans les seuls hôpitaux, les seuls médicaments tuent entre soixante mille et cent quarante mille Américains par an (12) et en rendent plus ou moins gravement malades 3,5 millions d’autres.
Combien de patients subissent des atteintes autres que pharmaceutiques? Sur les six mille personnes qui, en France, meurent annuellement « sur la table d’opération » – (dont deux mille par la faute des anesthésistes) (13) –, combien sont opérées sans réelle nécessité ? Combien souffrent, leur vie durant, parce qu’un chirurgien les a opérées d’une « descente du rein » dont elles ne souffraient guère ? Combien de femmes sont amputées de leur appareil génital (hystérectomie) sans nécessité ?
...
Mais ce sain bon sens tend à devenir la chose la moins bien partagée dans nos civilisations médicalisées. La prétention très récente (elle remonte à 1920) de la médecine que toute maladie doit être ou devenir guérissable a transformé tout décès d’un malade en « mort accidentelle » et donné naissance à l’idée, et à l’idéal, de la « mort naturelle » : c’est-à-dire d’une mort sans cause pathologique, survenant par épuisement d’un corps qui, usé mais intact, s’éteindrait comme une lampe à huile. L’idéal de la « mort naturelle », c’est de mourir en bonne santé, après avoir mobilisé toutes les ressources de la technique médicale.
Du coup, voici la mort médicalisée au même titre que la maladie, la santé et la naissance : quiconque ne meurt pas à l’hôpital meurt d’une mort irrégulière qui fera l’objet d’un contrôle judiciaire ou médico-légal. Il faut mourir à l’hôpital pour être en règle, et à l’hôpital, précisément, vous ne pourrez mourir qu’avec l’autorisation des médecins. Votre mort, tout comme vos maladies et votre santé, devient affaire de professionnels, elle ne vous appartient pas. L’art de mourir (ars moriendi) – qui tenait de la fête d’adieu dans laquelle le mourant, entouré et soutenu dans sa tâche par tous ses proches, résumait le sens de sa vie et « mourait comme il avait vécu » – l’art de mourir a été remplacé dans notre culture par la mort clinique, solitaire, honteuse et absurde.
La boucle est maintenant bouclée. L’homme moderne est né à l’hôpital, soigné à l’hôpital quand il est malade, contrôlé à l’hôpital pour voir s’il est bien portant, renvoyé à l’hôpital pour mourir dans les règles.

DON DU SANG : VERS UN NOUVEAU SCANDALE ?

Le business du sang

L'industrie des dispositifs médicaux : horrifiant !

Tower a déclaré qu'il n'aurait jamais cru que des problèmes orthopédiques pouvaient causer des problèmes neurologiques, si ce n'était de cette expérience, et maintenant, il teste les taux de cobalt de ses patients s'ils se plaignent de symptômes de la maladie de Parkinson ou de démence.
Selon une enquête menée en 2012 par le British Medical Journal et le BBC Newsnight, des centaines de milliers de personnes dans le monde pourraient avoir été exposées à des métaux toxiques provenant d'implants de la hanche "métal sur métal".
 

"les intérêts du patient, il ne faut pas vraiment s'en soucier"

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Jusqu'a 50% d'erreurs dans les analyses des laboratoires

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Dispositifs médicaux : 5 477 285. Soit plus de 82 000 morts, 1,7 million de blessés et 3,6 millions de défaillances

« Implant Files » : un scandale sanitaire mondial sur les implants médicaux
Nombre total « d’incidents » : 5 477 285. Soit plus de 82 000 morts, 1,7 million de blessés et 3,6 millions de défaillances. Ces chiffres vertigineux, ce sont les dommages causés ces dix dernières années rien qu’aux Etats-Unis par les dispositifs médicaux, une famille d’outils de la médecine qui comprend les pompes à insuline, les pacemakers ou les prothèses de hanche.

L'enquête : prothèse de hanche, prothèse vaginale, implants vaginaux, implant contraceptifs, valves cardiaques,  implants mammaires ....
 
en tête, les pompes à insuline.

Au terme d’un travail de plusieurs mois, mené avec plus de 250 journalistes travaillant dans 59 médias réunis au sein du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), Le Monde dévoile les résultats de l’enquête baptisée « Implant Files ». Contrairement aux « Paradise Papers », pas de « leaks » ou de fuite de documents confidentiels. Et même tout l’inverse : c’est une absence vertigineuse d’information qui a conduit les journalistes à tenter de constituer par eux-mêmes une base de données sur les dommages causés par les dispositifs médicaux. Du stimulateur cardiaque à l’implant contraceptif, de la pompe à insuline au stent : ces instruments qu’emploie la médecine pour prévenir, diagnostiquer, traiter ses patients et sauver des vies peuvent aussi être dangereux et même fatals :

Les principaux dispositifs médicaux implantables

Les principaux dispositifs médicaux implantables Infographie Le Monde

Il a fallu batailler ferme contre l’opacité des administrations de 36 pays pour arracher des chiffres dont nous avons la certitude qu’ils sont sous-estimés. Aux Etats-Unis, cependant, une base de données dénommée « Maude », entièrement accessible au public, recense les données cliniques, les rappels de produits, les mesures correctives et les incidents.

Elle montre que les implants le plus souvent mis en cause sont les pompes à insuline équipées d’un capteur de glycémie (environ 421 000 incidents, dont 1 518 morts et 95 584 blessés). Les dispositifs qui causent le plus de décès sont les appareils de dialyse automatisée en cas d’insuffisance rénale, avec 2 624 décès en dix ans. Et on sait aussi, selon cette base de l’Agence de santé américaine (FDA), que ces dix dernières années, les dispositifs médicaux ont causé en tout au moins 82 000 morts et 1,7 million de blessés :

 

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Orthopédie : dessous-de-table sur les prothèses

Témoignages

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L'histoire d'essure

Quelques victimes

Alerte opération correctrice des yeux au laser : Les Dangers Du Lasik

Alerte sanitaire d’intérêt public : signez la pétition !

Le “laser” ou la chirurgie réfractive de l’œil  
a déjà condamné de façon irréversible 300 000 personnes en France.

Le calcul de l’aléa thérapeutique est simple :
20% de “ratés de la chirurgie laser” : 80 000 à 200 000 opérations annuelles, sur une période de 10 ans (2000 à 2010), c’est 300 000 personnes au minimum déjà condamnées *.

Les Dangers Du Lasik

Association à but informatif sur les risques et conséquences des procédures Lasik

“Le seul but de la chirurgie réfractive est d’enrichir les médecins et les entreprises.” Dr. Boshnick L’association Asacir, ‘Association Espagnole des Affectés par les Interventions de Chirurgie Réfractive’ a interviewé une référence mondiale de l’optométrie, le Dr Edward Boschnick de Miami (Floride USA). Adaptateur de lentilles sclérales, il s’est spécialisé dans les cas de complications post chirurgie réfractive. Il est aussi professeur adjoint à la Faculté d’Optométrie de Pennsylvanie, de Nouvelle-Angleterre [...]

ALERTE CITOYENNE SUR LES RISQUES REELS DE LA
CHIRURGIE REFRACTIVE

Si vous considérez subir une opération correctrice des yeux au laser en France, les cliniques chercheront la plupart du temps à vous convaincre que la chirurgie Lasik est la meilleure solution. Cette méthode consiste à créer un «volet» cornéen et à remodeler cette même cornée. Cette procédure, dite de confort, est selon les professionnels une procédure sûre et efficace qui a déjà été effectuée sur des millions de personnes. Une méthode si sûre qu’elle est en passe de devenir la première intention de soin en matière de correction optique. En France, le nombre de personnes opérées chaque année est passé de 80 000 au début des années 2000 à plus de 200 000 aujourd’hui.

Vous serez apte à conduire une voiture dès le lendemain, et le risque de complications est annoncé comme étant très faible soit de 0,04%. Le site de la SAFIR (Société de l’Association Française des Implants et de la Chirurgie Réfractive) ne consacre que quelques lignes aux complications et ne fait aucune mention de leur fréquence.

Malheureusement, la chirurgie LASIK entraîne souvent des complications, allant de la simple gêne pour le plus grand nombre, à de plus sérieuses complications réellement invalidantes touchant une minorité significative. Une récente étude de la FDA montre que, trois mois après l’intervention LASIK, 45% ont rapporté avoir des problèmes visuels (tels que des halos) et 30% les yeux secs. Ces chiffres ont été confortés par l’ANSM (Agence Nationale de la Santé et du Médicament).1 Des chiffres comparables ont été trouvés dans des études antérieures qui ont également démontré que 20-40 % des personnes après le LASIK avait une mauvaise vision nocturne.2 Une étude récente montre qu’une sécheresse oculaire apparaît pour 20 à 55% des personnes opérées au LASIK.3 Les yeux secs peuvent sérieusement affecter la qualité de vie.4 La douleur oculaire chronique après LASIK se produit moins fréquemment, mais est néanmoins signalée régulièrement, et est décrite comme une complication dévastatrice. 5, 6, 7 La cornée après le LASIK demeure abimée, conduisant à long terme à un risque d’ectasie cornéenne.8 Le volet cornéen ne cicatrise jamais complètement, ce qui peut conduire à un risque de déplacement du volet.9 Des rapports montrent que plusieurs milliers de personnes ont subi de graves complications suite à une intervention au LASIK. Des résultats néfastes qui entraînent souvent des dépressions. Des complications liées au LASIK ont même conduit au suicide chez des personnes sans antécédents de santé mentale.10 Une étude a montré que les patients opérés du Lasik subissent une opération des cataractes 10 à 15 ans plus tôt que les  patients non opérés.

De nombreux scientifiques, ophtalmologues et chirurgiens rejettent l’intervention LASIK en raison des risques élevés. Aux États-Unis, la FDA recommande que les publicités pour le LASIK soulignent le risque de sécheresse des yeux (graves) et les symptômes visuels, la nécessité éventuelle de lunettes et la perte de l'acuité visuelle. Pourtant, en France, les risques sont minimisés et souvent méconnus du grand public.

Les taux de réussite sont mis en avant, mais les risques importants sont tenus cachés. Ce site vise à vous avertir: LASIK signifie risquer des complications tout au long de votre vie, allant de gênes à de cas extrêmement graves. Pour plus d'informations en français, visitez le site www.lesdangersdulasik.com et retrouvez-nous sur Facebook « Affectes Lasik ».

 

1. http://www.fda.gov/MedicalDevices/ProductsandMedicalProcedures/SurgeryandLifeSupport/LASIK/ucm190291.htm
2. Bailey MD, Zadnik K. Outcomes of LASIK for myopia with FDA-approved lasers. Cornea 2007 Apr;26(3):246-54.
3. Levitt et al. Chronic dry eye symptoms after LASIK: parallels and lessons to be learned from other persistent post-operative pain disorders. Mol Pain. 2015 Apr 21;11(1):21.
4. Roni M Shtein. Post-LASIK dry eye. Expert Rev Ophthalmol. 2011 Oct; 6(5): 575–582.
5. P. Rosenthal (2013) http://www.bostoneyepain.org/chronic-pain-following-laser-keratorefractive-surgery/
6. G. Nettune en S Pflugfelder. Post-LASIK Tear Dysfunction and Dysesthesia. Ocul Surf. 2010 Jul; 8(3): 135–145.
7. 2012 interview. J. Cason, P. Hamrah en P. Rosenthal. http://eyeworld.org/article-treating-unexplainable-pain
8. Spadea L, Cantera E, Cortes M, Conocchia NE, Stewart CW. Corneal ectasia after myopic laser in situ keratomileusis: a long-term study. Clin Ophthalmol. 2012;6:1801-1813.
9. Xiao, et al. Laser in situ keratomileusis surgery is not safe for military personnel. Chin J Traumatol 2012; 15(2): 77-80.
10. Kei Iijima, MD, Kazutaka Kamiya, MD, PhD, Kimiya Shimizu, MD, PhD, Akihito Igarashi, MD, PhD, Mari Komatsu, MD, PhD; Demographics of patients having cataract surgery after laser in situ keratomileusis. J Cataract Refract Surg 2015; 41:334–338.

Communiqués de presse, études médicales, rapports spéciaux. Rapports percutants sur l'industrie du LASIK et les dissimulations médicales entourant la pratique du LASIK. En savoir plus sur le rôle de la FDA dans la dissimulation de la vérité sur les risques LASIK au public
 
Exposer la vérité et demander l'interdiction d'une procédure chirurgicale esthétique dangereuse et inutile. En savoir plus sur les livrets d'information patient (PIB), qui contiennent des informations importantes sur la sécurité et les résultats des essais cliniques pour chaque laser approuvé par la FDA. Les chirurgiens LASIK sont tenus de remettre un livret à chaque patient potentiel avant de subir le LASIK. Les chirurgiens du LASIK omettent régulièrement de fournir ces brochures aux patients, car les données des essais cliniques montrent des taux élevés de complications. Apprenez à télécharger votre brochure à partir du site Web de la FDA.
 
Je suis Morris Waxler, PhD. En 1998, j'étais responsable scientifique de la FDA et responsable de la recherche sur les essais cliniques pour la chirurgie des yeux au laser, connue sous le nom de LASIK. Sur ma recommandation, la Food and Drug Administration a approuvé le LASIK. En janvier 2011, après un examen exhaustif indépendant des données actuelles, j'ai demandé à la FDA de retirer son autorisation pour tous les dispositifs LASIK et d'émettre un avis de santé publique LASIK. Inscrivez-vous sur le site pour aider à arrêter le LASIK.
Malheureusement, l'industrie a fourni une comptabilisation biaisée des événements indésirables résultant en un taux de 1,0% au lieu de 20,0% six mois après le LASIK.
 
Lasik Advisory est né pour prévenir! Blog créé pour alerter le public sur les risques cachés du LASIK et pour dénoncer la corruption entourant l'approbation du LASIK par la FDA. Regardez "En un clin d'œil", un documentaire du LASIK et une histoire vraie de la façon dont l'industrie du LASIK a trompé la FDA et dissimulé les blessures des patients pour un gain financier.
 
LASIK Hell de Mike :: LASIK Hell de Mike a été créé pour aider à exposer l'industrie du LASIK malhonnête, corrompue et dangereuse dont de nombreux patients ont été victimes. Sans sites Web comme celui-ci et beaucoup d'autres, les patients potentiels ne verraient que les fausses informations annoncées par les médecins et l'industrie qui tirent profit du LASIK ... Les patients potentiels devraient connaître les tactiques malhonnêtes, contraires à l'éthique et illégales utilisées par mes médecins pour me duper. dans une procédure à laquelle je n'aurais pas consenti si j'étais correctement informé et non menti.
 
Le blog Lasik portugais a été créé par un militant anti-LASIK pour informer les futurs patients atteints de LASIK de langue portugaise des dangers du LASIK et des complications cachées des essais cliniques.
 
LASIK Surgery Watch (LSW) est une organisation à but non lucratif de défense des patients LASIK. LSW a été lancé en 2008 par un groupe de patients sous LASIK et des membres de la famille de patients sous LASIK afin de répondre à un besoin urgent d'améliorer la qualité des soins prodigués aux patients dans la pratique du LASIK. Contrairement à l'industrie du LASIK, qui se concentre sur les patients "satisfaits", le slogan de LSW indique "Chaque patient compte". L'organisation accueille et encourage tous les patients LASIK ayant des résultats médiocres à s'inscrire sur son site Web.
Réseau de défense des patients LASIK  Sensibilisation aux problèmes et aux risques de la chirurgie au LASIK et défense des intérêts des patients du LASIK. Positions: Défendre les patients LASIK auprès de la FDA, des agences gouvernementales et des organisations de soins de la vue. Diffuser des informations précises, impartiales et scientifiquement fondées aux patients LASIK, aux patients LASIK potentiels et au grand public. Créer une communauté de patients endommagés par la chirurgie LASIK, afin qu'ils puissent être comptés, entendus et compris. Fournir un forum aux patients endommagés par la chirurgie LASIK pour former des groupes de soutien et partager des ressources. Rejoignez la cause!
 
expose la tromperie, la corruption et la collusion de la part de la FDA et du secteur du LASIK. Sur le site: "Vous avez lu le battage médiatique sur le miracle de 10 minutes. Maintenant, obtenez la vérité." Rapporte les événements de l'audience du 25 avril 2008 du comité du dispositif ophtalmique avec des vidéos et des transcriptions de témoignages. Montre des parallèles entre Big Pharma et Big Tobacco et "Big LASIK".
 
Une revue complète de la littérature médicale sur le LASIK. Examine des études médicales qui révèlent les risques et les conséquences à long terme du LASIK. Cite 43 articles de revues avec comité de lecture. Le rapport conclut que le LASIK est une procédure intrinsèquement préjudiciable et devrait être abandonné.
 
Le site de patients LASIK classé par le plus haut moteur de recherche sur Internet. Expose l'industrie du LASIK pour dissimuler les complications et la publicité trompeuse. Ressources juridiques pour les victimes de faute professionnelle médicale au LASIK. Recherche médicale sur les complications et les risques liés au LASIK. Articles de presse sur les complications du LASIK. Images des yeux endommagés.
 
Créé par l'activiste Dean Kantis . Met en garde contre les mauvais médecins qui nuisent aux patients. Met en garde les patients potentiels contre les escroqueries marketing du LASIK qui vendent de fausses certifications et incitent les patients à subir une intervention chirurgicale en minimisant les complications. Publie des histoires de patients avec de mauvais résultats. Liens vers des vidéos YouTube sur des histoires d'horreur LASIK.
 
Créé par un patient LASIK qui a connu une issue défavorable qui altère sa vie et ne pense pas que LASIK devrait être annoncé sans divulguer des contre-indications, des risques et des avertissements. La patiente a construit ce site Web pour protester contre la publicité intensive de Stephen Updegraff, MD. Le site met en garde contre les complications potentielles du LASIK et les problèmes uniques du laser LASIK sans laser IntraLase femtoseconde sans lame.
 
Créé par le patient militant Brent Hanson, ce site indique: "Prévoyez-vous une chirurgie des yeux au laser à TLC? Etes-vous impressionné par les réussites de TLC? Croyez-vous que TLC respectera son" engagement à vie "? ? ... Si vous avez répondu oui à l’une de ces quatre questions, veuillez vous informer de mon expérience en matière de chirurgie de la vue à TLC. "
 
Créé par le patient activiste Dominic Morgan, ce site décrit la lutte juridique de Dominic avec son chirurgien et avec la FDA. Le site indique: "La plupart des sites Web de Lasik sont des publicités pour une chirurgie des yeux Lasik. Ce site Web a pour but de vous informer des dangers liés à la présence de Lasik lorsque vous n'êtes pas un candidat approprié. Avant de considérer Lasik, vous devez être sûr que cela peut être fait en toute sécurité. , et que vous êtes un bon candidat. Je suis allé voir un médecin qui a annoncé que toute personne qui était myope, myope ou astigmatiste pouvait se faire en toute sécurité ... c'est presque tout le monde! J'ai fait confiance à ces médecins, et maintenant je suis légalement aveugle Je m'appelle Dom Morgan et je raconte mon histoire, car elle pourrait être utile à quiconque envisage Lasik. "
 
Fournir aux lecteurs la vérité la plus précise et la plus impartiale sur ce qui est actuellement une crise sanitaire majeure, le LASIK, la chirurgie au laser et les autres formes de chirurgie réfractive. L'approbation de la correction de la vue au laser / de la chirurgie des yeux au laser (LASIK, LASEK / PRK) est un type de fraude médicale - la mission de ce site est de l'exposer. Chaque œil traité par ablation au laser présente des lésions permanentes et irréversibles. Ceci est inacceptable pour une chirurgie non nécessaire et élective.
 
En 1998, j'étais responsable scientifique de la FDA et responsable de la recherche sur les essais cliniques pour la chirurgie des yeux au laser, connue sous le nom de LASIK. Sur ma recommandation, la Food and Drug Administration a approuvé le LASIK. Des millions de personnes dans le monde ont maintenant subi cette opération.Malheureusement, pour une minorité substantielle, les effets ont été catastrophiques. Les patients signalent une sécheresse oculaire sévère, une douleur persistante et des problèmes de vision impossibles à corriger avec des lunettes ou des lentilles de contact. Beaucoup de ces patients se plaignent de dépression, d'anxiété et de pensées suicidaires. Les patients sans antécédents de santé mentale se sont suicidés
Cela n'aurait pas dû arriver. Lorsque j'étais le responsable scientifique de la FDA chargé de l'évaluation des données cliniques soumises pour l'approbation des dispositifs LASIK, nous n'avions pas les moyens de contrôler la véracité ou la fausseté des données de l'industrie. En tant que tels, nous nous sommes fiés à l'industrie pour nous fournir un compte rendu honnête de tous les événements indésirables, y compris, sans toutefois s'y limiter, les complications et les effets secondaires. Malheureusement, l'industrie a fourni une comptabilisation biaisée des événements indésirables résultant en un taux de 1,0% au lieu de 20,0% six mois après le LASIK.
En janvier 2011, j'ai demandé à la FDA de retirer son autorisation "pour tous les dispositifs LASIK et d'émettre un avis de santé publique rappelant volontairement les dispositifs LASIK afin de mettre un terme à l'épidémie de lésions oculaires permanentes causées par les lasers et les microkératomes utilisés pour le LASIK. Opération de l'œil." Jusqu'à présent, la FDA n'a pas répondu à ma demande.

Témoignages

 

Dédié aux personnes dont la vie a été endommagée ou détruite par une chirurgie réfractive, ce site contient des histoires vraies écrites par les victimes elles-mêmes . Lorsque des complications surviennent, votre vie se sépare en deux. Il y a la personne que vous étiez avant le LASIK et celle que vous êtes maintenant ... Vous réalisez que la nature humaine n'est peut-être pas fondamentalement bonne, ou du moins que les médecins ne sont pas ce que vous pensiez.
 
la FDA n’écoutait pas ces témoignages ni les "milliers" de plaintes déposées depuis - les rendant "complice" de ces décès.
 
Comme des aiguilles
 
Après avoir quitté l'armée, Max est retourné au Texas. En juillet 2015, Max a opté pour un retraitement de la chirurgie oculaire au laser PRK parce que sa vision déclinait. Max a eu plusieurs complications courantes liées à la chirurgie oculaire au laser, telles que sécheresse oculaire, douleur oculaire constante, baisse de la vision, trouble cornéen et troubles de la conduite de nuit. Les complications qu'il a subies ont eu un impact considérable sur sa qualité de vie et l'ont empêché de travailler et de poursuivre ses études. Pour ajouter l'insulte à la blessure, Max a estimé que son chirurgien des yeux au laser était arrogant et manquait de compassion. Max écrivit plusieurs lettres de suicide dans lesquelles il déclarait qu'il allait se tuer parce que sa chirurgie aux yeux au laser lui avait gâché la vie et les yeux.
 
Jessica Starr, une présentatrice météo d’une chaîne locale de Detroit aux États-Unis, s’est suicidée le mercredi 12 décembre. Son geste serait causé par une opération ratée des yeux en octobre dernier.
 
Sur le site: "Je m'appelle John Hoge et cette page est la chronique de mon expérience personnelle sous la responsabilité du Dr Eric Donnenfeld ... Le premier jour après l'opération, ma vision a commencé à s'améliorer au-delà ce qu’il avait été sans lentilles cornéennes, mais j’ai commencé à remarquer des problèmes. Les projecteurs nocturnes produisent un horrible éblouissement, la lecture est devenue difficile, et ma vitesse de lecture a été considérablement réduite. Parfois, les objets semblent projeter une brume floue sur leur fond. expérimenté quelque chose comme cela. La vision était très simple avant lasik - floue sans contacts et limpide avec les contacts. Maintenant, j'avais un tout nouveau monde de problèmes ... "
 
Je voudrais savoir pourquoi nous n’avions pas été protégés contre ce médecin et pourquoi la FDA nous a fait défaut à cet égard. Nous avons essayé d'obtenir des copies des documents officiels à utiliser dans notre poursuite pour faute professionnelle médicale, mais la FDA a déclaré qu'ils étaient confidentiels et qu'ils ne seraient pas divulgués. Ces documents auraient pu être présentés au jury montrant qu'il ne s'agissait pas d'un laser approuvé et que le médecin avait même induit le gouvernement en erreur en lui fournissant des rapports, des documents et des représentations inexacts.

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L'arnaque du lasik

Un robot chirurgical aurait provoqué 200 décès aux USA

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Corruption à l'hôpital

L’hôpital : la vie rêvée des firmes

Il s’agit d’un document rare que le témoignage de ce médecin hospitalier sur la réalité de la présence des firmes pharmaceutiques à l’hôpital.

Document rare mais rapportant des pratiques pourtant banales, diffuses, universelles. La plupart des médecins ou étudiants hospitaliers qui liront ce témoignage n’y verront que la vie ordinaire de leur propre service et certains s’étonneront sans doute que cela fasse scandale.

L’hôpital est le lieu de toutes les influences, bien au delà de celles que subissent par exemple les médecins généralistes en ville. C’est à l’hôpital en effet que tout commence, que les prescriptions s’initient, que nombre de médecins généralistes recopieront par soumission et facilité, sans même imaginer les discuter, avec l’approbation implicite des patients : on ne modifie pas ainsi l’ordonnance d’un "Professeur" !

Les firmes le savent bien et offrent ainsi gratuitement ou presque, tel l’Inexium° cité dans ce témoignage, les médicaments aux pharmacies des hôpitaux pour que les médecins des services initient ces prescriptions, reconduites alors indéfiniment en ville.

C’est à l’hôpital que tout se passe. C’est aussi à l’hôpital que la loi du silence sur ces pratiques, peut-on parler d’autre chose que de corruption ? est la plus épaisse. Loi du silence entretenue par honte ou peur pour certains, par facilité ou ignorance de la nocivité de ces pratiques pour d’autres, par arrogance professionnelle pour beaucoup persuadés que leur blouse blanche et leur "éthique" les protègent des influences.

"Je ne vois pas où est le problème" expliquait un des leaders d’opinion de la grippe interrogé sur ses liens avec les industries et les commerçants du médicament. Prescriptions inappropriés et effets indésirables parfois graves, voire mortels, surcoûts pour des soins solidaires, délitement de l’honneur d’être soignant, trahison de la confiance de la société envers ses professionnels de santé, etc. Où est le problème en effet ?

Merci à ce médecin hospitalier d’avoir le courage de témoigner. Nous l’avons laissé anonyme pour des raisons de sécurité hélas évidentes. En France, au 21ème siècle, défendre l’éthique médicale, la vraie, requiert l’anonymat. Eh oui !... On en est là.

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- avec Inexium° pas de problème pour avaler ça docteur !

Relations entre l’industrie pharmaceutique et les praticiens hospitaliers dans un service de médecine interne, gastroentérologie et hépatologie d’un hôpital non universitaire. Présents dans le service : deux assistants qui font office d’internes (visites quotidiennes, ordonnances de sortie, courrier au médecin traitant du patient), quatre praticiens hospitaliers temps plein et un praticien temps partiel.

- Les visiteurs médicaux sont omniprésents : présence chaque jour d’au moins un visiteur médical, parfois tôt dans la matinée. Certains jours sont présents usqu’à 5 délégués médicaux des laboratoires pharmaceutiques. Ces visites médicales s’effectuent sans rendez-vous : le visiteur médicale se présente dans le service et demande à voir chaque médecin, le plus souvent séparément, et ce à n’importe quelle heure, à n’importe quel endroit dans le service, n’hésitant pas à pénétrer dans des lieux confidentiels pour le patient. Il est fréquent de voir dans le couloir du service au milieu des patients et du personnel hospitalier, un visiteur médical qui attend patiemment d’appréhender un médecin, mais aussi dans le service d’endoscopie, de consultations. Le visiteur médical fait partie intégrante du service au même titre que le patient.

- Des petits déjeuners, en petit ou large comité, sont souvent organisés par le visiteur médical, cela lui permet de voir tous les médecins du service en un même lieu et au même moment.

- Les médecins du service font très régulièrement appel au visiteur médical pour organiser un repas buffet après une réunion de service, pour une réunion de départ d’un membre du service (médecin, assistante, secrétaire, infirmière) ou pour une réunion à caractère convivial (galette des rois offerte par le chef de service une fois par an).

- Les assistants du service sont particulièrement visités car ils font les ordonnances de sortie. Par exemple : dans l’hôpital un appel d’offre auprès de la pharmacie est fait régulièrement pour obtenir le marché de l’hôpital pour les IPP [1]. Actuellement l’IPP choisi est INEXIUM° 40 mg, 20 mg et solution injectable. Si au cours d’une hospitalisation un traitement par IPP est instauré ( à juste titre ou pas ) ce sera obligatoirement INEXIUM°. Sur l’ordonnance de sortie il sera logiquement inscrit comme IPP INEXIUM° ! Le visiteur médical le plus présent dans le service est le représentant du laboratoire ASTRAZENECA [2]. Ses visites très fréquentes auprès des assistants, lui permettent de s’assurer de la prescription d’INEXIUM° sur l’ordonnance de sortie et sur le compte-rendu de sortie
envoyé au médecin traitant [3].

- Parallèlement les assistants sont chaque année inscrits par le laboratoire à quelques réunions médicales ou congrès organisés par l’industrie pharmaceutique ou dont la logistique est assurée par l’industrie pharmaceutique (repas, hébergement, location de salle).

- Certains praticiens hospitaliers sont invités chaque années à 4 ou 5 congrès, en France, en Europe, aux Etats-Unis… Ces invitations comprennent le voyage, l’inscription au congrès, l’hébergement et les repas. Ces congrès peuvent durer une semaine.

- Des protocoles sont proposés aux praticiens hospitaliers. Le principe est souvent le même : inclure des patients dans une étude qui étudie un paramètre quelconque (effets secondaires, observance par exemple) d’un médicament. Ces études sont rémunérées. Elles sont souvent d’une faible valeur méthodologique mais permettent la prescription d’un médicalement cible au long cours.

- Des EPU [4] organisés par un médecin du service pour des médecins généralistes sont faits avec le soutien d’un laboratoire : invitation des médecins, réservation d’une salle et location de la salle, repas des participants, prêt de diaporamas élaboré par le laboratoire.

DOCTOR & HOSPITAL FRAUD & CORRUPTION

Malades, si vous saviez... : Les scandales des hôpitaux

À vingt ans, Julie est opérée d'une appendicite aiguë. Quelques mois plus tard, elle apprend qu'elle risque d'être stérile. Nicolas est admis à l'hôpital pour une crise pancréatique. II en ressort paralysé du bras gauche. Une fillette de dix ans est opérée des dents de lait. Le surlendemain, elle meurt des suites de l'opération. Véronique décide de se faire faire un lifting. Elle restera défigurée à vie.
Les cas de ce genre sont nombreux. Trop nombreux. Diagnostics erronés, complications imprévisibles, décès inexplicables : chaque jour les scandales éclatent. Des erreurs commises par des médecins sur des patients qui, à force d'être patients, sont devenus des victimes. Mais au dialogue et à la transparence, les hôpitaux préfèrent la loi du silence.

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